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C'est une histoire d'enfance

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Message  Raoulraoul Lun 3 Fév 2014 - 14:22

C’est une histoire d’enfance

Amédée Dubreuil était d’une nature un tantinet vétilleuse.
L’écran de son ordinateur s’éteignit, l’indicatif de fermeture tinta dans le silence de la pièce.
Amédée venait d’envoyer au père de l’enfant, un livre qu’il avait commandé, puis il  retourna à ses occupations avec la satisfaction que vous procure d’être l’auteur d’un cadeau pour un ami qu’on estime.
Mais au fur et à mesure des heures et même des jours, Amédée ne put s’empêcher de penser aux motivations de son geste, qu’il avait cru d’abord spontané et foncièrement désintéressé. Il savait que le livre parviendrait à un père vivant avec son enfant. Cette coïncidence probablement au départ expliquait la cause de son intention. Amédée jusque-là n’avait jamais imaginé une si heureuse rencontre entre le sujet d’un roman et la réalité de son lecteur. L’auteur du livre était un de ceux que préférait Amédée, il avait le talent de toucher le lecteur dans son intimité la plus secrète.
Comme il s’y attendait, le père de l’enfant dès la réception du livre, téléphona à Amédée pour le remercier. Entre le père et Amédée des liens courtois les unissaient, mais pas jusqu’au point d’offrir un livre sur un sujet qui devait s’immiscer dans leur vie personnelle. Pourtant cet imprévu arriva. Les paroles hésitantes du père, au téléphone, trahissait bien sûr son étonnement, elles ressemblaient à aux brumes qui obscurcissent les paysages. Amédée, lui, justifia d’abord son acte par l’admiration qu’il portait à l’écrivain et enfin par le thème qui ne manquerait pas précisément d’intéresser le père d’un l’enfant. La conversation s’acheva avec un peu d’embarras.  
Dans la bibliothèque d’Amédée Dubreuil un exemplaire du même ouvrage y figurait déjà, il faisait partie de l’œuvre imposante de l’écrivain qu’Amédée bien sûr possédait presque en totalité. Dans une édition de Gallimard, Amédée pouvait lire sur la couverture blanche, le titre en lettres rouges « Histoire d’enfant ». Il imaginait avec amusement le même livre posé sur l’un des meubles du père ou sur le siège d’un fauteuil ou tout simplement trainant par terre, sur le tapis, au milieu des jouets de l’enfant. Une « Histoire d’enfant »  dans la vie de l’enfant avec son père. Cette mise en situation du livre troubla beaucoup Amédée. Si elle échappera à l’enfant, elle ne laissera pas indifférent le père. Celui-ci n’avait-il pas au téléphone demandé à Amédée si cette histoire d’enfant était du vécu ? C’était à cette condition, sembla-t-il, que le père se sentirait concerné. Amédée en profita aussi pour faire comprendre au père que ses impressions de lecture seront très attendues.
Mais subitement Amédée réalisa le dispositif qu’il venait malgré lui de mettre en place. Il observa le livre, devant lui, posé sur le siège de son propre fauteuil, pareil à une personne qui le regardait et la réplique du même livre, sur le fauteuil du père, à plusieurs centaines de kilomètres, dans une grande ville. Cette similitude créait alors comme une sorte de contrat entre Amédée et le père. Un lien d’obligation pour une histoire personnelle qu’Amédée pourtant jusque là n’avait jamais cherchée avec le père. Cette nécessité poussa Amédée à ne pas laisser reposer plus longtemps  le livre sur le fauteuil. Il le prit et l’ouvrit.
Il remarqua immédiatement les nombreux passages soulignés au crayon. C’était une de ses manies depuis quelques d’années. Amédée, durant ses congés, préparait toujours des projets pour la rentrée de la prochaine saison universitaire. Lectures, recherches, prises de notes et dossiers divers à rédiger constituaient la majeure partie de son temps.
Mais Amédée Dubreuil se sentit aspiré par cette « Histoire d’enfant ». Il ne pouvait plus se dérober. Le livre n’était pas épais, il se résolut enfin à le relire entièrement.
Cette fois de nouveaux enjeux motivèrent sa lecture. Chaque ligne qu’il décryptait aura-t-elle le même écho, dans l’esprit du père qui feuillettera les mêmes pages ? La lecture d’Amédée prit l’allure d’une vérification autant que celle d’un questionnement sur les relations qui pouvaient se nouer entre un père et son enfant. Au fond, Amédée soupçonnait d’autres raisons combien plus mystérieuses que celles d’abord qui lui furent dictées dans l’immédiateté de son envoi. Ils ne les découvrira que sourdement, par brefs éclairs de conscience qu’il admettra difficilement.
Pour l’heure le style de l’auteur à nouveau le surprit. Il en avait oublié l’aridité, la précision qui exigeait la plus extrême attention. Ce fut encore un nouveau défi qu’il avait lancé au père de l’enfant. De quelle manière allait-il s’abandonner aux méandres multiples de la pensée de l’écrivain ? Amédée, lui-même, ne devait-il pas se les réapproprier pour en apprécier la finesse ? L’impression générale qui se dégageait fut que cette Histoire d’Enfant ne ressemblait justement pas à ce qu’on pouvait en attendre. Nulle tendresse, nulle sensiblerie. C’était un récit clinique, sans complaisance, des effets de la présence d’un enfant dans la vie d’un adulte. Et ce récit froid constituait peut-être le motif principal qui avait conduit Amédée à adresser ce livre à un père que la fusion avec son enfant troublait étrangement.
Dans l’appartement régnait un ordre approximatif, tout indiquait une existence tranquille. Seuls les actes ordinaires du quotidien imposaient ses petits relâchements ; un verre à moitié vide oublié sur un meuble, des vêtements jetés sur une chaise, des livres, cassettes, cd,  hors de leurs étagères de rangement, une paire de chaussures abandonnée dans le hall, une boîte de cigarillos entamée et ouverte au milieu des livres… Le silence emmaillotait cette pause des objets. Un silence d’immeuble paisible que les conversations feutrées des voisins parfois animaient. Amédée soudainement s’étonna de cette sérénité. Il se mit à la savourer comme un privilège, une épiphanie, une oasis dans un désert qui le protégeait contre l’agitation et les opinions qui assaillaient la mentalité des hommes. Toutefois il ne savait s’il devait se réjouir de l’absence d’enfant,  car aussitôt la culpabilité noircissait son bonheur. Le capharnaüm d’une maison de père ne dérange-t-il pas les pensées ? Ce laisser-vivre débridé des choses que réclame l’espace d’un enfant dépassait l’entendement d’Amédée Dubreuil. C’était pour cela qu’un sentiment d’admiration et d’incompréhension le confrontaient à tous les pères d’enfant.
Au cours de sa lecture Amédée pointa chaque passage où le père pourrait se reconnaître. Ces passages seraient une explication ou un vaste champ d’interrogations s’ouvrant au père lisant ... Amédée éprouva alors un mélange de fierté et de désarroi dans les raisons de son acte. Les passages qui s’écartaient de la réalité du père évidemment l’ennuyaient et l’agaçaient profondément. Il se concentra donc sur le style de l’auteur qu’il espérait pouvoir intéresser le père et même susciter son enthousiasme. Partager en commun le goût pour un même livre était pour Amédée un événement réjouissant. Une communication, certes, frisant l’impudeur, mais c’était à ce prix sans doute qu’il fallait se livrer au risque de l’inconnu.
Le soir venant masquait les meubles d’un suaire d’ombre. Amédée Dubreuil alors fut pénétré d’une impression nouvelle qu’il accepta péniblement. Elle rendait le goût du cigarillo qu’il mâchouillait bien fade. Si la difficulté du livre - l’âpreté de son auteur - s’avérait secrètement participer aux motivations d’Amédée, faisant de ce cadeau un ennui probable, une provocation arrogante en fin de compte se nichait dans cette intention amicale. Pourquoi donc dans ce cas Amédée avait-il cédé à cette impulsion tellement équivoque ?


« Histoire d’enfant » représentait tout ce qui éloignait Amédée de cette histoire. Et cette éloignement était ce que Amédée devait solutionner. Le père de l’enfant représentait ce que Amédée  ne pouvait être. Une différence qui  expliquait toute l’amertume et la fascination pour celui à qui cette grâce n’était pas donnée. L’histoire d’enfant était celle de l’adulte. Alors ne restait à ce dernier que le défoulement de tirer sur le père qu’il n’avait pas su être. Il tirait avec les armes qu’il disposait, le livre de son auteur favori qui racontait ce dilemme. Le livre se voulait un avertissement contre l’excès fusionnel, mais aussi une incitation à la responsabilité qu’il n’avait pas eu.
La nuit assiégeait maintenant l’immeuble. Amédée alluma une lampe et décida d’écrire l’histoire d’un homme qui envoie le récit d’une « Histoire d’enfant » au géniteur de l’enfant dont il sera l’éducateur.
Amédée, une boule de plomb dans l’estomac, attendait le coup de fil que devait lui passer le père, quand il aura lu le livre, pour lui dire « ce qu’il en pensait ». Ce pourrait être le sujet d’un prochain chapitre, s’imagina Amédée.
Mais cette épisode arriva plus vite que prévu, quelques jours plus tard aux environs de midi.
Amédée Dubreuil savourait un verre de vin rosé et frais en cette période de canicule qui s’installait dans le pays. Le téléphone retentit. Le nom du correspondant s’afficha sur l’écran. Amédée hésita avant de décrocher. Aussitôt les premières paroles de courtoisie échangées, la voix du père se fit plus sourde, ses mots plus laborieux, avec des silences qu’Amédée ne chercha pas à combler. Lui-même sentit une appréhension le gagner mais il ne refusa pas cet instant. Il savait qu’il augurait une annonce primordiale. Le couronnement peut-être d’une série de faits qui au fond lui avait tant coûtée. Puis enfin la parole du père se libéra :
« Voilà… Ma maison est très en désordre… il y a des jouets partout, c’est le bazar, et j’ai dû égarer le livre. Je suis franchement désolé. Peut-être que c’est Chloé qui l'a fichu quelque part en jouant… » . Il se confondit en regrets, expliquant que sa période de congé lui aurait permis de lire le livre tranquillement.
Amédée raccrocha le téléphone avec une douceur qui ressemblait à de la lassitude.
Il jeta quelques glaçons dans son verre, dont le vin s’éclaircit de plus en plus, le goût de l’eau  noyant maintenant celui du vin. Amédée se dit que c’était préférable ainsi. Il avait toujours eu une prédilection pour l’eau, sa transparence qui permet de regarder à travers.
Et cette transparence, pour Amédée Dubreuil, faisait partie d’un idéal qui ne pouvait remonter inévitablement qu’à l’enfance.  

**
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Message  Polixène Mar 4 Fév 2014 - 20:41

La première moitié du texte est touffue, voire pénible à lire (l'innombrable répétition des mêmes mots?), mais la seconde partie s'aère un peu, bien que l'intervention explicative du narrateur m'ait dépitée.
L'idée sympathique nous donne espoir d'approfondissement des sentiments du non-père (si peu s'en expliquent! ), mais non, on reste en surface. On reste anecdotique, et voilà, c'est frustrant, quant on sait de quoi tu es capable!!!
Ceci dit l'anecdote ne manque pas de charme.
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Message  jfmoods Lun 10 Fév 2014 - 12:27

Commençons par la forme.

Ce texte manque un peu de virgules. L'impression pénible d'être en apnée, parfois.

Voici quelques passages problématiques (orthographe, syntaxe, correspondances de temps...).

"Amédée en profita aussi pour faire comprendre au père que ses impressions de lecture  seront très appréciés..."
"le coup de fil que devait lui passer le père, quand il aura lu le livre.."
"Entre le père et Amédée des liens courtois les unissaient..."
"… un exemplaire du même ouvrage y figurait déjà..."
"Les paroles hésitantes du père, au téléphone, trahissait..."
"Mais cette épisode..."

Ce "mais", justement, a tendance à revenir de manière un peu trop systématique en début de paragraphe...

Amédée commençant par une voyelle, il conviendrait de mettre une apostrophe avant dans chaque situation concernée.

Venons-en au fond.

Le personnage principal souffre de deux déficits vis-à-vis de l'autre : si ce dernier est père, il est aussi écrivain. Ce qui n'est pas le cas d'Amédée. Rien, en effet, ne nous laisse entrevoir que ce dernier occupe une autre fonction que celle d'enseignant ("Amédée, durant ses congés, préparait toujours des projets pour la rentrée de la prochaine saison universitaire. Lectures, recherches, prises de notes et dossiers divers à rédiger constituaient la majeure partie de son temps."). La barrière est donc double entre eux. D'où ce livre, qui fait office de truchement, d'intercesseur entre les deux personnages. Ce livre constitue la seule manière, pour Amédée, d'espérer atteindre l'autre, de l'amener à réagir face à un questionnement insoluble ("un sentiment d’admiration et d’incompréhension le confrontaient à tous les pères d’enfant"). Qu'attend donc Amédée, en vérité, de l'envoi de ce livre ? Question légitime. Ce qui caractérise le personnage, c'est la solitude qui hante son univers (" ….  dans le silence de la pièce.", "Le silence emmaillotait cette pause des objets.", "Le soir venant masquait les meubles d’un suaire d’ombre."). Un homme seul, seul avec ses pensées. Se dresse alors, chez le lecteur, le questionnement de Panurge à Pantagruel sur le mariage, questionnement valable pour tant d'autres événements de la vie. Questionnement comique. Questionnement pathétique ("Toutefois il ne savait s’il devait se réjouir de l’absence d’enfant, car aussitôt la culpabilité noircissait son bonheur.."). On se dit qu'Amédée est ballotté par un même type de problématique, le père de l'enfant ayant un peu le statut de Pantagruel, de celui à qui est dévolue la charge improbable de trancher, de donner une réponse. Évidemment, avec le livre, Amédée fait tout pour que cette réponse conforte sa situation actuelle, pour que l'autre se sente obligé d'admettre qu'il s'est trompé, qu'il est décidément impossible d'être heureux tout en ayant un enfant. Attente pourtant tout à fait vaine car les dés sont pipés d'avance. L'autre est père, il se trouve de l'autre côté de la frontière. Tous deux sont définitivement séparés par la barrière infranchissable que constitue la naissance de l'enfant. Seul l'autre se trouve en mesure de comprendre ce qui est en jeu dans ce qui les sépare. Comme il est d'un naturel poli et qu'il ne souhaite pas froisser Amédée, il répond par un bottage en touche qui élude toute ébauche de brouille, renvoyant Amédée à ses doutes ("avec une douceur qui ressemblait à de la lassitude."). Amédée ne saura jamais parce qu'il n'y a rien à savoir. Parce que la réponse n'est inscrite nulle part. La vie est imprévisible. Elle ne s'éprouve (dans l'épanouissement, l'échec) qu'à travers l'expérience qu'on en fait. Cette "transparence" recherchée ne saurait représenter qu'un idéal parce qu'Amédée se montre impuissant à traverser le miroir des apparences.

On remarque, ici, comme dans d'autres de tes productions (Étranges étrangers, Profondeur, silence et vodka, Les multiples d'Éros, Dialogue extrême), l'image assez obsessionnelle de la dualité, du double.
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Message  Raoulraoul Jeu 13 Fév 2014 - 17:23

Avec ce texte j'ai voulu explorer une autre écriture introspective. Autre style donc.
Celui qui pourrait m'aider à comprendre. Le résultat n'est pas concluant. Il y a des bavures partout. Ce genre ne doit pas être ma voie... Votre œil expérimenté n'a pas été dupe. Votre regard doit servir à nettoyer le mien. Merci pour votre scanner.
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Message  seyne Jeu 13 Fév 2014 - 21:55

ce qui est gênant c'est qu'on avait l'impression, à la lecture, d'un texte jeté là sans avoir été relu, ni approfondi.
L'idée de départ est troublante, mystérieuse comme ce livre dont très peu est révélé, et ça mériterait vraiment d'être retravaillé.
Offrir à celui qui vit une expérience vitale qu'on ignore, que peut-être on a éludée, un livre qui l'interrogerait profondément sur elle....c'est comme un doute renversé, renvoyé en reflet (enfin c'est ce que j'ai compris).
Très juste ce que dit jfmoods du double dans tes textes.
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Message  Sahkti Jeu 17 Juil 2014 - 9:10

Le mystère entretenu dans ce texte quant aux motivations réelles, aux identités, aux réactions... n'est pas déplaisant du tout et permet de maintenir ce récit la tête hors de l'eau, tant l'écriture est dense et le manque d'aérations important. Il me semble que les silences du narrateur auraient dû être davantage mis en valeur, par la mise en forme ou autre, et que ses multiples hésitations et embarras auraient pu être mieux exploités. Cela aurait peut-être renforcé le tout sans courir le risque d'essouffler le lecteur ou de lui laisser l'impression qu'il est passé à côté d'un truc pendant sa lecture. Dommage pour cet aspect-là, parce qu'on sent qu'il y a du tout bon là-derrière mais que le traitement apporté n'est sans doute pas celui qui convient.
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Message  Raoulraoul Sam 19 Juil 2014 - 17:33

Merci Sahkti pour ton commentaire. Tout à fait d'accord avec toi. C'est un texte à revoir, épurer.
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