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Mon éléphant d'Afrique

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Hadé
Harmony
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Message  Harmony Mer 11 Jan 2012 - 13:45

Mon éléphant d’Afrique


J’analyse mon plafond blanc, ses petites tâches, la bavure de peinture dans le coin droit, le lustre, et une larme coule. A force je ne sais plus trop pourquoi mes joues sont si salées et mes yeux rougis. Chaque soir c’est la même chose. Je m’allonge, je réfléchis, je pleure. Mes larmes sont ma rage, ma tristesse, mon amour, ma folie, mes souvenirs. Mais au final ont-elles encore vraiment de l’importance ?
Je ne sais plus vraiment où j’en suis. La vie est bête, je réfléchis trop. Pourquoi ne pas juste vivre, comme ça, sans ne jamais se soucier de rien ? J’aimerais. Mais je ne le peux pas, je ne le peux plus. C’est comme ça. Je dois réfléchir avant chaque acte, chaque mot, chaque souffle.
Et je pleure tout en me disant que la vie prendra fin. Et ça me fait mal parce que je n’en ai pas envie, je me plais bien finalement dans ce monde tant critiqué.
Demain, peut être que je mourrais bêtement en oubliant de regarder de chaque côté de la route avant de traverser.
Mardi, peut être que l’on fêtera mon enterrement.
Je n’aurais jamais d’enfant, de mari, de petits enfants, de neveux, de nièce, rien, personne. Juste une inscription « partie trop tôt » et des fleurs fanées sur ma tombe.
A quoi ça rime ?
Je n’ai pas vécu, pas même quelque chose qui vaudrait vraiment le coup de s’en vanter.
Je n’ai pas encore hurlé tout en haut de l’Himalaya, je n’ai pas chanté en duo avec la reine d’Angleterre, je n’ai pas signé d’autographe à un passant dans la rue, je n’ai pas dessiné de moustache sur la Joconde, je n’ai pas joué à la balle avec un éléphant en Afrique, je n’ai vraiment rien fait de ma vie dont je pourrais me satisfaire avant d’en finir une bonne fois pour toute, mais tout ça tout le monde s’en fout.
Je souris quand on me demande comment ça va. De toute manière si je vous disais que non ça ne va pas, qu’est-ce que ça changerait. Non franchement ça va. C’est juste que là, maintenant, tout de suite, à cet instant précis, je me sens mal et j’ai mal. Ca passera, ça passe toujours. Parce que la vie c’est ça non ?
Mais non, je vivrai une belle vie, j’aurai deux enfants, une fille, un garçon, Elina et Ethan. De beaux prénoms non ? Je ne me marierai pas, mais je vivrai heureuse avec l’homme de ma vie. On partira en voyage, il me fera des cadeaux, me dira qu’il m’aime. Puis un jour il me quittera et là je me dirai que j’avais bien fait de ne pas me marier avec, inconsciemment je le savais, le divorce aurait été évident. Je me retrouverai seule avec deux enfants à charge, ça sera dur, je serai mal, je pleurerai, mais mes enfants seront ma force et je m’en sortirai.
Pourquoi pas ?
Hein ? Pourquoi pas ?
Parce que je vais crever demain, écrasée pas une voiture. Vous suivez ?
Ce sera une voiture blanche, je ne peux pas vous dire la marque je ne m’y connais pas. Mais le conducteur sera un homme, la quarantaine, les cheveux grisonnants, les yeux marrons, il pleurera, peut être une des rares fois de sa vie qu’il dévoilera au monde son mal être. Il pensera à tous les soucis que ça va lui procurer et qui vont le miner, et puis quand il verra mes parents il s’en voudra, parce que lui aussi il a des enfants, il comprendra leur douleur. Le pauvre.
Vous ne trouvez pas ça triste ?
Qui sera le plus en peine au final ? Moi, au fond de ma tombe ? Ou lui rongé par des remords, n’arrivant plus à fermer un œil la nuit ?
J’ai peur, vraiment. Je ne veux pas qu’il souffre. Alors, demain, je ferai attention en traversant la route, je penserai à lui qui ne mérite pas de souffrir, à mes parents mais aussi à moi qui n’ai rien vécu.
Oui demain je ferai attention en traversant la route pour me rendre au cimetière, mettre une fleur sur la tombe qu’on a déjà construite pour moi. J’ai insisté, j’ai dit à ma mère qu’il fallait prévoir, elle a d’abord crié que c’était du grand n’importe quoi, puis elle a pleuré en me serrant fort dans ses bras et elle a craqué. On a été la choisir ensemble, mon nouveau lit en quelques sortes. Il est en marbre, il est beau, j’y serai installée confortablement, bientôt. Une question de semaines. J’attends. Je fatigue. Ca va venir. J’ai presque hâte. Parce que j’ai mal partout, que je suis vraiment fatiguée, et que la vie malgré tous mes espoirs impossibles n’a plus rien à m’offrir. Je veux voir l’après, voir ce qu’on me réserve, parce que je suis persuadée que si on me retire cette vie là, c’est pour m’en offrir une meilleure. Peut être que je vais me réincarner … J’aimerais devenir un chat, parce qu’ils ont une vie tranquille. Ou alors un cocotier parce qu’ils poussent au soleil. Non, je veux simplement devenir une étoile pour pouvoir veiller sur maman peu importe où qu’elle soit.
Alors, je regarde mon plafond, je le fixe, et maman est là à côté de moi comme chaque soir maintenant, elle me tient la main au cas où ce serait cette nuit, cette nuit que je m’envole. Je pleure parce qu’elle m’aime, que je l’aime et qu’on va être séparé. J’ai quand même un peu peur, je ne veux pas la laisser. Je sais qu’elle va pleurer et ça je ne le veux pas. Je le lui ai dit, elle m’a pris dans ses bras et a posé un long baiser sur mes cheveux tout en masquant cette vilaine larme qui brisait son doux visage.
Alors demain, avant de traverser la route je ferai attention.
Demain, je déposerai une fleur sur ma tombe.
Demain, je prendrai soin de maman.
Mais demain, je partirai parce que je veux au moins jouer à la balle avec un éléphant d’Afrique.

J’ai regardé des deux côtés avant de traverser, j’ai déposé une jolie tulipe du jardin, j’ai écrit une jolie lettre à maman et je suis partie, sans me retourner.

« Maman,
Je pars avant que la maladie ne m’emporte définitivement. Parce que je n’en peux plus de me laisser mourir à la maison. Je sais que ce départ pourra te sembler égoïste mais je veux vraiment vivre comme il se doit mes deniers jours. Ne crois pas que les passer à tes côtés étaient une punition mais je veux pouvoir sentir l’air frais sur mon visage, croiser des inconnus dans la rue, sortir de mon quotidien fatiguant et profiter. Peut être que maintenant tu ne comprends pas, mais dans quelques temps je suis sûre que tu me pardonneras.
N’oublie surtout pas que je t’aime et que serai toujours là à veiller sur toi.
J’espère te retrouver, mais dans quelques longues années... »

Dans un sac j’avais rapidement fourré mon porte feuille détenteur de mes petites économies, une carte de la ville, quelques affaires de rechange et je me suis envolée vers l’aventure. Je n’ai pas cherché à aller très loin en fait. Cela pour plusieurs raisons : je n’avais pas les moyens, je ne savais pas où aller, et je ne voulais pas aller loin. Ma destination était déjà toute choisie depuis bien longtemps : le zoo. Quand je disais vouloir jouer à la balle avec un éléphant d’Afrique je ne rigolais pas, ce n’était pas une image. Non, je suis allée au zoo, je suis entrée par effraction dans le parc des éléphants, j’ai sorti une petite balle de mon sac et l’ai lancé à un éléphant. Il ne me l’a pas renvoyé, il n’a même pas tourné la tête vers moi. Quelle ne fut pas ma déception devant ce flagrant manque d’intérêt à mon égard. Evidemment j’aurais pu m’approcher davantage de l’animal, le toucher pour lui montrer que j’étais là et que je voulais jouer avec lui, mais même s’il ne me restait que peu de temps à vivre, ce temps là était précieux et je ne voulais pas le perdre à me faire écraser par un éléphant. Je suis alors partie, déçue.
Je me suis retrouvée assise sur un banc me demandant ce que je faisais là exactement. Perdre mon temps, déprimer, regretter, tant de choses que je ne pouvais plus me permettre de faire. Alors j’ai repris mon chemin. J’ai marché dans le flou, sans destination précise en tête. J’ai juste pris mon temps pour admirer le monde, les vitrines des magasins, les visages fatigués des passants, les passages pour piétons, les tags sur les murs, les chewing-gums collés au sol, les voitures qui grognent, le stress et toutes ces belles choses qui enjolivent notre quotidien.
Mon petit voyage a duré une bonne heure, le temps que je me rende compte que je tournais en rond. Les grandes rues n’avaient plus aucun secret pour moi, et pourtant je n’y avais presque jamais mis les pieds. Depuis que j’avais appris que j’étais gravement malade, maman ne me laissait presque plus sortir seule. Alors le monde du dehors me cachait encore de nombreux secrets, tout ce que j’en connaissais étaient les hôpitaux avec les mourants, les gens pressés et tristes, la mort. Jusqu’ici j’avais tout vécu par procuration, ma première histoire d’amour avait été avec l’acteur de mon film préféré, ma plus grande déception résidait dans la défaite de la France en finale durant la coupe du monde de football de 2006, tout ce que j’avais appris je l’avais lu, ma meilleure amie était une correspondante chinoise… J’avais eu une vie vraiment pas comme les autres, et quand aujourd’hui je me plongeais dans la vie de Monsieur et Madame Tout le monde c’était bizarre, vraiment bien mais bizarre. Et c’est en repensant à la vie que je n’avais pas vécu que je me suis rendue compte de l’horreur de la chose. J’ai pu analyser tout ce que j’avais raté et que jamais je ne vivrai. Les flirts, les amitiés, les disputes, la jalousie, les fous rires, l’amour, le mariage, les enfants, le divorce, la vieillesse… Ca a fait couler une larme mais étrangement rien de plus parce qu’au final je ne savais pas vraiment ce que la mort me réservait. Qui peut dire sans se tromper que la mort est quelque chose de mal ? La vie n'est-elle pas un amuse bouche de ce que la mort amène ?
Alors j’ai juste voulu profiter de mes derniers instants. J’ai pris un bus au hasard et je me suis laissée promener pour admirer le monde. Et puis je suis rentrée à la maison où j’ai retrouvée maman endolorie. Je l’ai serrée dans mes bras comme si c’était elle la personne malade, je lui ai transmise la force qui me restait pour qu’elle se relève et lui ai soufflée mon dernier je t’aime maman.

Harmony

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Message  Hadé Mer 11 Jan 2012 - 13:56

C'est particulièrement émouvant. Y' aura-t-il une suite à ce texte ? Ce serait pas mal d'en faire une, mais je ne parle qu'au conditionnel, rassure-toi.

J'ai bien aimé cette histoire. S'il n'y a pas de suite, rassure-toi, ce sera tout aussi bien. Mais une suite justifierait le titre. Allez, bonne continuation et à plus tard !
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Message  Chako Noir Mer 11 Jan 2012 - 15:01

Bon que je le précise par avance : l'auto-fiction, à de rares exceptions près, c'est pas du tout ma tasse de thé.
Quelques maladresses par ci par là, mais dans l'ensemble tu as une écriture agréable à lire (orthographe comprise). Tu invectives un peu trop le lecteur : autant les "Pourquoi pas ?" ne posent pas problème, autant le "Vous ne trouvez pas ça triste ?" m'a un peu gêné, je n'aime pas que l'auteur me dise aussi explicitement quelle émotion il souhaite susciter - à moins de ne se prendre totalement pas au sérieux. L'ensemble dégage des petites notes émouvantes bien qu'on s'y perde parfois un peu, j'attends de te lire sur un autre genre.
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Message  Invité Mer 11 Jan 2012 - 15:11

C'es très très long, ça tourne pas mal en rond, l'action (la visite à l'éléphant) a vraiment du mal à se mettre en place. Une fois qu'on a compris le mal être de la narratrice, ce n'est plus la peine d'en faire des tonnes supplémentaires. Il faut évoquer plutôt que décrire, expliquer ; couper dans le gras pour rendre ce texte plus incisif, percutant. Moins larmoyant aussi. Qu'il donne envie de continuer la lecture (j'avoue avoir été à deux doigts d'arrêter, et pas qu'une fois).

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Message  Invité Mer 11 Jan 2012 - 18:12

Ca commence à devenir difficile de faire pleurer Margot, parce qu'il n'y a pas beaucoup de Margot ici d'abord, et puis surtout parce que des tas d'écrivains s'y sont frottés avec un certain succès, donc le créneau est très encombré.
Ok, c'est très dur d'être malade et condamnée quand on n'a rien vécu. Quand on a vécu quelque chose aussi d'ailleurs. La vie est une chose terriblement cruelle, parce qu'on n'en sort jamais vivant...
A part ça, l'écriture est assez agréable, peut-être un peu trop familière, mais je pense que c'est le genre de texte qui veut ça.
Il y a une ou deux bonnes idées ( le plafond, l'éléphant indifférent) et... beaucoup trop de délayage.
Mais un premier texte qu'on poste n'est pas forcément représentatif. Je suppose que tu as d'autres choses en réserve et j'attends donc de voir.

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Message  roro Mer 11 Jan 2012 - 18:29

L'écriture est facile, l'émotion passe, on est pris par le texte, ça se voit que l'auteur a des ressources, c'est un vrai plaisir, les phrases sont bien construites. Le texte n'est pas abouti cependant en raison d'une certaine longueur, des répétitions, avec parfois une envie de forcer le lecteur à éprouver certaines émotions. Laisser peut-être plus de liberté, de silences, de suggestions?

En tout cas, j'ai l'impression que l'auteur a plus d'une corde à son arc, en raison de la fluidité du texte, quelque chose de coulant, de non forcé, qui rend le tout agréable...
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Message  Invité Mer 11 Jan 2012 - 21:45

Je vous propose de revenir sur quelques questions de forme :
– « ses petites tâches » : « taches » ;
– « A force » : « À » (Alt + 0192) ;
– « Mais au final » : l'expression « au final » est fort déconseillée dans un texte qui se veut littéraire… Elle est décriée des puristes ;
– « peut être que » : « peut-être » (trait d'union) ;
– « peut être (sic) que je mourrais » : « mourrai » (futur et non conditionnel) ;
– « peut être que l’on fêtera » : « peut-être », donc ;
– « Je n’aurais jamais » : « aurai » (futur et non conditionnel) ;
– « jamais d’enfant » : « enfants » (vu que vous écrivez « petits enfants » – sic –) ;
– « de petits enfants » : « petits-enfants » (trait d'union) ; cela change tout ! ;
– « de neveux, de nièce » : pourquoi ces différences d'accord ? ;
– « partie trop » : majuscule à « partie » ;
– « A quoi » : « À » ;
– « une bonne fois pour toute » : « toutes » ;
– « qu’est-ce que ça changerait. » : point d'interrogation et non simple point ;
– « Ca passera » : « Ça » (Alt + 0199) ;
– « Parce que la vie c’est ça non ? » : virgule après « ça » ;
– « De beaux prénoms non ? » : virgule après « prénoms » ;
– « écrasée pas une voiture » : « par »
– « Vous suivez ? » : pas vraiment ;
– « je ne peux pas vous dire la marque je ne m’y » : virgule après « marque » ;
– « les yeux marrons » : « marron » ;
– « peut être une des rares fois » : « peut-être » ;
– « son mal être » : « mal-être » (trait d'union) ;
– « Ou lui rongé » : virgule après « lui » ;
– « n’arrivant plus à fermer un œil » : « à fermer l'œil » ;
– « en quelques sortes » : « quelque sorte » ;
– « Ca va venir » : « Ça » ;
– « on me retire cette vie là » : « vie-là » (trait d'union) ;
– « Peut être que je vais » : « peut-être » (trait d'union) ;
– « me réincarner … » : pas d'espace avant les points de suspension ;
– « peu importe où qu’elle soit. » : syntaxe incorrecte ;
– « qu’on va être séparé » : « séparées »
– « avant de traverser la route je ferai » : virgule après « route » ;
– « mes deniers jours » : « derniers » ;
– « Ne crois pas que les passer à tes côtés étaient une punition » : « était » ;
– « de mon quotidien fatiguant » : « fatigant » ;
– « mais dans quelques temps » : « quelque temps » ;
– « et que serai » : manque l'article « je » ;
– « quelques longues années... » : ce ne sont pas les véritables points de suspension « … » (Alt + 0133) ;
– « rapidement fourré mon porte feuille » : « portefeuille » ;
– « un éléphant d’Afrique je ne rigolais » : virgule après « Afrique » ;
– « et l’ai lancé à » : « lancée » ;
– « Il ne me l’a pas renvoyé » : « renvoyée » ;
– « Evidemment j’aurais pu » : « Évidemment » (accent sur la majuscule) ;
– « ce temps là était précieux » : « temps-là » (trait d'union) ;
– « tout ce que j’en connaissais étaient » : « était » ;
– « de Monsieur et Madame Tout le monde » : « monsieur » et « madame » (minuscule) ;
– « la vie que je n’avais pas vécu » : « vécue » ;
– « je me suis rendue compte » : « rendu » (c'est un point de grammaire très insidieux, il faut l'admettre !) ;
– « Ca a fait couler » : « Ça » ;
– « parce qu’au final » : non à « au final » ! ;
– « un amuse bouche » : « amuse-bouche » (trait d'union) ;
– « je me suis laissée promener » : « laissé » ;
– « où j’ai retrouvée maman » : « retrouvé » ;
– « je lui ai transmise » : « transmis » ;
– « et lui ai soufflée » : « soufflé ».

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Message  elea Ven 13 Jan 2012 - 18:36

L’écriture est agréable et j’ai apprécié certains passages (par exemple la liste des choses un peu farfelues ou originales à faire avant de partir).
Sinon je rejoins d’autres commentaires : il faudrait faire plus concis et plus en non-dits pour faire ressortir de l’émotion et laisser de la place au lecteur pour l'éprouver seul.
Bienvenue.

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Message  midnightrambler Ven 13 Jan 2012 - 23:14

At the age of thirty-seven
She realized she'd never ride
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With the warm wind in her hair ...

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