L'Art de ma Névrose
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L'Art de ma Névrose
Je ne sais s'il échappera à la censure mais tant pis, je le poste.
Quarante ans. Croisés dans un cœur.
Je play le texte. Déplie le texte. Néron sans chevelure, zéro moins cent degrés de l’écriture.
Feed-back de mon alphabet à fantasmes.
Elles m’entourent, assises sur des sofas.
Les clés sont alignés en ordre apparent sur la table, dans le salon. A la recherche, en haut de la cordillère, aréopage de peintures féminines, décor moulé de noir bleuâtre.
Les fugitives au regard absurde.
Ces bitches affolent ma luxure, me transportent. Je suis l’Ecoute, les jambes glabres, je glisse sur la terre faible.
Marjorie, mécanique, présomption in-carta poétique, m’emploie à des tâches Irlandaises, pousse la dérive jusqu’à la torture chinoise.
Les masques poussent les murs. Munies de loups, elles entrent en scène, six est le chiffre des filles nées sous X.
Nu-menotté à mes angoisses répétitives, serait-ce l’exténuation d’une pensée bourgeoise?
Je suis l’âme vivante d’un chien.
Je rampe avec ma bouche.
En clef de bouche, condition sine qua -homme à ma fiction sociale.
Nom M, des chiffreuses de la co-sanguinité érotique : Mélanie, Mascara, Meredith, Melody, Martha, Marjorie.
L’invitation à mouiller mes yeux sur leurs bas.
Gamme égale sept.
Derniers vestiges de la profanation.
Dans le brouillamini, tout corps plongé dans la névrose, est appelé à disparaître.
En travesti, je déambule ma langue sur la peau de mes maîtresses.
La décade progresse, avance, et l’irrigation de l’atmosphère se charge en doses d’hématomes écrits.
Je play le texte. Déplie le texte.
Acte VII, six filles nées sous X, Seven, chien gladiateur, en transgressif, force les cris à grandir.
Qu’il usurpe dans l’art de la névrose.
L’aiguille et le talon. La loi du talion-aiguille.
Elles me chantent des cantiques au réveil, en tenue de barmaid m’aspergent de leur cyprine, dans le séquestre monstruel.
Dans le périmètre des douves, le rythme gravite, m’éclabousse d’odeurs sécessionnistes.
Je sirote au Martini-paille dans leurs pupilles, l’ardente avidité avec laquelle elles rient, au nez et à la barbe des profanes.
Leçon d’école.
Six filles en X majuscule, unauthorised au Sud, les bas-relief figurent l’art de la névrose.
Quarante ans. Croisés dans un cœur.
Je play le texte. Déplie le texte. Néron sans chevelure, zéro moins cent degrés de l’écriture.
Feed-back de mon alphabet à fantasmes.
Elles m’entourent, assises sur des sofas.
Les clés sont alignés en ordre apparent sur la table, dans le salon. A la recherche, en haut de la cordillère, aréopage de peintures féminines, décor moulé de noir bleuâtre.
Les fugitives au regard absurde.
Ces bitches affolent ma luxure, me transportent. Je suis l’Ecoute, les jambes glabres, je glisse sur la terre faible.
Marjorie, mécanique, présomption in-carta poétique, m’emploie à des tâches Irlandaises, pousse la dérive jusqu’à la torture chinoise.
Les masques poussent les murs. Munies de loups, elles entrent en scène, six est le chiffre des filles nées sous X.
Nu-menotté à mes angoisses répétitives, serait-ce l’exténuation d’une pensée bourgeoise?
Je suis l’âme vivante d’un chien.
Je rampe avec ma bouche.
En clef de bouche, condition sine qua -homme à ma fiction sociale.
Nom M, des chiffreuses de la co-sanguinité érotique : Mélanie, Mascara, Meredith, Melody, Martha, Marjorie.
L’invitation à mouiller mes yeux sur leurs bas.
Gamme égale sept.
Derniers vestiges de la profanation.
Dans le brouillamini, tout corps plongé dans la névrose, est appelé à disparaître.
En travesti, je déambule ma langue sur la peau de mes maîtresses.
La décade progresse, avance, et l’irrigation de l’atmosphère se charge en doses d’hématomes écrits.
Je play le texte. Déplie le texte.
Acte VII, six filles nées sous X, Seven, chien gladiateur, en transgressif, force les cris à grandir.
Qu’il usurpe dans l’art de la névrose.
L’aiguille et le talon. La loi du talion-aiguille.
Elles me chantent des cantiques au réveil, en tenue de barmaid m’aspergent de leur cyprine, dans le séquestre monstruel.
Dans le périmètre des douves, le rythme gravite, m’éclabousse d’odeurs sécessionnistes.
Je sirote au Martini-paille dans leurs pupilles, l’ardente avidité avec laquelle elles rient, au nez et à la barbe des profanes.
Leçon d’école.
Six filles en X majuscule, unauthorised au Sud, les bas-relief figurent l’art de la névrose.
Re: L'Art de ma Névrose
Je vais te répéter pour la énième fois la critique que je fais de ton écriture. Ne comprends-tu pas que, si ce bric-à-brac possède une ordonnance parfaite dans ta tête, le lecteur n'y est pas, donc il ne peut pas, me semble t-il, jouer avec le même plaisir que toi avec tes étonnants joujoux. Ils se barrent dans tous les sens, on ne peut les attraper par aucun bout. Si tu n'écris que pour toi, Lolito, ne poste pas ce genre de texte, prends ton plaisir égoïstement dans un coin, mais si tu le postes, c'est que tu cherches des lecteurs, et les lecteurs, ils n'attendent que ça, que tu leur offres quelque chose. A condition qu'ils puissent ouvrir l'emballage cadeau.
Re: L'Art de ma Névrose
Je n'avais pas lu ton mot sur la censure. Tu rêves, Lolito : il faut que ça soit bien transgressif pour la censure. Et pour que ça soit bien transgresssif, il faut que le lecteur lise la transgression. Quelle transgression ? Cela confirme mon premier post : A chaque ligne tu veux nous dire des choses que nous ne pouvons pas voir parce que nous n'avons pas tes yeux, mais les nôtres, lapalissade, certes, mais que tu devrais, à mon sens, méditer.
Oui oui
C'est trés intéressant tout cela, trés personnel, des fois je me perds un peu, ce qui n'est pas désagréable. Mais cela me fait un peu penser à un récit post somniaque....tu sais quand tu notes dans un petit cahier les rêves de la nuit (ou de l'aprés midi) avant qu'ils ne se diluent dans le soleil. Sinon et il n'y a pas de honte à cela (bien au contraire), je ne peux m'empêcher de penser à Freud (comme ça vite fait et pas cher) : "la perversion est le négatif de la névrose". Cette approche pourrait t'aider à enrichir ton développement. En effet, tu fait référence à "la co-sanguinité" au "travestisme" etc... bref à un tas d'éléments post génitaux et per oedipiens. Cela est donc (je trouve) passionnant mais avec un peu plus d'essor introspectif on irait plus loin dans un texte qui m'apparait comme se développant en négatif (au sens photographique du terme).
La texte ment votre.
La texte ment votre.
le pilou- Nombre de messages : 82
Age : 47
Date d'inscription : 08/02/2008
Re: L'Art de ma Névrose
apoutsiak a écrit:Je vais te répéter pour la énième fois la critique que je fais de ton écriture. Ne comprends-tu pas que, si ce bric-à-brac possède une ordonnance parfaite dans ta tête, le lecteur n'y est pas, donc il ne peut pas, me semble t-il, jouer avec le même plaisir que toi avec tes étonnants joujoux. Ils se barrent dans tous les sens, on ne peut les attraper par aucun bout. Si tu n'écris que pour toi, Lolito, ne poste pas ce genre de texte, prends ton plaisir égoïstement dans un coin, mais si tu le postes, c'est que tu cherches des lecteurs, et les lecteurs, ils n'attendent que ça, que tu leur offres quelque chose. A condition qu'ils puissent ouvrir l'emballage cadeau.
Tu n’es pas le seul, ni le premier ni le dernier, à m’électrocuter par un commentaire sur mes textes.
Beaucoup me le reprochent, et me le reprocheront encore, ma facilité d’écriture, jeux de mots, anglicismes à tous les coins de rue, néologismes, frotti-frotta, blagues carambar…etc…
A mesure que le langage se déconstruit, la maison se reconstruit.
Le côté cabot, je te l’accorde, mais juste un instant. Que demeure cette joie dans le too you instant !
La forme prime le fond.
Le mot véhicule la phrase.
Tandis que je m’invente, je me recrée sans cesse.
Je suis sans doute un des derniers humains à envoyer mes plaies d’une cabine téléphonique.
Ta critique est progressiste, m’embarque à formuler ce que je n’ai jamais su développer.
L’explication de textes -Testostérone.
J’écris de la littérature animalière pour les écolières sourdes en mal de mâles.
Non, sérieux, est-ce vraiment un principe que d’écrire pour que l’audimat monte et te comprenne ?
Sans vouloir te vexer, je préfère les critiques de Sahkti, qui impliquent beaucoup plus mon monde de pensée.
Et, est-ce que je n’ai pas le droit d’écrire pour moi ?
Il n’y a rien de plus primaire que de penser à soi.
L’ego est une démesure que personne ne peut contraindre.
Axiome dans l’XY. Chronos des mâles et des femelles.
Je l’ai mis dans un traitement de texte, WORDS, car j’avais peur qu’en ne le prévisualisant, il ne disparaisse…
Longtemps, je me suis couché sur leurs LEURRES, maintenant j’écris.
Que peu me chaut ce qu’ils pensent, car ma vessie est remplie, encore et toujours de ma poésie.
Jeune, j'ai lu en diagonale :::
Finnegans wake
et je m'y suis perdu pour mieux me retrouver.
PS : en anus-scriptum, ta critique est fondée, une diatribe où j'ai pu retirer de l'intérêt, mais les mots m'emmèneront toujours où je dois aller.
...]
Re: L'Art de ma Névrose
Lolito, solido, electrico, chromo-névrotico-scripturo, bravo, un petit bourre-pif dans celui de l'esquimau, l'a bien cherché, tiens ! et bon vent spermatico-sexo-egoistico déferlant !!!!!!!!!!!!!!
Re: L'Art de ma Névrose
Perso, ça ne m'apparaît pas hermétique. On se laisse flotter au gré des images, des sons et des odeurs que tes mots suscitent. C'est nu, bleu noir, chiffré, M.é. Et j'ai même eu parfois l'impression d'une certaine retenue et donc comme une baisse de souffle.
Zou- Nombre de messages : 5470
Age : 62
Localisation : Poupée nageuse n°165, Bergamini, Italie, 1950-1960
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: L'Art de ma Névrose
Beaucoup me le reprochent, et me le reprocheront encore, ma facilité d’écriture, jeux de mots, anglicismes à tous les coins de rue, néologismes, frotti-frotta, blagues carambar…etc…
A mesure que le langage se déconstruit, la maison se reconstruit.
Le côté cabot, je te l’accorde, mais juste un instant. Que demeure cette joie dans le too you instant !
La forme prime le fond.
Le mot véhicule la phrase.
Tandis que je m’invente, je me recrée sans cesse.
Ben oui, mais j'ai comme l'impression que c'edst fort narcissique, tout ça. Et, donc, de peu d'intérêt pour le lecteur.
A mesure que le langage se déconstruit, la maison se reconstruit.
Le côté cabot, je te l’accorde, mais juste un instant. Que demeure cette joie dans le too you instant !
La forme prime le fond.
Le mot véhicule la phrase.
Tandis que je m’invente, je me recrée sans cesse.
Ben oui, mais j'ai comme l'impression que c'edst fort narcissique, tout ça. Et, donc, de peu d'intérêt pour le lecteur.
pierre-henri- Nombre de messages : 699
Age : 65
Localisation : Raiatea
Date d'inscription : 17/02/2008
Re: L'Art de ma Névrose
Si j'écrivais pour les autres, je crois que je n'écrirais plus rien.pierre-henri a écrit:Beaucoup me le reprochent, et me le reprocheront encore, ma facilité d’écriture, jeux de mots, anglicismes à tous les coins de rue, néologismes, frotti-frotta, blagues carambar…etc…
A mesure que le langage se déconstruit, la maison se reconstruit.
Le côté cabot, je te l’accorde, mais juste un instant. Que demeure cette joie dans le too you instant !
La forme prime le fond.
Le mot véhicule la phrase.
Tandis que je m’invente, je me recrée sans cesse.
Ben oui, mais j'ai comme l'impression que c'edst fort narcissique, tout ça. Et, donc, de peu d'intérêt pour le lecteur.
Ou une somme de phrases, mises bout à bout, formant un texte, et tout le monde dirait que c'est génial.
L'écriture est un prétexte à mes urgences.
Narcissisme, bien entendu et heureusement, sinon je ne vois pas quel but je pourrais poursuivre.
Te dessiner un mouton, devenir journaliste, 25m départ-arrêté en béquilles...
Evidemment qu'on écrit parce qu'on est narcissique, mais si on gratte, il y a aussi autre chose, non ?
De la peur de ne pas être aimé ?
Re: L'Art de ma Névrose
pas gagné d'avance.lol47 a écrit:et tout le monde dirait que c'est génial.
à tchaoum- Nombre de messages : 612
Age : 74
Date d'inscription : 06/05/2007
Re: L'Art de ma Névrose
Désolé de ne pas te suivre et de ne pas épouser tes évidences- qui ne sont que tiennes.lol47 a écrit:Si j'écrivais pour les autres, je crois que je n'écrirais plus rien.
Ou une somme de phrases, mises bout à bout, formant un texte, et tout le monde dirait que c'est génial.
L'écriture est un prétexte à mes urgences.
Narcissisme, bien entendu et heureusement, sinon je ne vois pas quel but je pourrais poursuivre.
Te dessiner un mouton, devenir journaliste, 25m départ-arrêté en béquilles...
Evidemment qu'on écrit parce qu'on est narcissique, mais si on gratte, il y a aussi autre chose, non ?
De la peur de ne pas être aimé ?
Je regrette pour toi que n'aies que cette piste.
pierre-henri- Nombre de messages : 699
Age : 65
Localisation : Raiatea
Date d'inscription : 17/02/2008
Re: L'Art de ma Névrose
Peut être convient-il de ne pas confondre "la peur de ne pas être aimé" et "le désir d'être"...
le pilou- Nombre de messages : 82
Age : 47
Date d'inscription : 08/02/2008
Re: L'Art de ma Névrose
à tchaoum a écrit:pas gagné d'avance.lol47 a écrit:et tout le monde dirait que c'est génial.
Ne t'inquiète pas pour moi.
Ma cirrhose n'étant pas encore en phase terminale, il me reste un peu d'avenir...
Re: L'Art de ma Névrose
je sors d'une planète sans visa pour atterrir dans l'art de ta névrose.
Mondes différents.
J'apprécie ces poursuites d'idées qui s'entre-dévorent, se chevauchent, s'auto-menottes, pour aboutir à une foison d'idées luxuriantes.
N'étant pas adepte de ces passions là, je découvre vos préférences.
Mondes différents.
Nous sommes donc riches de nous tous ensemble ici bas réunis.
Si le texte provoque chez moi une impression, même dérangeante comme ici, c'est réussi.
Je n'aime pas le fade, le terne, le mielleux.
Mondes différents.
J'apprécie ces poursuites d'idées qui s'entre-dévorent, se chevauchent, s'auto-menottes, pour aboutir à une foison d'idées luxuriantes.
N'étant pas adepte de ces passions là, je découvre vos préférences.
Mondes différents.
Nous sommes donc riches de nous tous ensemble ici bas réunis.
Si le texte provoque chez moi une impression, même dérangeante comme ici, c'est réussi.
Je n'aime pas le fade, le terne, le mielleux.
bertrand-môgendre- Nombre de messages : 7526
Age : 104
Date d'inscription : 15/08/2007
Re: L'Art de ma Névrose
bertrand-môgendre a écrit:je sors d'une planète sans visa pour atterrir dans l'art de ta névrose.
Mondes différents.
J'apprécie ces poursuites d'idées qui s'entre-dévorent, se chevauchent, s'auto-menottes, pour aboutir à une foison d'idées luxuriantes.
N'étant pas adepte de ces passions là, je découvre vos préférences.
Mondes différents.
Nous sommes donc riches de nous tous ensemble ici bas réunis.
Si le texte provoque chez moi une impression, même dérangeante comme ici, c'est réussi.
Je n'aime pas le fade, le terne, le mielleux.
Homme libre, toujours tu exècreras le tiède !
Ceci posé, tout ce qui brille n'est pas d'or et l'excès n'est pas, en soi, une qualité.
pierre-henri- Nombre de messages : 699
Age : 65
Localisation : Raiatea
Date d'inscription : 17/02/2008
Re: L'Art de ma Névrose
pierre-henri a écrit:bertrand-môgendre a écrit:je sors d'une planète sans visa pour atterrir dans l'art de ta névrose.
Mondes différents.
J'apprécie ces poursuites d'idées qui s'entre-dévorent, se chevauchent, s'auto-menottes, pour aboutir à une foison d'idées luxuriantes.
N'étant pas adepte de ces passions là, je découvre vos préférences.
Mondes différents.
Nous sommes donc riches de nous tous ensemble ici bas réunis.
Si le texte provoque chez moi une impression, même dérangeante comme ici, c'est réussi.
Je n'aime pas le fade, le terne, le mielleux.
Homme libre, toujours tu exècreras le tiède !
Ceci posé, tout ce qui brille n'est pas d'or et l'excès n'est pas, en soi, une qualité.
Sans vouloir répondre à sa place, mais bertrand-môgendre a dit qu'il préférait l'excès à la fadeur, et non que l'excès conduisait indubitablement à la qualité.
Ceci dit, de la qualité, nous pourrions en débattre longtemps et infiniment.
L'art est inévitablement provocateur.
Re: L'Art de ma Névrose
Le problème de Lol c'est qu'il est trop généreux. Il se donne sans retenue. Et ça, il n'y a pas grand chose à faire contre...
Mano- Nombre de messages : 233
Age : 54
Localisation : hyères
Date d'inscription : 17/01/2008
Re: L'Art de ma Névrose
Que sont les tâches irlandaises?
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: L'Art de ma Névrose
Sahkti a écrit:Que sont les tâches irlandaises?
même question ?
claire- Nombre de messages : 590
Age : 56
Date d'inscription : 07/05/2007
Re: L'Art de ma Névrose
sans point d'interrogation
claire- Nombre de messages : 590
Age : 56
Date d'inscription : 07/05/2007
Re: L'Art de ma Névrose
pas dépassé la quatrième ligne tant ce n'est pas mais pas du tout ma "tasse de thé" ...
Charles- Nombre de messages : 6288
Age : 48
Localisation : Hte Savoie - tophiv@hotmail.com
Date d'inscription : 13/12/2005
Re: L'Art de ma Névrose
Faux. Vision extrêmement réductrice. Il est exploratoire et fruit d'une nécessité, il peut donc être dérangeant pour le conservatisme, mais son propos n'est pas d'être provoquant. C'est prendre la partie pour le tout, une généralisation de niveau lycée qui occasionne bien des pertes de temps, et produit bien des clichés.lol47 a écrit:L'art est inévitablement provocateur.
Eh-oh les lycéens qui nous lisent, je ne vous colle pas tous dans le même sac :-)
à tchaoum- Nombre de messages : 612
Age : 74
Date d'inscription : 06/05/2007
Re: L'Art de ma Névrose
et les tâches, tu nous dis? :-)
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: L'Art de ma Névrose
Non sérieux, c'est quoi faire des tâches irlandaises?
Blague à part. Ça me soule de ne pas savoir un truc.
Blague à part. Ça me soule de ne pas savoir un truc.
Invité- Invité
Re: L'Art de ma Névrose
Peut-être une piste chez le voisin britannique :Non sérieux, c'est quoi faire des tâches irlandaises?
Blague à part. Ça me soule de ne pas savoir un truc.
L'émigration irlandaise vers la Grande-Bretagne est naturellement la plus ancienne : au Moyen Âge, déjà, les rois d'Angleterre ordonnaient périodiquement le refoulement des mendiants irlandais dans leur pays d'origine. Depuis le début du XVIIIe siècle, on estime que plus de trois millions d'Irlandais sont venus s'installer dans l'île voisine. Longtemps concentrés dans les quartiers ouvriers des grandes villes industrielles comme Liverpool, Manchester, Glasgow… ils essaiment aujourd'hui dans les Midlands et le bassin de Londres, notamment à Slough, Luton et dans certains vieux quartiers de la capitale comme Chelsea ou Kensington.
Leur intégration a été longtemps et reste dans une certaine mesure difficile, le Paddy, souvent affecté à des travaux pénibles, étant aux yeux de beaucoup d'Anglais un objet de mépris ou de dérision. Face à cette discrimination, les Irlandais ne font pas toujours bloc entre eux (...) Mais depuis les années 1950, l'arrivée massive d'immigrants du tiers monde remplaçant les Irlandais dans les tâches les plus pénibles a permis à ces derniers de s'élever un peu dans la hiérarchie sociale, beaucoup travaillant désormais dans le secteur tertiaire. Mais, contrairement aux États-Unis, peu d'Anglais d'origine irlandaise réussissent une grande carrière dans la politique ou l'économie.
Plume la traverse- Nombre de messages : 6
Age : 97
Date d'inscription : 06/03/2008
Re: L'Art de ma Névrose
Oui mais bon j'ai comme un doute, ici :-)
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: L'Art de ma Névrose
Il y a, pour moi, un sentiment très net de "retenu" dans le texte. Comme si, justement, la libération d'un conformisme n'était pas effective.
Rien à craindre, à mon avis, d'une possible censure pour ce texte à l'érotisme très discret. Je pense qu'on aurait pu aller plus loin, ou, pour le moins, plus "fort".
L'art n'est pas inévitablement provocateur. Ainsi que le souligne "à tchaoum" il est le fruit d'une nécessité. Que l'expression de cette nécessité en arrive, par une forme très personnelle ou novatrice, à "heurter" un certain conservatisme n'est pas forcément volontaire.
Rien à craindre, à mon avis, d'une possible censure pour ce texte à l'érotisme très discret. Je pense qu'on aurait pu aller plus loin, ou, pour le moins, plus "fort".
L'art n'est pas inévitablement provocateur. Ainsi que le souligne "à tchaoum" il est le fruit d'une nécessité. Que l'expression de cette nécessité en arrive, par une forme très personnelle ou novatrice, à "heurter" un certain conservatisme n'est pas forcément volontaire.
Reginelle- Nombre de messages : 1753
Age : 73
Localisation : au fil de l'eau
Date d'inscription : 07/03/2008
Re: L'Art de ma Névrose
Sahkti a écrit:Oui mais bon j'ai comme un doute, ici :-)
Je partage effectivement ton doute.
Et de plus, en pensant que tu n'avais aucun doute sur la signification de ces tâches, particulières parce qu'Irlandaises...
Ne dit-on pas, " aussi courageux qu'un coeur Irlandais".
Quant à la retenue évoquée ci-dessus, elle est effectivement un passage obligé dû à certaines contraintes.
Re: L'Art de ma Névrose
Moi c'est simple. J'adore. C'est justement parce que ce n'est pas clair que c'est envoutant. Chaque personne peut s'approprier tes textes. J'aime. Continue.
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