On était parti de chez elle vers 9h45

[Une Anglaise]

Bonsoir à tous, le texte que je vous envoie je les écris sur le vif...alors il manque sans doute encore d'un peu de travail... Ici j'ai essayé d'incarner la place d'un homme malgré ma plume féminine en espérant que cela ne voit pas trop....;) Je m'esccuse par avance pour la mise en page mais je n'arrive pas à le cadrer comme je voudrais...


J’étais venu la chercher dans ma Deuche Citroën, et je mettais rouler une clope avec du American Spirit. Après avoir tiré deux taffes je l’ai balancé par-dessus la fenêtre persuadé qu’elle fouillerait en arrivant. Elle était en train de descendre ses 18 marches, vêtue d’une robe légère en mousseline vert pomme.
Très seyantes, qui l’a moulé terriblement faisant ressortir sa taille fine de guêpe, son allure féline. Je la regardais se rapprocher toujours avec ce sourire, et cette élégance. Elle ouvrit la porte, posa son sac à l’arrière de la voiture. Pendant, quelle que instant elle me regarda avec cet air interrogateur, puis elle se décida de parler « Tu as fumé ? ». Pris à mon propre piège, sous ses doux yeux vert. Je lui répondis « Oui mais…. ». Elle me coupa « Joe, tu sais bien que tu ne dois plus….enfin le médecin te l’a assez répété … » Comme je ne voulais pas avoir encore une fois cette discussion je lui baisais son front. Elle s’arrêta net. Nous avions décidé de partir la journée dans les Cévennes.Fenêtres ouvertes, nous roulions déjà depuis une bonne heure. Assise à coté de moi, elle fredonnait un air de Souchon. Vers midi, nous sommes arrivés à Camprieu, la Deuche commençait à être un peu fatiguée. On s’est installé dans un endroit assez isolé des autres touristes, elle avait déposé sur l’herbe une nappe à carreaux rouge. Allongée dessus, elle me regardait et me fit signe de la rejoindre. Il y avait quelque chose de nouveau dans son regard. Quelque chose qui m’excitait. Je n’en pouvais plus de voir sa poitrine se soulevait sans cesse, toujours le même rythme, le même accord. Elle s’allongea sur le ventre, releva sa tête et me dit « J’ai envie de toi… ».Elle partit dans un éclat de rire certainement dut aux expressions de mon visage. Je ne sais pas vraiment l’expliquer, je n’étais pas choqué, mais plutôt surpris. Elle qui utilisait toujours un vocabulaire si soutenu, si raffiné si exquis, elle venait d’employer un mot que n’importe quelles putains auraient pu dire. Son rire c’était transformé en une question elle semblait moins rassurée« Ce n’est pas comme ça que l’on dit ? ». « Si bien sur » Je lui caressais la joue pour apaiser tous ses soupçons. Cette envie insoutenable de la posséder me repris. Elle s’était assise et regardait au loin le lac qui nous été offert. Elle paraissait paisible. Je m’étais rapproché d’elle, je lui donnais quelques caresses autour du coup avant de déboutonner sa robe. Son dos c’était un peu raidi mais avait repris sa souplesse quand je lui déposais ma main dure sur sa peau douce, laiteuse de bébé. Elle avait laissé tomber sa robe, en se relevant. Elle se tenait là debout devant moi, nue toujours avec ce regard vert percent. Elle se baissa, se mit à genoux face à moi puis commença à déboutonner ma chemise, elle passa sa main sur mon torse. Je n’en pouvais plus !!!De regarder ses seins bien murs, bien ronds, ses reins se cabrant à la moindre de mes caresses. Je l’attrapais sur les flans la releva, mes mains descendirent petit à petit.A présent je lui caressais le haut de ses cuisses.Elle vibrait au rythme de mon souffle,je la sentais, elle était en moi. Ses mains caressaient ma nuque, ses doigts s’entrelaçaient dans ma chevelure blonde et ses ongles pénétraient ma peau. Mes lèvres venaient de gouter à son cou tendre, avant d’aller se jeter dans la courbure de son éclatant décolleté ambré. Mon corps s’était peu à peu imprégnait de son odeur, elle portait un parfum français, surement un Guerlain. Je l’ai alors pris à cet « Instant ». Puis Je me suis couché sur l’herbe à ses cotés. Elle semblait dormir… Comme j’étais bien mon dieu, je n’avais jamais aussi bien baisé avec une fille depuis des années. J’aurais voulu lui en redemander mais je l’aimais trop pour ça !!! Il restait encore cette jouissance en réserve, douloureuse mais fabuleuse.

[Mure]

Bonsoir à tous, le texte que je vous envoie je les écris sur le vif...alors il manque sans doute encore d'un peu de travail... Ici j'ai essayé d'incarner la place d'un homme malgré ma plume féminine en espérant que cela ne voit pas trop....;) Je m'esccuse par avance pour la mise en page mais je n'arrive pas à le cadrer comme je voudrais...

Même reproche que pour redstar.
Vous m'interdisez d'office de me faire ma propre opinion de votre texte.
Je ne lis pas la suite, bien évidemment.

Merci quand même.

[Invité]

Tu ne manques pas d'ambition Une Anglaise, de te lancer dans ce genre de description pseudo-érotique ! Pas le sujet le plus facile, je dirais......
A part l'orthographe qui est à revoir de près, je ne saurais trop te conseiller de faire attention au registre que tu utilises, de ne pas mêler par exemple un registre neutre à des expressions ou mots familiers (par ex : "baiser", qui n'a rien de très romantique).
Au fait, je constate que le texte est écrit au passé, une vraie gageure (a challenge). Bravo.

[bertrand-môgendre]

(extrait choisi)...ma Deuche Citroën...

Si telle est l'orthographe, c'est le père qui va pèter un boulon, surtout qu'ici ça remue fort, de quoi brasser pas mal les consommateurs de sensations et ceux qui ... gardent encore cette jouissance en réserve, douloureuse mais fabuleuse...

[Sahkti]

Attention à l'orthographe, Une Anglaise, il y a à nouvau pas mal de grosses fautes. Attention également à quelques tournures maladroites ou incorrectes.
Le sujet mériterait d'être développé, mais tu as tendance, dans ce texte, à vouloir mêler langage plus naturel, presque oral, avec un style narratif encore très descriptif. Les deux ne vont pas forcément bien ensemble et tu devrais sans doute essayer d'équilibrer tout cela.

[Rebecca]

J’étais venu la chercher dans ma Deuche Citroën, et je mettais rouler une clope avec du American Spirit. Après avoir tiré deux taffes je l’ai balancée par-dessus la fenêtre persuadé qu’elle fouillerait en arrivant. Elle était en train de descendre ses 18 marches, vêtue d’une robe légère en mousseline vert pomme.
Très seyante , qui l’a moulait terriblement faisant ressortir sa taille fine de guêpe, son allure féline. Je la regardais se rapprocher toujours avec ce sourire, et cette élégance. Elle ouvrit la porte, posa son sac à l’arrière de la voiture. Pendant, quelques instants elle me regarda avec cet air interrogateur, puis elle se décida à parler « Tu as fumé ? ». Pris à mon propre piège, sous ses doux yeux verts. Je lui répondis « Oui mais…. ». Elle me coupa « Joe, tu sais bien que tu ne dois plus….enfin le médecin te l’a assez répété … » Comme je ne voulais pas avoir encore une fois cette discussion je lui baisais son front. Elle s’arrêta net. Nous avions décidé de partir la journée dans les Cévennes.Fenêtres ouvertes, nous roulions déjà depuis une bonne heure. Assise à coté de moi, elle fredonnait un air de Souchon. Vers midi, nous sommes arrivés à Camprieu, la Deuche commençait à être un peu fatiguée. On s’est installé dans un endroit assez isolé des autres touristes, elle avait déposé sur l’herbe une nappe à carreaux rouge. Allongée dessus, elle me regardait et me fit signe de la rejoindre. Il y avait quelque chose de nouveau dans son regard. Quelque chose qui m’excitait. Je n’en pouvais plus de voir sa poitrine se soulever sans cesse, toujours le même rythme, le même accord. Elle s’allongea sur le ventre, releva sa tête et me dit « J’ai envie de toi… ».Elle partit dans un éclat de rire certainement du aux expressions de mon visage. Je ne sais pas vraiment l’expliquer, je n’étais pas choqué, mais plutôt surpris. Elle qui utilisait toujours un vocabulaire si soutenu, si raffiné si exquis, elle venait d’employer un mot que n’importe quelles putains aurait pu dire. Son rire s’était transformé en une question elle semblait moins rassurée« Ce n’est pas comme ça que l’on dit ? ». « Si bien sur » Je lui caressais la joue pour apaiser tous ses soupçons. Cette envie insoutenable de la posséder me reprit. Elle s’était assise et regardait au loin le lac qui nous était offert. Elle paraissait paisible. Je m’étais rapproché d’elle, je lui donnais quelques caresses autour du coup avant de déboutonner sa robe. Son dos s’était un peu raidi mais avait repris sa souplesse quand je lui déposais ma main dure sur sa peau douce, laiteuse de bébé. Elle avait laissé tomber sa robe, en se relevant. Elle se tenait là debout devant moi, nue toujours avec ce regard vert perçant. Elle se baissa, se mit à genoux face à moi puis commença à déboutonner ma chemise, elle passa sa main sur mon torse. Je n’en pouvais plus !!!De regarder ses seins bien murs, bien ronds, ses reins se cabrant à la moindre de mes caresses. Je l’attrapais sur les flans la releva, mes mains descendirent petit à petit.A présent je lui caressais le haut de ses cuisses.Elle vibrait au rythme de mon souffle,je la sentais, elle était en moi. Ses mains caressaient ma nuque, ses doigts s’entrelaçaient dans ma chevelure blonde et ses ongles pénétraient ma peau. Mes lèvres venaient de gouter à son cou tendre, avant d’aller se jeter dans la courbure de son éclatant décolleté ambré. Mon corps s’était peu à peu imprégné de son odeur, elle portait un parfum français, surement un Guerlain. Je l’ai alors pris à cet « Instant ». Puis Je me suis couché sur l’herbe à ses côtés. Elle semblait dormir… Comme j’étais bien mon dieu, je n’avais jamais aussi bien baisé avec une fille depuis des années. J’aurais voulu lui en redemander mais je l’aimais trop pour ça !!! Il restait encore cette jouissance en réserve, douloureuse mais fabuleuse.[b]

[Rebecca]

C'est pas pour pinailler mais bon j'ai vu qu'on te parlait de tes fotes alors je me suis dit p'tet que tu voudrais les voir ces fotes pour essayer de moins les refaire..Mais seulement si ça te plait....
Amicalement

[Rebecca]

En plus j'en trouve encore ou c 'est moi qui l'ai ajoutée je ne sais plus :
"qui la moulait "
Et puis comme je suis piètre correctrice que l'on me corrige si nécessaire.
(J'en imagine qui se gaussent déjà et sortent les badines)

[Sahkti]

il y a à nouvau pas mal de grosses fautes

L'exercice n'est pas simple en effet rebecca, on a vite fait d'en oublier une ou deux en corrigeant.
La preuve, je fais la remarque et j'écris nouvau, shame on me ! :-))

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