Une thèse surprenante
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Une thèse surprenante
- nos vieilles façons de vivre, nos vieilles façons toutes usées que même le vent les dédaigne, et d'autres images, plus sensibles, comme le grain d'un vieux vinyle, sur le phonographe c'est ta voix qui tourne, tourne, tourne une chanson déjà entendue partout, qui me donne l'air ahuri
dans les rues les portes ont les numéros du soleil, je me cogne aux mur, c'est éblouissant ce dédale de rêves qui ne connait que l'ombre d'où les oiseaux font leur nid - où les oiseaux font leur nid ?
dans ton balbutiement
je ne voudrais pas être décevant
moi je me déçois beaucoup.
PARDON.
MILLE FOIS
AH
JAI PEUR PARFOIS DE NE JAMAIS POUVOIR DIRE CE QUI COMPTAIT VRAIMENT
comptait sur tes mains parce que c'est toi qui a les plus jolis doigts
et les lignes sont des rails de chemins de fer pour des drôles de départs, j'adore les gare depuis que je te connais, une hanche de vent sur laquelle je m'agrippe - tes lèvres sont mûres au bout du ciel, profitons de l'ombre tant qu'elle est tiède. regarde la vitre couleur de lait. les cigarettes se tiennent bien droites à ta bouche. tout se discipline et s'assagit, se range à ton front comme une mèche à son nuancier. tu as la propre couleur de ta voix. tu as toutes les choses extraordinaires, tous les attributs qui impliquent que le coeur batte
j'aurais voulu dire ce qui importait, ce qui a importé le printemps. ce qui fait que je peux le convoquer toujours, même l'hiver, CEST TRES DOUX MAINTENANT JAI MIS DES ECHARPES AUX HIRONDELLES POUR PAS QUELLES PRENNENT FROID
c'est très doux l'hiver comme une parenthèse qui contient le (bisous)
comme deux bras autour d'elle
deux bras autour de toi
logique des fleuves
c'est très important.
des bateaux sur un bras de nuage, une pupille qui navigue sur les couleurs. ou le volcan caché dans les lanternes et les angles violents de ton visage, la mathématique de l'ordinaire, et cependant, une identité remarquable. (lol)
Mais comment vivre pour que les balançoires volent ensemble. C'est parce que je suis seul ET TRISTE. Tout va me revenir. Tout me revient très vite : la couleur sur les lèvres, d'abord. Le grain de la voix, sur le phonographe. Les tons sépia, satin. Puis le bleu qui éclate, grand sourire de ciel, beau morceau de nuit quand tu as battu des cils, comme on provoque une guérison, comme on fait un miracle. Pose ta main sur mon coeur. Les pensées grandissent à mesure que je marche, ombre, mon ombre, le monde s'allonge avec mes pas.
Curieux effet de perspective. Ce n'est que ça, après tout.
Tu me manques
- drôle
-non, nul
nul égale zéro
nul et non avenu
ce qu'il advient c'est la poussière
mon dieu je voudrais disparaître sous terre ou ne penser à rien
HAHA CEST PAS VRAI.
mon dieu comme dieu a le temps de faire bien les choses.
comme la rue est jolie. les boutiques sont toutes colorées.
pose moi sur le meuble, avec tes livres.
ensuite je m'en fiche, je mets les mains dans les poches, j'allume une cigarette...
je voudrais juste dire joliment qu'il fait beau aujourd'hui
il y a peu de soleil dans la fontaine
il y a un peu de cette eau, lumineuse qui s'est partout mise à la terrasse du restaurant. il y a le vent sur ta joue, dans tes cheveux. ta main rajuste la mèche. la nature entre dans le ciel et s'assied. voilà nos vies bronzées. nos teint frais. peau de pêche. nos vies étendues.
parfaites et immobiles.
voilà que la joie m'est revenue.
nous nous promenons main dans la main, notre bonté est infinie, légendaire : nous justifions tout : le sale, le vil... le seul et l'inutile, mais pas la tristesse, elle rebondit sur la peau, cependant, si tu mets de la crème solaire. mais tu me manques... je suis un parapluie. je chuchote des poèmes. ça te protège du froid. des intempéries. aujourd'hui, le matin a mis un pull.
quand vivrons nous ensemble
j'en ai envie
je tire les jours à la courte-paille
non
non
non
oui !
je t'aimerai toujours
J'entends la douce pluie d'été dans les cheveux mouillés des saules
Le vent qui fait un bruit d'argent m'endort m'éveille à tour de rôle
Je rêve au coeur de la maison qu'entoure le cri des oiseaux
Je mêle au passé le présent comme à mes bras le linge lourd
Et cette nuit pour moi la mémoire fait patte de velours
Tout prend cette clarté des choses dans la profondeur des eaux
On dirait que de la semaine il n'est resté que les dimanches
Tous les jardins de mon enfance écartent l'été de leurs branches
La mer ouvre son émeraude à ce jeune homme que je fus
la mer étale
présent d'étoile
CE TEXTE EST NUL PARCE QUE JE VOUS MEPRISE TOUS PROFONDÉMENT
mais ensuite je monte sur des chevaux de tendresse
dans les rues les portes ont les numéros du soleil, je me cogne aux mur, c'est éblouissant ce dédale de rêves qui ne connait que l'ombre d'où les oiseaux font leur nid - où les oiseaux font leur nid ?
dans ton balbutiement
je ne voudrais pas être décevant
moi je me déçois beaucoup.
PARDON.
MILLE FOIS
AH
JAI PEUR PARFOIS DE NE JAMAIS POUVOIR DIRE CE QUI COMPTAIT VRAIMENT
comptait sur tes mains parce que c'est toi qui a les plus jolis doigts
et les lignes sont des rails de chemins de fer pour des drôles de départs, j'adore les gare depuis que je te connais, une hanche de vent sur laquelle je m'agrippe - tes lèvres sont mûres au bout du ciel, profitons de l'ombre tant qu'elle est tiède. regarde la vitre couleur de lait. les cigarettes se tiennent bien droites à ta bouche. tout se discipline et s'assagit, se range à ton front comme une mèche à son nuancier. tu as la propre couleur de ta voix. tu as toutes les choses extraordinaires, tous les attributs qui impliquent que le coeur batte
j'aurais voulu dire ce qui importait, ce qui a importé le printemps. ce qui fait que je peux le convoquer toujours, même l'hiver, CEST TRES DOUX MAINTENANT JAI MIS DES ECHARPES AUX HIRONDELLES POUR PAS QUELLES PRENNENT FROID
c'est très doux l'hiver comme une parenthèse qui contient le (bisous)
comme deux bras autour d'elle
deux bras autour de toi
logique des fleuves
c'est très important.
des bateaux sur un bras de nuage, une pupille qui navigue sur les couleurs. ou le volcan caché dans les lanternes et les angles violents de ton visage, la mathématique de l'ordinaire, et cependant, une identité remarquable. (lol)
Mais comment vivre pour que les balançoires volent ensemble. C'est parce que je suis seul ET TRISTE. Tout va me revenir. Tout me revient très vite : la couleur sur les lèvres, d'abord. Le grain de la voix, sur le phonographe. Les tons sépia, satin. Puis le bleu qui éclate, grand sourire de ciel, beau morceau de nuit quand tu as battu des cils, comme on provoque une guérison, comme on fait un miracle. Pose ta main sur mon coeur. Les pensées grandissent à mesure que je marche, ombre, mon ombre, le monde s'allonge avec mes pas.
Curieux effet de perspective. Ce n'est que ça, après tout.
Tu me manques
- drôle
-non, nul
nul égale zéro
nul et non avenu
ce qu'il advient c'est la poussière
mon dieu je voudrais disparaître sous terre ou ne penser à rien
HAHA CEST PAS VRAI.
mon dieu comme dieu a le temps de faire bien les choses.
comme la rue est jolie. les boutiques sont toutes colorées.
pose moi sur le meuble, avec tes livres.
ensuite je m'en fiche, je mets les mains dans les poches, j'allume une cigarette...
je voudrais juste dire joliment qu'il fait beau aujourd'hui
il y a peu de soleil dans la fontaine
il y a un peu de cette eau, lumineuse qui s'est partout mise à la terrasse du restaurant. il y a le vent sur ta joue, dans tes cheveux. ta main rajuste la mèche. la nature entre dans le ciel et s'assied. voilà nos vies bronzées. nos teint frais. peau de pêche. nos vies étendues.
parfaites et immobiles.
voilà que la joie m'est revenue.
nous nous promenons main dans la main, notre bonté est infinie, légendaire : nous justifions tout : le sale, le vil... le seul et l'inutile, mais pas la tristesse, elle rebondit sur la peau, cependant, si tu mets de la crème solaire. mais tu me manques... je suis un parapluie. je chuchote des poèmes. ça te protège du froid. des intempéries. aujourd'hui, le matin a mis un pull.
quand vivrons nous ensemble
j'en ai envie
je tire les jours à la courte-paille
non
non
non
oui !
je t'aimerai toujours
J'entends la douce pluie d'été dans les cheveux mouillés des saules
Le vent qui fait un bruit d'argent m'endort m'éveille à tour de rôle
Je rêve au coeur de la maison qu'entoure le cri des oiseaux
Je mêle au passé le présent comme à mes bras le linge lourd
Et cette nuit pour moi la mémoire fait patte de velours
Tout prend cette clarté des choses dans la profondeur des eaux
On dirait que de la semaine il n'est resté que les dimanches
Tous les jardins de mon enfance écartent l'été de leurs branches
La mer ouvre son émeraude à ce jeune homme que je fus
la mer étale
présent d'étoile
CE TEXTE EST NUL PARCE QUE JE VOUS MEPRISE TOUS PROFONDÉMENT
mais ensuite je monte sur des chevaux de tendresse
Vladimimi- Nombre de messages : 21
Age : 29
Date d'inscription : 26/09/2012
Re: Une thèse surprenante
Le jeu avec les majuscules me dérangent un peu, je n'en suis pas fan, mais c'est personnel.
Sinon, je trouve qu'il y a de belles trouvailles ! Je m'arrête sur ces petits extraits :
Sinon, je trouve qu'il y a de belles trouvailles ! Je m'arrête sur ces petits extraits :
Vladimimi a écrit:Mais comment vivre pour que les balançoires volent ensemble.
Vladimimi a écrit:je chuchote des poèmes. ça te protège du froid. des intempéries. aujourd'hui, le matin a mis un pull.
Vladimimi a écrit:je tire les jours à la courte-paille
non
non
non
oui !
Re: Une thèse surprenante
- Spoiler:
Vladimimi- Nombre de messages : 21
Age : 29
Date d'inscription : 26/09/2012
Une thèse surprenante
Il y a plein de fautes mais c'est pas parce que je suis illettré, c'est parce que j'écris très vite sans me relire et que sur mon clavier les lettres sautent, surtout le "s", OK ? Merci.
< Rappel de ce que vous avez dû lire sur notre page d'accueil avant de poster :
Nous demandons à chacun d’apporter le maximum de soin à ce qu’il publie, sur le fond comme sur la forme. Nous ne publions pas les textes inachevés, les écrits commis à la va-vite, ceux trop tournés vers le pathos, et ceux encombrés de fautes d'orthographe et/ou de français.
La Modération >
.
< Rappel de ce que vous avez dû lire sur notre page d'accueil avant de poster :
Nous demandons à chacun d’apporter le maximum de soin à ce qu’il publie, sur le fond comme sur la forme. Nous ne publions pas les textes inachevés, les écrits commis à la va-vite, ceux trop tournés vers le pathos, et ceux encombrés de fautes d'orthographe et/ou de français.
La Modération >
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Vladimimi- Nombre de messages : 21
Age : 29
Date d'inscription : 26/09/2012
Re: Une thèse surprenante
ça me donne envie de vomir je répudie ce texte supprimez-le s'il vous plait tant qu'il en est encore temps et sans préavis
Vladimimi- Nombre de messages : 21
Age : 29
Date d'inscription : 26/09/2012
Re: Une thèse surprenante
Il n'est plus temps de supprimer ce texte puisqu'il a déjà été commenté.
Lorsque l'on poste sur VE, il faut assumer ce que l'on poste.
Par ailleurs, nous vous demandons de réagir aux commentaires ici : http://www.vosecrits.com/t11914-discussions-autour-de-nos-textes
Merci.
Lorsque l'on poste sur VE, il faut assumer ce que l'on poste.
Par ailleurs, nous vous demandons de réagir aux commentaires ici : http://www.vosecrits.com/t11914-discussions-autour-de-nos-textes
Merci.
Modération- Nombre de messages : 1362
Age : 18
Date d'inscription : 08/11/2008
Re: Une thèse surprenante
Non mais c'est mon texte, et si je dois le supprimer pour droits d'auteurs ? Il faut assumer ce que ce qu'on poste ou il faut emmerder le monde ?
Vladimimi- Nombre de messages : 21
Age : 29
Date d'inscription : 26/09/2012
Re: Une thèse surprenante
Ca va deux malheureux commentaires !Je commenterai cinquante textes de ceux qui m'ont commenté pour réparer mon offense, mais faites moi plaisir : SUPPRIMEZ LE
Vladimimi- Nombre de messages : 21
Age : 29
Date d'inscription : 26/09/2012
Re: Une thèse surprenante
Il faut lire (et relire, et re-relire) le texte complet de notre page d'accueil avant de demander cela, et surtout rester correct dans vos propos !Vladimimi a écrit:Non mais c'est mon texte, et si je dois le supprimer pour droits d'auteurs ? Il faut assumer ce que ce qu'on poste ou il faut emmerder le monde ?
La première phrase du texte, par exemple.
Oui ?
C'est lu ?
Bien.
C'est tout.
Et prière de ne plus intervenir derrière votre texte, cela vous a déjà été signifié.
Modération- Nombre de messages : 1362
Age : 18
Date d'inscription : 08/11/2008
Re: Une thèse surprenante
Et verrouillons, c'est tout aussi bien.
Modération- Nombre de messages : 1362
Age : 18
Date d'inscription : 08/11/2008
Page 1 sur 1
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