L'étonnante épopée de Tbal.

[Nechez]

Bonsoir à tous !

Voici une histoire

Tbal et son ami le pingouin marchèrent durant bien des soleils. Ils ne savaient ni où ni pourquoi mais au moins ils allaient quelque part. Des mirages, des nuages, des sables, des soleils, tout ça. Un cadavre.. « un cadavre ? » « Tbal, viens voir. » disait le pingouin. Le bonhomme alla regarder. « Fioulala. » dit Tbal d’un air fioulalesque. Les deux aventuriers venaient de découvrir un cadavre. Un cadavre au plein milieu du désert.
« Un terriens ! » dit le pingouins.
« Qu’est-ce ? » disait Tbal ?
-Une espèce inconnu. C’était il y a fort longtemps, quelque part, bien ailleurs.
-Raconte moi.
Très loin, il y a très longtemps, très différemment, quelque part entre l’espace, le temps et la raison existait la dimensions des terriens. La-bas c'était amusant, il y avait de la matière, de celle qui tombe, casse, vole et se touche. Il y avait des nuages, de ceux qui sème la pluie, même des vents qui les poussaient. Il y avait de la lumière, de celle qui éclairais, aussi des montagnes et des océans, des forêts avec des champignons, des poissons dans des lacs, des papillons et des chauves-souris. Ceci au dire de certains, était contenu dans une sphère qui tournais à répétition autour d'un astre lumineux. Nombreux furent les terriens qui tentèrent la vérité dans cet univers en délire. Philosophes, scientifique, poètes, tous avaient au moins une fois essayé. Une fois, un caillou tomba. « C'est la volonté divine » pensaient les uns. « C'est x^2b=y » disaient d'autres. « Le caillou n'existe pas » affirmaient même d'autres. Tant de chemins, c'était le temps des premières idées. L'idée originel devint pluriel, elle se subdivisais. Sa division affecta les terriens, des lors, royaumes naissaient et s'affrontaient. Le temps passa, les royaumes, eux, étaient toujours là, car ici, dans l'univers des hommes, ce qui n'existait pas, traversaient les âges aisément. Les empires, toujours s'affrontaient, mais on ne savaient plus vraiment pourquoi, et pourtant les premières idées, mortes depuis longtemps, restaient prétexte aux affrontement. C'est vers ici qu'apparut le pouvoir, et celui-ci combiné à l'amour provoquaient des incohérences des plus étonnantes ; l'exploitation de l'homme par l'homme. L'exploitant, l'exploité, c'était le vestige de la division.
-Bien, il s’agit de trouver ce que fait ceci ici.
-Non laissons tomber. C’est bien trop compliqué.
-En voilà une idée.
Quelque peu après, Tbal et le pingouin continuèrent leur route. Du vent, des ciels, des albatros, des sables mouvant, des étoiles. Mince ! Des sables mouvants, Tbal venait de se faire avoir. Le guerrier s'enfonçait à présent. Ses pieds étaient déjà bien dedans et cela continuais. Petit à petit le corps de Tbal coulait, et ceci encore plus rapidement lorsqu’il tentais de se mouvoir ; un piège fatale. Le pingouins déguisé en dromadaire, lui, ne pouvais rien faire. Aucune partie de son corps ne pouvais atteindre le malheureux tombeur. « Putain de bordel de merde » disait Tbal. « Adieu » disait le pingouin. A l’air, il ne restais plus que la tête du guerrier, le reste du corps, lui, demeurais déjà sous terre. Tbal observa une dernière étoile, puis, deux yeux et le noir ; les paupières de Tbal venaient de se refermer. Soudain, l'espoir. Tbal s'apercut que sa tête n'était encore qu'a demi enfoncé. Il rouvrit les yeux et se dit : "Avant de sombrer, je vais regarderais au moins encore cinq étoiles ". Tbal regarda ses étoiles et les regarda encore. Le temps semblait s'être arrété. Tbal ne semblait d'ailleurs même plus s'enfoncer. A vrai dire il s'étonna même de remonter. "Je suis sauvé" cria t-il ! Ceci jusqu'à qu'il se rende compte que son corps n'était plus. C'était son âme qui remontait, il venait de le remarquer. L'âme flottante de Tbal s'écria "Merde je suis mort". "Ce n'est pas grave, disait le pinguins, continuons."

Tbal et son pingouin continuèrent leurs parcours dans le dessert. Bien longtemps après, ils découvrirent une tache verte sur l'horizon. C'était une foret, un rond au milieu du dessert.
-Allons y !
Déjà, il y entrais.
- Drôle d'endroit, disait Tbal, c'est qu'il n' y a que des arbres par ici !

Les deux compagnons avancèrent vers le centre de la forêt. Au fur à mesure qu'ils marchaient, les distances entres les arbres diminuais !
- Merde on va se faire avoir ! disait le pingouin qui venait de le remarquer.
- Moi je ne crains rien, disait Tbal, je suis déca mort.
- Soit, dit le pingouin, continue sans moi.
- Salut. disait Tbal

L'âme de Tbal continua seule le chemin. Après s'être séparé de son corps, Tbal venais se sépara du pingouin.
Les distances entre les arbres continuaient à diminuer. Bientôt ces êtres brins et verts se touchaient. Maintenant ils ne formaient plus qu'un. Un arbre au milieu de la forêt, disons, un arbre millénaire....

Celui-ci disait, "Voilà encore une âme perdue."
- Bonjour disait Tbal, comme tu le vois je suis bien dans la merde.
- Qui y'a t-il ? disait l'abre
- Et bien je suis mort, disait Tbal, il me faut un nouveau corps.
- Ca tombe bien, disait l'arbre, il me reste des corps vides, je veut bien t'en donner un.
- Merci, disait Tbal
L'arbre tourna ses feuilles de tel manière à dévoiler trois arbres gisant dans l'ombre. Il dit :
- Choisis celui que tu veut et bienvenue parmis nous.
- Mais c'est de la merde, disais Tbal, je veut pas être un arbre ! T'a pas un oiseau ?
- Non, je n'ai que ça, ou encore une baleine.

Tbal soupira.. Soudain, un rayon de lumière vint heurter son âme. Il venait d'avoir une idée.
- Très bien disait Tbal, alors ce sera un arbre-baleine. Cet arbre là avec la balaine.
- Mais personne n'a jamais fait ça, disait l' arbre, bien surprit.
- Eh bien, tentons.

L'arbre accepta. L'âme de Tbal, la baleine et un arbre se réunirent pour ne former plus qu'un. Deux corps et une âme, cela n'avait jamais été réalisé. Tout naturellement, Tbal changea de dimension.
Dans cette dimension, il n'y avait plus de dessert. D'ailleurs, il n'y avait plus de sol ni de ciel. Tbal, l'arbre-baleine, semblait flotter.
- Fiou disait Tbal, qui venait d'ouvrir les yeux.
Au plus loin de son regard, Tbal vit une lumière blanche. Au plus près, il s'étonna de ne rien voir. Tbal, tourna difficilement son corps afin de voir ce qu'il ya derrière lui. Il percuta une lumière noir. Tbal préféra se retourner. Maintenant c'est une lumière rouge.
-Merde !
Il continuait à se tourner. Une lumière bleu maintenant, puis jaune. Enfin une lune sortit de nulle part cognait le corps du guerrier.
- Aie !
Tbal ne cessait de tourner...

[Invité]

Fioulala le retour de Nechez. Plutôt sympa. Humoristique au plus haut point.

[à tchaoum]

Tbal et son ami le pingouin

Ça démarre fort, et j'aime bien les pingouins. Mais ça ressemble trop à une écriture de défonce.
Et question orthographe (et là je te parle en tant que celui qui en a beaucoup souffert) tu en fais vraiment trop. Même moi dans mes pires moments, je ne t'arrivais pas à la cheville ! À la limite, on se demande si tu le fais exprès. Certaines fautes sont presque drôles, d'autres sont tellement connes !
Est-ce que tu te relis ? Est-ce que tu trouves normal ce que tu lis ? Y a pas des trucs qui te sautent aux yeux ? Est-ce que ça ressemble à des trucs que tu as lu ? Est-ce que tu te dis qu'il n'y a qu'à forcer le passage ? Que tu es en train de créer un style ? C'est plein de bonnes idées, mais c'est livré comme on vide ses poches. Il y a de tout, et surtout du qu'on ne fait pas partager.

« Le caillou n'existe pas » affirmaient même d'autres.[...]
« Adieu » disait le pingouin.

Tbal n'existait pas, n'avait qu'à se dire le pingouin.

Tbal ne cessait de tourner...

L'écriture, comme la beuh, ça s'apprivoise.
Je répète, c'est plein de bonnes choses, à toi d'en faire le tri. Ce serait sympa de nous proposer des textes que tu aurais un peu travaillé.
à moins que le travail n'existe pas, bien sûr, auquel cas tu fais ce que tu veux, mais moi je ne fais plus l'effort de lire, pour marrant que ce soit.

[Nechez]

Merci bien pour tes commentaires atchoum. Je suis très intéressé par tes conseils

Il est vrai que mon orthographe n'est pas très bonne, il est vrai aussi que lorsque j'écris je m'intéresse plus au rendu disons 'orale' ou 'sonore' et cela nuit et non n'excuse (j'oserais l'admettre) à sa qualité pictographique, c'est à dire ses règles de grammaire, orthographique, ou syntaxiquement et bien des meilleurs

Tu me dis que certaines de mes fautes sont presque amusantes, cela m'intéresse fortement, lesquels sont amusantes, ou pourrait l'être, ainsi j'essayerais volontairement de les refaire d'une manières amusantes.

Quand à mon style, peut être est t-il encore débutant dans sa relation au autres, mais c'est en l'entraînant qu'il deviendra meilleur, donc pourquoi s'arrêter ?

Merci bien de vos commentaires

[Sahkti]

Enormément de fautes d'orthographe, pfff et trop de fois le mot merde.
Déjà ça, ça me gâche le plaisir, mais bon...
Ensuite, tout commence bien, je me dis chouette "l'humour déjanté de Nechez est de retour" et puis j'ai l'impression que ça part un peu dans tous les sens, sans trop savoir où aller ni comment et du coup, ça devient du grand n'importe quoi. Drôle par moments mais pas souvent, plutôt laborieux. Je reste donc sur le côté, dommage pour moi, parce que j'aime bien te lire en général.

[Nechez]

Merci pour cette réponse

Il est vrai qu'il y'a répétition abusive du mot "merde". Merci d'avoir relevé ça, j'essayerais de rendre le vocabulaire plus varié pour l'avenir.

Sinon c'est du grand n'importe quoi et je l'assume Je travaille toujours mon "fil directeur abstrait", ça peu dégoutter, c'est bien normal, je comprends

Pour l'orthographe, je n'ai pas d'excuse, c'est un point à travailler

Merci !

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