Meurtre au Manoir Pittrecq

[paul41]

Voici le début de mon texte,
Je publierait la suite au fur et à mesure,
Pour l'améliorer j'attends vos correction (orthographe, sens, cohérence, ...), je l'ai prendrais en compte et corrigerez mon texte dans la mesure du possible !


PARTIE I
Tic, Tac, Tic, Tac,Tic, Tac, Dong, Dong, Dong. Trois heures venait de sonner à l'horloge du manoir, lorsque soudain, dans la cour du manoir on entendit raisonner un cris qui venait du quatrième étage, du bureau de Charle Pittrecq, et comme un troupeau affolé tout les membres de la famille se précipitèrent vers le lieu du crime, la première à rentrer fut sa femme, Alphonsa, elle était grande, avec de long cheveu noir et fin, ses yeux laissait transparaitre à travers de petit verre posait sur une monture recouvert de feuille d'or, à la vue de son mari, allongé sur le sol, transpercer en plein coeur, elle se jeta sur lui, déversant un flot de larme. Elle était suivit par Romanella, sa fille cadette, c'était le portrait craché de sa mère, excepté les lunettes, qu'elle n'avait pas encore besoin de porter à son âge, elle ne fut pas choqué à la vu de son défunt père, elle se mit dans un coin de la pièce et regarda la scène, comme si ca ne la concernait pas. Les deux suivant furent Hyppolyte, le frère de Romanella, et Clémence sa femme depuis trois mois, il était lui le portrait de son père, gros avec les yeux verts, ses cheveux était frisés et gras, ils avaient une couleur abominable, roux et sans teint. A la vu du cadavre il devint livide, comme son père, à l'exception qu'il n'était pas mort lui. Sa femme elle était bien jolie, ses grands cheveux blonds, entourés son visage bronzé, et faisait ressortir ses yeux bleus, on se demande ce qu'elle lui trouvait à cet Hyppolyte. Le dernier à arriver, après les servants, fut Raphael, un beau jeune homme sans famille et sans argent, qui avait rencontré Romanella, à un bal de Paris.

[Invité]

Je suis navrée d'avoir à vous le dire, mais ce début est assez catastrophique, du moins au point de vue de l'orthographe et de la ponctuation. Vous alignez les membres de phrase en apposition, séparés par des virgules, et jetez des points au petit bonheur la chance. Lorsque vous vous mettez à parler d'autre chose, c'est mieux de commencer une nouvelle phrase et donc de poser un point.
Sur le fond, c'est assez vif, l'action est menée tambour battant, et vous faites un effort pour décrire les personnages, ce qui est un point positif. Mais je dois vous dire que si vous ne faites pas un effort sur l'orthographe vous risquez fort de ne pas trouver beaucoup de lecteurs ici ! Pour vous aider, je vous signale ci-dessous les erreurs de langue ; pour la ponctuation, c'est à vous de relire et de choisir comment découper cotre texte.

Je vous prie d'excuser ma sévérité : si vous voulez qu'on vous lise sur Vos Ecrits, il vous faudra prendre garde à votre orthographe. Pour ma part je considère qu'il s'agit d'une marque de respect élémentaire envers le lecteur.

Voici le début de mon texte,
Je publierai (sans "t" à la fin) la suite au fur et à mesure, (vous placez une majuscule après une virgule ?)
Pour l'améliorer j'attends vos corrections (orthographe, sens, cohérence, ...), je les prendrai en compte et corrigerai (vous semblez avoir du mal avec les formes verbales) mon texte dans la mesure du possible !


PARTIE I
Tic, Tac, Tic, Tac,Tic, Tac, Dong, Dong, Dong. Trois heures venaient de sonner à l'horloge du manoir, lorsque soudain, dans la cour du manoir (c'est dommage de répéter aussi vite "manoir", cela arrête la lecture) on entendit résonner ("raisonner", c'est faire marcher sa raison ; "résonner", c'est faire du bruit) un cri (sans "s" à la fin du mot) qui venait du quatrième étage, du bureau de Charle Pittrecq, et comme un troupeau affolé tous les membres de la famille se précipitèrent vers le lieu du crime, la première à rentrer fut sa femme, Alphonsa, elle était grande, avec de long cheveux noirs et fins, ses yeux laissaient transparaître à travers de petits verres posés sur une monture recouverte de feuille d'or (ils laissent transparaître quoi, ses yeux ?), à la vue de son mari, allongé sur le sol, transpercé en plein coeur, elle se jeta sur lui, déversant un flot de larmes (si c'est un flot, il y en a plusieurs). Elle était suivie par Romanella, sa fille cadette, c'était le portrait craché de sa mère, excepté les lunettes, qu'elle n'avait pas encore besoin de porter à son âge, elle ne fut pas choquée à la vue de son défunt père, elle se mit dans un coin de la pièce et regarda la scène, comme si ça ne la concernait pas. Les deux suivants furent Hyppolyte, le frère de Romanella, et Clémence sa femme depuis trois mois, il était lui le portrait de son père, gros avec les yeux verts, ses cheveux étaient frisés et gras, ils avaient une couleur abominable, roux et sans teint. A la vue du cadavre il devint livide, comme son père, à l'exception qu'il n'était pas mort lui. Sa femme elle était bien jolie, ses grands cheveux blonds, entouraient (la virgule juste avant nuit au sens du texte) son visage bronzé, et faisaient ressortir ses yeux bleus, on se demande ce qu'elle lui trouvait à cet Hyppolyte. Le dernier à arriver, après les servants (on dit plutôt "serviteurs" ou "domestiques" en français), fut Raphael, un beau jeune homme sans famille et sans argent, qui avait rencontré Romanella, à un bal de Paris.

[Invité]

J'ai buté d'emblée sur "on entendit raisonner " à cause de l'orthographe, tenté de poursuivre un peu mais vraiment j'ai eu du mal avec la ponctuation. Du coup, je n'ai pas fait l'effort de m'intéresser au récit, et c'est peut-être dommage, pour tous les deux d'ailleurs.

Alors que je conçois bien que tu soies fâché avec l'orthographe, je ne comprends pas que tu n'utilises pas un correcteur pour présenter ton texte aux lecteurs.
Pour info :

Nous demandons à chacun d’apporter le maximum de soin à ce qu’il publie, sur le fond comme sur la forme. Nous ne publions pas les textes inachevés, les écrits commis à la va-vite, ceux trop tournés vers le pathos, et ceux encombrés de fautes d'orthographe et/ou de français.

C'est en page d'accueil du site, je t'invite à lire le tout.

[paul41]

D'abord, merci socque de m'avoir corrigé mes fautes, je ne m'imaginait pas qu'il y en ait autant.
Puis j'ai remodelé un peu le texte, en y ajoutant quelques choses, par-ci, par-là. J'attends vos remarques.



Tic, Tac, Tic, Tac, Tic, Tac, Dong, Dong, Dong. Trois heures venaient de sonner à l'horloge de l'entrée, lorsque soudain, dans la cour du manoir on entendit résonner un cri, un cri de douleur comme on n'en avait jamais entendu auparavant dans cette maison, il venait du deuxième étage, du bureau de Charle Pittrecq. A ce moment là, comme un troupeau affolé tous les membres de la famille se précipitèrent vers le lieu du crime. La première à rentrer dans la pièce fut la femme du défunt, Alphonsa Pittrecq, elle s'était mariée avec monsieur Pittrecq il y a environ trente ans, à l'époque il était beau, fils d'un riche avocat dont il avait repris l'affaire, mais il était surtout extrêmement riche, elle, venait d'une pauvre famille de paysan sans ressources qu'elle avait vite fait d'oublier après le mariage, elle était grande, avait de court cheveux noirs et fins, à travers de petits verres qui reposés sur une monture recouverte de feuille d'or, laissaient transparaître ses yeux vifs et perçants, à la vue de son mari, allongé sur le sol, transpercé en plein coeur, elle se jeta sur lui, et de ses lèvres, lui posa un dernier baiser. Juste derrière elle, suivait Romanella, fille cadette de la famille, c'était le portrait craché de sa mère, excepté bien sûr qu'elle ne portait pas de lunettes, dont elle n'avait pas encore l'utilité de porter à son âge, elle, ne fut pas choquée à la vue de son défunt père, elle se mit dans un coin de la pièce et regarda la scène d'un air consterné, comme si ça ne la concernait pas. Les deux suivants furent Hyppolyte, frère ainé de Romanella, et Clémence, sa femme depuis trois mois. Lui au contraire était le portrait de son père, gros, gras, avec les yeux verts, qui formaient de petites billes incrustées dans ce visage potelé, ses cheveux étaient frisés, ils étaient roux. A la vue du cadavre il devint livide, comme son père, à l'exception qu'il n'était pas mort, lui. Sa femme elle était bien jolie, ses grands cheveux blonds entouraient son visage bronzé par le soleil des Caraîbes, où elle avait vécu plusieurs années avant de se marier avec Hyppolyte, et faisaient ressortir ses yeux bleus. Dans la famille on se demandait bien ce qu'elle lui trouvait à cet Hyppolyte. Le dernier à arriver, après les deux domestiques, fut Raphaël, un beau jeune homme, il n'avait pas de famille, ni d'argent, il avait rencontré Romanella, à un bal de Paris.

[slave1802]

A ce moment là, comme un troupeau affolé tous les membres de la famille se précipitèrent vers le lieu du crime

C'est peut-être un peu précipité, je croyais avoir entendu un cri de douleur !

[Invité]

Cette fois j'ai lu avec moins d'irritation. Deux observations : d'abord, ainsi que Slave 1802 te le fait remarquer, tu annonces tout de suite qu'il s'agit d'un crime, au lieu d'essayer de faire durer le suspense. Ensuite, tu passes trop de temps à décrire chaque personnage dans le détail, une idée générale de leur apparence devrait suffire.

[paul41]

1° Je suis d'accord avec toi Easter, je décris beaucoup les personnages, ce qui va servir à faire porter le doute au cour du texte, "les apparences sont trompeuses" comme on dit.
2° Pour ce qui est du cri, je pense qu'on se doute bien que c'est un crime étant donné qu'il est "transpercé en plein coeur"

Merci pour vos remarque vous aurez bientôt la suite ... et sûrement des correctionSSS à faire.

[paul41]

CHAPITRE II
Quelques heures plus tard, assise au piano, Romanella jouait, toute cette affaire, l'avait intérieurement perturbée, même si de l'extérieur, rien ne laissait paraître, ce qui n'avait pas échapper à Raphael et à Clémence, tout deux assis sur le sofa qui donnait sur la grande cour. Mme Pittrecq avait repris ses petites habitudes, qui, consistait à donner des ordres aux deux domestiques de la maison, Bage, le cuisinier, et Gwen, la bonne. Hyppolyte semblait être le seul touché par cette catastrophe, tous, à part lui, était prêt à laissé décomposer le célèbre avocat dans le bureau du deuxième jusqu'à sa disparition totale. Le fils ainé de la famille pris le téléphone et appela la police, sans prévenir personne. Il tomba sur un assistant du commissaire nommé Petter. Hyppolyte même sans avoir son prénom avait remarqué que ce n'était pas un français, mais bel et bien un anglais, grâce à son accent fort marqué. Petter, jeune policier, fut réjouit de cette nouvelle qui allait réveillé le commissariat de Bignenet en Fleuron, situé à quelques kilomètres du manoir, et se rendit sur le champs dans le bureau du commissaire Vendemon d'Auvergne, il ne s'appelait en réalité que Vendemon, mais après sa première mutation hors de son pays natal auvergnat il avait décidé qu'il se ferait appeler Vendemon d'Auvergne, ce dernier pensât tout de suite à un crime de petite importance, et ne fut pas autant réjouit que son assistant, mais son métier était de résoudre les crimes, il fut bien obligé de faire au moins une fois le déplacement.

[Invité]

Pas facile de respirer avec cette ponctuation. Quelques corrections, pour te donner un idée, mais c'est toi qui décides !

Quelques heures plus tard, assise au piano, Romanella jouait. Toute cette affaire, l'avait intérieurement perturbée, même si de l'extérieur, elle n'en laissait rien paraître, ce qui n'avait pas échappé à Raphael et à Clémence, tous deux assis sur le sofa qui donnait sur la grande cour. Mme Pittrecq avait repris ses petites habitudes, qui, consistaient à donner des ordres aux deux domestiques de la maison, Bage, le cuisinier, et Gwen, la bonne. Hyppolyte semblait être le seul touché par cette catastrophe. Tous, à part lui, étaient prêts à laisser décomposer le célèbre avocat dans le bureau du deuxième jusqu'à sa disparition totale. Le fils aîné de la famille pritle téléphone et appela la police, sans prévenir personne. Il tomba sur un assistant du commissaire nommé Petter. Hyppolyte même sans savoir son prénom avait remarqué que ce n'était pas un français, mais bel et bien un anglais, grâce/ à cause de son accent fort marqué. Petter, jeune policier, fut réjouit de cette nouvelle qui allait réveiller le commissariat de Bignenet en Fleuron, situé à quelques kilomètres du manoir, et se rendit sur le champ dans le bureau du commissaire Vendemon d'Auvergne. Il ne s'appelait en réalité que Vendemon, mais après sa première mutation hors de son pays natal auvergnat, il avait décidé qu'il se ferait appeler Vendemon d'Auvergne. Ce dernier pensât tout de suite à un crime de petite importance, et ne fut pas autant réjoui que son assistant, mais son métier était de résoudre les crimes, il était bien obligé de faire au moins une fois le déplacement.

[Invité]

"Ce dernier pensa", et non "pensât". "pensât", c'est la forme du subjonctif imparfait.

Je regrette de constater que votre ponctuation est tout aussi anarchique qu'avant, de même que votre orthographe. Encore une fois, l'histoire n'est pas mal, mais vous vous appliquez à la rendre illisible et à massacrer votre texte !

[paul41]

CHAPITRE II
Quelques heures plus tard, assise au piano, Romanella jouait. Toute cette affaire, l'avait intérieurement perturbée, même si de l'extérieur, elle n'en laissait rien paraître, ce qui n'avait pas échappé à Raphael et à Clémence, tous deux assis sur le sofa qui donnait sur la grande cour. Mme Pittrecq avait repris ses petites habitudes, qui, consistaient à donner des ordres aux deux domestiques de la maison, Bage, le cuisinier et Gwen, la bonne. Hyppolyte semblait être le seul touché par cette catastrophe. Tous, à part lui, étaient prêts à laisser décomposer le célèbre avocat dans le bureau du deuxième jusqu'à sa totale disparition. Le fils aîné de la famille prit le téléphone et appela la police, sans prévenir personne, ce qui ne permettrait pas aux autres de se préparer aux interrogatoires. Il tomba sur un assistant du commissaire nommé Petter. Hyppolyte même sans savoir son prénom avait remarqué que ce n'était pas un français, mais bel et bien un anglais, à cause de son accent fort marqué, et lui parla de la mort de M Pittrecq. Petter, jeune policier, fut réjouit de cette nouvelle qui allait réveiller le commissariat de Bignenet en Fleuron, situé à quelques kilomètres du manoir, et se rendit sur le champ dans le bureau du commissaire Vendemon d'Auvergne. Il ne s'appelait en réalité que Vendemon, mais après sa première mutation hors de son pays natal auvergnat, il avait décidé qu'il se ferait appeler Vendemon d'Auvergne. Ce dernier pensa tout de suite à un crime de petite importance, et ne fut pas autant réjoui que son assistant, mais son métier était de résoudre les crimes et il était bien obligé de faire au moins une fois de se rendre sur le lieu du meurtre.

CHAPITRE III
Une ou deux heures plus tard, tous le monde vaquait à ses occupations. Lorsque la sonnette de l'entrée retentit. Ce qui réveilla Mme Pittrecq, qui était, comme tous les jours, monter faire sa sieste. Elle pensa tout naturellement que c'était un client de son mari qui venait chercher un document sans importance qu'il pourrait venir récupérer plus tard, quand son mari serait revenu. Ce fût Gwen qui alla ouvrir la porte. Devant elle se dressait un homme, à la carrure importante et imposante, cachant un jeune homme tout petit, qui tenait dans sa main un carnet et un stylo. Ces deux personnages se présentèrent comme le commissaire Vendemon d'Auvergne et l'assistant du commissaire. Gwen fut toute étonnée de cette présence inattendue, mais pas inopportune. Après avoir installée les deux hommes dans l'entrée, elle traversa la cour, pris l'escalier et monta chercher Mme Pittrecq. Celle-ci s'était tranquillement rendormis, et Gwen dut la secouer un peu pour qu'elle sorte de sa sieste. Alphonsa fût étonnée doublement à cette nouvelle, que ce n'était pas elle qui avait appelée la police. Elle enfila un pull et descendit dans le salon où elle fit venir les deux policier. Elle leur demanda la raison de leur venue. Le commissaire demanda alors à la maîtresse de maison si son mari n'avait pas eu un problème c'est derniers temps. Et de la manière la plus inattendue qu'il soit, elle dit, qu'il était partit. Le commissaire en sachant quelle réponse il espérait attendre, demanda où il était partit. Mme Pittrecq dit qu'elle ne savait pas très bien, qu'elle ne connaissait pas cette endroit, mais qu'il avait laisser son corps dans son bureau. Le commissaire ébahit de la réponse de cette dernière demanda à voir ce même bureau. La veuve les y conduisit. Le commissaire ouvra la porte, et il vit alors dans cette pièce quelque chose qu'il ne s'attendait pas à voir.

[Invité]

Paul 41, il faut ralentir le rythme ! Normalement un texte par semaine, tu en es déjà à 3 !!!

[Invité]

Je vous indique encore, dans ce nouveau chapitre (le III), les erreurs d'orthographe et ce qui a arrêté ma lecture dans la ponctuation (bien qu'en ce domaine, évidemment, les règles soient plus souples), mais, une fois de plus, je vous prie de vous relire ou vous faire relire avec davantage d'attention avant de poster vos textes, ces erreurs gâchent la lecture et peuvent même gêner la compréhension ! Je me permets également de vous signaler ce qui me paraît constituer des maladresses. La disposition en pavé, c'est votre choix ; elle peut gêner aussi la lecture.

Je pense notamment que vous devriez faire attention à vos formes verbales.
Sur le fond, l'histoire me paraît un peu confuse, mais j'ai eu du mal à me concentrer dessus à cause des fautes. Vous ne mettez guère votre texte en valeur en le proposant tel quel, et franchement me donnez l'impression, sans doute fausse, que vous vous moquez de ce que peuvent lire vos lecteurs.

CHAPITRE III
Une ou deux heures plus tard, tous le monde vaquait à ses occupations. Lorsque ("Lorsque" introduit une subordonnée temporelle rattachée à la principale du verbe "vaquait". Le point entre une principale et sa subordonnée n'a guère de sens) la sonnette de l'entrée retentit. Ce (idem ici, cette proposition introduite par "ce qui" n'a pas à être séparée du membre de phrase auquel elle fait référence... à moins que vous ne vouliez obtenir un effet de style particulier, et je ne pense pas que ce soit le cas ici) qui réveilla Mme Pittrecq, qui était, comme tous les jours, montée faire sa sieste. Elle pensa tout naturellement que c'était un client de son mari qui venait chercher un document sans importance qu'il pourrait venir récupérer plus tard, quand son mari serait revenu (votre phrase comporte presque à la suite "que", "qui", "qu'", ce qui nuit à sa fluidité). Ce fut (sans accent circonflexe sur le "u" au passé simple) Gwen qui alla ouvrir la porte. Devant elle se dressait un homme, à la carrure importante et imposante (les deux adjectifs presque synonymes font double emploi), cachant un jeune homme tout petit, qui tenait dans sa main un carnet et un stylo. Ces deux personnages se présentèrent comme le commissaire Vendemon d'Auvergne et l'assistant du commissaire (la répétition de "commissaire" est un peu trop visible à mon avis). Gwen fut toute étonnée de cette présence inattendue, mais pas inopportune. Après avoir installé (le participe ne s'accorde pas parce que le complément d'abjet direct est situé après ; Gwen installe qui ? les deux hommes) les deux hommes dans l'entrée, elle traversa la cour, prit l'escalier et monta chercher Mme Pittrecq. Celle-ci s'était tranquillement rendormie, et Gwen dut la secouer un peu pour qu'elle sorte de sa sieste. Alphonsa fut (sans accent circonflexe sur le "u" au passé simple) étonnée doublement à cette nouvelle, que (ce "que" tout seul ne correspond pas à grand-chose ; avez-vous voulu dire "vu que", par exemple ?) ce n'était pas elle qui avait appelé (le participe ne s'accorde pas parce que le complément d'abjet direct est situé après ; Alphonsa n'a pas appelé qui ? la police) la police. Elle enfila un pull et descendit dans le salon où elle fit venir les deux policiers. Elle leur demanda la raison de leur venue. Le commissaire demanda (attention à la répétition de "demanda", ça se remarque)) alors à la maîtresse de maison si son mari n'avait pas eu un problème ces derniers temps. Et de la manière la plus inattendue qu'il soit, elle dit, (cette virgule n'est pas utile) qu'il était parti (sans "t" à la fin du participe). Le commissaire en sachant quelle réponse il espérait attendre,(l'expression est bizarre, il n'est pas utile à mon avis de juxtaposer les deux verbes ; d'autre part, il est préférable d'ajouter une virgule après "commissaire" si vous voulez isoler ce membre de phrase "en sachant (...) attendre" : une seule virgule ne suffit pas à constituer l'apposition) demanda où il était parti (sans "t" à la fin du participe). Mme Pittrecq dit qu'elle ne savait pas très bien, qu'elle ne connaissait pas cet (et non "cette") endroit, mais qu'il avait laissé son corps dans son bureau. Le commissaire ébahit (sans "t" à la fin) de la réponse de cette dernière demanda à voir ce même (la précision apporté par "même" ne me paraît pas utile, on n'a parlé que d'un bureau jusqu'à présent) bureau. La veuve les y conduisit. Le commissaire ouvrit la porte, et il vit alors dans cette pièce quelque chose qu'il ne s'attendait pas à voir.

[mentor]

ouaip, Paul, tu te calmes un peu siouplé parce que là, le forum PROSE y en a que pour toi depuis hier 11h30 ! ça n'arrête pas de rester en haut ton texte, d'abord parce que tu réponds à chaque commentaire et puis que tu en rajoutes des bouts
c'est comme ça qu'on monopolise et qu'on laisse pas la place aux autres,
alors lis ou relis la page d'accueil, y a TOUT ce qu'il faut savoir pour venir jouer ici
et d'abord, au fait, tu t'es un peu présenté, là haut ? hein, dis ?
:-))

et zut, j'ai fait remonter le texte
ha ben non, il était scotché en haut... ;-)

[paul41]

CHAPITRE IV
Devant lui, se dressait l'une de plus grande pièce du manoir et surement la plus grande du deuxième étage, en face de la porte le mur était tout entier ouvert par de grandes baies vitrées qui donnait sur la cour du bâtiment. Le sol du bureau était recouvert d'une moquette bleue majorelle, les murs, eux aussi, étaient peint de cette même couleur. Bien que cette couleur ne fut pas aux goûts du commissaire, ce n'est pas cela qui le choqua le plus quand il entra. La pièce était vide, il n'y avait rien, aucun meuble, aucun objet, et encore moins de corps de M Pittrecq, ni même de corps d'autres personnes. Petter, comme à son habitude, pris note de ce qu'il venait de voir. Le commissaire se tourna vers Mme Pittrecq, comme pour avoir une explication rationnelle, qu'il n'aurait jamais en se tournant vers la veuve, elle dit, d'un ton monotone habituel : « Il a dut venir chercher pendant que je dormais chercher ses affaires. Comme je l'aime il ne m'as même pas réveillée ». C'est cette phrase qui décida le commissaire à poursuivre cette enquête et à trouver par tout les moyens le criminel, même si il était bien décidé à faire disparaître toutes les preuves avant que l'affaire ne soit résolue.

[Invité]

Désolée, paul41, je ne vous commenterai plus tant que vous n'aurez pas fait un minimum d'efforts pour nous proposer des textes moins bourrés de fautes.

[Deoxys 2]

Je relève quelques fautes que j'essaie de corriger en partie et après je te propose mon avis :

CHAPITRE IV
Devant lui, se dressait l'une des plus grandes pièces du manoir et sûrement la plus grande du deuxième étage, en face de la porte. Le mur était tout entier ouvert par de grandes baies vitrées qui donnait sur la cour du bâtiment (J'aurais plutôt dit quelque chose comme "De grandes baies vitrées, par lesquelles on pouvait apercevoir la cour du bâtiment, offraient un agréable contraste avec les murs..."). Le sol du bureau était recouvert d'une moquette bleue majorelle, et les murs(, eux aussi,) étaient peint de cette même couleur. Bien que cette couleur ne fut pas au goût du commissaire, ce n'est pas cela qui le choqua le plus quand il entra. La pièce était vide, il n'y avait rien, aucun meuble, aucun objet, et encore moins de corps de M Pittrecq, ni même de corps d'autres personnes. Petter, comme à son habitude, pris note de ce qu'il venait de voir. Le commissaire se tourna vers Mme Pittrecq, comme pour avoir une explication rationnelle, qu'il n'aurait jamais en se tournant vers la veuve, elle dit, d'un ton monotone habituel (Cette phrase est mal construite) : « Il a dut venir chercher pendant que je dormais chercher ses affaires. Comme je l'aime il ne m'as même pas réveillée ». C'est cette phrase qui décida le commissaire à poursuivre cette enquête et à trouver par tout les moyens le criminel, même s' il était bien décidé à faire disparaître toutes les preuves avant que l'affaire ne soit résolue.

Le sens de certaines de vos phrases m'échappe parfois, essayer de vous relire plusieurs fois. Améliorez s'il vous plaît la construction de ces dernières afin de faciliter la lecture du lecteur ! Votre texte est cependant intéressant, et je constate même avec plaisir que vous avez fait des progrès, malgré les nombreuses maladresses persistantes, depuis la publication de l'incipit du début de ce roman. A vous lire bientôt si vous vous appliquez davantage...

[Hellian]

Stop ! garçon, stop !

Si tu veux mon avis, il te faut tout reprendre au CE2. C'est bien de vouloir écrire, mais tu dois te donner les moyens de tes ambitions. Et là, d'évidence, tu ne les as pas. Il y a des remèdes à cela:
- fais des exercices de base avec un Bled
- apprends les règles d'orthographe par cœur
- lis autant que tu peux (de bons romans classiques si possible)

Et reviens quand tu auras fait de vrais progrès !

[Sahkti]

Hum... désolée hein mais malgré les corrections et toute la bonne volonté des commentateurs qui te filent d'énormes tuyaux et conseils, cela reste en grande partie illisble.
Est-ce que tu écris ton texte au fur et à mesure? Sais-tu où tu vas?
Ici, j'ai l'impression que tu alignes les phrases comme elles te viennent, sans tenir de véritable cohérence du début à la fin. Je ne te parle même pas de la densité du truc ou de ta ponctuation, mais de l'ensemble qui me paraît vraiment trop chaotique et déstructuré. Cela me semble indispensable d'être repris depuis le début en fonction des remarques qui ont été formulées par les autres.

[Modération]

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