Redoublements de l'indécis
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Lifewithwords
Krystelle
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Redoublements de l'indécis
Redoublements de l'indécis
Qui, de la rage ou du vent
mon amour
détient la clef
qui, de la rage ou du vent
détient la clef du ciel
détient la clef des champs
laisse-toi aller, allez!
Laisse-toi aller au ciel
doucement
laisse-toi aller, allée
laisse- moi faucher le ciel
mais prends ton temps
c'est si bien beau
mais si là-haut
et si
et seulement si
nous y étoufferions d'aise
sans cils à pleurer
nous-y ennuierions-nous à nous pleurer aussi ?
Alors restons là
pour le moment
tout doucement.
...
Qui, de la rage ou du vent
mon amour
détient la clef
qui, de la rage ou du vent
détient la clef du ciel
détient la clef des champs
laisse-toi aller, allez!
Laisse-toi aller au ciel
doucement
laisse-toi aller, allée
laisse- moi faucher le ciel
mais prends ton temps
c'est si bien beau
mais si là-haut
et si
et seulement si
nous y étoufferions d'aise
sans cils à pleurer
nous-y ennuierions-nous à nous pleurer aussi ?
Alors restons là
pour le moment
tout doucement.
...
Invité- Invité
Re: Redoublements de l'indécis
Ce texte me plait par son traitement personnel et original, par le jeu sur les sons et sur les mots.
En même temps, au-delà du jeu, qu'y a-t-il ?
Un peu d'âme, oui c'est vrai.
Mais un peu seulement...
En même temps, au-delà du jeu, qu'y a-t-il ?
Un peu d'âme, oui c'est vrai.
Mais un peu seulement...
Re: Redoublements de l'indécis
comme Krytelle une nouvelle fois l'impression que tu privilégies le style au fond.
Et pour moi un texte sans style mais avec un vrai fond est plus touchant qu'un texte stylé mais sans fond^^
Cela dit le style ici est très bon ce qui fait qu'on apprécie quand même ton texte!
Et pour moi un texte sans style mais avec un vrai fond est plus touchant qu'un texte stylé mais sans fond^^
Cela dit le style ici est très bon ce qui fait qu'on apprécie quand même ton texte!
Lifewithwords- Nombre de messages : 785
Age : 32
Localisation : Hauts de Seine
Date d'inscription : 27/08/2007
Re: Redoublements de l'indécis
Il y a beaucoup de jeu, c'est vrai, mais j'aime bien. Il faut parfois peu de légèreté, et s'amuser sans pour autant vouloir délivrer un "grand" message.
Panda, ton texte est une bouffée d'air frais, il y a un côté "chanson" très agréable. Perso, je viens de me taper des cours de lexicologie, et ça fait franchement du bien de pouvoir lire un texte de ce genre après :-)
Panda, ton texte est une bouffée d'air frais, il y a un côté "chanson" très agréable. Perso, je viens de me taper des cours de lexicologie, et ça fait franchement du bien de pouvoir lire un texte de ce genre après :-)
Re: Redoublements de l'indécis
Tristan a écrit:Il faut parfois peu de légèreté, et s'amuser sans pour autant vouloir délivrer un "grand" message.
j'admets, tu n'as pas tort...
mais il faut que le texte garde une âme quand même.
Lifewithwords- Nombre de messages : 785
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Re: Redoublements de l'indécis
Oui, mais dans certains courants littéraires, il arrive que le langage soit considéré comme une fin en soi, et non un moyen. Regarde les Grands Rhétoriqueurs ou l'Oulipo
Re: Redoublements de l'indécis
Tristan a écrit:Oui, mais dans certains courants littéraires, il arrive que le langage soit considéré comme une fin en soi, et non un moyen. Regarde les Grands Rhétoriqueurs ou l'Oulipo
J'ai l'impression c'est enlever aux mots la moitié de leur fonction, mais je me trompe peut-être. De plus je ne suis pas hyper calée en courants littéraires et je t'avouerais que je ne connais pas les Grands Rhétoriqueurs ou l'Oulipo^^
Lifewithwords- Nombre de messages : 785
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Localisation : Hauts de Seine
Date d'inscription : 27/08/2007
Re: Redoublements de l'indécis
Faustine a écrit:Tristan a écrit:Oui, mais dans certains courants littéraires, il arrive que le langage soit considéré comme une fin en soi, et non un moyen. Regarde les Grands Rhétoriqueurs ou l'Oulipo
J'ai l'impression c'est enlever aux mots la moitié de leur fonction, mais je me trompe peut-être. De plus je ne suis pas hyper calée en courants littéraires et je t'avouerais que je ne connais pas les Grands Rhétoriqueurs ou l'Oulipo^^
Le "but" en poésie, si je puis dire, est justement de jouer avec les mots et leurs signification, parfois en les malmenant, mais cela afin de retrouver leur véritable sens.
les grands Rhétoriqueurs, ce sont des poètes de la fin du 16è, souvent des poètes de cour, qui se sont illustrés par des jeux de langue. C'est intéressant car cela intervient à un moment ou la langue française commence à se fixer.
Pour l'Oulipo :
http://www.oulipo.net/
:-)
Re: Redoublements de l'indécis
Merci Tristan !
Moi j'aime quand les mots sont beaux, quand à eux seuls ils nous procurent des émotions. Mais quand en plus par leur sens ils sont émouvants aussi, alors là c'est encore mieux !
Mais peut-être qu'il est difficile d'atteindre le meilleur dans les deux cas si on veut le faire en même temps, c'est possible, sinon, ça serait trop facile^^!
Moi j'aime quand les mots sont beaux, quand à eux seuls ils nous procurent des émotions. Mais quand en plus par leur sens ils sont émouvants aussi, alors là c'est encore mieux !
Mais peut-être qu'il est difficile d'atteindre le meilleur dans les deux cas si on veut le faire en même temps, c'est possible, sinon, ça serait trop facile^^!
Lifewithwords- Nombre de messages : 785
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Localisation : Hauts de Seine
Date d'inscription : 27/08/2007
Re: Redoublements de l'indécis
On peut alterner textes graves et textes légers sans dommages.
Quelquefois combiner les deux, y donner beaucoup de temps d'énergie et d'imagination: c'est comme cela, hors génie, que l'on fabrique un chef-d'œuvre. Mais il n'y a pas d'impératif au Chef-d'œuvre pour l'écrivant amateur. A patrir du statut de publié, la formule se complique. Ce n'est pas mon cas.
:-)
Quelquefois combiner les deux, y donner beaucoup de temps d'énergie et d'imagination: c'est comme cela, hors génie, que l'on fabrique un chef-d'œuvre. Mais il n'y a pas d'impératif au Chef-d'œuvre pour l'écrivant amateur. A patrir du statut de publié, la formule se complique. Ce n'est pas mon cas.
:-)
Invité- Invité
Re: Redoublements de l'indécis
Allez, un peu d'âme en plus, si âme toutefois réussit à prendre un sens précis dans ma compréhension.:
L'homme en recherche de grandeur d'âme se retrouve en candeur d'âne, suçant le sucre candy de la vie dans un orage de sens qui ne le fait que saliver, baver peut-être un jour, d'une remontée gastrique à contre-œsophage. De loin, de l'homme je ne suis près que de loin, d'autres se chargent, d'autres s'en chargent, mes regrets d'avoir posté ce léger truc. La distraction n'aurait donc plus court !
Soit. Je prends note.
Je chronique désormais pour télé poche où ô surprise je découvre un bout de vos nouvelles découpées à l'emporte-pièce de Quarkxpress. Que ce que je lise me détestasse, oui, quelle réciprocité, mais me laisse l'occasion d'être ensemble, merci, ô joie de la vie sociale.
L'épisode 1 me plaît, me plaît vraiment, surface acérée de rebord de cul sans poil ni sexe d'ailleurs :
- Ca va Johnny ?
- Oui Johny, et toi Johny ?
- Oui ça va Johnny !
Ah... télé poche, mon éditeur de choix, je suis enfin publié après des années d'errances. La grande heure de l'âme réclame vécu de souffrance et cela les amis, ce n'est pas possible dans son entier, non pas d'avoir essayé, mais n'est pas Marteau qui veut, et n'est pas requin qui suce des glaces Z'a l'eau. Au Japon, la campagne de pêche à la baleine à repris. vous m'envoyez, désolés, pour la survie de l'espèce dont finalement on se moque: je ne m'en ferai pas une nouvelle fois l'interprète, pendant que vous vous astiqueriez les lombaires devant "la petite sirène" que j'emmerde au passage. A Paris, les pluies de colis piégés ont repris entre deux boulevards, un truc est sûr, ils ne sont pas venus en bus. Au sud, on élève des enfants dans des airbus A320 affrétés par une grève de la fin : le rivage leur semble loin. Au nord, ça caille, le père noël ajuste sa barbe et Universal music affûte ses bardes: quel sera le prochain single des flocons ? Je m'en balance, je vole ma musique, comme tout le monde. En Savoie, on lustre les skis, glissade démocratisée sauf pour Courchevel où le Nantis se baigne au Ruinard sans que cela déclenche la moindre bulle de savon dans nos cœurs vaillants croisés de Pletex et d'injustice. Ne comptez encore pas sur moi pour déclencher une avalanche d'essais-lutte-des-classes de neige, j'ai déjà ma bonne étoile accrochée au revers du blason. Je descente, indécent, aux trois Vallées, suffisamment en moyenne pour retenir l'envie en moi d'écrire sur les méandres de la rivière aux œufs pourpres. Assez. Et si le jeu vous lasse, lequel vous paraît quelque peu sans corps, alors je m'en excuse, j'aurais voulu vivre après-guerre, et ne parler qu'au Flore. Mais ce serait me priver de Gobu et de Tristan. Zut. Aux pierres angulaires des tracas ovariens quotidiens, j'apporte ma Ze Pandas'touch, complexe tampon ensanglanté de fiction-réalité : je n'ai pas la chance de m'assouvir devant la Starac. Si demain la larme l'emporte alors Mardi sera drôle, le yin-yang appliqué au yo-yo hebdomadaire me fait un réservoir de rechange avec lequel je n'éprouve pas le besoin de boire pour au moins 2 jours entiers. J'exècre les dépendances, les stabilités, les réponses et la période qui circule entre le 24 décembre 17 heures et le 22 mars 23 heures 59.
A babord de mon nouvel appartement se situe le "Upper Serangoon shopping Center" bordé d'hôtels à deux balles, je me rappelle soudain la vindicte de Tante LiLy : "- n'y va pas , il n'y a rien à voir!". J'irai un jour cependant, faire concurrence à Bertrand pour décrire l'esclave, un thème qui définitivement me reste en travers de la gorge comme un boulet de fonte.
Tirer oui, à boulets rouges, non plus vraiment, la rage décuple la faute et se noie dans la flaque de ces après-midi de moussons où personne n'écoute que TF1 ou son correspondant local Channel 5. Alors je joue, oui, peut-être sans ce supplément d'âme que l'on attendrait de moi, et ploc ! je vous rappelle que de philosophes je ne suis pas famille. De politiciens non plus, de résolvateurs encore moins. Détracteur du monde détraqué est une notion qui tracte à elle seule mon refus le plus complet : le monde, c'est moi inclus.
Le crachat en effet boomerang est potentiellement risqué pour son lanceur, et ma mère me l'a interdit très tôt. Que je salue au passage. Il n'est pas de "petits Coucous", même s'il est par le monde de Grands Cocus, espèces de laquelle je ne fais heureusement pas partie. J'exerce une certaine pression sur un demi pour qu'il vienne me récompenser des mes efforts vitaux : je l'ai mérité, moi le baladeur de la ville qui déménage à tout va tous les soixante jours en moyenne à l'automne tardif. Servez-vous d'une idée au pif dans ce texte à ma santé. Je ne les compte déjà plus moi-même. Le jeu en vaut la chandelle même si je suis de mèche. Panda-Brûlot ne s'allume qu'à la veille des "twinkle bell". Patienteriez-vous jusque là, petits et grands ?
Papadâme tsoin-tsoin.
Johnny à d'l'idée ou syndrome Expulsif.
L'homme en recherche de grandeur d'âme se retrouve en candeur d'âne, suçant le sucre candy de la vie dans un orage de sens qui ne le fait que saliver, baver peut-être un jour, d'une remontée gastrique à contre-œsophage. De loin, de l'homme je ne suis près que de loin, d'autres se chargent, d'autres s'en chargent, mes regrets d'avoir posté ce léger truc. La distraction n'aurait donc plus court !
Soit. Je prends note.
Je chronique désormais pour télé poche où ô surprise je découvre un bout de vos nouvelles découpées à l'emporte-pièce de Quarkxpress. Que ce que je lise me détestasse, oui, quelle réciprocité, mais me laisse l'occasion d'être ensemble, merci, ô joie de la vie sociale.
L'épisode 1 me plaît, me plaît vraiment, surface acérée de rebord de cul sans poil ni sexe d'ailleurs :
- Ca va Johnny ?
- Oui Johny, et toi Johny ?
- Oui ça va Johnny !
Ah... télé poche, mon éditeur de choix, je suis enfin publié après des années d'errances. La grande heure de l'âme réclame vécu de souffrance et cela les amis, ce n'est pas possible dans son entier, non pas d'avoir essayé, mais n'est pas Marteau qui veut, et n'est pas requin qui suce des glaces Z'a l'eau. Au Japon, la campagne de pêche à la baleine à repris. vous m'envoyez, désolés, pour la survie de l'espèce dont finalement on se moque: je ne m'en ferai pas une nouvelle fois l'interprète, pendant que vous vous astiqueriez les lombaires devant "la petite sirène" que j'emmerde au passage. A Paris, les pluies de colis piégés ont repris entre deux boulevards, un truc est sûr, ils ne sont pas venus en bus. Au sud, on élève des enfants dans des airbus A320 affrétés par une grève de la fin : le rivage leur semble loin. Au nord, ça caille, le père noël ajuste sa barbe et Universal music affûte ses bardes: quel sera le prochain single des flocons ? Je m'en balance, je vole ma musique, comme tout le monde. En Savoie, on lustre les skis, glissade démocratisée sauf pour Courchevel où le Nantis se baigne au Ruinard sans que cela déclenche la moindre bulle de savon dans nos cœurs vaillants croisés de Pletex et d'injustice. Ne comptez encore pas sur moi pour déclencher une avalanche d'essais-lutte-des-classes de neige, j'ai déjà ma bonne étoile accrochée au revers du blason. Je descente, indécent, aux trois Vallées, suffisamment en moyenne pour retenir l'envie en moi d'écrire sur les méandres de la rivière aux œufs pourpres. Assez. Et si le jeu vous lasse, lequel vous paraît quelque peu sans corps, alors je m'en excuse, j'aurais voulu vivre après-guerre, et ne parler qu'au Flore. Mais ce serait me priver de Gobu et de Tristan. Zut. Aux pierres angulaires des tracas ovariens quotidiens, j'apporte ma Ze Pandas'touch, complexe tampon ensanglanté de fiction-réalité : je n'ai pas la chance de m'assouvir devant la Starac. Si demain la larme l'emporte alors Mardi sera drôle, le yin-yang appliqué au yo-yo hebdomadaire me fait un réservoir de rechange avec lequel je n'éprouve pas le besoin de boire pour au moins 2 jours entiers. J'exècre les dépendances, les stabilités, les réponses et la période qui circule entre le 24 décembre 17 heures et le 22 mars 23 heures 59.
A babord de mon nouvel appartement se situe le "Upper Serangoon shopping Center" bordé d'hôtels à deux balles, je me rappelle soudain la vindicte de Tante LiLy : "- n'y va pas , il n'y a rien à voir!". J'irai un jour cependant, faire concurrence à Bertrand pour décrire l'esclave, un thème qui définitivement me reste en travers de la gorge comme un boulet de fonte.
Tirer oui, à boulets rouges, non plus vraiment, la rage décuple la faute et se noie dans la flaque de ces après-midi de moussons où personne n'écoute que TF1 ou son correspondant local Channel 5. Alors je joue, oui, peut-être sans ce supplément d'âme que l'on attendrait de moi, et ploc ! je vous rappelle que de philosophes je ne suis pas famille. De politiciens non plus, de résolvateurs encore moins. Détracteur du monde détraqué est une notion qui tracte à elle seule mon refus le plus complet : le monde, c'est moi inclus.
Le crachat en effet boomerang est potentiellement risqué pour son lanceur, et ma mère me l'a interdit très tôt. Que je salue au passage. Il n'est pas de "petits Coucous", même s'il est par le monde de Grands Cocus, espèces de laquelle je ne fais heureusement pas partie. J'exerce une certaine pression sur un demi pour qu'il vienne me récompenser des mes efforts vitaux : je l'ai mérité, moi le baladeur de la ville qui déménage à tout va tous les soixante jours en moyenne à l'automne tardif. Servez-vous d'une idée au pif dans ce texte à ma santé. Je ne les compte déjà plus moi-même. Le jeu en vaut la chandelle même si je suis de mèche. Panda-Brûlot ne s'allume qu'à la veille des "twinkle bell". Patienteriez-vous jusque là, petits et grands ?
Papadâme tsoin-tsoin.
Invité- Invité
Re: Redoublements de l'indécis
Sans commentaire.
Pas que ça me dérangerait d'avoir un nouveau texte-réponse de la veine de celui-ci mais bref...
Pas que ça me dérangerait d'avoir un nouveau texte-réponse de la veine de celui-ci mais bref...
Re: Redoublements de l'indécis
pandaworks a écrit: Grands Cocus
Ca mérite chanson
"Un jour un cocu me disait
Que sa femme que l'on baisait
Etait femme d'un autre
Un cocu mène l'autre
Les cocus sont gentils oiseaux
Au yeux des amants ils sont beaux
Car l'un est fait pour l'autre
Un cocu mène l'autre" etc...
:-)
Re: Redoublements de l'indécis
Krystelle a écrit:Sans commentaire.
Pas que ça me dérangerait d'avoir un nouveau texte-réponse de la veine de celui-ci mais bref...
Exact! je vous épargnerai d'ailleurs un autre. La semaine s'annonce chargée.
Invité- Invité
Re: Redoublements de l'indécis
Je parle ici du premier texte qualifié de sans âme ou presque, de trop léger. Marrant les divergences d'opinion (mais tout dépend aussi souvent de la manière avec laquelle on les exprime) parce que je trouve au contraire qu'il y a quelque chose de grave et profond derrière ces lignes, comme un cri, un appel vers quelque chose, qu'on attend, qu'on regrette, qui ne vient pas, que sais-je encore.
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Redoublements de l'indécis
Je réagis aussi au premier poème qui, comme à Sahkti, me laisse l'impression d'une réflexion, une recherche, un questionnement, une résignation aussi, tout cela déguisé sous un aspect aérien, faussement léger. J'ai beaucoup aimé.
Invité- Invité
Re: Redoublements de l'indécis
Il me semble assez lourdeau de penser que le charme, la grâce, la légèreté sont synonymes de superficialité et de futilité. Il y a beaucoup d'élégance à camoufler ainsi la gravité sous le sourire. Moi aussi, j'aime beaucoup.
Re: Redoublements de l'indécis
Johnny à d'l'idée ou syndrome Expulsif.
Dédoublement de l'indécis?
Roz-gingembre- Nombre de messages : 1044
Age : 61
Date d'inscription : 14/11/2008
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