L'enfant et l'esprit
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L'enfant et l'esprit
Elle était assise sur un morceau de hêtre,
Mort depuis longtemps dans ce sombre bois.
Priant pour que la douleur que lui procurais la vie s'arrête,
Elle priait pour ne plus avoir froid.
Pauvre enfant dont la lente agonie ne tuais pas,
Son mal invisible restait secret,
Et sur ses bras des marques de violence qu'on ne voit pas,
Et que seule le soir elle s'infligeait.
Une lumière vint éclairer ce qui était sombre,
Les noirs corbeaux devinrent de blanches colombes.
Dans ses mains entrouvertes, de la neige venais de s'inventer,
Ses pleures se transformèrent en rires saccadés,
Un sourire se dessina sur son visage habité par les ténèbres,
Elle reçut un ultime baiser sur les lèvres.
Qui était donc le mystérieux enfant qui venait de la sauver ?
Serais-ce un rêve ou la réalité ?
Esprit de la forêt que tout le monde avait oublié,
Depuis longtemps caché dans ses bois,
Envahit d'une pesante solitude que personne ne venait dissiper,
Il entraperçut une enfant tout comme lui au loin.
Pauvre enfant qu'autrefois les gens avaient délaissé,
Remplis de rêve et de magie il ne bougeait pas,
<< Fermes les yeux et laisses moi t'inventer,
Un pays où jamais plus tu ne pleureras >>
Une lumière vînt éclairer leurs solitudes qui disparus,
Ce qu'ils n'osaient croire était pourtant apparu.
Lui tenant la main tandis que la neige continuait de tomber,
Il lui déposa sur ses lèvres l'ultime baiser.
Il lui donna la mort, remplies d'étoiles, de magie et de sourire,
Puis s'allongea au côté de l'enfant qui venait de mourir.
Fermant les yeux il partit lui aussi.
Deux êtres différents à jamais réunit.
Mort depuis longtemps dans ce sombre bois.
Priant pour que la douleur que lui procurais la vie s'arrête,
Elle priait pour ne plus avoir froid.
Pauvre enfant dont la lente agonie ne tuais pas,
Son mal invisible restait secret,
Et sur ses bras des marques de violence qu'on ne voit pas,
Et que seule le soir elle s'infligeait.
Une lumière vint éclairer ce qui était sombre,
Les noirs corbeaux devinrent de blanches colombes.
Dans ses mains entrouvertes, de la neige venais de s'inventer,
Ses pleures se transformèrent en rires saccadés,
Un sourire se dessina sur son visage habité par les ténèbres,
Elle reçut un ultime baiser sur les lèvres.
Qui était donc le mystérieux enfant qui venait de la sauver ?
Serais-ce un rêve ou la réalité ?
Esprit de la forêt que tout le monde avait oublié,
Depuis longtemps caché dans ses bois,
Envahit d'une pesante solitude que personne ne venait dissiper,
Il entraperçut une enfant tout comme lui au loin.
Pauvre enfant qu'autrefois les gens avaient délaissé,
Remplis de rêve et de magie il ne bougeait pas,
<< Fermes les yeux et laisses moi t'inventer,
Un pays où jamais plus tu ne pleureras >>
Une lumière vînt éclairer leurs solitudes qui disparus,
Ce qu'ils n'osaient croire était pourtant apparu.
Lui tenant la main tandis que la neige continuait de tomber,
Il lui déposa sur ses lèvres l'ultime baiser.
Il lui donna la mort, remplies d'étoiles, de magie et de sourire,
Puis s'allongea au côté de l'enfant qui venait de mourir.
Fermant les yeux il partit lui aussi.
Deux êtres différents à jamais réunit.
Re: L'enfant et l'esprit
Un texte joli et délicat, mais il va falloir penser à virer toutes ces fautes qui finissent par gêner la lecture. Beaucoup de sensibilité, au demeurant !
Lucy- Nombre de messages : 3411
Age : 46
Date d'inscription : 31/03/2008
Re: L'enfant et l'esprit
Il y a une naïveté qui fait tout le charme de ce poème, et effectivement des maladresse et des fautes d'orthographes qui auraient besoin d'être corrigées (pour que le naïf ne soit pas maladroit).
Ce qui m'a touchée c'est le côté noir et blanc, un peu comme un vieux film expressionniste, et puis le thème du caché/découvert.
Le baiser de mort, la neige apaisante, viennent comme une aide pour sortir d'un entre-deux douloureux, entre mort et vie. L'idée que l'amour se trouve du côté de la mort rappelle Andersen, la petite vendeuse d'allumettes, et tout le poème a l'allure d'un conte.
Ce qui m'a touchée c'est le côté noir et blanc, un peu comme un vieux film expressionniste, et puis le thème du caché/découvert.
Le baiser de mort, la neige apaisante, viennent comme une aide pour sortir d'un entre-deux douloureux, entre mort et vie. L'idée que l'amour se trouve du côté de la mort rappelle Andersen, la petite vendeuse d'allumettes, et tout le poème a l'allure d'un conte.
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