Poésie sous-sérotoninisée
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Poésie sous-sérotoninisée
je n'aime plus me coucher tard
je fais mon lit avec le soir
mon sang fleurit dans mes artères
cette vie semble un pied-à-terre
les jours ont tous les mêmes haillons
j'apprends avec les gens ce que c'est
que vivre ici mais ce que je sais
quand je me tourne vers les rayons
c'est le prénom de Ma-ri-on
je fais mon lit avec le soir
mon sang fleurit dans mes artères
cette vie semble un pied-à-terre
les jours ont tous les mêmes haillons
j'apprends avec les gens ce que c'est
que vivre ici mais ce que je sais
quand je me tourne vers les rayons
c'est le prénom de Ma-ri-on
Cerval- Nombre de messages : 286
Age : 32
Date d'inscription : 09/09/2012
Re: Poésie sous-sérotoninisée
AU BISEAU DES BAISERS
LE TEMPS PASSE TROP VITE
EVITE EVITE EVITE
LES SOUVENIRS BRISES
LE TEMPS PASSE TROP VITE
EVITE EVITE EVITE
LES SOUVENIRS BRISES
Cerval- Nombre de messages : 286
Age : 32
Date d'inscription : 09/09/2012
Re: Poésie sous-sérotoninisée
PABLO MON AMI TU DISAIS AVEC CE LANGAGE ANGOISSANT
OU SE FONT PAROLES ETRANGES
NEST LARGE ESPACE QUE DOULEUR NEST UNIVERS QUE DE SANG
SI LOIN QUE JAILLE RIEN NY CHANGE
NOUS SOMMES LES GENS DE LA NUIT QUI PORTONS LE SOLEIL EN NOUS
IL NOUS BRULE AU PROFOND DE LETRE
NOUS AVONS MARCHE DANS LE NOIR A NE PLUS SENTIR NOS GENOUX
SANS ATTEINDRE LE MONDE A NAITRE
PABLO MON AMI LE TEMPS PASSE ET DEJA SEFFACENT NOS VOIX
ON ENTEND PLUS MEME UN COEUR BATTRE
TOUT NETAIT IL QUE CE QUIL FUT TOUT NETAIT IL QUE CE QUON VOIT
TOUT NETAIT IL QUE CE THEATRE
PABLO MON AMI QUAVONS NOUS PERMIS
LOMBRE DEVANT NOUS SALLONGE SALLONGE
QUAVONS NOUS PERMIS PABLO MON AMI
PABLO MON AMI
NOS SONGES NOS SONGES
OU SE FONT PAROLES ETRANGES
NEST LARGE ESPACE QUE DOULEUR NEST UNIVERS QUE DE SANG
SI LOIN QUE JAILLE RIEN NY CHANGE
NOUS SOMMES LES GENS DE LA NUIT QUI PORTONS LE SOLEIL EN NOUS
IL NOUS BRULE AU PROFOND DE LETRE
NOUS AVONS MARCHE DANS LE NOIR A NE PLUS SENTIR NOS GENOUX
SANS ATTEINDRE LE MONDE A NAITRE
PABLO MON AMI LE TEMPS PASSE ET DEJA SEFFACENT NOS VOIX
ON ENTEND PLUS MEME UN COEUR BATTRE
TOUT NETAIT IL QUE CE QUIL FUT TOUT NETAIT IL QUE CE QUON VOIT
TOUT NETAIT IL QUE CE THEATRE
PABLO MON AMI QUAVONS NOUS PERMIS
LOMBRE DEVANT NOUS SALLONGE SALLONGE
QUAVONS NOUS PERMIS PABLO MON AMI
PABLO MON AMI
NOS SONGES NOS SONGES
Cerval- Nombre de messages : 286
Age : 32
Date d'inscription : 09/09/2012
Re: Poésie sous-sérotoninisée
post-scriptum : J'EMMERDE la modération
< Besoin de vacances ? Nous serions ravis de vous en offrir. Dernier avertissement.
La Modération. >
La Modération. >
Cerval- Nombre de messages : 286
Age : 32
Date d'inscription : 09/09/2012
Re: Poésie sous-sérotoninisée
- Spoiler:
- dommage d’emmerder ceux qui finalement te veulent du bien. et bon courage, sinon.
Invité- Invité
vacance
- Spoiler:
- tu es un peu à l'étroit ici, peut-être. je connais des lieux plus désordonnés, si ça t'intéresse.
Re: Poésie sous-sérotoninisée
j'ai essayé aussi d'utiliser le spoiler, sans succès.
(rétabli)
(en disant ça je ne cherchais pas à être désobligeante pour cet espace qui fonctionne à sa façon, avec des qualités et des défauts, comme partout.)
(rétabli)
(en disant ça je ne cherchais pas à être désobligeante pour cet espace qui fonctionne à sa façon, avec des qualités et des défauts, comme partout.)
Re: Poésie sous-sérotoninisée
pendant ce temps-là, plus loin, dans mon coeur
mon humeur corrèle positivement avec le temps qu'il fait
mais si je prends au temps x une entrée extérieure, et que celle-ci est marion
il n'est besoin que d'une période d'apprentissage pour que je produise la sortie désirée
et mes yeux me disent :
PARIS 430KM
350KM
210KM
150KM
etc
et aussi :
corrélation covariance test t test z fisher student khi² pi² ANOVA données bivariées écarts réduits à la moyenne
éty
ah
moi je ne suis pas dispersé
le nuage de points de mes bisous ça fait un coeur
l'écart type : plus l'infini moins l'infini
oui marion est la plus jolie
sur la courbe de gauss de la beauté cherchez-la toujours plus à l'est
oui comme l'alsace : toute à l'est là où les bretzels sont chauds,
là où le ciel est beau
marion la plus jolie
je lui fais des bisous le jour, je lui fais des bisous la nuit
mon sang est un vin que le soleil tiédit
le printemps est une joie que j'habite avec toitoi
il suffisait de dire que
toutes les ombres des choses tomberont à tes joues
si tu as chaud
si tu as soif
la rue s'ouvrira comme la mer rouge
te regarder c'est toujours être à la terrasse
si tu as faim
mon dieu : suffit-il que je t'embrasse
mon poupon qui ne mérite que les pommes hespérides
mon poupon dont le signe est aux constellations
te regarder c'est toujours être à un café
et rien ne me distrait de ma contemplation que ma contemplation même
les trottoirs semblent mes yeux : lits de tous les phénomènes
qui impliquent que le coeur batte
on parle très simplement de ta marche.
mon coeur
pompe donc tout mon sang : une flèche tirée par dieu
onde qui se perpétue jusqu'à s'ennuyer dans l'espace
et comme les oiseaux c'est toujours la brise qui me meut
la brise : une façon de dire que tu as battu des mains
je t'aime
dans mon esprit les choses se tiennent par la main
aujourd'hui comme demain
elles entrent deux par deux par la cour de récré de mes yeux
drôle de pays des attributs sensibles
les arbres me semblaient mes poumons sans sang
moi
je chantais
ce refrain
gaiement :
et ce poupon et ce poupon et ce poupon.
où va-t-il ? très haut dans le ciel
au niveau des idées
poupons roses, poupons d'étincelles
emplis de fleurs à bras ouverts
maison des vents
la voix débordée de parfums, les yeux emplis de chants
poupon comme un bouquet d'aurores
choisi par Dieu ce fleuriste
poupon
le nez parfait comme un atterrissage d'avion
au paradis
sourire dessiné par dieu d'un geste concis
et ce poupon et ce poupon et ce poupon.
poupon de pureté
je t'aime
tu es plus jolie que les poèmes de quelqu'un qui sait écrire des poèmes.
plus belle que ce que les yeux peuvent voir ou la bouche en dire
les yeux ne te découvrent pas, ils t'habillent, là est la nuance
importante.
elle s'appelle l'amour.
OUI JE LE DIS POUR LES AUTRES....
VOILA QUOI.
pendant que je fumais la millième cigarette de ma vie
j'ai basculé d'un quart dans le miroir
je voulais t'embrasser
comme les autres pouvaient te voir
tu parles comme sur la pointe des pieds
tout langage t'es un perpétuel été
la courbe d'un fleuve est un cil à ta joue
que j'ai de la main essuyé
la courbe du pont ta lèvre que suspend
la vue des miennes
très simplement -
le jour naît à ton cou
je t'aime, je t'aime
et pendant-ce temps là, nonchalamment
dans un pays intérieur
tu es venue comme le soleil sur les docks...
l'amour se cherche inlassablement un haleur
tu as changé pour nous les volets de l'époque
et tu les peins mon coeur de nouvelles couleurs
mon humeur corrèle positivement avec le temps qu'il fait
mais si je prends au temps x une entrée extérieure, et que celle-ci est marion
il n'est besoin que d'une période d'apprentissage pour que je produise la sortie désirée
et mes yeux me disent :
PARIS 430KM
350KM
210KM
150KM
etc
et aussi :
corrélation covariance test t test z fisher student khi² pi² ANOVA données bivariées écarts réduits à la moyenne
éty
ah
moi je ne suis pas dispersé
le nuage de points de mes bisous ça fait un coeur
l'écart type : plus l'infini moins l'infini
oui marion est la plus jolie
sur la courbe de gauss de la beauté cherchez-la toujours plus à l'est
oui comme l'alsace : toute à l'est là où les bretzels sont chauds,
là où le ciel est beau
marion la plus jolie
je lui fais des bisous le jour, je lui fais des bisous la nuit
mon sang est un vin que le soleil tiédit
le printemps est une joie que j'habite avec toitoi
il suffisait de dire que
toutes les ombres des choses tomberont à tes joues
si tu as chaud
si tu as soif
la rue s'ouvrira comme la mer rouge
te regarder c'est toujours être à la terrasse
si tu as faim
mon dieu : suffit-il que je t'embrasse
mon poupon qui ne mérite que les pommes hespérides
mon poupon dont le signe est aux constellations
te regarder c'est toujours être à un café
et rien ne me distrait de ma contemplation que ma contemplation même
les trottoirs semblent mes yeux : lits de tous les phénomènes
qui impliquent que le coeur batte
on parle très simplement de ta marche.
mon coeur
pompe donc tout mon sang : une flèche tirée par dieu
onde qui se perpétue jusqu'à s'ennuyer dans l'espace
et comme les oiseaux c'est toujours la brise qui me meut
la brise : une façon de dire que tu as battu des mains
je t'aime
dans mon esprit les choses se tiennent par la main
aujourd'hui comme demain
elles entrent deux par deux par la cour de récré de mes yeux
drôle de pays des attributs sensibles
les arbres me semblaient mes poumons sans sang
moi
je chantais
ce refrain
gaiement :
et ce poupon et ce poupon et ce poupon.
où va-t-il ? très haut dans le ciel
au niveau des idées
poupons roses, poupons d'étincelles
emplis de fleurs à bras ouverts
maison des vents
la voix débordée de parfums, les yeux emplis de chants
poupon comme un bouquet d'aurores
choisi par Dieu ce fleuriste
poupon
le nez parfait comme un atterrissage d'avion
au paradis
sourire dessiné par dieu d'un geste concis
et ce poupon et ce poupon et ce poupon.
poupon de pureté
je t'aime
tu es plus jolie que les poèmes de quelqu'un qui sait écrire des poèmes.
plus belle que ce que les yeux peuvent voir ou la bouche en dire
les yeux ne te découvrent pas, ils t'habillent, là est la nuance
importante.
elle s'appelle l'amour.
OUI JE LE DIS POUR LES AUTRES....
VOILA QUOI.
pendant que je fumais la millième cigarette de ma vie
j'ai basculé d'un quart dans le miroir
je voulais t'embrasser
comme les autres pouvaient te voir
tu parles comme sur la pointe des pieds
tout langage t'es un perpétuel été
la courbe d'un fleuve est un cil à ta joue
que j'ai de la main essuyé
la courbe du pont ta lèvre que suspend
la vue des miennes
très simplement -
le jour naît à ton cou
je t'aime, je t'aime
et pendant-ce temps là, nonchalamment
dans un pays intérieur
tu es venue comme le soleil sur les docks...
l'amour se cherche inlassablement un haleur
tu as changé pour nous les volets de l'époque
et tu les peins mon coeur de nouvelles couleurs
Cerval- Nombre de messages : 286
Age : 32
Date d'inscription : 09/09/2012
Re: Poésie sous-sérotoninisée
Je salue ici l'habilité du thanatopracteur, bravo Cerval !
Art. Ri- Nombre de messages : 314
Age : 25
Date d'inscription : 28/10/2010
Re: Poésie sous-sérotoninisée
Dommage d'ouvrir un fil avec un texte gnagna sans intérêt, limite rimes école primaire pour finalement, une fois calmé, proposé quelque chose de bien plus intéressant, abouti et qui mériterait d'être partagé avec les lecteurs qui n'auraient pas pris la fuite en voyant la tronche de Marion.
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Poésie sous-sérotoninisée
"OUI JE LE DIS POUR LES AUTRES....
VOILA QUOI."
c'est juste qu'on n'a pas le même âge, mais c'est bien mieux d'être jeune, c'est sûr!
parce qu'après..."avec le temps va, tout s'en va"...
mais
il y a aussi "ça s'en va et ça revient, c'est fait de tout petits riens"
VOILA QUOI."
c'est juste qu'on n'a pas le même âge, mais c'est bien mieux d'être jeune, c'est sûr!
parce qu'après..."avec le temps va, tout s'en va"...
mais
il y a aussi "ça s'en va et ça revient, c'est fait de tout petits riens"
Invité- Invité
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