Inquiète destinée
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Inquiète destinée
Mes yeux inassouvies contemplez la nature
Qui sourit. Et vous mes sens endoloris
Enlevez de votre chair toute éclaboussure
Qui pétrissent votre vie et la rendent flétri.
Pleurez, riez, vivez, remerciez votre dieu,
Il est évident que votre vie est un jeu,
Car celle-ci est éphémère mais l’éternité,
Quoique critiqué, elle durera à jamais.
Aujourd'hui le choix t'appartient tu peut,
Soit déraciner les échardes de tes yeux,
Ou les cultiver aveuglément dans leur creux.
Sache que ta culpabilité grondera
Elle t'en vaudra intensément et te dira :
Hélas car ta belle vie est maintenant feu.
Qui sourit. Et vous mes sens endoloris
Enlevez de votre chair toute éclaboussure
Qui pétrissent votre vie et la rendent flétri.
Pleurez, riez, vivez, remerciez votre dieu,
Il est évident que votre vie est un jeu,
Car celle-ci est éphémère mais l’éternité,
Quoique critiqué, elle durera à jamais.
Aujourd'hui le choix t'appartient tu peut,
Soit déraciner les échardes de tes yeux,
Ou les cultiver aveuglément dans leur creux.
Sache que ta culpabilité grondera
Elle t'en vaudra intensément et te dira :
Hélas car ta belle vie est maintenant feu.
andrewalyacoub- Nombre de messages : 66
Age : 26
Localisation : Iraq
Date d'inscription : 01/05/2012
Re: Inquiète destinée
Dommage parce que le thème m'inspirait bien pour ce qu'il évoquait, mais les fautes de syntaxe et d'orthographe m'ont empêchée de rentrer pleinement dans le poème... (cf plus bas)
Mes yeux inassouvis contemplez la nature
(...)
Qui pétrissent votre vie et la rendent flétrie.
(...)
Quoique critiquée, elle durera à jamais.
Aujourd'hui le choix t'appartient tu peux,
(...)
Elle t'en vo(?)udra intensément et te dira :
(...)
Mes yeux inassouvis contemplez la nature
(...)
Qui pétrissent votre vie et la rendent flétrie.
(...)
Quoique critiquée, elle durera à jamais.
Aujourd'hui le choix t'appartient tu peux,
(...)
Elle t'en vo(?)udra intensément et te dira :
(...)
isa- Nombre de messages : 559
Age : 33
Localisation : Elbonerg
Date d'inscription : 08/04/2009
Re: Inquiète destinée
J'aime beaucoup les images des vers 10 et 11. Je te propose une version alternative à ton sonnet qui t'aidera, je l'espère, à en retravailler la forme.
Mes yeux inassouvis, contemplez la nature
Qui sourit ! Quant à vous, sens endoloris,
Nettoyez cette chair de toute éclaboussure
Qui souille, broie, désole, contamine, flétrit.
Pleurez, riez, vivez, remerciez votre dieu,
Car la vie ne s'éprouve ailleurs que dans le jeu !
Un souffle la couronne. Haute, l’éternité
Est incommensurable à notre vanité.
Te voici, à présent, libre du choix. Tu peux,
Soit déraciner les échardes de tes yeux,
Ou bien les cultiver, à l'aveugle, en leurs creux.
Ta conscience, un beau jour, sourdement grondera
À ta fuite obstinée. Alors, elle te dira :
Ta vie, cuite au renoncement, n'est plus que feu.
Mes yeux inassouvis, contemplez la nature
Qui sourit ! Quant à vous, sens endoloris,
Nettoyez cette chair de toute éclaboussure
Qui souille, broie, désole, contamine, flétrit.
Pleurez, riez, vivez, remerciez votre dieu,
Car la vie ne s'éprouve ailleurs que dans le jeu !
Un souffle la couronne. Haute, l’éternité
Est incommensurable à notre vanité.
Te voici, à présent, libre du choix. Tu peux,
Soit déraciner les échardes de tes yeux,
Ou bien les cultiver, à l'aveugle, en leurs creux.
Ta conscience, un beau jour, sourdement grondera
À ta fuite obstinée. Alors, elle te dira :
Ta vie, cuite au renoncement, n'est plus que feu.
jfmoods- Nombre de messages : 692
Age : 58
Localisation : jfmoods@yahoo.fr
Date d'inscription : 16/07/2013
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