Heu, un ménestrel ...

[Peach]

Désolée, j'ai pas trouvé de titre :s

Dites-moi tout !
^^

* Liberté, mot essentiel dans une vie, mot si doux, si tendre à entendre pour mes oreilles fatiguées du long voyage effectuée qu'est ma vie. Je souffre tellement que rien qu'un murmure de ce mot par le vent est plus précieux que le bonheur à mes yeux. Mais cela me semble impossible, voir arriver ce mot tout proche de mon corps ne se réaliserait même pas dans un rêve. La réalité me semble étrangère; je ne sais pas qui je suis en ce monde, un monde inconnu. Personne ne sait que j'existe, personne ne me connait, pas même moi ... Le nom que je porte n'est pas le mien. Je me demande si mon corps m'appartient, j'ai l'impression de ne pas lui ressembler. Je ne sais pas ce qui s'est passé, mais je ne suis plus moi-même. J'ai l'impression d'avoir disparu des hommes pour le retrouver cacher au milieu d'eux, participant au même jeux qu'eux, mais cette fois-ci en tant que pion, comme eux.
Ce que je sais de moi, c'est que je suis un simple ménestrel qui s'aventure sur les chemins afin de rencontrer de bons gens, et de gagner ma vie en chantant jour après jour, nuit après nuit. Mon passé est très simple, mes parents avaient été de simples fermiers sans histoire et je les aidaient dans leurs différentes tâches, dures soient-elles. Ce que je ne comprend pas, c'est pourquoi je ne me rappelle rien d'eux; ni leur prénom, ni leur visage, et pas même la ferme. J'ai l'impression d'être enfermé dans un corps qui n'est pas le mien, pourtant, c'est moi qui le dirige.*

Voilà, le début d'une très courte histoire =)
Lâchez tout !

[Invité]

* Liberté, mot essentiel dans une vie, mot si doux, si tendre à entendre pour mes oreilles fatiguées du long voyage effectué qu'est ma vie. Je souffre tellement que rien qu'un murmure de ce mot par le vent est plus précieux que le bonheur à mes yeux. Mais cela me semble impossible, voir arriver ce mot tout proche de mon corps ne se réaliserait même pas dans un rêve. La réalité me semble étrangère; je ne sais pas qui je suis en ce monde, un monde inconnu. Personne ne sait que j'existe, personne ne me connaît, pas même moi ... Le nom que je porte n'est pas le mien. Je me demande si mon corps m'appartient, j'ai l'impression de ne pas lui ressembler. Je ne sais pas ce qui s'est passé, mais je ne suis plus moi-même. J'ai l'impression d'avoir disparu des hommes pour le retrouver cacher au milieu d'eux, participant au même jeu qu'eux, mais cette fois-ci en tant que pion, comme eux.
Ce que je sais de moi, c'est que je suis un simple ménestrel qui s'aventure sur les chemins afin de rencontrer de bonnes gens, et de gagner ma vie en chantant jour après jour, nuit après nuit. Mon passé est très simple, mes parents avaient été de simples fermiers sans histoires et je les aidais dans leurs différentes tâches, (aussi ?) dures soient-elles. Ce que je ne comprends pas, c'est pourquoi je ne me rappelle rien d'eux; ni leur prénom, ni leur visage, et pas même la ferme. J'ai l'impression d'être enfermé dans un corps qui n'est pas le mien, pourtant, c'est moi qui le dirige.*


Les erreurs d'orthographe sont assez nombreuses, tout de même, et l'expression maladroite.
Le propos me paraît fade, bourré de lieux communs.

[Invité]

Bah, en fait, y'a pas tant de fautes que ça, désolé. Juste le texte qui est assez court.
Par contre, j'ai mis en gras deux répétitions qui ne m'ont pas semblé très esthétiques... sinon je n'ai pas eu le courage de relever les phrases que je trouvais bancales, mal construites. Peut-être que d'autres s'en chargeront - mieux que moi, en plus.

[Invité]

Le texte est un peu trop nébuleux pour m'intéersser vraiment, d'autant que le sujet m'en paraît assez narcissique et rebattu... Et puis, selon moi, il pâtit de maladresses dommageables dans un texte aussi court.

Mes remarques :
« mes oreilles fatiguées du long voyage effectué (c’est le voyage qui est effectué ; de toute manière, tenez-vous à cette précision sur le voyage ?) qu'est ma vie »
« Je souffre tellement que rien qu'un murmure de ce mot par le vent est plus précieux que le bonheur à mes yeux. » : je ne comprends pas, je ne vois pas pourquoi le fait que le narrateur souffre beaucoup rend d’autant plus précieux le mot « liberté »
« personne ne me connaît »
« J'ai l'impression d'avoir disparu des hommes pour le (qui est-ce, le ? le nom du narrateur ? son corps ? ce n'est pas clair pour moi) retrouver caché au milieu d'eux »
« afin de rencontrer de bonnes gens »
« Mon passé est très simple, mes parents avaient été de simples (la répétition se voit, je trouve) fermiers sans histoire et je les aidais dans leurs différentes tâches, (il ne manque pas « si », ici ?) dures soient-elles. Ce que je ne comprends pas »

[Invité]

quelle ratatouille.

[Sergei]

Moi je n'accroche pas beaucoup. De toute façon, dès qu'on commence par parler de liberté, ça tourne souvent au lieu commun.
Après je n'ai pas été accroché par la forme non plus. Je suis moyennement conquis dans l'ensemble.

[boc21fr]

C'est un début, ce n'est pas si mal : ce que je veux dire par là c'est que le texte n'est pas à jeter mais à améliorer.
Cette idée que la liberté, lorsqu'il est un choix délibéré de vie, implique que rien ne vous appartienne même pas votre nom, votre corps, ou votre place parmi les hommes est une très bonne idée de départ.

[Sahkti]

C'est bien de laisser de temps en temps son nombril de côté pour poser des questions liées davantage à l'extérieur; c'est que la narration devrait faire ici, cesser de tourner en rond.
PS: j'insiste bien sur le fait que je parle du narrateur et non de l'auteur !

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