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Ce n'est pas une vie mais un état d'âme

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lemon a
Uniii-k
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Message  Uniii-k Dim 8 Nov 2009 - 17:09

Se cacher, observer, en déduire sous quel angle il faut regarder pour pouvoir comprendre, comprendre ce qu’est vraiment le monde, comprendre comment les gens agissent, ce qui les poussent à penser, à aimer, à vivre. Il y a tant de visions pour un seul monde, tant de choses pour un univers, tant d’espace pour une galaxie. S’exiler pour mieux respirer, cet air qui te fait vivre et qui t’étouffe en même temps. Son cœur ne bat plus, ses pensées sont perdues, toi-même tu ne sais que faire face à elle. Ses yeux secs te regardent, ils te fixent comme pour te rendre coupable de ce que tu n’es pas. Tu essai de la faire revivre, rien n’y fait, rien n’y fera. Elle n’est plus là, elle n’a jamais vraiment été là. Tous ces mensonges qui circulent, tous ce qui détruit est plus grand que ce qui libère. Tu à ce gout d’amertume, tu aimes ce gout d’incertitude, tu inspires à la vie, tu ne fait que l’écouter pour te pardonner de ce que tu pourras faire. Mourir c’est la vie car la vie est de mourir. Le cœur pleure comme les yeux peuvent pleurer. Le cœur a mal comme toi tu peux souffrir. Le cœur hais comme toi tu peux aimer. Le sang est au cœur ce que le cœur est à la vie. Rire, chanter, sourire, pleurer de joie ou de douleur, vivre de bonheur ou de malheur, oublier un seul instant qui on est, oublier un seul instant où l’on est, imaginer, car le rêve est le plus important entre le premier cri et le grand silence. Le rêve fait vivre comme vivre fait aimer. Le rêve est la foie en nous-mêmes nous menant parfois à y croire. Ce sont les rêves qui nous différencient, qui font de nous des êtres exceptionnels. L’imagination s’inspire du réel pour nous faire vivre du fictif, rien qu’un instant, rien qu’un soir. L’imagination fait planer, les junkies en ont besoins pour se sentir libre, ils veulent croire en leur rêve et quitter ce monde déchus. Seulement au retour sur Terre, plus rien ne va, tout deviens noir, tout devient morose. Rêver peut donner la mort quand le rêve dépasse l’imaginaire et essai d’en devenir le réel. Penser que le réel est imaginaire, c’est penser que le rêve est vrai dans un contexte réel. Rien n’est plus vrai pour celui qui croit en ce qu’il veut voir. Croire c’est essayer de se donner un but là où on n’arrive pas à avancer. Un esprit hanté, une âme déchue, un pouvoir absolu, une réjouissance éternelle, la rage immortelle, une vengeance artificielle, rien n’est plus vrai que ce qui coule dans ton corps, dans tes muscles, dans tes veines. Il bat pour toi, il bat pour te faire exister, il bat contre ta volonté, il bat à son gré. Tu ne choisis pas tout dans une vie, ni de naître ni de souffrir, ni de haïr ni de mourir. On t’a donné une chance perçut comme une malédiction, on t’a donné un pouvoir que tu refuses d’avoir, on t’a donné la volonté que tu t’obliges à rejeter. Oubli ce que tu sais pour pouvoir agir comme tu veux construire. C’est ton instinct que tu mets en jeux, c’est ce que tu veux inconsciemment que tu fais parler. C’est seul que tu pleures ce soir, c’est seul que ces perles salée dévaleront les terres arides de tes joues jusqu’aux lèvres avant de tomber dans le vide. Elles ne représentent rien, elles ne représentent rien… Elles existent pour émouvoir, elles existent pour évacuer, elles ne sont en rien le fruit de la tristesse. Ce monde qui déferle devant moi, s’en ai épatant, s’en ai écœurant. Comment peut-on vivre dans un tas de pièges, là ou rien n’est sincère et tout n’est qu’éphémère. Avoir mal au plus profond de soi, là où l’âme se déchire, où les blessures ne guérissent pas, où l’esprit se détruit, où la pensée se renforce, où le corps s’appauvri, où la confiance n’existe plus, où l’amitié est un jouet, où la douleur est habituel, où le jour n’existe pas, une nuit noire, des corbeaux blancs, les colombes noires… Enfermé dans cette camisole d'ignorance il est un malade sentimentale à la voix éteinte et au sourire égaré par tout ce passé d'une accalmi accablée. J’aimerais mourir pour toujours et ressusciter chaque soir, aimer comme un fou, adorer comme un roi, pouvoir être ce que je ne suis pas, pouvoir avoir ce que je n’ai pas, être aussi puissant que la foudre, aussi bruyant que le tonnerre, être la pluie sur le monde, dévasté, détruire, embellir. J’aimerais incarner l’absurdité, incarner l’éternel, l’éternel rêve d’ignorance. Un couteau qui te traverse de part en part, chaque coup t’affaiblissant, chaque parole te rendant plus fort. Sa voix est comme la souffle de la vie, mais chaque mot sortant de sa bouche me tue, m’achève, rien que de la voir m’affaibli, rien que de la savoir ici me fait flancher. Il ne reste que des souvenirs, des souvenirs amputés des mieux, des souvenirs qui pourraient détruire.[/b]Se cacher, observer, en déduire sous quel angle il faut regarder pour pouvoir comprendre, comprendre ce qu’est vraiment le monde, comprendre comment les gens agissent, ce qui les poussent à penser, à aimer, à vivre. Il y a tant de visions pour un seul monde, tant de choses pour un univers, tant d’espace pour une galaxie. S’exiler pour mieux respirer, cet air qui te fait vivre et qui t’étouffe en même temps. Son cœur ne bat plus, ses pensées sont perdues, toi-même tu ne sais que faire face à elle. Ses yeux secs te regardent, ils te fixent comme pour te rendre coupable de ce que tu n’es pas. Tu essai de la faire revivre, rien n’y fait, rien n’y fera. Elle n’est plus là, elle n’a jamais vraiment été là. Tous ces mensonges qui circulent, tous ce qui détruit est plus grand que ce qui libère. Tu à ce gout d’amertume, tu aimes ce gout d’incertitude, tu inspires à la vie, tu ne fait que l’écouter pour te pardonner de ce que tu pourras faire. Mourir c’est la vie car la vie est de mourir. Le cœur pleure comme les yeux peuvent pleurer. Le cœur a mal comme toi tu peux souffrir. Le cœur hais comme toi tu peux aimer. Le sang est au cœur ce que le cœur est à la vie. Rire, chanter, sourire, pleurer de joie ou de douleur, vivre de bonheur ou de malheur, oublier un seul instant qui on est, oublier un seul instant où l’on est, imaginer, car le rêve est le plus important entre le premier cri et le grand silence. Le rêve fait vivre comme vivre fait aimer. Le rêve est la foie en nous-mêmes nous menant parfois à y croire. Ce sont les rêves qui nous différencient, qui font de nous des êtres exceptionnels. L’imagination s’inspire du réel pour nous faire vivre du fictif, rien qu’un instant, rien qu’un soir. L’imagination fait planer, les junkies en ont besoins pour se sentir libre, ils veulent croire en leur rêve et quitter ce monde déchus. Seulement au retour sur Terre, plus rien ne va, tout deviens noir, tout devient morose. Rêver peut donner la mort quand le rêve dépasse l’imaginaire et essai d’en devenir le réel. Penser que le réel est imaginaire, c’est penser que le rêve est vrai dans un contexte réel. Rien n’est plus vrai pour celui qui croit en ce qu’il veut voir. Croire c’est essayer de se donner un but là où on n’arrive pas à avancer. Un esprit hanté, une âme déchue, un pouvoir absolu, une réjouissance éternelle, la rage immortelle, une vengeance artificielle, rien n’est plus vrai que ce qui coule dans ton corps, dans tes muscles, dans tes veines. Il bat pour toi, il bat pour te faire exister, il bat contre ta volonté, il bat à son gré. Tu ne choisis pas tout dans une vie, ni de naître ni de souffrir, ni de haïr ni de mourir. On t’a donné une chance perçut comme une malédiction, on t’a donné un pouvoir que tu refuses d’avoir, on t’a donné la volonté que tu t’obliges à rejeter. Oubli ce que tu sais pour pouvoir agir comme tu veux construire. C’est ton instinct que tu mets en jeux, c’est ce que tu veux inconsciemment que tu fais parler. C’est seul que tu pleures ce soir, c’est seul que ces perles salée dévaleront les terres arides de tes joues jusqu’aux lèvres avant de tomber dans le vide. Elles ne représentent rien, elles ne représentent rien… Elles existent pour émouvoir, elles existent pour évacuer, elles ne sont en rien le fruit de la tristesse. Ce monde qui déferle devant moi, s’en ai épatant, s’en ai écœurant. Comment peut-on vivre dans un tas de pièges, là ou rien n’est sincère et tout n’est qu’éphémère. Avoir mal au plus profond de soi, là où l’âme se déchire, où les blessures ne guérissent pas, où l’esprit se détruit, où la pensée se renforce, où le corps s’appauvri, où la confiance n’existe plus, où l’amitié est un jouet, où la douleur est habituel, où le jour n’existe pas, une nuit noire, des corbeaux blancs, les colombes noires… Enfermé dans cette camisole d'ignorance il est un malade sentimentale à la voix éteinte et au sourire égaré par tout ce passé d'une accalmi accablée. J’aimerais mourir pour toujours et ressusciter chaque soir, aimer comme un fou, adorer comme un roi, pouvoir être ce que je ne suis pas, pouvoir avoir ce que je n’ai pas, être aussi puissant que la foudre, aussi bruyant que le tonnerre, être la pluie sur le monde, dévasté, détruire, embellir. J’aimerais incarner l’absurdité, incarner l’éternel, l’éternel rêve d’ignorance. Un couteau qui te traverse de part en part, chaque coup t’affaiblissant, chaque parole te rendant plus fort. Sa voix est comme la souffle de la vie, mais chaque mot sortant de sa bouche me tue, m’achève, rien que de la voir m’affaibli, rien que de la savoir ici me fait flancher. Il ne reste que des souvenirs, des souvenirs amputés des mieux, des souvenirs qui pourraient détruire.

Uniii-k

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Message  lemon a Dim 8 Nov 2009 - 17:53

Aère.
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Message  Uniii-k Dim 8 Nov 2009 - 17:56

Se cacher, observer, en déduire sous quel angle il faut regarder pour pouvoir comprendre, comprendre ce qu’est vraiment le monde, comprendre comment les gens agissent, ce qui les poussent à penser, à aimer, à vivre. Il y a tant de visions pour un seul monde, tant de choses pour un univers, tant d’espace pour une galaxie. S’exiler pour mieux respirer, cet air qui te fait vivre et qui t’étouffe en même temps. Son cœur ne bat plus, ses pensées sont perdues, toi-même tu ne sais que faire face à elle. Ses yeux secs te regardent, ils te fixent comme pour te rendre coupable de ce que tu n’es pas. Tu essai de la faire revivre, rien n’y fait, rien n’y fera. Elle n’est plus là, elle n’a jamais vraiment été là.

Tous ces mensonges qui circulent, tous ce qui détruit est plus grand que ce qui libère. Tu as ce gout d’amertume, tu aimes ce gout d’incertitude, tu inspires à la vie, tu ne fait que l’écouter pour te pardonner de ce que tu pourras faire. Mourir c’est la vie car la vie est de mourir. Le cœur pleure comme les yeux peuvent pleurer. Le cœur a mal comme toi tu peux souffrir. Le cœur hais comme toi tu peux aimer. Le sang est au cœur ce que le cœur est à la vie. Rire, chanter, sourire, pleurer de joie ou de douleur, vivre de bonheur ou de malheur, oublier un seul instant qui on est, oublier un seul instant où l’on est, imaginer, car le rêve est le plus important entre le premier cri et le grand silence.

Le rêve fait vivre comme vivre fait aimer. Le rêve est la foie en nous-mêmes nous menant parfois à y croire. Ce sont les rêves qui nous différencient, qui font de nous des êtres exceptionnels. L’imagination s’inspire du réel pour nous faire vivre du fictif, rien qu’un instant, rien qu’un soir. L’imagination fait planer, les junkies en ont besoins pour se sentir libre, ils veulent croire en leur rêve et quitter ce monde déchus. Seulement au retour sur Terre, plus rien ne va, tout deviens noir, tout devient morose. Rêver peut donner la mort quand le rêve dépasse l’imaginaire et essai d’en devenir le réel. Penser que le réel est imaginaire, c’est penser que le rêve est vrai dans un contexte réel. Rien n’est plus vrai pour celui qui croit en ce qu’il veut voir. Croire c’est essayer de se donner un but là où on n’arrive pas à avancer. Un esprit hanté, une âme déchue, un pouvoir absolu, une réjouissance éternelle, la rage immortelle, une vengeance artificielle, rien n’est plus vrai que ce qui coule dans ton corps, dans tes muscles, dans tes veines. Il bat pour toi, il bat pour te faire exister, il bat contre ta volonté, il bat à son gré. Tu ne choisis pas tout dans une vie, ni de naître ni de souffrir, ni de haïr ni de mourir. On t’a donné une chance perçut comme une malédiction, on t’a donné un pouvoir que tu refuses d’avoir, on t’a donné la volonté que tu t’obliges à rejeter. Oubli ce que tu sais pour pouvoir agir comme tu veux construire. C’est ton instinct que tu mets en jeux, c’est ce que tu veux inconsciemment que tu fais parler. C’est seul que tu pleures ce soir, c’est seul que ces perles salée dévaleront les terres arides de tes joues jusqu’aux lèvres avant de tomber dans le vide. Elles ne représentent rien, elles ne représentent rien… Elles existent pour émouvoir, elles existent pour évacuer, elles ne sont en rien le fruit de la tristesse. Ce monde qui déferle devant moi, s’en ai épatant, s’en ai écœurant. Comment peut-on vivre dans un tas de pièges, là ou rien n’est sincère et tout n’est qu’éphémère. Avoir mal au plus profond de soi, là où l’âme se déchire, où les blessures ne guérissent pas, où l’esprit se détruit, où la pensée se renforce, où le corps s’appauvri, où la confiance n’existe plus, où l’amitié est un jouet, où la douleur est habituel, où le jour n’existe pas, une nuit noire, des corbeaux blancs, les colombes noires…

Enfermé dans cette camisole d'ignorance il est un malade sentimentale à la voix éteinte et au sourire égaré par tout ce passé d'une accalmi accablée. J’aimerais mourir pour toujours et ressusciter chaque soir, aimer comme un fou, adorer comme un roi, pouvoir être ce que je ne suis pas, pouvoir avoir ce que je n’ai pas, être aussi puissant que la foudre, aussi bruyant que le tonnerre, être la pluie sur le monde, dévasté, détruire, embellir. J’aimerais incarner l’absurdité, incarner l’éternel, l’éternel rêve d’ignorance. Un couteau qui te traverse de part en part, chaque coup t’affaiblissant, chaque parole te rendant plus fort. Sa voix est comme la souffle de la vie, mais chaque mot sortant de sa bouche me tue, m’achève, rien que de la voir m’affaibli, rien que de la savoir ici me fait flancher. Il ne reste que des souvenirs, des souvenirs amputés des mieux, des souvenirs qui pourraient détruire.[/b]Se cacher, observer, en déduire sous quel angle il faut regarder pour pouvoir comprendre, comprendre ce qu’est vraiment le monde, comprendre comment les gens agissent, ce qui les poussent à penser, à aimer, à vivre. Il y a tant de visions pour un seul monde, tant de choses pour un univers, tant d’espace pour une galaxie. S’exiler pour mieux respirer, cet air qui te fait vivre et qui t’étouffe en même temps. Son cœur ne bat plus, ses pensées sont perdues, toi-même tu ne sais que faire face à elle. Ses yeux secs te regardent, ils te fixent comme pour te rendre coupable de ce que tu n’es pas. Tu essai de la faire revivre, rien n’y fait, rien n’y fera. Elle n’est plus là, elle n’a jamais vraiment été là.

Tous ces mensonges qui circulent, tous ce qui détruit est plus grand que ce qui libère. Tu à ce gout d’amertume, tu aimes ce gout d’incertitude, tu inspires à la vie, tu ne fait que l’écouter pour te pardonner de ce que tu pourras faire. Mourir c’est la vie car la vie est de mourir. Le cœur pleure comme les yeux peuvent pleurer. Le cœur a mal comme toi tu peux souffrir. Le cœur hais comme toi tu peux aimer. Le sang est au cœur ce que le cœur est à la vie. Rire, chanter, sourire, pleurer de joie ou de douleur, vivre de bonheur ou de malheur, oublier un seul instant qui on est, oublier un seul instant où l’on est, imaginer, car le rêve est le plus important entre le premier cri et le grand silence. Le rêve fait vivre comme vivre fait aimer. Le rêve est la foie en nous-mêmes nous menant parfois à y croire. Ce sont les rêves qui nous différencient, qui font de nous des êtres exceptionnels. L’imagination s’inspire du réel pour nous faire vivre du fictif, rien qu’un instant, rien qu’un soir. L’imagination fait planer, les junkies en ont besoins pour se sentir libre, ils veulent croire en leur rêve et quitter ce monde déchus. Seulement au retour sur Terre, plus rien ne va, tout deviens noir, tout devient morose. Rêver peut donner la mort quand le rêve dépasse l’imaginaire et essai d’en devenir le réel. Penser que le réel est imaginaire, c’est penser que le rêve est vrai dans un contexte réel. Rien n’est plus vrai pour celui qui croit en ce qu’il veut voir. Croire c’est essayer de se donner un but là où on n’arrive pas à avancer. Un esprit hanté, une âme déchue, un pouvoir absolu, une réjouissance éternelle, la rage immortelle, une vengeance artificielle, rien n’est plus vrai que ce qui coule dans ton corps, dans tes muscles, dans tes veines. Il bat pour toi, il bat pour te faire exister, il bat contre ta volonté, il bat à son gré. Tu ne choisis pas tout dans une vie, ni de naître ni de souffrir, ni de haïr ni de mourir. On t’a donné une chance perçut comme une malédiction, on t’a donné un pouvoir que tu refuses d’avoir, on t’a donné la volonté que tu t’obliges à rejeter. Oubli ce que tu sais pour pouvoir agir comme tu veux construire. C’est ton instinct que tu mets en jeux, c’est ce que tu veux inconsciemment que tu fais parler. C’est seul que tu pleures ce soir, c’est seul que ces perles salée dévaleront les terres arides de tes joues jusqu’aux lèvres avant de tomber dans le vide. Elles ne représentent rien, elles ne représentent rien… Elles existent pour émouvoir, elles existent pour évacuer, elles ne sont en rien le fruit de la tristesse. Ce monde qui déferle devant moi, s’en ai épatant, s’en ai écœurant.

Comment peut-on vivre dans un tas de pièges, là ou rien n’est sincère et tout n’est qu’éphémère. Avoir mal au plus profond de soi, là où l’âme se déchire, où les blessures ne guérissent pas, où l’esprit se détruit, où la pensée se renforce, où le corps s’appauvri, où la confiance n’existe plus, où l’amitié est un jouet, où la douleur est habituel, où le jour n’existe pas, une nuit noire, des corbeaux blancs, les colombes noires… Enfermé dans cette camisole d'ignorance il est un malade sentimentale à la voix éteinte et au sourire égaré par tout ce passé d'une accalmi accablée. J’aimerais mourir pour toujours et ressusciter chaque soir, aimer comme un fou, adorer comme un roi, pouvoir être ce que je ne suis pas, pouvoir avoir ce que je n’ai pas, être aussi puissant que la foudre, aussi bruyant que le tonnerre, être la pluie sur le monde, dévasté, détruire, embellir. J’aimerais incarner l’absurdité, incarner l’éternel, l’éternel rêve d’ignorance. Un couteau qui te traverse de part en part, chaque coup t’affaiblissant, chaque parole te rendant plus fort.

Sa voix est comme la souffle de la vie, mais chaque mot sortant de sa bouche me tue, m’achève, rien que de la voir m’affaibli, rien que de la savoir ici me fait flancher. Il ne reste que des souvenirs, des souvenirs amputés des mieux, des souvenirs qui pourraient détruire.

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Message  Invité Dim 8 Nov 2009 - 17:58

Corrige.

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Message  Uniii-k Dim 8 Nov 2009 - 18:00

Je ne sais pas éditer =/

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Message  boc21fr Dim 8 Nov 2009 - 18:07

Comment peut-on vivre dans un tas de pièges, là ou rien n’est sincère et tout n’est qu’éphémère
-> Si n'existaient que des pièges, alors il n'y en aurait aucun.
Un texte qui jette Bébé avec l'eau du bain...
Courage, tu es bien Uniii-k
Franchement ta lucidité promet pour la suite.
N"oublie juste jamais que sans lumière, il n'y a pas d'ombres, et que les ténèbres les plus complètes n'ont jamais eu le moindre intérêt littéraire.
Lemon a te conseille d'aérer ton texte, je ne peux qu'aller dans son sens.
Ici (sur VE), on ne peut éditer son texte...
Ce sera pour le prochain ;o)
Attention à ton orthographe également...
boc21fr
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Message  Uniii-k Dim 8 Nov 2009 - 18:16

Pour l'orthographe, j'ai peut-être laissé échapper des erreurs.
Pour ce qui est d'aérer le texte, j'y conçois.
Je ne vois pas vraiment où vous voulez en venir au final, je ne dis pas qu'il y a que des pièges dans une vie.
De plus, j'm'inspire de ce que je peux voir ou entendre de la part des gens pour le reprendre dans ce que je peux dire, j'expose une facette du monde dans lequel on est, du moins de ce que je vois..

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Message  Modération Dim 8 Nov 2009 - 20:28

Modération a écrit:
Uniii-k a écrit:Se cacher, observer, en déduire sous quel angle il faut regarder pour pouvoir comprendre, comprendre ce qu’est vraiment le monde, comprendre comment les gens agissent, ce qui les pousse à penser, à aimer, à vivre. Il y a tant de visions pour un seul monde, tant de choses pour un univers, tant d’espace pour une galaxie. S’exiler pour mieux respirer, cet air qui te fait vivre et qui t’étouffe en même temps. Son cœur ne bat plus, ses pensées sont perdues, toi-même tu ne sais que faire face à elle. Ses yeux secs te regardent, ils te fixent comme pour te rendre coupable de ce que tu n’es pas. Tu essaies de la faire revivre, rien n’y fait, rien n’y fera. Elle n’est plus là, elle n’a jamais vraiment été là.

Tous ces mensonges qui circulent, tous ce qui détruit est plus grand que ce qui libère. Tu as ce goût d’amertume, tu aimes ce goût d’incertitude, tu inspires à la vie, tu ne fais que l’écouter pour te pardonner de ce que tu pourras faire. Mourir c’est la vie car la vie est de mourir. Le cœur pleure comme les yeux peuvent pleurer. Le cœur a mal comme toi tu peux souffrir. Le cœur hait comme toi tu peux aimer. Le sang est au cœur ce que le cœur est à la vie. Rire, chanter, sourire, pleurer de joie ou de douleur, vivre de bonheur ou de malheur, oublier un seul instant qui on est, oublier un seul instant où l’on est, imaginer, car le rêve est le plus important entre le premier cri et le grand silence.

Le rêve fait vivre comme vivre fait aimer. Le rêve est la foi en nous-mêmes nous menant parfois à y croire. Ce sont les rêves qui nous différencient, qui font de nous des êtres exceptionnels. L’imagination s’inspire du réel pour nous faire vivre du fictif, rien qu’un instant, rien qu’un soir. L’imagination fait planer, les junkies en ont besoin pour se sentir libre, ils veulent croire en leur rêve et quitter ce monde déchu. Seulement au retour sur Terre, plus rien ne va, tout devient noir, tout devient morose. Rêver peut donner la mort quand le rêve dépasse l’imaginaire et essaie d’en devenir le réel. Penser que le réel est imaginaire, c’est penser que le rêve est vrai dans un contexte réel. Rien n’est plus vrai pour celui qui croit en ce qu’il veut voir. Croire c’est essayer de se donner un but là où on n’arrive pas à avancer. Un esprit hanté, une âme déchue, un pouvoir absolu, une réjouissance éternelle, la rage immortelle, une vengeance artificielle, rien n’est plus vrai que ce qui coule dans ton corps, dans tes muscles, dans tes veines. Il bat pour toi, il bat pour te faire exister, il bat contre ta volonté, il bat à son gré. Tu ne choisis pas tout dans une vie, ni de naître ni de souffrir, ni de haïr ni de mourir. On t’a donné une chance perçue comme une malédiction, on t’a donné un pouvoir que tu refuses d’avoir, on t’a donné la volonté que tu t’obliges à rejeter. Oublie ce que tu sais pour pouvoir agir comme tu veux construire. C’est ton instinct que tu mets en jeu, c’est ce que tu veux inconsciemment que tu fais parler. C’est seul que tu pleures ce soir, c’est seul que ces perles salées dévaleront les terres arides de tes joues jusqu’aux lèvres avant de tomber dans le vide. Elles ne représentent rien, elles ne représentent rien… Elles existent pour émouvoir, elles existent pour évacuer, elles ne sont en rien le fruit de la tristesse. Ce monde qui déferle devant moi, c’en est épatant, c’en est écœurant.
Comment peut-on vivre dans un tas de pièges, là rien n’est sincère et tout n’est qu’éphémère. Avoir mal au plus profond de soi, là où l’âme se déchire, où les blessures ne guérissent pas, où l’esprit se détruit, où la pensée se renforce, où le corps s’appauvrit, où la confiance n’existe plus, où l’amitié est un jouet, où la douleur est habituelle, où le jour n’existe pas, une nuit noire, des corbeaux blancs, les colombes noires…

Enfermé dans cette camisole d'ignorance il est un malade sentimental à la voix éteinte et au sourire égaré par tout ce passé d'une accalmie accablée. J’aimerais mourir pour toujours et ressusciter chaque soir, aimer comme un fou, adorer comme un roi, pouvoir être ce que je ne suis pas, pouvoir avoir ce que je n’ai pas, être aussi puissant que la foudre, aussi bruyant que le tonnerre, être la pluie sur le monde, dévasté, détruire, embellir. J’aimerais incarner l’absurdité, incarner l’éternel, l’éternel rêve d’ignorance. Un couteau qui te traverse de part en part, chaque coup t’affaiblissant, chaque parole te rendant plus fort.

Sa voix est comme la souffle de la vie, mais chaque mot sortant de sa bouche me tue, m’achève, rien que de la voir m’affaiblit, rien que de la savoir ici me fait flancher. Il ne reste que des souvenirs, des souvenirs amputés des mieux, des souvenirs qui pourraient détruire.

Se cacher, observer, en déduire sous quel angle il faut regarder pour pouvoir comprendre, comprendre ce qu’est vraiment le monde, comprendre comment les gens agissent, ce qui les pousse à penser, à aimer, à vivre. Il y a tant de visions pour un seul monde, tant de choses pour un univers, tant d’espace pour une galaxie. S’exiler pour mieux respirer, cet air qui te fait vivre et qui t’étouffe en même temps. Son cœur ne bat plus, ses pensées sont perdues, toi-même tu ne sais que faire face à elle. Ses yeux secs te regardent, ils te fixent comme pour te rendre coupable de ce que tu n’es pas. Tu essaies de la faire revivre, rien n’y fait, rien n’y fera. Elle n’est plus là, elle n’a jamais vraiment été là.

Tous ces mensonges qui circulent, tous ce qui détruit est plus grand que ce qui libère. Tu as ce goût d’amertume, tu aimes ce goût d’incertitude, tu inspires à la vie, tu ne fais que l’écouter pour te pardonner de ce que tu pourras faire. Mourir c’est la vie car la vie est de mourir. Le cœur pleure comme les yeux peuvent pleurer. Le cœur a mal comme toi tu peux souffrir. Le cœur hait comme toi tu peux aimer. Le sang est au cœur ce que le cœur est à la vie. Rire, chanter, sourire, pleurer de joie ou de douleur, vivre de bonheur ou de malheur, oublier un seul instant qui on est, oublier un seul instant où l’on est, imaginer, car le rêve est le plus important entre le premier cri et le grand silence.

Le rêve fait vivre comme vivre fait aimer. Le rêve est la foi en nous-mêmes nous menant parfois à y croire. Ce sont les rêves qui nous différencient, qui font de nous des êtres exceptionnels. L’imagination s’inspire du réel pour nous faire vivre du fictif, rien qu’un instant, rien qu’un soir. L’imagination fait planer, les junkies en ont besoin pour se sentir libre, ils veulent croire en leur rêve et quitter ce monde déchu. Seulement au retour sur Terre, plus rien ne va, tout devient noir, tout devient morose. Rêver peut donner la mort quand le rêve dépasse l’imaginaire et essaie d’en devenir le réel. Penser que le réel est imaginaire, c’est penser que le rêve est vrai dans un contexte réel. Rien n’est plus vrai pour celui qui croit en ce qu’il veut voir. Croire c’est essayer de se donner un but là où on n’arrive pas à avancer. Un esprit hanté, une âme déchue, un pouvoir absolu, une réjouissance éternelle, la rage immortelle, une vengeance artificielle, rien n’est plus vrai que ce qui coule dans ton corps, dans tes muscles, dans tes veines. Il bat pour toi, il bat pour te faire exister, il bat contre ta volonté, il bat à son gré. Tu ne choisis pas tout dans une vie, ni de naître ni de souffrir, ni de haïr ni de mourir. On t’a donné une chance perçue comme une malédiction, on t’a donné un pouvoir que tu refuses d’avoir, on t’a donné la volonté que tu t’obliges à rejeter. Oublie ce que tu sais pour pouvoir agir comme tu veux construire. C’est ton instinct que tu mets en jeu, c’est ce que tu veux inconsciemment que tu fais parler. C’est seul que tu pleures ce soir, c’est seul que ces perles salées dévaleront les terres arides de tes joues jusqu’aux lèvres avant de tomber dans le vide. Elles ne représentent rien, elles ne représentent rien… Elles existent pour émouvoir, elles existent pour évacuer, elles ne sont en rien le fruit de la tristesse. Ce monde qui déferle devant moi, c’en est épatant, c’en est écœurant.
Comment peut-on vivre dans un tas de pièges, là rien n’est sincère et tout n’est qu’éphémère. Avoir mal au plus profond de soi, là où l’âme se déchire, où les blessures ne guérissent pas, où l’esprit se détruit, où la pensée se renforce, où le corps s’appauvrit, où la confiance n’existe plus, où l’amitié est un jouet, où la douleur est habituelle, où le jour n’existe pas, une nuit noire, des corbeaux blancs, les colombes noires…

Enfermé dans cette camisole d'ignorance il est un malade sentimental à la voix éteinte et au sourire égaré par tout ce passé d'une accalmie accablée. J’aimerais mourir pour toujours et ressusciter chaque soir, aimer comme un fou, adorer comme un roi, pouvoir être ce que je ne suis pas, pouvoir avoir ce que je n’ai pas, être aussi puissant que la foudre, aussi bruyant que le tonnerre, être la pluie sur le monde, dévasté, détruire, embellir. J’aimerais incarner l’absurdité, incarner l’éternel, l’éternel rêve d’ignorance. Un couteau qui te traverse de part en part, chaque coup t’affaiblissant, chaque parole te rendant plus fort.

Sa voix est comme la souffle de la vie, mais chaque mot sortant de sa bouche me tue, m’achève, rien que de la voir m’affaiblit, rien que de la savoir ici me fait flancher. Il ne reste que des souvenirs, des souvenirs amputés des mieux, des souvenirs qui pourraient détruire.

< Est-ce que le copié-collé des 2 moitiés est fait exprès ?? >
.

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Message  Rebecca Dim 8 Nov 2009 - 20:36

"Rêver peut donner la mort quand le rêve dépasse l’imaginaire et essaie d’en devenir le réel. Penser que le réel est imaginaire, c’est penser que le rêve est vrai dans un contexte réel."

Trop intellectuel pour moi. Je n'y comprends que couic.
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Message  Sahkti Mer 25 Nov 2009 - 12:55

C'est un véritable état d'âme qui prend ici toute la place, s'étale au risque de parfois tourner en rond, se décline certes de manière poétique mais parfois répétitive, avec quelques formules dont certaines sont jolies d'autres toutes faites.

L'égalité constante dans le rythme accentue certainement cette impression de redite, il y aurait sans doute moyen de faire basculer cela dans quelque chose de plus naturel, plus brisé aussi, correspondant mieux aux hésitations et interrogations induites par de telles réflexions.
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Message  Invité Mer 25 Nov 2009 - 13:11

J'abonde dans le sens de Sahkti : tout ceci tourne un peu au répétitif; essaie de garder uniquement ce qui est expression nouvelle de la chose - (par ailleurs, bien rebattue par les gens de ton âge - et je ne te reproche certes pas ton âge !)
Il y a du potentiel, mais il te faut aérer non seulement typographiquement mais aussi dans l'expression, toute chose ne prenant sa valeur que par rapport contraste avec une autre.

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