Vos écrits
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Le Deal du moment : -20%
-20% Récupérateur à eau mural 300 ...
Voir le deal
79 €

Siddharta à Byzance: la fugue, par FM

+2
Loupbleu
Mutants Anachroniques
6 participants

Aller en bas

Siddharta à Byzance: la fugue, par FM Empty Siddharta à Byzance: la fugue, par FM

Message  Mutants Anachroniques Ven 28 Juil 2006 - 16:03

(fm)

Un jour, je me suis demandé si le Bouddha était bien un prince, ou bien comme moi juste un pauvre connard des classes moyennes...
(Excuse my French! )
Ce texte comporte une suite, et même une suite beaucoup trop longue pour que je vous l'inflige, néanmoins je serais curieux de recueillir vos impressions sur ce premier volet de la saga de Sid le bourge.

(Je le poste en trois fois - afin de respecter le découpage d'origine.)
Mutants Anachroniques
Mutants Anachroniques

Nombre de messages : 117
Date d'inscription : 12/07/2006

http://www.stase.org

Revenir en haut Aller en bas

Siddharta à Byzance: la fugue, par FM Empty Re: Siddharta à Byzance: la fugue, par FM

Message  Mutants Anachroniques Ven 28 Juil 2006 - 16:05

Il paraît qu'il existe des Bouddha de banlieue ; moi, je suis un Bouddha du centre-ville. Enfin, du centre-ville, plus tout à fait : après avoir quitté le palais de mon père, juste en deça de la porte nord-ouest de la deuxième enceinte, j'ai franchi le détroit aux brumes dorées pour m'établir sur la rive orientale, dans un quartier périphérique de la cité : autant dire aux marches de l'empire.
Mon éducation a été celle qu'ont reçue la plupart des jeunes gens de ma caste : j'ai étudié la vie et les écrits des grands Anciens, ainsi que les chiffres qui mènent l'Univers ; j'ai vu des plages, des montagnes recouvertes de neige et bien d'autres choses merveilleuses ; je suis parti visiter les blanches demeures des maîtres du Nouvel Empire qui est de l'autre côté de l'océan. Je n'avais pour autant acquis aucune expérience réelle de la vie ; car tout cela, en un certain sens, était encore le palais de mon père. Même alors, je savais fort bien ce qu'il en était : mes voyages se limitaient pour l'essentiel à aller de forteresse en forteresse, dans des véhicules eux-mêmes conçus comme des forteresses. Point de rencontres, aucun risque d'imprévu. J'étais toujours entouré de gens de ma caste qui se laissaient mener là où l'on voulait bien les mener, et admiraient ce qu'on leur disait d'admirer. Le monde leur était un parc aux allées bien ordonnées, l'océan une salle d'eau.
Leur vie ne saurait être la mienne, me disais-je : j'ai scruté mon cœur et je sais que cela n'est pas moi, je ne suis pas ainsi. Pourtant je n'entendais pas les cris des oiseaux marins qui, jusqu'au centre de notre ville, faisaient retentir l'appel du large. Je respectais en général l'interdiction qui m'était faite de fréquenter le quartier du port, réputé mal famé. La mer au nord, la mer au sud, la ville construite à cheval sur le détroit : il fallait avoir été comme moi trop tôt exposé aux immensités océaniques, loin à l'ouest, pour n'être pas sensible à une telle configuration. Ainsi le rêveur est-il parfois aussi blasé, et à aussi mauvais escient, que les êtres les plus dépourvus d'imagination. Son rêve, lointain, est un chemin de Mort paré de couleurs éclatantes.
La palais de mon père était aussi la maison de ma mère, ce qui témoigne de l'attachement de ma famille aux valeurs traditionnelles en dépit de quelques menues complications que je tairai, cependant, afin de ne point contrarier le louable élan qui vous porte à la vertu. Dans la maison de ma mère, je me suis assis et, jour après jour, j'ai observé les djinns qui s'agitaient en faisant PAN !-PAN !-PAN ! dans le poste de télévision. Ils n'étaient pas vraiment des hommes, tout comme les géants ne sont pas vraiment des dieux ; mais ils en avaient toutes les apparences et, les regardant, je brûlais moi-même de devenir un homme. Oh oui ! comme j'aurais voulu être fort ! agir ! Si j'étais celui qu'en mon cœur je savais être, comment pouvais-je rester simplement là, assis, à regarder ?
Ma mère, à l'inverse, paraissait tout à fait incapable de rester en repos plus d'une minute au sein de sa propre demeure. Elle y avait accumulé des choses innombrables : livres rares, icônes, vases, statuettes, tapis, céramique, flacons de parfum, des chaises ainsi que des tables grandes petites et moyennes, d'autres meubles encore faits de bois précieux, et les porcelaines, les coupes, les bols en cristal… C'était, disait-elle, afin d'obéir à son amour de la beauté qu'elle avait rassemblé tous ces objets, y compris ses milliers de bibelots en plastique coloré dont seule une infime partie étaient destinée à un quelconque usage. Elle déployait des trésors d'énergie à modifier constamment la disposition de ces objets, espérant ainsi parvenir à ce qui est la condition sine qua non de toute beauté authentique : l'harmonie. Ce n'était pas une mince affaire ; la moindre erreur de jugement concernant le nouvel emplacement de la plus petite des babioles pouvait compromettre irrémédiablement la réussite d'un plan d'action dont l'élaboration avait demandé des mois ; d'ailleurs la place de la dite babiole était parfois l'enjeu unique de l'entreprise. Dans ce dernier cas, ma mère arpentait les lieux en tous sens avec à la main cet objet. Elle le posait ; puis elle se reculait de manière à contempler l'effet qu'il produisait, cela sous plusieurs angles. Il m'était particulièrement aisé d'observer son petit manège quand il avait pour cadre la grande salle, celle où se trouvait la télévision. Car alors, faute de pouvoir embrasser d'un regard la pièce entière, la chère femme devait se déplacer sans cesse si elle voulait bien voir en quoi ce minuscule changement l'avait affectée. Et comme ma mère, de plus, aurait jugé déraisonnable de ne pas expérimenter plusieurs solutions possibles avant de se déterminer…
"Et ici, tu ne trouves pas que c'est bien ? mais alors il va falloir changer ce clepsydre de place…"
Planté devant mon écran, je n'avais guère envie de me fatiguer à répondre. Le meilleur moyen d'avoir la paix n'en était pas moins de dire que la modification proposée était judicieuse, charmante, du meilleur effet ; car un changement en entraînant un autre, il n'était pas rare que cette sorte d'opérations mineures aboutisse à de grands bouleversements qui n'avaient pas été prémédités, incluant des déplacements de meubles, et cetera. Je détestais l'agitation. J'en étais malade.
Et pourtant, je n'aspirais qu'à l'aventure ! C'est que l'affairement de ma mère m'apparaissait comme une sorte d'immobilisme fébrile, tandis que la télévision et les livres me donnaient l'impression de voyager sans cesse. La lecture en particulier me faisait m'exagérer les pouvoirs de l'esprit. Ainsi que je l'ai dit, j'étais bien loin d'être tout à fait dupe de ces mirages. Seulement voilà, les doutes que nous concevons quant à nos propres mérites ne nous amènent que rarement à reconnaître ceux des autres.
Mutants Anachroniques
Mutants Anachroniques

Nombre de messages : 117
Date d'inscription : 12/07/2006

http://www.stase.org

Revenir en haut Aller en bas

Siddharta à Byzance: la fugue, par FM Empty Re: Siddharta à Byzance: la fugue, par FM

Message  Mutants Anachroniques Ven 28 Juil 2006 - 16:07

J'avais lu le nouveau Zoroastre. Et plus encore que la force du guerrier, je respectais la parole du poète. Je n'avais jamais rencontré ni l'un, ni l'autre ; cependant dans le monde des démons aussi, il y avait des poètes à côté des guerriers. Un jour, je vis dans ma télévision un poète en train de détruire une télévision. Une musique faisait vibrer mes haut-parleurs, une musique martiale. Alors, soudain, je sus ce que j'avais à faire : je soulevai mon poste à bout de bras, faisant sauter la prise du mur, et je le jetai par la fenêtre… Ce faisant, je manquai de tuer le janitor qui montait la garde juste en dessous. Mais je n'en étais plus à me soucier de tels détails. Je courus à la chambre du trésor afin de m'y charger de toutes les richesses que pouvait transporter sur lui un homme seul. Puis je quittai la maison de ma mère. Dans le même temps, je dis adieu au palais de mon père, et ce fut alors que je partis, ainsi que je l'ai déjà dit, vivre à la limite orientale de la cité dans deux pauvres pièces au sommet d'un escalier en colimaçon.
Mutants Anachroniques
Mutants Anachroniques

Nombre de messages : 117
Date d'inscription : 12/07/2006

http://www.stase.org

Revenir en haut Aller en bas

Siddharta à Byzance: la fugue, par FM Empty Re: Siddharta à Byzance: la fugue, par FM

Message  Mutants Anachroniques Ven 28 Juil 2006 - 16:08

Ma nouvelle demeure n'était guère spacieuse. Pourtant, je m'en moquais bien : ce que je voulais, après toutes ces années à endurer le calme plat du quartier de la Porte Polyandros, c'était descendre dans la rue et être parmi les hommes. Des hommes, il y en avait ; des femmes, aussi, que j'aimais regarder même si elle étaient moins faciles qu'à la télévision. J'aimais aussi les boutiques, les auberges… Cette vie valait toutes les plages, les montagnes enneigées, les palais du bout du monde.
Une chose pourtant me dérangeait : souvent des individus vous abordaient pour vous demander une pièce, disant qu'ils n'avaient rien à manger. Parfois cela devenait franchement pénible car, si vous refusiez, ils s'accrochaient à vos vêtements dans le but de vous retenir ; ou, pire, ils restaient devant vous, attendant, comme un remords par une nuit d'insomnie. J'aurais voulu les aider, les comprendre. Toutes mes tentatives pour parler avec eux n'en furent pas moins vaines.
Ils ne refusaient pas de parler, au contraire. Ils disaient qu'on les avait chassés de leur maison et parfois contaient des histoires qui, en d'autres circonstances, m'eussent parues aussi excitantes qu'incroyables : des prodiges auxquels ils avaient assisté, d'obscurs complots tramés par le gouvernement de la Cité et dont eux-mêmes auraient été, à les en croire, la cible privilégiée car ils "en savaient trop". C'était moi, moi qui ne pouvais me défaire de l'impression qu'à chaque mot prononcé de part et d'autre croissait en eux l'espérance de tirer de moi quelque avantage. À mesure que s'établissait entre nous un semblant de familiarité, je voyais l'inconnu qu'aurait contenté un peu de monnaie se muer, d'une façon que je pressentais fallacieuse, en un ami dans le besoin, envers qui j'aurais eu de plus vastes obligations. Je me sentais joué et, en même temps, ma propre irritation me semblait être d'un ingrat.
J'aurais voulu être aimé pour moi-même ; j'ignorais alors combien une telle expression est dénuée de sens, une vraie sottise. J'étais par ailleurs troublé de constater que les pauvres étaient tous un peu fous. Je m'étais d'abord demandé pourquoi ils ne travaillaient pas. Jusqu'au jour où, mon pécule s'épuisant, je dus rechercher une place. J'avais toujours vécu avec le vague sentiment que personne, nulle part, n'avait besoin de moi ; j'en eus désormais la certitude.
Une fois, un mendiant me donna un coup de pied. Je ne comprenais pas ce que j'avais bien pu lui faire. Bien sûr, pour lui, j'étais riche. J'ai dit que mon pécule s'épuisait ; cependant je n'étais pas encore au bout, preuve que j'avais puisé avec assez d'entrain dans le trésor familial. Je dépensais beaucoup : pour boire avec les hommes, manger et rire avec les hommes, être avec eux (fussent-ils encore et toujours des hommes de ma caste, ce que je ne voulais pas voir à l'époque). N'était-ce pas pour cela que j'étais venu ? Je n'étais certes pas venu pour recevoir des coups de pied!
Mutants Anachroniques
Mutants Anachroniques

Nombre de messages : 117
Date d'inscription : 12/07/2006

http://www.stase.org

Revenir en haut Aller en bas

Siddharta à Byzance: la fugue, par FM Empty Re: Siddharta à Byzance: la fugue, par FM

Message  Loupbleu Dim 30 Juil 2006 - 21:45

Mutants Anachroniques a écrit:
Un jour, je me suis demandé si le Bouddha était bien un prince, ou bien comme moi juste un pauvre connard des classes moyennes...
Ca, c'est un projet original, et aussi une bonne phrase d'introduction ! C'est le Ramayana revu par Houellebecq ? (formulation hasardeuse et beigbedérienne :-)

Une chose me trouble dans ce texte : il est très correctement écrit, plein de vocabulaire très approprié, mais à cause de ce ton très soutenu du coup j'y reconnais pas la façon de parler ou de penser d'un connard de la classes moyennes (ce que je crois être, sans me vanter !).

Beaucoup de tournures ralentissent la phrase, par exemple :
"Mon éducation a été celle qu'ont reçue la plupart des jeunes gens de ma caste.", pour un message qui est : "J'ai eu une éducation de caste"

Peut-être qu'un ton plus relâché, une façon de dire plus rapide donnerait plus d'intérêt à la lecture de ce texte, pour ma part, je me suis un peu empêtré dans ces "lourdeurs"...

Les deux premières parties semblent un peu plus lentes et confuses, mais la troisième partie me plait bien, j'aime son incorrection, on sent se développer plus clairement les idées. Peut-être j'aurais apprécié (c'est personnel) encore plus d'impertinence...

Ca fourmille de choses très bien, mais au total, je n'ai donc pas trouvé tout à fait mon compte, même si je reconnais la qualité. C'est un beau projet, un texte original que je vous remercie d'avoir posté !
Loupbleu
Loupbleu

Nombre de messages : 5838
Age : 52
Localisation : loupbleu@vosecrits.com
Date d'inscription : 12/12/2005

Revenir en haut Aller en bas

Siddharta à Byzance: la fugue, par FM Empty Re: Siddharta à Byzance: la fugue, par FM

Message  grieg Lun 31 Juil 2006 - 2:11

Un nouveau conte philosophique. Pourquoi pas.
Je l'ai lu avec curiosité, jusqu'au bout - qui n'est pas une fin - avec plaisir, je crois.
L'idée est amusante, mais je ne sais si je dois demander la suite ou en rester là

le style, la construction des phrases sont parfaitement adaptés au genre (bémol sur la ponctuation, ces : et ces ; me semblent, parfois, saupoudrés un peu négligemment))
la lecture est agréable.

Le fond… l'idée, originale, est assez forte et peut nous emmener loin, mais il faudrait un vrai talent (du génie ?) pour, après les illustres prédécesseurs qui se sont essayés au genre, ne pas tomber dans le déjà-lu, ne pas s'échouer sur un haut fond de moralisme.

Suite ? pas suite ? talent ? génie ?... :))) pffff, trop de questions

En attendant, enchanté mutants.

Ps : loup, t'es trop mignon quand t'es poli.
je ne sais pas si tu es un digne enfant de la classe moyenne, mais tu ferais un bon petit commerçant

grieg

Nombre de messages : 6156
Localisation : plus très loin
Date d'inscription : 12/12/2005

Revenir en haut Aller en bas

Siddharta à Byzance: la fugue, par FM Empty Re: Siddharta à Byzance: la fugue, par FM

Message  Krystelle Lun 31 Juil 2006 - 7:19

Kill parlait de conte philosophique. A mon avis, à ce stade de la lecture la satire sociale et la portée parabolique manquent à la fois de nuances et de force pour qu’on puisse réellement apparenter le texte à ce genre. Mais évidemment ce n’est qu’un début et c’est vrai qu’il y a quelque chose dans ces lignes qui nous donne envie d’aller plus loin.
Plusieurs réflexions ou remarques sont esquissées avec justesse. Quelques notes d’humour assez fin donnent au texte une dimension légère qui compense le classicisme parfois un peu ampoulé du ton.
La suite !

Krystelle

Nombre de messages : 7162
Age : 44
Date d'inscription : 12/12/2005

http://fuitedanslesidees.blogspot.com/

Revenir en haut Aller en bas

Siddharta à Byzance: la fugue, par FM Empty Re: Siddharta à Byzance: la fugue, par FM

Message  Giny Lun 31 Juil 2006 - 16:08

ben que dire..j'ai lu ton texte( ou votre texte, enfin bref). J'ai rien à redire sur l'orthographe, le vocabulaire, tout ça mais je trouve ça assez plat. ca manque un peu de piquant, d'intérêt autre que de reprendre une légende battue et rebattue et de la retaper à sa sauce.
Donc bonne idée mais je pense qu'elle aurait pu être mieux exploitée.
Giny
Giny

Nombre de messages : 1802
Age : 36
Localisation : Dijon
Date d'inscription : 14/12/2005

Revenir en haut Aller en bas

Siddharta à Byzance: la fugue, par FM Empty Re: Siddharta à Byzance: la fugue, par FM

Message  Sahkti Mar 1 Aoû 2006 - 10:16

Suite ou pas suite, je ne sais pas.
Personnellement, je trouve que cette fin laisse à désirer, elle sombre un peu trop à mon goût dans les considérations banales et proches du peuple. Evidemment, Bouddha s'y trouve désormais dans le peuple et doit faire face aux mêmes soucis que Mr et Mme Tout le monde. Mais si c'est pour que ce qui lui arrive soit plat et archi couru, cela m'intéresse beaucoup moins que les réflexions du tout début que je trouve davantage pertinentes.

Certains passages sont cyniques, drôles, comme cette obsession pour la mère de changer les objets de place afin de créer la parfaite harmonie. Illustration parfaite de la vacuité dans ce qu'elle a de plus terrible: être le remplissage de toute une existence!

Le style me plaît, limite engoncé, assez lent... tout cela cadre avec l'image que je me fais de ce Bouddha qui va découvrir la petite vie.
Mais ensuite, ça devient difficile et risqué. Il ne sera pas simple de tenir la route et conserver une égalité de qualité, sans sombrer dans du "déjà vu".
Bonne continuation!
Sahkti
Sahkti

Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005

Revenir en haut Aller en bas

Siddharta à Byzance: la fugue, par FM Empty Re: Siddharta à Byzance: la fugue, par FM

Message  Mutants Anachroniques Jeu 3 Aoû 2006 - 15:52

(fm)

Le texte est de moi, EMD le connait mais n'y a pas touché.
C'est très loin de ce qu'on fait ensemble, très loin de ce que j'ai écrit depuis, et encore plus loin de là où je voudrais me diriger.
Il y a bien une suite (un livre entier, en fait) mais je ne pense pas la poster. Je désirais juste vos impressions, et vous remercie de me les avoir données. Vos remarques me paraissent, dans l'ensemble, frappées au coin du bon sens. Merci encore.

P.S: EMD et moi sommes désolés de ne pas participer plus activement au site ces temps-ci mais nous avons beau n'avoir ni l'un ni l'autre quitté nos bases (géographiques) respectives, des pérégrinations inter-appartements et divers problèmes techniques ont causé un total enlisement de nos forces sur le front de l'Internet.
Mutants Anachroniques
Mutants Anachroniques

Nombre de messages : 117
Date d'inscription : 12/07/2006

http://www.stase.org

Revenir en haut Aller en bas

Siddharta à Byzance: la fugue, par FM Empty Re: Siddharta à Byzance: la fugue, par FM

Message  Contenu sponsorisé


Contenu sponsorisé


Revenir en haut Aller en bas

Revenir en haut

- Sujets similaires

 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum