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Sortilège

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Message  elvira Dim 10 Mai 2009 - 19:10

SORTILEGE
Je suis concentrée si je prie très fort, ça va marcher, Soudain, des images me reviennent en mémoire, c’était il y a quelques jours lors d’une rencontre mystérieuse.

Un vent glacial balayait les rues ce soir là, le brouillard était dense, on ne voyait pas à 10 mètres. C’était une nuit sans lune. Je me rendais au bal costumé organisé par Sébastian d’Angicourt, un nouvel élève du lycée. Ma démarche était perturbée par ma robe de Marquise ample et lourde. Mon idée de costume n’était pas très pratique finalement. Mon pire cauchemar était au bout de la rue, pour atteindre le manoir des d’Angicourt, je devais passer devant le vieux cimetière de la croix de Fer, précisément là où depuis quelques semaines plusieurs meurtres avaient été commis. A la vue des premières tombes, un frisson parcourut tout mon corps, je récitais des prières dans ma tête pour faire partir mon angoisse. J’étais issue d’une famille catholique assez influente dans mon village, mon père en était le Diacre . Ce soir là pour une fois, j’avais la permission de minuit.

Je longe le mur en pierre, tout à coup, un cri désagréable me perce les tympans : je n’ose y croire, posée sur la branche d’un tilleul, une pie me fixe avec un regard noir comme si j’étais une proie. Une pie en pleine nuit ? C’est plutôt étrange, en général, je n’aimais pas ce genre de volatile pour moi c’était un animal de mauvais augure. Je décide d’accélérer le pas, fuir au plus vite ce lieu funeste.

Enfin, je me trouve devant le portail d’entrée du manoir : la peinture s’écaille par endroit. L’allée menant au manoir est bordée de torches enflammées, le gravier craque sous mes pas. J’arrive enfin dans la salle de bal, elle est immense et noire de monde. Il a invité tout le lycée, ma parole ! J’aperçois une sorcière, un fantôme, un costume de Scream puis soudain c’est bien lui, Sébastian d’Angicourt ! En costume de Marquis : une veste noire ourlée d’un filet d’or et une chemise blanche aux manches bouffantes. C’est un garçon très mignon, brun, yeux couleurs de l’émeraude, il doit mesurer au moins un mètre quatre vingt dix. Toutes les filles du lycée sont folles de lui depuis son arrivée. Mais, il avait un petit quelque chose dans le regard qui me donnait parfois la chair de poule. Moi, il ne m’avait jamais adressé la parole, il avait toujours l’air hautain et ce soir, il était encore égal à lui même. Je me demande pourquoi je suis venue, je ne sais même pas danser la valse et puis qui pourrait inviter, Marie, la fille du Diacre : tout le monde devait croire que j’allais finir bonne sœur ! Finalement, je file en douce dans un grand couloir sombre, les murs sont recouverts de vieux tableaux de portraits : ce devait être la galerie des ancêtres d’Angicourt.

Je suis fascinée par tous ces personnages, ils ont curieusement tous le teint pâle comme Sébastian et un regard étrange comme sans vie. Le portrait d’une femme brune en robe pourpre attire mon attention, elle est d’une beauté extraordinaire mais avec un regard triste.
― « C’est mon arrière-arrière grand mère. »
Je ne l’avais pas entendu arrivé, il était juste derrière moi, c’était lui, Sébastian !
― « Aahhhh ! »
― « Bonsoir, je suis Sébastian d’Angicourt, pardon de t’ avoir effrayé ! »
« Sébastian d’Angicourt », il y a le mot ange dans son nom de famille, c’est peut être ça, ce doit être un ange, tombé du ciel rien que pour moi ! pff, qu’est ce que je raconte, je m’égare là, c’est juste un garçon comme un autre… Je n’en reviens pas, il m’a adressé la parole, lui qui est si distant d’ordinaire. Il est vraiment immense et beau comme un dieu de l’Olympe je n’ose le regarder dans les yeux tellement je suis troublée.
― « Bonsoir, moi c’est Marie Pardonnet. Elle est très belle dans sa robe pourpre ! »
― « Oui, elle te ressemble un peu, je trouve qu’elle a le même regard que toi tout à l’heure lorsque tu est entrée dans la salle de bal, un peu mélancolique ».
Soudain, je sens mes joues brûler, j’ai envie de me cacher derrière un des énormes rideaux du couloir.
― « Ah oui ? tu rigoles, elle est plus jolie que moi ! »
Il rit doucement et dit :
― « en tout cas tes yeux sont plus beaux, surtout avec les reflets des candélabres du couloir. »
Je me voyais bien vivre ici avec lui, c’est ce que j’ai toujours rêvé, c’était un peu le prince charmant dans son château, il manquait le cheval blanc et tout serait parfait !
― « Avant le lycée, tu ne venais pas à l’école du quartier ? »
― « Non, j’avais un précepteur mais pour le lycée, j’ai eu envie de rencontrer des gens. »
― « Si ça te dis, je peux te faire visiter le manoir » dit-il en changeant de sujet.
Soudain, il me prit la main, elle était glacée comme s’il l’avait plongée dans une congère : une décharge électrique parcoure tout mon corps, il avait sûrement ressentit quelque chose car il lâcha ma main brusquement.
― « Heu, oui, pas de problème. »
― « Dommages qu’il ne fasse pas jour car le parc est magnifique. »
Il m’expliqua le plan des jardins à la française en détail, il décrivait chaque arbre, chaque statue tel un poème et moi je buvais ses paroles. C’était la première fois que je me sentais bien avec un garçon.
― « Viens, retournons dans la salle de bal, je ne peux pas délaisser mes invités plus longtemps ! »
― « Le buffet est par là, tu dois avoir faim ? »
― « Oh oui ! Merci ! »
Le buffet était magnifiquement décoré de nappes blanches et rouges vaporeuses avec quelques chandeliers dorés et bien garni de toutes sortes de mets délicieux. Je pris une assiette et me servi copieusement.
― « Tu ne manges rien ? »
― « Non, je n’ai pas faim. »
Soudain, la musique commença, bientôt tous les couples s’étaient formés et il ne restait plus que moi et Sébastian. C’était un air de musique classique, le beau Danube bleu, je crois.
― « Vous voulez bien m’accorder cette danse, mademoiselle ?
Sans attendre ma réponse, il me prend la main et m’entraîne sur le parquet de la salle de bal.
― « Je ne sais pas danser la valse. »
― « Regarde, ce n’est pas difficile, je vais te conduire, laisse toi porter par la musique, j’adore cet air, c’est mon préféré ! »
C’est vrai, il a raison, après quelques hésitations, je danse la valse et avec un apollon en plus ! En peu de temps, ma tête commence à tourner.
― « Regarde moi dans les yeux, ça va passe. »
― « Malgré ma timidité, je plonge dans ses yeux et je me sens beaucoup mieux. »
C’est comme s’il lisait dans mes pensées et anticipait toutes mes réactions.
La fin de la musique approche et il me dit :
― « Viens, allons sur la terrasse. »
Je sens le poids de tous les regards sur moi, les autres élèves semblent étonnés de me voir au bras de Sébastian, même Stella, la plus belle fille de ma classe ne l’intéresse pas !
― « Tu es la fille du Diacre, c’est bien ça ? »
― « Oui, j’assiste à toutes les messes mais toi je ne t’ai jamais vu. »
― « Ma foi s’exprime mieux à l’écart de la foule. »
― « On ne sait jamais, un jour tu m’adresseras peut être une de tes prières. »
― « Si tu en as besoin, oui. »
― « Tu peux commencer maintenant, ça te dit un petit tour de Porsche ? »
Oh là là, ce doit être, la belle Porsche noire garée juste devant l’entrée. J’adore les voitures de sport et puis seule avec lui… non, je ne dois pas succomber à son charme, je vais être déçue comme avec tous les autres…
― « Et bien oui mais il faut que nous soyons de retour avant minuit ! »

Sébastian m’ouvre la porte côté passager de la Porsche, geste que les garçons ne font plus depuis longtemps ! Les sièges sont en cuir noir et rouge, il y a un parfum de lilas dans l’habitacle, très agréable. Lui, dépose délicatement sa veste sur le dossier de son siège et démarre le moteur de la voiture. J’aime le ronronnement caractéristique des Porsche ! Il roule doucement dans l’allée puis dès que nous sommes sur l’asphalte, il me fait un clin d’œil et appuie sur l’accélérateur. Je crois être dans une fusée, je n’arrive pas à décoller ma tête du siège, la route défile à toute allure.
Sébastian se met à rire, franchement cela ne m’étonne pas : je suis crispée, mes mains agrippées au siège.

― « Alors, tu aimes la vitesse ? »
― « Heu, oui mais à petite dose, tu roules trop vite là ! attention, y’a un camion devant ! »
― « Alors fais ta prière, c’est le moment ! »
― « Quoi ? t’es dingue ! »
― « Ne t’inquiètes pas, j’ai l’habitude de ma voiture, regarde, il est déjà derrière nous ! »
― « Je n’en doute pas mais tu conduits toujours comme ça ? »
― « Oui, j’aime bien c’est grisant. »
― « Et sans ceinture en plus ! »
― « Oh, pas besoin, dit il avec décontraction. »
― « Enfin, ralenti quand même, j’ai mal au cœur là ! »
― « Oh, désolé ! »
La voiture roule à une vitesse raisonnable maintenant.
Voilà, je rencontre un garçon mignon qui semble me trouver à son goût et c’est un fou du volant, franchement j’ai pas de chance décidément.
Soudain, nous sommes près du vieux cimetière, il gare la voiture devant l’entrée.
― « Viens, j’ai quelques chose à te montrer ! » dit-il avec décontraction.
― « Quoi, t’es pas bien, aller dans un cimetière en pleine nuit ? en plus t’es au courant des meurtres ?
― « Oui, mais tu ne crains rien, tu es avec moi »
― « Bon si tu veux .» Malgré tout, je sens l’angoisse monter, il fait sombre et la brume est opaque maintenant.
Nous arrivâmes près d’une tombe magnifiquement sculptée. Il y avait des roses rouges dans des vases au pied de l’édifice.
― « Voilà le tombeau familial, j’y viens de temps en temps. »
― « En pleine nuit ? »
― « Oui ça m’arrive, au moins t’es pas dérangé par les voisins ! »
― « Ça c’est sûr mais c’est quand même étrange »
Je regarde ma montre.
― « Oulà ! il est presque minuit ! dépêchons nous, il faut que je rentre ! »
― « Ok, je te raccompagne alors ! »
― « Ok, sans excès de vitesse. »
― « Comme tu voudras ! »
Au loin, on apercevait déjà les lueurs faibles du village.
― « C’est ici, arrêtes toi s’il te plaît ! »
― « Comme vous voudrez mademoiselle !
puis soudain, il me prend la main et y dépose un baiser.
― « Heu, bon je dois y aller, il est tard, on doit m’attendre à la maison. »
― « Lundi, à minuit, rejoins moi au cimetière, à l’endroit où nous étions cette nuit, j’aurais quelque chose à te dire. »
― « Oui, j’essayerais, je vais devoir faire le mur ! »
― « Tu vas y arriver, j’en suis sûr, bonne nuit ! »
― « Bonne nuit. »

Bien entendu, je n’arrive pas à fermer l’œil et pour la première fois, je rêve de Sébastian… Mais c’est plus un cauchemar qu’un beau rêve : je me voyais envahie par des fumées noires, je sombrais dans les limbes et puis il y avait cette pie qui me fixait comme celle du cimetière ce soir. Heureusement, le beau visage de Sébastian apparut soudain, ce qui m’apaisa.
Lundi 23h45, tout le monde dort dans la maison, il faut que je sorte à tout prix ! Je descends le long de la gouttière, je suis folle, je n’ai jamais fait ça ! Si mon père l’apprend, il va m’enfermer dans un couvent à vie ! Je remonte la rue, longe le mur en pierre, ça y est je suis au cimetière. J’ai froid, je sens les poils de mes bras se tendrent sur ma peau. Allez un peu de courage, je vais rejoindre Sébastian et il a quelque chose à me dire ! il veut peut être m’épouser ! pff n’importe quoi, je m’égare encore une fois lorsque je songe à lui !
Oh ! c’est pas vrai, qu’est ce que… non encore ce maudit volatile ! Cette pie au regard plus noir que son plumage : d’un coup elle s’envole en poussant un cri lugubre, j’en ai froid dans le dos. C’est étrange, elle est une fois de plus sur mon chemin, c’est mauvais signe j’en suis certaine. Bon, ça va aller, je marche à toute vitesse, ça y est, le tombeau familial des d’Angicourt est tout proche, mais pas de Sébastian. Je suis devant le tombeau, je regarde la liste des personnes : c’est impressionnant, les hommes sont tous morts très jeunes, entre 20 et 30 ans.
― « Bonsoir, Mademoiselle. »
― « Ahhh ! tu veux que je fasse une crise cardiaque ou quoi ! »
― « Désolé, ça m’amuse ! »
― « Ouais et bien moi non ! Bonsoir quand même ! »
― « Alors qu’avais tu à me dire en pleine nuit et dans un cimetière ! »
― « Ça. »
Il m’attire à lui, serre ma taille, il hésite un instant comme si l’épreuve était difficile pour lui puis ses lèvres se posent sur les miennes. J’oublie le lieu, je suis bien dans les bras de cet être magnifique.
Tout à coup, j’ai la tête qui tourne, je suis sur le point de m’évanouir.
Je sens des mains glacées autour de mon cou, mais non c’est impossible ! J’ouvre les yeux, Sébastian a le regard incandescent comme la lave, il est en train de m’étrangler ! Il serre de plus en plus ! Mais d’un coup lâche prise.
Je tente de reprendre mon souffle.

― « Arrête ! Qu’est-ce qui te prends, tu es possédé ou quoi ! Je t’aime ! Mais, je deviens folle, je suis amoureuse d’un meurtrier !
A ce moment là, Sébastian disparut sous une épaisse fumée noire et soudain, non, c’est impossible, il vient de se changer en pie. C’est incroyable, je dois être en train de rêver !
Alors, je me rappelais les paroles qu’il avait prononcé sur la terrasse du manoir : « un jour tu m’adresseras peut être une de tes prières ». Je me mets à genou, les mains jointes, paupières closes.

Je t’en supplie mon Dieu, écoute ma prière et sauve son âme : sans lui je ne suis rien, je n’ai jamais ressentie ça pour personne auparavant. Je t’en prie exauce ma prière…Je l’aime tellement !

J’entends les cris stridents de l’animal puis plus rien. Je rouvre les yeux, je vois à la place de la pie une colombe immaculée puis dans une fumée blanche cette fois, il apparaît allongé sur le sol. Il est vivant, il ouvre les yeux et me dit :
― « Je t’avais dit que tu prierais pour moi, tu as brisé le sortilège, un démon possédait mon âme, seul l’amour et les prières d une jeune fille pure pouvaient me sauver, je t’aime. »
― « Je t’aime aussi ».
― « À jamais » renchérit-il. »
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Message  Invité Dim 10 Mai 2009 - 19:55

C'est amusant, ce mélange de sentimentalisme et de vampirisme... Pas déplaisant, malsain, j'aime bien...

En revanche, prenez garde à l'orthographe, par endroits tout va bien, puis soudain les fautes s'accumulent en quelques lignes, comme si vous ne parveniez pas à vous concentrer de bout en bout dans votre relecture.

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Message  mentor Dim 10 Mai 2009 - 20:02

cui-cui fait la pie
;-)

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Message  Invité Dim 10 Mai 2009 - 20:07

Ah si, une chose m'a gênée quand même, c'est cette oscillation permanente entre passé et présent dans la narration... A mon avis, un présent partout serait nettement mieux.

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Message  elvira Lun 11 Mai 2009 - 11:47

merci pour les commentaires. Pour le temps de la narration, une maison d'édition qui organisait le concours de nouvelle m'a dit qu'au contraire la variation de temps donnait un certaine dynamique au récit. Moi aussi, je pensais que cela pouvait gener la lecture comme quoi, on voit parfois des défauts là où il n'y en a pas...
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Message  Invité Lun 11 Mai 2009 - 15:49

Ce conseil est surprenant, il s'adressait à ce texte ou était de portée plus générale ?

Parce qu'ici le changement de l'un à l'autre passe très mal, on a vraiment l'impression d'une erreur de langage.

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Message  elvira Lun 11 Mai 2009 - 19:29

voici la réponse concernant oui ce texte!

Bonjour,

Concernant votre écriture, nous n'avons trouvé aucun défaut.
L'utilisation de temps différents, au contraire, donne une dynamique
intéressante au texte.
Cependant vous écrivez très bien, le style est fluide et agréable à
lire.

Concentrez-vous d'avantage sur la construction de l'intrigue, de
manière à tenir le lecteur en haleine. Une fin un peu moins "à l'eau
de rose" nous aurait, par ailleurs, satisfaits d'avantage.

Vous pourrez, si vous souhaitez l'acquérir, lire les textes primés,
afin de mieux comprendre ces différents points.

Persévérez, vous avez du talent.

Très cordialement.

Nathalie Moreau,
Responsable Relations Presse.


EDITIONS GRIMAL
55, rue des Vignoles - 75020 Paris
Tél : 01 44 64 09 45
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Message  Sahkti Mar 2 Juin 2009 - 12:17

persévérez, vous avez du talent, c'est la formule polie pour on vous écrira ? Je suis assez étonnée par la formulation de cette lettre de réponse je dois dire...
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Message  Sahkti Mar 2 Juin 2009 - 12:19

Du bon et du moins bon.
Du bon dans les idées, cette histoire de vampires, la relation entre les personnages qui pourrait évoluer.
Par contre, je suis plus réservée sur les maladresses de narration, cette façon un peu plate de raconter, très extérieure à ce qui se passe dans le texte. Il me manque la dimension intérieure, l'implication, pour pleinement profiter de ce texte.
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