Je le sais, a présent

[Cerise7]

Bon, et bien voila je me lance ! J’ai rédigé ce texte il y a un petit bout de temps. Je l’ai un peu retravaillé depuis. Je sais qu’il y a des fautes de temps. Mais je n’arrive pas vraiment à voir où elles se situent, si vous pouvez m’aider ce serait avec plaisir que je broierai vos critiques ^_^.

Je sens aussi qu’on peut avoir du mal à se situer dans certaines parties des paragraphes, il faut savoir que parfois, je fais référence à des souvenirs enfouis. (Pas les miens heureusement ! Lol.) Certaines personnes en lisant se sont senties légèrement perdues. >_<

J’espère aussi qu'un petit détail ne donnera pas envie de me mordre … O_o Même pour une cerise … Mouarf ! XD


~~



Je le sais, a présent.

Ces mots, si simples et sans bavure. Transperçant sans aucun remord ni regret le cœur de celle sur qui ils furent jetés, sans tact et sans hésitation. Autour d’elle, l’atmosphère se faisait aride sous ce soleil qui lui calcinait la peau. Mais elle n’en avait que faire. Une autre douleur était bien plus intense ailleurs, quelque part dans le creux de sa poitrine. Lancinante, éreintante, nauséeuse … Les yeux de celui qu’elle aimait avaient exprimé une telle détermination, qu’elle n’avait pu laisser un seul souffle de mot s’échapper. Elle avait été trahie par celui qu’elle croyait être son âme sœur. Le seul en qui elle avait cru avoir confiance. Le seul qu’elle avait réellement aimé. Tout son cœur, toute son âme, tout son être lui avaient été entièrement dévoués.

Le sable voletait rageusement autour d’elle, semblable à de la poussière, balayé par ce vent qu’elle s’inventait. Et le sol irrégulier sous ses pieds nus lui embrasait la voûte plantaire, la brûlure irradiant jusqu’en haut de ses chevilles. Elle n’arrivait même plus à ressentir la douleur physique. Elle marchait sans but vers un destin qu’elle croyait scellé. Il était parti, alors elle ne pouvait plus continuer ainsi. Il était bel et bien parti ! Il l’avait choisie, lui … Qu’est-ce qu’il lui trouvait ? Son sourire de charmeur ? Ses façons ambiguës ? Qu’est-ce qu’il avait qu’elle n’avait pas ? C’était pourtant évident, aujourd’hui. Elle l’avait aussi trouvé beau garçon avec ses grands airs qui lui allaient à ravir, mais de là à vouloir la quitter pour lui. Elle n’avait pas compris.

Elle repensa à ce fameux jour où il était rentré chez eux et avait pris la direction de la salle de bain directement sans passer par la case « Bonjour ma chérie, passé une bonne journée ? » Non… Rien de tout cela. Ni même ce petite baiser chaste qu’il lui avait toujours offert lorsqu’il rentrait de son travail. Elle s’était alors empressée de fouiller ses affaires. Ne sait-on jamais, avait-elle pensé, quand sa main plongea dans la poche intérieure de la veste pour effleurer quelque chose de petit et de carré, surtout, quelque chose de doux au toucher. Son cœur s’était mis à palpiter sans raison alors que sa main s’était refermée, tremblante sur l’objet.

Elle se laissa surprendre par une douloureuse larme qui créa son sillon humide lorsqu’elle y repensa. Elle y revoyait les images devant les yeux, parfaitement net. Un poids sur son cœur s’appuyait un peu plus fort sur celui-ci, créant une pression malicieuse qui lui fit perdre l’équilibre. Ses genoux rencontrèrent le sol sableux dans un silence effrayant. Ce désert qu’elle avait tant rêvé se découvrait a perte de vue à présent. Elle n’en avait même plus peur. Elle le connaissait bien. Elle se rappela de ce que ce petit coffret cachait, elle se souvenait même de l’éclat miroitant de l’or alors qu’elle l’avait ouvert. Ses formes simples et sans prétention. Une simple alliance à la couleur chaleureuse dans un écrin sombre. Sobre et jolie, simple et sans arrogance. C’était tout elle. Tous ses doutes s’étaient envolés. Et le pincement caractériel au cœur lorsque l’on se sent « aimé », se fit plus fort à cet instant. Un sourire malicieux s’était tordu sur son visage. Ses yeux étaient brillants. Elle avait ressenti le bonheur ! Celui qu’elle attendait depuis déjà de longues années …

Elle s’était alors empressée de refermer la boite et l’avait remise aussitôt a l’endroit trouvé plus tôt. Son sourire se fit plus grand lorsqu’elle remarqua soudainement que le bruit de l’eau était déjà présent depuis un long moment dans la salle de bain. Elle eut l’idée et surtout l’envie soudaine de le rejoindre. Elle avait oublié sa froideur lorsqu’il était passé devant elle quelques instants plus tôt sans lui dire un mot. Mais qu’elle ne fut pas sa surprise lorsqu’elle ouvrit la porte qui laissa échapper quelques volutes de fumée humides. Ses yeux s’étaient écarquillés un instant et le doute s’était emparé de son esprit lorsqu’elle se trouva en train de l’épier à son insu, en train de se faire du bien. Rien de mal de ce coté là, c’était tout naturel, elle aurait juste voulu qu’il l’attende un peu pour en arriver là. Non, cela ne la choquait pas du tout. Ce qui l’avait heurté de plein fouet, c’était ce murmure qui s’était échappé de ses lèvres lorsqu’il s’était laissé allé à son plaisir. Un nom… Un nom qu’elle connaissait bien. Edward …

Elle claqua vivement la porte alors qu’il s’était tourné vers elle, ses yeux interrogateurs et gênés. La honte s’était emparée de lui, elle l’avait ressentie. Edward …

Pourquoi ?

Une goutte d’eau, puis une autre, et encore une autre, toutes fictive de son esprit embrumé. Suivie d’une multitude de ses sœurs s’écrasaient a présent sur elle, se mêlant a ses larmes, ne sachant plus les différencier l’une de l’autre. Elle ne les avait pas tout de suite remarquées. Elles ruisselaient sur son corps totalement dénudé, se mélangeant au grain de sable autour d’elle, pour en former une boue. Ses cheveux lui collèrent au corps et sur son visage défiguré par cette douleur latente et continue au creux de son être. La douleur était plus poignante lorsque ses souvenirs refaisaient surface.

Lorsque son homme l’avait rejoint sur le canapé après sa douche, elle avait douté longtemps ensuite lorsqu’il lui avait fait l’amour comme un beau diable. Peut-être l’avait t’elle inventé ce murmure ? Peut-être que le clapotement de l’eau qui coule l’avait induite en erreur ? Elle ne savait plus. Cette alliance pourtant, elle était bien là ! Alors que croire ?

Cependant, elle connaissait bien un Edward. Ce type là. Qu’elle avait déjà vu se pavaner devant elle et son homme plus d’une fois. Elle n’y avait pas cru lorsque celui-ci lui avait fait du charme sous ses yeux. Ou peut -tre ne l’avait-elle pas voulu ? Tout simplement. Et son homme qui riait à ses blagues idiotes. Elle n’avait peut être pas voulu le voir aussi ? C’était pourtant tellement évident ! Ses yeux avaient brillé d’un éclat trop intense pour être innocente. Cette petite lueur qu’elle n’avait que trop bien connue lorsqu’ils s’étaient eux-mêmes rencontrés pour la première fois, il y a 7 ans.

Non elle ne voulait toujours pas y croire ! Néanmoins, le doute persistait au fur et a mesure que les jours passèrent. Elle se fit plus observatrice, plus attentive aux gestes, aux paroles de son homme qu’elle croyait fautif. Mais rien. Rien du tout ne ressortait véritablement dans son comportement. Toujours le même, fidèle à lui-même. Mais pas à elle. Elle le ressentait. Elle le sentait lorsqu’il lui faisait l’amour. Quelque chose était différent, il était devenu un peu sauvage. Ses gestes étaient devenus abrupts. Il n’y avait plus ce romantisme typique de lui-même. De celui qu’elle avait toujours connu. Elle pensait que ce n’était qu’une lubie passagère, un passage normal de leur vie sexuelle. Puis plus rien. Plus rien du tout. Plus aucun geste envers elle, ou si peu. Et puis l’alliance était loin derrière eux. Et il ne l’avait toujours pas demandée en mariage.
Il fallait qu’elle sache, une bonne fois pour toutes !

« Qui est Edward ? » Avait-elle demandé, le plus simplement du monde, comme si l’on demandait le pot de cornichon en bout de table. Lui, il n’avait pas cillé, même les feuilles du journal qu’il tenait devant lui n’avaient tremblé. Il avait pris son temps pour enfin daigner le baisser, pour rencontrer le regard interrogateur de celle qui l’aimait.
« Qui ? » Avait-il répondu, le plus innocemment du monde. Elle joua aussi sur le temps, pour le voir s’impatienter intérieurement. Ou bien peut être voulait-elle rallonger le temps où il lui répondrait enfin clairement, de peur d’avoir raison. Elle s’était accoudée à la table, et avait prononcé « L’homme que tu vois… ».

Elle enserra sa poitrine de ses bras, écorchant de ses ongles la peau moite, sans réellement s’en apercevoir. Ces mots qui font mal. Elle ne voulait plus s’en souvenir. Mais quoi faire lorsque ces rêves vous poursuivent nuit et jour ? Comment ne pas perdre pied ? Il faisait froid maintenant. Dans son cœur et sur sa peau nue.

« Je suis désolé, je vois quelqu’un d’autre. » lui avait murmuré l’homme en face d’elle, plus tard. Elle avait cru se liquéfier sur sa chaise lorsqu'enfin elle avait compris ces traîtres mots. Comment avait-il pu lui faire ça ? Avec un homme !! Elle s’était levé dans une rage peu commune et l’avait giflé d’une telle force que la joue de l’homme s’était mise à saigner. Il fut étonné lorsqu’il comprit qu’elle avait simplement retourné l'un de ses anneaux pour écorcher profondément la chair sur une grande longueur. Mais il le méritait, et il le savait. Puis ce fut le néant. Elle se rappelle seulement s’être retrouvée ici, dans le désert de son cœur. La pluie cessa mais le sang et les larmes continuaient de couler. Elle se releva péniblement pour aller droit devant. Pour tenter de trouver un nouvel horizon, une nouvelle raison de vivre ? Peut-être meilleur qui sait …

[Charles]

ça me fait penser à du Marc Lévy ou du Guillaume Musso ... A voir, selon les gouts de chacun, si c'est un compliment ou un critique ...

[Invité]

Tout n'est pas là, j'ai relevé le principal

Le sable voletait rageusement : ces deux termes ensemble sonnent mal
Elle y revoyait les images devant les yeux, parfaitement net. Elle revoyait les images, parfaitement nettes /les images défilaient devant ses yeux
Un poids sur son cœur s’appuyait un peu plus fort sur celui-ci, créant une pression malicieuse qui lui fit perdre l’équilibre. Ses genoux rencontrèrent le sol sableux dans un silence effrayant : il faudrait tout mettre au passé simple et la 1ère partie de la phrase a besoin d'être récrite, comme cela elle n'a pas beaucoup de sens
Ce désert qu’elle avait tant rêvé : dont
Elle se rappela de ce que ce petit coffret cachait, elle se souvenait même de l’éclat miroitant de l’or alors qu’elle l’avait ouvert. Elle se rappela ce que (sans le "de")..., elle se souvint
Et le pincement caractériel au cœur lorsque l’on se sent « aimé », : caractéristique
Un sourire malicieux s’était tordu sur son visage : s'était dessiné/ tordait son visage
Ses yeux étaient brillants. Elle avait ressenti le bonheur ! Celui qu’elle attendait depuis déjà de longues années … : brillaient
Elle s’était alors empressée de refermer la boite et l’avait remise aussitôt a l’endroit trouvé plus tôt. Son sourire se fit plus grand lorsqu’elle remarqua soudainement que le bruit de l’eau était déjà présent depuis un long moment dans la salle de bain : s'était élargi
Mais qu’elle ne fut pas sa surprise lorsqu’elle ouvrit la porte qui laissa échapper quelques volutes de fumée humides : lorsqu'en ouvrant la porte, quelques volutes de buée s'échappèrent
Ses yeux s’étaient écarquillés un instant et le doute s’était emparé de son esprit lorsqu’elle se trouva en train de l’épier à son insu : s'écarquillèrent / s'empara
ses yeux interrogateurs et gênés : son regard
Une goutte d’eau, puis une autre, et encore une autre, toutes fictive de son esprit embrumé : issues de
Suivie d’une multitude de ses sœurs s’écrasaient à présent sur elle, se mêlant à ses larmes, : où est le sujet ? ne sachant plus les différencier l’une de l’autre : qui différencie quoi ?
Ses cheveux lui collèrent au corps et sur son visage défiguré : collaient/à
Peut-être l’avait t’elle inventé ce murmure ? : avait-t-elle (sans le l')
Ce type-là
Ses yeux avaient brillé d’un éclat trop intense pour être innocente : où est le sujet ?. Cette petite lueur qu’elle n’avait que trop bien connue lorsqu’ils s’étaient eux-mêmes rencontrés pour la première fois, il y a 7 ans. : qu'elle avait bien connue

Néanmoins, le doute persistait au fur et a mesure que les jours passèrent : Néanmoins, le doute persistait. (le reste est inutile).
Il n’y avait plus ce romantisme typique de lui-même : il ne montrait plus.../qui lui était typique
Ou bien peut-être voulait-elle rallonger le temps où il lui répondrait enfin clairement, de peur d’avoir raison. : différer le moment où
Elle s’était levée dans une rage peu commune
: mue par une rage
sur une grande longueur : surface
Elle se releva péniblement pour aller droit devant : droit devant elle
Peut-être meilleur qui sait … à quoi "meilleur" renvoie-t-il ?

[Invité]

Le titre : à présent

[Cerise7]

ça me fait penser à du Marc Lévy ou du Guillaume Musso ... A voir, selon les gouts de chacun, si c'est un compliment ou un critique ...

Je ne lis aucun des deux ... O_ô

[Cerise7]

Tout n'est pas là, j'ai relevé le principal

Le sable voletait rageusement : ces deux termes ensemble sonnent mal
Elle y revoyait les images devant les yeux, parfaitement net. Elle revoyait les images, parfaitement nettes /les images défilaient devant ses yeux
Un poids sur son cœur s’appuyait un peu plus fort sur celui-ci, créant une pression malicieuse qui lui fit perdre l’équilibre. Ses genoux rencontrèrent le sol sableux dans un silence effrayant : il faudrait tout mettre au passé simple et la 1ère partie de la phrase a besoin d'être récrite, comme cela elle n'a pas beaucoup de sens
Ce désert qu’elle avait tant rêvé : dont
Elle se rappela de ce que ce petit coffret cachait, elle se souvenait même de l’éclat miroitant de l’or alors qu’elle l’avait ouvert. Elle se rappela ce que (sans le "de")..., elle se souvint
Et le pincement caractériel au cœur lorsque l’on se sent « aimé », : caractéristique
Un sourire malicieux s’était tordu sur son visage : s'était dessiné/ tordait son visage
Ses yeux étaient brillants. Elle avait ressenti le bonheur ! Celui qu’elle attendait depuis déjà de longues années … : brillaient
Elle s’était alors empressée de refermer la boite et l’avait remise aussitôt a l’endroit trouvé plus tôt. Son sourire se fit plus grand lorsqu’elle remarqua soudainement que le bruit de l’eau était déjà présent depuis un long moment dans la salle de bain : s'était élargi
Mais qu’elle ne fut pas sa surprise lorsqu’elle ouvrit la porte qui laissa échapper quelques volutes de fumée humides : lorsqu'en ouvrant la porte, quelques volutes de buée s'échappèrent
Ses yeux s’étaient écarquillés un instant et le doute s’était emparé de son esprit lorsqu’elle se trouva en train de l’épier à son insu : s'écarquillèrent / s'empara
ses yeux interrogateurs et gênés : son regard
Une goutte d’eau, puis une autre, et encore une autre, toutes fictive de son esprit embrumé : issues de
Suivie d’une multitude de ses sœurs s’écrasaient à présent sur elle, se mêlant à ses larmes, : où est le sujet ? ne sachant plus les différencier l’une de l’autre : qui différencie quoi ?
Ses cheveux lui collèrent au corps et sur son visage défiguré : collaient/à
Peut-être l’avait t’elle inventé ce murmure ? : avait-t-elle (sans le l')
Ce type-là
Ses yeux avaient brillé d’un éclat trop intense pour être innocente : où est le sujet ?. Cette petite lueur qu’elle n’avait que trop bien connue lorsqu’ils s’étaient eux-mêmes rencontrés pour la première fois, il y a 7 ans. : qu'elle avait bien connue

Néanmoins, le doute persistait au fur et a mesure que les jours passèrent : Néanmoins, le doute persistait. (le reste est inutile).
Il n’y avait plus ce romantisme typique de lui-même : il ne montrait plus.../qui lui était typique
Ou bien peut-être voulait-elle rallonger le temps où il lui répondrait enfin clairement, de peur d’avoir raison. : différer le moment où
Elle s’était levée dans une rage peu commune
: mue par une rage
sur une grande longueur : surface
Elle se releva péniblement pour aller droit devant : droit devant elle
Peut-être meilleur qui sait … à quoi "meilleur" renvoie-t-il ?

Merci beaucoup Island pour tout ce que tu as pu relever. C'est étrange lorsqu'on voit nos erreurs ainsi présentés, ça fait réfléchir et ça fait du bien ! Merci pour le temps que tu as passé dessus. ^__^

[Cerise7]

Le titre : à présent

J'ai une sorte de rejet avec cette règle. Je n'arrive jamais a la retenir, et pourtant elle est facile ...

Même au CP, je n'arrivais pas a me la rentrer dans la tête, ou plutôt la mettre en pratique, et depuis c'est resté ...

[bertrand-môgendre]

sans aucun remord

sans aucun remords ;

Ni même ce petite baiser chaste qu’il lui avait toujours offert lorsqu’il rentrait de son travail

Si tu veux rester dans le féminin, à la sauce Liègeoise tu as aussi : Ni même cette petite baise chaste qu’il lui avait toujours offert lorsqu’il rentrait de son travail ;

a perte de vue

à perte de vue ;

Mais qu’elle ne fut pas sa surprise

Mais quelle ne fut pas sa surprise ;

lorsqu’il s’était laissé allé à son plaisir.

lorsqu’il s’était laissé aller à son plaisir ;

Une goutte d’eau, puis une autre, et encore une autre, toutes fictive

fictives ;

...l’avait t’elle ... Ce type là. ...peut être ...

l’avait-elle, Ce type-là. ...peut-être.
Et les accents sur les za ... Essaie : À Cerise j'attribue un bel accent.

[Tristan]

quelques fautes, oui. Après le sujet ne m'emballe pas, trop convenu, trop d'histoires de coeur pour moi. Par contre, tu as réussi à maintenir un certain suspens à divers endroits

[Cerise7]

bertrand-môgendre Merci pour ces corrections ! Ça me fait marrer quand je vois les fautes que j'ai pu faire alors que j'ai fait pas mal de relectures ! O_o

Tristan, quelques fautes ? Y a une bonne flambée la ! Lol.
Pour le sujet, il fallait bien qu'il sorte et voila ^^

[Tristan]

oui, c'est plus que quelques fautes ^^
Pour le sujet, tu écris ce que tu veux ! Chacun a ses thèmes de prédilection. je disais juste que je n'étais pas emballé par le sentimental. Après, mis à part l'ortho, ton texte n'est pas trop mal écrit, et il est même bien.

[Cerise7]

Merci ^^

[lululucas]

je trouve ton texte bien écrit, même s'il y'a pas mal de fautes mais bon des âmes bienveillantes sur ce forum ont pris soin de te les corriger. Tu emmènes ce thème qu'est l'homosexualité avec raffinement. C'est doux, léger. j'aime beaucoup. continue dans cette voix la ma grande!

[Cerise7]

Merci ^_^

[Sahkti]

Désolée, je ne suis pas super emballée.
Passons sur les maladresses de temps et d'orthographe, les correcteurs sont déjà passés, tout est dit.
Je trouve ce texte, comment dire... un peu collant, empêtré dans de longues phrases tarabiscotées avec une pléthore de mots pour décrire des émotions, alors que ce qui fait la qualité d'une écriture à mes yeux, c'est de pouvoir en dire le plus possible en peu de mots. Ici, tout est expliqué, ressassé, la moindre pensée est disséquée et j'ai le sentiment d'assister à quelque chose sans pouvoir en être ou m'impliquer.

Je trouve également que tout cela est très linéaire, sans véritable surprise ou rupture. La révélation finale aurait pu surprendre, certes, mais elle est amenée de manière un peu trop téléphonée à mes yeux, ça casse le coup, comme on dit. Dommage, parce que l'idée, même si convenue et souvent vue, peut amener à des récits différent, plus intériorisés ou au contraire plus démonstratifs dans l'humour ou l'absurdité.
Ceci est bien sûr un avis perso.

[Cerise7]

Désolée, je ne suis pas super emballée.
Passons sur les maladresses de temps et d'orthographe, les correcteurs sont déjà passés, tout est dit.
Je trouve ce texte, comment dire... un peu collant, empêtré dans de longues phrases tarabiscotées avec une pléthore de mots pour décrire des émotions, alors que ce qui fait la qualité d'une écriture à mes yeux, c'est de pouvoir en dire le plus possible en peu de mots. Ici, tout est expliqué, ressassé, la moindre pensée est disséquée et j'ai le sentiment d'assister à quelque chose sans pouvoir en être ou m'impliquer.

Je trouve également que tout cela est très linéaire, sans véritable surprise ou rupture. La révélation finale aurait pu surprendre, certes, mais elle est amenée de manière un peu trop téléphonée à mes yeux, ça casse le coup, comme on dit. Dommage, parce que l'idée, même si convenue et souvent vue, peut amener à des récits différent, plus intériorisés ou au contraire plus démonstratifs dans l'humour ou l'absurdité.
Ceci est bien sûr un avis perso.

Merci pour ta critique Sahkti et je note pour mes prochains textes.
C'est vrai qu'il donne un peu l'impression d'être "étouffant" ... En faite, j'ai laisser beaucoup trop de descriptions, il n'y a aucune liberté d'imagination pour le lecteur. Mais je le voyais ainsi et je ne pouvais pas le changer. Mais ce genre de point de vus m'aide beaucoup pour la suite.

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