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Les naufragés de l'île déserte

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Les naufragés de l'île déserte Empty Les naufragés de l'île déserte

Message  emilie Lun 21 Juil 2008 - 13:25

CHAPITRE 1 LE GLADIATOR

Nous étions sur « Le Gladiator » depuis une semaine déjà. Jusque là tout s’était bien passé, nous étions loin de savoir que la suite de notre voyage allait tourner au cauchemar.
« Le Gladiator » était parti du port de Marseille un jour de 1950, le 13 septembre très exactement. « Le Gladiator » était un immense bateau. Magnifique.
Nous avions la chance de pouvoir réaliser notre rêve, car ce voyage était onéreux. Mon mari et moi n’en avions pas les moyens à cette époque. C’était donc grâce à une amie du capitaine que nous avions pu le faire.
En ce jour, un samedi, je crois, je me sentais tellement bien sur ce bateau, que j’en avais oublié toute notion de temps.
Il était 8 heures du matin, ça j’en étais certaine, car je portais toujours ma montre. C’était la montre que mon mari m’avait offerte le jour de notre mariage. Je m’apprêtais dans la salle de bain quant tout à coup, j’entendis frapper à la porte :
« Un moment, s’il vous plaît ! »
« Miss Kingsley ! Ouvrez, c’est très important ! »
« J’arrive, j’arrive ! Que se passe-t-il ? »
« Miss Kingsley, il ne faut que vous quittiez votre cabine sous aucun prétexte. Le temps est très mauvais, cela risquerait d’être dangereux de sortir d’ici ! »
« Je ne veux rien savoir, je veux vivre comme je le fais chaque jour. Le danger ne me fait pas peur ! »
« Mais… »
« Taisez-vous et laissez-moi passer ! »
« Mais… »
« Silence. J’ai dit ! »
A l’encontre du conseil du matelot je sortis de ma cabine pour aller prendre mon petit déjeuner. Dans la salle de restaurant, il n’y avait personne. Tous les passagers étaient restés dans leur cabine sur ordre du capitaine.
Quant à moi, je pris mon petit déjeuner tranquillement. Cette pièce était immense, les murs étaient peints avec des fresques d’autrefois. Au plafond deux gigantesques lustres de cristal illuminaient la pièce devenue sombre par le mauvais temps.
Je commençais à beurrer mes tartines quant, tout à coup, un immense creux vint secouer le bateau.
Malgré les conseils du capitaine, les quelques personnes qui étaient sorties de leur cabine s’inquiétèrent. Elles avaient bien raison, car on entendit retentir une cloche, signe qu’une terre était en vue.
Ce qu’elles ne savaient pas, c’était que dans quelques instants, elles allaient échouer là, sur une île déserte.
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Message  mentor Lun 21 Juil 2008 - 19:53

quelques maladresses, comme des répétitions de mots un peu trop proches
une bizarrerie (ou alors tu m'expliques) : elle arrive à petit-déjeuner alors qu'il est interdit à tous de quitter les cabines, il y a donc du personnel autorisé à servir des passagers non autorisés à venir ? ;-)
ou alors c'est un buffet, et y avait qu'à se servir soi-même
bon, sinon c'est un peu court pour juger des qualités d'écriture et de l'intérêt de l'histoire
à suivre, donc ?

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Message  emilie Lun 21 Juil 2008 - 23:35

Pas de soucis à suivre, il y a 8 chapitres d'écrits mais si tu veux me signaler les incorrections ou les maladresses pas de soucis. Pour le buffet oui je le voyais comme ça, mais c'est vrai que je ne sais pas si c'était d'époque à voir !
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Message  Lyra will Mar 22 Juil 2008 - 10:26

Quelques maladresses oui. Je retrouve ici aussi la même impression que dans l'autre texte, la volonté de vouloir bien expliquer pour que les lecteurs comprennent, les phrases sont presque trop "claires" ça donne un effet un peu lourd. (Bon je ne sais pas si on comprend bien ce que je dis !)

J'aime bien l'ambiance de départ, mais j'ai la sensation qu'au fur et à mesure le ton a évolué et ça crée un décalage avec l'idée que l'on peut se faire des années 50. Comme si forme et fond n'étaient pas tout à fait en adéquation.

Le passage où elle beurre ses tartines ne m'a pas trop convaincu, les choses arrivent un peu étrangement.
Mais l'ensemble suscite l'intérêt, on a envie de connaître la suite.
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Message  emilie Mar 22 Juil 2008 - 10:32

Le soucis dans ce texte et vous allez le découvrir par la suite c'est qu'en fait tout est décalé. J'en viens donc à me demander si je dois donner une date de départ ! En tout cas je suis en train de réécrire tout ça mais niveau date je ne m'étais pas poser la question, merci de me mettre face au mur. Allez, à moi de faire des efforts maintenant ! Merci pour vos conseils en tout cas !
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Message  emilie Mar 22 Juil 2008 - 15:25

.
Voilà pour faire court, j'ai déjà modifiée le chapitre 1 et je vous présente les 8 autres chapitres (j'en suis là aujourd'hui).




LES NAUFRAGES DE L’ILE DESERTE


CHAPITRE 1 LE GLADIATOR

Nous étions sur « Le Gladiator » depuis une semaine déjà. Jusque là tout s’était bien passé, cependant nous étions loin de savoir que la suite de notre voyage allait tourner au cauchemar.
« Le Gladiator » était parti du Port de Marseille. C’était un immense bateau. Magnifique.
J’avais la chance de pouvoir réaliser mon rêve, car ce voyage était très onéreux. Je n’en avais pas les moyens. C’était donc grâce à une amie du capitaine que j’avais pu le faire.
Il était 8 heures du matin, je le savais car je portais toujours ma montre. C’était celle que mon mari m’avait offerte le jour de notre mariage. Je m’apprêtais dans la salle de bain quant tout à coup, j’entendis frapper à la porte :
« Un moment, s’il vous plaît ! »
« Miss Kingsley ! Ouvrez, c’est très important ! »
« J’arrive, j’arrive ! Que se passe-t-il ?
« Miss Kingsley, il ne faut que vous quittiez votre cabine sous aucun prétexte. Le temps est très mauvais, cela risquerait d’être dangereux ! »
« Je ne veux rien savoir, je veux vivre comme je le fais chaque jour, à mes risques et péril ! »
« Mais… »
« Taisez-vous et laissez-moi sortir ! »
« Mais… »
« Silence. J’ai dit ! »
Malgré les conseils du matelot je sortis de ma cabine pour aller prendre mon petit déjeuner. Dans la salle à manger, il n’y avait personne. Tous les passagers ainsi que le personnel de bord étaient restés dans l’ombre.
Soudain, alors que je retournais dans ma cabine, j’entendis retentir une cloche, signe qu’une terre était en vue. Pour la première fois, je pris réellement conscience que quelque chose de grave allait se passer.
En effet, là, juste devant nous, une île déserte, impossible de faire machine arrière. « Le Gladiator » dans quelques secondes allait échouer.




CHAPITRE 2 L’ILE AUX PALMIERS

Le capitaine et ses matelots savaient que le destin ne leur appartenait plus. Ils ne pouvaient plus rien faire, seulement prier. Ils pensaient que l’heure du jugement dernier était arrivée.
Puis tout à coup, on entendit d’immenses craquements. Quelques instants plus tard le bateau ne bougeait plus, il était inerte sur une île complètement déserte. Il n’y avait, à perte de vue que des palmiers… pas l’ombre d’un être humain.
Dehors, le temps était effroyable, la tempête faisait rage, l’orage brisait le ciel gris presque noir avec perte et fracas.
A l’intérieur du « Gladiator » c’était la panique, les femmes et les enfants criaient et pleuraient à chaudes larmes. Les hommes, quant à eux, essayaient d’aider le capitaine qui lui-même tentait de porter secours au plus blessés. Le commandant se sentait impuissant face à cette situation dramatique. Que faire pour aider ces personnes sur une île déserte avec ce temps si maussade ?
Soudain, un homme dans l’assistance vint le voir et s’adressa à lui :
« Il faut que je parte, que je trouve un endroit à l’abri pour pouvoir soigner toutes ces personnes ! »
« D’accord, mais je viens avec vous ! »
« Mais, qui va rester ici pour s’occuper d’eux ? »
« Et tous ces hommes qui sont ici qu’en faites-vous ? »
« Bon d’accord ! Allons-y, il faut faire vite, nous devons trouver un abri sûr avant la nuit ! »
C’est ainsi qu’ils partirent trouver un refuge. Ils marchèrent pendant de longues heures à travers une forêt de palmiers. Le capitaine, qui se sentait responsable, ouvrait la marche, il scrutait chaque recoin de l’île.
Tout à coup, le capitaine fit signe à l’homme de s’arrêter, il tendit l’oreille car il lui semblait entendre un bruit. Oui, il y avait bien du bruit au loin.
« Chut ! Fit le capitaine. Ecoutez ! »
Au loin on entendit des percussions. Les deux hommes se dirigèrent en direction de ce vacarme. Ils marchèrent encore pendant de longues minutes avant de découvrir ce qui les avaient fait arriver jusque là.
Cette île qu’ils pensaient être déserte, ne l’était pas loin de là.




CHAPITRE 3 LA TRIBU DES BOUNTY

Plus ils s’approchèrent, plus ce qu’ils découvraient était étrange : les cases étaient faites de pain perdu, les toits étaient montés sur des charpentes de cigarettes en chocolat, surmontées de tuiles de langues de chats.
Les habitants de cette île, eux aussi étaient bizarres : c’étaient de tous petits bonhommes en chocolat.
Les deux hommes s’approchèrent doucement pour ne pas faire de bruit. Et là, ils s’arrêtèrent net : le spectacle qui s’offrait à eux était affreux. Tous les habitants de l’île qui étaient de la tribu des Bounty dansaient autour d’une femme nue qu’ils avaient allongée sur le ventre à même une table de bois. Ils l’avaient ligotée et bâillonnée.
Six danseurs tournaient, lui caressaient chacune des parties de son corps. Si elle tentait le moindre mouvement, ils prenaient de grosses feuilles de palmiers et la frappaient de toutes leurs forces.
La pluie qui maintenant redoublait ne faisait rien pour arranger les choses. Celle-ci jouait avec les nerfs des Bounty, les rendant plus agressifs et plus ignobles encore.
Nos deux amis observaient la scène ne sachant que faire. Lorsque tout à coup un violent coup de tonnerre suivit, la foudre s’abattit sur le village, brûlant tout sur son passage et faisant fuir les Bounty et laissant là la pauvre femme meurtrie par ce qui venait de se passer. Il fallait faire quelque chose, très vite. Le capitaine courut lui porter secours, car les flammes avançaient de plus en plus. Il eut beaucoup de mal à travers le nuage de fumée. Après de longues minutes d’attente, l’homme vit enfin arriver le capitaine portant la jeune fille évanouie dans ses bras…
La scène était horrible. A perte de vue, il y avait du biscuit grillé et une marée de chocolat noir.
En arrivant, il la déposa sur le sol humide quelques instants, il regarda son compagnon et lui dit :
« Et maintenant que faisons-nous ? »
« Il faut absolument que nous trouvions un endroit pour passer la nuit. »
C’est ainsi qu’ils reprirent leur longue marche vers un éventuel abri.
.
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Message  emilie Mar 22 Juil 2008 - 15:26

.
CHAPITRE 4 UN ABRI HORS D’ATTEINTE

Il faisait nuit à présent, ce qui rendait la tâche de nos compagnons bien plus difficile encore. Ils marchaient à travers une multitude d’herbes exotiques inconnues. Si les Bounty avaient été là, ils auraient peut-être pu leur en dire plus sur ces plantes mystérieuses. Quoi qu’il en soit l’heure n’était pas à la recherche du nom de cette végétation mais plutôt à celle d’un abri pour passer la fin de nuit à soigner la jeune fille blessée.
Ils avançaient inlassablement, tout à coup, le capitaine pensant avoir entendu du bruit leva la tête. Là, il vit un abri, un étrange abri en bois. Il en avertit son compagnon, déposa la jeune fille dans un lit d’herbes exotiques.
« Attendez, je vais voir ! »
« Si j’étais vous lui dit le capitaine, je n’irais pas, il y a peut-être quelqu’un, on ne sait jamais ! »
« Mais non, ne vous inquiétez pas ! Je vous demande juste quelques minutes de patience. Restez avec cette demoiselle ! Je reviens ! »
« Bon d’accord, mais faites attention à vous ! »
C’est ainsi que l’homme commença à escalader les barreaux de l’échelle.
Les cinq premiers furent passés sans encombre. A partir du sixième là situation devint plus compliquée. Sur cette traverse se trouvait un énorme serpent. L’homme ne connaissant rien à ce genre d’animal, tenta de garder son sang froid pour ne pas inquiéter le capitaine déjà trop peu rassuré de le voir perché là-haut. Il sortit un couteau de sa poche et fit tomber délicatement le serpent à terre.
Il continua son ascension vers l’abri pensant que ses mésaventures étaient terminées, hélas il n’en était rien : quelques minutes plus tard, la marche de l’échelle où ses pieds étaient posés se brisa. Il fallait qu’il fasse quelque chose et vite. La pluie rendait l’échelle glissante, il pouvait tomber à tout instant. Le capitaine le voyant en mauvaise posture paniqua, il se mit à crier de toutes ses forces.
« Au secours ! Au secours ! »
L’homme perché sur sa structure de bois lui dit :
« Eh ! Mais que faites-vous ? Ca ne va pas ! Si quelqu’un était là-haut, il… »
Mais, il n’eut pas le temps de continuer, le montant se brisa. Par chance l’homme était un vrai félin, il retomba sur ses jambes. Le capitaine s’inquiétait déjà de la santé du jeune homme.
« Ca va, rien de cassé ? »
« Non, non, ça va ! Ne perdons pas de temps, partons rejoindre les autres, nous construirons un abri là-bas sur la plage ! »
C’est ainsi qu’ils firent marche arrière en direction du bateau pour improviser un abri de fortune.




CHAPITRE 5 UNE FEMME EN DANGER

La route vers le bateau était longue et difficile. Ils n’avaient à présent que la lueur de la lune pour se diriger. Grâce aux connaissances du capitaine, ils parvinrent à leur but.
Là-bas, les personnes qui furent épargnées avaient sorti du bateau les blessés. D’autres avaient fait du feu. La situation était néanmoins désastreuse : il n’y avait ni nourriture, ni abri. Constatant les dégâts, le capitaine rassembla son équipage pour aller ramasser le bois qui leur permettrait de construire un campement de fortune et de réchauffer les âmes détrempées par le déluge qui continuait à s’abattre sur la plage.
« Vite, ne perdons pas de temps, si nous attendons encore, demain tout le monde sera malade ! »
Mais soudain, un homme prit la parole :
« Moi, je n’y vais pas, c’est trop risqué. Vous ne voyez pas la foudre qui déchire le ciel ? Si elle s’abat sur la forêt, que ferons-nous ? »
Le capitaine se fâcha :
« Dis donc, tout à l’heure quand nous sommes partis à la recherche d’un abri, nous avons pris des risques aussi, non ? Alors voilà, pour éviter les problèmes, je propose que seuls les volontaires me suivent, je n’oblige personne ! »
Toutes les personnes voulant apporter leur aide se regroupèrent. Bien entendu, l’homme qui venait de prendre la parole ne bougea pas. Les autres se mirent en marche, quand soudain on entendit quelqu’un hurler. Et là-bas au loin, au milieu des naufragés, ils virent une femme seule dans son coin, souffrant le martyr :
« Au secours, au secours ! A l’aide ! »
« Eh, vous n’avez pas entendu quelqu’un ? » s’étonne le capitaine.
« Si regardez, cette femme là-bas. Allez, allons-y ! »
Le capitaine s’approcha lentement, s’agenouilla, regarda la jeune femme et lui demanda :
« Mademoiselle, que se passe-t-il ? »
« Je suis enceinte, je vais accoucher d’une minute à l’autre ! »
« Oh, mon Dieu ! s’exclama celui-ci. Y-a-t-il un médecin et une sage-femme ici ? »
« Moi, j’étais sage-femme dans le temps, je peux peut-être vous aider ! » lui dis-je.
« D’accord, Miss Kingsley, mais il vous faut l’aide d’un médecin ! »
« Ne cherchez plus, c’est trop tard, cette femme va mettre au monde son enfant, maintenant, il n’y a plus de temps à perdre ! »
Elle n’eut pas le temps d’en dire plus, la jeune fille avait besoin d’eux, la tête de l’enfant était là, d’ici quelques minutes elle aurait accouché.




CHAPITRE 6 L’ABRI DANS LE BATEAU

Sur la plage, le bateau échoué était intact. Je ne m’en étais pas aperçue, trop occupée à soigner et à réconforter la jeune femme qui venait de mettre au monde son enfant. Malheureusement, le nourrisson, n’avait pas survécu aux conditions difficiles de l’accouchement.
J’étais triste d’avoir échoué à ce geste que j’avais fait maintes et maintes fois durant ma vie. Devant cette femme je ne devais pas montrer mes sentiments mais je ressentais toute la douleur dans les yeux de cette maman.
La vie sur l’île devait continuer. Il était trois heures du matin et nous n’avions toujours trouvé d’abri.
Les esprits des uns et des autres s’échauffaient. Il fallait absolument que quelqu’un fasse quelque chose, maintenant. Moi cette situation ne me faisait pas peur ! Voyant que le capitaine n’était plus capable de mener à bien la suite des opérations, en véritable Robinson Crusoé, je pris les choses en mains. Il fallait trouver, là, maintenant, tout de suite, il fallait calmer les esprits et vite !
C’est alors que je m’asseyais sur la plage pour réfléchir, quand soudain, un éclair vint m’apporter la solution. Pourquoi ne pas dormir dans le bateau juste pour une nuit. C’était risqué, certes, il ne fallait pas utiliser les derniers étages du navire qui risquaient de s’effondrer à tout instant, mais pourquoi ne pas héberger tout ce petit monde dans le fond de la cale, juste le temps de trouver une solution. Puis, peut-être que demain la météo serait plus clémente, les esprits plus sereins.
Je partis voir le capitaine pour qu’il rassemble tous les passagers afin que je leur propose mon idée.
« Voilà, pour ce soir, étant donné que nous sommes tous fatigués et qu’il est devenu trop dangereux de s’aventurer dans la forêt, je vous propose de dormir dans le bateau ! »
Un brouhaha de paroles m’empêcha de continuer mes explications. Le capitaine qui avait plus de voix que moi fit taire l’assemblée, je pris à nouveau la parole :
« Je vous propose donc de dormir dans le bateau. Seulement pour votre sécurité, je vous demande de ne pas monter au niveau des deux derniers étages, ils sont fragiles et risquent de s’effondrer à chaque instant. Il est tard, nous chercherons une solution pour nous sortir de là demain. Alors, bonne nuit et dormez bien, demain nous aurons besoin de chacun d’entre vous.
C’est ainsi que tous les passagers du Bounty partirent trouver du repos dans ce qui les avait conduit à cette situation dramatique.





CHAPITRE 7 L’ABRI DANS LE BATEAU

Tous les passagers étaient maintenant couchés. Il ne restait sur la plage, que la pauvre étrangère que tous avaient oubliée. Moi j’avais bien vu qu’elle était restée là. Je me suis approchée. Elle a commencé à me parler dans un langage que je ne comprenais pas et me montrait la forêt avec insistance :
« TI jano il foum ! Ti jano il foum ! »
Voyant que je ne comprenais pas, elle m’entraîna brusquement vers un lieu totalement inconnu, loin de la plage !
Devant moi à présent se trouvait une étrange bâtisse, on aurait dit un immense sanctuaire. Tout autour, il y avait d’énormes tours.
Pour moi, Française, ce lieu ressemblait étrangement à une secte. Pour ces personnes il s’agissait tout simplement d’un lieu de prière et d’habitation.
L’étrangère continua à m’entraîner je ne sais où. A chaque minute, son pas s’accélérait, j’avais beaucoup de peine à la suivre.
Elle m’emmena jusqu’à un petit chemin. Là, il y avait une file d'une cinquantaine d’habitants. Elle ne prit pas la peine de se mettre à l’arrière. Elle passa devant tout le monde. Certains se mettaient à hurler mais un homme qui portait une jupe de feuilles de palmiers les fit taire.
L’étrangère parla de longues minutes avec d’autres filles. Soudain, elle me regarda et me dit dans un français moyen :
« Toi manger ici matin. »
Puis elle me montra une tour en terre battue. Je n’eus pas le temps de réagir, elle me tira par la main. Elle me conduisit dans sa maison. C’était une demeure très simple. Gênée, je la suivis sans rien dire. Elle me fit entrer, m’invita à prendre le repas.
Dans le fond de la maison un escalier mal façonné. A l’étage, une pièce assez grande. Des paillasses recouvraient le sol.
Elle me regarda et me dit :
« Toi, princesse, toi pas dormir dans bateau dangereux. Toi dormir à l’abri ici.
La jeune fille qui était si étrange depuis le départ, venait de m’inviter à dormir, chez elle ! J’étais heureuse et méfiante à la fois.
Elle préparait quelque chose, je ne voyais rien. Soudain, elle revint avec un étrange breuvage. Elle me fit boire avec force.
Ce qui se passait après, je ne m’en souvins pas. Je me réveillai seulement le lendemain matin.
J’étais mal, terriblement mal, mais il me fallait à tout prix rejoindre les autres.
Le temps s’était amélioré et il fallait absolument trouver une solution pour nous sortir de cette île qui semblait être de plus en plus dangereuse.





CHAPITRE 8 TENTATION D’EVASION

Je tentais de me lever de terre mais la femme qui m’avait conduite ici, avait pris soin de me ligoter. Il fallait absolument que je trouve une solution pour sortir de là.
J’observais comme je pouvais la pièce où je me trouvais. Soudain, je vis briller quelque chose, là, juste dans le coin de la pièce. Je ne voyais pas ce que cela pouvait être. Je tentais de m’approcher de l’objet mais en vain. La seule chose que je pus faire c’était de voir le soleil se lever sur l’île.
J’étais à la fois soulagée car on allait certainement me libérer mais inquiète aussi, car je savais très bien que le capitaine et ses hommes étaient partis à ma recherche et s’ils se faisaient aussi attraper par…
Non, je ne pouvais pas laisser faire ça. Je continuais à essayer de trouver une solution pour me sortir de là, mais rien à faire, j’étais bel et bien prisonnière.
Je décidais d’attendre que quelqu’un vienne me délivrer. Je n’eus pas très longtemps à attendre, une femme fit soudain son apparition. Elle était accompagnée d’un homme, un homme de petite taille. Elle le regarda d’un air méchant et lui dit :
« Délivre-là, tout de suite ! »
L’homme s’exécuta, la femme s’approcha de moi, elle me regarda toujours l’air sournois et me dit :
« Qu’est-ce que tu es venue faire sur mon île ? Personne n’a le droit de venir ici ! Tous ceux qui se sont attardés trop longtemps n’en sont jamais repartis ! »
Elle se mit à hurler :
« Alors réponds ! Qu’est-ce que tu es venue faire sur cette île ? »
« Nous nous sommes échoués ci ! Nous étions sur « Le Gladiator », je ne sais pas ce qui s’est passé. Je ne suis pas le capitaine, mais si vous voulez nous pouvons aller le voir pour en savoir davantage ! »
« Allons-y, et pas d’entourloupes ! Si vous essayez de vous échapper je vous tue sur le champ ! »
C’est ainsi que nous décidâmes de repartir en direction de la plage.




CHAPITRE 9 MAUVAISE SURPRISE

Le chemin du retour était long très long et la chaleur était écrasante. En arrivant sur la plage je fus terrorisée. Il n’y avait plus personne. Je savais très bien que la femme sorcière allait mettre ses plans à exécution et me tuer.
Elle se mit face à moi comme pour me défier et me dit :
« Alors où est le capitaine ? »
Je baissais les yeux tellement j’avais peur ! Je n’arrivais plus à parler, la seule phrase que j’arrivais à sortir avec difficultés était une phrase de dépit et d’abandon :
« Je ne sais pas où il est, alors tuez-moi et qu’on en finisse ! »
« Oh, non, je ne vais pas te tuer, ce serait trop facile ! Par contre, tu vas venir avec moi. Nous allons partir à la recherche de ce cher monsieur ! Crois-moi quand je l’aurai retrouvé, vous allez passer un sale moment ! Vous allez voir de quel bois je me chauffe, quand on vient sur mes terres ! Allez, allons-y ! »
J’étais épuisée, encore groggy par le breuvage qu’elle m’avait fait boire ainsi que par la chaleur.
A en juger par la position du soleil, il devait être midi. La femme qui voyait que je n’avançais pas suffisamment décida de me ligoter à nouveau pour me tirer et me faire courir, mais tout le contraire se produisit, je tombais toutes les cinq minutes ce qui énervait encore plus la femme qui était devant moi.
« Avance, Et fais un peu attention à ce que tu fais ! Nous n’avons pas de temps à perdre ! »
Je continuais à avancer malgré toutes les forces qu’elle mettait pour me faire tomber.
Soudain, elle ralentit, puis s’arrêta brusquement.
Elle observa quelque chose au loin. Elle me fit passer devant elle et me dit :
« Tiens, regarde ! C’est bien l’homme que nous recherchons, n’est-ce pas ? »
« Oui, oui, c’est bien lui ! »
Mais au loin, je n’avais pas bien vu l’homme qu’elle montrait et je n’étais pas sûre du tout que ce fût l’homme que nous recherchions.
« Allons, le retrouver ! »
Et c’est ainsi que nous partîmes rejoindre le capitaine pour en savoir plus sur le naufrage du « Gladiator ».
.
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Message  Invité Mer 23 Juil 2008 - 0:59

Il était 8 heures du matin, je le savais car je portais toujours ma montre. C’était celle que mon mari m’avait offerte le jour de notre mariage.

Quelle drôle d'histoire. On offre une alliance normalement. ?.

A titre d'information, je vous signale qu'en asie , offrir une montre n'est pas de bon goût. Du tout. C'est un peu long à expliquer, mais on peut résumer simple: on n'offre pas à quelqu'un un outil qui lui permet de mesurer son vieillissement. C'est Valable du Nord du Japon jusqu'au sud de l'Indonésie.
Je suis plutôt d'accord avec l'idée.

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Message  emilie Mer 23 Juil 2008 - 9:53

Mais qui a dis que cette histoire se passait en Asie ???
En tout cas merci d'avoir pris le temps de lire !
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Message  Invité Mer 23 Juil 2008 - 10:39

emilie a écrit:Mais qui a dis que cette histoire se passait en Asie ???
En tout cas merci d'avoir pris le temps de lire !

Personne, je fais juste partager un truc. j'espere que c'est encore possible. Tu sais a l'origine, les gens qui participent a ce forum aiment bien partager les idees autour de beaucoup de choses. c'est comme ca ici sur Ve.
Si cela derange, il reste beaucoup beaucoup d'autres forums vraiment charmants, et aussi de qualite.

Bon courage en ecriture, et pour le reste aussi :-)

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Message  emilie Mer 23 Juil 2008 - 10:51

Bon bein encore une fois je vois que je ne suis pas la bienvenue ! C'est sympa !
emilie
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Message  mentor Mer 23 Juil 2008 - 19:57

emilie a écrit:Bon bein encore une fois je vois que je ne suis pas la bienvenue ! C'est sympa !
mais mais mais ? Qu'est-ce que c'est que ce petit caca nerveux ? :-))
personne n'a dit, effectivement, que ça se passait en Asie, ton aventure ! Relis un peu mieux le post de Panda.
L'ami Panda vit en Asie et voulait juste nous faire partager une particularité locale que lui a rappelé ton affaire de cadeau d'une montre pour un mariage, sans plus
Pourquoi prendre ainsi la mouche ?
Si tu es si susceptible et si peu prête à lire attentivement mais au contraire disposée à la confrontation au moindre "malentendu", on n'ira pas loin, c'est vrai
et personne par ailleurs n'a dit que tu n'étais pas la bienvenue, non plus, qu'est-ce qui te fait dire ça ? Pourquoi ton "encore une fois" ?
Allez, arrête de bouder ;-)

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Message  emilie Mer 23 Juil 2008 - 20:53

Je suis désolée j'ai perdu patience, une mauvaise journée, des douleurs dû à mon handicap et à certains soucis de santé. Et surtout surtout l'impression de n'arriver à rien. Cette histoire me tient à coeur j'aimerais tellement avancer et ne sais plus comment faire. Voilà, aujourd'hui l'écriture est ma seule occupation et parfois je me sens frustrée de ne pas avancée !
Je tiens à m'en excusée !
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Message  mentor Mer 23 Juil 2008 - 21:30

y a pas de souci, Emilie
calme-toi et reviens en forme
j'espère que ton texte suscitera encore quelques commentaires ;-)

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Message  bertrand-môgendre Mer 23 Juil 2008 - 22:25

En effet, là, juste devant nous, une île déserte, impossible de faire machine arrière. « Le Gladiator » dans quelques secondes allait échouer.
proposition : En effet, là, juste devant nous. . . Un banc de sable ? Un rocher ? (Laisse le temps au lecteur de débarquer, de découvrir avant de savoir qu'il se trouve sur une île, puis de se rendre compte qu'elle est déserte). Impossible de faire machine arrière.
Quelques secondes plus tard, « Le Gladiator » s' échouait.

Les hommes, quant à eux, essayaient d’aider le capitaine qui lui-même tentait de porter secours au plus blessés
plus blessés que blessés, tu meurs. Proposition : porter secours aux blessés.
Cette île qu’ils pensaient être déserte, ne l’était pas loin de là.
Proposition : Cette île qu’ils pensaient déserte ne l’était pas. Loin de là.
Plus ils s’approchèrent, plus ce qu’ils découvraient était étrange
retrouve une autre formule associant la lenteur de leur progression et la découverte de l'étrange spectacle se révélant peu à peu.
voilà, aujourd'hui l'écriture est ma seule occupation
occupation saine et noble. Tu as de l'imagination, du temps, alors ne limite pas tes efforts. Ton aventure rentrante j'en suis convaincre. N'hésite pas à utiliser le couperet ; le plant bien enraciné ne peut que profiter.
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Message  emilie Mer 23 Juil 2008 - 22:43

Merci Bertrand sincèrement merci de m'aider. Ca m'embêtait beaucoup de laisser tomber ce récit car j'y ai déjà retravailler de longs moments et je me disais que laisser tomber c'était impossible.
Je vais essayer de revoir ces chapitres, vous reproposerez ces aventures plus tard.
Là, début août je vais partir une semaine en stage d'écriture à thème pour la seconde fois on verra bien ce que cela donnera.
En tout cas encore mille mercis et mille pardons pour mon comportement !
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Message  bertrand-môgendre Mer 23 Juil 2008 - 23:32

tu prendras le temps, un jour, d'ouvrir un sujet à propos des stages d'écriture. Je suis curieux d'en connaitre le contenu,
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Message  emilie Jeu 24 Juil 2008 - 8:32

Alors là, oui pas de problème ce que je ferais c'est que j'attendrais la fin de ce stage ci qui commence le 3 et se finit le 9 pour vous en parlez et pourquoi pas vous présentez quelques textes écrits.
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Message  Sahkti Sam 26 Juil 2008 - 1:11

Pas réussi à entrer dans le texte, désolée. Tout va beaucoup trop vite, on passe d'une action à l'autre sans prendre le temps de souffler. De plus, ça manque cruellement d'emballage à mes yeux, que ce soit un décor, des personnages intéressants, une atmosphère particulière... tout s'aligne sans véritablement prendre corps.
Les dialogues sont plats à mes yeux et apportent peu. Je reste sur ma faim et ne suis pas convaincue.
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Message  emilie Sam 26 Juil 2008 - 10:56

Je suis en train de retravailler dessus mais c'est vrai qu'il y a beaucoup à faire ! Merci en tout cas d'avoir essayer de lire !
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Message  Lyra will Lun 28 Juil 2008 - 19:19

Dans le chapitre 2, tu parles de tempête qui fait rage et quelques lignes plus loin tu évoques cette fois un temps "maussade". C'est assez différent!
Les personnages doivent "faire vite" pour trouver un abri avant la nuit, alors qu'on est seulement à l'heure du petit déjeuner ?Dans le chapitre 3, l'idée d'un monde-sucrerie est bonne, mais je ne sais pas pourquoi, ça ne colle pas avec l'ambiance du début. ça dénote avec le reste, on passe d'ailleurs d'un univers enfantin, presque de conte, avec une scène de violence avec la jeune femme ligotée qu'on caresse. Tout ça fait un effet bizarre...Dans le chapitre 5, tu dis qu'il n'y a pas de nourriture, pourtant le bâteau doit en théorie en regorger ? Surtout que tu dis plus loin qu'il est intact... mais que finalement il risque l'effondrement. Dans l'ensemble, l'expression me parait très maladroite, c'est un langage trop enfantin, il y a sûremet moyen de travailler les phrases d'avantage. L'histoire ne me parle pas beaucoup, peu crédible, il y a de l'imagination mais on passe d'une péripétie à l'autre, abri, tribu, femme enceinte, étrangère... le tout sans rapport apparent, et au final rien est exploité jusqu'au bout. Quelques incohérances à revoir...
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Message  emilie Mar 29 Juil 2008 - 23:40

Je suis en train de retravailler dessus mais ça prend énormément de temps et j'en manque beaucoup ! Pas grave je vais me débrouiller merci pour tout !
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