Legere Amertume.
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Legere Amertume.
Janvier
Je suis retombé sur ces vielles cassettes, celles que l'on avait prise tout les 2, celles ou on était encore amoureux, celles du début de notre histoire. Je ne pense pas que tu t'en rappelle. Et même si c'était le cas, qu'es ce que cela t'apporterais. Tu nous a jamais considérer comme 'ensemble'. Si tu savais ce que j'aurais aimé dire, elle et moi, nous ne formons qu'un. Mais malheureusement je ne pouvais pas. Enfin si j'aurais pu. Tu n'étais pas la, jamais, a proprement parlé. Tu étais absente, comme autre pars, bien sur ton corps, ton visage, étaient la. Mais ton esprit, je n'aurais su le dire, et même maintenant, ça reste encore un grand mystère pour moi. Nos cassettes, je l'ai vu et revus, une centaine de fois peut être. Nous paraissions comme un beau couple, heureux, nageant en pleins bonheur. Qu'en n'était-il ?
Février
J'ai encore retrouvé d'autres de tes affaires. Une écharpe pour tout te dire. Je la mets sous mon oreiller chaque soir, en priant Dieu, de me faire rêver de toi. Il parait, que si on insère un objet, une odeur dans ses draps, on en rêve. J'espère que ce cher Freud ne se trompe pas. Tu l'aimais bien cette écharpe, toute rouge, toute douce, je te l'avais offert pour Noël, tu t'en souviens ? Mais non, que suis-je bête, tu ne sais pas, tu ne sais plus, et tu ne t'en souviendras jamais. C'est dommage. Touts ces bons moments passés ensemble qui se sont envoler, comme ça, en un instant. J'espère quand même que de ta prison intérieur, il te reste ne serais ce qu'un morceau de moi dans ton cœur, si ne m'as pas oublié, comme le reste.
Mars
Non je ne me trompais pas. Je suis venu te voir l'autre jour, tu ne m'as pas reconnu. L'infirmière ma pourtant dit, en voyant ma tête de déterrer, que peut être un jour tu te rappelleras, mais je le sais aussi bien qu'elle, c'est des conneries touts ça. Ce que tu as perdu, tu ne le retrouveras pas, touts ces médecins me l'ont assuré. Putin. Quel gâchis, une si belle fille, une si jeune fille, condamnée a jamais, a ce taire, a ne pas bouger et a oublier. Mais cette expression sur ton visage, je ne l'oublierais jamais, l'air que tu as pris en me voyant, dans l'hôpital, du dégout, de la désolation et de la haine. Un bel amalgame. Une bien triste rancœur m'envahit ce jours la, et je suis partis, sans même te donner ce carnet. Je m'en veux, d'avoir gâché un de nos derniers instants. Bientôt tu t'en iras, et je ne te verrais plus. Il commence à faire chaud, ici à Paris, c'est le début du printemps, la saison des amours. Cette année je la passerais seul. Comme toute les suivantes.
Avril
L'hôpital m'a appelé ce matin, ton état ce dégrade, j'ai sauté dans le premier bus et je suis venu, t'as vu, je n'ai pas pris la voiture, t'aimais pas quand je la prenais. Alors je ne l'ai pas fais. Je suis monté jusqu'à ta chambre, je n'ai pas pris l'ascenseur, tu avais peur des ascenseurs, 6 étages a pieds, ce n'est pas de la tarte. Mais je n'étais même pas fatigué, ou un tout petit peu, mais ne le dit pas. Tu dormais, je t'ai soulevé la tête, très doucement, comme à une poupée de porcelaine, je t'ai embrassé lentement et langoureusement. Tu a doucement ouvert tes yeux et tu m'as regardé avec mépris. Non tu «était horrifier, tu te demandais surement quel était cet inconnu qui osait, premièrement troublé ton sommeil, et en plus, il t'embrassait ! Tu veux que je te dise, je n'ai pas été déçu de ta réaction, je me suis mis a ta place, et j'aurais fait pareil. Tu es mon ange déchu tombé tu ciel, je t'ai murmuré cette phrase, je te la chuchoter souvent avant que tu t'endormes. Je t'aime.
Mai
Ta santé chute et je vais partir en voyage, avec mon travail je ne pourrais pas t'écrire pendant quelque mois, mais ne t'inquiète pas, ou que je sois, je te porte sur moi, dans mon cœur. J'espère seulement que tu tiendras jusqu'à la fin de l'année. Je ne puis me résoudre a ta mort, je sais pourtant que ce seras bientôt le cas, demain, comme dans un mois, deux, ou trois. C'est trop dur. Je t'entends penser, « Mais Lucas, arrête de faire comme si je n'étais plus de ce monde, je suis encore la, je ne sais pas pour combien te temps, mais profites en. ».
Septembre
« - Monsieur ? C'est l'hôpital Grâces, votre femme ce rétablis, elle va de mieux en mieux. Vous pouvez être...
- Bip, bip, bip, bip, bip, bip, bip, bip, bip, bip, bip, bip.
- Mais que ... Elle fait un arrêt, je veux un chariot de réa, vite, chambre 765, vite, son cœur s'arrête, vite, le tuyau. Vite. »
Octobre
Je pense que je fais ce qu'il ya de mieux pour nous, tu es surement morte alors qu'il est, j' n'ai pas osé vérifier. Mais j'ai le sentiment que tu l'est, alors je vais te rejoindre, parce que je sais que cette fois je ne perdrais plus. J'espère seulement que tu te souviendras de moi au paradis, sinon, tempi, on recommencera a zéro, tu sais, comme la première fois qu'on s'est vu, le premier regard échangé. J'arrive mon amour, je saute te retrouver au plus vite, depuis ce building. Attends-moi.
Octobre
« Bonjours, vous êtes bien sur la messagerie de Lucas Graham, laissez un message après le bip avec votre nom et numéro de téléphone, et je vous rappellerais. Merci.
- Allo monsieur, fausse alerte, votre femme est une battante, elle vous attend, elle semble enfin ce souvenir, rappelez vite monsieur. »
Je suis retombé sur ces vielles cassettes, celles que l'on avait prise tout les 2, celles ou on était encore amoureux, celles du début de notre histoire. Je ne pense pas que tu t'en rappelle. Et même si c'était le cas, qu'es ce que cela t'apporterais. Tu nous a jamais considérer comme 'ensemble'. Si tu savais ce que j'aurais aimé dire, elle et moi, nous ne formons qu'un. Mais malheureusement je ne pouvais pas. Enfin si j'aurais pu. Tu n'étais pas la, jamais, a proprement parlé. Tu étais absente, comme autre pars, bien sur ton corps, ton visage, étaient la. Mais ton esprit, je n'aurais su le dire, et même maintenant, ça reste encore un grand mystère pour moi. Nos cassettes, je l'ai vu et revus, une centaine de fois peut être. Nous paraissions comme un beau couple, heureux, nageant en pleins bonheur. Qu'en n'était-il ?
Février
J'ai encore retrouvé d'autres de tes affaires. Une écharpe pour tout te dire. Je la mets sous mon oreiller chaque soir, en priant Dieu, de me faire rêver de toi. Il parait, que si on insère un objet, une odeur dans ses draps, on en rêve. J'espère que ce cher Freud ne se trompe pas. Tu l'aimais bien cette écharpe, toute rouge, toute douce, je te l'avais offert pour Noël, tu t'en souviens ? Mais non, que suis-je bête, tu ne sais pas, tu ne sais plus, et tu ne t'en souviendras jamais. C'est dommage. Touts ces bons moments passés ensemble qui se sont envoler, comme ça, en un instant. J'espère quand même que de ta prison intérieur, il te reste ne serais ce qu'un morceau de moi dans ton cœur, si ne m'as pas oublié, comme le reste.
Mars
Non je ne me trompais pas. Je suis venu te voir l'autre jour, tu ne m'as pas reconnu. L'infirmière ma pourtant dit, en voyant ma tête de déterrer, que peut être un jour tu te rappelleras, mais je le sais aussi bien qu'elle, c'est des conneries touts ça. Ce que tu as perdu, tu ne le retrouveras pas, touts ces médecins me l'ont assuré. Putin. Quel gâchis, une si belle fille, une si jeune fille, condamnée a jamais, a ce taire, a ne pas bouger et a oublier. Mais cette expression sur ton visage, je ne l'oublierais jamais, l'air que tu as pris en me voyant, dans l'hôpital, du dégout, de la désolation et de la haine. Un bel amalgame. Une bien triste rancœur m'envahit ce jours la, et je suis partis, sans même te donner ce carnet. Je m'en veux, d'avoir gâché un de nos derniers instants. Bientôt tu t'en iras, et je ne te verrais plus. Il commence à faire chaud, ici à Paris, c'est le début du printemps, la saison des amours. Cette année je la passerais seul. Comme toute les suivantes.
Avril
L'hôpital m'a appelé ce matin, ton état ce dégrade, j'ai sauté dans le premier bus et je suis venu, t'as vu, je n'ai pas pris la voiture, t'aimais pas quand je la prenais. Alors je ne l'ai pas fais. Je suis monté jusqu'à ta chambre, je n'ai pas pris l'ascenseur, tu avais peur des ascenseurs, 6 étages a pieds, ce n'est pas de la tarte. Mais je n'étais même pas fatigué, ou un tout petit peu, mais ne le dit pas. Tu dormais, je t'ai soulevé la tête, très doucement, comme à une poupée de porcelaine, je t'ai embrassé lentement et langoureusement. Tu a doucement ouvert tes yeux et tu m'as regardé avec mépris. Non tu «était horrifier, tu te demandais surement quel était cet inconnu qui osait, premièrement troublé ton sommeil, et en plus, il t'embrassait ! Tu veux que je te dise, je n'ai pas été déçu de ta réaction, je me suis mis a ta place, et j'aurais fait pareil. Tu es mon ange déchu tombé tu ciel, je t'ai murmuré cette phrase, je te la chuchoter souvent avant que tu t'endormes. Je t'aime.
Mai
Ta santé chute et je vais partir en voyage, avec mon travail je ne pourrais pas t'écrire pendant quelque mois, mais ne t'inquiète pas, ou que je sois, je te porte sur moi, dans mon cœur. J'espère seulement que tu tiendras jusqu'à la fin de l'année. Je ne puis me résoudre a ta mort, je sais pourtant que ce seras bientôt le cas, demain, comme dans un mois, deux, ou trois. C'est trop dur. Je t'entends penser, « Mais Lucas, arrête de faire comme si je n'étais plus de ce monde, je suis encore la, je ne sais pas pour combien te temps, mais profites en. ».
Septembre
« - Monsieur ? C'est l'hôpital Grâces, votre femme ce rétablis, elle va de mieux en mieux. Vous pouvez être...
- Bip, bip, bip, bip, bip, bip, bip, bip, bip, bip, bip, bip.
- Mais que ... Elle fait un arrêt, je veux un chariot de réa, vite, chambre 765, vite, son cœur s'arrête, vite, le tuyau. Vite. »
Octobre
Je pense que je fais ce qu'il ya de mieux pour nous, tu es surement morte alors qu'il est, j' n'ai pas osé vérifier. Mais j'ai le sentiment que tu l'est, alors je vais te rejoindre, parce que je sais que cette fois je ne perdrais plus. J'espère seulement que tu te souviendras de moi au paradis, sinon, tempi, on recommencera a zéro, tu sais, comme la première fois qu'on s'est vu, le premier regard échangé. J'arrive mon amour, je saute te retrouver au plus vite, depuis ce building. Attends-moi.
Octobre
« Bonjours, vous êtes bien sur la messagerie de Lucas Graham, laissez un message après le bip avec votre nom et numéro de téléphone, et je vous rappellerais. Merci.
- Allo monsieur, fausse alerte, votre femme est une battante, elle vous attend, elle semble enfin ce souvenir, rappelez vite monsieur. »
Roxane- Nombre de messages : 14
Age : 29
Date d'inscription : 11/11/2008
Re: Legere Amertume.
Les événements de l'histoire sont bien amenés (notamment la découverte que sa femme est malade et amnésique, et non qu'elle l'a quitté) ; la fin assez invraisemblable à mon avis, on sent qu'elle est là pour la chute.
J'ai trouvé le texte pas mal pour quelqu'un d'aussi jeune, mais il faudrait faire un effort sur l'orthographe, les fautes gênent la lecture.
Bienvenue sur Vos Ecrits, à vous lire encore bientôt !
J'ai trouvé le texte pas mal pour quelqu'un d'aussi jeune, mais il faudrait faire un effort sur l'orthographe, les fautes gênent la lecture.
Bienvenue sur Vos Ecrits, à vous lire encore bientôt !
Invité- Invité
Re: Legere Amertume.
Un petit coup de correcteur d'orthographe ? Ca faciliterait la lecture de cette histoire assez intéressante malgré son petit côté mélo, où les flash back sont habilement insérés dans le cours du texte.
Gros bémol sur ce cher Freud : tu es sûre qu'il a dit ça ? !!!
Gros bémol sur ce cher Freud : tu es sûre qu'il a dit ça ? !!!
Invité- Invité
Re: Legere Amertume.
Il y a dans ce texte une certaine qualité grâce à laquelle j'ai poursuivi ma lecture en dépit de l'orthographe fantaisiste qui constitue une vraie gêne pour la lecture. Dommage que la fin manque de crédibilité, le reste était bien trouvé, tu as su distiller les éléments importants progressivement et garder le lecteur intéréssé.
Invité- Invité
Re: Legere Amertume.
Hum merci beaucoup. Enfin pour les fautes je vais tacher de m'améliorer, personne n'est parfait.
A ce que j'ai compris on ne peux pas éditer son texte non ?
A ce que j'ai compris on ne peux pas éditer son texte non ?
Roxane- Nombre de messages : 14
Age : 29
Date d'inscription : 11/11/2008
Re: Legere Amertume.
Que de fautes d'ortho :-(((
Allo monsieur, fausse alerte, votre femme est une battante, elle vous attend, elle semble enfin ce souvenir, rappelez vite monsieur
Ceci ne sonne pas, mais alors là, pas du tout crédible à mes yeux. Comme certaines autres parties du texte d'ailleurs, auquel je reproche un certain aspect bricolé. J'ai aussi le sentiment que tu t'es laissée enfermée dans une structure qui t'a permis de construire ton récit et que tu as fait du remplissage de mois en mois.
Pas convaincue cette fois en ce qui me concerne, désolée!
Allo monsieur, fausse alerte, votre femme est une battante, elle vous attend, elle semble enfin ce souvenir, rappelez vite monsieur
Ceci ne sonne pas, mais alors là, pas du tout crédible à mes yeux. Comme certaines autres parties du texte d'ailleurs, auquel je reproche un certain aspect bricolé. J'ai aussi le sentiment que tu t'es laissée enfermée dans une structure qui t'a permis de construire ton récit et que tu as fait du remplissage de mois en mois.
Pas convaincue cette fois en ce qui me concerne, désolée!
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Legere Amertume.
Non, mais tu peux poster dans ce même fil une version corrigée, pas de soucis!Roxane a écrit:A ce que j'ai compris on ne peux pas éditer son texte non ?
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Legere Amertume.
Un petit coup sur Word et les fautes les plus bêtes disparaissent !
Sinon il y a certains passages qui m'ont parus... un peu série télé à la Urgence mais j'aime bien ton écriture =) Continu !
Sinon il y a certains passages qui m'ont parus... un peu série télé à la Urgence mais j'aime bien ton écriture =) Continu !
Re: Legere Amertume.
Cette phrase ne me conviens pas trop non plus mais je ne savais pas trop formuler sinon.Allo monsieur, fausse alerte, votre femme est une battante, elle vous attend, elle semble enfin ce souvenir, rappelez vite monsieur
Oh je ne sais pas, je n'ai jamais vu urgence x)
Merci
Roxane- Nombre de messages : 14
Age : 29
Date d'inscription : 11/11/2008
Re: Legere Amertume.
Peut-être que :
"Bonjours, Monsieur X ici l'hôpital Y. L'état de votre femme semble s'améliorait miraculeusement ! Elle semble aussi se souvenir de vous et attends votre venu avec impatience. Rappelez nous au plus vite."
(Bon okay c'est peut-être pas mieux ^^")
Et urgences, et une série bateau, ou le sexy médecin sauve tout le monde avec un magnifique sourire et des paroles digne d'un chien philosophe.
"Bonjours, Monsieur X ici l'hôpital Y. L'état de votre femme semble s'améliorait miraculeusement ! Elle semble aussi se souvenir de vous et attends votre venu avec impatience. Rappelez nous au plus vite."
(Bon okay c'est peut-être pas mieux ^^")
Et urgences, et une série bateau, ou le sexy médecin sauve tout le monde avec un magnifique sourire et des paroles digne d'un chien philosophe.
Re: Legere Amertume.
coline Dé a écrit:Un petit coup de correcteur d'orthographe ? Ca faciliterait la lecture de cette histoire assez intéressante malgré son petit côté mélo, où les flash back sont habilement insérés dans le cours du texte.
Gros bémol sur ce cher Freud : tu es sûre qu'il a dit ça ? !!!
Comme disait Eliade, Freud fut l'un des plus grands poètes du XXème siècle.
pierre-henri- Nombre de messages : 699
Age : 65
Localisation : Raiatea
Date d'inscription : 17/02/2008
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