SM
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SM
Voilà à nouveau le texte d'une chanson que j'enregistre partiellement demain matin
Je ne pourrais t’abandonner
Tu as l’air si fragile quand je te vois dormir
Je n’aurais pas pu l’empêcher
Tu semblais si dément quand je t’entendais hurler
Quand les portes se fermaient
Que les ténèbres envahissaient
Dans ton lit, tes poings se serraient,
L’esprit aux aguets, tu attendais.
Chaque nuit resurgissent tes sombres angoisses,
Hydre de tes cauchemars, fantômes aux fins si noires
Noyé dans tes soucis et seul dans tes longs draps
Comment aurais-tu pu égaler l’inébranlable ?
Je ne pourrais t’abandonner
Tu as l’air si fragile quand je te vois dormir
Je n’aurais pas pu l’empêcher
Tu semblais si dément quand je t’entendais hurler
Alors les monstres jaillissaient
De toute part ils t’entouraient
Montrant leurs crocs ensanglantés
Sadiques, ils te mordaient
Et chaque soir recommence ta cruelle histoire
Fictive tu la vois, impitoyable, tu y crois
Peur que l’on te touche, peur que l’on te bouffe,
Comment aurais-tu pu évoluer dans ce monde, où règne la cruauté ?!
Je ne pourrais t’abandonner
Tu as l’air si fragile quand je te vois dormir
Je n’aurais pas pu l’empêcher
Tu semblais si dément quand je t’entendais hurler
Je t’ai vue arracher ta peau, je t’ai vue te saigner
Je les ai vus t’emporter et ton visage se fermer,
Mes larmes perlaient tandis que tu t’en allais
Et maintenant tu es si seul, ça je le sais.
Seul dans le noir,
Seul sans espoir.
Tes peurs assassinent
Et ton sang dégouline
Seul dans un placard
Seul sans ta foi
Les images morbides
Emprisonnent ton esprit
Je t’entends crier
Je t’entends m’appeler
Mais je ne peux te sauver si je suis moi-même enfermée
Je t’entends pleurer
Je t’entends prier
Comment te protéger si je suis incapable de bouger
Mais,
Je ne pourrais t’abandonner
Tu as l’air si fragile quand je te vois dormir
Je n’aurais pas pu l’empêcher
Tu semblais si dément quand je t’entendais hurler
Je ne pourrais t’abandonner
Tu as l’air si fragile quand je te vois dormir
Je n’aurais pas pu l’empêcher
Tu semblais si dément quand je t’entendais hurler
Quand les portes se fermaient
Que les ténèbres envahissaient
Dans ton lit, tes poings se serraient,
L’esprit aux aguets, tu attendais.
Chaque nuit resurgissent tes sombres angoisses,
Hydre de tes cauchemars, fantômes aux fins si noires
Noyé dans tes soucis et seul dans tes longs draps
Comment aurais-tu pu égaler l’inébranlable ?
Je ne pourrais t’abandonner
Tu as l’air si fragile quand je te vois dormir
Je n’aurais pas pu l’empêcher
Tu semblais si dément quand je t’entendais hurler
Alors les monstres jaillissaient
De toute part ils t’entouraient
Montrant leurs crocs ensanglantés
Sadiques, ils te mordaient
Et chaque soir recommence ta cruelle histoire
Fictive tu la vois, impitoyable, tu y crois
Peur que l’on te touche, peur que l’on te bouffe,
Comment aurais-tu pu évoluer dans ce monde, où règne la cruauté ?!
Je ne pourrais t’abandonner
Tu as l’air si fragile quand je te vois dormir
Je n’aurais pas pu l’empêcher
Tu semblais si dément quand je t’entendais hurler
Je t’ai vue arracher ta peau, je t’ai vue te saigner
Je les ai vus t’emporter et ton visage se fermer,
Mes larmes perlaient tandis que tu t’en allais
Et maintenant tu es si seul, ça je le sais.
Seul dans le noir,
Seul sans espoir.
Tes peurs assassinent
Et ton sang dégouline
Seul dans un placard
Seul sans ta foi
Les images morbides
Emprisonnent ton esprit
Je t’entends crier
Je t’entends m’appeler
Mais je ne peux te sauver si je suis moi-même enfermée
Je t’entends pleurer
Je t’entends prier
Comment te protéger si je suis incapable de bouger
Mais,
Je ne pourrais t’abandonner
Tu as l’air si fragile quand je te vois dormir
Je n’aurais pas pu l’empêcher
Tu semblais si dément quand je t’entendais hurler
Phoenamandre- Nombre de messages : 2423
Age : 33
Date d'inscription : 08/03/2009
Re: SM
Comment savoir, dans cette première strophe, ce qui n'aurait pas pu être empêché? Rien ne l'indique.Phoenamandre a écrit:Je ne pourrais t’abandonner
Tu as l’air si fragile quand je te vois dormir
Je n’aurais pas pu l’empêcher
Tu semblais si dément quand je t’entendais hurler
Attention aux mélange des temps. On passe, dans l'ordre et le désordre, du conditionnel au présent puis à l'imparfait et ainsi de suite; ça paraît un peu décousu sur ce point.Quand les portes se fermaient
Que les ténèbres envahissaient
Dans ton lit, tes poings se serraient,
L’esprit aux aguets, tu attendais.
Ici encore, pas forcément compréhensible, ça ne fait référence à rien de précis.Comment aurais-tu pu égaler l’inébranlable ?
seule je suppose, si il est mentionné vue avant ? Bien que partout, ensuite, on a seul sans e final.Je t’ai vue arracher ta peau (...) tu es si seul
Je suis partagée. je trouve que tout n'est pas clair et que la volonté d'entretenir le mystère prend le dessus sur certaines sonorités (mais à écouter sur la musique, ça serait bien mieux je pense!).
De plus, j'ai une impression d'idée étirée et malmenée sans forcément aboutir à quelque chose de net, ça reste un peu flou. Pourtant, l'idée centrale est là, on la sent mais elle peine à se fluidifier et se mêler harmonieusement au reste.
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
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