Cellulia

[Invité]

Je m’appelle Xamba et je suis Cellulien depuis presque 160 doubles lunes. J’ai ouvert ma coquille, revêtu la bouffette à liserés nacrés – insigne de ma fonction –, humé l’air iodé et pensé : « Ça sent la fin, cette lunaison synodique me sera fatale. » Puis, paisiblement, je me suis dirigé vers l’Organe Cellurien de Gouvernement (OCG). Je savais que bientôt mon ectoplasme serait exposé au musée des gastérodoges.

***

Quand il s’adresse à moi, mon gastéropère adopte toujours un ton docte ; d’aucuns disent qu’il est infatué. Il fait également montre à mon égard d’une certaine distance, ce qui ne l’empêche nullement de me témoigner son affection par de petites attentions, des choses qui de prime abord peuvent paraître insignifiantes, mais qui ont, du moins en ce qui me concerne, une importance qu’aujourd’hui encore je ne puis minimiser. C’est un gastéro relativement taciturne, qui salive pourtant avec une aisance que beaucoup lui envient, sa profession – ou plutôt devrais-je dire sa charge – l’obligeant à s’exprimer plus que le commun des mortels et d’une manière que je qualifierai de « religieuse »... Oui ! Docte et religieuse.

***

Je suis le descendant d’une vieille dynastie. Veuf depuis 10 doubles lunes – le volcan ayant provoqué une augmentation fulgurante de la température de surface – je préside aux destinées de Cellulia depuis des lustres déjà. Mon gastérofils a survécu à cet épisode tragique. Mon mandat étant héréditaire, il assumera la fonction d’ici peu. Puisse-t-il mener notre peuple vers de plus paisibles contrées. Mais il faudrait une fièvre des marais, une de celles qui vous font sortir de la coquille plus vite que de la matrice qui vous a conçu, pour que je ne puisse vaquer aux occupations qui sont miennes. Néanmoins, cette lune est de celles qui écrit le destin des mandarins Celluriens dans les livres d’histoire ; je me dois donc de transmettre à mon successeur le savoir qui ne lui a pas encore été inculqué.

***

Il m’a convoqué dès que la conjonction lunaire est apparue. Un étrange phénomène en vérité. Il rythme les changements de gouvernorat aussi sûrement que le vent annonce une éruption du volcan. Mais… je ne suis pas présenté : mon nom est Torin-san ; il m’a été attribué en souvenir de ma gastéromère. J’ai été expulsé de la matrice il y a 40 doubles lunes. Mon géniteur, en témoignage d’affection, préfère m’appeler Torin-kun. Lui ayant toujours voué le plus grand respect, je me plais à le nommer Xamba-sensei quand il s’adresse à moi. Il s’agit là d’un titre utilisé pour les gastéros de classe supérieure.

Cette lune donc, je me dirige vers l’OCG d’une reptation alerte malgré l’épaisse touffeur de l’air et la lourdeur de la coquille – tout fils que l’on soit, on ne fait pas attendre Xamba-sensei – ; je la laisserai au parc à bivalves aménagé récemment. Le prix d’un centième de sequin vaut qu’on l’utilise, d’autant qu’une coquille-room gracieusement mise à disposition des usagés me permettra de revêtir la bouffette à liserés d’argent me désignant comme héritier de la fonction.

À suivre…

[Legone]

ça part bien !

[Invité]

La découpe des paragraphes facilite la lecture.
Le vocabulaire commence par surprendre puis il coule de source, vu le sujet.
Le sujet justement, est original et donne envie de poursuivre l'histoire de cette dynastie de gastéropodes évoluant dans son univers et selon ses codes.
usagés ou usagers ? :-)

[Invité]

Hmmm, sais pas cette fois, à voir à l'usage (usagé, usager ? http://www.vosecrits.com/t11914p880-discussions-autour-de-nos-textes#391878 )
;-)

[muzzo]

Hmmm, sais pas cette fois, à voir à l'usage (usagé, usager ? http://www.vosecrits.com/t11914p880-discussions-autour-de-nos-textes#391878 )
;-)

Usagers, sans aucun doute.
Mais c'est de peu d'importance car cette gastéro-folie commence bien; le ton, le vocabulaire, le décalage science fiction, moi, ça m'amuse. La suite !!!

[Invité]

Merci muzzo ! : http://www.vosecrits.com/t11914p880-discussions-autour-de-nos-textes#391878

[Invité]

Un texte alléchant pour les Catalans qui peuvent passer sans ambages d'une "cargolade", à des escargots sauce catalane (tomate, ail, poivron).
Le tout arrosé d'un petit rouge pour faire passer le petit gris.
Le texte, bien senti, manque peut-être d'aïoli ?

[midnightrambler]

Les usagers des toilettes du fond du jardin savent que la cargolade se mange traditionnellement debout ce qui est un avantage certain en cas de gastero-entérite aigüe ...

[Invité]

Les usagers des toilettes du fond du jardin savent que la cargolade se mange traditionnellement debout ce qui est un avantage certain en cas de gastero-entérite aigüe ...

Ah ! voilà qui va me faire progresser dans l'art de l'écriture (mais me donne des idées pour la suite). :-)) Quant au fond du jardin on pourrait user du mot "cagade" détourné de son sens premier. :-))

[Frédéric Prunier]

salululu




Quand il s’adresse à moi, mon gastéropère adopte toujours un ton docte ; d’aucuns disent qu’il est infatué. Il fait également montre à mon égard d’une certaine distance, ce qui ne l’empêche nullement de me témoigner son affection par de petites attentions, des choses qui de prime abord peuvent paraître insignifiantes, mais qui ont, du moins en ce qui me concerne, une importance qu’aujourd’hui encore je ne puis minimiser.



dans ce que je cite au-dessus, tu caches les clés, dommage... et j'ai dû relire deux fois, le gaster glissait moyen, surtout avec d'un côté la distance et de l'autre les petites attentions... ma lecteur est souvent distraite....


...


sinon, dans l'ensemble,
je trouve que l'erruption, la mort de la civilisation gaster, l'historique du veuvage, tout çà... donnerait, dès ce début des petites hernies de l'histoire qui serviraient de boudins stabilisateurs au lecteur... d'après moije...


....


enfin,
une aventure gastéropodesque ? pourquoi pas... y a plus qu'à trouver a résoudre le célèbre dicton à la c.. pas de bras, pas de cellulia ?


...


... et donc la cargolade favoriseraient l'usage des cagoinsses ?

[Frédéric Prunier]

j'eus oublier...

amitié lulu

[Invité]

Spoiler:

***

Je me suis glissé dans l’orifice qui m’est destiné. Plus spacieux que la plupart, exclusivement destiné au gouvernorat, il bénéficie de tous les aménagements nécessaires à l’accomplissement de la fonction suprême. Il ne faut pas y voir une quelconque prébende, c’est avant tout une nécessité. Une gastéromobile m’est également attribuée, mais j’en use avec modération tant la reptation est pour moi un plaisir. En toute confidence, j’avoue que le gratouillis provoqué par le déplacement sur les roches volcaniques provoque chez moi des réactions proches de l’extase. J’en bave de plaisir rien qu’en y songeant. On a tous ses petites faiblesses, non ?
Face à moi, l’artefact du volcan reproduit jusqu’à ses moindres soubresauts. Je suis protégé de ses projections protoplasmiques par un mince écran de calcaires et de marnes finement stratifiés et légèrement translucide. On a déjà vu plus d’un doge finir grillé, coquille éclatée et projections visqueuses sur tous les écrans. Beurk ! Même pas de quoi faire une gasterolade.

[Frédéric Prunier]

ce dernier passage lulu, c'est du tout bon...
d'après moije, je me laisserais dérouler le cordon visqueux sans réfléchir
après et seulement après
je huilerai la boîte de vitesse
pour embarquer le lecteur.

y'a matière et les portes sont ouvertes
y'a plus qu'à choir laquelle...

(là je suis dûr... ahahaha!!! mitié !)

[Jean Lê]

Note : au chapître 4 : mais… je ne me suis pas présenté.
Une petite bave en passant : non mais c'est quoi ces cagouilles sexuées, les escargots sont hermaphrodites ! On est en pleine science-fiction là…

[Invité]

Note : au chapître 4 : mais… je ne me suis pas présenté.
Une petite bave en passant : non mais c'est quoi ces cagouilles sexuées, les escargots sont hermaphrodites ! On est en pleine science-fiction là…

Ben oui. Je ne sais pas si Erma est frau, dites, mais mes cagouilles ne le sont pas. Naméo ! :-))
Meerki pour "je ne me suis pas présenté". Corrigé.

[Invité]

Suis d'accord avec Fred Pru, si l'animal gastéropode pouvait passer à la vitesse supérieure, ça ne serait pas de refus. Mais c'est peut-être demander l'impossible, vu sa condition ...

En toute honnêteté, je suis d'assez loin mais j'aime quand même bien quelques traces d'humour gastéropodique et pas innocent, comme le plaisir avoué d'une bavette occasionnée par certaine friction...

[Invité]

M’enfin, Easter, comment mettre les gaz avec des gas-téropodes ? Je vous le demande. Elle veut toujours que j’accélère. M’a fait le coup pour « les traqueurs ». :-)) Quant à huiler (comme le demande Fred), je n’ose imaginer des gastéropodes patinant dans l’huile (c’est déjà visqueux de nature ces bestiaux).

[Invité]

Spoiler:

***

J’étais en train de revêtir ma bouffette à liserés d’argent lorsqu’une gasterostafette est venue me remettre le laissez-passer donnant accès à l’étage du gouvernorat. Bien roulée la gasterostafette, pensai-je ! La coquille coquette, pimpante, la sole pédieuse musculeuse et cambrée, la radula bien pendue. J’aurais bien voulu passer quelques lunes avec elle à frotter nos coquines coquilles, et plus si affinités. Je crois qu’elle l’a perçu parce qu’elle s’est mise à bavouiller et s’est attardée plus que nécessaire ; manifestement, je ne lui étais pas indifférent. En sortant de la coquille-room, nous nous sommes arrangés pour nous frôler longuement. Tout à coup, je n’éprouvais plus la fébrilité qui me tenaillait depuis le début de la conjonction lunaire. Curieux ? Quoi qu’il en soit, je lui ai laissé sur une feuille mon adresse écrite en caractères romans – cela m’a semblé approprié pour une nouvelle –, puis, le pied léger et guilleret, les tentacules frétillants, je me suis dirigé d’un glissement souple et vif vers l’étage du gouvernorat.

À suivre…

PS : pffff ! j'en ai les cornes qui fument. Le gastéropode va prendre un gastérepos.

[Invité]

:-)
ah l'amour toujours l'amour, y a que ça de vrai, y a que ça qui vaille.
tout ça pour dire que là, je commence à bien aimer, à m'amuser et sourire plus grand, plus franc...

[Invité]

Spoiler:

***

Il m’a reçu et regardé d’un air plutôt goguenard. Je ne sais ce qu’il a pu déceler en moi, mais je lui fais confiance pour lire les êtres. Il m’a expliqué ce qu’il attendait et remis un document. « Tu le liras plus tard », m’a-t-il dit. Probablement un de ses opus long et verbeux auquel il m’a habitué. Je le donnerais à lire à la gasterostafette ; nul doute qu’elle se jettera sur moi avec fougue pour échapper à ce morne pensum. « Il servira au moins à quelque chose », me dis-je. Mais soit qu’il eut déjà pratiqué la chose, soit qu’il ait vu dans mon regard s’allumer une étincelle égrillarde, il partit d’un grand éclat de rire et me dit : « tel gastéropère, tel gastérofils ». Certain d’être attendu, j’ai souri en frissonnant un peu, les nerfs à vif, en proie à une joie secrète, regardé à l’extérieur en songeant au temps qu’il me faudrait pour regagner mon gastérodrome.

[Invité]

Amour ET mystère, les ingrédients indispensables à une bonne gastérosauce !

Je le donnerais à lire à la gasterostafette
Mais soit qu’il eût déjà pratiqué la chose,

[andrewalyacoub]

A vrai dire c'est la première fois de ma vie que je ne comprend pas un texte (excusez moi ) je ne sais pas si je suis un imbécile ou c'est un peu normale.

[Invité]

A vrai dire c'est la première fois de ma vie que je ne comprend pas un texte (excusez moi ) je ne sais pas si je suis un imbécile ou c'est un peu normale.

Il faut un début à tout. C'est ce qu'on appelle acquérir de l'expérience. :-)). À moins que vous ayez oublié de lire ce qui est caché par le spoiler ?

[andrewalyacoub]

c'est vrai que je n'avais pas lu ce qui était en spolier ...

[Invité]

Spoiler:

Avertissement : J’ai complété le paragraphe précédemment publié. Je précise qu’il s’agit juste d’une fiction :-).

Il m’a reçu et regardé d’un air plutôt goguenard. Je ne sais ce qu’il a pu déceler en moi, mais je lui fais confiance pour lire les êtres. Il m’a expliqué ce qu’il attendait et remis un document. « Tu le liras plus tard », m’a-t-il dit. Probablement un de ses opus long et verbeux auquel il m’a habitué. Je le donnerai à lire à la gasterostafette ; nul doute qu’elle se jettera sur moi avec fougue pour échapper à ce morne pensum. « Il servira au moins à quelque chose », me dis-je. Mais soit qu’il eût déjà pratiqué la chose, soit qu’il ait vu dans mon regard s’allumer une étincelle égrillarde, il partit d’un grand éclat de rire et me dit : « tel gastéropère, tel gastérofils ». Certain d’être attendu, j’ai souri en frissonnant un peu, les nerfs à vif, en proie à une joie secrète, regardé à l’extérieur en songeant au temps qu’il me faudrait pour regagner mon gastérodrome. Juste avant de partir, il m’a demandé son nom.

— Easter(Island), lui ai-je répondu.

M’ayant regardé intensément, il a baissé les yeux et dit :

— N’es-tu pas un peu jeune pour déjà accoster ? 

Bavouillant, j’ai baissé les yeux. Il a alors ajouté :

— Comment l’as-tu connue ? 

Si je lui avais répondu : « Je l’ai rencontrée dans une boutique de fringues, à l’enseigne de la “Bas Bill and Co », il m’aurait taxé de frivolité. Confus, j’ai donc pris congé. Jamais Gastéropode ne fut si véloce à quitter le gouvernorat. Tout à la joie de retrouver mon aimée, j’ai pris le premier gastero-glisseur en partance avec en tête ce refrain lancinant :

‘Alors chu r´parti
Sur GasterAir
Transworld, Nord-East, Easter, Island
Puis Pan-Gasterocan
Mais ché pu où chu rendu.’ *

*Lindberg : paroles C. Péloquin, trafiquées par Luluberlu. Musique R. Charlebois.

[Loïc Relly]

J'attendais son actualisation pour commenter cette histoire, dont je suis avec intérêt la... fulgurante progression. J'aime bien cet humour, par certains moments (dans les néologismes et les tournures grandilonimp' surtout) je pense à ce voile particulier que Jodo' savait si bien appliquer à la BD (avant de s'y enfoncer un peu trop). Je ne saurais dire grand-chose sur l'écriture, mais ça se déroule naturellement et l'attention (la mienne, en tout cas) est toujours maintenue. Merci!

[Invité]

Eh bien, j'espère que cette gastéropodette au nom exotique va être à la hauteur de la situation et des espérances de son énamouré !
J'avoue avoir commencé la lecture de cette nouvelle nouvelle (pochade ?) sur la pointe des cornes, mais chaque nouvelle épisode est un pas - une glissade - vers un sourire plus franc, y a pas de mal à se faire du bien.

[Invité]

Ouf ! j’attendais la réaction D’Easter(Island) avec la fébrilité de la cagouille et n’osais plus bouger une corne. C’est délicat l’humour, surtout celui des cagouilles (qui rime avec chatouilles). Je vais essayer de faire dans le léger et le bon goût (essayer, hein ! si ça choque, il ne faut pas hésiter à lui couper les cornes… Juste les cornes). Mais vous ne saurez pas ce à quoi vous avez échappé. Un texte écrit il y a 2 ans déjà et dont je n’oserais vous livrer la suite tant il ressemble aux pensums du gastéropère. C’est dire ! Je l’ai relu et me suis effrayé moi_même. Brrrrrr !
Tank à you pour les coms (on ne peut attendre d’un peuple qui se goberge de cuisses [de quoi ?] et d’escargots qu’il s’exprime dans la langue [acérée] de M. Tatcher d’une manière fluentelie.

Hé hé ! d’ailleurs, j’ai remarqué que personne n’osait plus bouger tant qu’Easter[Island]… Mais non, je me moque. Soyez pas susceptibles. Qu’il est c.. ce Lulu. :-) [en Toulousain, c.. est une ponctuation, à l’occasion je vous expliquerais].
Ben tin, y'a FI qui est au Québec avec les bernaches pour la tête au carré (se prennent pas au sérieux, eux). C'est à 14 H pendant 1 semaine. Une émission sur la sexologie des gastéropodes (si, si). Ça va me donner des idées (courage Easter !).

[Frédéric Prunier]

ça me rappelle le manège enchanté de m'ssieur pollusque...

[Invité]

Ah, Luluberlu, j'ai toujours eu comme projet-sérieux-dans-la-vie de me réincarner en escargot, c'est te dire si cette épopée me convient ! Toutefois, en tant que future gastérop', je te ferai probablement quelques "orrections" sur les moeurs et habitus de cette oh combien sympathique engeance... mais pas tout de suite, j'attends de m'être régalée un peu plus !

[humpf]

C'est génial, rien à dire d'autre à part une petite touche qui m'a un peu déplu :

Pourquoi, grand Dieu, pourquoi utiliser "-sensei", "-kun", "-san" comme surnoms affectifs ??? Je trouve que cette touche japonisante gâche un peu toute cette histoire de syfy où tout semble jaillir d'un univers inconnu et original... En tout cas, je ne m'y attendais pas.

Par contre, j'adore ce ton épique, ça rend la chose drôle je trouve, enfin c'est peut-être moi.

[Invité]

Côa ! Je l’ai pas vu celui-là ?!!! De l’action, des cascades avec des éclatements de coquilles et des radulas en folie et puis du sexe en veux-tu en voilà ! J’ai bien rigolu à cette histoire cagouillesque. Par contre faudrait arrêter de manger des champignons tous bizarres et m’envoyer le surplus par colis postal, ça pourrait libérer mon Chakra Swadhistan.

[Invité]

Oups ! moi qui laissais tranquilou couler la cagouille au fond du pot d’aïoli ! J’ai dû rater le dosage (trop d’huile de palme et pas assez d’huile de coude). Bon, comme tout le monde devrait le savoir, les cagouilles, ça aime l’eau. Hors là, il fait beau, et quand il fait beau pas question de cagouiller du texte, même pour amuser la galerie (à part qques calembredaines, mais courtes).
Vertigo , même les champignons ont besoin d’eau. Donc, pas de fumette.
humpf , qui n’a jamais regardé une cagouille (femelle et mâle) dans les yeux. C’est vrai que c’est farouche ces bestiaux, mais ça a les yeux bridés. si, si, en tout cas ceux que je connais. C’est'y assez sensei comme explication ? En tous cas je n’ai trouvé kun san (prononcez ke sa).
Coline dé , qui semble bien connaitre les habitus de cette engeance va devoir attendre un peu. Car l’auteur a adopté l’allure qui convient (doucement le matin et pas trop vite le soir). Et pis, il fait 34 °C to dé. Je vais donc par grimper la colline avec cette cagna.
Frédéric qui aime les pollusque. Moi aussi. C’était cagouillement mignon cette série.
Easter, je ne connais pas cette recette (la pochade d’escargots). Si vous pouviez me la communiquer ????? *
Loïc Relly que je tiens à rassurer : je fulgure, je fulgure ! Mais la coquille est lourde par ces chaleurs.
andrewalyacoub , ne pas oublier de s’poiler.

* Z'avez remarqué, je l’appelle par son petit nom. N’est-ce pas un peu précipité ?

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