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Capablanca (parties 1 et 2)

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Message  alexis Mar 17 Nov 2009 - 22:50

1ère partie

Un coup d’œil jeter par la fenêtre et aussitôt je m’encours dans la direction opposée. Je saisi la poignée de la porte et je la passe précipitamment, laissant un courant d’air derrière moi, elle se referme doucement. Je monte quatre à quatre les marches de l’escalier et j’enchaine les étages. Pendant que ma mémoire se remémore, je sens comme une oppression qui monte et qui monte, comme avec moi, elle me suit et mon cœur s’emballe. Je tente de me souvenir de l’endroit où est cette trappe, celle qui donnait l’accès au toit. Trop tard, déjà en haut. Où est-elle bon sang ? Je tourne mon corps, je marche vers l’arrière en circulant et en même temps je tourne la tête à gauche à droite, toujours à l’affut de cette trappe. Soudain, mes yeux s’arrêtent sur un coup dans la porte, ma pensée s’affole et comme dans un flash qui envahit mon cerveau, tout à coup, tout me revient. Elle était là, dans le coin du plafond parce que le coup dans la porte, c’était…tien, ils ne l’ont même pas changée !? Je m’empare du premier support surélever que je trouve et je grimpe, puis enfin j’arrive dans le faux-plafond qui donne l’accès à la cage d’ascenseur, qui elle-même donne l’ouverture à ce drôle d’endroit : la cave à outils du concierge, complètement désaffectée d’ailleurs. Là, la fenêtre était encore ouverte, et par-elle je m’insert dans le conduit d’aération. Et enfin j’arrive. Sur les toits de la ville.

Je me sens si grand : je domine la ville, du haut de mon mètre septante-neuf. Et pourtant, à dire vrai, ce sentiment bien agréable est aussi bien éphémère : je me suis rarement senti minable. Je l’aurais juré…Ah, eh, hé oui, c’est comme ça ! Je m’avance doucement, le vent froid caresse mes joues, et je m’en vais rejoindre l’endroit de ce toit qui est à moi. Le lieu de toutes mes libertés, de tout mes accomplissements, de toutes mes rêveries on ne peut plus réelle. Pourquoi tant d’année sans plus y avoir songé ? Pourquoi si précipitamment je m’encourrais presque malgré moi tout là-haut ? Comme si jusqu’alors mon corps m’interdisait d’être régit par des actions spontanées, et qu’il lui a été nécessaire d’être pris d’une folie à la frontière du conscient – et contenue pendant tant d’année, pour ré-assouvir ce besoin, celui que j’éprouvais tantôt et qui dès lors s’estompe, comme par miracle. Toute l’oppression croissante qui me courrait après et qui encourageait ma fuite, semble-t-il respecte les lieux sacrés, comme celui-ci. Qui sait, peut-être ce lieux serait-il vraiment habité par une force mystique, qui tendrait à dépourvoir les corps y pénétrant des quelconques désagréments engendrer par la confusion de leurs sentiments. Mais si cela était vrai, pourquoi ai-je ressenti ce besoin vital, me menant à la limite des sueurs mortelle, d’y remonter – tout se passerait-il plutôt comme si c’était lui qui m’appelait ? Je ne sais pas, mais à présent je pense qu’il est temps pour moi de penser à autre chose.

Avant que je m’inspire et que je me perde au beau milieu de ce peuple ci-bas, que désormais j’ai l’air de dominer de haut, qui était-je ? Où j’allais encore ? Je ne m’en rappelle plus bien…Tout ces question me semble dès lors révolue, car à la place règnent des sentiments comme une sorte de quiétude ou d’autres s’apparentant plutôt à de la tendresse, mais je ne parlerais pas d’amour car ils sont comme en symbiose avec une colère, une haine, une peur qui les surplombes comme de la dérision. La tendresse que j’éprouvai était pareille à celle que l’enfant peut ressentir lorsqu’il s’attarde dans les bras de sa mère, mais ce ne sera plus jamais réel pour moi. Non pas qu’il ne soit plus dans mes envies de lui en formuler la demande, au contraire, cela serait pour moi un infini plaisir, mais malheureusement irréel. Je peine à vous dire pourquoi, peut-être une autre fois…Car déjà j’ai les paupières qui s’alourdissent et feront bientôt de moi un ronfleur. Je tante encore l’aventure, le dialogue auprès de quelques-uns de mes songes, mais rien n’y fait ; très vite, trop rapidement tout s’éteint, ce qui me laisse juste le temps de me confectionner un oreiller, pour lequel je donne mon pull en sacrifice. Ma mère, tu fus ma dernière, mais la plus merveilleuse de toutes mes pensées.

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Message  mentor Mar 17 Nov 2009 - 23:21

un drôle de galimatias
un rêve ? une vraie tentative de suicide ?
de plus il y beaucoup de maladresses de langue, des répétitions, des fautes d'orthographe, peut-être certains belgiscismes ?
bref, je n'ai pas trouvé ce texte agréable à lire
dommage sans doute
à suivre, donc
;-)

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Message  Invité Mer 18 Nov 2009 - 6:26

Outre le fait que je n'ai pas bien perçu l'objet du texte (il semble finalement que la poursuite ne soit pas réelle, un fantasme qui donne l'occasion au narrateur d'évoquer ce lieu sur les toits, et j'aime assez l'idée, mais le passage d'une poursuite échevelée à un souvenir est mal négocié, je trouve), votre texte est perclus d'erreurs de langue qui en gênent la lecture et que je vous signale ci-dessous.

Bienvenue sur Vos Écrits, à vous lire bientôt !

Mes remarques :
« Un coup d’œil jeté par la fenêtre »
« Je saisis la poignée »
« j’enchaîne les étages »
« à l’affût de cette trappe »
« Soudain, mes yeux s’arrêtent sur un coup dans la porte » : je trouve l’expression maladroite ; en général, les yeux s’arrêtent « sur » un truc qu’on a vu, non entendu
« tiens, ils ne l’ont même pas changée »
« premier support surélevé »
« par elle je m’insère »
« Sur les toits de la ville.

Je me sens si grand : je domine la ville » : la répétition se voit, je trouve
« tous mes accomplissements, de toutes mes rêveries on ne peut plus réelles (ce sont bien les rêveries qui sont réelles ?). Pourquoi tant d’années »
« je m’encourais (et non « encourrais » qui est la forme du conditionnel si on décide de conjuguer « s’encourir » comme « courir ») presque malgré moi »
« mon corps m’interdisait d’être régi (et non « régit ») »
« contenue pendant tant d’années »
« Toute l’oppression croissante qui me courait (et non « courrait » qui est la forme du conditionnel) après »
« peut-être ce lieu (et non « lieux ») »
« des quelconques désagréments engendrés »
« la limite des sueurs mortelles »
« qui étais-je »
« Je ne me le (on se rappelle quelque chose, on se souvient de quelque chose) rappelle plus bien…Toutes ces questions me semblent dès lors révolues »
« une colère, une haine, une peur qui les surplombent comme de la dérision. La tendresse que j’éprouvais (je pense qu’ici un imparfait est préférable au passé simple) »
« Je tente encore l’aventure »

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Message  Invité Mer 18 Nov 2009 - 8:42

Reprendre le texte et le débarrasser du superflu, notamment en s'efforçant à une expression plus claire ? Parce qu'il y a matière, l'idée de départ paraît bonne (je me perds ensuite, dans le dernier paragraphe), reste à l'articuler correctement.

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Message  silene82 Mer 18 Nov 2009 - 9:23

qui était-je ? Où j’allais encore
Je dirais même plus: dors-je, ou cours-je?

Je n'ai pas bien perçu où vous souhaitiez nous emmener, et, pour moi, je me suis ennuyé, désolé.

Mais ne vous découragez pas: on ne tape pas forcément juste du premier coup.

Bienvenue sur VE, à vous relire.
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Message  alexis Mer 25 Nov 2009 - 20:29

2ème partie

Nom d’un petit bonhomme, où ai-je pu ranger ce dossier ? Quel fouillis ce bureau ! Si seulement je n’étais pas tout le temps oppressé par ces coups de téléphones, je pourrais maintenir mon bureau en ordre, je déteste répondre au téléphone…
- « Driiiinng !!! »
- « Tien…c’est quand on parle du loup qu’on en voit la queue ! Maudit téléphone. »
- « Bonjour ; Qui est à l’appareil ? »
- « Docteur Victoor de la Clinique d’Uccle, vous êtes bien Monsieur Fëller ? »
- « Oui c’est moi, c’est à quel propos ? »
- « Votre femme est en train d’accoucher, venez vite ! »
- « Oh ! Mon Dieu ! Bien sûr j’arrive ! »
S’il fallait que ça arrive à quelqu’un, c’est bien à moi ! Mon Dieu, qu’est-il en train de m’arriver… ?! Du calme, du calme George. Et arrête de t’apitoyer George ; Fonce ta femme t’attends…à plus tard mes dossiers ! »
Je quittais précipitamment la salle, et je me dirigeais d’un pas pressé vers l’ascenseur, aussitôt que j’eus appuyé sur le bouton, les portes s’ouvrirent. Quelle chance, c’est si rare ! Pendant mon trajet jusqu’à la clinique, mille et une pensée m’ont occupée l’esprit, si bien que je suis arrivé là-bas presque plus déconcerté que je ne l’étais en partant. L’air un peu ahurit, je demande à l’accueil où se trouve la maternité. Elle m’indiqua un chemin qu’à peine je compris, j’étais tellement trop émotionné pour enregistrer et pour interpréter correctement ce que mes yeux déchiffraient de ce qui m’apparaissait comme du balbutiement. Tout ce qui m’importait, c’était qu’ils allaient mener un père à son bonheur. Finalement, je me suis débrouillé avec ce que j’ai retenu, et je me suis guidé par une sorte de flair masculin, ainsi je chercherai de moi-même le chemin qui me mènerait dans cette salle, dont j’osais à peine m’évoquer le visage, l’odeur, et l’ambiance ; car je n’avait point de doute sur la singularité plus qu’unique du moment que je m’apprêtais à vivre. Je parcourais ainsi les couloirs de l’hôpital, et je croisais le regard des gens, qui devait surement deviner de par mon sourire en coin, que quelque part en ce lieu, quelque chose d’heureux m’attendait. Effectivement, c’était le cas ! Ainsi, je m’avançais de porte en porte, et j’imaginais celles plus loin, qui était toute le lieu potentiel du plus pur bonheur pour un homme ! En attendant, je les examinais une à une : dans chacune des portes se trouvait une sorte de hublot, et je jetais systématiquement un œil au travers car on ne sait jamais que ce soit la chambre où se trouve ma femme…et notre enfant ! De chacun de mes passages devant ces hublots, restait imprégnée une image dans mon cerveau, elles étaient comme des photographies imprimée d’un encre effaçable par les secousses ou les tremblement, c'est-à-dire au gré de mes pas ; et j’expérimentais ainsi la quantité, la durée et la perte de qualité que ces images subissait au cours du temps - temps pendant lequel elles pouvaient rester stockée dans ma mémoire. Ainsi les passages et les images s’accumulaient ; jusqu’au moment où je désespérais en m’exclamant : « mais où est-elle donc ? » « Le coup de fil du médecin commençe presque à dater : cela fait presque vingt minutes qu’il m’a appelé ! » Et pas de nouveaux appels… « Que se passe-t-il ? Que font-ils ? Où sont-ils ? » Je passais encore deux chambres et je m’apprêtais à monter l’étage supérieur. J’enjambais les marches quatre à quatre et j’arrivais dans un autre corridor.
Et là, la première chambre, au travers d’une baie vitrée, « que vois-je » : ma femme dans un lit avec le bébé coucher sur elle. Une confusion extrême montais en moi : à la fois je me sentais rassuré car manifestement tout c’était bien passé, mais en même temps, j’étais très en rogne car je n’ai pas pu faire le nécessaire pour être là à temps. Je m’emparais alors de la poignée et tout doucement je l’abaissais, puis je poussais délicatement la porte. Ma femme était là devant moi, avec son bébé dans les bras, mon bébé, nous trois maintenant ! A ce moment elle tourna la tête et en me voyant, son visage s’illumina de gaité. Le mien aussi. Avec des pas de souris je parcouru la distance qui me séparait encore d’elle, et fixement, je regardais le bébé. Alors, j’ai murmuré : « Qu’il est petit ! » ; « Qu’il est beau ! » ; « C’est notre bébé ? ».
Bientôt, comme s’amusait à me le répéter mon père pendant ma jeunesse, j’aurais les nuits fort courte et les journées bien chargée, et chaque instant de sommeil sera pour moi comme une bénédiction, m’aurait-il dit d’un air persuandant ; et que je prirais à ma fatigue de lui accorder grâce. Mais tout de suite les pleures du bébé – de mon bébé – me sortirent des songes pour déjà me rappeler à la réalité. Et il y avait aussi le sourire de ma femme, si c’était ça l’avenir ! C’est alors que le médecin poussa la porte à son tour. Son visage semblait inquiet. Je pensai avoir déchiffré une once de nervosité dans la manière qu’il a eu de d’ouvrir la porte. Deux de ces collègues le précédait. Ils s’arrêtèrent net, disposé un peu en triangle ; ils hésitèrent à ouvrir la bouche, ils semblaient tendu ; ils se sont tous un coup d’œil, presque honteux. Le médecin en chef s’est lancé ; il commença par mille et une manières, comme s’il avait quelque chose de si grave à nous dire et qu’il en avait si peu l’expérience, qu’il se sentait démunis face à la déconcertante de la situation : visiblement il ne savait pas comment s’y prendre. Mais que pouvait-il y avoir de si difficile à formuler ? J’intervenu en disant :
- « Allez Monsieur, dites-nous où vous voulez en venir ? »
- « Hé bien, vous n’êtes pas gênez vous ! J’allais y venir ! Patience ! »
- Je l’interromps encore : « Vraisemblablement vous êtes tendu et vous avez l’air confus, est-ce que tout va bien ?
- « Oui Monsieur, tout va bien »
- « Et bien alors, que vous vaut ce déplacement, et celui de vos deux collègues ? »
- « Ah pardon, je pensais que vous parliez de moi ! Non, votre fils, lui, il va très mal ! ».
- « Mais, mais comment ? Qu’est ce que… ? Qu’est ce qu’il à ? »
Je regardais ma femme d’un air perdu…
- Mais sitôt le médecin reprit : « Mais non, sombre idiot, tout le monde va bien dans cette salle, nous sommes simplement venu vous souhaitez une heureuse vie à tout les trois ! Mais ce n’est pas tout : les agents de police ont embarqué votre voiture à la fourrière : vous l’avez laissée, d’après-eux, en plein milieu de la route, et la portière était ouverte !
- « Oh, si ce n’est que ça ! Il n’y avait pas de quoi en faire un plat ! »
- « Mais en réalité, je vous avoue que ce n’est pas encore tout : nous devrions examiner votre bébé. Nous aimerions lui faire une radiographie crânienne »
- « Pourquoi ça ? Je pensais que tout c’était bien passé ? »
- « Oui sans conteste, mais l’accouchement a été un peu prématuré et par conséquent nous devons nous assurer qu’il n’y à aucune lésions, ni aucun dommage au niveau cérébral ».
- L’air effrayé, je repris : « Et dans le cas contraire ? Quelles seraient les conséquences à long terme ? »
- « Nous vous informerons de tout cela si besoin est, Monsieur ; mais ne vous tourmentez pas plus que nécessaire : vu son poids, le bébé se porte bien ! la probabilité est vraiment faible, il s’agit simplement d’une vérification. » Insista-t-il.
- Et il enchaina encore : « Vous, Madame, je vous prierais de rester en observations encore durant une petite semaine. Après, vous pourrez tout les trois rentrer à la maison normalement ! » Dit-il d’un air gai.
Poliment, j’acquiesçai. Eux, firent demi-tour et s’en sont allé.

- « Chérie, ces médecins ne m’inspirent pas confiance. Et toi ? Qu’en penses-tu ? »
- « Ils ne font que leur travail chéri » Dit-elle en soupirant.
- « Tu penses que je suis trop angoissé ? »
Elle tourna la tête pour me regarder ; et me dit en souriant :
- « Comme tu l’as toujours été mon amour ! »
- « Ah, bon bon, bon. Tu as sûrement raison. Je vais cesser de me faire trop de mauvais sang. »
Je vit ces lèvres qui esquissèrent un bref sourire, elle me fixa dans les yeux deux secondes, puis tourna la tête, me faisant ainsi comprendre gentiment qu’elle était épuisée et qu’elle avait besoin de sommeil. Elle se tourna, et se posa de côté. Je la regardasse encore et je compris qu’elle n’avait plus besoin de moi. Je me levais et je lui fis une caresse. Et passant la porte, je lui lançai encore un regard doux, alors comme par magie ses yeux s’ouvrirent et yeux s’illuminèrent, et c’est alors seulement que je lâchais la porte, et m’en alla l’air tranquille, rebroussant le même chemin, jusqu’à la sortie.

alexis

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Message  Invité Mer 25 Nov 2009 - 22:15

Désolée, alexis, mais votre texte est tellement rempli d'erreurs de langue que ma lecture en a été très gênée et que je suis incapable de commenter sur le fond. Je vous indique ci-dessous ce que j'ai pu relever, en espérant que cela pourra vous servir pour la suite.

« Je quittai (et non « quittais », je pense qu’ici le passé simple s’impose et non l’imparfait) précipitamment la salle, et je me dirigeai et non « dirigeais », même remarque) d’un pas pressé vers l’ascenseur »
« mille et une pensées m’ont occupé (et non « occupée ») l’esprit »
« L’air un peu ahuri (et non « ahurit »), je demande (pourquoi ce présent subit dans un texte au passé ?) à l’accueil où se trouve (même ermarque) la maternité »
« ce que mes yeux déchiffraient de ce qui m’apparaissait comme du balbutiement » : je trouve la construction peu comptéhensible
« Tout ce qui m’importait, c’était qu’ils (qui ça, « ils » ? Le chemin ? « Ce que mes yeux déchiffraient » ? dans les deux cas, il s’agit d’un singulier, le pronom devrait donc être « il » ; s’il s’agit d’autre chose, un terme pluriel, il n’est pas donné dans le texte, il est donc délicat de mettre un pronom à la place) allaient mener un père à son bonheur »
« Finalement, je me suis débrouillé (le passage du passé simple, dans le reste du texte, au passé composé ici peut surprendre) avec ce que j’ai retenu (idem), et je me suis guidé (idem) par une sorte de flair masculin, ainsi je chercherais (ici le conditionnel s’impose, tel que vous l’avez utilisé juste après, et non le futur) de moi-même le chemin qui me mènerait dans cette salle »
« car je n’avais point de doute »
« le regard des gens, qui devaient (car c’étaient les gens qui devaient deviner) sûrement deviner »
« celles plus loin, qui étaient toutes (je comprends que le pluriel est délicat ici, puis que vous parlez du lieu potentiel, au singulier ; rappelez-vous qu’il existe une structure permettant de parler de ce que font toutes les unités d’un ensemble, prises individuellement, structure que vous utilsez un peu plus loin) le lieu potentiel »
« car on ne sait jamais que ce soit (je trouve la construction bizarre) la chambre où se trouve ma femme »
« comme des photographies imprimées d’une encre effaçable par les secousses ou les tremblement »
« la quantité, la durée et la perte de qualité que ces images subissaient au cours du temps »
« elles pouvaient rester stockées »
« Le coup de fil du médecin commence presque à dater : cela fait presque vingt minutes »
« Je passai (je pense qu’ici un passé simple serait préférable à l’imparfait) encore deux chambres »
« J’enjambai (même remarque) les marches quatre à quatre et j’arrivai (même remarque) dans un autre corridor »
« le bébé couché sur elle. Une confusion extrême montait en moi : à la fois je me sentais rassuré car manifestement tout s’était bien passé, mais en même temps, j’étais très en rogne car je n’avais (le plus-que-parfait s’impose ici, car vous évoquez dans un récit au passé une action qui a eu lieu avant le temps du récit) pas pu faire le nécessaire pour être là à temps. Je m’emparai (le passé simple s’impose ici, et non l’imparfait) alors de la poignée et tout doucement je l’abaissai (idem), puis je poussai (idem) »
« son visage s’illumina de gaie(ou « gaîté ») »
« je parcourus la distance qui me séparait encore d’elle, et fixement, je regardai (vu le début de la phrase, le passé simple s’imopse ici et non l’imparfait « regardais ») le bébé. Alors, j’ai murmuré (pourquoi un passé composé ici, après la phrase au passé simple ?) »
« nuits fort courtes et les journées bien chargées, et chaque instant de sommeil serait (dans un discours indierct au passé où on évoque un événement à venir, on emploie le conditionnel, comme d’ailleurs vous avez fait plus loin) pour moi comme une bénédiction, m’aurait-il dit d’un air persuandant (voulze-vous dire « persuasif » ?) ; et que je prierais à ma fatigue de lui accorder grâce. Mais tout de suite les pleurs (et non « pleures ») du bébé »
« Je pensai avoir déchiffré une once de nervosité dans la manière qu’il avait (ici, le plus-que-parfait s’impose parce que, dans un récit au passé, on évoque une action antérieure, même si elle l’est de très peu) eu de d’ouvrir la porte. Deux de ses (ce sont ceux du toubib) collègues le précédaient. Ils s’arrêtèrent net, disposés un peu en triangle ; ils hésitèrent à ouvrir la bouche, ils semblaient tendus ; ils se sont tous (ils se sont tous quoi un coup d’œil ? Par ailleurs, pourquoi un passé composé dans l’ensemble du texte au passé simple ?) un coup d’œil, presque honteux »
« qu’il se sentait démuni (et non « démunis ») face à la déconcertante de la situation (la construction « la déconcertante de la situation » me paraît incorrecte) »
« J’intervins en disant »
« vous n’êtes pas gêné vous »
« Je l’interromps (pourquoi ce présent dans le récit au passé ?) encore »
« Eh bien alors »
« Mais aussitôt »
« nous sommes simplement venus vous souhaiter une heureuse vie à tous les trois »
« vous l’avez laissée, d’après eux (et non « d’après-eux) »
« Je pensais que tout s’était bien passé »
« qu’il n’y a aucune lésion (et non « lésions ») »
« Et il enchaîna encore »
« je vous prierai (je pense qu’un futur est préférable ici au conditionnel « prierais ») de rester en observation (et non « observations ») encore durant une petite semaine. Après, vous pourrez tous les trois »
« Eux, firent demi-tour et s’en sont allés (et puis pourquoi ce passé composé alors que la phrase commence au passé simple ?) »
« Je vis ses lèvres »
« Je la regardai encore »
« Je me levai (le passé simple s’imopse ici, comme vous avez bien écrit plus loin, et non l’imparfait « levais ») et je lui fis une caresse »
« ses yeux s’ouvrirent et yeux s’illuminèrent, et c’est alors seulement que je lâchai (et non « lâchais », le passé simple s’impose ici et non l’imparfait) la porte, et m’en allai l’air tranquille »

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Message  Invité Sam 28 Nov 2009 - 7:38

Je me demande ce que ce texte veut dire ... suis vraiment perplexe !

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Message  Sahkti Jeu 15 Avr 2010 - 20:13

mentor a écrit:belgiscismes ?
sans s au milieu :-)
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Message  Sahkti Jeu 15 Avr 2010 - 20:14

Je n'ai pas tout compris et les nombreuses fautes en tous genres ne sont sans doute pas étrangères à cela mais c'est surtout le fil conducteur qui me laisse perplexe. Si ça doit partir dans plusieurs directions, tu pourrais tenter de structurer tout de même de manière plus forte l'idée maîtresse afin que l'absurdité de certains points ressorte davantage. Ici, tout est décliné sur une égale puissance, sans réelle variation de relief, dommage.
D'autant plus qu'il y a de l'idée et elle vaudrait certainement la peine d'être revue.
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