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Les boites de nuit à Saint-Trop

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Message  Calvin Dim 20 Nov 2011 - 1:59

Tu ne m'avais pas entendu. A tous les coins de la pièce. Tu avais défait ton grand cœur. Tu avais donné aux objets leurs formes leurs couleurs. Le coussin que tu touchais du doigt s’allumait. A l'effleurer on voyer le divan entrer dans le jour. Tu as fait des gestes sans but. Tu t’es heurtée aux lumières aux murs. Tu as fouillée la pièce, comme on fouille son ventre pour y trouver la peur
Tu faisais des mouvement brusques qui malmenaient l'espace, c'était à se défaire de
son ombre, et moi, je n'étais plus rien, plus qu'une statue de sel, il y avait tout un pays de
malentendu qui nous séparait, ou plutôt qui se dressait entre nous, et tu n'étais plus que cette
silhouette que je peinais à apercevoir, dont je n'avais pour murmure que le reste de cri. Je me suis
sentit brusquement seul, dans ces ténèbres de l'oreille. C'était comme être au téléphone, je te voyais t'agiter, mais tout disait ton absence, et j'étais comme au bord de
l'aveu. Comme au lit d'une rivière qui vous emporte. Comme au lit où s'étend l'amoureuse. Où on entre pas. On est à une lèvre. La distance du plaisir. On fait son lit, comme on
fait ses rêves. Tu as regardé derrière toi, comme pour vérifier si tu n'avais pas laissé quelque chose, mais quoi ?

Tu es partie.

Tu es entrée dans la rue comme une mauvaise nouvelle. De toute ton agitation, il ne restait plus que le
souvenir, l'air ainsi qu'un chien qui aboie, la colère toute entière qui chargeait les meubles. Et je
voyais dans leurs veinures ce peuple qu'on a jeté sur les routes, ce peuple d'exode, à qui tous les kilomètres sont une
demeure provisoire, pour qui chaque pas est un nid, qui se déchire, qui se dissout, se défait,
ce peuple d'images, le bagage de mots que ton corps a laissé.

A chacun son rêve et sa vie. On voudrait dire ce qu'on a sur le coeur, et puis on s'aperçoit que l'air n'y est pas respirable. Alors on ferme toutes les portes, toutes les fenêtres, on dit bonjour à la fraicheur, au courant d'air qui passe entre les choses immobiles. On est à une lèvre du suicide. Et le sentiment de sa mort en fait partout pousser les fleurs étranges. Tout devient prétexte à une hypothèse, à une rêverie, où l'on met tout en jeu comme du revers d'une pièce, où l'on bat sa vie au hasard, si bien que c'est ce sentiment-là du concret qui vous ramène à la vie même.
Comme on voit sur la plage le naufragé rapporté par la marée.

On marche alors dans des squares, sans but. Et à chaque pas on se retourne, on cherche quoi, son ombre peut-être, ou bien ce pour quoi on était venu,
un enthousiasme laissé à un verre d'alcool, pendu à une robe de fille, comme branche morte à son tronc.
On investit des bancs avec le poids de son malheur. L'ennui au soleil fait un équinoxe parfait. Puis se levant on se retourne, pas un visage au regard ne se ramène, pas la lueur d'une ombre connue. Ce qu'on cherche, c'est quelque chose qui justifirait cet étrange goût de chute, cette marche qui sous le pas se dérobe, ces mains qui s'agrippent au vent, il me court entre les
doigts un ruban d'abandon, je trouve au pied de tes yeux un coffre dont je ne sais plus la clef, je prend habitude de ce cirque itinérant, mais il n'est pas assez pour peupler la solitude de toutes les images qui se promènent dans le langage,
qui flânent sur ses quais, qui baillent dans ses cafés, et rapidement on se heurte aux digue de soi-même, on se découvre dans le corps son propre écueil, on fait de la frénésie à se détruire un étrange aliment, l'on est un ventre qui se vide à mesure qu'il se remplit, on voudrait se déchirer comme une feuille de papier, vivre comme des petits bouts de trucs lancés au hasard... au bon gré du hasard... il n'y a pas d'hasard sinon celui que la beauté fait. Tout hasard est une beauté abandonnée.
Comme une fille qui se retourne au milieu d'une poésie.





Calvin

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Message  Calvin Dim 20 Nov 2011 - 3:54

Il y a des souvenirs qui vous arrachent l'âme. Cette femme. Elle, jamais une autre. Dont je sens brûler
l'absence, au creux de mes mains. Qui s'arrache comme de moi un oiseau à moi-même, qui fait son
nid du geste d'une déchire, qui fait de ma poitrine un exode comme un battement de coeur, qui
emporte
le printemps les couleurs le souvenir des choses passées auxquelles la réalité se ramène,
comme
à l'oeil un cerne, comme aux cheveux éteints la mince pellicule de poussière que la lumière
a
retenue. Toutes les couleurs sont parties comme par navire, elles sont ce fantôme sur ma langue,
on ne sait plus qui on aime, qui on aimait. Tu te confond ainsi que les mâts, avec le reste des silhouettes
qui dépeuplent le souvenir, dans un feu, tu as l'anonymat d'une cendre chaude

Dans une larme, une seule, qui vous dévale la joue, comme un enfant sur de la neige qui lui fait pente,
en fermant les yeux sur le sentiment de sa chute, les couleurs se serrent la main, se choisissent une
seule robe, sont à la nuance la voix d'une seule boite de crayons, et ces voix qui se confondent sont
à se tordre la mémoire, comme à faire correspondre à soi la silhouette d'enfant qui sourit sur les clichés
noir et blanc, et qui fut soi-même. Les couleurs comme pellicule de souvenir ont quitté le réel.
Les
gestes sont brisés. Les miroirs menteurs. On ne remarque ni la nuit ni mon amour. Ma vie est un
baiser
qui n'en finit pas. La vie elle, la vie toute grande, la vie toute crue, reste dans son entièreté une simple
hypothèse.

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Message  Invité Dim 20 Nov 2011 - 8:13

Il y a dans le second texte un rythme, une respiration qui le rendent envoutant.
Pour ce qui est du titre ... aurais-je manqué un indice pour en saisir le sens ?

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Message  hi wen Dim 20 Nov 2011 - 8:23

ça me parle. le texte vous porte.

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Message  Invité Dim 20 Nov 2011 - 15:02

le deuxième est écrit en 3 minutes; pas vrai ? T'es le Columbo de la littérature : sitôt une chose finie, il se doit d'y rajouter un " j'oubliais..."

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Message  Calvin Dim 20 Nov 2011 - 16:31

Oui, c'est une manière de voir le choses :')


**

Il est des souvenirs qui vous arrachent l'âme. Cette femme. Elle, jamais une autre. Dont je
sens brûler
l'absence, au creux de mes mains. Qui s'arrache de ma poitrine comme un oiseau d'effroi, qui fait
son
nid du geste d'une déchirure, qui fait s'exode de la vie comme un battement de coeur, qui
emporte
le printemps les couleurs des choses passées auxquelles la réalité se ramène,
comme
à l'oeil un cerne, à la mémoire une photographie, aux cheveux éteints la mince pellicule de poussière
que la lumière
a retenue. Toutes les couleurs sont parties comme par navire, elles sont ce fantôme sur ma
langue,
déjà on ne sait plus qui on aime qui on aimait. Tu te confond ainsi que les mâts, avec le reste des silhouettes
qui
dépeuplent le souvenir, dans un feu, tu as l'anonymat d'une cendre chaude

Dans une larme, une seule qui vous dévale la joue, comme un enfant sur de la neige qui prend la
forme d'une pente,
en fermant les yeux sur le sentiment de sa chute, les couleurs se serrent la main, se
choisissent une
seule robe, sont à la nuance la voix d'une seule boite de crayons, et ces voix qui se
confondent sont
à se tordre la mémoire, comme à faire correspondre à soi la silhouette d'enfant qui sourit sur
les clichés
noir et blanc et qui fut soi-même. Les couleurs comme pellicule de souvenir ont quitté le réel.
Les
gestes sont brisés. Les miroirs menteurs. On ne remarque ni la nuit ni son amour. Ma vie est un
baiser
qui n'en finit pas. La vie elle, la vie toute grande, la vie toute crue, passe dans la pièce avec la fugacité
des hypothèses.

=

J'ai arpenté cette pièce, comme la mémoire se promène dans son âge, à chaque pas hésitant, faisait attention à tout, ne voulant rien déranger du regret, tout l'ordre qu'a permit une raison invisible, j'ai tiré une étoffe jusqu'à mes lèvres, je la tirais de son marécage d'ombre, et c'était comme vouloir mordre la nuit, une nuit dont il ne reste presque rien, à peine un peu de cendre, une respiration un instant retenue. Je me sentais mal à l'aise, je voulais sortir les objets de leur torpeur immobile, leur découvrir des angles, des contours, un mur auquel s'accoudant on fait une ombre différente... je ne me souvenais pas, je me suis levé comme un seul homme, j'ai ramassé la foule qui se tenait dans mes côtes, j'ai marché d'un pas difficile, de celui-là qui vous brûle quand il prend soudain conscience qu'il est suivit.
J'allume une cigarette

J'ai imaginé plusieurs choses à dire sans rien trouver. J'ai tordu mes mains comme si c'était des excuses. J'ai recoiffé ce qu'à dérangé la nuit, et je me suis senti une grande solitude qui me courait par tout le corps, comme un animal enragé. J'ai prétendu de ne rien comprendre. J'ai fait des gestes pour moi-même. J'ai fait des gestes pour la pénombre, pour le jour qui expirait sur le carrelage, le jour d'or pâle, bien moins frais qu'une marrée. J'ai dit : ... et c'est comme voir un cri se former à sa bouche, c'est comme l'exclamation d'un geste d'orgueil, c'est comme recueillir la douleur d'une faiblesse qu'on avait pas soupçonné, quelque chose qui tue malgré soi... voilà, cela brûle les doigts, c'est de ses mains faire tomber un orage, quelque chose qui se brisant deviendra un objet d'effroi. Et toujours n'en rien comprendre. Comme n'être pas sûr du vol que l'on a commis, regarder ses mains et ne pas savoir laquelle des deux est sienne, être à soi-même comme étranger de ne pas croire, d'avoir dit cette parole qui fait de votre coeur l'aliment de tout un malheur, un malheur sans limites, qui fait de votre coeur un coeur à jeter aux chiens.

+

Tu ne m'avais pas entendu. A tous les coins de la pièce. Tu avais défait ton grand cœur. Tu avais donné aux objets leurs formes leurs couleurs. Le coussin que tu touchais du doigt s’allumait. A l'effleurer on voyer le divan entrer dans le jour. Tu as fait des gestes sans but. Tu t’es heurtée aux lumières aux murs. Tu as fouillée la pièce, comme on fouille son ventre pour y trouver la peur
Tu faisais des mouvement brusques qui malmenaient l'espace, c'était à se défaire de
son ombre, et moi, je n'étais plus rien, plus qu'une statue de sel, il y avait tout un pays de
malentendu qui nous séparait, ou plutôt qui se dressait entre nous, et tu n'étais plus que cette
silhouette que je peinais à apercevoir, dont je n'avais pour murmure que le reste de cri. Je me suis
sentit brusquement seul, dans ces ténèbres de l'oreille. Cette fausse intimité de téléphone, je te voyais t'agiter, mais tout disait ton absence, et j'étais comme au bord de
l'aveu. Comme au lit d'une rivière qui vous emporte. Comme au lit où s'étend l'amoureuse. Où on entre pas. On est à une lèvre. La distance du plaisir. On fait son lit, comme on
fait ses rêves. Tu as regardé derrière toi, comme pour vérifier si tu n'avais pas laissé quelque chose, les raisons de ce pour quoi tu étais venue, mais quoi ?

Tu es partie.

Tu es entrée dans la rue comme une mauvaise nouvelle. De toute ton agitation, il ne restait plus que le
souvenir, l'air ainsi qu'un chien qui aboie, la colère toute entière qui chargeait les meubles. Et je
voyais dans leurs veinures ce peuple qu'on a jeté sur les routes, ce peuple d'exode, à qui tous les kilomètres sont une
demeure provisoire, pour qui chaque pas est un nid, qui se déchire, qui se dissout, se défait,
ce peuple d'images, le bagage de mots que ton corps a laissé.

A chacun son rêve et sa vie. On voudrait dire ce qu'on a dans le coeur, et puis on s'aperçoit que l'air n'y est pas respirable. Alors on ferme toutes les portes, toutes les fenêtres, on dit bonjour à la fraicheur, au courant d'air qui passe entre les choses immobiles. On est à une lèvre du suicide. Et le sentiment de sa mort en fait partout pousser les fleurs étranges. Tout devient prétexte à une hypothèse, à une rêverie, où l'on met tout en jeu comme du revers d'une pièce, où l'on bat sa vie au hasard, si bien que c'est ce sentiment-là du concret qui vous ramène à la vie même, comme on voit sur la plage le naufragé rapporté par la marée.

On investit des bancs avec le poids de son malheur. L'ennui au soleil fait un équinoxe parfait. Puis se levant on se retourne, pas un visage au regard ne se ramène, pas la lueur d'une ombre connue. Je cherche quelque chose qui justifierait cet étrange goût de chute, cette marche qui sous le pas se dérobe, ces mains qui s'agrippent au vent, il me court entre les
doigts un ruban d'abandon, je trouve au pied de tes yeux un coffre dont je ne sais plus la clef, je prend habitude de ce cirque itinérant, mais il n'est pas assez pour peupler la solitude de toutes les images qui se promènent dans le langage,
qui flânent sur ses quais, qui baillent dans ses cafés, et rapidement on se heurte aux digues de soi-même, on se découvre dans le corps son propre écueil, on fait de la frénésie à se détruire un étrange aliment, l'on est un ventre qui se vide à mesure qu'il se remplit, on voudrait se déchirer comme une feuille de papier, vivre comme des petits bouts de trucs lancés au hasard... au bon gré du hasard... il n'y a pas d'hasard sinon celui que la beauté fait. Tout hasard est une beauté abandonnée.
Comme les filles qui se retournent au milieu des poésies.

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Message  Calvin Dim 20 Nov 2011 - 16:32

Oups. J'aurais du prévisualiser.

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Message  Invité Dim 20 Nov 2011 - 17:59

Comment dois-je lire vos extraits, à partir d'où ? Je regrette que vous jetiez vos images telles quelles, sans considération pour le lecteur. Il en ressort souvent une indéniable poésie, mais le tout est tellement précipité, réarrangé… Je suis agacé par ce que je perçois comme un déversement égotiste, qui oublie complètement qu'au-delà du plaisir de l'écriture, il y a un destinataire. Par exemple, vous n'avez même pas pris la peine de corriger les erreurs que je vous avais indiquées la dernière fois, en vous contentant de les dupliquer à la hâte. Cela ne produit pas une forte impression…

J'ai pris la peine de débroussailler, rapidement à mon tour, les quelques fautes qui m'ont sauté aux yeux. Pas sûr que je m'y reprenne à l'avenir.
- « A tous les coins » : « À » (Alt + 0192) ;
- « aux objets leurs formes leurs couleurs. » : normalement, virgule après « formes », mais je comprends l'effet stylistique et le trouve expressif ;
- « A l'effleurer » : « À » ;
- « on voyer le divan » : « on voyait » ;
- « Tu as fouillée » : « fouillé » ;
- « pour y trouver la peur » : point ;
- « Tu faisais des mouvement brusques » : « des mouvements » ;
- « tout un pays de malentendu » : « malentendus » ;
- « Je me suis sentit » : « senti » ;
- « Où on entre pas. » : « on n'entre pas » (le « ne » n'est pas facultatif !) ;
- « la colère toute entière » : « tout entière » (« tout » est ici adverbe et est de fait invariable, sauf devant un adjectif féminin commençant par une consonne ou un h aspiré) ;
- « A chacun son rêve » : « À » ;
- « sur le coeur » : « cœur » (ligature du « œ », Alt + 0156) ;
- « quelque chose qui justifirait » : « justifierait » ;
- « je prend habitude » : « prends » ;
- « qui baillent dans ses cafés » : « bâillent » ;
- « aux digue de soi-même » : « aux digues » ;
- « au hasard... au bon gré du hasard... » : ce ne sont pas les bons points de suspension « … » (Alt + 0133) ;
- « battement de coeur » : « cœur » ;
- « à l'oeil un cerne » : « œil » ;
- « Tu te confond » : « confonds » ;
- « d'une cendre chaude » : point, même si je peux comprendre l'effet voulu ;
- « qui vous dévale la joue » : « dévale sur » ;
- « d'une seule boite de crayons » : « boîte » ;
- « sur les clichés noir et blanc » : « noirs et blancs » ;
- « comme pellicule de souvenir » : plutôt « souvenirs » ;
[Je reprends ma lecture à partir de « J'ai arpenté ».]
- « tout l'ordre qu'a permit » : « permis » ;
- « une ombre différente... » : mauvais points de suspension ;
- « je ne me souvenais » : majuscule ;
- « qu'il est suivit. » : « suivi » ;
- « J'allume une cigarette » : point ;
- « comme si c'était des excuses. » : normalement, « c'étaient » ; votre graphie est néanmoins acceptée ;
- « ce qu'à dérangé la nuit » : « ce qu'a dérangé » ;
- « J'ai prétendu de ne rien comprendre. » : pas de « de » ;
- « bien moins frais qu'une marrée. » : « marée », comme je vous l'expliquais déjà dans votre dernier texte ;
- « ... et c'est » : mauvais points de suspension ;
- « d'une faiblesse qu'on avait pas soupçonné » : « qu'on n'avait pas soupçonnée » ;
- « tue malgré soi... » : mauvais points de suspension ;
- « Et toujours n'en rien comprendre. » : « n'y rien comprendre » ;
- « qui fait de votre coeur » : ligature ;
- « qui fait de votre coeur un coeur à jeter aux chiens. » : ligatures (bordel) ;
- « A tous les coins » : « À » ;
Retour à un fragment précédent, ensuite… Je ne relis pas. Et effectivement, je vous le confirme, vous auriez pu prévisualiser.

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Message  Invité Dim 20 Nov 2011 - 19:49

Je rejoins Alex. Il y a des pépites mais le côté vraiment trop spontané, brouillon n'encourage pas à poursuivre la lecture. Pour mémoire : Notre conception : écrire, ce n’est pas balancer des mots à la volée pour son seul plaisir, [...] l’important n’est pas l’auteur mais bien le lecteur, destination ultime de nos écrits, la fin du voyage, celui d’un sentiment, d’une idée, d’un concept… Respectons les caboches dans lesquelles nous résiderons un temps, ne soyons pas moins exigeants ou attentifs que ne le sont les lecteurs.
Ou encore : Nous demandons à chacun d’apporter le maximum de soin à ce qu’il publie, sur le fond comme sur la forme. Nous ne publions pas les textes inachevés, les écrits commis à la va-vite,.
Voilà, en ce qui me concerne, j'ai tout dit.

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Message  Calvin Lun 21 Nov 2011 - 1:29

Merci pour vos commentaires.

Pour vous remercier de vos efforts voici une image fleurie :

Les boites de nuit à Saint-Trop Coquelicot_champ

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Message  Janis Lun 21 Nov 2011 - 14:32

en même temps, Louis! dit "oups"

c'est vrai les fautes c'est quand même perturbant, ça coupe un peu le truc
mais je ne boude pas mon plaisir à lire cette prose, proche de la loghorrée parfois, mais souvent quand même fort belle.
C'est le problème avec les gens qui ont des facilités : y bossent pas !
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Message  Invité Lun 21 Nov 2011 - 14:50

En même temps Louis! n'en est pas à son coup d'essai côté rappel des règles élémentaires du site... Et pourtant, ce que je j'y crois à son talent ! Depuis le tout début...

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Message  Janis Lun 21 Nov 2011 - 14:57

oui j'ai cru comprendre ! (qu'il abuse joyeusement)
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