Métamant
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Charles
Sahkti
luis manuel de araujo
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Métamant
Train fantaisie fugueur
Chaos tout tracé
Le ciel muet de mon coeur
Comme un non-client de Dieu
Repousse l'argument du vendeur de certitude
De sa foi atrophiée
Atroce trophée d'ego-sang-triste
Et bouillonnant de froid
Manamorphose de métamant
Convoqué par mes insoins
A m'en remettre à la majorité de moi-même
Qui me tyrannise comme un élu
Yet Elected, never Chosen
J'ai voté mon désire pouur le néant
En plaidant la folie comme une cause recevable
N'est-ce pas là une identité remarquable?
A qui ne croit plus qu'en l'incroyance de vivre quand même
Par avis médical mais jamais sans magie
Agissant ainsi qu'un orage assagi
Agacé d'être aigri - en un mot:
Insolente-insulte-à-l'espoir-honteux-d'un-mérite-évident
Improbable possible, pari sans gage ni gain
Consultation malade de mon coeur comme une urne
Risque zéro pointé, rage criarde impuissante
D'une même-plus-attente
Ultrarien qui se répète par réflexes
Modernité démodée d'un retroeil classissique
Comme le mauvais numéro d'un amant calculateur
Au ventre tiroir-caisse, à la tête trouée
peut-être pour mieux contenir l'infini?
Au sexe farce hostile et piège boussolé
A la faveur du QUOI
Qui déjà crac trop tard fini perdu tant pis
Et puis s'épuise et supplie paix
Epaisse pluie carcasse de papier rouillé
Moteur trahi en trois:
MAIS-POUR-QUOI
Point d'interrogation - non, jamais
Toucher de vivie voix
Mi-homme mi-moi
La cendre luxuriante
De l'image désertique qui ne dit jamais rien
Essoufflée par tous les sens
A courir bestiamant
Comme une roue unique
Antidote sans poison
Eau traître - autre être
A contre-courant de l'identité
Involontaire involontée
Butin des vents contraires
Car un coeur de métal
Artificié par coût de guerre
Toujours rechute au corps aimant
Comme une gravité de ta présence
Ton mépris magnétique
Chaos tout tracé
Le ciel muet de mon coeur
Comme un non-client de Dieu
Repousse l'argument du vendeur de certitude
De sa foi atrophiée
Atroce trophée d'ego-sang-triste
Et bouillonnant de froid
Manamorphose de métamant
Convoqué par mes insoins
A m'en remettre à la majorité de moi-même
Qui me tyrannise comme un élu
Yet Elected, never Chosen
J'ai voté mon désire pouur le néant
En plaidant la folie comme une cause recevable
N'est-ce pas là une identité remarquable?
A qui ne croit plus qu'en l'incroyance de vivre quand même
Par avis médical mais jamais sans magie
Agissant ainsi qu'un orage assagi
Agacé d'être aigri - en un mot:
Insolente-insulte-à-l'espoir-honteux-d'un-mérite-évident
Improbable possible, pari sans gage ni gain
Consultation malade de mon coeur comme une urne
Risque zéro pointé, rage criarde impuissante
D'une même-plus-attente
Ultrarien qui se répète par réflexes
Modernité démodée d'un retroeil classissique
Comme le mauvais numéro d'un amant calculateur
Au ventre tiroir-caisse, à la tête trouée
peut-être pour mieux contenir l'infini?
Au sexe farce hostile et piège boussolé
A la faveur du QUOI
Qui déjà crac trop tard fini perdu tant pis
Et puis s'épuise et supplie paix
Epaisse pluie carcasse de papier rouillé
Moteur trahi en trois:
MAIS-POUR-QUOI
Point d'interrogation - non, jamais
Toucher de vivie voix
Mi-homme mi-moi
La cendre luxuriante
De l'image désertique qui ne dit jamais rien
Essoufflée par tous les sens
A courir bestiamant
Comme une roue unique
Antidote sans poison
Eau traître - autre être
A contre-courant de l'identité
Involontaire involontée
Butin des vents contraires
Car un coeur de métal
Artificié par coût de guerre
Toujours rechute au corps aimant
Comme une gravité de ta présence
Ton mépris magnétique
luis manuel de araujo- Nombre de messages : 10
Age : 41
Localisation : Aix-en-Provence
Date d'inscription : 24/07/2008
Re: Métamant
Un jour, je vais donner des mots écrits sur des papiers à des gamins, des petits gamins, et je vais leur demander de former des phrases dans n'importe quel ordre et puis je posterai le tout sur VE, on verra comment c'est accueilli :-)
Avec tout de même une différence de taille entre la création d'enfants et celle d'adultes qui se proclament comme tels: les enfants ne se prendrot pas au sérieux et ne tenteront pas le coup de bluff de la déstructuration, des néologismes et autres inspirations un brin trop prononcées d'auteurs dont le génie n'est plus à démontrer et difficile à égaler.
Je ressens ici une impression non pas de f... de gueule, parce qu'il y a tout de même un certain travail de construction et de recherche mais une forme de fainéantise, comme si on pouvait tromper à volonté en brandissant l'image de la poésie libre et incomprise.
Je suis dure oui mais c'est parce que le jeu poétique en vaut la peine et il ne faut pas jouer avec lui, justement.
Avec tout de même une différence de taille entre la création d'enfants et celle d'adultes qui se proclament comme tels: les enfants ne se prendrot pas au sérieux et ne tenteront pas le coup de bluff de la déstructuration, des néologismes et autres inspirations un brin trop prononcées d'auteurs dont le génie n'est plus à démontrer et difficile à égaler.
Je ressens ici une impression non pas de f... de gueule, parce qu'il y a tout de même un certain travail de construction et de recherche mais une forme de fainéantise, comme si on pouvait tromper à volonté en brandissant l'image de la poésie libre et incomprise.
Je suis dure oui mais c'est parce que le jeu poétique en vaut la peine et il ne faut pas jouer avec lui, justement.
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Métamant
Je rejoins Sahkti dans son commentaire, en particulier lorsqu'elle dit :
J'aurais été moins virulente en parlant d'écriture automatique, et parce qu'il est vrai que j'ai ressenti une certaine réflexion sur des mots, des sonorités. Mais maintenant que les choses sont dites, c'est bien la même irritation que je ressens à lire des textes qui se prennent pour de la poésie alors qu'ils ne sont qu'un alignement de mots et expressions hermétiques au lecteur. N'est pas Poète qui veut.il y a tout de même un certain travail de construction et de recherche mais une forme de fainéantise, comme si on pouvait tromper à volonté en brandissant l'image de la poésie libre et incomprise.
Invité- Invité
Re: Métamant
tout pareil que mes camarades ....
Charles- Nombre de messages : 6288
Age : 48
Localisation : Hte Savoie - tophiv@hotmail.com
Date d'inscription : 13/12/2005
Re: Métamant
Il y a de bonnes choses. Quelques bons jeux de mots. D'autres un peu forcés, amenés sans finesse. L'ensemble est trop haché à mon goût, ça manque de fluidité. On ne respire pas. C'est bien de vouloir donner du rythme à un texte, surtout en poésie, mais pour le coup c'est trop saccadé, on s'en lasse et décroche. Alors qu'on sent qu'il y a une recherche pour rapprocher des termes… mais la manière dont tu les disposes fait que ça ne fait pas toujours sens, pour moi, du moins.
Re: Métamant
Quelle entrée en matière! Je vous remercie pour la franchise et la réflexion apportées à cette expectoration, mais je dois par avance m'excuser de ne pas m'impregner de vos commentaires pour une triste raison que voici:
ce texte n'est pas de la littérature, je le sais. Je n'ai aucun controle sur ce que j'écris et ne me suis jamais prétendu poète. Je ne crée pas, ne travaille rien. Ecrire est le grand drame de ma vie. Depuis 6 ans maintenant, je suis en conflit avec une partie de moi qui me pousse à l'écrit. Elle à ce projet et dissout tout autre élan d'affirmation, me réveille la nuit, me sort des bras des femmes, de ce que la raison m'impose et m'ordonne de noter. Car je n'écris pas, je note ce que cette voix me dicte au mot près. Rien n'est travaillé ou assumé, ce sans doute pourquoi l'idée de fainéantise vous est parue pertinente. Elle le serait je tentais de muscler ma plume. Mais je ne comprends pas plus que je ne controle ces manifestations de phase maniaque - j'ai un psy pour celà; c'est pourquoi je n'ai pas la prétention que ce que j'écris malgré moi soit "bien" ou même "intéressant" pour autrui. Il s'agit du symptome d'un morcellement du moi. Je préfèrerais ne pas écrire. Tout ceci n'est que spasme. Je n'écris pas à froid mais comme je pisse: je me sens mal, j'ai besoin d'y aller, je le fais (je n'ai pas le choix) et puis l'instant d'après tout va mieux. Jusqu'à ce qu'elle me rappelle à sa domination. Au travail, en cours, meme quand je voudrais faire l'amour des miens. C'est cette désinvolture qui vous a frappés bien sûre et vous êtes dans le vrai. Je ne suis pas venu sur ce site pour me "faire mousser" (il n'y a pas de quoi, nous bien d'accord là-dessus) mais pour tenter d'exorciser... à vrai dire c'était un conseil de mon psy: rendre à Public ce qui m'enferme pour briser ce cercle vicieux. Celà fait six ans maintenant que "j'arrache au néant ces lambeaux de moi", dans la certitude que rien n'y est intelligible (pas même pour moi, je vous rassure). A vrai dire, j'ai surtout besoin d'un avis... ou bien d'être rassuré: y a-t'il ici d'autres "victimes de l'écriture"? Je n'écrivais pas quand j'allais bien. Et je pense que si ce texte a ce goût de renfermé qui le rend indigeste, ce n'est aucunement par nombrilisme, puisque je n'ai jamais demandé à écrire. C'est une manie. "Sans technique, un don n'est rien qu'une sale manie", disait Brassens, mais je n'ai pour don que celui de me briser contre le délires d'un Autre qui détruit toute mon existence, m'humiliant de son dégout du réel, accidentant - parfois jusqu'à l'échec - tout ce que j'entreprend. "Ecris, écris, écris, quitte-la, ne vas pas travailler, arrete les études, ne paie pas ton loyer, écris, c'est bien plus important". Vous etes les premiers à avoir lu quoi quê ce soit de cette tragédie. Il est de grandes chances que ce texte (et la grouilletière imbue de ses humeurs cogénérées) ne trouvent de réel intérêt qu'aux yeux des psychanalystes, même si je ne serai jamais Antonin Artaud. Je suis possédé depuis le 15 Avril 2002 par une partie de moi qui se voudrait Fernando Pessoa. Quelle insolence! Je voudrais juste guérir, ne plus écrire ou alors pour de vrai.
Merci pour vos commentaires. Vous m'aiderez à me réconcilier avec un réel. J'avais très peur de semer un texte (lui ou un autre il y a beaucoup trop de ces déchets) tellement "gardés pour moi" qu'ils constituent hélas l'unique aspect de cette vie dans laquelle je ne pourrais pas souffrir les autres.. mais moi-meme. Mais j'en avais besoin
Au fait, Luis Manuel De Araujo, c'est mon vrai nom. Je suis venu nu et sans arme.
ce texte n'est pas de la littérature, je le sais. Je n'ai aucun controle sur ce que j'écris et ne me suis jamais prétendu poète. Je ne crée pas, ne travaille rien. Ecrire est le grand drame de ma vie. Depuis 6 ans maintenant, je suis en conflit avec une partie de moi qui me pousse à l'écrit. Elle à ce projet et dissout tout autre élan d'affirmation, me réveille la nuit, me sort des bras des femmes, de ce que la raison m'impose et m'ordonne de noter. Car je n'écris pas, je note ce que cette voix me dicte au mot près. Rien n'est travaillé ou assumé, ce sans doute pourquoi l'idée de fainéantise vous est parue pertinente. Elle le serait je tentais de muscler ma plume. Mais je ne comprends pas plus que je ne controle ces manifestations de phase maniaque - j'ai un psy pour celà; c'est pourquoi je n'ai pas la prétention que ce que j'écris malgré moi soit "bien" ou même "intéressant" pour autrui. Il s'agit du symptome d'un morcellement du moi. Je préfèrerais ne pas écrire. Tout ceci n'est que spasme. Je n'écris pas à froid mais comme je pisse: je me sens mal, j'ai besoin d'y aller, je le fais (je n'ai pas le choix) et puis l'instant d'après tout va mieux. Jusqu'à ce qu'elle me rappelle à sa domination. Au travail, en cours, meme quand je voudrais faire l'amour des miens. C'est cette désinvolture qui vous a frappés bien sûre et vous êtes dans le vrai. Je ne suis pas venu sur ce site pour me "faire mousser" (il n'y a pas de quoi, nous bien d'accord là-dessus) mais pour tenter d'exorciser... à vrai dire c'était un conseil de mon psy: rendre à Public ce qui m'enferme pour briser ce cercle vicieux. Celà fait six ans maintenant que "j'arrache au néant ces lambeaux de moi", dans la certitude que rien n'y est intelligible (pas même pour moi, je vous rassure). A vrai dire, j'ai surtout besoin d'un avis... ou bien d'être rassuré: y a-t'il ici d'autres "victimes de l'écriture"? Je n'écrivais pas quand j'allais bien. Et je pense que si ce texte a ce goût de renfermé qui le rend indigeste, ce n'est aucunement par nombrilisme, puisque je n'ai jamais demandé à écrire. C'est une manie. "Sans technique, un don n'est rien qu'une sale manie", disait Brassens, mais je n'ai pour don que celui de me briser contre le délires d'un Autre qui détruit toute mon existence, m'humiliant de son dégout du réel, accidentant - parfois jusqu'à l'échec - tout ce que j'entreprend. "Ecris, écris, écris, quitte-la, ne vas pas travailler, arrete les études, ne paie pas ton loyer, écris, c'est bien plus important". Vous etes les premiers à avoir lu quoi quê ce soit de cette tragédie. Il est de grandes chances que ce texte (et la grouilletière imbue de ses humeurs cogénérées) ne trouvent de réel intérêt qu'aux yeux des psychanalystes, même si je ne serai jamais Antonin Artaud. Je suis possédé depuis le 15 Avril 2002 par une partie de moi qui se voudrait Fernando Pessoa. Quelle insolence! Je voudrais juste guérir, ne plus écrire ou alors pour de vrai.
Merci pour vos commentaires. Vous m'aiderez à me réconcilier avec un réel. J'avais très peur de semer un texte (lui ou un autre il y a beaucoup trop de ces déchets) tellement "gardés pour moi" qu'ils constituent hélas l'unique aspect de cette vie dans laquelle je ne pourrais pas souffrir les autres.. mais moi-meme. Mais j'en avais besoin
Au fait, Luis Manuel De Araujo, c'est mon vrai nom. Je suis venu nu et sans arme.
luis manuel de araujo- Nombre de messages : 10
Age : 41
Localisation : Aix-en-Provence
Date d'inscription : 24/07/2008
Re: Métamant
luis, ce même commentaire posté dans ce fil, mais aussi dans le fuseau "Présentez-vous" et enfin par mail (à moi en tout cas). C'est bon là, une seule fois suffit, merci!
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Métamant
Vous êtes vachement durs avec lui je trouve.
J'ai toujours eu du mal à comprendre la poésie mais je crois que tous les textes sont valables sur ce point : rien est pas parfait, certains textes ont besoin de faire plus de chemin que d'autres, le tout est juste d'essayer que son auteur l'accompagne sur ce chemin.
Luis, sincèrement, je n'ai rien compris à ce texte même si je sens qu'il y a quelque chose derrière. Tu es obligé de " cohabiter " avec l'écriture ? Et bien apprend à l'apprivoiser, la cohabitation en sera d'autent meilleure.
M^me si tu ne contrôle pas les mots au moment de l'écriture, je pense que tu devrais t'obliger à te relire.
C'est toi et toi seul qui peux comprendre ce que tu as. Pas nous. On peut t'aider à mettre en forme tout ça mais savoir ce qu'il y a au fond, ou plutôt devrais-je dire, à " l'interieur ", il n'y a que toi qui puisse le découvrir.
J'ai toujours eu du mal à comprendre la poésie mais je crois que tous les textes sont valables sur ce point : rien est pas parfait, certains textes ont besoin de faire plus de chemin que d'autres, le tout est juste d'essayer que son auteur l'accompagne sur ce chemin.
Luis, sincèrement, je n'ai rien compris à ce texte même si je sens qu'il y a quelque chose derrière. Tu es obligé de " cohabiter " avec l'écriture ? Et bien apprend à l'apprivoiser, la cohabitation en sera d'autent meilleure.
M^me si tu ne contrôle pas les mots au moment de l'écriture, je pense que tu devrais t'obliger à te relire.
C'est toi et toi seul qui peux comprendre ce que tu as. Pas nous. On peut t'aider à mettre en forme tout ça mais savoir ce qu'il y a au fond, ou plutôt devrais-je dire, à " l'interieur ", il n'y a que toi qui puisse le découvrir.
Yaäne- Nombre de messages : 614
Age : 33
Date d'inscription : 11/04/2008
Re: Métamant
Je comprends les raisons de ne pas commenter les commentaires, mais j'ose quand même parce que la première balle est lancée.
Yaäne
Personnellement, c'est dans la dureté qui provient du critique qu'il est possible d'abattre ce sentiment tellement anti-créatif chez l'artiste, celui du narcissisme. Si on ignore la critique en la tassant de la main, en ce disant qu'on ne fait pas réellement ce que l'on fait, bha on reste con et un peu prétentieux.
Yaäne
Personnellement, c'est dans la dureté qui provient du critique qu'il est possible d'abattre ce sentiment tellement anti-créatif chez l'artiste, celui du narcissisme. Si on ignore la critique en la tassant de la main, en ce disant qu'on ne fait pas réellement ce que l'on fait, bha on reste con et un peu prétentieux.
Bunje- Nombre de messages : 215
Age : 109
Date d'inscription : 17/06/2008
Re: Métamant
Je ne vous souhaite pas ce que je vis. Vous parlez de l'écriture comme d'une entité indépendante. Je n'aurais pas du venir sur ce site. Bonne continuation à vous, continuez à travailler une plume que vous avez la chance de savoir taire quand il le faut
luis manuel de araujo- Nombre de messages : 10
Age : 41
Localisation : Aix-en-Provence
Date d'inscription : 24/07/2008
Re: Métamant
Ce n'est pas par hasard que tu es venu ici déposer tes écrits. Je suis content de te lire même si je ne comprends pas tout.(extrait). . . Je n'aurais pas du venir sur ce site.
Laisse tes lignes se faire commenter ou critiquer c'est selon. À toi aussi d'apprécier ou non ceux des autres participants.
Tu trouveras la place que tu souhaites t'attribuer.
bertrand-môgendre- Nombre de messages : 7526
Age : 104
Date d'inscription : 15/08/2007
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