Beurg Incest
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Beurg Incest
Salut à tout ceux qui se souviennent de moi (et aux autres aussi mais juste par politesse), un passage en vitesse pour me vider d'un truc qui me rongeait la cervelle depuis ce matin.
Je conseille fortement l'écoute de ceci : https://www.youtube.com/watch?v=1cDgk39lYPw pendant la lecture et aussi aux personnes sensibles de s'abstenir, he he.
C'est pleins de fautes d'ortho, sans aucun doute. Je vous salue bien bas mes bons saigneurs.
Inceste ?
Je suis avec ma sœur Léa, assis dans un vieux café pas loin de la grand place. Elle à 27 ans, quatre de plus que moi. Elle est svelte avec des petits seins, elle est rousse avec de grand yeux verts. On boit quelques bières en se demandant ce qu’on pourrait bien foutre pour les fêtes. On est comme ça, jamais bien en société. Et ce café ? Me direz-vous. Oui, bof ! Fondu dans la masse, c’est tout. On est en train de discuter d’un truc qu’elle à vu dans un bouquin, une veille affiche de propagande antisémite qui la faisait marrer, tellement elle était moche !
Je bois une gorgée de ma pinte, j’adore ça ! Les brunes, les ambrées, bien lourdes. Tout le contraire de mes goût en matière de fille ; je les aime blanche comme le papier et tout aussi mince. Sauf pour les seins, peut-être ! A quelles conneries je peux penser parfois !
Le GSM de Léa se met à sonner, elle décroche, boudeuse, ça la fait chier. Je l’observe, elle est impassible, murmure quelques mots. Elle raccroche.
-C’était maman, me dit-elle ; grand-mère est morte.
- Hum, je fais. La quelle ?
-Sa mère.
-Hum. Je rebois une gorgée de bière.
-On l’enterre vendredi.
-Oui.
-Maman dit qu’il faut qu’on y soit.
-Je m’en doute.
On reste là encore quelques temps à liquéfier notre argent, puis on sort, il doit être 18 ou 19 heure et il pleut. Léa rabat la capuche de sa veste sur sa tête. La mienne, je la porte en permanence.
Je dis :
-On va encore s’emmerder !
-Oui, mais ainsi va la vie !
-On se marre
On marche encore parmi la plèbe, lorsqu’on arrive devant un sex-shop, un truc minable tenu par un type d’origine inconnue.
-Viens, me dit Léa. Je la suis, il y a plein de type aux mains pleines de foutres qui caressent des boites en plastiques. Ces mecs, la regardent, ça me débecte. J’voudrais sortir un M-16 et les aligner un par un. One shoot, one kil comme dans la chanson.
-Regarde ça ! Elle me montre une espèce de petit gode rose avec une mini télécommande.
-Tu sais comment ça marche ?
Je lui réponds que je m’en doute.
-T’es pas cap’ de t’en mettre un pour aller à l’enterrement qu’elle me dit.
-J’suis pas une tante, que je lui réponds.
- Tu vois, t’oses pas.
J’attrape une deuxième boite sur l’étalage et lui arrache celle qu’elle tient entre les mains. Je m’approche du caissier sans le regarder, attends qu’il scanne les godes, introduit ma carte de banque et compose mon code. Son appareil sonne, on sort et je m’allume une clope. Léa la prends de ma bouche, tire quelques taffes puis me la recale de force entre les lèvres. J’ai le gout de son rouge à lèvre.
On marche encore une vingtaine de minutes jusqu’au métro, on rentre chez nos parents regarder notre mère pleurer.
Maman est assise dans la cuisine, en larmes. Papa, rentré plutôt, exprès du boulot, tourne autour d’elle, essayant de la consoler. On s’assoit à table après les avoir salué et que mon père m’ait retiré la capuche de la tête.
Au bout de dix minutes de silence, Léa annonce qu’on va fumer dehors. On reprend la conversation sur les affiches antisémites.
Ce soir là, rien de notable.
Le vendredi matin, je me réveille au son des coups que mon père porte contre la porte de ma chambre.
-Lève-toi et habille-toi ! Il se croit obliger d’ajouter :
-Proprement. Il a raison en fait.
Lorsque j’arrive devant la salle de bain, Léa en sort et je m’arrête ! Elle porte une robe noire qui lui arrive juste au dessus des genoux, un léger décolleté offre un écrin divin à une petite rune en argent que je lui ai offerte à noël passé. Elle à rassemblé ces cheveux en une espèce de chignon compliqué à l’arrière de son crane et y a passé une broche en bois sombre. Elle porte des hauts talons, comme toujours mais avec des bas noirs pas trop opaques. Je ne la trouve pas sexy, désirable ou tout autre adjectif bien plus péjoratif signifiant qu’elle ferait bander un gay mort, non ! Je la trouve simplement belle. C’est très étrange car habituellement les femmes en deuil font à peu près le même effet sur moi qu’une petite fille sur un pédophile. Elle lève la tête vers moi, vu que je suis un peu plus grand qu’elle malgré qu’elle soit l’ainée et me lance de sa bouche qui me fige, rouge comme le sang d’une cicatrice de bébé éventré :
-N’oublie pas ça p’tit PD, me lançant le mini gode de la veille ainsi qu’une petite télécommande.
J’entre dans la salle de bain bien chaude et toute humide, maman à déjà préparé mes vêtements, un pantalon noir, une chemise assortie et une cravate du même ton. Je chope le gode et là, ben, je flippe et je n’ai franchement pas envie de me foutre ce truc dans le cul. Mais bon. Ca fait vachement mal et ce n’est vraiment pas agréable. Malgré ça, je suis sûr que Léa à assurer. J’enfile la tenue de cérémonie, brosse ma barbe et sort.
Un quart d’heure plus tard, on embarque dans la voiture familiale, direction la maison des grands parents.
Et là, pour moi le bal commence, des sanglots, des phrases à la con, de l’hypocrisie à la pelle, des larmes par citernes. Mais à côté de ça, des femmes que j’ai du voir une seul foi dans ma vie ou même jamais, en robe noire, toutes, sans exceptions. Hauts talons, bas résille et voile devant des visages blafards, au khôl qui coule. Je voudrais avoir un appareil photo et tirer tout ça en noir et blanc.
-He !
Léa est derrière moi, une cigarette à la bouche. Elle tire dessus et me la donne. Je m’adosse au chambranle d’une porte et me délecte de toute cette chaire couverte de sombre étoffe.
-Tu t’es équipé ?
-Oui, et toi ?
-Oui, on va se marrer !
D’entre toutes, ma sœur est la plus séduisante. Je la suis et nous allons présenter nos condoléances à notre grand père.
L’assemblée quitte bientôt la maison pour le funérarium. L’endroit est glauque et ça pue, les croquemorts reluquent ma sœur, je leur lance un regard plein de haine. Entre eux ils se foutent de ma gueule.
Nouvelle salve de pleure et de bonnes paroles. Une veille, une tante d’après maman qui me la présente arrive devant moi et m’embrasse en me disant qu’elle connaissait bien ma grand-mère. Soudain, je suis parcouru par un frisson bizarre. Je comprends que ma sœur utilise sa petite télécommande, je peux rien y faire, je bande contre la jambe de la veille. Le-remarque-t-elle ou non ? Elle ne bouge pas en tout cas.
Je me retourne Léa se marre. Je vais me planquer dans un quoi, elle me rejoint.
-Alors heureux ?
Je ne réponds pas.
Nouveaux soubresaut dans le cul, j’y tiens plus, j’ai envie de me lâcher. En même temps, j’essaye de me convaincre que je ne suis pas une tante et que c’est normal vu que ce truc me frotte la prostate.
Léa souris encore et maintient la vibration. Je craque et me vide. Elle par d’un rire discret et me colle un baiser sur la joue.
-Dis merci mamie !
Papa arrive et me demande une cigarette, je lui en donne une. Léa et moi le regardons étonnés, il ne fume habituellement pas. Il nous voit et dit :
-Votre mère me fait chier avec ses simagrées ! Sourires complices.
Maman arrive, papa jette sa clope sous son regard courroucé malgré le chagrin. Elle nous tend à chacun une rose.
-Allez dire au revoir à grand-mère.
On attend que la populace aie rendu grâce, chacun leur tour, par petits groupes ou seul. Je passe avec Léa, on est dernier. Je m’esquive en vitesse de derrière la tenture et appuie avec délectation sur la télécommande carrée au fond de ma poche.
J’entends Léa gémir, mais je ne lâche pas l’affaire. J’avais lu dans le petit manuel fourni avec le gode qu’on pouvait augmenter le rythme de la vibration. Je me marrais en imaginant ma sœur en train de jouir sur le cadavre de la grand-mère. Ca n’a pas pris cinq minutes. Elle sort me jette un regard faussement noir. On sort.
C’est le soir, on est allongé chacun d’un côté du canapé, les jambes entrelacées. Dans le noir et fumant une cigarette que l’on se passe toute les deux ou trois taffes, on écoute un vieil album de Burzum.
Je me sens bien, je suis peinard, dans le noir, avec ma sœur en tenue de deuil.
Je conseille fortement l'écoute de ceci : https://www.youtube.com/watch?v=1cDgk39lYPw pendant la lecture et aussi aux personnes sensibles de s'abstenir, he he.
C'est pleins de fautes d'ortho, sans aucun doute. Je vous salue bien bas mes bons saigneurs.
Inceste ?
Je suis avec ma sœur Léa, assis dans un vieux café pas loin de la grand place. Elle à 27 ans, quatre de plus que moi. Elle est svelte avec des petits seins, elle est rousse avec de grand yeux verts. On boit quelques bières en se demandant ce qu’on pourrait bien foutre pour les fêtes. On est comme ça, jamais bien en société. Et ce café ? Me direz-vous. Oui, bof ! Fondu dans la masse, c’est tout. On est en train de discuter d’un truc qu’elle à vu dans un bouquin, une veille affiche de propagande antisémite qui la faisait marrer, tellement elle était moche !
Je bois une gorgée de ma pinte, j’adore ça ! Les brunes, les ambrées, bien lourdes. Tout le contraire de mes goût en matière de fille ; je les aime blanche comme le papier et tout aussi mince. Sauf pour les seins, peut-être ! A quelles conneries je peux penser parfois !
Le GSM de Léa se met à sonner, elle décroche, boudeuse, ça la fait chier. Je l’observe, elle est impassible, murmure quelques mots. Elle raccroche.
-C’était maman, me dit-elle ; grand-mère est morte.
- Hum, je fais. La quelle ?
-Sa mère.
-Hum. Je rebois une gorgée de bière.
-On l’enterre vendredi.
-Oui.
-Maman dit qu’il faut qu’on y soit.
-Je m’en doute.
On reste là encore quelques temps à liquéfier notre argent, puis on sort, il doit être 18 ou 19 heure et il pleut. Léa rabat la capuche de sa veste sur sa tête. La mienne, je la porte en permanence.
Je dis :
-On va encore s’emmerder !
-Oui, mais ainsi va la vie !
-On se marre
On marche encore parmi la plèbe, lorsqu’on arrive devant un sex-shop, un truc minable tenu par un type d’origine inconnue.
-Viens, me dit Léa. Je la suis, il y a plein de type aux mains pleines de foutres qui caressent des boites en plastiques. Ces mecs, la regardent, ça me débecte. J’voudrais sortir un M-16 et les aligner un par un. One shoot, one kil comme dans la chanson.
-Regarde ça ! Elle me montre une espèce de petit gode rose avec une mini télécommande.
-Tu sais comment ça marche ?
Je lui réponds que je m’en doute.
-T’es pas cap’ de t’en mettre un pour aller à l’enterrement qu’elle me dit.
-J’suis pas une tante, que je lui réponds.
- Tu vois, t’oses pas.
J’attrape une deuxième boite sur l’étalage et lui arrache celle qu’elle tient entre les mains. Je m’approche du caissier sans le regarder, attends qu’il scanne les godes, introduit ma carte de banque et compose mon code. Son appareil sonne, on sort et je m’allume une clope. Léa la prends de ma bouche, tire quelques taffes puis me la recale de force entre les lèvres. J’ai le gout de son rouge à lèvre.
On marche encore une vingtaine de minutes jusqu’au métro, on rentre chez nos parents regarder notre mère pleurer.
Maman est assise dans la cuisine, en larmes. Papa, rentré plutôt, exprès du boulot, tourne autour d’elle, essayant de la consoler. On s’assoit à table après les avoir salué et que mon père m’ait retiré la capuche de la tête.
Au bout de dix minutes de silence, Léa annonce qu’on va fumer dehors. On reprend la conversation sur les affiches antisémites.
Ce soir là, rien de notable.
Le vendredi matin, je me réveille au son des coups que mon père porte contre la porte de ma chambre.
-Lève-toi et habille-toi ! Il se croit obliger d’ajouter :
-Proprement. Il a raison en fait.
Lorsque j’arrive devant la salle de bain, Léa en sort et je m’arrête ! Elle porte une robe noire qui lui arrive juste au dessus des genoux, un léger décolleté offre un écrin divin à une petite rune en argent que je lui ai offerte à noël passé. Elle à rassemblé ces cheveux en une espèce de chignon compliqué à l’arrière de son crane et y a passé une broche en bois sombre. Elle porte des hauts talons, comme toujours mais avec des bas noirs pas trop opaques. Je ne la trouve pas sexy, désirable ou tout autre adjectif bien plus péjoratif signifiant qu’elle ferait bander un gay mort, non ! Je la trouve simplement belle. C’est très étrange car habituellement les femmes en deuil font à peu près le même effet sur moi qu’une petite fille sur un pédophile. Elle lève la tête vers moi, vu que je suis un peu plus grand qu’elle malgré qu’elle soit l’ainée et me lance de sa bouche qui me fige, rouge comme le sang d’une cicatrice de bébé éventré :
-N’oublie pas ça p’tit PD, me lançant le mini gode de la veille ainsi qu’une petite télécommande.
J’entre dans la salle de bain bien chaude et toute humide, maman à déjà préparé mes vêtements, un pantalon noir, une chemise assortie et une cravate du même ton. Je chope le gode et là, ben, je flippe et je n’ai franchement pas envie de me foutre ce truc dans le cul. Mais bon. Ca fait vachement mal et ce n’est vraiment pas agréable. Malgré ça, je suis sûr que Léa à assurer. J’enfile la tenue de cérémonie, brosse ma barbe et sort.
Un quart d’heure plus tard, on embarque dans la voiture familiale, direction la maison des grands parents.
Et là, pour moi le bal commence, des sanglots, des phrases à la con, de l’hypocrisie à la pelle, des larmes par citernes. Mais à côté de ça, des femmes que j’ai du voir une seul foi dans ma vie ou même jamais, en robe noire, toutes, sans exceptions. Hauts talons, bas résille et voile devant des visages blafards, au khôl qui coule. Je voudrais avoir un appareil photo et tirer tout ça en noir et blanc.
-He !
Léa est derrière moi, une cigarette à la bouche. Elle tire dessus et me la donne. Je m’adosse au chambranle d’une porte et me délecte de toute cette chaire couverte de sombre étoffe.
-Tu t’es équipé ?
-Oui, et toi ?
-Oui, on va se marrer !
D’entre toutes, ma sœur est la plus séduisante. Je la suis et nous allons présenter nos condoléances à notre grand père.
L’assemblée quitte bientôt la maison pour le funérarium. L’endroit est glauque et ça pue, les croquemorts reluquent ma sœur, je leur lance un regard plein de haine. Entre eux ils se foutent de ma gueule.
Nouvelle salve de pleure et de bonnes paroles. Une veille, une tante d’après maman qui me la présente arrive devant moi et m’embrasse en me disant qu’elle connaissait bien ma grand-mère. Soudain, je suis parcouru par un frisson bizarre. Je comprends que ma sœur utilise sa petite télécommande, je peux rien y faire, je bande contre la jambe de la veille. Le-remarque-t-elle ou non ? Elle ne bouge pas en tout cas.
Je me retourne Léa se marre. Je vais me planquer dans un quoi, elle me rejoint.
-Alors heureux ?
Je ne réponds pas.
Nouveaux soubresaut dans le cul, j’y tiens plus, j’ai envie de me lâcher. En même temps, j’essaye de me convaincre que je ne suis pas une tante et que c’est normal vu que ce truc me frotte la prostate.
Léa souris encore et maintient la vibration. Je craque et me vide. Elle par d’un rire discret et me colle un baiser sur la joue.
-Dis merci mamie !
Papa arrive et me demande une cigarette, je lui en donne une. Léa et moi le regardons étonnés, il ne fume habituellement pas. Il nous voit et dit :
-Votre mère me fait chier avec ses simagrées ! Sourires complices.
Maman arrive, papa jette sa clope sous son regard courroucé malgré le chagrin. Elle nous tend à chacun une rose.
-Allez dire au revoir à grand-mère.
On attend que la populace aie rendu grâce, chacun leur tour, par petits groupes ou seul. Je passe avec Léa, on est dernier. Je m’esquive en vitesse de derrière la tenture et appuie avec délectation sur la télécommande carrée au fond de ma poche.
J’entends Léa gémir, mais je ne lâche pas l’affaire. J’avais lu dans le petit manuel fourni avec le gode qu’on pouvait augmenter le rythme de la vibration. Je me marrais en imaginant ma sœur en train de jouir sur le cadavre de la grand-mère. Ca n’a pas pris cinq minutes. Elle sort me jette un regard faussement noir. On sort.
C’est le soir, on est allongé chacun d’un côté du canapé, les jambes entrelacées. Dans le noir et fumant une cigarette que l’on se passe toute les deux ou trois taffes, on écoute un vieil album de Burzum.
Je me sens bien, je suis peinard, dans le noir, avec ma sœur en tenue de deuil.
antoine surin- Nombre de messages : 69
Age : 38
Date d'inscription : 10/04/2008
Re: Beurg Incest
Ça me tue.
Tu vois, sur Word, quand t’as des mots soulignés en rouge ou vert, c’est que y a un truc qui déconne. Suffit de faire un clic droit sur le mot et t’as la solution. C’est pas trop d’effort, et moi ça m’éviterait de lire des trucs qui me font le même effet qu’une craie crissant sur tableau noir.
Ça me tue, parce que tu vois, ton texte, ton style…
Non ! Pas envie de faire plus d’effort que toi.
Et c’est dommage parce que
Tu vois, sur Word, quand t’as des mots soulignés en rouge ou vert, c’est que y a un truc qui déconne. Suffit de faire un clic droit sur le mot et t’as la solution. C’est pas trop d’effort, et moi ça m’éviterait de lire des trucs qui me font le même effet qu’une craie crissant sur tableau noir.
Ça me tue, parce que tu vois, ton texte, ton style…
Non ! Pas envie de faire plus d’effort que toi.
Et c’est dommage parce que
grieg- Nombre de messages : 6156
Localisation : plus très loin
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Beurg Incest
Une ou deux belles formules ("rouge comme le sang d’une cicatrice de bébé éventré", par exemple), mais l'ensemble m'a paru inutilement graveleux, écrit pour le simple plaisir de la provocation ; à mon avis il manque une distance pour quitter le dégoûtant-ras-des-pâquerettes pour arriver dans le choquant, le vraiment subversif. Mais c'est peut-être voulu.
En espérant en tout cas vous relire bientôt !
En espérant en tout cas vous relire bientôt !
Invité- Invité
Re: Beurg Incest
Eros et Thanatos fraternellement unis dans leur petite balade(pas neuf, ça!) mais p** qu'ils ont le pas lourd et le rire gras!
Re: Beurg Incest
J’arrête de faire la gueule le temps d’établir un peu d’équilibre dans les commentaires.
J’ai aimé.
Tes personnages sont crédibles dans une situation qui l’est peu.
(J’en ai même eu la libido ébranlée, bien que je ne fantasme vraiment pas sur les godes – et encore moins en ma personne – et que je n’ai pas de sœur, ce qui rend tout cela pour moi bien théorique.)
Le style est vif, finement grossier, et colle parfaitement à la situation.
Je me suis posé des questions sur les passages de l’affiche antisémite, et du caissier d’origine inconnue… Superflus à mon avis, si ce n’est que de la provoc.
Voilà !
En conclusion :
Un style affirmé et plaisant avec orthographe pourrie.
J’ai aimé.
Tes personnages sont crédibles dans une situation qui l’est peu.
(J’en ai même eu la libido ébranlée, bien que je ne fantasme vraiment pas sur les godes – et encore moins en ma personne – et que je n’ai pas de sœur, ce qui rend tout cela pour moi bien théorique.)
Le style est vif, finement grossier, et colle parfaitement à la situation.
Je me suis posé des questions sur les passages de l’affiche antisémite, et du caissier d’origine inconnue… Superflus à mon avis, si ce n’est que de la provoc.
Voilà !
En conclusion :
Un style affirmé et plaisant avec orthographe pourrie.
grieg- Nombre de messages : 6156
Localisation : plus très loin
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Beurg Incest
Orthographe effectivement, faudrait faire des efforts ...
au niveau du style, pas trop mal
au niveau de l'intrigue, ben franchement, j'accroche pas. ça m'a semblé terriblement improbable et pas si provocateur que ça voudrait
au niveau du style, pas trop mal
au niveau de l'intrigue, ben franchement, j'accroche pas. ça m'a semblé terriblement improbable et pas si provocateur que ça voudrait
Charles- Nombre de messages : 6288
Age : 48
Localisation : Hte Savoie - tophiv@hotmail.com
Date d'inscription : 13/12/2005
Re: Beurg Incest
Pour beaucoup moins que ça, il y a quelques mois, on m'avait viré un texte en me disant que cela ne correspondait pas à l'esprit du site et que etc...mais bon passons, je vais pas faire ma pleurnicheuse.
C'est provocateur, oui et non.
Cela reste trop en surface.
On dirait finalement un truc où deux gamins de 12 ans qui auraient vu des films pornos pour la première fois s'essaieraient à quelque chose de vraiment improbable comme le dit Charles.
Moi, ce qui me gène le plus, ce n'est pas la perversité du phénomène mais que je ne sens poindre aucun sentiment.
C'est juste une description maladive d'un moment.
Ceci dit, c'est quand même un texte "fort" et ça me change de ce que j'ai l'habitude de lire ici.
Enfin, des textes comme celui-ci, j'en ai écrits moi aussi, mais ils ne sont pas ceux dont je suis le plus fier.
Ce genre de propos est tellement difficile à manier, à faire entendre au commun, que cela demande beaucoup plus de travail qu'il n'y paraît...
CF : Faulkner, si tu veux lire l'abjection, tu seras servi.
Conclusion. Oui, intéressant, à lire.
Cependant, je demeure perplexe quant à la finalité, aux fautes d'ortho ( exprès ? ) et plein de détails autres...
C'est provocateur, oui et non.
Cela reste trop en surface.
On dirait finalement un truc où deux gamins de 12 ans qui auraient vu des films pornos pour la première fois s'essaieraient à quelque chose de vraiment improbable comme le dit Charles.
Moi, ce qui me gène le plus, ce n'est pas la perversité du phénomène mais que je ne sens poindre aucun sentiment.
C'est juste une description maladive d'un moment.
Ceci dit, c'est quand même un texte "fort" et ça me change de ce que j'ai l'habitude de lire ici.
Enfin, des textes comme celui-ci, j'en ai écrits moi aussi, mais ils ne sont pas ceux dont je suis le plus fier.
Ce genre de propos est tellement difficile à manier, à faire entendre au commun, que cela demande beaucoup plus de travail qu'il n'y paraît...
CF : Faulkner, si tu veux lire l'abjection, tu seras servi.
Conclusion. Oui, intéressant, à lire.
Cependant, je demeure perplexe quant à la finalité, aux fautes d'ortho ( exprès ? ) et plein de détails autres...
Re: Beurg Incest
Genre blague de potaches, qu'est-ce qu'on se marre ! Bof.
Et puis, parce que ça m'a prodigieusement agacée et qu'il faut savoir se donner les moyens de sa provocation : l'orthographe !!!
Et puis, parce que ça m'a prodigieusement agacée et qu'il faut savoir se donner les moyens de sa provocation : l'orthographe !!!
Invité- Invité
Re: Beurg Incest
bof
le sujet ne m'a pas spécialement choqué (j'en lu d'autres faut croire !!!).
contrairement à d'autres lecteurs, je trouve le style du texte assez terne en fait (excepté quelques trouvailles).
le sujet ne m'a pas spécialement choqué (j'en lu d'autres faut croire !!!).
contrairement à d'autres lecteurs, je trouve le style du texte assez terne en fait (excepté quelques trouvailles).
lilicub- Nombre de messages : 147
Age : 52
Date d'inscription : 18/11/2008
Re: Beurg Incest
bien, déjà, merci de m'avoir lu. Alors...
l'orthographe à vrai dire je n'essaie même plus !
Socque dit : "à mon avis il manque une distance pour quitter le dégoûtant-ras-des-pâquerettes pour arriver dans le choquant, le vraiment subversif"
ben j'aimerais bien mais j'y arrive pas encore !
Arielle dit : "...mais p** qu'ils ont le pas lourd et le rire gras!" ça ça me fait plaisir.
Grieg dit : "Je me suis posé des questions sur les passages de l’affiche antisémite, et du caissier d’origine inconnue… Superflus à mon avis, si ce n’est que de la provoc." Pour les affiches, c'est simplement en repensant à un super bouquin que j'ai feuilleté dernièrement et pour "le caissier d'origine inconnue", c'est juste parceque mon personnage déteste les étrangers et que je pensais qu'ainsi ça ressortirait un peu.
Lol47 dit : "C'est juste une description maladive d'un moment." Là, je suis aux anges, c'est exactement ça. Merci !
Lilicub dit : "je trouve le style du texte assez terne en fait" C'est ce que je voulais, je me suis forcé à faire ça. Si tu retrouve d'autres textes que j'ai écrit ici, tu verras que c'est fort différent. Pas forcement meilleur, mais différent.
J'apprécie beaucoup vos remarques, mais ce qui m'interesse le plus c'est cette notion de rendre le truc plus sale en en montrant moins, j'ai du mal à cerner ça. Parceque des descriptions dégeus je peu en sortir à la pelle "rouge comme l'oreiller hyper moelleu que je me suis fait avec les tampons usagés de ma soeur trizomique" (c'est pour rire) C'est vraiment le truc que je voudrais arriver à faire. Si vous pouviez m'en dire un peu plus...
l'orthographe à vrai dire je n'essaie même plus !
Socque dit : "à mon avis il manque une distance pour quitter le dégoûtant-ras-des-pâquerettes pour arriver dans le choquant, le vraiment subversif"
ben j'aimerais bien mais j'y arrive pas encore !
Arielle dit : "...mais p** qu'ils ont le pas lourd et le rire gras!" ça ça me fait plaisir.
Grieg dit : "Je me suis posé des questions sur les passages de l’affiche antisémite, et du caissier d’origine inconnue… Superflus à mon avis, si ce n’est que de la provoc." Pour les affiches, c'est simplement en repensant à un super bouquin que j'ai feuilleté dernièrement et pour "le caissier d'origine inconnue", c'est juste parceque mon personnage déteste les étrangers et que je pensais qu'ainsi ça ressortirait un peu.
Lol47 dit : "C'est juste une description maladive d'un moment." Là, je suis aux anges, c'est exactement ça. Merci !
Lilicub dit : "je trouve le style du texte assez terne en fait" C'est ce que je voulais, je me suis forcé à faire ça. Si tu retrouve d'autres textes que j'ai écrit ici, tu verras que c'est fort différent. Pas forcement meilleur, mais différent.
J'apprécie beaucoup vos remarques, mais ce qui m'interesse le plus c'est cette notion de rendre le truc plus sale en en montrant moins, j'ai du mal à cerner ça. Parceque des descriptions dégeus je peu en sortir à la pelle "rouge comme l'oreiller hyper moelleu que je me suis fait avec les tampons usagés de ma soeur trizomique" (c'est pour rire) C'est vraiment le truc que je voudrais arriver à faire. Si vous pouviez m'en dire un peu plus...
antoine surin- Nombre de messages : 69
Age : 38
Date d'inscription : 10/04/2008
Re: Beurg Incest
Je me range à l'avis que le plus choquant dans tout ça, c'est de loin les fautes d'ortho - et le plus stupide le fait que tu t'en fiches.
Il y a une charte sur ce site : quand tu auras décidé d'écrire correctement, je déciderai de commenter.
Profitant de lire ladite charte, tu noteras qu'il est aussi question du contenu, et que ce texte exige au minimum de demander l'avis de la modération.
Quant à rendre le truc plus "sale", tu peux toujours rajouter des tâches d'encre et des ratures ? :-)
Ne le prends pas personnellement, mais c'est important de rappeler de temps à autres les petites règles de ce site...
Il y a une charte sur ce site : quand tu auras décidé d'écrire correctement, je déciderai de commenter.
Profitant de lire ladite charte, tu noteras qu'il est aussi question du contenu, et que ce texte exige au minimum de demander l'avis de la modération.
Quant à rendre le truc plus "sale", tu peux toujours rajouter des tâches d'encre et des ratures ? :-)
Ne le prends pas personnellement, mais c'est important de rappeler de temps à autres les petites règles de ce site...
Loupbleu- Nombre de messages : 5838
Age : 52
Localisation : loupbleu@vosecrits.com
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Beurg Incest
Ben moi, ce qui me gêne, ce n'est ni tant le côté ortho, ni le côté sexe, mais cette désinvolture autour de la mort et de la famille.
Y'a comme un décrochement, un divorce d'avec la vie (qui elle, fait bon ménage avec les plaisirs de la chair) et le jeu de ces deux personnages me paraît bien plus pervers dans le déni de l'essentiel que dans leurs petits plaisirs à trois balles.
Pour l'orthographe, je dirais qu'elle passe juste après la sale impression qui me fait froid dans le dos.
Si cet effet est souhaité, c'est réussi, et alors l'ortho passe au premier plan.
Y'a comme un décrochement, un divorce d'avec la vie (qui elle, fait bon ménage avec les plaisirs de la chair) et le jeu de ces deux personnages me paraît bien plus pervers dans le déni de l'essentiel que dans leurs petits plaisirs à trois balles.
Pour l'orthographe, je dirais qu'elle passe juste après la sale impression qui me fait froid dans le dos.
Si cet effet est souhaité, c'est réussi, et alors l'ortho passe au premier plan.
Re: Beurg Incest
"je suis un peu plus grand qu’elle malgré qu’elle soit l’ainée"
un écrivain est né
Lol47, TON texte censuré était d'une autre nature
mais celui-ci n'est guère plus reluisant
intérêt ? nul
écriture ? très bof
tu peux revenir sur VE, Antoine, mais essaie autre chose
un écrivain est né
Lol47, TON texte censuré était d'une autre nature
mais celui-ci n'est guère plus reluisant
intérêt ? nul
écriture ? très bof
tu peux revenir sur VE, Antoine, mais essaie autre chose
Re: Beurg Incest
Space ce texte.
Pas vraiment choquée, non plus, j'ai déjà lu pire.
Je ne comprends, seulement, pas que tu te fiches de l'orthographe à ce point. Quant aux personnages, je verrais ce délire sur de plus jeunes protagonistes.
Pas vraiment choquée, non plus, j'ai déjà lu pire.
Je ne comprends, seulement, pas que tu te fiches de l'orthographe à ce point. Quant aux personnages, je verrais ce délire sur de plus jeunes protagonistes.
Lucy- Nombre de messages : 3411
Age : 46
Date d'inscription : 31/03/2008
Re: Beurg Incest
j'irai donc voir, bien sûr !Antoine Surin a écrit:C'est ce que je voulais, je me suis forcé à faire ça. Si tu retrouve d'autres textes que j'ai écrit ici, tu verras que c'est fort différent. Pas forcement meilleur, mais différent.lilicub a écrit:je trouve le style du texte assez terne en fait
lilicub- Nombre de messages : 147
Age : 52
Date d'inscription : 18/11/2008
Re: Beurg Incest
Mouais, cela ne me paraît pas terrible et plein de grosses maladresses.
D'abord la description de la soeur, pas crédible.
Ensuite "grand-mère est morte, laquelle?", rebof. On donne un nom à ses grands-mères, donc la question ne se pose pas.
Enfin j'en passe et des tonnes. Tu débarques ici avec un air de "je vous poste un truc en vitesse, c'est bourré de fautes mais démerdez-vous avez ça"... pas top comme attitude hein.
Le sujet est bateau, tu en fais des tonnes, c'est lourdingue de chez lourdingue et quelques phrases sortant un peu des sentiers battus ne suffisent pas à ramasser le tout.
Je reprends la formule de Lol à laquelle j'adhère " On dirait finalement un truc où deux gamins de 12 ans qui auraient vu des films pornos pour la première fois".
Tu voudrais décrire subtilement un truc dégueu? ben y a du boulot, désolée :-(
D'abord la description de la soeur, pas crédible.
Ensuite "grand-mère est morte, laquelle?", rebof. On donne un nom à ses grands-mères, donc la question ne se pose pas.
Enfin j'en passe et des tonnes. Tu débarques ici avec un air de "je vous poste un truc en vitesse, c'est bourré de fautes mais démerdez-vous avez ça"... pas top comme attitude hein.
Le sujet est bateau, tu en fais des tonnes, c'est lourdingue de chez lourdingue et quelques phrases sortant un peu des sentiers battus ne suffisent pas à ramasser le tout.
Je reprends la formule de Lol à laquelle j'adhère " On dirait finalement un truc où deux gamins de 12 ans qui auraient vu des films pornos pour la première fois".
Tu voudrais décrire subtilement un truc dégueu? ben y a du boulot, désolée :-(
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Beurg Incest
J'ai trouvé que ce texte commençait très bien. Je trouve que tu as une écriture très limpide. C'est un vrai plaisir de te lire. Je n'ai même pas fait attention aux fautes d'orthographe. Mais je n'aime pas ce que tu racontes. Je n'aime pas tes personnages. Ils m'étaient sympathiques au début, puis ça a changé au cours du texte. Je me suis posée la question pour l'affiche antisémite et puis, à la réflexion sur le caissier, il n'y avait plus d'ambiguïté. Et puis la suite m'a donné raison. Je ne les aimais toujours pas.
Re: Beurg Incest
J'ai pas tilté sur les fautes et l'histoire m'a dans l'ensemble plu
a part le passage où "tu" jouis avec un gode dans le cul, complètement surréaliste
a part le passage où "tu" jouis avec un gode dans le cul, complètement surréaliste
choobe- Nombre de messages : 33
Age : 39
Date d'inscription : 19/04/2008
Re: Beurg Incest
Au pluriel on met un "s", souvent.
Désolée, trop de fautes d'orthographe pour moi. J'ai pas tenu jusqu'à la fin.
Corrige et re poste-le.
Et franchement, comment on peut aimer écrire et se foutre à ce point de l'orthographe ? Autant se mettre au sms à ce niveau.
Désolée, trop de fautes d'orthographe pour moi. J'ai pas tenu jusqu'à la fin.
Corrige et re poste-le.
Et franchement, comment on peut aimer écrire et se foutre à ce point de l'orthographe ? Autant se mettre au sms à ce niveau.
Re: Beurg Incest
J'ai lu les commentaires avant le texte et je m'attendais à quelque chose de bien plus... hors champ.
En gros, ça me fait penser à du M-E Nabe, écrivain maudit, enfin, surtout par lui-même parce qu'au fond tout le monde s'en fout.
J'ai été déçu par le côté "méchant de foire", un peu comme un catcheur qui parle plus qu'il ne fait réellement de mal à ses adversaires... ou une petite frappe des beaux quartiers.
En gros, ça me fait penser à du M-E Nabe, écrivain maudit, enfin, surtout par lui-même parce qu'au fond tout le monde s'en fout.
J'ai été déçu par le côté "méchant de foire", un peu comme un catcheur qui parle plus qu'il ne fait réellement de mal à ses adversaires... ou une petite frappe des beaux quartiers.
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