Une vie
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Manon Lunalice
michel
6 participants
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Une vie
Comme il y a
dans le trajet
quelque chose
qui
ne préexiste pas
au voyage,
il y a
dans le mouvement
quelque chose
qui ne se réduit pas
à l’espace parcouru.
Comme il y a
dans le mouvement de la vie
quelque chose
qui se relance, à l’infini,
il y a
dans le mouvement de l’infini
quelque chose comme
l’immanence
d’une infinité
de Vie.
Car comme
il y a
une immanence
de l’infini
dans le mouvement,
il y a
dans le Phoenix autodafé
quelque chose
qui ne cesse pas
de renaître de ses cendres.
Un jour
j’ai dis adieu
pauvre de moi.
Et depuis je vis
une vie
dans un mouvement
infini.
dans le trajet
quelque chose
qui
ne préexiste pas
au voyage,
il y a
dans le mouvement
quelque chose
qui ne se réduit pas
à l’espace parcouru.
Comme il y a
dans le mouvement de la vie
quelque chose
qui se relance, à l’infini,
il y a
dans le mouvement de l’infini
quelque chose comme
l’immanence
d’une infinité
de Vie.
Car comme
il y a
une immanence
de l’infini
dans le mouvement,
il y a
dans le Phoenix autodafé
quelque chose
qui ne cesse pas
de renaître de ses cendres.
Un jour
j’ai dis adieu
pauvre de moi.
Et depuis je vis
une vie
dans un mouvement
infini.
michel- Nombre de messages : 124
Age : 32
Localisation : Nowhere
Date d'inscription : 22/07/2009
Re: Une vie
Votre texte est en double.
Sinon ben... J'aurais plutôt vu de la prose pour des réflexions comme ça, sinon perso je suis obligée de plisser les yeux et de me concentrer à mort, comme en cours de physique.
"Un jour
j’aidis dit adieu
pauvre de moi."
Je trouve néanmoins ces trois vers très beaux et mystérieux, dommage que la lecture du reste soit si laborieuse.
Sinon ben... J'aurais plutôt vu de la prose pour des réflexions comme ça, sinon perso je suis obligée de plisser les yeux et de me concentrer à mort, comme en cours de physique.
"Un jour
j’ai
pauvre de moi."
Je trouve néanmoins ces trois vers très beaux et mystérieux, dommage que la lecture du reste soit si laborieuse.
Re: Une vie
L'idée me va, globalement mais elle est desservie par trop de redites et de lourdeurs.
Ainsi, en supprimant purement et simplement cette strophe
Car comme
il y a
une immanence
de l’infini
dans le mouvement,
il y a
dans le Phoenix autodafé
quelque chose
qui ne cesse pas
de renaître de ses cendres.
vous éviteriez au moins trois répétitions et surtout le "car comme" totalement rédhibitoire pour moi!!!
Cette strophe ne fait qu'enfoncer le clou. Et un clou dans l'infini, c'est dommage...
Ainsi, en supprimant purement et simplement cette strophe
Car comme
il y a
une immanence
de l’infini
dans le mouvement,
il y a
dans le Phoenix autodafé
quelque chose
qui ne cesse pas
de renaître de ses cendres.
vous éviteriez au moins trois répétitions et surtout le "car comme" totalement rédhibitoire pour moi!!!
Cette strophe ne fait qu'enfoncer le clou. Et un clou dans l'infini, c'est dommage...
Polixène- Nombre de messages : 3287
Age : 61
Localisation : Dans un pli du temps . (sohaz@mailo.com)
Date d'inscription : 23/02/2010
Re: Une vie
joli
au niveau de la forme
et du mouvement perpétuel
joli qui se cogne
pour, dîtes-vous, repartir de plus belle
ça, c'est vrai que dans le vide
il n'y a pas de ralenti
mais dans le vide, il n'y a pas de vie
(j'aime bien cette/votre poétique de l'univers)
par contre, je viens de lire votre message à Manon, et ce que vous lui avez répondu, si j'ai bien compris, me paraît vraiment con, méchant et prétentieux
au niveau de la forme
et du mouvement perpétuel
joli qui se cogne
pour, dîtes-vous, repartir de plus belle
ça, c'est vrai que dans le vide
il n'y a pas de ralenti
mais dans le vide, il n'y a pas de vie
(j'aime bien cette/votre poétique de l'univers)
par contre, je viens de lire votre message à Manon, et ce que vous lui avez répondu, si j'ai bien compris, me paraît vraiment con, méchant et prétentieux
Re: Une vie
Que de morgue chez vous, Michel ! Figurez-vous que je partage l'avis de Manon en voyant dans votre texte plus de la prose que de la véritable poésie. Vous vous êtes contenté de couper vos phrases ( "Comme il y a / dans le trajet / quelque chose / qui / ne préexiste pas / au voyage") pour donner à l'ensemble une forme versifiée. C'est un peu facile, en tout cas bien loin d'atteindre des sommets esthétiques malgré vos affirmations péremptoires.
Quant au thème, j'ai l'impression de lire le sermon d'un illuminé ( "il y a dans le mouvement de l’infini quelque chose comme l’immanence d’une infinité de Vie.")
Quant au thème, j'ai l'impression de lire le sermon d'un illuminé ( "il y a dans le mouvement de l’infini quelque chose comme l’immanence d’une infinité de Vie.")
Jano- Nombre de messages : 1000
Age : 54
Date d'inscription : 06/01/2009
Re: Une vie
Un peu faible.
Pascal-Claude Perrault- Nombre de messages : 5422
Age : 63
Localisation : Paris, ah Paris, ses ponts, ses monuments et ses merdes de chiens !
Date d'inscription : 20/02/2012
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