Désir

[Epica]

Ta bouche est un océan de pétales qui s'entrechoquent et se brisent sur la douce jetée de ton palet.
Tes yeux sont les diamants de mon cœur, ils m'emplissent de bonheur, m'enseignent la chaleur.
Tes pensées s'apparentent à un long fleuve tranquille ; jamais échoué, jamais inquiété, Toujours avançant.
Ton corps somptueux me flatte et me gène. Te voir si belle, me sentir si laid est pour moi effarant.
Toutes mes pensées vont vers toi, tous mes gestes te consolent.

Tu es si douce, et tellement délicieuse. Craquante, si croquante et si tendre à la fois.
Ta bouche est un délice de sens qui s'entremêlent, son goût est si exquis.
Tes yeux sont pulpeux, résistant à mes dents puissantes et acérées.
Tes pensées jamais plus n'existeront, Mais ton cœur restera à jamais dans mon esprit.
Je me suis épris de toi, de Toi et de ton corps chaud et délicat.

Aime moi car je t'aime comme je n'ai jamais aimé.
Baise moi, Embrasse moi avec ton âme.
Ceinture moi, violente moi.
Défigure moi, mutile moi.
Éventre moi, Scarifie moi.
Flagelle moi, Détruit moi.
Gueule moi dessus, hurle sur moi.
Harasse moi, fatigue moi.
Insulte moi,
Jamais tu ne le pourras ou tu iras.
Lance moi tes reproches, Je les écouterais attentivement.
Menace moi, je le mérite.
Néglige moi, abandonne mes désirs, ne sois satisfaite que de toi même.
Oublie moi,
Patience, mon heure viendra ; je rejoindrais ton monde, tu pourras te morfondre.
Renie moi, cesse de t'en occuper.
Sexe et amour, tout n'est que passion sans compassion.
Tant que les hommes existeront jamais le malheur ne cessera, et je ne peux le nier, car j'en suis la cause.
Us et coutumes, tout n'est qu'inepties et fariboles.
Vante t'en de m'avoir dévisagé, de m'avoir puni à jamais.
Xylophone ou trombone, batterie ou guitare, les sons ne sont définis que par notre esprit ; tu pourras me transpercer, m'éventrer, m'éviscérer, jamais je ne crierais.

[Manu(manisa06)]

Maso ? oui je pense.

J'aime le début mais manque de structure sur une écriture qui pourrait être intéressante.

[célibne]

Cela se voit que vous êtes amoureux Epica.

[Yali]

"Ta bouche est un océan de pétales qui s'entrechoquent et se brisent sur la douce jetée de ton palet."
J'aime les histoires de hockey

[Invité]

"Ta bouche est un océan de pétales qui s'entrechoquent et se brisent sur la douce jetée de ton palet."
J'aime les histoires de hockey

voilà l'exemple typique de faute qui ne donne pas envie de poursuivre la lecture, et incite encore moins le lecteur à prendre le texte au sérieux.

[Krystelle]

Ce texte manque de recherche autour des mots, des images, des idées.
Trop de lieux communs, de phrases et d'idées toutes faites.
Je passe mon tour, désolée.

[kazar]

Je compile mes petits camarades pour n'avoir plus rien à dire.
Un peu bateau, oui.
De l'envie, du désir, certes, mais je ne les ressens pas vraiment.

[Lehnerd]

"Ta bouche est un océan de pétales qui s'entrechoquent et se brisent sur la douce jetée de ton palet."
J'aime les histoires de hockey

Mwaaaarf, c'est tellement cruel.

Moi j'ai un peu l'impression de lire un poème de fêtes des mères. C'est la faute à la structure. Les premiers paragraphe (strophe?) entièrement construit sur le modèle "ton truc à toi>>ce qu'il produit" puis l'enchaînement sur les petites phrases verbe+moi. C'est ce qu'on fait tous au début quoi, quand on patauge et apprend.

Les sentiments sont peut-être là et méritent un cadre plus construit, ça viendra avec le temps (oopa).

Prends de mon avis ce que tu veux, il ne vaut que ma simple opinion.

[Evanescent]

Baise moi, Embrasse moi avec ton âme.
Ceinture moi, violente moi.
Défigure moi, mutile moi.
Éventre moi, Scarifie moi.
Flagelle moi, Détruit moi.
Gueule moi dessus, hurle sur moi.
Harasse moi, fatigue moi.
Insulte moi,

J'ai du mal à voir le lien avec la fête des mères xD

[Lehnerd]

Mdr!!! Oui ça peut sembler bizarre....
C'est que la structure m'a carrément fait passer sur les mots et j'ai eu l'impression de me revoir à l'école avec la maitresse qui demande d'écrire un truc. Un /ajoute ton verbe ici/ + moi, aurait pu passer mais autant...
Disons alors poème de fête des mères post pré-adolescence où l'être aimé prends progressivement la place du fleuron maternel. :o)))

[Invité]

Je vous trouve bien sévères ! il y a dans ce texte une espèce de ferveur perceptible qui résiste aux maladresses, et ça c'est fort, quand même !!! J'ai lu bien des textes plus aboutis, mieux maitrisés qui ne dégageaient pas moitié autant d'émotion ...

[Invité]

Ta bouche est un océan de pétales qui s'entrechoquent et se brisent sur la douce jetée de ton palet. palais, palet, c'est l'espèce de pierre plate pour jouer
Tes yeux sont les diamants de mon cœur cliché, ils m'emplissent de bonheur, m'enseignent la chaleur.
Tes pensées s'apparentent à un long fleuve tranquille ; jamais échoué, jamais inquiété, Toujours avançant.
Ton corps somptueux me flatte et me gène. Te voir si belle, me sentir si laid est pour moi effarant.
Toutes mes pensées vont vers toi, tous mes gestes te consolent.j'aime

Tu es si douce, et tellement délicieuse plat. Craquante, si croquante et si tendre à la fois. ça fait gâteau, je ne déteste pas
Ta bouche est un délice de sens qui s'entremêlent, son goût est si exquis.
Tes yeux sont pulpeux, résistant à mes dents puissantes et acérées. Ca donne quelque chose d'étrange : tu croques les yeux ?
Tes pensées jamais plus n'existeront, Mais ton cœur restera à jamais dans mon esprit.super cliché
Je me suis épris de toi, de Toi et de ton corps chaud et délicat.

Aime moi car je t'aime comme je n'ai jamais aimé.
Baise moi, Embrasse moi avec ton âme.
Ceinture moi, violente moi.
Défigure moi, mutile moi.
Éventre moi, Scarifie moi.
Flagelle moi, Détruit moi.
Gueule moi dessus, hurle sur moi.
Harasse moi, fatigue moi.
Insulte moi, j'aime
Jamais tu ne le pourras ou tu iras. ?
Lance moi tes reproches, Je les écouterais attentivement.
Menace moi, je le mérite.
Néglige moi, abandonne mes désirs, ne sois satisfaite que de toi même. j'aime
Oublie moi,
Patience, mon heure viendra ; je rejoindrais sans s, c'est le futur ton monde, tu pourras te morfondre.
Renie moi, cesse de t'en occuper.
Sexe et amour, tout n'est que passion sans compassion.
Tant que les hommes existeront jamais le malheur ne cessera, et je ne peux le nier, car j'en suis la cause.
Us et coutumes, tout n'est qu'inepties et fariboles.
Vante t'en de m'avoir dévisagé, de m'avoir puni à jamais.
Xylophone ou trombone, batterie ou guitare, les sons ne sont définis que par notre esprit ; tu pourras me transpercer, m'éventrer, m'éviscérer, jamais je ne crierais encore sans S.

Il y a à la fois une sorte de masochisme, de passion et de menace, je trouve ça assez intéressant, Epica. Tu le retravailles ?

[Manu(manisa06)]

Je suis d'accord avec Coline.
Je pense que ça vaut la peine de s'y repencher.

Mais où est passée Epica ?

[Charles]

"Ta bouche est un océan de pétales qui s'entrechoquent et se brisent sur la douce jetée de ton palet."
J'aime les histoires de hockey

:-))))))
vrai que là pour le coup, ça ne dit pas ce que tu voulais ...

les pétales qui s'entrechoquent évoquaient plutôt quelques grincements de dents ... avec le palet en pleine poire, sûr que les incisives risquent bien de se briser ....

Craquante, si croquante et si tendre à la fois

ça sonne un peu comme une pub Milka, ça

Tes yeux sont pulpeux, résistant à mes dents puissantes et acérées.

??? je ne saisis pas franchement l'image des yeux résistants aux dents ?


on ressent une certaine fraicheur et une sincérité mais pas mal de choses à revoir, je crois

[Sahkti]

Epica, l'appel à textes pour la Saint-Valentin, non? :-)

[Nechez]

Fort mais pas assez, il fallait allez plus loin. C'est dur, je le sais.

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