Sonia - Commencement de texte

[lolol085]

bonjour, voila j'ai envie d'écrire une histoire, vous m'excuserez par avance des fautes d'othographe.

Sonia, silencieuse, regardait le ressac de la mer à ses pieds, le regard perdu dans ses songes. Parfois, une larme perlait sur sa joue finissant dans la comissure des ses lèvres. Elle se tenait au bord d'une falaise, assise attendant le moment ou elle devrait quitter cette terre ou elle n'était plus à son aise maintenant. Ses longs cheveux gonflé par le vent était accompagner de sa robe maintenant trop courte, et relevée sur son gros ventre de femme enceinte. Le désespoir l'habitait depuis tellement longtemps qu'elle n'était plus heureuse. La mort envahissait sans cesse ses pensées.

Elle se remémorait les moments les plus heureux de sa vie, pour elle la vie était importante à cet époque, jusqu'au jour malheureux ou la folie l'avait emportée, cette dispute ou tout avait fait basculer.

- Chérie, voila, j'ai une nouvelle à t'anoncer, je te quitte pour une autre femme".

Cela avait été la phrase qui tue et la plus déchirante que l'on puise entendre. Sonia avait alors éclater en sanglots, éssayer de se raisonner, mais la douleur étant plus forte, elle était aller rejoindre son ancien compagnon parti rejoindre, lui sa nouvelle femme. Elle avait emporter un couteau de boucher et son pistolet qu'elle possèdait depuis son agréssion. La route avait été longue, et pleines d'obstacles. Un contrôle de police, l'avait obliger à se calmer et à paraître neutre, un autostopeur s'était pratiquement jeté sous ses roues pour qu'elle le conduise à Tarata. Enfin, elle pu arriver dans la maison du bonheur du nouveau couple.

La-bas, la scène fut atroce, des cris, des pleurs, des coups de feu et un couteau planter plusieurs fois dans les corps désormais innerte. Elle avait alors pousser les cadavres hors de la maison, et mis dans le coffre de sa voiture. Elle était ensuite retournée dans la maison pour néttoyer tout le désordre, et les traces de son crime. Elle avait agie sous la folie, et elle se sentait guidée par une force indescriptible. Une fois son ménage terminer, elle conduit les deux corps entreposer dans le coffre, jusqu'à la mer.

Elle avait attendue la nuit, et un à un elle avait jetée comme elle l'avait pu les deux anciens amants morts dans l'amour. La mer les avaient avalées sans aucunes trace, les rochers avaient éparpiller les restes, et les poissons sans doutes manger les miettes.

Dans les jours qui suivirent la police l'interrogère mais n'urent pas de preuves pour l'inculper.

Se ressituant de nouveau dans le présent, elle eu une pensée pour l'être qu'elle avait aimer.

-" Si tu ne m'avais pas quitter nous serions presque parents maintenant et nous serions heureux mais tu ne m'a pas laisser le temps de te l'expliquer, à présent je me prépare à te rejoindre."

Tous les jours depuis qu'elle avait été guidée par cette folie, elle était revenue jusqu'à cette falaise et aujourd'hui elle avait décider pour elle de faire le grand saut.

Elle se leva prudement, prenant garde à ne pas s'écorcher ses pieds nus. Elle regarda de nouveau la mer avec ses lames déferlantes et se fracassant contre les rochers. Elle sentie un coup de pied dans son ventre comme si le foetus savait ce qui allait arriver. elle lui murmura

-"Chut mon bébé, ne t'inquiète pas, nous allons rejoindre ton père"

Et elle sauta. Le choc fut terrible mais pas une seule seconde dans sa chute, elle ne cria, ou regretta ce qu'elle fesait.


voila, j'ai terminée. merci de m'avoir lue.

[Sahkti]

Merci pour ton texte.

1) Pourrais-tu lui donner un titre stp? Ce sera mieux que "commencement de texte" (je ferai la correction de l'en-tête quand tu l'auras donné)

2) Je pense qu'il faut vraiment que tu le fasses relire, parce que sinon, tu vas entendre quelques remarques à propos de l'orthographe. Nous sommes assez attentifs à cela sur le forum.

Merci à toi!

[Invité]

Ça manque de vie et de sentiment, involontairement trop factuel.
Ça manque de correction orthographique aussi, je veux pas faire la fine bouche (pas trop...) mais oh la la, il y a vraiment trop de fautes, qui nuisent à une lecture plaisante ...

[Invité]

Je suis soucieux de voir nombre d'entre-vous faire des fautes d'accord du participe passé, avec un infinitif en lieu et place. Chaque fois que je croise une faute de ce genre, ça me rend triste un peu. Triste pour l'écrivant mais encore plus pour l'enseignant, le prof d'école. Ça doit faire drôle de voir l'échec en face. Comme ça tout le temps.

[Invité]

Ce que je veux dire par là, c'est que ce n'est pas une relecture dont ce texte à besoin. C'est que son auteur reprenne le début depuis le cours préparatoire. Ya un S au pluriel, y'a un E à patate. Ces choses là. Entre les petites fautes et le presque-illettrisme il y a une distance reconnaissable entre toute.

[Rainbow.]

Malgrès mes nombreuses fautes en orthographe, les tiennes sont flagrantes.
Ex: Faisait, et non fesait.

Pour l'histoire en elle même, je trouve qu'elle manque de profondeur.
Personnellement, j'ai eu du mal à accrocher.

[Reginelle]

Bonjour, voilà j'ai envie d'écrire une histoire, vous m'excuserez par avance des fautes d'orthographe. (attention à la frappe aussi)

Sonia, silencieuse, regardait le ressac de la mer à ses pieds, le regard perdu dans ses songes. Parfois, une larme perlait sur sa joue finissant dans la commissure de ses lèvres. Elle se tenait au bord d'une falaise, assise, attendant le moment où elle devrait quitter cette terre où elle n'était plus à son aise maintenant. Ses longs cheveux gonflés par le vent étaient accompagnés de sa robe maintenant trop courte, et relevée sur son gros ventre de femme enceinte. Le désespoir l'habitait depuis tellement longtemps qu'elle n'était plus heureuse. (Désolée, mais ça, c'est… une lapalissade !) La mort envahissait sans cesse ses pensées.

Elle se remémorait les moments les plus heureux de sa vie, pour elle la vie était importante à cette époque, jusqu'au jour malheureux où la folie l'avait emportée (dans quel sens «emportée» ? L'avait emportée, elle, ou emporter dans le sens de gagner ? si emportée elle, ok bien ée. Si dans le sens de gagner c'est emporté), cette dispute où tout avait fait basculer.

- Chérie, voilà, j'ai une nouvelle à t'annoncer, je te quitte pour une autre femme".

Cela avait été la phrase qui tue et la plus déchirante que l'on puisse entendre. Sonia avait alors éclaté en sanglots, essayé de se raisonner, mais la douleur étant plus forte, elle était allée rejoindre son ancien compagnon parti rejoindre, lui sa nouvelle femme. Elle avait emporté un couteau de boucher et son pistolet qu'elle possédait depuis son agression. La route avait été longue, et pleines d'obstacles. Un contrôle de police, l'avait obligée à se calmer et à paraître neutre, un autostoppeur s'était pratiquement jeté sous ses roues pour qu'elle le conduise à Tarata. Enfin, elle pu arriver dans la maison du bonheur du nouveau couple.

Là-bas, la scène fut atroce, des cris, des pleurs, des coups de feu et un couteau planté plusieurs fois dans les corps désormais inertes. Elle avait alors poussé les cadavres hors de la maison, et mis dans le coffre de sa voiture. Elle était ensuite retournée dans la maison pour nettoyer tout le désordre, et les traces de son crime. Elle avait agi sous la folie, et elle se sentait guidée par une force indescriptible. Une fois son ménage terminé, elle conduisit les deux corps entreposés dans le coffre, jusqu'à la mer.

Elle avait attendu la nuit, et un à un elle avait jeté comme elle l'avait pu les deux anciens amants morts dans l'amour. La mer les avait avalés sans aucune trace, les rochers avaient éparpillé les restes, et les poissons sans doute mangé les miettes.

Dans les jours qui suivirent la police l'interrogea mais n'eut pas de preuves pour l'inculper.

Se resituant de nouveau dans le présent, elle eut une pensée pour l'être qu'elle avait aimé.

-" Si tu ne m'avais pas quittée nous serions presque parents maintenant et nous serions heureux mais tu ne m'as pas laissé le temps de te l'expliquer, à présent je me prépare à te rejoindre."

Tous les jours depuis qu'elle avait été guidée par cette folie, elle était revenue jusqu'à cette falaise et aujourd'hui elle avait décidé pour elle (pour elle, est inutile. Si elle décide de faire le grand saut, c'est forcément elle) de faire le grand saut.

Elle se leva prudemment, prenant garde à ne pas s'écorcher ses (s'écorcher les… ou écorcher ses…) pieds nus. Elle regarda de nouveau la mer avec ses lames déferlantes et se fracassant contre les rochers. Elle sentit un coup de pied dans son ventre comme si le foetus savait ce qui allait arriver. Elle lui murmura

-"Chut mon bébé, ne t'inquiète pas, nous allons rejoindre ton père"

Et elle sauta. Le choc fut terrible mais pas une seule seconde dans sa chute, elle ne cria, ou regretta ce qu'elle faisait.


voilà, j'ai terminé. Merci de m'avoir lue.(si tu es de sexe féminin, ok pour lue… sinon, c'est lu !)

Un passage au correcteur aurait déjà signalé tout ce qui est en rouge... Pour le reste, ainsi que l'a souligné Pandaworks, des fautes d'accord de participe passé.
Ecrire, ce n'est pas seulement prendre un crayon et du papier, surtout lorsque l'on est conscient d'avoir de sérieuses lacunes en orthographe. Ecrire, c'est aussi faire l'effort de se poser, de voir où les mots posent une difficulté. Il y a plein de sites en accès gratuit qui permettent aujourd'hui de trouver les réponses à pas mal de questions. Aimer écrire, c'est aussi ça : prendre le temps et se donner les moyens de le faire bien.

Ok... je suis un peu agacée, je l'avoue. Mais il y en a tellement !

Dis-toi que même la plus belle des histoires rebute si elle est vraiment, vraiment, mal écrite. En revanche, une écriture soignée et agréable à lire, peut apporter beaucoup à une histoire seulement "gentillette".

Ici, ton histoire n'a rien de bien extraordinaire, elle raconte quelque chose qui, hélas, doit arriver très souvent. Avec toutes ces fautes, elle le parait encore plus !

[pierre-henri]

Je suis soucieux de voir nombre d'entre-vous faire des fautes d'accord du participe passé, avec un infinitif en lieu et place. Chaque fois que je croise une faute de ce genre, ça me rend triste un peu. Triste pour l'écrivant mais encore plus pour l'enseignant, le prof d'école. Ça doit faire drôle de voir l'échec en face. Comme ça tout le temps.

Le nombre de gens, lettrés, qui commettent cette faute est hénaurme. De même, l'accord du pp avec les cod féminns tombe en désduétude- tendez l'oreille.
la langue bouge, remue, s'agite...
Hmmm...

[Reginelle]

et j'ai oublié de corriger "pleine (sans s) d'obstacles"... et elle put (avec t) arriver" ... je les ai soulignés mais omis de les corriger...

[Contenu sponsorisé]