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Le saviez-vous ?

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Message  Nechez Sam 5 Jan 2008 - 14:07

Voici un texte un peu moins abstrait qu'à l'habitude. C'est un extrait de mon roman vers le chapitre 6. Il est important de rapeller qu'il entre dans la conception de mon roman qu'on peut prendre comme un livre attaqué par la logique. Il y'eut avant le chapitre 3 et 4, se nommant l'attaque de la raison et le grand dérèglement. Dans les grandes lignes, on peut dire que le roman ou livre devient plus logique au sens de la compréhension. Tbal est un personnage qui nait au chapitre 4 et il fut confié à ce guerrier de trouver le fil directeur de tout cet écrit ; au d'autres termes, le sens du livre.

Le saviez-vous ? Le village de Tbal comptait neuf huttes. L’une servait de rassemblement pour les sages. C’était eux qui dirigeaient la petite communauté depuis déjà fort longtemps. Dans cette contrée, on nommais sage, celui qui maniais la raison. Tbal ressortait justement de cette hutte. Heureux, il venait de triompher d’une formidable épreuve de n’importe quoi. Autour le lui, il observais huit huttes. Que choisir, pensait-il. Essayons ici. Tbal rentrait dans une hutte choisie un peu au hasard.

A l’intérieur, une chaise, une table et un livre posé dessus. Tbal observait l’endroit ; rien d’autre. Bien, il s’assis et analysa l’ouvrage. Il s’agissait d’un dictionnaire. Un dictionnaire laissé ouvert à la lettre G. On lisait : « gaaaploup », «gabaaploom », « gabibou » « gaboulime », « gadribloup »…. Intéressant pensa Tbal. Cherchons un peu plus loin, vers la lettre T. Mhh : « Taba » « Tacrouc » « Tbal »…. ! Tbal ! Malheureusement la définition était arrachée. Flûte alors. Tbal, déçu, sortit. Il en tenta une nouvelle hutte. A l’intérieur, trois personnes riaient assis autour d’une table. L’un tenait un papier. Tbal s’en empara. Il s’agissait d’un dessin de baleine. Flûte alors, Tbal était une baleine. Le guerrier, déçu, sortit de la hutte. Il continua dans une autre. A l’intérieur de celle-ci, des objets et des numéros à coté. Au fond un bonhomme assis derrière une table parlais à un autre bonhomme, lui debout devant la table. Ce dernier tentais d’échanger au premier boite contre sandwich. L’autre sandwich contre numéro. Misérable problème disais Tbal. Il raisonna et conclut : « Cette boite m’intéresse, tentons ceci ; j’échangerais numéro contre boite, ainsi nous auront tous nos sandwichs. »

Les billets jouaient avec la fumée ; le souffle des rires se mélangeait à la mouvante forme blanchâtre. Cela se passait dans une petite pièce ; dedans il n’y avais pas plus qu’un canapé et un papier sur la table basse.

Tbal venait d’acquérir une boite dans la troisième hutte. Il sortit un peu moins déçu qu’à l’habitude. Et tel le va et viens des vagues, l’histoire se répéta ; Tbal rentrais déjà dans une quatrième petite maison. A l’intérieur, deux philosophes autour d’une table. Le premier se leva et déclara : « Sans doute, tant de mal, la littérature de la lune, ici soulevée par un camion, trop peu sans tête que je ne serais m’en contenter. D’ailleurs ainsi va de blablabla, l’école du bonnet, un volume trop peu agrandi, près de la chaussette ovale. Un triangle, c’est bien ce dont à quoi je pensais. Le câble serait trop tendu, mais trop peu pour la vision nocturne. Va. Un instant va réciproquement, mélancolique ruine par delà le rationalisme, envers le meilleur des mondes, des pyramides partout, partout où va l’Histoire. » Il se rassis. Et réfléchis un moment, fixait encore quelque instant ses mains grandes ouvertes, se releva et poursuivis : « Que faire encore de la destruction ; un jardin, un qui explose, cela n’a besoin d’exister, amène l’oubli trop peu ailleurs. Mais encore moins que la chose la plus surprenante vient à rappeler qu’aucunement où la minorité représentativiste saurait aller, il n’y aurais forces mangeuses de pommes explosantes, biologiquement parlant bien entendu. » Le parleur finis sa ronde et regagna la table. L’autre se leva et annonça : « Voilà qui pour toute chose, sans ensemencer d’évolution, s’associant à l’ancêtre évolutif, qui par delà la vie terrestre obtiendra l’accès à l’atmosphère, plante et cultive un non-sens. En d’autre mot j’admet, mais cela ne répond point à la question, qui à l’évidence, au sens des choses cultiverais trop cher, à trop peu de mot, le potentiel désaccord, avec une majorité d’utilisation rédigée de connaissance trop crédible en son contenant d’abstraction, lorsque s’ajoute pouvoir suffisant, à d’autres idées de quoi l’intérêt chute. » Tbal peu troublé rajouta : « Une communication aveugle, un problème en manque de question, un apport quotidien, pourtant bien agréable. Au touché du n’importe quoi, là où s’amusent les rares courageux vérifieurs de l’absurde ; plus proportionnellement inclassables parmis les égaux supports stylistiques de l’expression. Il en va de soit ! Le botteur de contenu ne serait tarder à élargir l’écran. Un maximum accessible à rien, qui continue à verser proprement. ». Les deux philosophes regardèrent le barbare d’un air songeur. « Quelle sagesse ! Tes paroles sont divines » dit l’un. « Sorcelleries ! » répondit l’autre. « Eh bien, nous n’avons qu’à vérifier, vérifiions. » déclarèrent-ils communément en saisissant la boite de leur visiteur.

L’un des hommes tenait la boite, s’apprêta à l’ouvrir lorsqu’un oiseau traversa le cadre de la fenêtre. « Un albatros » déclara t-il. Sans trop réfléchir il tendis la boite à son collègue et quitta les lieux bien précipitamment. Dehors il aperçu l’oiseau qui s’était changé en dragon. « Encore un nouvel arrivant » disait-il à lui même. Boom sur le sol encore un petit peu et le revoilà dedans. Il récupéra la boite et fixa Tbal droit dans les yeux ; « eh bien, vérifions. » dit-il d’une façon aléatoire. Tbal était confus. « Ca alors ! » Le philosophe n’en revenais pas. Il regarda encore l’objet à l’intérieur de la boite qu’il venait d’ouvrir. Il montra la chose à l’autre homme. « Regarde-ça » lui disait-il d’une voie tremblante. Un drôle d’étonnement se lisaient sur les deux visages. « Quelle bonne blague ! » rirait-ils maintenant de bon cœur. « Je vous ai bien eu » déclara Tbal souriant. « Certes bien qu’un peu toute de même la tache n’aurait été plus ovale sous l’éclairement d’un voyeur, mais alors nous n’aurions put marchander, ou du moins qu’avant l’apparition de la chose. » chantait-ils déjà en cœur. Tbal, déçu, sortit en courant. « quatre hutte de merde » disait-il à lui même.

Le guerrier alla donc dans une cinquième hutte. Dedans ; rien ni personne. Deux yeux et du noir. Il chercha de sa main un interrupteur. Ses doigts finirent par trouver un bouton. Tbal appuya. Rien. Ca ne fonctionnait pas. A vrai dire il aurai été étrange que ce village soit alimentée. Mais alors ? Pourquoi cet interrupteur ? Tbal entendis des pas dans le noir. Une fenêtre s’ouvrante venait de faire entrée la lumière. On y voyait plus clair. Au fond de la pièce un vieillard lisait. «Bonjour, pourquoi y-a t-il un interrupteur ici » questionnais Tbal.
- Eh bien, sans doute, pour ouvrir la fenêtre
- Certes, mais comment peut tu lire ainsi, aussi peu éclairé ?
- Je ne lis pas, mais lorsqu’un visiteur entre, comme ça, j’ai l’air occupé.
- Et que fait-tu ici toute la journée dans le noir ?
- J’attends les visiteurs.
- N’importe quoi.
- Soit, mais moi je ne parcours pas toutes les huttes du village tel un tbal.
- Un Tbal ? disait-tu ? Qu’est-ce que c’est ?
- C’est un homme qui parcours des huttes à la recherche de son identité.
- Comment sait tu ça ?
- C’était dans la première hutte ! Sache que j’était la depuis bien avant toi.

Le vieillard montra le papier déchiré du dictionnaire. Tbal n’en croyait pas sa tête. C’est alors qu’il analysa les failles et qu’il détecta une sorte d’intrusion, comme un virus au fond de son cerveau. « Je suis bien dans la merde » pensa-t-il. « que faire ? » demanda t-il au vieillard. « Il faut que tu sorte d’ici par la fenêtre, ainsi tu dérèglera une forme de logique qui te permettra d’avancer. Mais avant éteins la lumière. » répondit le vieil homme. Tbal s’exécuta. Il alla appuyer sur la bouton. La fenêtre claqua. « Mais c’est impossible, la fenêtre s’est fermée et je n’y vois plus rien. » cria t-il. « Il n’y a pas d’autre solution. » répondit le vieux. Tbal réfléchis. Mais cette fois, il semblerais que ça ne suffisait pas. Quand tout à coup, rien. Non vraiment Tbal ne trouvais pas. Le guerrier, déçu, tâtait les murs pour au moins retrouver la porte.
Le revoilà une nouvelle fois dehors. Il alla chercher réconfort dans la sixième hutte. Dans celle-ci, rien d’autre qu’un caillou. « ça y’est j’ai trouvé ! » triompha Tbal ! Tbal ressortit rapidement. Il regagna la hutte précédente, allumais la fenêtre et s’assit sur son rebord de façon à avoir les pieds à l’intérieur, le dos vers l’extérieur. « Mince j’ai oublié le caillou » s’étonna t-il. Tbal retourna chercher le caillou et se repositionna de façon identique. D’ici il jeta le caillou sur l’interrupteur puis se laissa tomber en arrière. « J’ai réussit » s’exclamait-il triomphant.
Tbal continua l’aventure dans la septième hutte. Dedans, un lapin et un tyrannosaure discutait. Il semblait s’engueuler. « Il y a un problème ? » demanda Tbal.
- Bonjour cher ami, n’auriez-vous pas vu un caillou. Disait le dinosaure.
- Oui un caillou, patientez donc quelque instant, je reviens.
Tbal sortit de la hutte pour rejoindre celle du vieil homme. Il alluma et ramassa le caillou. Mais avant qu’il n’ai pu sortir, le vieux lui rappela : « Il faut que tu sorte par la fenêtre ! ». « Ta gueule » lui dit Tbal en continuant par la porte.

Tbal revint, caillou à la mains, dans la septième hutte. Il annonça ; « voici le caillou »
- Quoi donc ? disait le lapin
- Eh bien, le caillou, voici le caillou que vous cherchiez !
- C’est que nous ne cherchons rien, nous en n’avons déjà des cailloux.
- Glurps ?
A ce moment, le dinosaure chuchota au lapin ; « Laisse-donc, c’est un fou, pas plus tard qu’avant, je le surprenais s’amusant à tomber des fenêtres. »
Tbal sortit, déçu. Il alla en direction de la huitième et dernière hutte. Mais voilà que la porte était fermée. « Mince que faire ? » pensa Tbal. Sa main tenta la poigné. « Comme ça ? ». Le guerrier entra. A l’intérieur une énigme mathématique était inscrit sur un tableau noir. On lisait : « 1 + 1 = » Tbal réfléchis et constata que c’est évident ! « Ca y’est j’ai trouvé ! C’est Deux ! , à moins que ?, disons Trois, au moins on sera sur. » Tbal ressortit content.
Le guerrier chercha trois cailloux, rentra à nouveau dans la cinquième hutte – celle du vieux – et ressortit rapidement par la fenêtre en jetant le caillou sur le bouton. Il lui restait deux cailloux. Il retourna dans la septième hutte. Dedans, le lapin et le dinosaure l’attendais. « Voilà vos cailloux ! » disait Tbal en tendant ses mains. « Merci bien ! » Tbal donna un caillou à chacun et sortit de la hutte.
Maintenant il allait rejoindre la dernière hutte, dans laquelle il saisit une craie et marqua zéro !
« 1 + 1 = 0 ». Effectivement il ne lui restait plus aucun caillou.
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Message  Sahkti Jeu 10 Jan 2008 - 16:20

C'est peut-être moins abstrait (enfin ça va dépendre pour qui, à mon avis :-), mais il y a toujours ce côté un brin absurde que j'aime dans ce que tu écris. Une histoire en apparence décousue et qui obéit pourtant à certaines règles de déstructuration, comme la narration par morceaux qui permet de rebondir d'une scène à l'autre et de les mettre en abîme. J'aime cet écho permanent et puis ces vides, cette apparente incohérence qui apporte une touche d'humour à l'ensemble mais aussi un je ne sais quoi de frais qui me plaît bien. Tbal est un personnage assez étonnant, bien mis en valeur par ces lignes.
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Message  Invité Jeu 10 Jan 2008 - 16:28

Je n'ai rien compris, ce qui ne gêne pas forcément, mais surtout j'ai trouvé l'ensemble laborieux, forcé. Je n'ai donc pas aimé.

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Message  Nechez Dim 13 Jan 2008 - 13:25

Merci bien d'avoir lu.

Si cela intérrèsse ; voici la suite.

A cet instant, quelque part ailleurs, un bateau spatiale disparu du royaume des étoiles, ceci, afin de réapparaître, non loin de là, dans un petit village, à l’intérieur d’une certaine huitième hutte. Toujours à cet instant, Tbal vit un objet volant traverser de par le zéro qu’il venait de tracer. « Bien le bonjour » dit le bateau « c’est le moment d’échanger ! » Un bon en avant et Tbal traversa le zéro, ceci, avant qu’il ne se referme. « Wow » se disait-il. Tbal réapparut dans un désert. « Drôle d’endroit ; c’est qu’il n’y a point de hutte ici » Le guerrier observa les lieux. Au loin, il aperçut une silhouette. Une silhouette bizarre même. A vrai dire cela ressemblais davantage à une mouvante tache noire. Les formes, elles, étaient des moins étranges. Tbal n’aurais su décrire à quoi cela ressemblait. Histoire de rigoler, il décida d’approcher, quelque sable plus tard ; c’était un pingouins déguisé en dromadaire. « Bien le bonjour » disait Tbal. « Que fait tu ici en plein milieu de ce désert » Le dromadaire soupirais. « Je me suis égaré mon ami, et cela, maintenant depuis bien longtemps. » « Et bien raconte-moi donc ton histoire. » disait un Tbal plutôt curieux. Le pingouins s’assis et invita Tbal à en faire de même. Il alluma une cigarette et débuta son récit..

« A vrai dire, je n’ais pas toujours été pingouins. Autrefois, je parcourais montagnes, à cheval dans un camion. Les montagnes, les vrais, point ceux fabriquées. La-bas, je tournais, j’avançais, je montais et ceci beaucoup de fois sur le chemin en spirale. Arrivé sur les sommets, je regardais les nuages et ceci trois jours sur quatre durant bien des lunes. Puis arriva le malheureux jour, celui où le soleil frappa un peu plus fort. Et des alors mon parcours devint moins précis, je ralentissais, je tombais. Cela désorienta mon regard qui un jour entre-aperçus une ouverture, une sorte de trou, au coin d’une montagne. Je décidais alors de modifier mon voyage, d’aller voir ça de plus près. Je découvrit qu’il s’agissait d’une caverne. J’y entrais, aperçus au fond, des bonhommes regardant un mur, celui-ci éclairé par un feu non loin derrière. Ils s’amusaient à faire des ombres. Je décidais d’aller à leur rencontre, très vite, j’était devenu leur ami. Même qu’il m’apprirent certaines vérités sur l’écho des choses. L’un me conta ceci ; « Ici la lumière permet l’ombre. Pourtant ce n’est point ainsi, c’est l’ombre qui permet la lumière ; et de quoi : point d’ombre. C’est pour ça : l’ombre n’existe. Mais alors ; pourquoi la lumière ? Sans aucun doute, dans le but de disparaître. Voit : la lumière forme l’ombre, l’ombre agitent nos lumières, celles-ci reforment de l’ombre et c’est ainsi de suite. Mais qui fut présent en premier, de l’ombre ou de la lumière, ça, seul le caillou le sais. Malheureusement il semble dormir en cet instant. » Drôle d’idée. Je voulais en savoir davantage et décida d’aller réveiller le caillou. « Caillou, caillou, réveille-toi » lui disait-je en le secouant. Un bâillement, « whaaaa…… » puis debout. « Qui y’a t-il » beuglais le caillou. « Dis moi l’ami, qui de l’ombre ou de la lumière fut en premier ». Le caillou soupirais. Il me confia une pièce, en laquelle : une face lumière, une face ombre, ceci en me contant cela : « Tu ira grimper sur la plus haute des montagnes, de là et de toute tes forces, tu viseras le soleil et de ta main tu jettera cette pièce vers lui. Bien entendu tu ne le toucheras pas, il est bien trop loin. Puis tu ira rechercher cette pièce. Quand tu l’aura retrouvée, regarde de quel coté elle est tombée. Si face lumière, c’est l’ombre, si c’est face ombre, c’est lumière. » J’était bien surpris. « Vraiment ? » M’exclamais-je. « Je ne sais pas, je n’ai jamais essayé. » disait le caillou. Un bonhomme qui venais d’arrêter sa partie d’ombre renchérit « Voit-tu, tout le monde est un génie, mais pas tout le monde ne le sais, pourtant tous écrivent de l’eau, c’est bien un problème, et dès alors ; comment se comprendre ? »
Le temps passant, ces gens qui me paressait bien gentils au départ commençais à me rendre bizarre. Je décidais de les quitter, simulant une lumière. Dehors, je poursuivais mon chemin spirale. J’arrivais assez rapidement au sommet de cette montagne. J’observais les nuages. Ces derniers m’interrogèrent songeurs : « Eh bien tu ne jette point la pièce ? » disait-ils. Je réfléchis. A vrai dire, les paroles du caillou faisait encore écho dans mes pensées. Puis je me suis dit qu’après tout ; un nuage parleur, ce n’est peut être pas si bête. Je jetait la pièce, loin, loin, en direction du soleil, comme me l’avait dictée le caillou. La pièce volait et un albatros survolant par hasard par ici, venait de la rattraper en plein vol. Par chance, l’oiseau n’était pas parvenu à la maintenir dans sa bouche. La pièce chuta vers le pied de la montagne, vers la forêt. J’y allais. Quelques pas vers en bas. J’arrivais à l’entré de la forêt, celle dans laquelle j’ai vu la pièce chuter. C’était un petit endroit, une dizaine d’arbres formaient un cercle. Au milieu je découvrit ma pièce. Nous verrons bien me disais-je. J’approchais, je vis qu’elle était tombée sur la face ombre. Je voulu la ramasser lorsqu’une voie m’ interrompra dans mes mouvements. « Ne touche pas à ça, voleur » disait-elle dernière moi. D’un bond je me retournais. Je vis trois cornes et un dinosaure. « Ca ,c’est ma pièce, la tienne est la bas. » disais le dinosaure en me montrant une direction. Je fis quelque pas vers là ; une autre pièce figurais sur le sol. Face lumière cette fois. Je l’a ramassais, si lumière c’est ombre ; c’est ce que disait le caillou. Pourtant l’autre c’est lumière ? J’était un peu confus. Je fit quelque pas en direction de la sortie, à ce moment, PAF sur la tête. Aie ! C’était une pièce qui venais de me tomber dessus. A cet instant je ne comprenais plus vraiment le sens des choses. Mais je me disais que ce n’était pas bien grave. Je poursuivais mes chemins spirales. Au somment de la montagne suivante, un magicien qui m’attendais me transforma en pingouins. A cet instant, la pièce glissa des mes nageoires. Les nuages parlaient : « Tu n’a pas jeté la pièce assez loin » Et c’est alors, que la dite pièce, à ce moment, créa une porte espace-temps, juste sous mes pieds et faute de temps pour me mouvoir, je chuta dedans. Je réapparu ici, dans ce désert, cet endroit plat sans montagnes ou j’errent maintenant depuis bien longtemps. »

« C’est tout ? » disait Tbal.
« Eh bien oui » disait le pingouins.
- C’est bien nul !
- Je ferais mieux la prochaine fois.
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Message  Alfosaure Dim 13 Jan 2008 - 19:09

Ce texte me fait penser - de loin - à du Jorge Luis Borges, auteur que j'adore, même si je ne comprends pas toujours tout.
Mais à la différence de Borges, j'ai l'impression que tu écris de l'absurde pour l'absurde, sans tenter d'amener une réflexion (je me trompe peut-être).
J'aime néanmoins bien, car j'aime les récits déconnectés de la réalité. Je trouve néanmoins que c'est un peu trop lourd dans le dialogue des philosophes, qui n'a ni queue ni tête, et qui, de part sa longueur, devient pénible à lire.

Sinon, sur la forme, quelques erreurs de conjuguaison (des "s" à la place de "t" et inversement).
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