Seule dans les tranchées ...

[Always]

Bonjour,

Voila je poste une nouvelle en cours d'écriture, je poste que le début je suis entrain de travailler le reste. J'aimerais vous demander votre avis concernant mon texte. Merci beaucoup :


Seule dans les tranchées :

"Tu n'es plus en sécurité ici, part !" hurla Cindy Magnime à une fillette toute vêtu de blanc...

Allongée près du corps de sa mère, Cindy.Alycia pleurait en silence en contemplant le jolie visage de sa mère et priait pour que sa maman se réveille de son profond sommeil,que la guerre s'arrête et surtout que son père rentre en vaillant soldat sain et sauf. L'écolière savait qu'elle devait partir le plus vite possible, mais elle ne pouvait pas abandonnée ses cahiers d'école, ses jouets, touts ses objets précieux. Hélas, il n'y avait pas vraiment le choix. Fuir ou mourir. Cela faisait un ans et demi que la guerre avait commencée que tout les habitants entendaient au loin des hurlements de douleur et des coups de feu. Il fallait que tout ceci cesse. Alycia ne pouvait plus supporter les pleurs des femmes attendant leurs maris, voir des enfants et des nourrissons innocent se faire tuer, et les regarder mourir sans savoir comment réagir. C'est à ce moment là, que l'enfant décida de partir loin, très loin dans un pays où les mots : guerre, souffrance et malheur sont bannis du vocabulaire... Alycia prit son manteau et marcha le long des tranchées sans s'arrêter. Le ciel devînt soudain gris, l'orage de son son répétitif essayait d'effrayer le petit ange qui faisait de son possible pour essayer d'oublier tout ces corps inertes qu'elle avait vu empiler dans des tranchés pleines de sang. La seule et unique chose qui la réconfortait était de savoir son père en vie quelque part en train de se battre pour l'honneur de son pays...

Toutes les tranchées qu'Alycia voyait avait été abandonnées. En revanche, plus la fillette avançait plus les bruits de fusil semblaient proches. L'enfant devenait trop nuisible. Le soleil disparaissait petit à petit en laissant le vent souffler, plus violent, et glaciale que jamais. Les quelques arbres qui n'avaient pas été abattus perdaient leurs feuilles sous l'effet du vent. La petite fille s'allongea dans une tranchée entre deux corps en décomposition abandonnés depuis longtemps. Elle ne c'était même pas rendu compte de l'odeur horripilante ni des mouches qui se posaient près des corps; l'élève était trop occupée à se préoccuper de sa santé et de son alimentation. Comment ferait-elle pour se nourrir ? Epuisée, elle s'endormit sans avoir eu le temps de répondre à sa question. Les derniers paroles de sa mère résonnaient dans sa tête, sans cesse. Si tout cela ne pouvait être qu'un mauvais rêve.

Je suppose qu'il doit avoir pleins de fautes d'orthographe et de conjugaison et je trouve que l'écriture manque un peu de vocabulaire ... Voila.

Bonne fin de journée.

[Always]

Hélas, elle n'avait pas vraiment le choix...

J'ai honte je n'avait pas relu cette phrase ...

[Always]

Pour le titre (désolée pour tout les post)

J'hésite entre :

Seule dans les tranchées (je ne sais pas d'où vient l'idée ça m'es venu tout seule... )
Fuir ou mourir
Derrière le rideau de fer

[Halicante]

Je suppose qu'il doit avoir pleins de fautes d'orthographe et de conjugaison et je trouve que l'écriture manque un peu de vocabulaire.

Je te conseille de passer plus de temps à te relire attentivement et de vérifier l'orthographe et la grammaire à l'aide d'un correcteur (je crois qu'il en existe des gratuits), car cela nuit à la lecture de ton texte. Il y a beaucoup d'erreurs simples à corriger (les accords des noms et adjectifs au féminin et au pluriel notamment.) C'est dommage, car ton texte a des qualités. J'ai quand même fait un passage sur l'orthographe/grammaire/fautes de frappe, mais je pense que c'est un travail auquel tu devrais t'atteler avec plus de sérieux. Tu as notamment oublié de changer le nom de ton héroïne, qui s'appelle d'abord Cindy, puis Alycia. Je le répète : une relecture (au moins !) de ta part s'impose !
"Tu n'es plus en sécurité ici, part !" : pars !
toute vêtu de blanc : vêtue
Allongée près du corps de sa mère, Cindy.Alycia pleurait
le jolie visage de sa mère : le joli visage
elle ne pouvait pas abandonnée ses cahiers d'école : abandonner
touts ses objets précieux : tous
Cela faisait un ans et demi que la guerre avait commencée que tout les habitants entendaient... : an / commencé, et que tous les habitants…
des enfants et des nourrissons innocent : innocents
Toutes les tranchées qu'Alycia voyait avait été abandonnées : avaient
le vent souffler, plus violent, et glaciale : glacial
Elle ne c'était même pas rendu compte de l'odeur : s’était
Les derniers paroles de sa mère : dernières
Si tout cela ne pouvait être qu'un mauvais rêve. : il s’agit d'une exclamation, il faut donc un point d’exclamation à la fin de la phrase.

C'est à ce moment là, que l'enfant décida de partir loin… : tu passes de l’imparfait (« Alycia ne pouvait plus supporter… ») à « C’est à ce moment-là », qui signale un instant précis, contrairement à l’imparfait.
l'orage de son son répétitif : les sonorités ne sont pas très heureuses
…essayait d'effrayer le petit ange qui faisait de son possible pour essayer d'oublier : tu pourrais facilement éviter la répétition en n’attribuant pas de volonté à l’orage
L'enfant devenait trop nuisible : je ne comprends pas de quel enfant il s’agit ni en quoi il est « nuisible »

Fuir ou mourir : ça me rappelle le « Fuir pour vivre » d'Erika et Klaus Mann - tu montres bien que l'enfant n'a pas le choix
Il fallait que tout ceci cesse : jolies sonorités
Le début est bon, mais il n’est plus fait mention de l’enfant (la fillette vêtue de blanc) ensuite. Le fait qu’elle ne remarque pas l’odeur ni les mouches et qu’elle s’allonge entre deux cadavres en pensant à ce qu'elle va pouvoir manger me semble un peu tiré par les cheveux, mais on comprend bien que sa propre survie soit sa seule préoccupation et tu décris bien le sentiment d'impuissance de la jeune fille.
Ton texte aurait besoin d'être plus travaillé, car ton imagination si riche mérite que tu t'attardes aussi sur la forme.
Pour ce qui est de l'histoire, je me demande comment cette enfant va s'en sortir, alors continue !

[mentor]

Pour le titre je trouve celui-là bien, me disant qu'après tout, si tu prépares une longue histoire, ou une nouvelle, ou carrément un roman, pourquoi ne pas donner un titre à chaque chapitre, ça se fait parfois, même si ça fait un peu vieillot ;-)
Pour les fautes, suis les conseils d'Halicante, et va t'exercer sur le site bonpatron.com qui t'aidera déjà bien.
Sinon j'ai bien ressenti ton plaisir à écrire, et ton potentiel, car c'est bien construit, les descriptions sont bonnes (et fortes), il y a de l'action, des réflexions, bref, il y a "quelque chose" là derrière, sans aucun doute, et (toujours comme le dit Halicante), surtout continue !

[Always]

Merci beaucoup Halicante et Mentor pour vos critiques et pour la correction. Dès que j'aurai le temps j'essairai de corriger les fautes par contre concernant les prénoms, je me suis sans doute mal exprimée car Cindy est le prénom de la mère d'Alycia. En tout cas merci encore.

[Sahkti]

Plein plein de fautes d'orthographe, Always, fais-toi relire stp :-)

J'ai le sentiment que ce texte, tu l'as écrit impulsivement, parce que tu en avais envie, tu avais l'ide en tête et tu as voulu coucher sur papier à toute vitesse (mais je me trompe peut-être). On sent que ça te démangeait, il y a une sorte de frénésie dans l'écriture mais aussi, hélas et du coup, pas mal de maladresse qu'une relecture à tête reposée aurait peut-être éliminées.
Tes personnages n'ont pas vraiment le temps de s'installer, c'est dommage. Ça vaudrait la peine de reprendre ce texte pour le prolonger, le densifier.

[Charles]

Pas très clair le coup des prénoms Cindy / Alycia …

Pas mal de tentative de faire « littéraire » d’adopter un langage le plus soutenu possible mais pas mal d’erreurs ou de mauvais emplois d’expressions ou de mots. Je te conseillerai de faire plus simple, de ne pas chercher le lyrisme, le langage soutenu, de raconter simplement, comme ça te vient et de te relire en essayant voir dans ton texte ce qui est compréhensible, logique pour un lecteur et ce qui ne l’est pas.

Quelques exemples :

l’enfant veut partir loin de la guerre et de ses absurdités et dans le même temps, elle est réconforté de savoir que son père se bat pour l’honneur de son pays, ce qui est tout de même une sacrée absurdité …Pas très logique.

En relisant, tu vas trouver aussi des choses telles que « de son son répétitif ». Pas terrible, le double « son »… de ses tonnerres, de son martèlement … répétitif

« L'enfant devenait trop nuisible » je ne comprends pas ce que tu veux dire ici. Peut être une méprise sur le sens du mot nuisible ?

« de l'odeur horripilante » horripilante ne me semble pas bien employé ici. Odeur affreuse, insoutenable mais odeur horripilante, énervante ?

Attention aussi à ne pas tomber dans le texte naïf pour dire « c’est pas bien la guerre »

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