Vos écrits
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
-21%
Le deal à ne pas rater :
LEGO® Icons 10329 Les Plantes Miniatures, Collection Botanique
39.59 € 49.99 €
Voir le deal

Une Cabine

4 participants

Aller en bas

Une Cabine Empty Une Cabine

Message  Une Anglaise Sam 29 Nov 2008 - 11:21

Ecrit sur le moment:

Ce matin là, elle s’éveilla comme elle s’était endormie, avec cette pensée fugitive qui la troublée et l’angoissée. L’horloge de la salle à manger afficher 8h45, elle se dirigea vers la porte d’entrer. Enfila son part dessus, encore une fois ses boucles blondes s’étaient entortillés et faufilés à l’intérieur du col de sa veste. Par habitude, la porte émit ce petit son crin sillant à son ouverture.Elle prit encore par habitude le chemin qui mène à la dame Anglaise.Arriver à destination, elle entreprit ce mouvement à la verticale, son doigt percuta un petit carré d’environ 2 cm sur 2 cm.
La sonnerie retentit dans le reste de la maison. Une dame d’une cinquantaine d’années entrouvrit la porte, « Bonjours, je vous attendez ».
La jeune fille la salua avec un petit sourire.Elles entamèrent un long discours dans une langue dont l’accent avait un air d’oligarchie.
Une heure passa, la dame raccompagna la jeune fille vers le hall.
On sentait dans sa voix qu’il lui tarder qu’une chose c’était se retrouver de nouveau dans ce froid matinal qui ramifier les ports de son visage.
La voilà maintenant seule avec ses quelques mots Anglais qui vadrouillent dans sa tête. Elle entame alors le trajet du retour. Et puis à ces mots viennent ce rajouter encore une, une de ses idées fugitives. Pourquoi n’irai-je pas essayer la robe que j’ai vue dans ce magasin ? Je crois bien que c’est à partir de là que tout à prit une tournure différente. Une idée, une seule et voilà que vous vous retrouvez face à l’inattendue !!!
Les portes s’ouvrirent par automatisme, elle escalada ces 18 marches comme si elles les connaissent depuis toujours pied droit, pied gauche.
Elle farfouilla dans les rayons, le bout de ses doigts effleurait chaque tissu.
C’était son divertissement, elle essayait de retrouver la robe à l’aide de ses sens : son nez avait souvenir de cette odeur chimique, industrielle, quand à ses yeux ils se contentaient seulement d’un souvenir bien vague celui des plis de tissu.
Après quelques minutes, de recherche elle mit enfin la main dessus.
Se dirigea vers un long couloir qui la mena face à une porte blanchâtre avec l’extrémité de ses doigts elle poussa légèrement la porte.
La voilà maintenant nue, avec c’est quelques plis de dentelles qui cachaient ses parties indiscrètes. Elle enfila la robe, resserra d’un geste précis le nœud, tira sur les pans du jupon et jeta un dernier coup d’œil à son reflet que lui offre la psyché de la cabine.
Psyché… Nom si pertinent pour un miroir. Elle se demanda qui avait bien pu avoir cette idée. Psyché, tout ce qui établit l’unité personnelle : miroir sur pied, reflet de l’être et de l’âme. Mademoiselle grande amatrice de littérature, apprécie cette subtilité. L’être et le paraitre réunit par un mot. Elle se trouvait assez séduisante dans cette tenue, jusqu’à ce que l’idée fugitive réapparaisse.
Son ouï fut percuté par une phrase, cette voix peu étrangère.
Qui entama le chemin de la matérialisation de ces mots dans son oreille, puis dans son cerveau, les idées erraient sans but dans tous le sens, parfois à contresens, en pleine déraison. Il poussa la deuxième porte à son tour, elle étudiait chaque mouvement pour être sur que c’était lui. La pièce était calme, trop calme pour engager une conversation ou développer une pensée. Elle se tenait là dans l’encadrement de la porte. Il s’était créé une espèce de lien qui chercherait aveuglément à se raccrocher à quelque chose, à quelqu’un. Elle se prit à rêver qu’il s’agissait peut être de lui. Que se passerait-il s’il la voyait ?, depuis le temps….mais le temps n’est-ce pas justement ce qui les avaient tant éloigné ? Pouvait-elle encore espérer quelque chose de cette histoire moribonde ?Avait-elle réellement le droit de prendre en otage un être humain qui ne demandait rien d’autre que le droit d’être heureux.. ?
Et puis Paf, juste un petit paf, là voilà qui devient toute rouge !la boucle de sa ceinture venait de rompre, il devait lui aussi se retrouver dans une tenue assez plaisante!!! A cette mascarade vient se rajouter les paroles d’un inconnu totalement inconnu…… « Alors ça va ? », Son corps était maintenant livré à une angoisse éminente, à qui appartenait cette voix ? Elle devenait peu à peu une de ces filles jalouses.
Impossible!!! elle n'avait jamais été comme cela auparavant,elle avait peur,il lui avait bien dit qu'il n'aimait pas ces filles....
Cependant cette angoisse fut rapidement déraciner par ces nouvelles paroles bredouillées « Ouais, ça va ».
Par le petit encadrement de la porte, elle aperçut un jeune homme qui attendait, il était assez grand, brun, plutôt banale.
Du courage, c’est sans doute ce quelle avait le plus besoin pour pouvoir espéré ressortir de cette expédition !!!
Elle poussa discrètement la porte, mais eu ce petit geste de recule quand elle s’aperçut que celle d’à coté venait de bouger.
C’était lui !!!!
Une Anglaise
Une Anglaise

Nombre de messages : 47
Age : 31
Date d'inscription : 15/10/2008

Revenir en haut Aller en bas

Une Cabine Empty Re: Une Cabine

Message  Arielle Sam 29 Nov 2008 - 11:30

la porte émit ce petit son crin sillant à son ouverture
C'est charmant en passant, mais à la longue c'est usant cette orthographe défaillante, ça ne donne pas envie de poursuivre...

Arielle

Nombre de messages : 5605
Age : 77
Localisation : sous le soleil breton
Date d'inscription : 02/01/2008

http://perso.orange.fr/poesie.herbierdesmots/

Revenir en haut Aller en bas

Une Cabine Empty Re: Une Cabine

Message  Sahkti Mar 9 Déc 2008 - 10:26

Une Anglaise a écrit:Ecrit sur le moment:

Ce matin là, elle s’éveilla comme elle s’était endormie, avec cette pensée fugitive qui la troublait et l'angoissait. L’horloge de la salle à manger affichait 8h45, elle se dirigea vers la porte d’entrée. Enfila son pardessus, encore une fois ses boucles blondes s’étaient entortillées et faufilées à l’intérieur du col de sa veste. Par habitude, la porte émit ce petit son crin (?) sciant (ou grinçant ?) à son ouverture.Elle prit encore par habitude le chemin qui mène à la dame Anglaise.Arriver à destination, elle entreprit ce mouvement à la verticale, son doigt percuta un petit carré d’environ 2 cm sur 2 cm.
La sonnerie retentit dans le reste de la maison. Une dame d’une cinquantaine d’années entrouvrit la porte, « Bonjour, je vous attendais ».
La jeune fille la salua avec un petit sourire.Elles entamèrent un long discours dans une langue dont l’accent avait un air d’oligarchie.
Une heure passa, la dame raccompagna la jeune fille vers le hall.
On sentait dans sa voix qu’il (ne) lui tardait qu’une chose c’était se retrouver de nouveau dans ce froid matinal qui ramifiait les ports de son visage.
La voilà maintenant seule avec ses quelques mots d'Anglais qui vadrouillent dans sa tête. Elle entame alors le trajet du retour. Et puis à ces mots viennent s'ajouter encore une, une de ses idées fugitives. Pourquoi n’irais-je pas essayer la robe que j’ai vue dans ce magasin ? Je crois bien que c’est à partir de là que tout a pris une tournure différente. Une idée, une seule et voilà que vous vous retrouvez face à l’inattendu !!!
Les portes s’ouvrirent par automatisme, elle escalada ces 18 marches comme si elle les connaissait depuis toujours pied droit, pied gauche.
Elle farfouilla dans les rayons, le bout de ses doigts effleurait chaque tissu.
C’était son divertissement, elle essayait de retrouver la robe à l’aide de ses sens : son nez avait souvenir de cette odeur chimique, industrielle, quand à ses yeux ils se contentaient seulement d’un souvenir bien vague celui des plis du tissu.
Après quelques minutes de recherche elle mit enfin la main dessus.
Se dirigea vers un long couloir qui la mena face à une porte blanchâtre avec l’extrémité de ses doigts elle poussa légèrement la porte.
La voilà maintenant nue, avec ces quelques plis de dentelles qui cachaient ses parties indiscrètes. Elle enfila la robe, resserra d’un geste précis le nœud, tira sur les pans du jupon et jeta un dernier coup d’œil à son reflet que lui offrait la psyché de la cabine.
Psyché… Nom si pertinent pour un miroir. Elle se demanda qui avait bien pu avoir cette idée. Psyché, tout ce qui établit l’unité personnelle : miroir sur pied, reflet de l’être et de l’âme. Mademoiselle grande amatrice de littérature, apprécie cette subtilité. L’être et le paraître réunis par un mot. Elle se trouvait assez séduisante dans cette tenue, jusqu’à ce que l’idée fugitive réapparaisse.
Son ouïe fut percutée par une phrase, cette voix peu étrangère.
Qui entama le chemin de la matérialisation de ces mots dans son oreille, puis dans son cerveau, les idées erraient sans but dans tous les sens, parfois à contresens, en pleine déraison. Il poussa la deuxième porte à son tour, elle étudiait chaque mouvement pour être sûre que c’était lui. La pièce était calme, trop calme pour engager une conversation ou développer une pensée. Elle se tenait là dans l’encadrement de la porte. Il s’était créé une espèce de lien qui chercherait aveuglément à se raccrocher à quelque chose, à quelqu’un. Elle se prit à rêver qu’il s’agissait peut être de lui. Que se passerait-il s’il la voyait ?, depuis le temps….mais le temps n’est-ce pas justement ce qui les avait tant éloignés ? Pouvait-elle encore espérer quelque chose de cette histoire moribonde ?Avait-elle réellement le droit de prendre en otage un être humain qui ne demandait rien d’autre que le droit d’être heureux.. ?
Et puis Paf, juste un petit paf, là voilà qui devient toute rouge !la boucle de sa ceinture venait de rompre, il devait lui aussi se retrouver dans une tenue assez plaisante!!! A cette mascarade viennent se rajouter les paroles d’un inconnu totalement inconnu…… « Alors ça va ? », Son corps était maintenant livré à une angoisse éminente, à qui appartenait cette voix ? Elle devenait peu à peu une de ces filles jalouses.
Impossible!!! elle n'avait jamais été comme cela auparavant,elle avait peur,il lui avait bien dit qu'il n'aimait pas ces filles....
Cependant cette angoisse fut rapidement déracinée par ces nouvelles paroles bredouillées « Ouais, ça va ».
Par le petit encadrement de la porte, elle aperçut un jeune homme qui attendait, il était assez grand, brun, plutôt banal.
Du courage, c’est sans doute ce quelle avait le plus besoin pour pouvoir espérer ressortir de cette expédition !!!
Elle poussa discrètement la porte, mais eut ce petit geste de recul quand elle s’aperçut que celle d’à coté venait de bouger.
C’était lui !!!!

Attention à l'ortho, Une Anglaise, les fautes reviennent au galop :-)
Comme tu l'avais demandé ailleurs, je me permets de te signaler les corrections en orange. Je ne me suis par contre pas occupée de la ponctuation.
Sahkti
Sahkti

Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005

Revenir en haut Aller en bas

Une Cabine Empty Re: Une Cabine

Message  Sahkti Mar 9 Déc 2008 - 10:28

Je te l'ai déjà dit dans d'autres commentaires, mais on sent beaucoup l'effort de traduction littérale anglais-français, cela donne des tournures souvent maladroites et donne au texte un air parfois naïf.
Ton histoire est somme toute assez simple, presque banale et si tu y ajoutes ces maladresses de forme et de style, ça ne le met pas vraiment en valeur.
Je crois aussi que ton récit y gagnerait si tu éliminais une bonne partie de détails inutiles et te rencetrais davantage sur l'action.
Sahkti
Sahkti

Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005

Revenir en haut Aller en bas

Une Cabine Empty Re: Une Cabine

Message  Anne Veillac Mar 9 Déc 2008 - 21:32

Bon, j'ai commencé à lire ton texte, mais ce soir je suis fatiguée, j'essaierai d'y revenir plus tard. Il est vrai que les erreurs en orthographe me gênent vraiment. Il n'y a aucune question de morale là dedans. Le problème, c'est que tu fais énormément d'erreurs avec les verbes, et ça rend la lecture difficile. A chaque morceau de phrase, il faut rétablir la bonne orthographe pour comprendre. Du coup, ça rend la lecture difficile.
Anne Veillac
Anne Veillac

Nombre de messages : 703
Age : 59
Localisation : a.veillac@laposte.net
Date d'inscription : 22/03/2008

http://anne-veillac.over-blog.com

Revenir en haut Aller en bas

Une Cabine Empty Re: Une Cabine

Message  Invité Mer 10 Déc 2008 - 12:48

ça va à peu près bien jusqu'ici :
Qui entama le chemin de la matérialisation de ces mots dans son oreille
, après je me perds dans les "il" et "elle", qui est qui, qui fait quoi, d'où sort-il ce "il" d'ailleurs ? C'est vrai que le manque de compréhension n'est pas lié à un manque de cohérence du texte mais à son expression. D'un autre côté, je suppose que tu es ici pour ça, pour améliorer ta pratique de la langue écrite. Pourquoi ne pas poster quelque chose de plus court, il serait plus facile de pointer les erreurs que tu peux faire.

Invité
Invité


Revenir en haut Aller en bas

Une Cabine Empty Re: Une Cabine

Message  Contenu sponsorisé


Contenu sponsorisé


Revenir en haut Aller en bas

Revenir en haut


 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum