Vos écrits
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Le Deal du moment :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : ...
Voir le deal

Une enquête de courtoisie

5 participants

Aller en bas

Une enquête de courtoisie Empty Une enquête de courtoisie

Message  Mathieu914 Mar 9 Mar 2010 - 2:25

Voilà, je suis nouveau et voici un texte que j'ai écrit récemment. Je suis conscient qu'il a sans doute moyen de l'améliorer énormément et c'est donc pourquoi je suis ici. J'aimerais beaucoup avoir des critiques, si possible, négatives pour me permette de m'améliorer. Je crois que cela pourrais m'aider si vous me diriez comment vous trouvez la fin (intrigue présent ou pas), et quels sont les passages que vous aimez et que vous n'aimez pas.

Merci d'avance, Mathieu.

Une Enquête de Courtoisie:

Le soleil ne s’était pas encore levé et les nuages sombres qui obscurcissaient la ville étaient déprimants et austères.

Il était assez tard et Klaus n’avait pas encore fermé l’œil de la nuit; ne cessant de se tourmenter de mauvais souvenirs.

Soudain, son portable sonna; la sonnerie agaçante le fit tressaillir et d’un seul bond il saisi le téléphone:
-Inspecteur Klaus ?
-Mais…. c’est que…
-Bien sûr, j’arrive tout de suite… finit-il par ajouter, contrarié.
Il venait d’avoir Weber au téléphone. L’autorité arrogante du commissaire n’inspirait que du mépris à Klaus, mais celui-ci était le patron… du moins, pour l’instant.

Il appris qu’un meurtre sordide avait été commis et comme à l’habitude, il devait s’y rendre afin d’interroger quelques suspects. Il regarda autour de lui puis arrêta son regard sur l’horloge qui était accroché sur le mur; celle-ci affichait 2h30. Il se leva péniblement puis s’habilla. Il n’en avait pas particulièrement envie, mais ce n’était pas la première fois qu’on exigeait de lui ce genre d’obligation et depuis il s’y était adapté.

Il contempla un instant son calibre .44 Magnum déposé sur sa table de chevet. Les revolvers étaient assez peu répandus parmi les policiers, cependant, il espérait ne pas avoir en s’en servir ce soir. Il prit ses clés et sortit; sa voiture l’attendait à quelque pas. Aussitôt à l’intérieur, il démarra et prit la direction du poste de police. Il ne fallut pas plus d’une quinzaine de minutes pour qu’il aperçoive au loin des phares de police qui illuminait le bâtiment. Quelques policiers étaient déjà garés et il était content de voir qu’il n’était pas le seul à s’être fait tiré de son lit à une heure si tardive.

Il apprit que la victime était un chirurgien qui exerçait dans un hôpital à quelques coins de rue plus loin. Il se rendait sans aucun doute à sa voiture avant qu’il ne soit tiré avec un Beretta 92 à environ dix mètres de distance selon les trois douilles retrouvées. La rigidité du corps ne s’était pas installée, il était donc mort dans les deux heures qui précédaient son arrivée. Il devait forcément y avoir quelqu’un qui savait quelque chose ou peut-être même des témoins.

En effet, un officier de patrouille, le caporal Becker avait déclaré avoir entendu des coups de feu et aperçut une silhouette. C’est d’ailleurs lui qui les avait appelés pour signaler le meurtre. Une jeune femme avait de même été présente sur le lieu du crime, mais son intuition le dirigea vers le caporal.

….

Klaus était assis avec Becker dans la salle d’interrogatoire. Le faible éclairage donnait un aspect sinistre à la pièce et le silence qui y régnait était d’autant plus inquiétant. Le policier paraissait troublé et anxieux, mais Klaus était confiant.

-Alors, officier Becker, vous dites affirmer avoir entendu des coups feu durant la nuit du 29 mars, en occurrence celle-ci ?
-Oui, c’est vrai.
Quelque chose attira inévitablement l’attention de Klaus. Ce n’étiat pas que ce

Klaus se retourna et regarda la caméra; à l’évidence, elle filmait.
Il feuilleta rapidement quelques notes puis continua :
-C’est étrange, car l’arme du crime est un Beretta 92 chambré en 9mm; arme que tout policier possède non ?
-Elle est également vendue et utilisée dans plusieurs autres pays, répliqua l’officier. N’importe qui pourrait facilement s’en être procuré une de façon illégale.

Klaus soupira et poursuivi :
-C’est exact, mais pourrai-je voir la vôtre demanda-t-il en tendant la main, fixant systématiquement le caporal droit dans les yeux.
-Je… je ne l’ai plus. Je crois que je l’ai perdu lorsque je poursuivais le meurtrier. Sa voix enrouée démarquait un brin de nervosité.

Klaus se détendit alors et paru même satisfait :
-Il semble que nous aillions un problème ajouta-t-il peu crédule. Comment un policier peut-il perde son arme alors qu’il est en service ?

Le caporal visiblement confus détourna le regard, mais aussi, Klaus insistait-il du sien.
-Je vais la retrouver, je vous le promets, finit-il par ajouter d’une voix étrangement basse.
-Je l’espère, car beaucoup de choses en dépendent rétorqua-t-il sèchement avec une intonation plus que curieuse sur le mot beaucoup.

Klaus sortit peu après de la pièce et referma la porte. Un des gardes à l’entrée le dévisageait :
-Qu’est-ce qu’on fait de lui ? bredouilla-t-il
-Nous n’avons rien de solide contre lui pour l’instant répondit Klaus en haussant les épaules. Vous pouvez le relâcher…

Il entra ensuite dans une autre pièce; plus petite, mais plus accueillante. Une jeune femme y était assise tapotant pensivement un crayon posé sur la table. Elle devait avoir dans la vingtaine tout au plus et attendait patiemment. Klaus était triste à l’idée qu’une jeune fille se retrouve mêlée à tout ça.

Il s’approcha tranquillement, impatient de lui parler et notifia la mine inquiète qui consternait son visage lorsqu’elle s’aperçut de sa présence.
-Bonsoir lui dit-il, affichant sont plus beau sourire. Il fit un mouvement pour s’asseoir puis s’arrêta promptement :
-Désirez-vous boire quelque chose?
La jeune fille acquiesça immédiatement d’un hochement de tête approbatif. Elle avait été amenée dans cette salle depuis plus d’une heure et l’avais pas quitté depuis.
Klaus quitta la pièce et elle le suivit; déconcertée par l’attitude sympathique de cette inconnue à son égard.

Après s’être désaltéré, il l’amena dans son bureau et commença son interrogatoire :
-Donc vous dites avoir vu le tueur n’est-ce pas ? Il va sans dire que Klaus se questionnait à propos de ce que la femme avait vu ou avait pu voir.
-Bien, je ne sais pas si je devrais…
-Faites-moi confiance, vous pouvez tout me dire.
Tremblotante et incertaine, elle hésitait:
-J’ai vu un officier de police à travers la fenêtre de mon balcon. Je crois qu’il a tiré sur cet homme, mais je ne suis pas certaine. Enfin, après les coup de feu, il s’est éloigné en courant.

Dans l’esprit de Klaus, les choses allaient si vite, mais il trouva tout de même le moyen d’ajouter :
-Bien, d’accord. Je crois que cela mérite une enquête. Je vais donc en avertir mes supérieurs, mais il est clair que vous n’avez aucun tort à vous reprocher madame. Vous êtes donc à en occurrence libre de partir.

Fatigué, il se leva et quitta son bureau.


Le caporal Becker marchait tranquillement jusqu'à chez lui lorsqu’il entendit des bruits de pas se répercutant dans les rues étroites derrière lui.
Qui pouvait bien le suivre à une heure pareille ? Les idées dans sa tête se bousculaient à une vitesse fulgurante, mais malgré son inquiétude, il se retourna et put voir une silhouette familière; celle de l’inspecteur Klaus. Celui-ci avançait vers lui; son visage était dur et avait perdu tout son attrait.

-Alors l’arme ? demanda fermement Klaus sans attendre.
-Je l’ai balancé dans une poubelle, ne t’inquiète pas.
-M’inquiéter ? Tu as laissé un témoin idiot ! Une jeune femme... finit-il par chuchoter, ne voulant davantage attirer l’attention.
-Merde, comment voulais-tu que je sache !? Elle sait quelque chose au moins?
-Peu importe, tu dois la supprimer avant que quelqu’un d’autre l’interroge et il est impératif que tu sois discret. Le ton plus menaçant adopté par Klaus l’effraya et l’effroi qui en découlait fit sourire l’inspecteur.

Le caporal finit par secouer la tête en signe d’approbation, mais Klaus restait méfiant et n’appréciait guère la tournure des évènements surtout que Becker semblait appréhender la situation comme un jeu. Il n’avait pas envisagé ce genre de contretemps et il aurait voulu corriger lui-même ce détail importun, mais c’était bien trop dangereux pour la carrière qu’il primait. Même encore là, pouvait-il encore se permettre de faire confiance à Becker ?



Le lendemain matin à l’aube, alors que les premiers rayons du soleil venaient tout juste de percer le ciel, Becker décida de se débarrasser de la femme. Il réalisait qu’il avait déçu Klaus et il ne devait plus faire la moindre erreur à présent. Il ne comprenait toujours pas pourquoi les choses étaient si compliquées. La dernière fois avait été si facile…

Becker se frayait un chemin à travers les petites rues qui menaient à la résidence de la femme. Il s’agissait en fait d’un minuscule duplex à l’architecture grossière. Il s’avança jusqu’à la porte et cogna trois fois ; celle-ci craquait à chaque fois que sa main heurtait le bois. Il était nerveux et dissimulait malhabilement son poignard. Lorsque la jeune femme répondit, elle vit à l’instant le reflet scintillant de la lame, et tenta de refermer la porte, mais le pied de Becker dans l’entrebâillement ne permit pas cette manœuvre. Avant qu’elle n’ait le temps de réagir, la lame froide de Becker lui taillada l’épaule, mais d’un coup de pied, elle le repoussa et courut jusque dans sa chambre laissant derrière elle une longue traînée de sang. Le caporal lâcha un juron puis la poursuivie dans une chambre pas plus grosse qu’un placard. Elle essayait de composer un numéro, mais le temps lui manqua, car Becker s’était jeté sur elle. Il l’acheva d’une série de coups qui décrivait des arcs ensanglantés; il n’avait apparemment aucune compassion. Soudain, deux coups de feu retentirent. Une douleur froide et immuable lui glaça le sang. Il se raidit puis s’affala sur le sol; incapable de faire le moindre geste. La dernière chose qu’il sentit fut un canon brûlant de calibre .44 sur sa tempe…

Ce soir là, les officiers en patrouille reçurent cette transmission :
«…jeune femme abattue au 102 de la Bavière, je répète, jeune femme tuée. Klaus terminé…»




< Bonjour.
Une courte présentation ici serait appréciée.
Merci.
La Modération >

.

Mathieu914

Nombre de messages : 4
Age : 30
Date d'inscription : 09/03/2010

Revenir en haut Aller en bas

Une enquête de courtoisie Empty Re: Une enquête de courtoisie

Message  Lucy Mar 9 Mar 2010 - 4:25

Suis un petit peu fatiguée et pressée, ce soir. Désolée, Matthieu. J'essaie de me redonner une chance plus tard, mais pour le moment, je ne suis pas convaincue.
Ce n’étiat pas que ce
Où est passé le reste de la phrase ?
Lucy
Lucy

Nombre de messages : 3411
Age : 46
Date d'inscription : 31/03/2008

Revenir en haut Aller en bas

Une enquête de courtoisie Empty une enquête de courtoisie

Message  monique Mar 9 Mar 2010 - 8:53

Bonjour
C'est vrai qu'il y a bcp de boulot au niveau langue
Dès le début

si vous me diriez comment = si vous me disiez
Je vais vous préparer une correction détaillée
Pour la fin je la trouve confuse. Je n'ai pas compris pourquoi Klaus ne veut pas que l'autre policier soit arrêté.
Bon courage
Monique

monique

Nombre de messages : 58
Age : 75
Date d'inscription : 25/02/2010

Revenir en haut Aller en bas

Une enquête de courtoisie Empty Re: Une enquête de courtoisie

Message  monique Mar 9 Mar 2010 - 12:09

re bonjour
voilà mes corrections et suggestions
Une Enquête de Courtoisie:sens?

Il était assez tard et Klaus n’avait pas encore fermé l’œil de la nuit ne cessant de se tourmenter à cause de mauvais souvenirs.

il saisit le téléphone:
Il apprit qu’un meurtre
regard à l’horloge qui était accrochée au mur
on exigeait de lui ce genre d’obligation.( Je ne crois pas qu’on puisse exiger une obligation)

avant qu’il ne soit tiré avec un Beretta 92 (cette formulation paraît bizarre)
avoir entendu des coups de feu et aperçu une silhouette.

le silence qui y régnait en était d’autant plus inquiétant. anxieux,

Klaus soupira et poursuivit :
-C’est exact, mais pourrais-je voir la vôtre demanda-t-il en tendant la main, fixant systématiquement le caporal droit dans les yeux.
-Je… je ne l’ai plus. Je crois que je l’ai perdue lorsque je poursuivais le meurtrier. Sa voix enrouée démarquait un brin de nervosité.

Klaus se détendit alors et parut même satisfait :
-Il semble que nous ayons un problème ajouta-t-il peu crédule (mal choisi « peu convaincu, ». Le caporal visiblement confus détourna le regard, mais aussi, Klaus insistait-il du sien.(klaus maintint le sien ?)

. Klaus était triste à l’idée qu’une jeune fille se retrouve(concordance des tps) mêlée à tout ça.

Il s’approcha tranquillement, impatient de lui parler et notifia( remarqua ?) la mine inquiète qui consternait (expression bizarre)son visage lorsqu’elle s’aperçut de sa présence.

La jeune fille acquiesça immédiatement d’un hochement de tête approbatif(cet approbatif est de trop). Elle avait été amenée dans cette salle depuis plus d’une heure et l’avait pas quittée depuis.
Klaus quitta la pièce et elle le suivit; déconcertée par l’attitude sympathique de cette inconnue(lui ou elle ?) à son égard.

Après s’être désaltéré (qui se désaltère ?), il l’amena dans son bureau et commença son interrogatoire :


. Enfin, après les coups de feu
Dans l’esprit de Klaus, les choses allaient si ( trop ? vite, mais il trouva tout de même le moyen d’ajouter :
-. Vous êtes donc en l’ occurrence libre de partir.

un juron puis la poursuivit dans une chambre pas plus grosse (grande ?)qu’un placard.
cordialement
monique

monique

Nombre de messages : 58
Age : 75
Date d'inscription : 25/02/2010

Revenir en haut Aller en bas

Une enquête de courtoisie Empty Re: Une enquête de courtoisie

Message  Invité Mar 9 Mar 2010 - 12:13

Matthieu, j'ai corrigé ce que j'ai vu, j'ai dû en laisser, pour cause de fatigue et impatience croissantes.
C'est un peu faible, disons que la trame n'a rien de surprenant. Des clichés sur le fond et la forme. Trop rapide aussi, je pense. Un tel récit demanderait un plus long développement, étoffé de détails propres à faire vivre personnages et situations.
Mais vraiment ce qui m'a surtout gênée c'est cette impression d'avoir lu mille fois la même chose, sans rien de vraiment accrocheur, ni dans l'écriture, ni dans le récit.
Tu voulais des critiques négatives, ben voilà, c'est fait.
Côté positif : un bel effort.
En tout cas, et malgré ce qui précède, bienvenue ici.


il saisit le téléphone:
l’horloge qui était accrochée sur le au mur; sa voiture l’attendait à quelques pas.
pour qu’il aperçoive au loin des phares de police qui illuminaient le bâtiment.
il était content de voir qu’il n’était pas le seul à s’être fait tirer de son lit
La rigidité du corps ne s’était pas installée, il était donc mort dans les deux heures qui précédaient son arrivée. (une phrase digne des meilleures perles des rapports de police !!!)

le caporal Becker avait déclaré avoir entendu des coups de feu et aperçu (sous-entendu "avoir aperçu") une silhouette. C’est d’ailleurs lui qui les avait appelés pour signaler le meurtre. Une jeune femme avait de même été présente sur le lieu du crime, mais son intuition (ou son machisme ?!!) le dirigea vers le caporal.


-Alors, officier Becker, vous dites affirmer (du même genre que " excusez-moi de demander pardon" !) avoir entendu des coups feu durant la nuit du 29 mars, en l'occurrence celle-ci ?
-Oui, c’est vrai.
Quelque chose attira inévitablement l’attention de Klaus. Ce n’étiat pas que ce ????


Klaus soupira et poursuivit :
-C’est exact, mais pourrais-je voir la vôtre demanda-t-il en tendant la main, fixant systématiquement (???) le caporal droit dans les yeux.
-Je… je ne l’ai plus. Je crois que je l’ai perdue lorsque je poursuivais le meurtrier. Sa voix enrouée démarquait (?) un brin de nervosité.

Klaus se détendit alors et parut même satisfait :
-Il semble que nous aillions ayons un problème ajouta-t-il peu crédule. Comment un policier peut-il perde son arme alors qu’il est en service ?

Le caporal visiblement confus détourna le regard, mais aussi, Klaus insista-t-il du sien.

-Je l’espère, car beaucoup de choses en dépendent rétorqua-t-il sèchement avec une intonation plus que curieuse sur le mot beaucoup ("beaucoup" entre guillemets).


Klaus était triste à l’idée qu’une jeune fille se (re)trouve mêlée à tout ça.

Il s’approcha tranquillement, impatient de lui parler et notifia (usage impropre) la mine inquiète qui consternait son visage (idem) lorsqu’elle s’aperçut de sa présence.


La jeune fille acquiesça immédiatement d’un hochement de tête approbatif (redondant). Elle avait été amenée dans cette salle depuis il y avait plus d’une heure et ne l’avait pas quittée depuis.
Klaus quitta la pièce et elle le suivit; déconcertée par l’attitude sympathique de cette inconnue (masculin, non ?) à son égard.

Après qu'elle se fut désaltérée, il l’amena dans son bureau et commença son interrogatoire :
-Donc vous dites avoir vu le tueur n’est-ce pas ? Il va sans dire que Klaus se questionnait à propos de ce que la femme avait vu ou avait pu voir.


Vous êtes donc à en l'occurrence (pas sûre que ce soit la bonne expression ici) libre de partir.


-Alors l’arme ? demanda fermement Klaus sans attendre.
-Je l’ai balancée dans une poubelle, ne t’inquiète pas.
-M’inquiéter ? Tu as laissé un témoin idiot ! Une jeune femme... finit-il par chuchoter, ne voulant davantage attirer l’attention.
-Merde, comment voulais-tu que je sache !? Elle sait quelque chose au moins? (plutôt : "Elle ne sait rien au moins ?")

Le ton plus menaçant adopté par Klaus l’effraya et l’effroi qui en découlait (d'où , de quoi ?) fit sourire l’inspecteur.

Même encore là ("Là encore,"), pouvait-il encore se permettre de faire confiance à Becker ?


Le caporal lâcha un juron puis la poursuivit
Il l’acheva d’une série de coups qui décrivaient des arcs ensanglantés; il n’avait apparemment aucune compassion. Soudain, deux coups de feu retentirent. Une douleur froide et immuable (impropriété) lui glaça le sang.
Ce soir-là, les officiers en patrouille

Invité
Invité


Revenir en haut Aller en bas

Une enquête de courtoisie Empty Re: Une enquête de courtoisie

Message  Invité Mar 9 Mar 2010 - 12:15

Oups, le nez dans le guidon, pas vu les corrections de Monique. Comme ça, tu en as deux pour le prix d'un (ou une !)

Invité
Invité


Revenir en haut Aller en bas

Une enquête de courtoisie Empty Re: Une enquête de courtoisie

Message  Modération Mar 9 Mar 2010 - 12:49

Merci de répondre aux commentaires sur vos textes dans le fil dédié.
La Modération

Modération

Nombre de messages : 1362
Age : 18
Date d'inscription : 08/11/2008

Revenir en haut Aller en bas

Une enquête de courtoisie Empty Re: Une enquête de courtoisie

Message  Iryane Mer 10 Mar 2010 - 18:01

j'ai tout lu d'une traite, je trouve que les dialogues sont bien menés,
et personnellement j'ai été surprise par le fait que les deux policiers soient
dans ce mauvais coup... il faut dire que je lis peu de romans policiers.
certe des erreurs et une phrase pas terminée, tu as de quoi te corriger avec les commentaires des véliens...
Iryane
Iryane

Nombre de messages : 314
Age : 43
Localisation : là où je dois être ...enfin, sans certitude.
Date d'inscription : 26/01/2010

Revenir en haut Aller en bas

Une enquête de courtoisie Empty Re: Une enquête de courtoisie

Message  Contenu sponsorisé


Contenu sponsorisé


Revenir en haut Aller en bas

Revenir en haut


 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum