Mon nom est Nade.
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Mon nom est Nade.
Bonjour ^^
Il faut bien commencer par quelque chose... Alors je vous propose ce texte. En fait, il était devenu tellement long que j'ai dû le découper en plusieurs parties. Des sortes de chapitres. Néanmoins, je préfère ne vous montrer que la toute première, les autres étant encore en correction. J'espère que ce début vous plaira, malgré tout... C'est un texte qui me tient beaucoup à coeur, quoi qu'il en soit.
I : Le commencement.
Mon nom est Nade.
Il y a peu de temps, encore, j'étais une lycéenne, bien sous tout rapport. J'étais un peu timide, mais je compensais ce triste et ô combien banal défaut par de bons résultats scolaires. Contrairement à mes camarades de classe, j'étais réservée, un peu solitaire. De plus, je ne touchais ni à l'alcool, ni à la cigarette, et encore moins à la drogue, quelle qu'elle soit. Pourtant, contrairement à eux, à l'heure où vous lisez ce texte, je ne suis plus de ce monde.
Comment avais-je pu en arriver là ?
Tous les matins, je me levais très tôt. Je m'habillais, me maquillais, mais je ne déjeunais pas. J'avalais simplement un grand verre de lait, et j'étais partie. Généralement, ma journée se terminait aussi tard qu'elle commençait tôt. Je m'étais habituée à me lever aux alentours de cinq heures et ne pas rentrer chez moi avant le dîner. Les cours et les transports me prenaient tout mon temps. C'était la rançon que je devais payer, pour avoir choisi d'étudier dans un lycée huppé, m'assurant ainsi l'obtention de mon Baccalauréat avec mention. J'étais loin de me douter que mes yeux se fermeraient à jamais avant même que j'aie passé ce bête examen. Malgré tout, je trouvais toujours le moyen de m'adonner à mes passions ; l'écriture, le dessin, la photographie... Je dévorais l'art sous toutes ses formes.
On ne peut pas dire que j'étais particulièrement loquace. J'étais bien plus à l'aise à l'écrit. Et même si j'avais parfois tendance à trouver cela un peu dommage, je ne parvenais pas à m'en empêcher, malgré mes efforts. Tout cela faisait de moi une jeune fille un peu solitaire, que l'on avait tendance à trouver un peu bizarre, au premier abord. Et, croyez-le, je le comprenais et je m'en accommodais fort bien.
En fait, la solitude, je la côtoyais depuis ma plus tendre enfance ; j'étais fille unique. Depuis toute petite, il me suffisait d'une feuille et d'un crayon pour m'occuper durant des heures. J'avançais à mon rythme, en total autogestion. L'avantage, c'est que je n'avais jamais eu l'impression de dépendre de qui que ce soit... Imaginez la liberté qui était la mienne ! Dans un monde si égoïste, avoir un coeur de glace comme celui qui était le mien faisait de moi une véritable petite reine. En tout cas, je m'en étais persuadée.
Mais la vie était sur le point de me jouer de drôles de tours. Et j'étais loin de me douter à quel point cette mesquine petite peste pouvait être redoutable...
Tout commença alors que j'étais encore à l'école primaire. Autant vous dire qu'à l'époque, je n'étais autre qu'une banale petite fille ; je ne m'intéressais qu'aux dessins animés et, un peu boulotte que j'étais, aux divers sucreries qui allaient constituer mon goûter. A cette époque, je vivais chez mes grands-parents, dans une petite ville très calme où se trouvait également mon école. Mes parents travaillant tous les deux, ils ne pouvaient pas se permettre de me garder, tout au long de la journée, ni même durant les vacances, parfois. Alors, je passais le plus clair de mon temps en compagnie de mon papy et de ma mamie, comme je les appelais.
Des années que je qualifieraient comme étant les plus tendres de ma vie...
Je baignais dans l'innocence la plus totale ! Rien ne pouvait m'atteindre, tout me paraissait merveilleux ; je ne manquais de rien, à mon sens, dans cette famille aimante. Seulement voilà, une vie trop rose n'avait pas lieu d'être. Il fallait une ombre à ce tableau.
Tous les jours, je me levais très tôt, afin de partir à la même heure que mes parents. Mon père déposait d'abord ma mère à son travail, dans une petite usine de textile, puis il me laissait chez mes grands-parents, dans la petite ville voisine. Là, je bénéficiais généralement d'une petite demie-heure de repos, durant laquelle j'en profitais pour parfaire ma dose de dessins animés quotidienne. Ensuite, mon papy ou ma mamie m'accompagnait à l'école. Il ne fallait traverser que deux rues, pour s'y rendre, c'était idéal. Mais le danger qui se tapissait dans l'ombre ne se cachait pas sur les bords de ce petit chemin tranquille. En fait, l'école était un terrain bien plus propice à mes premiers déboires.
Savez-vous à quel point les enfants peuvent être méchants ?
Il faut bien commencer par quelque chose... Alors je vous propose ce texte. En fait, il était devenu tellement long que j'ai dû le découper en plusieurs parties. Des sortes de chapitres. Néanmoins, je préfère ne vous montrer que la toute première, les autres étant encore en correction. J'espère que ce début vous plaira, malgré tout... C'est un texte qui me tient beaucoup à coeur, quoi qu'il en soit.
I : Le commencement.
Mon nom est Nade.
Il y a peu de temps, encore, j'étais une lycéenne, bien sous tout rapport. J'étais un peu timide, mais je compensais ce triste et ô combien banal défaut par de bons résultats scolaires. Contrairement à mes camarades de classe, j'étais réservée, un peu solitaire. De plus, je ne touchais ni à l'alcool, ni à la cigarette, et encore moins à la drogue, quelle qu'elle soit. Pourtant, contrairement à eux, à l'heure où vous lisez ce texte, je ne suis plus de ce monde.
Comment avais-je pu en arriver là ?
Tous les matins, je me levais très tôt. Je m'habillais, me maquillais, mais je ne déjeunais pas. J'avalais simplement un grand verre de lait, et j'étais partie. Généralement, ma journée se terminait aussi tard qu'elle commençait tôt. Je m'étais habituée à me lever aux alentours de cinq heures et ne pas rentrer chez moi avant le dîner. Les cours et les transports me prenaient tout mon temps. C'était la rançon que je devais payer, pour avoir choisi d'étudier dans un lycée huppé, m'assurant ainsi l'obtention de mon Baccalauréat avec mention. J'étais loin de me douter que mes yeux se fermeraient à jamais avant même que j'aie passé ce bête examen. Malgré tout, je trouvais toujours le moyen de m'adonner à mes passions ; l'écriture, le dessin, la photographie... Je dévorais l'art sous toutes ses formes.
On ne peut pas dire que j'étais particulièrement loquace. J'étais bien plus à l'aise à l'écrit. Et même si j'avais parfois tendance à trouver cela un peu dommage, je ne parvenais pas à m'en empêcher, malgré mes efforts. Tout cela faisait de moi une jeune fille un peu solitaire, que l'on avait tendance à trouver un peu bizarre, au premier abord. Et, croyez-le, je le comprenais et je m'en accommodais fort bien.
En fait, la solitude, je la côtoyais depuis ma plus tendre enfance ; j'étais fille unique. Depuis toute petite, il me suffisait d'une feuille et d'un crayon pour m'occuper durant des heures. J'avançais à mon rythme, en total autogestion. L'avantage, c'est que je n'avais jamais eu l'impression de dépendre de qui que ce soit... Imaginez la liberté qui était la mienne ! Dans un monde si égoïste, avoir un coeur de glace comme celui qui était le mien faisait de moi une véritable petite reine. En tout cas, je m'en étais persuadée.
Mais la vie était sur le point de me jouer de drôles de tours. Et j'étais loin de me douter à quel point cette mesquine petite peste pouvait être redoutable...
Tout commença alors que j'étais encore à l'école primaire. Autant vous dire qu'à l'époque, je n'étais autre qu'une banale petite fille ; je ne m'intéressais qu'aux dessins animés et, un peu boulotte que j'étais, aux divers sucreries qui allaient constituer mon goûter. A cette époque, je vivais chez mes grands-parents, dans une petite ville très calme où se trouvait également mon école. Mes parents travaillant tous les deux, ils ne pouvaient pas se permettre de me garder, tout au long de la journée, ni même durant les vacances, parfois. Alors, je passais le plus clair de mon temps en compagnie de mon papy et de ma mamie, comme je les appelais.
Des années que je qualifieraient comme étant les plus tendres de ma vie...
Je baignais dans l'innocence la plus totale ! Rien ne pouvait m'atteindre, tout me paraissait merveilleux ; je ne manquais de rien, à mon sens, dans cette famille aimante. Seulement voilà, une vie trop rose n'avait pas lieu d'être. Il fallait une ombre à ce tableau.
Tous les jours, je me levais très tôt, afin de partir à la même heure que mes parents. Mon père déposait d'abord ma mère à son travail, dans une petite usine de textile, puis il me laissait chez mes grands-parents, dans la petite ville voisine. Là, je bénéficiais généralement d'une petite demie-heure de repos, durant laquelle j'en profitais pour parfaire ma dose de dessins animés quotidienne. Ensuite, mon papy ou ma mamie m'accompagnait à l'école. Il ne fallait traverser que deux rues, pour s'y rendre, c'était idéal. Mais le danger qui se tapissait dans l'ombre ne se cachait pas sur les bords de ce petit chemin tranquille. En fait, l'école était un terrain bien plus propice à mes premiers déboires.
Savez-vous à quel point les enfants peuvent être méchants ?
Re: Mon nom est Nade.
Un début intéressant, qui donne envie de connaître la suite, bien que manquant un peu de tension à mon avis. J'ai trouvé agaçant les petites incises pour signaler que "attention, il va se passer des trucs", qui à mon sens brisent le rythme au lieu de le dynamiser :
"à l'heure où vous lisez ce texte, je ne suis plus de ce monde" (pourquoi le révéler dès maintenant, alors que cette remarque ne s'inscrit pas vraiment dans la dynamique du texte ?)
"J'étais loin de me douter que mes yeux se fermeraient à jamais avant même que j'aie passé ce bête examen" (vous venez d'annoncer la même chose un peu plus haut)
"Mais la vie était sur le point de me jouer de drôles de tours."
"Seulement voilà, une vie trop rose n'avait pas lieu d'être. Il fallait une ombre à ce tableau."
Par ailleurs, on rencontre la formule "j'étais", "je m'étais" ou "je n'étais" onze fois, et ça se voit. (Trois fois dans le premier paragraphe.) Je pense qu'il serait mieux d'essayer de varier l'expression.
Cela dit, pour moi il s'agit d'un début attachant, qui "donne envie". Bienvenue !
"à l'heure où vous lisez ce texte, je ne suis plus de ce monde" (pourquoi le révéler dès maintenant, alors que cette remarque ne s'inscrit pas vraiment dans la dynamique du texte ?)
"J'étais loin de me douter que mes yeux se fermeraient à jamais avant même que j'aie passé ce bête examen" (vous venez d'annoncer la même chose un peu plus haut)
"Mais la vie était sur le point de me jouer de drôles de tours."
"Seulement voilà, une vie trop rose n'avait pas lieu d'être. Il fallait une ombre à ce tableau."
Par ailleurs, on rencontre la formule "j'étais", "je m'étais" ou "je n'étais" onze fois, et ça se voit. (Trois fois dans le premier paragraphe.) Je pense qu'il serait mieux d'essayer de varier l'expression.
Cela dit, pour moi il s'agit d'un début attachant, qui "donne envie". Bienvenue !
Invité- Invité
Re: Mon nom est Nade.
Je pense qu'il est intéressant de savoir que la narratrice est morte, justement. De la même manière que dans les prologues de la tragédie antique, qui révélait les moindres détails de la fin, avant même le début de la pièce. Selon moi, ça change la lecture ; on sait qu'il n'y a aucun espoir et, même si l'on s'attache au personnage, on sait qu'il n'y aura pas une issue agréable pour lui.
Je sature sans doute ^^' trop de cours de littérature, peut-être.
Pour le verbe "être" qui se répète, ça ne m'a pas sauté aux yeux, bizarrement. Je tenterai d'arranger ça quand j'aurai un instant.
Merci socque
Je sature sans doute ^^' trop de cours de littérature, peut-être.
Pour le verbe "être" qui se répète, ça ne m'a pas sauté aux yeux, bizarrement. Je tenterai d'arranger ça quand j'aurai un instant.
Merci socque
Re: Mon nom est Nade.
Je partage l'avis de socque; une intrigue est créée, on attend la suite.
J'ai beaucoup fréquenté les milieux de "jeunes", mais j' en ai peu rencontré qui ait déjà une belle maîtrise du français comme toi. Continue , il y a de l'avenir .
J'ai beaucoup fréquenté les milieux de "jeunes", mais j' en ai peu rencontré qui ait déjà une belle maîtrise du français comme toi. Continue , il y a de l'avenir .
muzzo- Nombre de messages : 618
Age : 89
Localisation : Va savoir...!
Date d'inscription : 13/07/2008
Re: Mon nom est Nade.
Je me bats pour la sauvegarde du français. Je suis dans une classe de littéraires où la plupart ne savent pas aligner trois mots sans faire quinze fautes... C'est assez déprimant, je dois dire. Et le langage SMS, etc, que de fléaux !
Merci muzzo
Merci muzzo
Re: Mon nom est Nade.
On est plutôt bien disposé à ton égard après ce texte fort bien écrit, et puis il y a déjà un début d'intrigue qui donne envie de lire la suite et de voir arriver de l'action maintenant que tu as posé le décor.
Invité- Invité
Re: Mon nom est Nade.
D'abord, les choses qui fâchent !
Des années que je qualifieraient
ouh la belle faute ! ;-)
Puis une redondance de petits:
Mon père déposait d'abord ma mère à son travail, dans une petite usine de textile, puis il me laissait chez mes grands-parents, dans la petite ville voisine. Là, je bénéficiais généralement d'une petite demie-heure de repos
Affaire réglée. ;-)
Le texte : c'est bien écrit, sûr, presque trop bien, trop académique, encore un style qui se cherche, non ? Des phrases parfaites : nom, adjectif, verbe, complément. Peu ou même pas du tout de fantaisie. Dommage.
Quant à l'histoire, ben c'est là que c'est bien : elle provoque la curiosité, en tout cas la mienne, et j'aimerais connaître la suite.
Merci pour ce premier texte.
Des années que je qualifieraient
ouh la belle faute ! ;-)
Puis une redondance de petits:
Mon père déposait d'abord ma mère à son travail, dans une petite usine de textile, puis il me laissait chez mes grands-parents, dans la petite ville voisine. Là, je bénéficiais généralement d'une petite demie-heure de repos
Affaire réglée. ;-)
Le texte : c'est bien écrit, sûr, presque trop bien, trop académique, encore un style qui se cherche, non ? Des phrases parfaites : nom, adjectif, verbe, complément. Peu ou même pas du tout de fantaisie. Dommage.
Quant à l'histoire, ben c'est là que c'est bien : elle provoque la curiosité, en tout cas la mienne, et j'aimerais connaître la suite.
Merci pour ce premier texte.
Re: Mon nom est Nade.
C'est beau ça, trop rare, bravo ! ;-)Analinde a écrit:Je me bats pour la sauvegarde du français. Je suis dans une classe de littéraires où la plupart ne savent pas aligner trois mots sans faire quinze fautes... C'est assez déprimant, je dois dire. Et le langage SMS, etc, que de fléaux !
Re: Mon nom est Nade.
Le plus déprimant, c'est que je vois des gens qui ont trois/ quatre ans de licence ( peu importe laquelle ) derrière le dos et qui font toujours de très grosses fautes, en confondant, notamment être et avoir lorsqu'ils sont conjugés.Analinde a écrit:Je me bats pour la sauvegarde du français. Je suis dans une classe de littéraires où la plupart ne savent pas aligner trois mots sans faire quinze fautes... C'est assez déprimant, je dois dire. Et le langage SMS, etc, que de fléaux !
Oeildenuit- Nombre de messages : 168
Age : 35
Date d'inscription : 07/09/2008
Re: Mon nom est Nade.
bonsoir
alors il y a des répétitions qui m'agace :)mais;... viiiiiiiite : la suite !!!!
alors il y a des répétitions qui m'agace :)mais;... viiiiiiiite : la suite !!!!
moun- Nombre de messages : 122
Age : 60
Localisation : au delà des rêves...
Date d'inscription : 25/09/2008
Re: Mon nom est Nade.
Je ne vais pas répéter socque (je n'oserais jamais ^^) mais pour mon point de vue cf son message ;-)
juste un détail en plus :
Sinon j'attends le suite moi aussi.
(Et nous somme à présent deux à faire la bataille contre le sms et le "dix mots de vocabulaire pour être adolescent". ça fait plaisir de rencontrer des compatriotes. -pa d pseudo chui com twa mwa osi jtrouv sa nul le sms)
juste un détail en plus :
Cette phrase me semble en trop. On a compris ^^ faut pas prendre le lecteur pour un imbécile (même s'il l'est :-) ).Tout cela faisait de moi une jeune fille un peu solitaire, que l'on avait tendance à trouver un peu bizarre, au premier abord.
Sinon j'attends le suite moi aussi.
(Et nous somme à présent deux à faire la bataille contre le sms et le "dix mots de vocabulaire pour être adolescent". ça fait plaisir de rencontrer des compatriotes. -
Re: Mon nom est Nade.
Je m'excuse pour les fautes. Lorsque je rédige mes textes sur ordinateur, j'en oublie toujours quelques unes. Elles m'échappent radicalement --...
Je crois que quand je serai plus à l'aise avec cette histoire, je la reverrai de fond en comble, comme je le fais régulièrement pour mon autre roman. En espérant être, quand même, un peu moins perfectionniste avec celui-là. Ca lui enlèverait une part importante de sincérité, je crois.
Merci à tous ^^
Je voulais changer un peu de style, pour cette histoire. C'est un deuxième roman, en fait, très différent du premier que j'ai débuté. Simplement, celui-ci est plus "personnel", et je voulais que le style soit plus "direct". En ne réfléchissant pas des heures aux mots qui me viennent, cela me permet de mettre cette histoire par écrit. Sinon, je n'oserais jamais, pour diverses raisons. Habituellement, mon "style" (je n'aime pas parler de "style" à mon âge, m'enfin.. il y a des tas de mauvais écrivains qui se donnent des grands airs avec ce mot, alors pourquoi pas) est radicalement différent, assez loin d'ailleurs des phrases très académiques, bien organisée etc. On me reproche souvent d'être un peu trop compliqué, d'ailleurs, par rapport aux gens de mon âge Oo Le problème, c'est que je ne m'en rends pas compte ^^'Le texte : c'est bien écrit, sûr, presque trop bien, trop académique, encore un style qui se cherche, non ? Des phrases parfaites : nom, adjectif, verbe, complément. Peu ou même pas du tout de fantaisie. Dommage.
Ca rejoint ce que j'ai dit, mais ce n'est pas faux ^^Cette phrase me semble en trop. On a compris ^^ faut pas prendre le lecteur pour un imbécile (même s'il l'est :-) ).
Je crois que quand je serai plus à l'aise avec cette histoire, je la reverrai de fond en comble, comme je le fais régulièrement pour mon autre roman. En espérant être, quand même, un peu moins perfectionniste avec celui-là. Ca lui enlèverait une part importante de sincérité, je crois.
Merci à tous ^^
Re: Mon nom est Nade.
Battez-vous contre le langage SMS ! C'est on ne peut plus important.
Bravo pour ce premier texte et bienvenue sur VE !
J'attends, également, de lire la suite des aventures de Nade.
Bravo pour ce premier texte et bienvenue sur VE !
J'attends, également, de lire la suite des aventures de Nade.
Lucy- Nombre de messages : 3411
Age : 46
Date d'inscription : 31/03/2008
Re: Mon nom est Nade.
Coucou Analinde, et bienvenue sur VE !
D'abord, tout ceci est (à part les détails orthographiques) subjectif. Souviens-t'en ;-)
Ton texte est écrit dans un français correct, comme l'ont remarqué les autres, mais je n'en attendais pas moins d'une L ! Que ce soit dit ! ^^
J'ai pas vraiment accroché parce que sur la forme, ton écriture est trop sage. Et pour faire court, je renvoie au commentaire de mentor.
Sur le fond, il y a une intrigue mais elle me paraît un peu trop commune. Un mort qui raconte comment et pourquoi il est mort...Va falloir trouver quelque chose de bien !
Pour finir, des détails et coquilles relevés de ci de là...
Voilà !
J'attends la suite :-)
Bon courage
D'abord, tout ceci est (à part les détails orthographiques) subjectif. Souviens-t'en ;-)
Ton texte est écrit dans un français correct, comme l'ont remarqué les autres, mais je n'en attendais pas moins d'une L ! Que ce soit dit ! ^^
J'ai pas vraiment accroché parce que sur la forme, ton écriture est trop sage. Et pour faire court, je renvoie au commentaire de mentor.
Sur le fond, il y a une intrigue mais elle me paraît un peu trop commune. Un mort qui raconte comment et pourquoi il est mort...Va falloir trouver quelque chose de bien !
Pour finir, des détails et coquilles relevés de ci de là...
C'est de l'enfilage de mouches, d'accord, mais un "quelle qu'elle fût" me semble plus correct.et encore moins à la drogue, quelle qu'elle soit.
Pareil, ta narratrice raconte alors qu'elle est morte : Comment ai-je pu en arriver là ? T'en penses quoi ?Comment avais-je pu en arriver là ?
Bête est trop doux ! Si tu ne veux pas être vulgaire mais gagner un degré de violence, tu peux dire (par exemple) "cet examen stupide".avant même que j'aie passé ce bête examen.
en totale autogestion
Pas mal !Dans un monde si égoïste, avoir un coeur de glace comme celui qui était le mien faisait de moi une véritable petite reine.
aux diverses sucreries qui allaient constituer mon goûter
QualifieraisDes années que je qualifieraient
Voilà !
J'attends la suite :-)
Bon courage
Re: Mon nom est Nade.
Faut pas ! Y'en a pas tant que ça et si on les relève, c'est pour toi ;-)Analinde a écrit:Je m'excuse pour les fautes.
je voulais que le style soit plus "direct".
Ton style, dans ce texte, n'est pas direct, justement. Enfin, pas comme je l'entends. Là, j'ai l'impression que ton héroïne est presque heureuse d'être morte...
Avis personnel : il faut forcément réfléchir à la façon dont tu dis les c hoses. Si elles ne sont pas réfléchies, soit tu es un génie et elles sont bien dites, soit tu fais partie de l'infinie majorité et c'est bancalEn ne réfléchissant pas des heures aux mots qui me viennent,
:-)
Désolé, j'ai tiré plus vite que mon ombre !
Re: Mon nom est Nade.
Allez ! on t’a reconnu kazar !De plus, je ne touchais ni à l'alcool, ni à la cigarette, et encore moins à la drogue
grieg- Nombre de messages : 6156
Localisation : plus très loin
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Mon nom est Nade.
Si je suis aussi d’accord avec soke, soque, socque, pour dire que ce teasing m’agace (pardon pour l’anglicisme) mais, je trouve ta façon simple de narrer agréable et efficace.
Ce texte mérite d’être relu, modifié, il n’est pas loin de me séduire.
Ce texte mérite d’être relu, modifié, il n’est pas loin de me séduire.
grieg- Nombre de messages : 6156
Localisation : plus très loin
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Mon nom est Nade.
Eh ben quoi, on n'a pas le droit de se travestir, de temps en temps ?killgrieg a écrit:Allez ! on t’a reconnu kazar !De plus, je ne touchais ni à l'alcool, ni à la cigarette, et encore moins à la drogue
Re: Mon nom est Nade.
Tu maîtrises la langue. Mais les ficelles du récit sont un peu trop grosses. Annoncer la mort de la narratrice dès le début ne me semble pas logique. Comment peut-elle raconter sa propre mort ? ça bloque le lecteur, l'empêche d'y croire, d'entrer dans le récit (à moins qu'il y ait situation particulière, genre un journal écrit pendant une maladie qui mènera inévitablement vers la mort). Je sais bien qu'en littérature, tout est permis, ou presque, mais là, ça bloque. M'enfin, ce n'est que mon avis.
En tout cas tu écris bien.
C'est peut-être pour ça qu'elle est morte
En tout cas tu écris bien.
De plus, je ne touchais ni à l'alcool, ni à la cigarette, et encore moins à la drogue
C'est peut-être pour ça qu'elle est morte
Re: Mon nom est Nade.
Tu maîtrises la langue. Mais les ficelles du récit sont un peu trop grosses. Annoncer la mort de la narratrice dès le début ne me semble pas logique. Comment peut-elle raconter sa propre mort ? ça bloque le lecteur, l'empêche d'y croire, d'entrer dans le récit (à moins qu'il y ait situation particulière, genre un journal écrit pendant une maladie qui mènera inévitablement vers la mort). Je sais bien qu'en littérature, tout est permis, ou presque, mais là, ça bloque. M'enfin, ce n'est que mon avis.
En tout cas tu écris bien.
C'est bizarre, je ne me pose pas ce genre de question, lorsque je lis une histoire dans laquelle le narrateur est déjà mort... Je suis peut-être un peu bizarre ^^' je ne ressens pas le besoin que l'on me dise qu'il s'agit d'un journal, de lettres ou autres pour comprendre que, forcément, ce récit a été écrit post mortem (encore que j'aime assez le fantastique, également, alors une véritable personne décédée qui parlerait... ça ne me choquerait pas davantage, non plus).
Citation:
De plus, je ne touchais ni à l'alcool, ni à la cigarette, et encore moins à la drogue
C'est peut-être pour ça qu'elle est morte
Effectivement, il y a un peu de ça, un peu de tout. L'histoire de plein de petits détails qui ont profondément bouleversé sa vie, comme celle d'un tas d'autres gens. Mais je voulais changer du fantastique, écrire quelque chose de plus "vrai".
Re: Mon nom est Nade.
et encore moins à la drogue, quelle qu'elle soit.
C'est de l'enfilage de mouches, d'accord, mais un "quelle qu'elle fût" me semble plus correct.
Le "soit" est fort défendable- et non "fautif", en tous cas.
pierre-henri- Nombre de messages : 699
Age : 65
Localisation : Raiatea
Date d'inscription : 17/02/2008
Re: Mon nom est Nade.
Ça manque pas mal de vie. Normal, me diras-tu, puisque elle est morte :-)
Certes mais cette façon si froide, si rigoureuse de raconter est un peu lassante à la longue et si j'ai envie de connaître la suite de l'histoire, je ne suis cependant pas certaine de pouvoir tenir jusqu'au bout avec un rythme semblable.
Le fait de savoir qu'elle est morte et qu'il n'y aura pas d'issue agréable pour elle ne modifie foncièrement pas mal lecture; c'est plutôt le style qui me laisse dubitative, je le trouve emprunté et en même temps, ton écriture est soignée et travaillée, tu as un potentiel. Continue!
Certes mais cette façon si froide, si rigoureuse de raconter est un peu lassante à la longue et si j'ai envie de connaître la suite de l'histoire, je ne suis cependant pas certaine de pouvoir tenir jusqu'au bout avec un rythme semblable.
Le fait de savoir qu'elle est morte et qu'il n'y aura pas d'issue agréable pour elle ne modifie foncièrement pas mal lecture; c'est plutôt le style qui me laisse dubitative, je le trouve emprunté et en même temps, ton écriture est soignée et travaillée, tu as un potentiel. Continue!
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Mon nom est Nade.
J'ai bien accroché pour le premier paragraphe, l'impression d'être au cinéma, bien calé dans le fauteuil et attendre la suite du film. Puis le film est devenu un film banal sorti des terres américaines et j'ai peu à peu décroché.
Re: Mon nom est Nade.
Un film banal sorti des terres américaines ? Une superprod' comme on en voit tant, tu veux dire ? Ou j'ai mal compris ? ^^'
Cela dit, contente que le premier paragraphe t'es inspiré l'idée d'un film. J'aimerais être réalisatrice. M'enfin, entre rêve et réalité, n'est-ce pas... ^^
Merci vous trois.
Cela dit, contente que le premier paragraphe t'es inspiré l'idée d'un film. J'aimerais être réalisatrice. M'enfin, entre rêve et réalité, n'est-ce pas... ^^
Merci vous trois.
Re: Mon nom est Nade.
Tu as bien compris, tu sais les films où il y a une foix grave et sempiternelle pour la bande-annonce...
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