Risorgiale
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Pascal-Claude Perrault
Marvejols
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Risorgiale
Sur une toile de Michel Feugère et avec son amicale autorisation
pour voir la toile entière et non inscrite :
http://michelfeugere.e-monsite.com/album/categorie-par-defaut/12 (avant-dernière en bas)
pour voir la toile entière et non inscrite :
http://michelfeugere.e-monsite.com/album/categorie-par-defaut/12 (avant-dernière en bas)
Risorgiale
Quelle est la signification du titre ?
Histoire d’eau, c’est mignon, avec ce décor du sud finement planté, bien…
Mais… C’est le moment des hostilités :
Né dans la Gard, grand-père l’avait emmenée à Aniane
Né dans le Gard m’embrouille la compréhension => grand-père direct et d’entrée de jeu me conviendrait mieux. Si tu veux absolument dire qu’il est né dans le Gard, trouve un autre endroit du texte.
Tss tss, on mène et on emmène les êtres vivants en capacité d’être menés
Les objets, quant à eux, on les porte, les apporte, les transporte
de volets de bois qui, cabochards, ne voulaient => tu m’as vu ces virgules que je te rajoute ?
qu’une vive raie de lumière
Auriez-vous donc, cher Marvejols, l’âme d’un pêcheur éclairé ?
« Parole de coiffeur : il est interdit de descendre avant la raie. »
Pierre Desproges
Un rai de lumière plutôt, non ?
Tu l’as fait exprès le coup de la raie hein ? Ça ne colle pas (pour moi en tout cas)
Un jour une eau de rosée perla puis s’enfuit avec constance de la roche
C’est qui Constance de la Roche ? Une copine ? Tu me la présenteras ?
=> Un jour, une eau de rosée perla de la roche, et s’enfuit avec constance vaut peut-être mieux, mais j’ai toujours envie de connaître Constance (surtout si on peut faire quelque chose avec)
À partir de accrochant jusqu’à s’évanouir, je n’ai rien à dire ; la succession des verbes est très intéressante et donne de la force au texte.
Ensuite, je n’ai pas bien capté ce qu’est le midi d’Hiroshima (est-ce une expression ?)
J’aime beaucoup Fragile est la douceur des jours.
Amicalement
Histoire d’eau, c’est mignon, avec ce décor du sud finement planté, bien…
Mais… C’est le moment des hostilités :
Né dans la Gard, grand-père l’avait emmenée à Aniane
Né dans le Gard m’embrouille la compréhension => grand-père direct et d’entrée de jeu me conviendrait mieux. Si tu veux absolument dire qu’il est né dans le Gard, trouve un autre endroit du texte.
Tss tss, on mène et on emmène les êtres vivants en capacité d’être menés
Les objets, quant à eux, on les porte, les apporte, les transporte
de volets de bois qui, cabochards, ne voulaient => tu m’as vu ces virgules que je te rajoute ?
qu’une vive raie de lumière
Auriez-vous donc, cher Marvejols, l’âme d’un pêcheur éclairé ?
« Parole de coiffeur : il est interdit de descendre avant la raie. »
Pierre Desproges
Un rai de lumière plutôt, non ?
Tu l’as fait exprès le coup de la raie hein ? Ça ne colle pas (pour moi en tout cas)
Un jour une eau de rosée perla puis s’enfuit avec constance de la roche
C’est qui Constance de la Roche ? Une copine ? Tu me la présenteras ?
=> Un jour, une eau de rosée perla de la roche, et s’enfuit avec constance vaut peut-être mieux, mais j’ai toujours envie de connaître Constance (surtout si on peut faire quelque chose avec)
À partir de accrochant jusqu’à s’évanouir, je n’ai rien à dire ; la succession des verbes est très intéressante et donne de la force au texte.
Ensuite, je n’ai pas bien capté ce qu’est le midi d’Hiroshima (est-ce une expression ?)
J’aime beaucoup Fragile est la douceur des jours.
Amicalement
Pascal-Claude Perrault- Nombre de messages : 5422
Age : 63
Localisation : Paris, ah Paris, ses ponts, ses monuments et ses merdes de chiens !
Date d'inscription : 20/02/2012
Re: Risorgiale
C'est très beau.
Je préfère la poésie en prose aux vers libres (souvent inutilement maniérés)
Ici, l'écriture est fluide, imagée, sans artifice.
Elle va bien avec la peinture de Feugère
Bravo
Je préfère la poésie en prose aux vers libres (souvent inutilement maniérés)
Ici, l'écriture est fluide, imagée, sans artifice.
Elle va bien avec la peinture de Feugère
Bravo
Invité- Invité
Re: Risorgiale
Je me demande aussi ce que signifie le titre (je n'ai pas trouvé sur google, qui me renvoie à votre poème.
"Susurrait sans un bruit" me semble étrange. "l'eau de rosée", j'ai aimé !
J'aime beaucoup les écrits sur image, c'est intéressant de voir les liens ou les libertés prises par rapport à la toile. On lit et on regarde différemment, alors.
"Susurrait sans un bruit" me semble étrange. "l'eau de rosée", j'ai aimé !
J'aime beaucoup les écrits sur image, c'est intéressant de voir les liens ou les libertés prises par rapport à la toile. On lit et on regarde différemment, alors.
Invité- Invité
Re: Risorgiale
Difficile de passer sérieusement après Pascal
Pour la 2° fois que je vous lis dans ce genre, je me suis régalé de la mise en valeur de la toile par votre poème.
Il me permet de la voir à votre façon qui devient mienne
j'aurais peut-être eu, seul, une toute autre émotion, une toute autre interprétation, mais l'eau de rosée se jouant du trait de lumière m'emporte.
Hiroshima mon amour, quand tout explose de la toile, vous ne pouviez mieux dire
Je vois dans "Risorgiale" une coulée de lave
ou
"Risorgiale"
un rideau d'or qui chiale
ou
une rivière d'orgie pâle
ou mieux
une Risorgiale
Pour la 2° fois que je vous lis dans ce genre, je me suis régalé de la mise en valeur de la toile par votre poème.
Il me permet de la voir à votre façon qui devient mienne
j'aurais peut-être eu, seul, une toute autre émotion, une toute autre interprétation, mais l'eau de rosée se jouant du trait de lumière m'emporte.
Hiroshima mon amour, quand tout explose de la toile, vous ne pouviez mieux dire
Je vois dans "Risorgiale" une coulée de lave
ou
"Risorgiale"
un rideau d'or qui chiale
ou
une rivière d'orgie pâle
ou mieux
une Risorgiale
Re: Risorgiale
marve,
j'ai lu plusieurs fois ton texte, et je n'arrivais pas à exprimer ce qui .... me géne, m'embête, me dérange.... bref, me chiffonnette
ce matin, je relis
et euréka, je sais.
.... Né dans le gard, grand-père l'avait emmené à Aniane.
si je ne lis pas cette ligne, j'apprécie ton texte
si je la lis, je ne comprends plus rien.
je reste sur cette idée de...né dans le gard...j'attends de savoir pourquoi tu m'as emmené sur ce chemin là... et donc, je zappe l'intérêt de cette roche lumineuse....
Amitié
j'ai lu plusieurs fois ton texte, et je n'arrivais pas à exprimer ce qui .... me géne, m'embête, me dérange.... bref, me chiffonnette
ce matin, je relis
et euréka, je sais.
.... Né dans le gard, grand-père l'avait emmené à Aniane.
si je ne lis pas cette ligne, j'apprécie ton texte
si je la lis, je ne comprends plus rien.
je reste sur cette idée de...né dans le gard...j'attends de savoir pourquoi tu m'as emmené sur ce chemin là... et donc, je zappe l'intérêt de cette roche lumineuse....
Amitié
Risorgiale
Tout en appréciant ce poème, je n'acquiesce pas entièrement.
D'abord j'aime l'idée, l'intention, écrire à propos d'un tableau, écrire la descente d'une goutte d'eau sur une pierre. Et cette descente est assez bien suggérée.
Mais je me heurte au côté trop précieux, trop raffiné.
Le sujet m'expédie dans la préhistoire, dans les temps plus qu'antérieurs "La roche portait la fissure du temps". Puis le texte me ramène aux volets cabochards, et là je décroche:
Le frêle papillon, le voile léger et tremblant, la douce pénombre, la grâce effleurante...
Pardonnez moi, c'est si difficile d'écrire et si facile de critiquer. Et je devine combien ce poème a coûté de travail et d'attention. Ce n'est pas un poème écrit à la volée sous l'impulsion d'une émotion, mais nous prenons tous un risque en nous exposant sur le forum.
Le "midi d'Hiroshima" - pour les gens qui ne comprennent pas, peut s'entendre ainsi: l'émerveillement que provoque un phénomène naturel (pour moi ce matin, les cerisiers en fleurs) céde, craque, s'effondre au rappel de certains évènements.
Risorgiale: fait écho au risorgimento et à toute idée de renaissance.
En écho me revient:
"Quand l'ombre est rouge sous les roses
....
Prend garde à la douceur des choses"
D'abord j'aime l'idée, l'intention, écrire à propos d'un tableau, écrire la descente d'une goutte d'eau sur une pierre. Et cette descente est assez bien suggérée.
Mais je me heurte au côté trop précieux, trop raffiné.
Le sujet m'expédie dans la préhistoire, dans les temps plus qu'antérieurs "La roche portait la fissure du temps". Puis le texte me ramène aux volets cabochards, et là je décroche:
Le frêle papillon, le voile léger et tremblant, la douce pénombre, la grâce effleurante...
Pardonnez moi, c'est si difficile d'écrire et si facile de critiquer. Et je devine combien ce poème a coûté de travail et d'attention. Ce n'est pas un poème écrit à la volée sous l'impulsion d'une émotion, mais nous prenons tous un risque en nous exposant sur le forum.
Le "midi d'Hiroshima" - pour les gens qui ne comprennent pas, peut s'entendre ainsi: l'émerveillement que provoque un phénomène naturel (pour moi ce matin, les cerisiers en fleurs) céde, craque, s'effondre au rappel de certains évènements.
Risorgiale: fait écho au risorgimento et à toute idée de renaissance.
En écho me revient:
"Quand l'ombre est rouge sous les roses
....
Prend garde à la douceur des choses"
Annie- Nombre de messages : 1452
Age : 73
Date d'inscription : 07/07/2010
Re: Risorgiale
Risorgiale, ce n'était pas une devinette mais Annie a trouvé. Sorgere en italien (prononcer Sor...gèré) signifie "sourdre", sortir. Le Risorgimento de Mazzini et Garibaldi c'est la résurgence, la renaissance. Le suffixe en -iale pour indiquer la fête.
La fissure du temps: la notion de fissure accompagne automatiquement celle de roche, notamment en pays calcaire. Mais la fissure c'est aussi la fracture, presque invisible, que porte la roche. Une fissure comme trace du passé inscrite dans sa matière.
Le Midi d'Hiroshima: le midi c'est la verticale, le zénith. Comme la bombe qui éclate en l'aire au-dessus de la ville. Et le midi comme 3 heures après 9H, quand le drame est consommé. Quand le sang a coulé ou a séché instantanément, gâchant irrémédiablement à l'humanité sa joie et fragilisant toute douceur d'être, rendant nous jours coupables de cette immonde nuit...
La douceur des choses / ici des jours: je ne connaissais pas Paul-Jean Toulet et j'ai fabriqué cette expression par emprunt à Raphaelle Billet-doux dont le roman (prends garde à la douceur des choses) a été une des lumières de mes vingt ans (quelque chose comme le seul joint que j'aie fumé) tout en la croisant avec Nos nuits sont plus belles que vos jours de la même Raphaelle.
Non je n'ai pas travaillé 30 ni 200 heures pour ce texte. Cela m'arrive rarement: je travaille sur la fulgurance, l'inspiration. Le métier, le rabot, la gouge, la ciselure c'est pour mon Virgile ou mon Alalia (les trucs longs et chiants quoi, qui ne plaisent qu'à 3 décalés).
Et peut-être que j'aurais dû travailler un peu plus car en effet Papy du Gard semble poser un problème."Né dans le Gard, grand-père l'avait emmenée à Aniane". Je précise que Aniane c'est dans l'Hérault, ce qui créé (pour les géographes -mais moi je sais bien où est Commentry ou Nohant-Vic...-) une opposition: il y a une translation un peu comme pour une relique. Ou comme un trésor ou une pierre magique qu'on emporte chez soi et dont, sans trop y croire, on attend un miracle, un prodige. De toute façon on la protège, elle est trop belle (comme Marie) et on l'emmène, on la ravit. Mais je vois que j'ai trop voulu faire le malin en jouant de l'ambiguïté entre la grand-mère (Marie) et la pierre: la pierre prend nettement le dessus sur la suggestion de patrilocalité de la dame qu'elle symbolise aussi (ne serait-ce que par son féminin).
Pour raie, P-C P a tort : il devrait mettre le lien vers le TLFi sur écran (
La fissure du temps: la notion de fissure accompagne automatiquement celle de roche, notamment en pays calcaire. Mais la fissure c'est aussi la fracture, presque invisible, que porte la roche. Une fissure comme trace du passé inscrite dans sa matière.
Le Midi d'Hiroshima: le midi c'est la verticale, le zénith. Comme la bombe qui éclate en l'aire au-dessus de la ville. Et le midi comme 3 heures après 9H, quand le drame est consommé. Quand le sang a coulé ou a séché instantanément, gâchant irrémédiablement à l'humanité sa joie et fragilisant toute douceur d'être, rendant nous jours coupables de cette immonde nuit...
La douceur des choses / ici des jours: je ne connaissais pas Paul-Jean Toulet et j'ai fabriqué cette expression par emprunt à Raphaelle Billet-doux dont le roman (prends garde à la douceur des choses) a été une des lumières de mes vingt ans (quelque chose comme le seul joint que j'aie fumé) tout en la croisant avec Nos nuits sont plus belles que vos jours de la même Raphaelle.
Non je n'ai pas travaillé 30 ni 200 heures pour ce texte. Cela m'arrive rarement: je travaille sur la fulgurance, l'inspiration. Le métier, le rabot, la gouge, la ciselure c'est pour mon Virgile ou mon Alalia (les trucs longs et chiants quoi, qui ne plaisent qu'à 3 décalés).
Et peut-être que j'aurais dû travailler un peu plus car en effet Papy du Gard semble poser un problème."Né dans le Gard, grand-père l'avait emmenée à Aniane". Je précise que Aniane c'est dans l'Hérault, ce qui créé (pour les géographes -mais moi je sais bien où est Commentry ou Nohant-Vic...-) une opposition: il y a une translation un peu comme pour une relique. Ou comme un trésor ou une pierre magique qu'on emporte chez soi et dont, sans trop y croire, on attend un miracle, un prodige. De toute façon on la protège, elle est trop belle (comme Marie) et on l'emmène, on la ravit. Mais je vois que j'ai trop voulu faire le malin en jouant de l'ambiguïté entre la grand-mère (Marie) et la pierre: la pierre prend nettement le dessus sur la suggestion de patrilocalité de la dame qu'elle symbolise aussi (ne serait-ce que par son féminin).
Pour raie, P-C P a tort : il devrait mettre le lien vers le TLFi sur écran (
la tristesse est un horizon caché et nécessaire du bonheur
... Désolé, une malencontreuse manoeuvre m'a fait Envoyer au lieu de valider le lien. On reprend:
Pour raie, P-C P a tort : il devrait mettre le lien vers le TLFi sur écran (http://www.cnrtl.fr/definition/raie).
Pour le surplus d'adjectifs Annie a probablement raison, je me suis sans doute laissé aller. Mais votre listage serré de ces épithètes est un peu fallacieux car effleurant est par exemple bcp plus loin. Je voulais en effet, pour suggérer la grâce immobile, permanente, qui s'attache au filet d'eau, opposer un tourbillon de qualificatifs annonçant le flot des verbes qui traduisent cette fois son mouvement, sa fuite, sa fugace apparition avant sa rentrée dans le sol, mère des roches. Peut-être devrais-je n'en garder que deux...
Pour maître Prunier par le Gard alléché j'ajoute que le papet du Gard c'est aussi, au début, du proche pour annoncer, à la fin, le lointain d'Hiroshima. De la douceur et de la plénitude pour souligner du néant. L'eau nous mène de l'autre côté de la terre. La douceur de vivre (et quoi de meilleur que celle du Midi, bande de brumeux des champs et des villes...) souligne l'éphémère, la tristesse est un horizon caché et nécessaire du bonheur (ça c'est pour Alasmarquise). Comme ce mince filet, de vie, qui tel un papillon vit sa vibration puis un jour, sans qu'on sache, se teinte de rouge. Pour, l'instant d'après, avoir repris sa transparence.
Pour raie, P-C P a tort : il devrait mettre le lien vers le TLFi sur écran (http://www.cnrtl.fr/definition/raie).
Pour le surplus d'adjectifs Annie a probablement raison, je me suis sans doute laissé aller. Mais votre listage serré de ces épithètes est un peu fallacieux car effleurant est par exemple bcp plus loin. Je voulais en effet, pour suggérer la grâce immobile, permanente, qui s'attache au filet d'eau, opposer un tourbillon de qualificatifs annonçant le flot des verbes qui traduisent cette fois son mouvement, sa fuite, sa fugace apparition avant sa rentrée dans le sol, mère des roches. Peut-être devrais-je n'en garder que deux...
Pour maître Prunier par le Gard alléché j'ajoute que le papet du Gard c'est aussi, au début, du proche pour annoncer, à la fin, le lointain d'Hiroshima. De la douceur et de la plénitude pour souligner du néant. L'eau nous mène de l'autre côté de la terre. La douceur de vivre (et quoi de meilleur que celle du Midi, bande de brumeux des champs et des villes...) souligne l'éphémère, la tristesse est un horizon caché et nécessaire du bonheur (ça c'est pour Alasmarquise). Comme ce mince filet, de vie, qui tel un papillon vit sa vibration puis un jour, sans qu'on sache, se teinte de rouge. Pour, l'instant d'après, avoir repris sa transparence.
Re: Risorgiale
Merci vraiment beaucoup Marvejols pour votre explication de texte, pour dévoiler tout l'investissement personnel que vous y avez mis et pour nous présenter votre façon d'écrire
Je cois bien que c'est la première fois sur VE que, personnellement, je touche à la dimension de forum à partir d'un poème que j'ai commenté un peu à l'aveugle. Le mot pourrait donc bien de pas être totalement usurpé. Ailleurs que sur VE, il y a, oui, des explications d'auteurs sur leurs textes, mais cela reste quand même très rare
Je cois bien que c'est la première fois sur VE que, personnellement, je touche à la dimension de forum à partir d'un poème que j'ai commenté un peu à l'aveugle. Le mot pourrait donc bien de pas être totalement usurpé. Ailleurs que sur VE, il y a, oui, des explications d'auteurs sur leurs textes, mais cela reste quand même très rare
Re: Risorgiale
du moins selon mes fréquantationsDamy a écrit:Ailleurs que sur VE, il y a, oui, des explications d'auteurs sur leurs textes, mais cela reste quand même très rare
Risorgiale
Virgile ça va, mais c'est qui ou quoi Alalia? A part une ville de Corse...
Du Gard à l'Hérault, ça ne fait pas vraiment signe, mais ce n'est qu'un détail.
Du Gard à l'Hérault, ça ne fait pas vraiment signe, mais ce n'est qu'un détail.
Annie- Nombre de messages : 1452
Age : 73
Date d'inscription : 07/07/2010
Risorgiale
pardon, je viens de trouver Alalia, 1 et 2, je vais y aller voir.
Annie- Nombre de messages : 1452
Age : 73
Date d'inscription : 07/07/2010
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