Quelquepart, au loin...
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Quelquepart, au loin...
Bonsoir VE!
Ça fait longtemps que je n'ai pas posté ici, ah les études! Mais je suis de retour et avec un autre poème. J'en profite pour remercier (oui honte à moi je ne l'ai pas fait ) les membres qui ont pris la peine de commenter mon dernier poème que j'ai posté il n y a pas très longtemps.
Rues baignées de soleil fondant sur les toits hauts,
Accordées au taxi et aux cris virulents,
Les cars truffés de monde et la chaleur de l’eau,
Les nuits sont éblouies de ces feux ambulants !
Le soir au goût de rêve et aux mots trop lointains,
La ville rafraichie et vos rires soudains.
La brise qui chancelle au balcon des années,
L’été qui prend sa fin dans vos regards inquiets…
Des souvenirs boiteux, des notes décrochées
A l’harmonie de ceux qui sont partis crever
Que restera-t-il donc après ce vil carnage
Qui s’essouffle à passer sur l’Homme et sur les âges.
La froideur, la souffrance et la peur et l’errance
La vie se défile et la rage, silence !
Les bombes qui dansent, tournoient, elles broient !
Et les monstres lancés qui poursuivent leurs proies…
Je pense aux rues chéries, aux accueils chaleureux,
Les larmes s’insinuent entre deux vieux adieux,
Je pense au sang qui roule au travers de leurs bouches,
Cet embryon qui bat au rythme des cartouches...
Ça fait longtemps que je n'ai pas posté ici, ah les études! Mais je suis de retour et avec un autre poème. J'en profite pour remercier (oui honte à moi je ne l'ai pas fait ) les membres qui ont pris la peine de commenter mon dernier poème que j'ai posté il n y a pas très longtemps.
Rues baignées de soleil fondant sur les toits hauts,
Accordées au taxi et aux cris virulents,
Les cars truffés de monde et la chaleur de l’eau,
Les nuits sont éblouies de ces feux ambulants !
Le soir au goût de rêve et aux mots trop lointains,
La ville rafraichie et vos rires soudains.
La brise qui chancelle au balcon des années,
L’été qui prend sa fin dans vos regards inquiets…
Des souvenirs boiteux, des notes décrochées
A l’harmonie de ceux qui sont partis crever
Que restera-t-il donc après ce vil carnage
Qui s’essouffle à passer sur l’Homme et sur les âges.
La froideur, la souffrance et la peur et l’errance
La vie se défile et la rage, silence !
Les bombes qui dansent, tournoient, elles broient !
Et les monstres lancés qui poursuivent leurs proies…
Je pense aux rues chéries, aux accueils chaleureux,
Les larmes s’insinuent entre deux vieux adieux,
Je pense au sang qui roule au travers de leurs bouches,
Cet embryon qui bat au rythme des cartouches...
nini031- Nombre de messages : 87
Age : 30
Localisation : France
Date d'inscription : 14/07/2009
Re: Quelquepart, au loin...
Oups, la modération, pouvez-vous corriger l'erreur au troisième vers "chancèle " au lieu de "chancelle" et par la même occasion S3V1 : "notes" au lieu de "rimes" =X
Merci
Merci
nini031- Nombre de messages : 87
Age : 30
Localisation : France
Date d'inscription : 14/07/2009
Re: Quelquepart, au loin...
nini031 a écrit:
Rues baignées de soleil fondant sur les toits hauts,
Accordées au taxi et aux cris virulents,
Les cars truffés de monde et la chaleur de l’eau,...................l'eau en bouteille ? l'eau des moteurs?? l'eau de la seine...????
Les nuits sont éblouies de ces feux ambulants !
Le soir au goût de rêve et aux mots trop lointains,
La ville rafraichie et vos rires soudains.
La brise qui chancelle au balcon des années,
L’été qui prend sa fin dans vos regards inquiets…
Des souvenirs boiteux, des notes décrochées
A l’harmonie de ceux qui sont partis crever
Que restera-t-il donc après ce vil carnage..........................oui si on m'écrit avant, par exemple: c'est la guerre aujourd'hui... sinon trop abrupte dans le sens du texte, d'après moije................
Qui s’essouffle à passer sur l’Homme et sur les âges.
La froideur, la souffrance et la peur et l’errance
La vie se défile et la rage, silence !
Les bombes qui dansent, tournoient, elles broient !
Et les monstres lancés qui poursuivent leurs proies…
Je pense aux rues chéries, aux accueils chaleureux,
Les larmes s’insinuent entre deux vieux adieux,
Je pense au sang qui roule au travers de leurs bouches,
Cet embryon qui bat au rythme des cartouches...
oui si l'élément de guerre ou de guerrilla ou de révolution...etc... apparaît pour amener la deuxième partie, sinon, on zappe et on ne comprend que dalle...
j'espère ne pas vous blesser par mes remarques,
amitié
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