Greetings from Atlanta
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Greetings from Atlanta
Ma chanson disait : “J’aimerais devenir…… devenir immortel. Bien sûr, je n’escomptais pas vivre jusqu’à deux cent ans. Ce que je voulais, c’est que mon nom résonne jusqu’aux fonds des temps. J’avais étudié les possibilités : faire dans la politique, inventer quelque chose de grandiose, découvrir l’incroyable etc... Le dictionnaire des noms propres offrait plusieurs avenues. Je me rappelle c’était un lundi matin, j’ai décidé de devenir chanteur.
Quelques disques et plusieurs tournées plus tard, mes mélodies avaient pénétré l’inconscient collectif et y étaient restées imprimées. On chantait mes paroles dans les cours d’écoles, dans les bureaux administratif, dans les prisons; partout….
Lors de mes concerts, on entendait les cris frénétiques des filles exaltées, le rugissement barbare des gars, mais à peine ce qui sortait des amplificateurs.
Puis, cet accident, mon accident, je rentrais épuiser d’une tournée, vers 2h, dans la nuit.
Quand j’ai aperçu mon visiteur. Il tira deux coups et s’enfuit. Une balle me transperça l’épaule, une autre atteignit l’estomac.
Durant six semaines, je demeurai dans un hôpital d’Atlanta.
Au bout de la troisième je me réveillais, les médecins m’annoncèrent que j’avais été victime d’un coma.
Nous étions un jeudi matin quand mes paupières s’éveillèrent, elle était là, à mon chevet, c’était la douceur de sa peau qui m’avait réveillé ce matin. Elle semblait dormir ; je l’ai contemplée, longtemps, une petite mèche de cheveux vibrait sur ses lèvres au rythme de son souffle…
Ce qu’elle était belle ! Ce que j’avais envie d’elle.
Six semaines sans faire l’amour !!!
Sans gouté à ce gout sucré, un peu vanillé, jamais encore rencontré.
Sans la dégustait, la savourait, à petites gorgées d’abord, puis à grandes lampées jamais rassasiées. Elle coulait en moi, en nous.
Les hommes, mes amis masculins appelaient ça le sexe mais moi je savais que c’était du miel, le Miel de La Vie, c’est assez poétique il me semble, peut être un peu trop mais tellement irrésistible.
Sur ma table de nuit il y avait des fleurs de tournesol…
Elle m’a toujours dit qu’elle n’offrait jamais de fleurs aux hommes, en précisant : le jour où je t’en donnerai, ou tu seras mort, ou tu seras cocu…
J’observais la pièce, rien de très particulier une fenêtre qui donnait sur la cour intérieur de l’hôpital, une tablette près du lit, deux fauteuils qui remplissaient les 9 m² de la chambre.
Et pour finir les murs étaient recouverts d’une tapisserie bleu clair.
Quant au peuple hospitalier je l’ai aimé.
Ces gens dont j’ai reçu l’acceptation, qui m’ont ouvert leur cœur à la grandeur de leur bonté. Dans l’épreuve et la douleur, j’ai croisé des âmes profondes, entières, avec lesquelles la vie retrouve sa signification intrinsèque. Des gens par qui j’ai gravé des images de ma vie, mouvantes, celles de ma petite histoire. Ma «pellicula»… Et quel film, quand j’y pense…
Vingt quatre années de carrière flamboyante, des milliers de texte écrient, des messages…..
Je suis devenu cette personne immortelle, qui m’avait fasciné enfant.
Il est 14h30, l'electrocardiogramme vient de se lancer dans cette sonnerie longue et profonde….
Est-ce que toute cette aventure dans la chair humaine aura servi ? Peu importe. Je voulais devenir immortel. J’ai compris un jour que le don total de soi était le seul moyen. J’ai préféré donner ma vie plutôt que me la faire prendre. Et tant qu’à la donner, je l’ai fait de façon flamboyante, tout en livrant aux humains un message d’amour, qu’ils ne comprendront surement pas avec leur tête, mais peut-être, au moins pour quelques-uns, avec leur cœur.
Quelques disques et plusieurs tournées plus tard, mes mélodies avaient pénétré l’inconscient collectif et y étaient restées imprimées. On chantait mes paroles dans les cours d’écoles, dans les bureaux administratif, dans les prisons; partout….
Lors de mes concerts, on entendait les cris frénétiques des filles exaltées, le rugissement barbare des gars, mais à peine ce qui sortait des amplificateurs.
Puis, cet accident, mon accident, je rentrais épuiser d’une tournée, vers 2h, dans la nuit.
Quand j’ai aperçu mon visiteur. Il tira deux coups et s’enfuit. Une balle me transperça l’épaule, une autre atteignit l’estomac.
Durant six semaines, je demeurai dans un hôpital d’Atlanta.
Au bout de la troisième je me réveillais, les médecins m’annoncèrent que j’avais été victime d’un coma.
Nous étions un jeudi matin quand mes paupières s’éveillèrent, elle était là, à mon chevet, c’était la douceur de sa peau qui m’avait réveillé ce matin. Elle semblait dormir ; je l’ai contemplée, longtemps, une petite mèche de cheveux vibrait sur ses lèvres au rythme de son souffle…
Ce qu’elle était belle ! Ce que j’avais envie d’elle.
Six semaines sans faire l’amour !!!
Sans gouté à ce gout sucré, un peu vanillé, jamais encore rencontré.
Sans la dégustait, la savourait, à petites gorgées d’abord, puis à grandes lampées jamais rassasiées. Elle coulait en moi, en nous.
Les hommes, mes amis masculins appelaient ça le sexe mais moi je savais que c’était du miel, le Miel de La Vie, c’est assez poétique il me semble, peut être un peu trop mais tellement irrésistible.
Sur ma table de nuit il y avait des fleurs de tournesol…
Elle m’a toujours dit qu’elle n’offrait jamais de fleurs aux hommes, en précisant : le jour où je t’en donnerai, ou tu seras mort, ou tu seras cocu…
J’observais la pièce, rien de très particulier une fenêtre qui donnait sur la cour intérieur de l’hôpital, une tablette près du lit, deux fauteuils qui remplissaient les 9 m² de la chambre.
Et pour finir les murs étaient recouverts d’une tapisserie bleu clair.
Quant au peuple hospitalier je l’ai aimé.
Ces gens dont j’ai reçu l’acceptation, qui m’ont ouvert leur cœur à la grandeur de leur bonté. Dans l’épreuve et la douleur, j’ai croisé des âmes profondes, entières, avec lesquelles la vie retrouve sa signification intrinsèque. Des gens par qui j’ai gravé des images de ma vie, mouvantes, celles de ma petite histoire. Ma «pellicula»… Et quel film, quand j’y pense…
Vingt quatre années de carrière flamboyante, des milliers de texte écrient, des messages…..
Je suis devenu cette personne immortelle, qui m’avait fasciné enfant.
Il est 14h30, l'electrocardiogramme vient de se lancer dans cette sonnerie longue et profonde….
Est-ce que toute cette aventure dans la chair humaine aura servi ? Peu importe. Je voulais devenir immortel. J’ai compris un jour que le don total de soi était le seul moyen. J’ai préféré donner ma vie plutôt que me la faire prendre. Et tant qu’à la donner, je l’ai fait de façon flamboyante, tout en livrant aux humains un message d’amour, qu’ils ne comprendront surement pas avec leur tête, mais peut-être, au moins pour quelques-uns, avec leur cœur.
Une Anglaise- Nombre de messages : 47
Age : 31
Date d'inscription : 15/10/2008
Re: Greetings from Atlanta
Bof, je ne trouve pas ça top top
Les fautes d'orthographe d'abord : un peu beaucoup quand même!
Et puis la manière dont est menée ton histoire. On devine un travail dans le début, puis les choses se délitent pour perdre en cohérence dans la suite du texte. Au final, une morale qui tombe comme un cheveu sur la soupe!
Un peu dur peut-être, mais au moins as-tu une belle marge de progrès et le fait d'être là plaide en ta faveur.
Les fautes d'orthographe d'abord : un peu beaucoup quand même!
Et puis la manière dont est menée ton histoire. On devine un travail dans le début, puis les choses se délitent pour perdre en cohérence dans la suite du texte. Au final, une morale qui tombe comme un cheveu sur la soupe!
Un peu dur peut-être, mais au moins as-tu une belle marge de progrès et le fait d'être là plaide en ta faveur.
Roz-gingembre- Nombre de messages : 1044
Age : 61
Date d'inscription : 14/11/2008
Re: Greetings from Atlanta
Question ortho, je trouve qu'il y a pas mal de progrès entre ce texte et le premier posté ici.
Reste le souci de la traduction, Une Anglaise, on sent que ta langue maternelle prend le dessus; certaines tournures ressemblent à de la traduction littérale. Pas simple, je sais et ça demande beaucoup de boulot pour changer ça.
Pour ce qui est du contenu de ton texte, il me semble que tu devrais bousculer un peu tout cela, rendre ce type plus vivant, même en étant mort. Il raconte quelque chose de manière assez plate, s'étale sur ses rêves et sa vie, mais tout se déroule sur le même ton. C'est un monologue linéaire presque ennuyeux. Secoue le cocotier :-)
Reste le souci de la traduction, Une Anglaise, on sent que ta langue maternelle prend le dessus; certaines tournures ressemblent à de la traduction littérale. Pas simple, je sais et ça demande beaucoup de boulot pour changer ça.
Pour ce qui est du contenu de ton texte, il me semble que tu devrais bousculer un peu tout cela, rendre ce type plus vivant, même en étant mort. Il raconte quelque chose de manière assez plate, s'étale sur ses rêves et sa vie, mais tout se déroule sur le même ton. C'est un monologue linéaire presque ennuyeux. Secoue le cocotier :-)
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Greetings from Atlanta
Merci!!Sahkti pour tes conseilles:)
C'est très agréable que tu es remarqué la difference pour l'orthographe,cela m'encourage vraiment!!!
Je vais "Secouer le cocotier" ,pour le rendre plus vivant!!
C'est très agréable que tu es remarqué la difference pour l'orthographe,cela m'encourage vraiment!!!
Je vais "Secouer le cocotier" ,pour le rendre plus vivant!!
Une Anglaise- Nombre de messages : 47
Age : 31
Date d'inscription : 15/10/2008
Re: Greetings from Atlanta
beware coconuts !Une Anglaise a écrit:Merci!!Sahkti pour tes conseilles:)
C'est très agréable que tu es remarqué la difference pour l'orthographe,cela m'encourage vraiment!!!
Je vais "Secouer le cocotier" ,pour le rendre plus vivant!!
;-)
Re: Greetings from Atlanta
Bien vu!!!Mentor
Coconuts might fall on your head
A l'avenir faite Attention!!!
;-)
Coconuts might fall on your head
A l'avenir faite Attention!!!
;-)
Une Anglaise- Nombre de messages : 47
Age : 31
Date d'inscription : 15/10/2008
Re: Greetings from Atlanta
j'ai l'habitude, pas de souciUne Anglaise a écrit:Bien vu!!! Mentor
Coconuts might fall on your head
A l'avenir faite Attention!!!
;-)
jamais de hamac entre 2 cocotiers sans une bâche au-dessus !
:-)))
Re: Greetings from Atlanta
Prevoyant c'est bien!!!
"Caution is the parent of safety."
Petit proverbe Anglais^^
"Caution is the parent of safety."
Petit proverbe Anglais^^
Une Anglaise- Nombre de messages : 47
Age : 31
Date d'inscription : 15/10/2008
Re: Greetings from Atlanta
PRUDENCE EST MèRE DE SURETéUne Anglaise a écrit:Prevoyant c'est bien!!!
"Caution is the parent of safety."
Petit proverbe Anglais^^
en frenchy ;-)
Re: Greetings from Atlanta
ouep, merci :-)Easter(Island) a écrit:on dit "froggie", Mentor ;-)
c'est aux us qu'on dit frenchy non ?
Re: Greetings from Atlanta
J'aurais dit comme Easter(Island)"froggie",
Il me semble que c'est au US mais je ne suis pas sur à 100%...
C'est une bonne question....des que j'ai la réponse je vous le dis;)
Je dois y aller
Bonne soirée!!à bientot!!
Il me semble que c'est au US mais je ne suis pas sur à 100%...
C'est une bonne question....des que j'ai la réponse je vous le dis;)
Je dois y aller
Bonne soirée!!à bientot!!
Une Anglaise- Nombre de messages : 47
Age : 31
Date d'inscription : 15/10/2008
Re: Greetings from Atlanta
Mentor J'ai la réponse à ta question on dit aux US Frenchy!!;)
Une Anglaise- Nombre de messages : 47
Age : 31
Date d'inscription : 15/10/2008
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