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Fantastique : la nuit des morts vivants
Spyrite Ven 24 Oct 2008 - 20:24
Bon je vous expliqe le topo: j'ai une redaction à rendre pour dans 3 semaines, le sujet était libre, sauf pour le titre qui était à choisir entre 40. J'ai choisi la nuit des morts vivants, parce que j'adore ce genre de lecture
Voici ce que ça donne (n'hésitez pas à faire de commentaires, qu'ils soient positifs ou négatifs)
(ah oui, faut préciser que j'ai 13 ans^^)
Ce soir, je vais mourir : les zombis nous submergerons et nous ne pourrons pas leur résister .Laissez moi vous raconter mon histoire et vous comprendrez :
Tout commença lorsque les Américains entamèrent la guerre contre les Russes, on parlait alors de 3ème guerre mondiale ; j’appellerais cela une « blitzkrieg » car il avait suffi d’un mauvais dosage d’uranium dans les bombes atomiques larguées pour que le monde soit dévasté, laissant quelques survivants. Le monde était submergé de sable, et beaucoup de cadavres revinrent à la vie à cause des radiations, mais sans âme, ils étaient donc des morts-vivants, ou zombies.
Je pus me cacher dans l’abri anti-atomique de mon jardin. J’avais de quoi survivre pendant longtemps. J’eu la paix pendant six mois, jusqu’au jour où j’entendis un petit groupe au dessus de moi. Tout de suite, je pris peur. Je les entendais hurler quand la nuit tombait. Tous les jours, il en venait de plus en plus, et je pus remarquer qu’ils se déplaçaient tous les soirs aux alentours de minuit .Je savais qu’il fallait quitter mon abri au plus tôt, avant que cela ne soit plus possible, c’est pourquoi, prenant mon courage à deux mains, je m’enfui. Par chance, ils ne regardaient pas dans ma direction. Je cherchais à me repérer avec le soleil et ma connaissance de la région, malheureusement ce fut impossible à cause du sable qui avait tout recouvert. A l’horizon, il n’y avait rien d’autre que cette étendue jaune. Le soleil était levé depuis longtemps, mais il était comme enveloppé d’une brume légère, presque fantomatique. J’avais marché nuits et jours sans aucun signe de vie humaine. J’étais au bord de l’épuisement, lorsque je vis une sorte de citadelle. Tout d’abord je pensais à un mirage : j’avais soif, la réverbération du soleil sur le sable me donnait le tournis et la chaleur était accablante. Mais plus je m’approchais, plus je distinguais les détails de cette citadelle .C’était en vérité une espèce de ville misérable entourée de remparts rafistolés. J’arrivais devant la porte de la ville lorsqu’un homme surgit me menaçant d’un pistolet à eau. Je trouvais cela assez niais, mais il ne semblait pas plaisanter. Je m’avançais tout doucement, l’homme paraissait nerveux puis me visa et me tira dessus. Il recula, attendit une vingtaine de secondes environ et m’ouvrit les portes en disant :
-Ouais, c’est bon t’es pas des leurs, tu peux rentrer !
Je fus accueilli par un groupe d’une vingtaine d’hommes et de femmes. Comme moi, tous avaient subit un long périple avant de trouver cette ville en ruine, qui ressemblait à un bidonville : elle était sale, poussiéreuse et remplie d’ordures, ce qui favorisait la prolifération de nombreux animaux nuisibles, rendus énormes par les radiations. On voyait des rats avec plusieurs pattes, des taupes qui possédaient plusieurs yeux, mais qui n’étaient pas pour autant voyante ou encore des lézards qui faisaient la taille d’un bull dog et qui avaient les mêmes crocs. Ils m’expliquèrent que les irradiés, qu’ils aient été humains ou animaux antérieurement, craignaient l’eau ; voilà pourquoi on m’avait arrosé. Donc, par mesure de sécurité, avant chaque nuit, on devait exterminer les animaux de la ville, pour éviter que l’un d’eux ait l’idée de sauter sur quelqu’un pour l’égorger. Chaque habitant possédait une habitation, un petit chez-soi, mais cela revenait en général à deux toiles de tentes maintenues par un piquet bancal. La ville avait une banque, où l’on déposait en général des objets sans valeurs trouvés dans le désert. Ce désert était rempli de créatures qui erraient dans la journée et qui se réunissait pour nous attaquer lorsque la lune était au plus haut dans le ciel. Pour leur résister, on faisait des constructions banales faites avec des matériaux laissant à désirer. Pour l’eau, on en trouvait dans un puits presque effondré. Ma première journée se passa très bien, elle m’avait permis de garder le moral qui était alors en baisse constante.
Le lendemain, on faisait l’appel : 3 hommes manquaient, ils s’étaient probablement perdus. Je demandais si il y avait une chance qu’on puisse les retrouver, mais lorsque les morts-vivants attaquent, ils ne laissent rien derrière eux. L’après midi, nos défenses étaient largement supérieures à l’attaque que l’on avait estimée. Nous avions décidé de nous reposer, de manger si la faim nous prenait ou de nous divertir en jouant aux dés ou aux cartes .La nuit fut calme et paisible, comme nous l’avions deviné. Et nous n’avions perdu personne ! C’était incroyable, car nous avions trouvé une importante mine de matériaux nécessaires à notre survie. Curieux de savoir à quoi ressemblait une attaque, j’avais passé la nuit suivante devant les remparts. Les zombis n’avaient cessé d’hurler qu’avant le lever du soleil.
Au petit matin, j’étais allé prendre une ration d’eau dans le puits mais je m’aperçu que nous étions sur le fond de nos réserves. J’ai alerté mes compagnons d’infortune, et l’état de crise fut déclenché : il fallait à tous prix se rationner et essayer de trouver des réservoirs d’eau dans les alentours. Les recherches furent infructueuse et nous prièrent pour pouvoir survivre car, trop absorbés par l’eau, nous avions oublié de construire des défenses. Le mirador estimait une attaque énorme et nous ne pouvions plus rien faire, sauf prier pour notre vie. Cette nuit là j’avais entendu des grincements sinistres et des ricanements. Nous n’étions plus que quatre a avoir survécu .C’était le chaos en pleine apocalypse ! Chacun s’était cloisonné chez soi et personne n’osait sortir.
Comme vous l’avez sûrement compris, aujourd’hui nous ne sommes plus que quatre. Il est maintenant minuit moins cinq et j’attends la mort avec impatience. Par malheur, ma montre viens de s’arrêter, je devrais donc mourir sans aucun repère temporel. Je fouille dans ma mémoire des moments joyeux, pour pouvoir tenir le coup, mais je ne voyais que la Mort. La Mort qui m’avait longtemps scruté de là où elle vit ; celle qui m’attendra à coté de mon lit lorsque mon moment viendra ; celle qui…Attendez, je les entends, ils arrivent. J’espère qu’ils m’épargneront, même si je n’y crois pas vraiment. Ils sont désormais chez mon voisin, je l’entends hurler. Il est maintenant le moment de vous dire à dieu….
Je suis mort, mais pas pour autant serein, j’ai l’impression que quelque chose rode et m’appelle. J’ai beau courir dans l’obscurité, cette chose me rattrape sans cesse … j’ai peur…
Vous pouvez commenter!
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(ah oui, faut préciser que j'ai 13 ans^^)
Ce soir, je vais mourir : les zombis nous submergerons et nous ne pourrons pas leur résister .Laissez moi vous raconter mon histoire et vous comprendrez :
Tout commença lorsque les Américains entamèrent la guerre contre les Russes, on parlait alors de 3ème guerre mondiale ; j’appellerais cela une « blitzkrieg » car il avait suffi d’un mauvais dosage d’uranium dans les bombes atomiques larguées pour que le monde soit dévasté, laissant quelques survivants. Le monde était submergé de sable, et beaucoup de cadavres revinrent à la vie à cause des radiations, mais sans âme, ils étaient donc des morts-vivants, ou zombies.
Je pus me cacher dans l’abri anti-atomique de mon jardin. J’avais de quoi survivre pendant longtemps. J’eu la paix pendant six mois, jusqu’au jour où j’entendis un petit groupe au dessus de moi. Tout de suite, je pris peur. Je les entendais hurler quand la nuit tombait. Tous les jours, il en venait de plus en plus, et je pus remarquer qu’ils se déplaçaient tous les soirs aux alentours de minuit .Je savais qu’il fallait quitter mon abri au plus tôt, avant que cela ne soit plus possible, c’est pourquoi, prenant mon courage à deux mains, je m’enfui. Par chance, ils ne regardaient pas dans ma direction. Je cherchais à me repérer avec le soleil et ma connaissance de la région, malheureusement ce fut impossible à cause du sable qui avait tout recouvert. A l’horizon, il n’y avait rien d’autre que cette étendue jaune. Le soleil était levé depuis longtemps, mais il était comme enveloppé d’une brume légère, presque fantomatique. J’avais marché nuits et jours sans aucun signe de vie humaine. J’étais au bord de l’épuisement, lorsque je vis une sorte de citadelle. Tout d’abord je pensais à un mirage : j’avais soif, la réverbération du soleil sur le sable me donnait le tournis et la chaleur était accablante. Mais plus je m’approchais, plus je distinguais les détails de cette citadelle .C’était en vérité une espèce de ville misérable entourée de remparts rafistolés. J’arrivais devant la porte de la ville lorsqu’un homme surgit me menaçant d’un pistolet à eau. Je trouvais cela assez niais, mais il ne semblait pas plaisanter. Je m’avançais tout doucement, l’homme paraissait nerveux puis me visa et me tira dessus. Il recula, attendit une vingtaine de secondes environ et m’ouvrit les portes en disant :
-Ouais, c’est bon t’es pas des leurs, tu peux rentrer !
Je fus accueilli par un groupe d’une vingtaine d’hommes et de femmes. Comme moi, tous avaient subit un long périple avant de trouver cette ville en ruine, qui ressemblait à un bidonville : elle était sale, poussiéreuse et remplie d’ordures, ce qui favorisait la prolifération de nombreux animaux nuisibles, rendus énormes par les radiations. On voyait des rats avec plusieurs pattes, des taupes qui possédaient plusieurs yeux, mais qui n’étaient pas pour autant voyante ou encore des lézards qui faisaient la taille d’un bull dog et qui avaient les mêmes crocs. Ils m’expliquèrent que les irradiés, qu’ils aient été humains ou animaux antérieurement, craignaient l’eau ; voilà pourquoi on m’avait arrosé. Donc, par mesure de sécurité, avant chaque nuit, on devait exterminer les animaux de la ville, pour éviter que l’un d’eux ait l’idée de sauter sur quelqu’un pour l’égorger. Chaque habitant possédait une habitation, un petit chez-soi, mais cela revenait en général à deux toiles de tentes maintenues par un piquet bancal. La ville avait une banque, où l’on déposait en général des objets sans valeurs trouvés dans le désert. Ce désert était rempli de créatures qui erraient dans la journée et qui se réunissait pour nous attaquer lorsque la lune était au plus haut dans le ciel. Pour leur résister, on faisait des constructions banales faites avec des matériaux laissant à désirer. Pour l’eau, on en trouvait dans un puits presque effondré. Ma première journée se passa très bien, elle m’avait permis de garder le moral qui était alors en baisse constante.
Le lendemain, on faisait l’appel : 3 hommes manquaient, ils s’étaient probablement perdus. Je demandais si il y avait une chance qu’on puisse les retrouver, mais lorsque les morts-vivants attaquent, ils ne laissent rien derrière eux. L’après midi, nos défenses étaient largement supérieures à l’attaque que l’on avait estimée. Nous avions décidé de nous reposer, de manger si la faim nous prenait ou de nous divertir en jouant aux dés ou aux cartes .La nuit fut calme et paisible, comme nous l’avions deviné. Et nous n’avions perdu personne ! C’était incroyable, car nous avions trouvé une importante mine de matériaux nécessaires à notre survie. Curieux de savoir à quoi ressemblait une attaque, j’avais passé la nuit suivante devant les remparts. Les zombis n’avaient cessé d’hurler qu’avant le lever du soleil.
Au petit matin, j’étais allé prendre une ration d’eau dans le puits mais je m’aperçu que nous étions sur le fond de nos réserves. J’ai alerté mes compagnons d’infortune, et l’état de crise fut déclenché : il fallait à tous prix se rationner et essayer de trouver des réservoirs d’eau dans les alentours. Les recherches furent infructueuse et nous prièrent pour pouvoir survivre car, trop absorbés par l’eau, nous avions oublié de construire des défenses. Le mirador estimait une attaque énorme et nous ne pouvions plus rien faire, sauf prier pour notre vie. Cette nuit là j’avais entendu des grincements sinistres et des ricanements. Nous n’étions plus que quatre a avoir survécu .C’était le chaos en pleine apocalypse ! Chacun s’était cloisonné chez soi et personne n’osait sortir.
Comme vous l’avez sûrement compris, aujourd’hui nous ne sommes plus que quatre. Il est maintenant minuit moins cinq et j’attends la mort avec impatience. Par malheur, ma montre viens de s’arrêter, je devrais donc mourir sans aucun repère temporel. Je fouille dans ma mémoire des moments joyeux, pour pouvoir tenir le coup, mais je ne voyais que la Mort. La Mort qui m’avait longtemps scruté de là où elle vit ; celle qui m’attendra à coté de mon lit lorsque mon moment viendra ; celle qui…Attendez, je les entends, ils arrivent. J’espère qu’ils m’épargneront, même si je n’y crois pas vraiment. Ils sont désormais chez mon voisin, je l’entends hurler. Il est maintenant le moment de vous dire à dieu….
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Re: Fantastique : la nuit des morts vivants
mentor Ven 24 Oct 2008 - 20:30
toi aussi ! :-)))Vous pouvez commenter!
j'explique : 13 ans ça se voit sur ton profil à gauche
ici j'ai un képi et un sifflet quand les autres sont pas là
et ils sont pas là ! ;-)
donc il faudrait que tu lises un peu en haut là où c'est écrit "IMPORTANT ! A LIRE PAR LES NOUVEAUX "
ensuite tu reviens
et moi je m'en vais lire ta rédac
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Re: Fantastique : la nuit des morts vivants
mentor Ven 24 Oct 2008 - 20:48
Ouaip j'ai vu, c'est bien
la 2ème étape est déjà franchie
restera à commencer à participer : commenter à ton tour et peut-être discutailler de tout et de rien sur le fil débats et billevesées, et enfin participer à nos appels à textes et exercices en direct, à toi de voir !
BIENVENUE SUR VE !
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Re: Fantastique : la nuit des morts vivants
mentor Ven 24 Oct 2008 - 20:51
bon, j'ai lu en diagonale, faut que je quitte, là
mais il y a quelque chose dans ce texte
et d'abord j'y sens le plaisir d'écrire
ce qui est déjà énorme et donne envie au lecteur de te donner des ressentis et peut-être des conseils pour progresser
tu vas avoir d'autres avis avant le mien, lis bien et tiens compte de tout, que ce soit positif ou pas !
A +
mais il y a quelque chose dans ce texte
et d'abord j'y sens le plaisir d'écrire
ce qui est déjà énorme et donne envie au lecteur de te donner des ressentis et peut-être des conseils pour progresser
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Re: Fantastique : la nuit des morts vivants
kazar Ven 24 Oct 2008 - 23:10
Bienvenue à toi.
Je vais commencer par les points positifs : tu as envie d'écrire et ça se sent. C'est bien, il faut de la relève ^^
Maintenant, plusieurs choses sont à revoir :
- L'orthographe. Même si ce n'est pas catastrophique, c'est assez plombé pour que je grince des dents. Fais bien attention, que ce soit aux accords, aux terminaisons, etc.
- La conjugaison. La concordance des temps est capitale. Je ne te parle pas des trucs un peu complexes, mais bien d'un homogénéité. A la fin, tu parles au présent, au passé, puis re-au présent, pour la même action.
- La ponctuation. Fais bien la différence entre une virgule, qui est une suspension dans la phrase, et un point-virgule. Ou un point. Je ne relève pas, mais il y a beaucoup d'endroits où tu devrais changer ta ponctuation.
- La forme. Aère. Fais des paragraphes. Un pâté, c'est pas top. De plus, veille à alléger tes phrases. N'essaye pas de trop en dire avec une seule.
Voilou !
Bon courage pour ta rédac !
En espérant que ça te permette de retoucher tout ça et d'avoir une bonne note !
;-)
Je vais commencer par les points positifs : tu as envie d'écrire et ça se sent. C'est bien, il faut de la relève ^^
Maintenant, plusieurs choses sont à revoir :
- L'orthographe. Même si ce n'est pas catastrophique, c'est assez plombé pour que je grince des dents. Fais bien attention, que ce soit aux accords, aux terminaisons, etc.
- La conjugaison. La concordance des temps est capitale. Je ne te parle pas des trucs un peu complexes, mais bien d'un homogénéité. A la fin, tu parles au présent, au passé, puis re-au présent, pour la même action.
- La ponctuation. Fais bien la différence entre une virgule, qui est une suspension dans la phrase, et un point-virgule. Ou un point. Je ne relève pas, mais il y a beaucoup d'endroits où tu devrais changer ta ponctuation.
- La forme. Aère. Fais des paragraphes. Un pâté, c'est pas top. De plus, veille à alléger tes phrases. N'essaye pas de trop en dire avec une seule.
Voilou !
Bon courage pour ta rédac !
En espérant que ça te permette de retoucher tout ça et d'avoir une bonne note !
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kazar- Nombre de messages : 2060
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Localisation : sur le clic
Date d'inscription : 12/06/2008 -
Re: Fantastique : la nuit des morts vivants
kazar Ven 24 Oct 2008 - 23:13
Ah, et j'ai oublié : si ton prof connaît le jeu zombies (teuh-teuh-teuh, me la fais pas, je sais que tu connais... oui, ce jeu sur internet où il faut s'entraider, bâtir sa ville, construire des défenses, envoyer des soldats, des éclaireurs à la rechercher d'objets ou d'eau dans le désert, où les zombies attaquent toutes les nuits à la même heure, chaque soir plus nombreux...) il te le fera remarquer.
Comme je le fais ^^
Comme je le fais ^^
kazar- Nombre de messages : 2060
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Re: Fantastique : la nuit des morts vivants
Spyrite Sam 25 Oct 2008 - 9:24
Et ouais c'est bien le jeu auquel tu pense!
le prof nous a dit qu'on pouvait s'inspirer de film, jeux, romans, ect....mais il ne faut pas que ce soit la copie conforme....alors j'ai changé des choses par rapport à mon "premier jet" (trop de ressemblances)
Merci de vos commentaires,ça me fait plaisir!
le prof nous a dit qu'on pouvait s'inspirer de film, jeux, romans, ect....mais il ne faut pas que ce soit la copie conforme....alors j'ai changé des choses par rapport à mon "premier jet" (trop de ressemblances)
Merci de vos commentaires,ça me fait plaisir!
Spyrite- Nombre de messages : 17
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Re: Fantastique : la nuit des morts vivants
Spyrite Sam 25 Oct 2008 - 11:45
Et puis j'ai un peu dérapé sur la fin:
avec un mélange plus-que-parfait/présent/imparfait sur 3 lignes, ça fait un peu fouilli!
avec un mélange plus-que-parfait/présent/imparfait sur 3 lignes, ça fait un peu fouilli!
Spyrite- Nombre de messages : 17
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Re: Fantastique : la nuit des morts vivants
Invité Dim 26 Oct 2008 - 10:27
Je trouve Kazar sévère : l'orthographe n'est pas si mauvaise, ni la grammaire ( à part un nous prièrent qui m'a fait hurler !) et le problème de changements de temps.
Il n'y a pas ces accumulations d'adjectifs qui sont la faiblesse des débutants et on sent un vrai plaisir à écrire, ce qui par contagion, donne du plaisir à lire. Et pourtant je ne suis pas du tout fan du genre !
Je ne peux que t'encourager à continuer : c'est pas mal du tout, pour un début !
Il n'y a pas ces accumulations d'adjectifs qui sont la faiblesse des débutants et on sent un vrai plaisir à écrire, ce qui par contagion, donne du plaisir à lire. Et pourtant je ne suis pas du tout fan du genre !
Je ne peux que t'encourager à continuer : c'est pas mal du tout, pour un début !
Invité- Invité
Re: Fantastique : la nuit des morts vivants
Loreena Ruin Dim 26 Oct 2008 - 11:08
Reprise du texte, commentaires direct dessus (et suggestions), j'espère que ça t'aidera!
En vert: les phrases un peu bancales, à retravailler.
En rouge: les fautes de langue ou de concordance des temps (je n'ai pas relevé les fautes d'orthographe^^)
En orange: un passage que j'aime bien
Entre parenthèses:
- (ta phrase): une phrase ou un mot inutile, à supprimer
- (ta phrase=X): je te propose une variante de ce que tu as écrit
- (X?) une suggestion d'ajout
J'ai modifié directement la ponctuation et j'ai mis la fin, où tu es une sorte de mort vivant si j'ai bien compris (?) en italique, ça montre le changement de perspective.
A toi de voir ce que tu fais de tout cela. J'ai essayé pour ma part d'être la plus complète possible, parce que je trouve que ton texte est plutôt bon pour ton âge, avec un véritable effort et pas (ou très peu) de phrases vraiment mal tournées.
(Ce soir,) Je vais mourir. Les zombis (nous submergerons=vont nous submerger), nous ne pourrons pas leur résister...
Laissez moi vous raconter mon histoire (et vous comprendrez).
Tout commença lorsque les Américains entamèrent la guerre contre les Russes - on parlait alors de 3ème guerre mondiale, mais j’appellerais (plutôt?) cela une « blitzkrieg ». Il avait (aurait) suffi d’un mauvais dosage d’uranium (dans les bombes atomiques larguées) pour que le monde soit dévasté (par les bombes?), (ne?) laissant (que?) quelques survivants. Le monde était submergé (de=par le) sable. (Beaucoup de cadavres revinrent= les cadavres revenaient...) à la vie à cause des radiations, mais sans âme : (ils étaient donc= on les appelait) des morts-vivants, ou zombies.
Je pus me cacher dans l’abri anti-atomique de mon jardin. J’avais de quoi survivre pendant longtemps. J’eus la paix pendant six mois, jusqu’au jour où j’entendis un petit groupe (au dessus de moi= qui passait au dessus de mon abri). Tout de suite, je pris peur. Je les entendais hurler quand la nuit tombait (euh, là tu ne dis pas que le groupe reste près de l'abri, donc il ne peut à priori pas les entendre toutes les nuits, il faudrait ajouter une phrase où tu dises "Ils passèrent et repassèrent toute la journée, et à partir de ce jour, je les entendis chaque nuit qui hurlaient à la tombée de la nuit, j'en déduisis qu'ils avaient choisi ma maison comme repère" ou un truc dans le genre^^). Tous les jours, il en venait de plus en plus (nombreux?), et je pus remarquer (remarquai) qu’ils se déplaçaient (tous les soirs) aux alentours de minuit. Je savais qu’il (me?) fallait quitter (mon abri= l'abri) au plus tôt, avant que cela (ne soit plus possible= me soit impossible), c’est pourquoi, prenant mon courage à deux mains, je m’enfui. Par chance (au moment ou j'émergeais de ma cachette?), ils ne regardaient pas dans ma direction. (Une fois hors de danger?) je cherchais à me repérer avec le soleil et ma connaissance de la région, malheureusement ce fut impossible à cause du sable qui avait tout recouvert (moyenne cette phrase, peut-être à reformuler). A l’horizon, il n’y avait rien d’autre que cette étendue jaune. Le soleil était levé depuis longtemps, mais il était comme enveloppé d’une brume légère, presque fantomatique (ça j'aime bien ;-)). J’avais marché (pourquoi ce passage au plus que parfait? => je marchais) nuits et jours sans aucun signe de vie humaine. J’étais au bord de l’épuisement, lorsque je vis une sorte de citadelle. Tout d’abord, je pensais à un mirage (moyen aussi, à reformuler): j’avais soif, la réverbération du soleil sur le sable me donnait le tournis et la chaleur était accablante. Mais plus je m’approchais, plus je distinguais les détails de cette citadelle. C’était en vérité (Il s'agissait en vérité de?) une espèce de ville (misérable) entourée de remparts rafistolés. J’arrivais devant la porte (de la ville) lorsqu’un homme surgit, me menaçant d’un pistolet à eau. Je trouvais cela assez niais, mais il ne semblait pas plaisanter. Je m’avançais tout doucement - l’homme paraissait nerveux : il me visa puis me tira dessus. (Après quoi?) il recula, attendit une vingtaine de secondes environ et m’ouvrit les portes en disant :
-Ouais, c’est bon t’es pas des leurs, tu peux rentrer !
Je fus accueilli par un groupe d’une vingtaine d’hommes et de femmes. Comme moi, tous avaient subit (ce terme est-il approprié??) un long périple avant de trouver cette ville en ruine, qui ressemblait à un bidonville : elle était sale, poussiéreuse et remplie d’ordures, ce qui favorisait la prolifération de nombreux animaux nuisibles, rendus énormes par les radiations. On voyait des rats avec plusieurs pattes, des taupes qui possédaient plusieurs yeux, (mais qui n’étaient pas pour autant voyante) ou encore des lézards qui faisaient la taille d’un bull dog et qui avaient les mêmes crocs. Ils m’expliquèrent que les irradiés, qu’ils aient été humains ou animaux antérieurement, craignaient l’eau ; voilà pourquoi on m’avait arrosé. Donc, par mesure de sécurité, avant chaque nuit, (on devait exterminer les animaux de la ville= les animaux devaient être pourchassés et tués (parce que "exterminer voudrait dire qu'ils sont tous morts, donc pourquoi revenir chaque nuit?)), pour éviter que l’un d’eux n'ait l’idée (de sauter sur quelqu’un pour l’égorger= d'égorger quelqu'un). (Chaque habitant possédait une habitation, un petit chez-soi= habitant/habitation^^, écris plutôt: Chaque habitant avait son petit chez-soi), (mais cela revenait en général à= c'est à dire...) deux toiles de tentes maintenues par un piquet bancal. La ville avait une banque, où l’on déposait en général des objets sans valeurs trouvés dans le désert. Ce désert était rempli de créatures qui erraient dans la journée et qui se réunissait pour nous attaquer lorsque la lune était au plus haut dans le ciel. Pour leur résister, (on faisait des constructions banales faites avec des matériaux laissant à désirer = des constructions/ des barricades de fortune étaient construites). (Pour l’eau, on en trouvait dans un puits presque effondré= il nous fallait aller puiser l'eau dans un puits à moitié effondré).
Ma première journée se passa très bien, elle m’avait permis (elle me permit) de garder le moral qui était alors en baisse constante.
Le lendemain, on faisait (fit) l’appel : 3 hommes manquaient, ils s’étaient probablement perdus. Je demandais si il y avait une chance qu’on puisse les retrouver, mais (on me dit que?) lorsque les morts-vivants attaquent (attaquaient), ils ne laissent (laissaient) rien derrière eux. L’après midi, nos défenses étaient largement supérieures à l’attaque que l’on avait estimée (à expliciter moi pas comprendre le sens!). Nous avions (donc?) décidé de nous reposer, de manger si la faim nous prenait ou de nous divertir en jouant aux dés ou aux cartes. La nuit fut calme et paisible, comme nous l’avions deviné. Et nous n’avions perdu personne ! C’était incroyable, car nous avions trouvé une importante mine de matériaux nécessaires à notre survie. (rapport avec le fait qu'ils n'aient perdu personne???) Curieux de savoir à quoi ressemblait une attaque, j’avais passé (je passai) la nuit suivante devant les remparts. Les zombis n’avaient cessé d'hurler qu’avant (mof) le lever du soleil.
Au petit matin, j’étais allé (j'allai) prendre une ration d’eau dans le puits (mais je m’aperçu= et découvrai que...) que nous étions (sur le fond de=au bout de...) nos réserves. J’ai alerté (j'alertai) mes compagnons d’infortune, et l’état de crise fut (déclenché= c'est un autre mot, je sais plus lequel dsl, mais pas celui la ça fait bizarre) : il fallait à tous prix se rationner et essayer de trouver des réservoirs d’eau (dans les=aux) alentours. Les recherches furent infructueuse. (Nous prièrent pour pouvoir survivre= il ne nous resta bientôt qu'à prier pour qu'un miracle se produise) car, trop absorbés par (le problème de?) l’eau, nous avions oublié de construire des défenses. Le mirador estimait (qu')une attaque (énorme=de grande importance) (allait être lancée?) et nous ne pouvions plus rien faire,(sauf prier pour notre vie)...
Cette nuit là, j’avais entendu (j'entendis) des grincements sinistres et des ricanements. Nous n’étions plus que quatre (a avoir survécu). (C’était) Le chaos en pleine apocalypse ! Chacun s’était cloisonné chez (soi=lui) et personne n’osait sortir.
(Comme vous l’avez sûrement compris, aujourd’hui nous ne sommes plus que quatre.) Il est maintenant minuit moins cinq et j’attends la mort avec impatience.
(Par malheur,) Ma montre viens de s’arrêter, je devrais donc mourir sans aucun repère temporel. Je fouille dans ma mémoire (à la recherche de..?) des moments joyeux, pour pouvoir tenir le coup, mais je ne (voyais=vois) que la Mort.
La Mort qui (m’avait=m'a) (si?) longtemps scruté (de là où elle vit= depuis son antre); (celle) qui (m’) (attendra=a attendu) (si longtemps?) à coté de mon lit (lors)que mon moment (viendra=vienne) ; (celle) qui…
(Hum, en fait ça donnerait: "La Mort, qui m'a si longtemps scruté depuis son antre, qui a attendu si longtemps à côté de mon lit que mon heure vienne, qui...")
(Attendez) Je les entends, ils arrivent (huhu, cf: arrivée des orcs dans la Moria chez Tolkien). J’espère qu’ils m’épargneront, même si je n’y crois pas vraiment. Ils sont désormais chez mon voisin, je l’entends hurler. (Il est= je crois que c'est..) maintenant le moment de (vous) dire à dieu (^^à Dieu ou adieu??les deux sont possibles mais ça ne veut pas dire la même chose hihi)...
Je suis mort, mais pas pour autant serein, j’ai l’impression que quelque chose rode et m’appelle. J’ai beau courir dans l’obscurité, cette chose me rattrape sans cesse …
...
J’ai peur…
En vert: les phrases un peu bancales, à retravailler.
En rouge: les fautes de langue ou de concordance des temps (je n'ai pas relevé les fautes d'orthographe^^)
En orange: un passage que j'aime bien
Entre parenthèses:
- (ta phrase): une phrase ou un mot inutile, à supprimer
- (ta phrase=X): je te propose une variante de ce que tu as écrit
- (X?) une suggestion d'ajout
J'ai modifié directement la ponctuation et j'ai mis la fin, où tu es une sorte de mort vivant si j'ai bien compris (?) en italique, ça montre le changement de perspective.
A toi de voir ce que tu fais de tout cela. J'ai essayé pour ma part d'être la plus complète possible, parce que je trouve que ton texte est plutôt bon pour ton âge, avec un véritable effort et pas (ou très peu) de phrases vraiment mal tournées.
(Ce soir,) Je vais mourir. Les zombis (nous submergerons=vont nous submerger), nous ne pourrons pas leur résister...
Laissez moi vous raconter mon histoire (et vous comprendrez).
Tout commença lorsque les Américains entamèrent la guerre contre les Russes - on parlait alors de 3ème guerre mondiale, mais j’appellerais (plutôt?) cela une « blitzkrieg ». Il avait (aurait) suffi d’un mauvais dosage d’uranium (dans les bombes atomiques larguées) pour que le monde soit dévasté (par les bombes?), (ne?) laissant (que?) quelques survivants. Le monde était submergé (de=par le) sable. (Beaucoup de cadavres revinrent= les cadavres revenaient...) à la vie à cause des radiations, mais sans âme : (ils étaient donc= on les appelait) des morts-vivants, ou zombies.
Je pus me cacher dans l’abri anti-atomique de mon jardin. J’avais de quoi survivre pendant longtemps. J’eus la paix pendant six mois, jusqu’au jour où j’entendis un petit groupe (au dessus de moi= qui passait au dessus de mon abri). Tout de suite, je pris peur. Je les entendais hurler quand la nuit tombait (euh, là tu ne dis pas que le groupe reste près de l'abri, donc il ne peut à priori pas les entendre toutes les nuits, il faudrait ajouter une phrase où tu dises "Ils passèrent et repassèrent toute la journée, et à partir de ce jour, je les entendis chaque nuit qui hurlaient à la tombée de la nuit, j'en déduisis qu'ils avaient choisi ma maison comme repère" ou un truc dans le genre^^). Tous les jours, il en venait de plus en plus (nombreux?), et je pus remarquer (remarquai) qu’ils se déplaçaient (tous les soirs) aux alentours de minuit. Je savais qu’il (me?) fallait quitter (mon abri= l'abri) au plus tôt, avant que cela (ne soit plus possible= me soit impossible), c’est pourquoi, prenant mon courage à deux mains, je m’enfui. Par chance (au moment ou j'émergeais de ma cachette?), ils ne regardaient pas dans ma direction. (Une fois hors de danger?) je cherchais à me repérer avec le soleil et ma connaissance de la région, malheureusement ce fut impossible à cause du sable qui avait tout recouvert (moyenne cette phrase, peut-être à reformuler). A l’horizon, il n’y avait rien d’autre que cette étendue jaune. Le soleil était levé depuis longtemps, mais il était comme enveloppé d’une brume légère, presque fantomatique (ça j'aime bien ;-)). J’avais marché (pourquoi ce passage au plus que parfait? => je marchais) nuits et jours sans aucun signe de vie humaine. J’étais au bord de l’épuisement, lorsque je vis une sorte de citadelle. Tout d’abord, je pensais à un mirage (moyen aussi, à reformuler): j’avais soif, la réverbération du soleil sur le sable me donnait le tournis et la chaleur était accablante. Mais plus je m’approchais, plus je distinguais les détails de cette citadelle. C’était en vérité (Il s'agissait en vérité de?) une espèce de ville (misérable) entourée de remparts rafistolés. J’arrivais devant la porte (de la ville) lorsqu’un homme surgit, me menaçant d’un pistolet à eau. Je trouvais cela assez niais, mais il ne semblait pas plaisanter. Je m’avançais tout doucement - l’homme paraissait nerveux : il me visa puis me tira dessus. (Après quoi?) il recula, attendit une vingtaine de secondes environ et m’ouvrit les portes en disant :
-Ouais, c’est bon t’es pas des leurs, tu peux rentrer !
Je fus accueilli par un groupe d’une vingtaine d’hommes et de femmes. Comme moi, tous avaient subit (ce terme est-il approprié??) un long périple avant de trouver cette ville en ruine, qui ressemblait à un bidonville : elle était sale, poussiéreuse et remplie d’ordures, ce qui favorisait la prolifération de nombreux animaux nuisibles, rendus énormes par les radiations. On voyait des rats avec plusieurs pattes, des taupes qui possédaient plusieurs yeux, (mais qui n’étaient pas pour autant voyante) ou encore des lézards qui faisaient la taille d’un bull dog et qui avaient les mêmes crocs. Ils m’expliquèrent que les irradiés, qu’ils aient été humains ou animaux antérieurement, craignaient l’eau ; voilà pourquoi on m’avait arrosé. Donc, par mesure de sécurité, avant chaque nuit, (on devait exterminer les animaux de la ville= les animaux devaient être pourchassés et tués (parce que "exterminer voudrait dire qu'ils sont tous morts, donc pourquoi revenir chaque nuit?)), pour éviter que l’un d’eux n'ait l’idée (de sauter sur quelqu’un pour l’égorger= d'égorger quelqu'un). (Chaque habitant possédait une habitation, un petit chez-soi= habitant/habitation^^, écris plutôt: Chaque habitant avait son petit chez-soi), (mais cela revenait en général à= c'est à dire...) deux toiles de tentes maintenues par un piquet bancal. La ville avait une banque, où l’on déposait en général des objets sans valeurs trouvés dans le désert. Ce désert était rempli de créatures qui erraient dans la journée et qui se réunissait pour nous attaquer lorsque la lune était au plus haut dans le ciel. Pour leur résister, (on faisait des constructions banales faites avec des matériaux laissant à désirer = des constructions/ des barricades de fortune étaient construites). (Pour l’eau, on en trouvait dans un puits presque effondré= il nous fallait aller puiser l'eau dans un puits à moitié effondré).
Ma première journée se passa très bien, elle m’avait permis (elle me permit) de garder le moral qui était alors en baisse constante.
Le lendemain, on faisait (fit) l’appel : 3 hommes manquaient, ils s’étaient probablement perdus. Je demandais si il y avait une chance qu’on puisse les retrouver, mais (on me dit que?) lorsque les morts-vivants attaquent (attaquaient), ils ne laissent (laissaient) rien derrière eux. L’après midi, nos défenses étaient largement supérieures à l’attaque que l’on avait estimée (à expliciter moi pas comprendre le sens!). Nous avions (donc?) décidé de nous reposer, de manger si la faim nous prenait ou de nous divertir en jouant aux dés ou aux cartes. La nuit fut calme et paisible, comme nous l’avions deviné. Et nous n’avions perdu personne ! C’était incroyable, car nous avions trouvé une importante mine de matériaux nécessaires à notre survie. (rapport avec le fait qu'ils n'aient perdu personne???) Curieux de savoir à quoi ressemblait une attaque, j’avais passé (je passai) la nuit suivante devant les remparts. Les zombis n’avaient cessé d'hurler qu’avant (mof) le lever du soleil.
Au petit matin, j’étais allé (j'allai) prendre une ration d’eau dans le puits (mais je m’aperçu= et découvrai que...) que nous étions (sur le fond de=au bout de...) nos réserves. J’ai alerté (j'alertai) mes compagnons d’infortune, et l’état de crise fut (déclenché= c'est un autre mot, je sais plus lequel dsl, mais pas celui la ça fait bizarre) : il fallait à tous prix se rationner et essayer de trouver des réservoirs d’eau (dans les=aux) alentours. Les recherches furent infructueuse. (Nous prièrent pour pouvoir survivre= il ne nous resta bientôt qu'à prier pour qu'un miracle se produise) car, trop absorbés par (le problème de?) l’eau, nous avions oublié de construire des défenses. Le mirador estimait (qu')une attaque (énorme=de grande importance) (allait être lancée?) et nous ne pouvions plus rien faire,(sauf prier pour notre vie)...
Cette nuit là, j’avais entendu (j'entendis) des grincements sinistres et des ricanements. Nous n’étions plus que quatre (a avoir survécu). (C’était) Le chaos en pleine apocalypse ! Chacun s’était cloisonné chez (soi=lui) et personne n’osait sortir.
(Comme vous l’avez sûrement compris, aujourd’hui nous ne sommes plus que quatre.) Il est maintenant minuit moins cinq et j’attends la mort avec impatience.
(Par malheur,) Ma montre viens de s’arrêter, je devrais donc mourir sans aucun repère temporel. Je fouille dans ma mémoire (à la recherche de..?) des moments joyeux, pour pouvoir tenir le coup, mais je ne (voyais=vois) que la Mort.
La Mort qui (m’avait=m'a) (si?) longtemps scruté (de là où elle vit= depuis son antre); (celle) qui (m’) (attendra=a attendu) (si longtemps?) à coté de mon lit (lors)que mon moment (viendra=vienne) ; (celle) qui…
(Hum, en fait ça donnerait: "La Mort, qui m'a si longtemps scruté depuis son antre, qui a attendu si longtemps à côté de mon lit que mon heure vienne, qui...")
(Attendez) Je les entends, ils arrivent (huhu, cf: arrivée des orcs dans la Moria chez Tolkien). J’espère qu’ils m’épargneront, même si je n’y crois pas vraiment. Ils sont désormais chez mon voisin, je l’entends hurler. (Il est= je crois que c'est..) maintenant le moment de (vous) dire à dieu (^^à Dieu ou adieu??les deux sont possibles mais ça ne veut pas dire la même chose hihi)...
Je suis mort, mais pas pour autant serein, j’ai l’impression que quelque chose rode et m’appelle. J’ai beau courir dans l’obscurité, cette chose me rattrape sans cesse …
...
J’ai peur…
Loreena Ruin- Nombre de messages : 1071
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Re: Fantastique : la nuit des morts vivants
Sahkti Lun 3 Nov 2008 - 16:53
J'espère que tu auras fait relire cette rédac avant de la rendre parce que sinon, champion zéro en ortho C'est pénible à lire toutes ces fautes, désolée, surtout si on ajoute les erreurs de temps et tutti quanti.
Le sujet ne m'intéresse pas vraiment, mais c'est question de goût ça, c'est sûr. Toi, par contre, on imagine que c'est ton truc et pourtant, tu n'arrives pas à le faire sentir comme il faudrait. D'abord parce que tout est noyé dans une masse informe. Ensuite, parce qu'il n'y a pas d'aérations, pas de suspension avec reprise plus haletante, tout se suit et se tient sur un même ton. Tu devrais à mon avis y mettre plus de tripes et moins de formes (surtout si tu ne les maîtrises pas bien), te laisser aller à plus de spontanéité.
Le sujet ne m'intéresse pas vraiment, mais c'est question de goût ça, c'est sûr. Toi, par contre, on imagine que c'est ton truc et pourtant, tu n'arrives pas à le faire sentir comme il faudrait. D'abord parce que tout est noyé dans une masse informe. Ensuite, parce qu'il n'y a pas d'aérations, pas de suspension avec reprise plus haletante, tout se suit et se tient sur un même ton. Tu devrais à mon avis y mettre plus de tripes et moins de formes (surtout si tu ne les maîtrises pas bien), te laisser aller à plus de spontanéité.
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Re: Fantastique : la nuit des morts vivants
Spyrite Mar 4 Nov 2008 - 11:39
Ok,je vais voir ça
et merci de ta reprise Loreena
et merci de ta reprise Loreena
Spyrite- Nombre de messages : 17
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Re: Fantastique : la nuit des morts vivants
Loreena Ruin Mar 4 Nov 2008 - 12:31
Bah de rien! J'espère que ça te servira c'est tout.
A bientôt,
Ruin.
A bientôt,
Ruin.
Loreena Ruin- Nombre de messages : 1071
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Re: Fantastique : la nuit des morts vivants
Spyrite Mar 4 Nov 2008 - 17:31
Grâce à ton aide, Ruin, j'ai modifié des choses, et en plus je me suis casser la tête pendant les vacances, me reposant à grands coups de sudoku!
Donc, c'est amélioré, un peu plus clair et plus ordonné. Aussi, je suis sûr que malgré mes modif', ça ne plaira pas à tout le monde....Alors n'hésitez pas à lacher des commentaires
Donc, c'est amélioré, un peu plus clair et plus ordonné. Aussi, je suis sûr que malgré mes modif', ça ne plaira pas à tout le monde....Alors n'hésitez pas à lacher des commentaires
Spyrite- Nombre de messages : 17
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Re: Fantastique : la nuit des morts vivants
Loreena Ruin Mar 4 Nov 2008 - 17:40
Pourrais-tu poster ta version "améliorée"? J'aimerai voir!! (Et te dire ce que j'en pense si tu veux bien^^)
A bientôt,
Ruin
A bientôt,
Ruin
Loreena Ruin- Nombre de messages : 1071
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Re: Fantastique : la nuit des morts vivants
Spyrite Mar 4 Nov 2008 - 17:44
Je vais mourir. Ils zombis vont dépasser nos défenses, nous ne pourrons pas leur résister...Laissez moi vous raconter mon histoire et vous comprendrez :
Tout commença lorsque les Américains entamèrent la guerre contre les Russes. On parlait alors de 3ème guerre mondiale, mais j’appellerais cela une « blitzkrieg ». Il avait suffi d’un mauvais dosage d’uranium pour que le monde soit dévasté par les bombes, ne laissant que quelques survivant. Il était submergé par le sable. Les cadavres revenaient à la vie à cause des radiations, mais sans âme : on les appelait des morts-vivants, ou zombis.
Je savais qu’un tel accident pouvait arriver, c’est pourquoi je m’étais caché dans l’abri anti-atomique de mon jardin. J’avais de quoi survivre pendant longtemps. J’eus la paix pendant six mois, jusqu’au jour où j’entendis un petit groupe qui passait au dessus de mon abri. Ils passèrent et repassèrent toute la journée, et à partir de ce jour, je les entendis chaque nuit qui hurlait à la tombée de la nuit, j'en déduisis qu'ils avaient choisi ma maison comme repère. Tous les jours, il en venait de plus en plus, et je remarquai qu’ils se déplaçaient tous les soirs aux alentours de minuit. Je savais qu’il me fallait quitter l'abri au plus tôt, avant que cela me soit impossible, c’est pourquoi, prenant mon courage à deux mains, je m’enfui. Par chance, au moment où j'émergeais de ma cachette, ils ne regardaient pas dans ma direction.
Une fois hors de danger, je cherchais à me repérer avec le soleil et ma connaissance de la région, malheureusement ce fut impossible à cause du sable qui avait tout recouvert. A l’horizon, il n’y avait rien d’autre que cette étendue jaune. Le soleil était levé depuis longtemps, mais il était comme enveloppé d’une brume légère, presque fantomatique. Je marchais nuits et jours sans aucun signe de vie humaine. J’étais au bord de l’épuisement, lorsque je vis une sorte de citadelle. Tout d’abord, je pensais à un mirage : j’avais soif, la réverbération du soleil sur le sable me donnait le tournis et la chaleur était accablante. Mais plus je m’approchais, plus je distinguais les détails de cette citadelle. Il s'agissait en vérité d’une espèce de ville entourée de remparts rafistolés. J’arrivais devant la porte lorsqu’un homme surgit, me menaçant d’un pistolet à eau. Je trouvais cela assez niais, mais il ne semblait pas plaisanter. Je m’avançais tout doucement .L’homme paraissait nerveux : il me visa puis me tira dessus. Après quoi, il recula, attendit une vingtaine de secondes environ et m’ouvrit les portes en disant :
-Ouais, c’est bon t’es pas des leurs, tu peux rentrer !
Je fus accueilli par un groupe d’une vingtaine d’hommes et de femmes. Comme moi, tous avaient enduré long périple avant de trouver cette ville en ruine, qui ressemblait à un bidonville : elle était sale, poussiéreuse et remplie d’ordures, ce qui favorisait la prolifération de nombreux animaux nuisibles, rendus énormes par les radiations. On voyait des rats avec plusieurs pattes, des taupes qui possédaient plusieurs yeux, (mais qui n’étaient pas pour autant voyante) ou encore des lézards ayant des crocs gros comme une main. Ils m’expliquèrent que les irradiés, qu’ils aient été humains ou animaux antérieurement, craignaient l’eau ; voilà pourquoi on m’avait arrosé. Donc, par mesure de sécurité, avant chaque nuit, les animaux devaient être pourchassés et tués, pour éviter que l’un d’eux n'ait l’idée d'égorger quelqu'un. Chaque habitant avait son petit chez-soi, c'est à dire deux toiles de tentes maintenues par un piquet bancal. La ville avait une banque, où l’on déposait en général des objets sans grandes valeurs trouvés dans le désert. Ce désert était rempli de créatures qui erraient dans la journée et qui se réunissait pour nous attaquer lorsque la lune était au plus haut dans le ciel. Pour leur résister, des barricades de fortune étaient construites. Il nous fallait aller puiser l'eau dans un puits à moitié effondré.
Ma première journée se passa très bien, elle me permit de garder le moral qui était alors en baisse constante.
Le lendemain, on fit l’appel : 3 hommes manquaient, ils s’étaient probablement perdus. Je ne savais pas si il y avait une chance qu’on puisse les retrouver, alors je posais la question à un homme qui avait l’air assez expérimenté. Il me répondit :
-Vos savez, des villes, j’en ai vu d’autres…Et jamais je n’ai vu quelqu’un revenir entier. Croyez en mon expérience !
Un adolescent d’une quinzaine d’année qui passait par là demandait :
-« Entier » ? Mais qu’est ce que ça veut dire ?
-Je m’estime assez chanceux, j’ai pu fuir 3 villes auparavant, ce qui tient presque du miracle. Et dans la dernière, y avait un p’tit jeunot, Jimmy qu’il s’appelait. Il était vif, entreprenant et curieux. C’était un bon gars. Un jour, il est parti tout seul…Il n’est pas revenu. Le lendemain, je l’ai aperçu du haut des remparts. Il se dirigeait vers la ville, mais le problème, c’est qu’il n’avait plus de jambe. Finalement, il s’est fait dévoré par une bête affamée qui traînait par là. Alors ça m’étonnerait pas que les trois perdu reviennent…
L’après midi, l’attaque que l’on avait estimé du haut du mirador construit le matin , était bien inférieure à nos défenses. Nous avions donc décidé de nous reposer, de manger si la faim nous prenait ou de nous divertir en jouant aux dés ou aux cartes. La nuit fut calme et paisible, comme nous l’avions deviné. Et nous n’avions perdu personne. Curieux de savoir à quoi ressemblait une attaque, je passai la nuit suivante devant les remparts. Les zombis n’avaient cessé d'hurler qu’avant le lever du soleil.
Au petit matin, j'allai prendre une ration d’eau dans le puits et découvrais que nous étions au bout de nos réserves. J’'alertai mes compagnons d’infortune, et l’état de crise fut décrété : il fallait à tous prix se rationner et essayer de trouver des réservoirs d’eau aux alentours. Les recherches furent infructueuses et ce fut le point de départ de tensions qui, plus tard, causeront notre perte. Au matin, certains parlaient de fuir, de quitter la ville avant midi avec des vivres pour une semaine de marcher environ. Il ne sont que 2 à être partis, les pauvres…Un autre avait mangé un morceau de viande trouvé dans le désert et commençait petit à petit à muter : ses yeux n’avaient plus rien d’humain, ses poils se hérissaient et il bavait lorsqu’il voyait quelqu’un saigner. On le laissa en paix jusqu’au moment où il dévora sa propre jambe. Il n’y avait pas de doutes, il représentait une menace pour notre petite population, alors nous l’avons jeté du haut des remparts. Les murs avaient besoin de réparation, le puit était agrandi à la dynamite, et avec toute cette agitation, nous avions oublié les barricades. Le mirador estimait une attaque de grande importance car, et nous ne pouvions plus rien faire, sauf prier pour notre vie...
Cette nuit là, j’entendis des grincements sinistres et des ricanements. Nous n’étions plus que quatre. Le chaos en pleine apocalypse ! Chacun s’était cloisonné chez lui et personne n’osait sortir.
Comme vous l’avez sûrement compris, aujourd’hui nous ne sommes plus que quatre. Il est maintenant minuit moins cinq et j’attends la Mort.
Ma montre viens de s’arrêter, je devrais donc mourir sans aucun repère temporel. Je fouille dans ma mémoire à la recherche de moments joyeux, pour pouvoir tenir le coup, mais je ne vois que la Mort. La Mort, qui m'a si longtemps scruté depuis son antre, qui a attendu si longtemps à côté de mon lit que mon heure vienne, qui...
Je les entends, ils arrivent. J’espère qu’ils m’épargneront, même si je n’y crois pas vraiment. Ils sont désormais chez mon voisin, je l’entends hurler. Je crois que c'est maintenant le moment de dire à d…
Je suis mort, mais pas pour autant serein, j’ai l’impression que quelque chose rode et m’appelle. J’ai beau courir dans l’obscurité, cette chose me rattrape sans cesse …
J’ai peur…
Tout commença lorsque les Américains entamèrent la guerre contre les Russes. On parlait alors de 3ème guerre mondiale, mais j’appellerais cela une « blitzkrieg ». Il avait suffi d’un mauvais dosage d’uranium pour que le monde soit dévasté par les bombes, ne laissant que quelques survivant. Il était submergé par le sable. Les cadavres revenaient à la vie à cause des radiations, mais sans âme : on les appelait des morts-vivants, ou zombis.
Je savais qu’un tel accident pouvait arriver, c’est pourquoi je m’étais caché dans l’abri anti-atomique de mon jardin. J’avais de quoi survivre pendant longtemps. J’eus la paix pendant six mois, jusqu’au jour où j’entendis un petit groupe qui passait au dessus de mon abri. Ils passèrent et repassèrent toute la journée, et à partir de ce jour, je les entendis chaque nuit qui hurlait à la tombée de la nuit, j'en déduisis qu'ils avaient choisi ma maison comme repère. Tous les jours, il en venait de plus en plus, et je remarquai qu’ils se déplaçaient tous les soirs aux alentours de minuit. Je savais qu’il me fallait quitter l'abri au plus tôt, avant que cela me soit impossible, c’est pourquoi, prenant mon courage à deux mains, je m’enfui. Par chance, au moment où j'émergeais de ma cachette, ils ne regardaient pas dans ma direction.
Une fois hors de danger, je cherchais à me repérer avec le soleil et ma connaissance de la région, malheureusement ce fut impossible à cause du sable qui avait tout recouvert. A l’horizon, il n’y avait rien d’autre que cette étendue jaune. Le soleil était levé depuis longtemps, mais il était comme enveloppé d’une brume légère, presque fantomatique. Je marchais nuits et jours sans aucun signe de vie humaine. J’étais au bord de l’épuisement, lorsque je vis une sorte de citadelle. Tout d’abord, je pensais à un mirage : j’avais soif, la réverbération du soleil sur le sable me donnait le tournis et la chaleur était accablante. Mais plus je m’approchais, plus je distinguais les détails de cette citadelle. Il s'agissait en vérité d’une espèce de ville entourée de remparts rafistolés. J’arrivais devant la porte lorsqu’un homme surgit, me menaçant d’un pistolet à eau. Je trouvais cela assez niais, mais il ne semblait pas plaisanter. Je m’avançais tout doucement .L’homme paraissait nerveux : il me visa puis me tira dessus. Après quoi, il recula, attendit une vingtaine de secondes environ et m’ouvrit les portes en disant :
-Ouais, c’est bon t’es pas des leurs, tu peux rentrer !
Je fus accueilli par un groupe d’une vingtaine d’hommes et de femmes. Comme moi, tous avaient enduré long périple avant de trouver cette ville en ruine, qui ressemblait à un bidonville : elle était sale, poussiéreuse et remplie d’ordures, ce qui favorisait la prolifération de nombreux animaux nuisibles, rendus énormes par les radiations. On voyait des rats avec plusieurs pattes, des taupes qui possédaient plusieurs yeux, (mais qui n’étaient pas pour autant voyante) ou encore des lézards ayant des crocs gros comme une main. Ils m’expliquèrent que les irradiés, qu’ils aient été humains ou animaux antérieurement, craignaient l’eau ; voilà pourquoi on m’avait arrosé. Donc, par mesure de sécurité, avant chaque nuit, les animaux devaient être pourchassés et tués, pour éviter que l’un d’eux n'ait l’idée d'égorger quelqu'un. Chaque habitant avait son petit chez-soi, c'est à dire deux toiles de tentes maintenues par un piquet bancal. La ville avait une banque, où l’on déposait en général des objets sans grandes valeurs trouvés dans le désert. Ce désert était rempli de créatures qui erraient dans la journée et qui se réunissait pour nous attaquer lorsque la lune était au plus haut dans le ciel. Pour leur résister, des barricades de fortune étaient construites. Il nous fallait aller puiser l'eau dans un puits à moitié effondré.
Ma première journée se passa très bien, elle me permit de garder le moral qui était alors en baisse constante.
Le lendemain, on fit l’appel : 3 hommes manquaient, ils s’étaient probablement perdus. Je ne savais pas si il y avait une chance qu’on puisse les retrouver, alors je posais la question à un homme qui avait l’air assez expérimenté. Il me répondit :
-Vos savez, des villes, j’en ai vu d’autres…Et jamais je n’ai vu quelqu’un revenir entier. Croyez en mon expérience !
Un adolescent d’une quinzaine d’année qui passait par là demandait :
-« Entier » ? Mais qu’est ce que ça veut dire ?
-Je m’estime assez chanceux, j’ai pu fuir 3 villes auparavant, ce qui tient presque du miracle. Et dans la dernière, y avait un p’tit jeunot, Jimmy qu’il s’appelait. Il était vif, entreprenant et curieux. C’était un bon gars. Un jour, il est parti tout seul…Il n’est pas revenu. Le lendemain, je l’ai aperçu du haut des remparts. Il se dirigeait vers la ville, mais le problème, c’est qu’il n’avait plus de jambe. Finalement, il s’est fait dévoré par une bête affamée qui traînait par là. Alors ça m’étonnerait pas que les trois perdu reviennent…
L’après midi, l’attaque que l’on avait estimé du haut du mirador construit le matin , était bien inférieure à nos défenses. Nous avions donc décidé de nous reposer, de manger si la faim nous prenait ou de nous divertir en jouant aux dés ou aux cartes. La nuit fut calme et paisible, comme nous l’avions deviné. Et nous n’avions perdu personne. Curieux de savoir à quoi ressemblait une attaque, je passai la nuit suivante devant les remparts. Les zombis n’avaient cessé d'hurler qu’avant le lever du soleil.
Au petit matin, j'allai prendre une ration d’eau dans le puits et découvrais que nous étions au bout de nos réserves. J’'alertai mes compagnons d’infortune, et l’état de crise fut décrété : il fallait à tous prix se rationner et essayer de trouver des réservoirs d’eau aux alentours. Les recherches furent infructueuses et ce fut le point de départ de tensions qui, plus tard, causeront notre perte. Au matin, certains parlaient de fuir, de quitter la ville avant midi avec des vivres pour une semaine de marcher environ. Il ne sont que 2 à être partis, les pauvres…Un autre avait mangé un morceau de viande trouvé dans le désert et commençait petit à petit à muter : ses yeux n’avaient plus rien d’humain, ses poils se hérissaient et il bavait lorsqu’il voyait quelqu’un saigner. On le laissa en paix jusqu’au moment où il dévora sa propre jambe. Il n’y avait pas de doutes, il représentait une menace pour notre petite population, alors nous l’avons jeté du haut des remparts. Les murs avaient besoin de réparation, le puit était agrandi à la dynamite, et avec toute cette agitation, nous avions oublié les barricades. Le mirador estimait une attaque de grande importance car, et nous ne pouvions plus rien faire, sauf prier pour notre vie...
Cette nuit là, j’entendis des grincements sinistres et des ricanements. Nous n’étions plus que quatre. Le chaos en pleine apocalypse ! Chacun s’était cloisonné chez lui et personne n’osait sortir.
Comme vous l’avez sûrement compris, aujourd’hui nous ne sommes plus que quatre. Il est maintenant minuit moins cinq et j’attends la Mort.
Ma montre viens de s’arrêter, je devrais donc mourir sans aucun repère temporel. Je fouille dans ma mémoire à la recherche de moments joyeux, pour pouvoir tenir le coup, mais je ne vois que la Mort. La Mort, qui m'a si longtemps scruté depuis son antre, qui a attendu si longtemps à côté de mon lit que mon heure vienne, qui...
Je les entends, ils arrivent. J’espère qu’ils m’épargneront, même si je n’y crois pas vraiment. Ils sont désormais chez mon voisin, je l’entends hurler. Je crois que c'est maintenant le moment de dire à d…
Je suis mort, mais pas pour autant serein, j’ai l’impression que quelque chose rode et m’appelle. J’ai beau courir dans l’obscurité, cette chose me rattrape sans cesse …
J’ai peur…
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Re: Fantastique : la nuit des morts vivants
Loreena Ruin Mar 4 Nov 2008 - 18:02
Hum, je t'invite à relire ma précédente correction: si certains passages sont meilleurs, tu en as conservé beaucoup tels quels et d'autres maladresses se sont rajoutées, notamment dans les passages nouveaux qui n'ont, à mon sens, pas tous un véritable intérêt:
Donc à retravailler encore, surtout la première phrase: sinon on part avec un à priori déjà négatif, alors que le passage suivant est meilleur (ce qui ne veut pas dire parfait^^).
Bon courage,
Ruin.
Je ne sais pas si mes remarques sur ta toute première phrase t'ont aidées, mais en tout cas, j'ai l'impression qu'elle est tout aussi bancale qu'auparavant! Il en va de même pour les problèmes de temps...Pour une deuxième version j'avoue que je suis un peu déçue, je m'attendais vraiment à ne pas retrouver les mêmes erreurs!-Vous savez, des villes, j’en ai vu d’autres…Et jamais je n’ai vu quelqu’un revenir entier. Croyez en mon expérience !
Un adolescent d’une quinzaine d’année qui passait par là demandait :
-« Entier » ? Mais qu’est ce que ça veut dire ?
-Je m’estime assez chanceux, j’ai pu fuir 3 villes auparavant, ce qui tient presque du miracle. Et dans la dernière, y avait un p’tit jeunot, Jimmy qu’il s’appelait. Il était vif, entreprenant et curieux. C’était un bon gars. Un jour, il est parti tout seul…Il n’est pas revenu. Le lendemain, je l’ai aperçu du haut des remparts. Il se dirigeait vers la ville, mais le problème, c’est qu’il n’avait plus de jambe. Finalement, il s’est fait dévoré par une bête affamée qui traînait par là. Alors ça m’étonnerait pas que les trois perdu reviennent…
Donc à retravailler encore, surtout la première phrase: sinon on part avec un à priori déjà négatif, alors que le passage suivant est meilleur (ce qui ne veut pas dire parfait^^).
Bon courage,
Ruin.
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Re: Fantastique : la nuit des morts vivants
Spyrite Mar 4 Nov 2008 - 18:35
Pas de problème, je m'y remet!
Je veux que mon texte s'approche le plus de la perfection, et j'ai une semaine et demie pour y arriver.
Mémé, fait chauffer du café!
Je veux que mon texte s'approche le plus de la perfection, et j'ai une semaine et demie pour y arriver.
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Re: Fantastique : la nuit des morts vivants
Loreena Ruin Ven 7 Nov 2008 - 14:11
N'hésite pas à poster ce que tu as modifié, pour un dernier briefing avant de rendre ta rédac!! ;-)
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Re: Fantastique : la nuit des morts vivants
Spyrite Ven 7 Nov 2008 - 19:42
Ok pas de problème, je relis un peu chaque jour, et je modifie au fur et à mesure... En tout cas, merci de ton aide Ruin!
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Re: Fantastique : la nuit des morts vivants
Néo Sivan Dim 9 Nov 2008 - 8:37
Je trouve que c'est assez bien raconté mais, tu connais le jeu sur internet "Hordes.fr"? C'est exactement le même principe, construire des défenses, le mirador qui fait une estimation du nombre de zombis,... Sinon c'est pas mal^^.
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Re: Fantastique : la nuit des morts vivants
Spyrite Mer 12 Nov 2008 - 15:05
et ben c'est ça, je me suis inspiré de ce jeu....j'ai fait une autre version, mais j'ai pas encore bossé dessus...y aura beaucoup plus d'éléments fantastiques et de tensions dans la ville,et comme ça doit etre un récit fantastique, je me demande si il faudrait pas que les zombis ont été contaminés par une météorite....
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Re: Fantastique : la nuit des morts vivants
Sahkti Mer 12 Nov 2008 - 15:08
pffff, me sens vieille et ringarde là, d'un coup :-))Spyrite a écrit:je me demande si il faudrait pas que les zombis ont été contaminés par une météorite....
Plus sérieusement, Spyrite, fais-toi vraiment relire pour l'ortho avant de rendre ton texte au prof!
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Re: Fantastique : la nuit des morts vivants
Spyrite Jeu 13 Nov 2008 - 16:33
Ben là c'est clair que je dois bien relire...si j'ajoute ça, ça va?
Curieux de savoir à quoi ressemblait une attaque, je passai la nuit suivante près des remparts. J’ai grimpé en haut des murailles, guetté l’avancée de cette horde. Lorsque les portes se fermaient, la ville sombrait dans le silence. Je sentais mes paupières se fermer tout doucement, lorsque soudain, venu du désert, un son insolite me tira de mon début de sommeil. Quelqu’un chantait dehors. Pourtant…tout le monde était en ville.
Curieux de savoir à quoi ressemblait une attaque, je passai la nuit suivante près des remparts. J’ai grimpé en haut des murailles, guetté l’avancée de cette horde. Lorsque les portes se fermaient, la ville sombrait dans le silence. Je sentais mes paupières se fermer tout doucement, lorsque soudain, venu du désert, un son insolite me tira de mon début de sommeil. Quelqu’un chantait dehors. Pourtant…tout le monde était en ville.
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Re: Fantastique : la nuit des morts vivants
Loreena Ruin Jeu 13 Nov 2008 - 16:45
Curieux de savoir à quoi ressemblait une attaque, je passai la nuit suivante près des remparts. J’ai grimpé en haut des murailles, guetté l’avancée de cette horde. Lorsque les portes se fermaient, la ville sombrait dans le silence. Je sentais mes paupières se fermer tout doucement, lorsque soudain, venu du désert, un son insolite me tira de mon début de sommeil. Quelqu’un chantait dehors. Pourtant…tout le monde était en ville.
=> Curieux de savoir à quoi ressemblait une attaque, je passai la nuit suivante près des remparts. Je grimpai en haut des murailles, guettant l’arrivée de la horde de zombie.
Une fois les portes fermées, la ville sombra dans le silence. J'attendis longtemps ; mes paupières commençaient à se fermer lorsque soudain, venu du désert, un son insolite me tira du sommeil. Quelqu’un chantait...
Pourtant, tout le monde était en ville.
Dis-moi si c'est mieux, j'ai surtout corrigé les fautes de temps, que tu vois un peu ce que tu dois retravailler pour le reste du texte...
;-)
Ruin.
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Re: Fantastique : la nuit des morts vivants
Spyrite Sam 15 Nov 2008 - 13:40
j'ai vraimment un problème avec les temps
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Re: Fantastique : la nuit des morts vivants
Loreena Ruin Sam 15 Nov 2008 - 14:43
Oui. Je pense que si tu lisais plus ça viendrait mieux.
A quand ta version finale?
A quand ta version finale?
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Re: Fantastique : la nuit des morts vivants
Spyrite Dim 16 Nov 2008 - 14:42
Et ben c'est vraimment un comble, le prof dit que c'est à rednre pour dans 3 semaines, sans trop préciser, et là il nous a toujours pas donné de date
Spyrite- Nombre de messages : 17
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Re: Fantastique : la nuit des morts vivants
Loreena Ruin Dim 16 Nov 2008 - 14:44
bah c'est bien, encore plus de temps pour perfectionner
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Re: Fantastique : la nuit des morts vivants
Spyrite Mer 26 Nov 2008 - 16:15
ouais grave
bon là il est vraimment flemmard, alors je demande de vérouiller mon sujet, et j'envverrais le résultat en MP
(désolé, de mon absence, j'ai plus trop le temps en ce moment)
bon là il est vraimment flemmard, alors je demande de vérouiller mon sujet, et j'envverrais le résultat en MP
(désolé, de mon absence, j'ai plus trop le temps en ce moment)
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Re: Fantastique : la nuit des morts vivants
Loreena Ruin Mer 26 Nov 2008 - 16:17
Je crois qu'on ne peut pas utiliser le MP sur ce forum...si tu veux m'envoyer le résultats pour que je te donne encore un petit coup de main voilà mon adresse mail: asthenos@hotmail.fr
A bientôt!
Ruin.
A bientôt!
Ruin.
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