Croire

[Nechez]

Voilà un texte court, composés il y a quelque temps.

Croire ? Il le faut bien. Rappelons-que voir c'est croire et même que ça fait du bien. Sinon, comment soupçonner ses yeux de mensonges ? Douter des nuages et de la pluie, de la chaleur sous les orteils. Avouons-le, croire, il le faut bien, ne serait-ce qu'un minimum. Mais pas trop, car à excès, l'eau noie les oreilles et en terme de problèmes, c'est la que ça coince. Moi il ne m'a pas convaincu, c'est pourquoi je suis d'accord, comme celui-la, qui dit le contraire de ce qu'il pense. Croire, c'est un sentiment de vacance, obsédé par les discours, quelque part la bas, ou je ne suis pas aller voir. Y compris là ou nous sommes en désaccord. Et c'est ainsi, la réalité, un problème de degrés, c'est une passion ou un hobby ? C'est bien ici le blocage. Mais pourquoi le choc frontal ? Car même avant le souffle et inversement, diable, si tu sais quelque chose, dit le moi. C'est comme ces humains, de ceux qui croissaient de manière exponentielle. Et plus il y en avait, moins il y avait d'animaux. Moins d'animaux, puis moins de plantes, et on peut continuer. La Terre, elle, l'avait bien compris. Peu de temps avant la fin, elle se réchauffa, faisant fondre les glaciers. et naître ses féroces soldats, les microbes, les premiers bâtisseurs, de ceux de qui tout découlait. Et la bas, au centre d'entraînement, chez les microbes, sida et malaria était prêt à combattre la tumeur de ce monde qui encore croissait sans cesse.

[mentor]

croire ou croître, telle est la question ;-)

qui l'eût cru ou crû ?
Bon je sors

[Invité]

croire ou croître, telle est la question ;-)

Je dirais même mieux : that is the question !

[claire]

Croire ? Il le faut bien. Rappelons-que voir c'est croire et même que ça fait du bien. Sinon, comment soupçonner ses yeux de mensonges ? Douter des nuages et de la pluie, de la chaleur sous les orteils. Avouons-le, croire, il le faut bien, ne serait-ce qu'un minimum. Mais pas trop, car à excès, l'eau noie les oreilles et en terme de problèmes, c'est la que ça coince. Moi il ne m'a pas convaincu, c'est pourquoi je suis d'accord, comme celui-la, qui dit le contraire de ce qu'il pense. Croire, c'est un sentiment de vacance, obsédé par les discours, quelque part la bas, ou je ne suis pas aller voir. Y compris là ou nous sommes en désaccord. Et c'est ainsi, la réalité, un problème de degrés, c'est une passion ou un hobby ? C'est bien ici le blocage. Mais pourquoi le choc frontal ? Car même avant le souffle et inversement, diable, si tu sais quelque chose, dit le moi. C'est comme ces humains, de ceux qui croissaient de manière exponentielle. Et plus il y en avait, moins il y avait d'animaux. Moins d'animaux, puis moins de plantes, et on peut continuer. La Terre, elle, l'avait bien compris. Peu de temps avant la fin, elle se réchauffa, faisant fondre les glaciers. et naître ses féroces soldats, les microbes, les premiers bâtisseurs, de ceux de qui tout découlait. Et la bas, au centre d'entraînement, chez les microbes, sida et malaria était prêt à combattre la tumeur de ce monde qui encore croissait sans cesse.

De l'ironie et du sarcasme, un bout de foi aussi sans doute; croire ou sentir? sentir et voir et n'y pas croire, mais le savoir, et cela suffit... non ?
de bien belles questions, venant à point nommé ("pourquoi le choc frontal?" "y compris là où nous sommes en désaccord"), sauf pour la "passion ou le hobby", just a necessity!

[Invité]

tout ça c'est la faute des grenouilles Croates.
;-)

[Sahkti]

Un peu de cynisme, pas mal de questions et une interrogation qui, à mes yeux, est davantage un prétexte à broder un texte qu'à réellement esquisser un semblent de réponse ou de solution. Ce qui crée chez moi une insatisfaction tant sur le fond que sur la forme, ça ne va pas assez loin, pas au fond des choses, tant sur le contenu que sur la forme.

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