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Ténébreux pressentiments

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Ténébreux pressentiments Empty Ténébreux pressentiments

Message  andrewalyacoub Dim 6 Oct 2013 - 19:29

Ténébreux pressentiments.



Je marche depuis ce matin, dans cette satanée forêt . Mon stupide instinct m’a conduit jusqu'ici. Le bois n’en fini plus, " grand " me diriez-vous, je vous répondrai : " éléphantesque ". Le ciel peste lui aussi contre moi, son corps imposant ordonne le sommeil, après une sempiternelle journée d’embrun. Je cours à présent avant que le ciel ne s’éteigne, en prenant subitement des allures de deuil . Mes mollets s’écorchent au passage par des fleurs épineuses. Je voudrais en finir de tout cela, mais je ne peux rien y faire, mon corps me lâche. Il s’endort aussitôt sur la végétation crue.






Le lendemain quand je me fais réveiller par deux coqs diablotins, je prends mes pieds à mon cou.  Je cours, cours, cours, désespérément partout, durant la journée entière, sans une bribe de résultat. Je lève mes yeux au ciel et le contemple entrain de s'assombrir. Je m’assois, et une grande inquiétude m'envahit. Que diable va-il faire dans cette galère ?! Soudain, je vois une fine lueur de réverbère. Mon cœur vole avec des ailes invisibles, d’une joie si profonde qu'un petit frisson court a travers mon corps. Je m’avance vers ce lieu insolite.  Je poursuis la petite lumière, peu à peu le tableau s’éclaircie. Le clair de lune est envoûtant, il répand sa lumière suave sur sa sœur jumelle Terre et sur la grande nappe étincelante de la mer. Tandis que son frère Ciel, à rassemblé les étoiles pour constituer un chapelet chatoyant.  La première des choses faite, a été de boire l’eau des quelques rosées restantes. Et manger en supplément des plantations répugnantes. J’ai besoin de réserves, cela fait deux jours que je n’ai rien mis dans le ventre. Je contemple à nouveau le ciel, qui commence à transpirer des grosses gouttes de sueurs. Et j'aperçois le sol, avec ses pavés ancestraux qui ronronnent par des sabots. Ces pas viennent de deux chevaux blanc. Leur crinière voltige telle des vagues d'une mer déchaînée. Ils traînent au galop un fiacre vide, vers le château médiéval qui leur ouvre étonnamment ses portes. La forteresse est poilue par diverses verdures, la réhabilitation des jardins suspendues de Babylone.  Des végétations ça et là enlacent des lampadaires hauts perchés. Puis, j’entends les respirations acharnées d’un mouton. Depuis tout petit, je suis moutonophobe, j’ai peur de leurs floconneuses laines. Si je reste encore quelques instants, je m’écroulerais de frayeur. Il ne me reste plus que le vieux palais, et je crains les deux, car je ne sais pas non plus ce qui m’attend une fois à l’intérieur. Mais je préfère cela, que de me faire engouffrer par un alpaga. Alors, je décide de claudiquer comme d’une poupée mécanique, pour ne faire du bruit, et exprimer ainsi ma peur bleue.






Avant d'entrer j'ai des terribles frissons, mais quand je pénètre dans le château, j'admire sa vieillesse et son aspect moyenâgeux. Tout le monde parle latin et porte des vêtements anciens. A tel point que je demande à une dame, habillé d’une très très longue tunique, qui lui arrive jusqu'au genoux :


_ En quelle année sommes-nous?

_Sumos in MCCCXXII


On est en 1322 ?!!! A ce moment précis, je suis paumé, il y a deux jours j’ai été en 2013, et d'ailleurs comment cette femme me comprend – elle ?!

Tandis que ma tête bourdonne de réflexions et d’hésitations, mes yeux repèrent des danseurs. Ils virevoltent joyeusement tels des abeilles, autour de la piste déployée, sur un aire de Lully. Hein..... ! Lully ! ....  mais....... il était né lui en 1322 ?!





Une odeur vient s’immiscer au fin fond de mes narines. Ce parfum est ensorceleur, et son effluve est tellement délicat, que mes ailes nasales conduisent impérativement mes jambes à son émanation. Quand cette senteur m’amène à la cuisine antique, je me jette sauvagement sur le chaudron plein.

Je mange sans me priver, car je n’ai rien mangé. Que des plantes infâmes et je ne connais point un mot qui est savoir- vivre. Je ne sais même pas ce que j'ingurgite, peut être des pommes de terre rissolé, avec une pincée d’ail, du romarin et quelques épices d’orient. Soudain, une domestique me prend en flagrant délit, elle m’accuse de vouloir empoisonner le nouveau roi Charles IV. Les rumeurs fusent, et rapidement surviennent jusqu’au roi, qui sous la pression décide de précipiter ma guillotine. Je suis ahuri, accablé par l'injustice et l'incompréhension qui me tombent dessus comme d'une pluie diluvienne.






Hâtivement, on me fait traîner en méandre sur la piste de dance et sur les différents sols du château. Ma figure et mes deux mains sont collés au sol, car deux bras solides accrochés à mes deux jambes, semblent bien vouloir me faire la visite du château. Cette visite est assez tendre !!! A la fin de l'élégante tournée dans les locaux du château, on m’amène jusqu'à la guillotine. Dans le chemin, je rencontre un tas de paysans, de nobles. Ils sont d'une gentillesse phénoménale : en me crachant dessus, en me tapant sur les flancs, enfin en jouant avec ma face comme d'un ballon de baudruche. Tous acclament ma mort et ne veulent en moi que ma tête. J'entrevois quand on me met sur la guillotine, des bras, des bouches, qui crient pour que l'opération se fasse rapide. Là, je suis déjà ailleurs, je pense à des questions de paradis, d'enfer et cetera. L'heure arrive, je vois des pieds de bourreau s'avancer précipitamment, alors que ma bouche récite diverses prières. Mon coeur bat de plus en plus vite.  Le bourreau lève les bras, et procède à mon exécution. Le couperet frôle ma tête et j'en ai senti le vent de celui-ci me caresser les cheveux. Étrangement, un peu plus loin, une autre tête tombe à ma place, elle me ressemble fortement. Ma tête est saine et sauve sans aucune douleur.  Là on me fait lever de la guillotine, et on m'applaudit avec frénésie, des " Bravo Robert " retentissent par-ci par-là, mais je leur riposte mon vrai prénom : Louis. Alors, il me disent en intervalle  : "Arrête de jouer la comédie, le filme vient d'être terminé". Tous mes idées sont confuses, puis un homme qui me ressemble terriblement, vient répondre à nos interrogations.


_ C'est tout prêt pour la scène finale ?


Les acteurs sont comme tombés de  5 étage la tête la premier. Ils ne comprennent rien. Puis ils lui disent qu'ils ont tourné la scène avec moi ! L'acteur leur explique que je suis un imposteur et qu'il a seulement été aux toilettes. Le prodigieux hasard a décidé que je sois habillé des mêmes haillons, et être tel un clone de cette acteur. C'est là que je comprend qu'ils ont voulu tourner un filme, dont l'acteur principale est un paysan empoisonneur du Moyen-Age. L'agriculteur porte les mêmes guenilles que moi, a le même visage que le mien, et a pour destin tragique d'être guillotiné. Quand les acteurs ont accepté de croire l'incroyable, deux hommes moustachus aux mains drus m'ont abattu d'une façon saugrenue comme un canard nu.  Quand ils ont fini leur barbaries sur moi, ils m'accompagne vers les acteurs qui me bombarde de questions sans plus attendre avec une vigueur superflu :


- Qui êtes vous ? demanda un décrotteur.

- Ah....... ça .......... c'est toute une histoire !

-Que faites vous ici ? aboya  un filateur.

- Un admirateur, balbutié-je naïvement.

-Marre de ses gens qui gâchent notre travail par des idioties, vous ne servez à rien, ayez juste un peu honte de ce que vous nous faites endurer, répliqua alors une ventrière écumée.


A ce moment précis je tourne les talons. Je m'avance vers le portail comme un paon, accentuant ainsi mon désir de partir, mais avant cela, je dis avec fierté, en désignant du doigt la ventrière :


- C'est vous qui devez avoir honte, vous convainquez vos spectateurs, que l'un de nos plus grand musicien : Lully est né au XIV siècle !!!!!


Là, les bouches hébétées se tournent vers le réalisateur cramoisi, il a écrit le filme et a notamment recherché les prétendues musiques de l'époque.  Ils se sont rendus compte, que depuis le début du filme, ils ont passé le répertoire entier de Lully.


- Ce n'est pas grave, on recommencera les scènes jouées avec Lully, dit-il d'une voix chevrotante.


Il vient vers moi et me donne quelques billets froissés en signe de reconnaissances chaleureuses. Je suis heureux je vais enfin retrouver ma maison grâce à Lully et cet argent, que j'ai eu d'arrache pied. Mais, quand les acteurs ont vu cet acte, ils prennent leur cliques et leurs claques. Ils désertent aussitôt le plateau de tournage. Je vois le regard bourré de colère du réalisateur. Alors, je prends mes jambes à mon cou, comme une souris ayant peur d'une chatte et je poursuis les acteurs. Je gagne ma vie grâce à une Connaissance, mais je détruit celle d'un autre, à cause de l'irrespect de ce dernier envers sa majesté.
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Message  Invité Lun 7 Oct 2013 - 9:19

Quel drôle de texte ! On dirait que tu nous raconte un rêve, sans queue ni tête, une succession d'images et de scènes, très cinématographiques effectivement, et je dirai : plus cinématographique que littéraires. : il y a beaucoup de maladresses, d'impropriétés et certaines lourdeurs. Mais aussi quelques belles trouvailles et une fantaisie sympathique.
La forteresse est poilue par diverses verdures,l'idée est très amusante et imagée mais la formulation un peu maladroite

Hâtivement, on me fait traîner en méandre sur la piste de dance et sur les différents sols du château Le  "en méandre s" m'a fait rire ! D'ailleurs beaucoup de tes formulations donnent un effet comique et j'ai l'impression que tu hésites entre deux registres, l'un de prose poétique, l'autre de comique. L'assemblage des deux donne un résultat un peu bancal, mais peut-être  est-ce une piste à creuser...
Je ne relève pas faute de temps toutes les erreurs ou fautes d'orthographe.
Est-ce que le français est ta langue maternelle ? J'ai eu l'impression que non.

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Message  andrewalyacoub Lun 7 Oct 2013 - 14:05

coline Dé a écrit:Quel drôle de texte ! On dirait que tu nous raconte un rêve, sans queue ni tête, une succession d'images et de scènes, très cinématographiques effectivement, et je dirai : plus cinématographique que littéraires. : il y a beaucoup de maladresses, d'impropriétés et certaines lourdeurs. Mais aussi quelques belles trouvailles et une fantaisie sympathique.
La forteresse est poilue par diverses verdures,l'idée est très amusante et imagée mais la formulation un peu maladroite

Hâtivement, on me fait traîner en méandre sur la piste de dance et sur les différents sols du château Le  "en méandre s" m'a fait rire ! D'ailleurs beaucoup de tes formulations donnent un effet comique et j'ai l'impression que tu hésites entre deux registres, l'un de prose poétique, l'autre de comique. L'assemblage des deux donne un résultat un peu bancal, mais peut-être  est-ce une piste à creuser...
Je ne relève pas faute de temps toutes les erreurs ou fautes d'orthographe.
Est-ce que le français est ta langue maternelle ? J'ai eu l'impression que non.

Ma langue maternelle n'est effectivement pas le Français mais l'araméen.

Merci pour votre commentaire je vous demande si sa ne vous dérange pas de me relever quelque phrases maladroites cela m'aidera énormément, je vous remercie d'avance.
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Message  Loïc Relly Lun 7 Oct 2013 - 14:55

Tiens, ça me rappelle que j'ai envie d'apprendre toutes les langues, une liste démesurée de langues où l'araméen serait en bonne place... j'apprécie beaucoup cette fantaisie et ces tournures intrigantes, je ne sais quelle est la part de ton projet et la part des "inexactitudes" de traduction (ou tu écris directement en français ?) mais il y a un je ne sais quoi de frais et de jouissif, à la fois dans ta façon de dire et dans les histoires que tu crées, même si effectivement elles ne sont pas toujours très bien amenées. L'onirique est souvent à la fois burlesque et tragique, si difficile à retranscrire. Pour ma part je trouverai le temps de relever ce qui me semble trop maladroit dans la formulation, ou pas assez clair. Je t'enverrai ça. Merci, et bonne continuation !
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Message  Invité Lun 7 Oct 2013 - 20:17

*j’ai peur de leurs floconneuses laines : mettre laine et floconneuse au singulier car même s'il y a beaucoup de moutons ils ont de la laine et pas des laines
*Alors, je décide de claudiquer comme d’une poupée mécanique, pour ne faire du bruit, et exprimer ainsi ma peur bleue.
Claudiquer signifie boiter, était-ce bien ce que tu voulais dire ?
Si oui, ce n'est pas comme d'une poupée mécanique, mais « comme une poupée mécanique »
pour ne faire du bruit : plutôt «  pour ne pas faire de bruit » Et l'idée de boiter pour ne pas faire de bruit me paraît étrange !!!


*A ce moment précis, je suis paumé, il y a deux jours j’ai été en 2013, : j'étais ( sinon, on a l'impression que tu as juste fait une promenade en 2013

*Une odeur vient s’immiscer au fin fond de mes narines : je suppose que tu voulais dire s'insinuer
s'immiscer a une connotation un peu négative, presque « se mêler de ce qui ne vous regarde pas »


*qui sous la pression décide de précipiter ma guillotine : la guillotine est l'instrument d'une décapitation. Donc ton personnage ne va pas subir une guillotine, mais une décapitation à l'aide d'une guillotine ( on dit aussi être guillotiné)


*l'injustice et l'incompréhension qui me tombent dessus comme d'une pluie diluvienne. : comme une

Je m'arrête là, mais il y en a d'autres. Souvent, ce ne sont pas vraiment des fautes mais des bizarreries, une expression qui est un peu décalée... ce qui donne un style très particulier qui fait qu'on te reconnaitrait tout se suite si tu voulais poster en anonyme !
Mais je te félicite : même si tu ne le maîtrises pas encore complètement, tu écrit un français que beaucoup de petits français t'envieraient !

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Message  Invité Lun 7 Oct 2013 - 20:34

c'est " tout de suite" bien sûr !

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Message  andrewalyacoub Mar 8 Oct 2013 - 22:33

Loïc Relly a écrit:Tiens, ça me rappelle que j'ai envie d'apprendre toutes les langues, une liste démesurée de langues où l'araméen serait en bonne place... j'apprécie beaucoup cette fantaisie et ces tournures intrigantes, je ne sais quelle est la part de ton projet et la part des "inexactitudes" de traduction (ou tu écris directement en français ?) mais il y a un je ne sais quoi de frais et de jouissif, à la fois dans ta façon de dire et dans les histoires que tu crées, même si effectivement elles ne sont pas toujours très bien amenées. L'onirique est souvent à la fois burlesque et tragique, si difficile à retranscrire. Pour ma part je trouverai le temps de relever ce qui me semble trop maladroit dans la formulation, ou pas assez clair. Je t'enverrai ça. Merci, et bonne continuation !

J'écris directement en Français, car je maîtrise parfaitement l'araméen mais je ne sais ni le lire ni l'écrire.

Merci pour votre commentaire, je suis très content de savoir que mon texte, malgré les quelques phrases maladroites et cetera, vous a globalement séduis.

Je vous remercie.


coline Dé a écrit:*j’ai peur de leurs floconneuses laines : mettre laine et floconneuse au singulier car même s'il y a beaucoup de moutons ils ont de la laine et pas des laines
*Alors, je décide de claudiquer comme d’une poupée mécanique, pour ne faire du bruit, et exprimer ainsi ma peur bleue.
Claudiquer signifie boiter, était-ce bien ce que tu voulais dire ?
Si oui, ce n'est pas comme d'une poupée mécanique, mais « comme une poupée mécanique »
pour ne faire du bruit : plutôt «  pour ne pas faire de bruit » Et l'idée de boiter pour ne pas faire de bruit me paraît étrange !!!


*A ce moment précis, je suis paumé, il y a deux jours j’ai été en 2013, : j'étais ( sinon, on a l'impression que tu as juste fait une promenade en 2013

*Une odeur vient s’immiscer au fin fond de mes narines : je suppose que tu voulais dire s'insinuer
s'immiscer a une connotation un peu négative, presque « se mêler de ce qui ne vous regarde pas »


*qui sous la pression décide de précipiter ma guillotine : la guillotine est l'instrument d'une décapitation. Donc ton personnage ne va pas subir une guillotine, mais une décapitation à l'aide d'une guillotine ( on dit aussi être guillotiné)


*l'injustice et l'incompréhension qui me tombent dessus comme d'une pluie diluvienne. : comme une

Je m'arrête là, mais il y en a d'autres. Souvent, ce ne sont pas vraiment des fautes mais des bizarreries, une expression qui est un peu décalée... ce qui donne un style très particulier qui fait qu'on te reconnaitrait tout se suite si tu voulais poster en anonyme !
Mais je te félicite : même si tu ne le maîtrises pas encore complètement, tu écrit un français que beaucoup de petits français t'envieraient !

Je vous remercie énormément votre démarche me va droit au cœur car vous m'aidez dans quelque chose de peut-être naturelle pour vous mais inhabituelle pour moi et malgré mon amélioration en langue Française, les tournures de phrases ne sont pas toujours 100% justes. Donc je vous remercie encore une fois.
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