Arguments

[Vladimimi]

J'ai convoqué [...] tel que [...] contient l'ensemble des choses que j'aurais voulu imaginer



























mais











PLUS HAUT DANS LE CIEL
les enjeux sont différents
c'est le coeur à toutes les lèvres
qui chante l'habitude
que j'ai prise à l'étude
mes joues sont bleues
d'avoir trop couru

il dort

le ciel se retourne dans son lit
bien fait et
tu peins tes joies sur ton visage
tu donnes des habits à ce que j'aime
et ce n'est ni par hasard
ni par l'odeur ni la couleur
si ces pensées me plaisent
c'est ce qu'elles disent

elles dansent toutes
quand elles se prennent par la main ça fait des jours
ou des soucis
je marche sans en avoir l'air
je me superpose
à l'ombre tombée

elle prend les objets par le bon bout
elle est d'une logique
mêlée à la nuit

derrière la fenêtre claire
la journée est pleine
ses coudes sont abîmés

je baillais aux corneilles

alors je dors
toujours et finalement

il ne fait beau que sous tes paupières

[Invité]

Vladimimi ( c'est mimi comme pseudo), je crois que le grand blanc qui précède ton poème n'incite pas le lecteur à s'arrêter. Je ne comprends pas dans quelle intention tu as fait cela.
En tout cas, c'est dommage, car il y a plein de bonnes choses dans ton poème qui mérite d'être lu et commenté.

[Art. Ri]

Pourquoi ne le fais-tu pas alors, Iris?

[Invité]

et finalement
il ne fait beau que sous tes paupières.

J'adore cette phrase !
Et beaucoup d'autres images originales, mais je ne comprends pas non plus l'articulation ( très lâche.. !) qui scinde ce poèeme , je serais curieuse de savoir ce qui la motive à tes yeux, Vladimimi.

[Frédéric Prunier]

j'aime cet univers
de la liberté des mots et des phrases
pour se recréer un monde
poétique

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