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Le Chien hors du temps

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Le Chien hors du temps Empty Le Chien hors du temps

Message  azertyui Jeu 16 Juil 2009 - 7:53

Un chien, jadis, vivait sans devoir se cacher et gardait la maison de ses maîtres, romains. Il y était connu pour bien tenir ce rôle, et l’aidaient en cela deux idoles tranquillement posées dans l’atrium voisin. Les humains l’appréciaient mais pensaient que son rôle ne devait être, en fait, qu’un simple complément au travail des dieux. Mais lui était vivant, on pouvait le toucher, sans aller, dieu merci, jusqu’à le caresser ou lui faire une place auprès d’eux, dans la noble maison. Il s’était habitué et pouvait remercier les voleurs qui, une fois la semaine, tentaient bien d’accéder aux trésors et de s’en emparer. Alors il savait faire le boucan qu’il fallait, pour les mettre en déroute et gagner sa pitance. Les deux pauvres statues avaient, il faut le dire, leur importance aussi, mais à part se montrer et trôner, elles s’ennuyaient un peu.
Le chien n’avait pas d’âge, et ce mercredi là, sans même avoir mangé, il défit son collier et partit au hasard. Sur les routes de Rome, il s’en alla chasser et suivant un renard s’engouffra sous la terre. Il y resta deux jours, sans lueur et sans boire, puis laissant le renard il trouva la sortie.
C’était un mercredi, ça il en était sûr sans même avoir besoin d’aller le demander. Il partit retrouver la maison qu’il aimait mais ne la trouva point. Une rivière coulait, qui n’était pas la sienne, les humains rencontrés étaient tous costumés. Alors il s’approcha d’un village de cases remplies par des humains dont la peau était noire. Le temps, bien différent, s’acheminait aussi, mais ici chaque jour portait le même nom. Il en resta surpris mais avec tolérance il n’eût qu’à modifier ses anciennes habitudes. Il trouva à manger et aussitôt après, pu boire dans la rivière.
Il croisa quelques chiens mais ne sût leur parler, la langue pratiquée par les autres canins chantait en d’autres mots. Il trouva ça bizarre mais l’oublia bien vite. Il lui fallait trouver, pour que le temps s’écoule, une maison à garder car il faut reconnaître qu’il savait bien le faire. Un bipède, justement passait à sa portée, il alla lui parler.
L’homme fut interpellé. Il avait tout loisir de croiser sur sa route quelques chiens, mais celui-ci lui sembla quelque peu différent. Il paraissait chercher, ce chien qui aboyait, comme un propriétaire pour ne plus être libre. Alors l’humain, pantois, ne comprenant plus rien, ramassa une pierre et la jeta au chien. Les bipèdes sont ainsi et sur la terre entière, quand ils ne comprennent pas ils essayent de tuer, ou, à l’aide de mots, pour le moins, de blesser. Et le chien recula et pareil à l’humain il perdait son latin. Alors il tourna bride, s’éloignant du village, et retrouva le trou par lequel ce matin, il était arrivé. Ce matin, dîtes-vous, cela reste à prouver.
Le corps leste et rapide, il fila dans le trou, ce terrier où hier se tenait un renard. Hier, dites-vous ? Il le faut démontrer !
Mais le chien s’en moquait. Dans ce curieux village de maisons bien étranges on ne défendait rien. Qu’avait-il donc à faire pour occuper son temps hormis monter la garde ? Il descendit sous terre pour se perdre, peut-être, mais son esprit lui dit qu’il allait, au contraire, pouvoir mieux se trouver.
Il y resta deux jours, à tourner dans le noir et quand il ressortit c’était un mercredi. Le temps était maussade, la rivière asséchée, et les cases fragiles toutes autant disparues. A leur place s’élevait un superbe château. Il emprunta la route, promettant de la rendre, et partit sans attendre vers les douves entrevues, pleines d’une eau moussue, et qui sait giboyeuse ? Quand il y fût rendu il croisa un crapaud qui sautait sans raison comme ils le font parfois. Il lui demanda l’heure, comme pour dire quelque chose, et l’autre répondit dans un latin parfait.
Il pensa, aussitôt, avoir bien retrouvé le pays où un chien aboyant en romain a quelque utilité. Il s’en ouvrit bien vite, n’aboyant pas trop fort, car les crapauds romains sont fragiles des oreilles. Celui-ci l’en sut gré, mais ne pût lui cacher l’horrible vérité ; il apprit au canin qui le comprenait bien que le sol qu’il foulait n’était pas italien. La douceur du pays lui en soufflait le nom et seul un chien romain pouvait, par sa naissance ou d’autres maladies, ne pas savoir l’entendre. On était mercredi, comme toutes les semaines qui passaient sur la Gaulle et nulle part ailleurs.
Et le chien accepta et régla sa pendule. La Gaulle, pourquoi pas, était un beau pays, mais il fut vite déçu. Le crapaud rencontré, était celui d’un prêtre, et son unique tâche était tous les matins de remplacer le coq, qu’on avait cuisiné l’autre hiver pour raison de disette. Il montait à heure fixe sur la table de nuit et y lançait son cri, ce qui était commode et aussi efficace. En échange et en remerciement, pour mieux se l’attacher, on lui avait appris l’art d’user du latin. Connaissant le destin du coq qu’il remplaçait il était très heureux de n’être pas grenouille et était persuadé d’avoir un bon contrat qui durerait toujours. Pour le chien qui savait aboyer mais usait d’un accent un peu trop transalpin, l’affaire ne convenait pas.
Tout le jour il courut et ne comprit personne, on parlait en françois. Devrait-il, pour tenter de survivre, conserver les trésors d’un guerrier du clergé ? Il revit sa jeunesse, la maison qu’il gardait et aussi les statues qui l’y aidaient un peu. Un dieu en vaut un autre, il s’ouvrit au crapaud et jura –ses grands dieux- qu’en guise de relation, il en avait bien deux. Celui-ci accepta volontiers de croire le canidé et au matin suivant, sur la table de nuit, il en toucha deux mots à son soldat du christ. Celui-ci, horrifié, coupa cours au discours. Un païen qui avait plusieurs dieux, qui s’en recommandait comme de relations, ne pouvait mériter de vivre ou de survivre. Comment donc ce crapaud baptisé dans sa mare pouvait-il supposer qu’on accorde à Satan de franchir sa porte ? Le crapaud, ébranlé par la vérité brute, encore plus nue que lui, retourna frémissant vers le chien qui, tranquille, attendait qu’on lui ouvre. Il était persuadé, en tant qu’ami de dieux, de décrocher le poste et de bien l’occuper. Ignorant tout du chant il ne pût déchanter, mais partit vers le trou qui l’avait amené, sans saluer personne.
Pour rejoindre son monde où on le comprenait, il resta au terrier, cette fois la semaine et, bien sûr, quand ses yeux purent revoir le soleil, on était mercredi, ça vous l’aviez compris.
Le château et les douves, le crapaud, l’abbatial, tout avait disparu, le chien fut rassuré. A leur place il trouva une plaine asséchée et de curieuses vaches qui cherchaient à brouter. Elles étaient, comme on peut se douter, vraiment très différentes de celles qu’il connaissait, mais n’y attacha pas l’importance requise. La contrée était chaude mais tous ces animaux portaient une fourrure et une bosse à leur cou ! Le voyage insolite qu’il avait entrepris lui avait enseigné une patience nouvelle et ses yeux savaient voir alors qu’auparavant, voilés par l’habitude, ils regardaient seulement. La rivière qui coule porte une eau identique à chaque jour qui passe mais il faut ce regard que le chien employait pour savoir distinguer une goutte d’une autre.
Il gravit une colline comme on monte une échelle pour surplomber bien mieux et jeter ses regards sur un panorama. Il pût y décider – le pays était grand- de suivre le soleil pour y trouver les hommes. Au soir du mercredi la piste l’amena vers une drôle de ville couverte de tipis et où l’on s’agitait pour le dîner du soir. On le vît arriver sans montrer de surprise et on dressa pour lui une assiette de viande assortie d’un broc d’eau. On ne lui parla pas mais on lui fit comprendre qu’il était bienvenu et qu’il pouvait rester, sans payer d’un travail l’affection qu’on montrait. Il croisa d’autres chiens qui ne parlaient pas plus mais qui l’aimèrent aussi.
Alors il s’endormit, sans penser à garder, ni non plus à compter tout le temps qui passait.
Au lendemain matin, un mercredi peut-être, il chercha un emploi mais n’en trouva aucun. On partait à la chasse, il le comprit bien vite, mais les bipèdes armés n’avaient besoin de rien de ce qu’il connaissait pour mener ce projet –un peu alimentaire – à son terme abouti. Pour le temps qu’ils mettraient, ça ils le verraient bien car les heures qui passaient-ils ne les comptaient pas. Ils vivaient, simplement.
Quand le jour se levait, ils aimaient sa lumière et remerciaient leurs dieux de ce nouveau soleil. Quand la pluie ou la neige tombaient du haut des cieux et répandaient le froid, ils rendaient grâce aux nues de faire pousser les plantes ou de laisser la terre se reposer un peu. Quand l’un des leurs partait ils ne pleuraient jamais mais savaient rendre hommage à ce qu’il avait fait, et s’il n’était pas mort comment auraient-ils fait pour savoir en ce jour qu’il leur manquait autant. Ainsi filait leur vie, d’une manière simple, sans plus avoir besoin de planter un piquet pour savoir, après tout, que le temps défilait et avoir à donner un nom à chaque jour.
Et leur vie plût au chien qui ne repartit pas. Il oublia ce trou qui faisait voyager et qui bridait le temps pour le temps nécessaire à son déplacement. Il l’oublia si bien que si un étranger venait un jour voler- ou au moins essayer car il faut reconnaître que les quelques outils qui étaient avec eux pour simplifier leur vie n’étaient à aucun d’eux en étant à chacun – il le laisserait venir, souhaiterait le Bon Jour en oubliant, bien sûr, de connaître son nom, non pas celui de l’homme, du nouvel arrivant, mais celui qu’autrefois il aurait associé pour décorer le temps, retrouver une date, ou tenter de sonder l’infini de nos vies!
Que lui importait donc de savoir que jeudi fait suite à mercredi dans les autres pays !

Et pour l’heure du dernier rendez-vous, dites-moi, comment procédaient-ils ? Ils ne prévoyaient pas et s’offraient le cadeau d’une ultime surprise.

azertyui

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Message  Invité Jeu 16 Juil 2009 - 8:17

Une histoire bien étrange, plaisante, en forme de fable ! J'ai aimé son rythme berceur, d'alexandrins cachés, et ses rimes internes... En revanche, le texte comporte pas mal d'erreurs de langue, notamment dans les formes verbales, que je vous signale plus bas.

Bienvenue sur Vos Ecrits, à vous lire bientôt !

mais avec tolérance il n’eut (et non « eût » qui est la forme du subjonctif imparfait) qu’à modifier ses anciennes habitudes. Il trouva à manger et aussitôt après, put boire dans la rivière.
Il croisa quelques chiens mais ne st (et non « sût » qui est la forme du subjonctif imparfait) leur parler »
« Ce matin, dites-vous (et non « dîtes-vous » si, comme il me semble, vous avez voulu employer le présent et non le passé simple ; en général, pour les adresses au lecteur, on use du présent) »
Quand il y fut (et non « fût » qui est la forme du subjonctif imparfait) rendu »
« Celui-ci lui en sut gré, mais ne put (et non « pût » qui est la forme du subjonctif imparfait) »
« la Gaule (et non « Gaulle ») et nulle part ailleurs.
Et le chien accepta et régla sa pendule. La Gaule (et non « Gaulle »), pourquoi pas, était un beau pays, mais il fut vite déçu. Le crapaud rencontré, (pourquoi cette virgule entre le groupe sujet et sion verbe, sans incise entre-temps ?) était celui d’un prêtre »
« Celui-ci, horrifié, coupa court au discours »
« Ignorant tout du chant il ne put (et non « pût » qui est la forme du suibjonctif imparfait) déchanter »
« Il put (et non « pût » qui est la forme du subjonctif imparfait) y décider »
« On le vit (et non « vît » qui est la forme du subjonctif imparfait)
« Et leur vie plut (et non « plût » qui est la forme du subjonctif imparfait) » au chien »

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Message  Annick SB Jeu 16 Juil 2009 - 8:21

Une bien belle fable que vous nous contez là !
Annick SB
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Message  silene82 Jeu 16 Juil 2009 - 8:47

Je l'ai lu à la va-vite, et y retourne. Bien que de Gaulle s'en crût propriétaire, je suppose que c'est de la Gaule que vous parlez?
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Message  silene82 Jeu 16 Juil 2009 - 8:58

Ma foi! Et quand l'eau-de-feu leur embrasait le cerveau, et qu'ils troquaient leurs peaux pour en ravoir, il trinquait avec eux?
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Message  azertyui Jeu 16 Juil 2009 - 9:53

grand merci à Soque pour toutes ses -ces- corrections.
honte sur moi...Cette histoire, volontairement, est hors du temps, mais j'avoue que de Gaulle n'était pas né.

azertyui

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Message  Invité Jeu 16 Juil 2009 - 10:00

azertyui, merci de prendre garde à la graphie de mon pseudonyme : socque. Six lettres.

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Message  Invité Jeu 16 Juil 2009 - 11:28

Franchement un peu long, un peu trop linéaire pour moi. En revanche j'ai bien aimé le ton du récit, la façon d'affirmer l'absurde comme une évidence : "Quand il y fût rendu il croisa un crapaud qui sautait sans raison comme ils le font parfois. Il lui demanda l’heure, comme pour dire quelque chose, et l’autre répondit dans un latin parfait. "
Un passage qui, avec d'autres, me rappelle un certains Lewis.

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Message  silene82 Jeu 16 Juil 2009 - 12:30

[quote="Easter(Island)"
Un passage qui, avec d'autres, me rappelle un certains Lewis.[/quote]


Ben comment donc
Wanna start something hunky dory with Lady Madeline, hmm.....
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Message  Invité Jeu 16 Juil 2009 - 14:03

hunky-dory , qui me met du baume à l'âme. Sérieux.
Mais la réponse est non ;-)

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Message  CROISIC Ven 17 Juil 2009 - 9:02

Gaspard mon crapaud a disparu peu avant la venue de votre texte ; je crains qu'il n'ai franchi le miroir avec votre chien.
J'ai bien aimé ce conte...
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Message  silene82 Ven 17 Juil 2009 - 9:10

Easter(Island) a écrit:hunky-dory , qui me met du baume à l'âme. Sérieux.
Mais la réponse est non ;-)

Si élusive que tu en deviens ésotérique. Du baume à l'âme? Baume du Tigre? Strange place ...Qu'est-ce que tu as voulu dire? Je ne te connais pas encore assez pour deviner à demi-mot, et n'oublie pas que je suis mâle, donc un peu bouché
but I try to get along with
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Message  Invité Ven 17 Juil 2009 - 13:24

silene82 a écrit:
Easter(Island) a écrit:hunky-dory , qui me met du baume à l'âme. Sérieux.
Mais la réponse est non ;-)

Si élusive que tu en deviens ésotérique. Du baume à l'âme? Baume du Tigre? Strange place ...Qu'est-ce que tu as voulu dire? Je ne te connais pas encore assez pour deviner à demi-mot, et n'oublie pas que je suis mâle, donc un peu bouché
Baume à l'âme, musique à mes oreilles, pour changer du globish qui fait mon gagne-pain quotidien.

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Message  silene82 Ven 17 Juil 2009 - 13:34

Easter(Island) a écrit:Baume à l'âme, musique à mes oreilles, pour changer du globish qui fait mon gagne-pain quotidien.
With violins mezzavoce backstage
"It seems to me that I have heard that tune before"

si j'ai bien compris ton propos c'est le hunky-dory qui provoque cette réaction? qu'est ce que ça serait avec des fleurs et un petit mot, alors...
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Message  Sahkti Mer 5 Aoû 2009 - 12:36

Fable étrange pour un univers tout aussi particulier.
L'histoire a de ci de là des allures cocasses qui épousent des tons plus dramatiques, c'est bien équilibré même si quelques longueurs pourraient être supprimées pour améliorer tout cela.
Sahkti
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