picoller plus

[LPP]

Encore une fois, où je ne me coucherai pas avant que le soleil ait bien voulu montrer un rayon de sa douce lueur bleuâtre, et finalement plus qu'une habitude, c'était devenu un véritable mode de vie .Ca allait de pair avec mon alcoolisme gambadant, je l’avais senti venir mais j’avais déjà lâché prise, je sombrais de mon bon vouloir dans une déchéance des plus contrôlée.
Oh bien sur, ma vie sociale était tout ce que l'on pouvait appeler remplie, tout autant qu'une pouliche qui vient de se faire ensemencée par l'étalon qu'elle ne recroisera qu'au hasard d'un étal de boucherie bien garni;
Niveau travail, c'était ce qu'on pouvait appeler du haut de gamme : cadre supérieur, assureur, ça c'est du boulot,
Bref je pouvais, si, à l’occasion je recroisais une vieille connaissance, répondre à la fatale question
-Alors qu’est-ce que tu racontes ?
-Je pars en couille et alors, oui j’ai viré ma femme, oui je picolle au boulot et si je continu comme ça je vais finir par tuer quelqu’un.
Tu parles un vrai boulot d'enculé oui, et d'enculé supérieur comme son nom l'indique. Faire croire à de pauvres gens qu'on sera là pour eux, alors que les consignes de la direction étaient plus que claires, les actionnaires veulent des résultats (autrement dit faire durer les procédures le plus longtemps possible pour engranger les intérêts des sommes placés par magouilles interposés dans plusieurs paradis fiscaux), mon boulot me faisait gerber, c'est d'ailleurs ce à quoi je pensais quand je vomissais les litres de vin que j'avais ingurgiter 5h auparavant avec Franck, mon nouveau compagnon de beuverie.
Je l'avais rencontré il y a quelques mois dans un bar près de chez moi un soir de saoulerie; peu après une grosse dispute avec ma femme, nous nous sommes de suite très bien entendu nous partagions les mêmes conceptions sur les choses importantes comme les femmes, l'alcool, la vie quoi.
Je ne dormais plus, ou du moins que très peu, à peine 1h et demi par nuit et encore complètement bourré, mais pourtant je me levais irrémédiablement chaque jour à 6h45, le réveil branché sur la station des infos ,vous savez ,celle qui annonce toujours les mêmes nouvelles de merde, un génocide par ci par là_ que les fabriques d'armes explosent pour voir si l'humanité se détruira à grand coup de poing _, une guerre dans un golfe_ Hiroshima mon amour _, un attentat en Israël _que les messies rappliquent tous ensemble et qu'ils gerbent de voir leur sacro sainte humanité-, et ces valeurs boursières qui baissent quoi qu'il arrive _que ce monde en pète et qu'il ne reste que quelques individus pour tout reconstruire _;cela faisait bien trois mois peut être cinq que je ne dormais presque plus et pourtant malgré ma gueule pérave et mon haleine de refoule de bistrot mal famé, j' avais pu garder mon emploi, la sacro sainte présence physique;je me débrouillais pour ne pas trop me faire remarquer ,arriver déjà presque bourré alors que tout le monde sort du petit déjeuner c’est tout un art.
Avec le manque de sommeil tout vous parait plus flou, plus fou aussi, c'est d'ailleurs ce que mes collègues commençaient à penser, tant mes cernes hantaient la machine à café
"Un jour je pénétrerait dans l'agence avec un haka magnum757
Et je flinguerais tous ces connards, je me délecterais ensuite d’annoncer aux familles le montant astronomique de l'assurance vie"

[mentor]

Gaffe à l'orthographe mon ami, un minimum s'il te plaît ! Et ça commence dans le titre !
Gaffe, suis en forme aujourd'hui ! ;-)

[Invité]

Le thème est assez banal pour moi, l'intensité du texte le rattrape un peu, mais on dirait que le personnage a déjà décidé de massacrer l'orthographe avant ses collègues. J'aurais préféré le contraire.

Sinon, j'ai aimé :
"arriver déjà presque bourré alors que tout le monde sort du petit déjeuner c’est tout un art".

[Yali]

Mettre les phrases en gras ne change pas leur impact, seule la tournure compte.
Le texte signale un état, mais j'en sais pas plus sur ce qui le conduit à être ainsi, les raisons pour lesquelles il accepte et, ça me manque.

[Invité]

J'approuve, Socque : on a toujours plus de collègues que d'orthographe !

[LPP]

mes chers amis,
les phrases en gras, c'est du non-dit, du pensée, c'est ainsi tout le long de la nouvelle, ca aide notament dans les dialogues-non mais c quoi ce forum 50 piges d'age mental-, je vous remercie de bien vouloir me lire-et de ne trouver à commenter que les quelques fotes d'ortographe-ainsi que de m'aiguiller en vue d'une hypothetique amelioration de ce texte-sans biensur daigner en corriger quelques unes-
bien amicalement-BWARrr-
LpP

[mentor]

mes chers amis,
les phrases en gras, c'est du non-dit, du pensée, c'est ainsi tout le long de la nouvelle, ca aide notament dans les dialogues-non mais c quoi ce forum 50 piges d'age mental-, je vous remercie de bien vouloir me lire-et de ne trouver à commenter que les quelques fotes d'ortographe-ainsi que de m'aiguiller en vue d'une hypothetique amelioration de ce texte-sans biensur daigner en corriger quelques unes-
bien amicalement-BWARrr-
LpP

et un peu de modestie et de retenue par rapport aux commentaires seraient bienvenues, merci !
Pour les fautes de français, tu es prié de te référer à notre "charte"
Un minimum de respect est dû aux lecteurs
Quant à tes "réponses", merci aussi de les mesurer, ici on commente, et c'est déjà pas mal, en principe pour faire avancer le schmilblick, donc tenir compte des remarques et ne pas se braquer, c'est ce que tu as de mieux à faire.

[LPP]

"les phrases en gras, c'est du non-dit, du pensée"
j'illustrais mon propos un peu d'humour ne fait pas mal au cul

[Invité]

Bien, si vous voulez qu'on vous indique les fautes, pas de problème.

"une déchéance des plus contrôlées"
"une pouliche qui vient de se faire ensemencer"
"je picole au boulot et si je continue" (un seul "l" à "picoler")
"les intérêts des sommes placées par magouilles interposées"
"les litres de vin que j'avais ingurgités"
"nous nous sommes de suite très bien entendus"
"1h et demie par nuit"
"si l'humanité se détruira à grands coups de poing" (on suppose qu'il faut plusieurs coups de poing à l'humanité pour se détruire (je ne sais pas si on doit mettre "poing" également au pluriel, en revanche))
"tout vous paraît"
"Un jour je pénétrerai dans l'agence" (futur, première personne du singulier)
"je flinguerai tous ces connards" (idem)
"je me délecterai" (idem)

Sinon, oui, l'humour me fait mal au cul quand je le perçois comme une agression de la part d'un parfait inconnu. Il est possible que vous, de votre côté, ayez perçu mon commentaire précédent comme une agression, auquel cas je vous présente mes excuses ; il n'y a pas tant de fautes finalement. Cela dit, je trouve la hargne de votre texte trop facile. Vitupérer les guerres et les assureurs, franchement, ça va presque de soi !

[bertrand-môgendre]

Pour ton personnage qui décrit bien son malaise : il a la chance de connaitre les solutions à son problème. Supprimer la radio le matin, cesser son boulot.
Picoler, n'y a-t-il pas d'autres problèmes de base plus sérieux ?

[LPP]

Encore une fois, où je ne me coucherai pas avant que le soleil ait bien voulu montrer un rayon de sa douce lueur bleuâtre, et finalement plus qu'une habitude, c'était devenu un véritable mode de vie .Ca allait de pair avec mon alcoolisme gambadant, je l’avais senti venir mais j’avais déjà lâché prise, je sombrais de mon bon vouloir dans une déchéance des plus contrôlée.
Oh bien sur, ma vie sociale était tout ce que l'on pouvait appeler remplie, tout autant qu'une pouliche qui vient de se faire ensemencer par l'étalon qu'elle ne recroisera qu'au hasard d'un étal de boucherie bien garni;
Niveau travail, c'était ce qu'on pouvait appeler du haut de gamme : cadre supérieur, assureur, ça c'est du boulot.
Bref je pouvais, si, à l’occasion je recroisais une vieille connaissance, répondre à la fatale question
Alors qu’est-ce que tu racontes ?
Je pars en couille et alors, oui j’ai viré ma femme, oui je picole au boulot et si je continue comme ça je vais finir par tuer quelqu’un.
Tu parles un vrai boulot d'enculé oui, et d'enculé supérieur comme son nom l'indique. Faire croire à de pauvres gens qu'on sera là pour eux, alors que les consignes de la direction étaient plus que claires, les actionnaires veulent des résultats (autrement dit faire durer les procédures le plus longtemps possible pour engranger les intérêts des sommes placées par magouilles interposées dans plusieurs paradis fiscaux), mon boulot me faisait gerber, c'est d'ailleurs ce à quoi je pensais quand je vomissais les litres de vin que j'avais ingurgité 5h auparavant avec Franck, mon nouveau compagnon de beuverie.
Je l'avais rencontré il y a quelques mois, dans un bar près de chez moi un soir de saoulerie; peu après une grosse dispute avec ma femme, nous nous sommes de suite très bien entendus, nous partagions les mêmes conceptions sur les choses importantes comme les femmes, l'alcool, la vie quoi.
Je ne dormais plus, ou du moins que très peu, à peine 1h et demi par nuit et encore complètement bourré, mais pourtant je me levais irrémédiablement chaque jour à 6h45, le réveil branché sur la station des infos ,vous savez ,celle qui annonce toujours les mêmes nouvelles de merde, un génocide par ci par là_ que les fabriques d'armes explosent pour voir si l'humanité se détruira à grand coup de poing _, une guerre dans un golfe_ Hiroshima mon amour _, un attentat en Israël _que les messies rappliquent tous ensemble et qu'ils gerbent de voir leur sacro sainte humanité-, et ces valeurs boursières qui baissent quoi qu'il arrive _que ce monde en pète et qu'il ne reste que quelques individus pour tout reconstruire _;cela faisait bien trois mois peut être cinq que je ne dormais presque plus et pourtant malgré ma gueule pérave et mon haleine de refoule de bistrot mal famé, j' avais pu garder mon emploi, la sacro sainte présence physique;je me débrouillais pour ne pas trop me faire remarquer ,arriver déjà presque bourré alors que tout le monde sort du petit déjeuner c’est tout un art.
Avec le manque de sommeil tout vous parait plus flou, plus fou aussi, c'est d'ailleurs ce que mes collègues commençaient à penser, tant mes cernes hantaient la machine à café
"Un jour je pénétrerait dans l'agence avec un haka magnum757
Et je flinguerai tous ces connards, je me délecterai ensuite d’annoncer aux familles le montant astronomique de l'assurance vie"

L'alcool cumulé au manque de sommeil répété vous met parfois dans des situations incongrues comme celle, par exemple, d'être coupé dans ses envies de meurtre par un
- "bonjour monsieur, on m'a dit au téléphone de venir me présenter "
_que mon cerveau t'éclate à la figure_
_et que mon coeur a demi mort continue d'envoyer des giclées de sang tout autour de toi_
-" madame, je suis à vous dans un instant"
-"mais monsieur ça fait 5 minutes que je suis là, et on dirait que vous ne me voyait pas"
-"vous êtes?"
_une truie et moi le boucher_
-"madame Sanchez"
-"Ah oui pauvre monsieur Sanchez"
_tu parles en voyant ta gueule je parie qu'il a du préférer oublier qu'il savait nager_
Ce brave monsieur Sanchez était parti, soi-disant, en voyage d'affaire en Thaïlande, ce qu'il croyait être un déluge de jeunes filles pré-pubère, s'est transformé en un déluge d'eau de 5m de hauteur sur sa gueule; et on ose dire que la nature se détraque.
-"on a toujours pas retrouvé le corps?"
-"non, monsieur que dieu le garde"
_Et que les dorades bossues de l'océan indien prennent les restes_
-"on m'a dit au téléphone que vous aviez quelque chose à m'annoncer"
_Que mon entre jambe gonfle et qu'il en sorte du pue_
-"oui madame nous avons le regret de vous annoncer que la clause 37-2 ne s'applique pas à l'exécution du contrat de monsieur"
La clause 37-2 est le cauchemar de tout assureur normalement constitué qui permet de multiplier le montant de l'assurance-vie par 10 dans le cas ou le décès intervient dans le cadre du travail.
-"ce qui veut dire?"
_Que grâce au goût prononcé de ton mari pour les petites chattes bien serrées, t'auras des copecks_
-"Cela veut dire qu’il vous sera versé le montant initial du contrat soit
97852,92 euros dans les trois jours, pour de plus amples détails veuillez contacter l'entreprise de votre mari, ou son tour operator"
_petites chattes.com_

[Sahkti]

Mouais... me semble que ça ne mène pas bien loin et que les effets d'annonce engendrés par quelques mots crus ou grossiers se révèlent vite creux.
Le type brandit cet alcoolisme comme une arme mais ça l'emmène où? On n'en sait rien. Il éructe contre les autres, contre la société, ça lui permet sans doute de légitimer cet état de boisson et de rejeter la faute sur les autres, mais tout cela est très banal. C'est toujours la faute de l'autre, c'est connu.
L'écriture, maladroite, ne permet pas de donner une tonalité nouvelle à ce sujet tant rabâché.

[Invité]

On devrait carrément virer les textes comme celui-là.
Il n'apporte rien ni ne sert à rien sur Ve. La vérité par le contre-exemple, même pas. Vivement une corbeille, comme vu sur d'autres sites.

[Manu(manisa06)]

Moi je l'aimais bien ce texte .
Me souvient l'avoir lû y'a un p'tit moment et vu la tournure des com's , me suis échappé...

La virulence des réponses de son auteur m'ont définitivement découragées à le relire.
Je ne supporte pas ce genre de comportement.

Allez salut .... dommage .... c'était bien .

[Romane]

Là, je n'accroche pas. Je n'irai malheureusement pas plus loin que quelques lignes, j'en suis désolée mais voilà, quoi. J'accroche pas.

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