Tentative d'écriture. Vos avis sont les bienvenus

[dante]

Bonjour,

Je me lance dans l'écriture ! Chouette.
Aprés un prologue, voici le chapitre premier de mon récit.
N'ayant aucun avis exterieure, je me permet donc de vous soliciter.

Merci d'avance.

Malgré l’heure l’open-space semblait désert. Les nerfs à vif, Conrad se rua plus qu’il ne marcha vers son bureau. Il se débarrassa de sa veste, lissa son t-shirt et s’arrangea les cheveux. Lorsqu’il se passa la main sur la nuque, il s’aperçut qu’elle était trempée de sueur. Il se fit alors tout petit derrière l’écran plat de son ordinateur.

Et attendit.

Pas très longtemps.

Ça causait déjà dans le couloir.

Il osa un coup d’œil en rase-mottes par-dessus une pile de paperasse.

Une nana dans les pattes, Tony Wexler venait de passer la porte et fonçait vers lui, tel un scud guidé à tête chercheuse. L’air furax, il faisait un raffut de tous les diables et semblait en route vers quelques apothéoses. Le patron ne perdait pas une occasion, surtout avant dix heures du mat, de venir lui pourrir la vie. Quand il avait quelqu’un dans le pif, il le restait jusqu'a ce que quelqu'un d'autre prenne sa place.

- Alléluia, Conrad, enfin je te trouve…

Wexler leva les mains au ciel. Il était dans tous ses états, à croire qu’il n’avait pas dormi depuis trois jours.

- … Une plombe que j’essaye de te mettre le grappin dessus !

Conrad fit un effort sur lui-même, essayant de se composer un masque désinvolte. Depuis quelques temps, il était convaincu que le parton se levait tous les matins en se jurant de l’enterrer vivant.

- T’a pas du chercher longtemps, j’ai pas bougé de mon bureau.

Immobile, Wexler l’observa pendant que s’écoulaient les silencieuses secondes d’une intensité insoutenable. Son air exaspéré donnait envie à Conrad de lui coller quelques bonnes baffes.

- Sans rire, quand t’es planqué derrière ton micro, on se demande toujours si tu ne prépares pas un mauvais coup…

Il prit une chaise devant un bureau vide, la tira jusqu'à lui et s’assit. Sa chaise heurta celle de Conrad, avec un bruit désagréable.

La grande blonde qui l’accompagnait resta plantée bien droite dans l’allée centrale.

- …T’as vraiment rien d’autre à foutre qu’enculer les mouches, toi, c’est pas croyable.

Conrad arma un sourire de convenance et donna dans l'humour pince-sans-rire :

- C’est toujours un plaisir de te voir, Tony.

- Attend que j’en termine avec toi et on en reparlera.

Soudain, quelque part dans le foutoir du bureau, un portable sonna. Conrad tourna les yeux vers les vitres. Une lourde couverture nuageuse obstruait le ciel au dessus de Neuilly.

- Hé y a ton téléphone qui sonne, là .Tu décroches pas ?

Conrad entretenait un genre de relation particulière avec les téléphones. A part sa mère personne ne l’appelait et dès que son portable se mettait a sonner, il imaginait toujours que c’était pour annoncer une mauvaise nouvelle ou pour des emmerdes. Il ne décrochait jamais, écoutait la messagerie. Si son correspondant ne laissait pas de message, c’était qu’il n’était pas nécessaire de rappeler.

- Je te parie cent euros que c’est encore ma conseillère bancaire. Je ne décroche pas. Celle-là peut bien aller se faire foutre !

- Des problèmes d’argent ?

- Pas plus que d’habitude…

Ses problèmes de fric devenaient sérieux. La banque commençait à refuser ses cheques sans provision et il n’avait aucune idée de la manière dont il allait échapper à tout ça.

La sonnerie du portable finit par se lasser et il y eut un instant durant lequel les deux hommes s’observèrent.

Conrad sentit nettement les battements de son cœur accélérer la cadence.

- … Et je ne suis pas certain que tu sois venu ici pour me parler de l’état de mes finances.

Wexler se passa une main sur la joue et écouta crisser sa barbe. Puis il se rapprocha un peu :

- T’étais où ce matin ? Je suis passé vers neuf mais et, peau de zob, il y avait personne.

- Ouais bah tu sais ce que c’est, non ? J’ai du faire face à toute sorte de problème et …

Et il s’empêtra dans des explications foireuses. Son moral n’était pas au beau fixe et même si rien ne justifiait son état, il avait une solide gueule de bois, comme au lendemain d’une bringue à tout casser.

Il en en avait surtout ras le bol de lui lécher le cul.

- Ouais, ouais, Conrad, je connais cette histoire par cœur. Tu t’ais levé une petite et vous avez fait zizi-panpan toute la nuit, c’est ça ?

Ce n’était franchement pas une excuse pire qu’une autre.

Conrad resta silencieux.

Son cerveau vola à la recherche d’autres mensonges plausibles mais s’intéressa rapidement à la fille qui faisait tapisserie au beau milieu du passage.

Elle restait silencieuse, sans doute mal à l’aise.

Cette fille, il ne l’avait jamais vu et ne s’avait pas plus où Tony l’avait déniché.

Mais c’était un morceau de choix.

Il la photographia d’un regard : Allure de lycéenne, jupe ras du cul, jambes galbées à la perfection, french manucure et un paquet de fond de teint sur la visage.

Elle semblait aussi superficielle que sa paire de seins.

Surtout, il la trouvait séduisante mais surtout inaccessible.

- T’es furieux, Tony ?

- Si je suis furieux ? Tu te pointes au boulot à dix heures du matin et tu t’attends peut-être à ce que t’accueilles avec des vivats ?

- Je ne sais pas quoi dire.

Wexler lui mit les points sur les i, avec sa façon habituelle.

- Ça vaut mieux pour toi. Tu le sais que tu es en train de scier la branche sur laquelle est assis ton confort, alors pourquoi t’obstiner à faire n’importe quoi ?

- Qu’est ce que c’est encore que ton histoire de branche ?

Tu m’as très bien compris.

Il fut prit d’une quinte de toux et regarda autour de lui.

- Putain, il caille dans ton bureau. Bon et par hasard, t’aurais pas reçu une invitation pour un truc ce matin ?

Conrad se redressa, comme frappé par la foudre :

- Oh merde les mecs du développement…

Wexler applaudit au ralenti.

- C’est ça, un meeting avec ces têtes de noeud d’informaticien du développement…

Une brusque rage se peignit sur ses traits taillés à la serpe. Conrad entendait presque craquer son ulcère.

- … Qu’est ce que tu croyais ? Que je t’avais envoyé une invitation pour une Bar Mitsva ?

- Je te paie un gueuleton si ça peut te calmer.

Conrad aimait bien graisser la patte à tout le monde. Surtout quand c’était pour s’éviter des emmerdes.

- Un gueuleton ? Qu’est ce que c’est que cette entourloupe ? Me dit pas que t’as décidé de m’inviter à un dîner de con …

Puis, il fit rouler sa chaise vers la blonde. Son regard remonta le long de ses jambes puis plongea sans vergogne dans son décolleté. Ses seins avaient tellement envie de sortir qu’ils faisaient quasi péter les coutures.

- Alors je te présente Mademoiselle Boiseil…

Il se leva et pointa Conrad de la main.

- … Et voila donc Conrad Gerner… Notre homme invisible.

Un instant, la nana sembla septique.

- … Mademoiselle Boiseil … Ne tirez pas une tronche pareille. Je sais bien que c’est un prénom à coucher dehors avec un ticket de logement, mais vous allez vous en remettre. Vous verrez. On s’y fait assez vite…

Elle regarda Conrad, comme si c’était un animal bizarre et Wexler continua les présentations d’usage.

Pour la première fois de la matinée, ses traits des détendirent.

- … Elle va sûrement bosser avec nous. J’en suis sûr. Et devrait donc intégrer rapidement ton équipe. Maintenant que je lui ai fait faire le tour du proprio, j’aimerais bien que, toi aussi, tu mettes un peu la main à la pâte et que tu lui montre un peu tes logiciels…enfin… tes machins…

Il lorgnait en douce les jambes de carole.

- … J’avais prévu de la convier à la réunion de ce matin mais bon…

D’un rapide moulinet du doigt, il pointa l’ordinateur et tout le bordel environnant.

- … Et puis, si il vous reste deux minutes avant la fin de la journée, elle te filera un coup de main pour ranger ton foutoir.

Il abrégea et resta debout un long moment, sans se décider a s’éloigner. Puis, devenu insignifiant, il s’en alla d’un pas important, comme s’il venait de recevoir la légion d’honneur.

Conrad s’étira un instant.

- Vous travaillez ici depuis longtemps, monsieur Gerner ?

- J’ai l’impression que vous tu d’adresses à mon père. Appelle moi plutôt Conrad, je me sentirais plus à l’aise.

- Dans ce cas appelez … euh…enfin... appelle moi Carole.

Conrad acquiesça d’un léger mouvement de tête.

Elle força un drôle de sourire.

- Ton prénom, Conrad… C’est… un… curieux prénom… enfin… Je veux dire c’est… c’est un prénom charmant…

Elle fixa le bureau un instant puis elle s’enfonça dans le fauteuil, se débarrassa de ses chaussures et se mit à remuer les orteils.

- … mais tu n’as pas un surnom comme Connie ou quelque chose comme ça ?

Conrad se passa une main sur le visage. Question conversation, Carole ne faisait pas le poids.

- Connie ? Tu regardes trop de série américaine. Personne ne m’avait encore appelé Connie. Nous sommes à Paris. Pas à Miami, ni à Vegas.

La fausse blonde écarquilla les yeux.

- Et t’es quoi ? Une sorte de programmateur ?

Conrad hocha lentement la tête. Carole semblait avoir toute sa cervelle dans sa belle gueule.

- Je m’occupe, principalement, de tout ce qui tourne autour des tests et d’homologation de logiciel. Je développe un outillage spécifique pour les équipes supports et toute la clique. Disons que je reste la garant de la qualité des logiciels et de la satisfaction des utilisateurs.

Elle resta plus immobile qu’un lézard, les yeux rivés sur Conrad comme s’il était une sorte de messie apportant la bonne parole.

- Programmateur… c’est ... c’est bon pour les machines à laver. Impeccable pour laver tes chaussettes, hein ? Ici, tu entendras plus souvent parler de programmeur.

Le sourire de Carole dérapa.

- C’est que je ne suis pas bien habitué au monde de l’informatique.

- Je suis pas étonné.

Il plongea la main dans une montagne de paperasse.

- Je m’occupe aussi d’écrire des compte-rendu hebdo (Il lui tendit une feuille) et des bilans quotidien. Le genre de conneries dont raffolent les chefs.

Il se frotta les yeux. La perspective de la matinée et des ses longues heures à tirer lui sapait déjà le moral.

- Tu prends un café ?

Elle secoua se belle frimousse et traîna un fauteuil près du bureau.

Elle s’assit bien en face de Conrad et lui décocha un sourire.

- Non merci.

Conrad termina le sien. C’était son troisième depuis qu’il était debout.

La journée s’annonçait longue.

Difficile même de croire qu’il n’était que dix heures du matin.

Il réussit à ne presque pas regarder ses jambes quand elle les croisa, la jupe plus haute que jamais. Carole avait tout l’air de la fille très propre sur elle qui n’oserait pas péter en public même si sa vie en dépendait mais Conrad la soupçonnait pourtant d’être une vraie chienne au lit.

Sa bonne éducation lui interdisant de baver en public, il détourna la tête vers l’open-space. La tranquillité matinale commençait à laisser place au foutoir habituel. Tout un tas de types et de bonnes femmes aux tronches joviales, café à la main, commençaient à foutre de l’ambiance.

- Monsieur Wexler c’est votre chef ?

- Oui.

- Vous acceptez qu’il vous traite comme il le fait ?

Conrad jouait les caïds mais abordait les confrontations de biais et n’impressionnait personne. Une phobie du conflit qui le menait à s’écraser toujours plus devant l’autre. Dans ce genre de situation, on remontait son froc, on gardait son calme et on faisait de son mieux pour être à la hauteur. Ce n’était pas le genre de chose que faisait Conrad. Il faisait tout pour être politiquement correct, s’arrangeait pour se mettre tout le monde dans la poche et essayait de se faire discret, de passer incognito. Si quelque chose ne tournait plus très rond, il n’était pas dans ses habitudes de rentrer en conflit pour des chichis. Et de temps en temps, Conrad chiait dans son froc et, selon sa propre ligne de conduite, devenait une bonne grosse lavette.

Rien ne le prédisposait à ce qu’il allait vivre par la suite.

[Invité]

Il ne décrochait jamais, écoutait la messagerie. Si son correspondant ne laissait pas de message, c’était qu’il n’était pas nécessaire de rappeler.

Philosophie partagée.

A part ça, bon début, même s'il ne contient rien de vraiment surprenant. Tes personnages frisent tous trois l'antipathie, d'un autre côté c'est ce qui les rend intéressants.
J'ai repéré pas mal de fautes d'orthographe et me pose la question des blancs entre chaque réplique ; c'est sûr que ça aère le texte, masi c'est quand même un peu beaucoup là...

[dante]

Les blancs, oui c'est un bug du forum.
Pour le portable, c'est ma philosophie.

[Krystelle]

Les blancs, oui c'est un bug du forum.

Un bug du forum ? Tu as essayé de décocher la touche A/A en haut à droite de ton message au moment où tu le rédiges ?
Sinon, tu peux aussi corriger à l'aide du mode "Prévisualiser" avant de poster.
J'ai réduit les interlignes (1 saut de ligne au lieu de 3 chaque fois). Si tu as encore des modifs, reposte ton texte corrigé dans ce fil et je le remplacerai ensuite.
Tu peux aussi en profiter pour faire quelques petites corrections orthographiques...

Et si tu as un titre à proposer pour ce texte, ce serait bien, on pourrait l'indexer plus facilement au catalogue.

[mentor]

oui, les espaces énormes d'avant (bug de TA part) m'ont carrément repoussé et ce n'est que maintenant que je lis, après rectif par la charmante Krystelle ;-)
Et je ne suis pas déçu
c'est très bon, à mon avis, aussi bien au niveau des dialogues que de la construction en général et de l'intérêt à suivre tout ça
c'est bien accrocheur
Je trouve juste que, oui, ça fait plutôt Miami que Neuilly, mais c'est à cause des noms que tu as choisis, et de l'open space, tout ça
Question : elle s'assoit 2 fois la Carole ? Relis bien le coup du-des fauteuil(s)
Et puis elle mesure combien la Carole, parce que là :
"Puis, il fit rouler sa chaise vers la blonde. Son regard remonta le long de ses jambes puis plongea sans vergogne dans son décolleté."
j'ai l'impression qu'elle est du genre "LSD" non ? :-)))
Oui, bon début, j'attends la suite avec curiosité

Et BIENVENUE SUR VE !

[bertrand-môgendre]

À propos de l'alternance entre le dialogue et le descriptif : je suis coupé dans mon élan de lecteur à chaque précision donnée pour le mouvement d'un personnage, la prise d'une attitude, ou la description d'un objet.
Sinon, beaucoup de répétitions dans le vocabulaire employé.
L'ambiance du lieu est bien décrite. Les personnages souffriraient de quelques retouches :

Il osa un coup d’œil en rase-mottes par-dessus une pile de paperasse

Conrad jouait les caïds mais abordait les confrontations de biais et n’impressionnait personne. Une phobie du conflit qui le menait à s’écraser toujours plus devant l’autre. Dans ce genre de situation, on remontait son froc, on gardait son calme et on faisait de son mieux pour être à la hauteur. Ce n’était pas le genre de chose que faisait Conrad. Il faisait tout pour être politiquement correct

À quand la suite ?

[dante]

Bonjour,

Merci pour vos encouragements et avis.

bertrand-môgendre : Oui, le dernier chapitre est en cours de correction. Je ne suis pas satisfait.

Comment trouvez-vous les personnages ? Comment qualifiez vous Conrad ?

[Invité]

Après relecture, j'oscille, concernant Conrad, entre antipathie et sympathie. On se demande s'il est victime ou acteur de sa lâcheté cet adepte de "la paix à tout prix". Je trouve ta description du personnage réaliste, convaincante.

[dante]

C'est egalement mon avis

[mentor]

Je trouve Conrad faussement cool, un peu beaucoup faux-cul, dragueur juste ce qu'il faut, et suffisamment sûr de lui au niveau technique pour pas avoir trop peur de se faire virer
Tout cela pour dire qu'il est bien typé, pas transparent ou quelconque
c'est bien

[dante]

Je trouve Conrad faussement cool, un peu beaucoup faux-cul, dragueur juste ce qu'il faut, et suffisamment sûr de lui au niveau technique pour pas avoir trop peur de se faire virer
Tout cela pour dire qu'il est bien typé, pas transparent ou quelconque
c'est bien

Belle analyse.

[dante]

Bonjour,

Je suis en train de travailler sur un petit paragraphe et j'aimerais avoir un avis exterieur :

Il but une nouvelle gorgée de whisky. Il commença à se sentir mieux et moins angoissé.
Il n’y avait pourtant aucune raison de paniquer.
Il ferma les yeux. Rapidement, son esprit se mit à patauger dans sa confusion habituelle. Ce rencard était une chance. Ça avait toujours été la déche avec les nanas. Il était convaincu qu’il avait fait un truc de travers quand il était môme pour ne pas être verni à ce point. Et quand il repensait à son enfance à Melun, celle-ci lui semblait particulièrement chiante. Scolarité difficile. Très tôt, dés le CE1. Succession d’humiliations à partir de la 6eme. Image du prof détestable. Convaincu qu’il essayait de décrocher des diplômes qui ne lui servirait à rien, il avait décidé de ne rien foutre à l’école. Il s’était refusé à trouver le moindre intérêt à son travail scolaire.
- Tu ne te rends pas compte de ce que tu nous oblige à faire, avait dit sa mère.
Cela signifiait que, année après année, son père avait baissé son froc pour qu’il ne soit pas laissé sur le bord de la route.
- Pourquoi tu n’es pas comme ton frère ? , avait ajouté son père.
Tout le monde ne bénéficiait pas des mêmes chances dans l’existence. L’aîné profitait sans doute de tous les dons au détriment du cadet En terminal, Conrad s’était découvert une passion pour la guitare. Il s’était aussi défoncé à la Kétamine. Bac L à l’arrache. Prépa de lettres. Catastrophe. A vingt deux ans, il s’était cherché une nouvelle vocation. Il avait fait son miel et débuté une carrière dans l’informatique.

[Sahkti]

Il y a déséquilibre entre les explications (la narration) et les dialogues. Une ligne de ceci, une ligne de cela... mauvaise répartition à mes yeux pour réellement s'imprégner d'un décor ou d'un personnage, d'autant que Conrad est un bonhomme multifacettes qui mérite d'être exploré.
A voir peut-être si répartir le tout autrement ne mettrait pas certaines actions en avant et ne valoriserait pas le texte.
Le bonhomme principal mérite une autre place, je trouve, qui correspondrait davantage aux airs qu'il se donne.

[pierre-henri]

As-tu réfléchi à tes choix de temps ?

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