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Une nuit au château (30 mars 919)

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Message  kymme_14 Mer 17 Mar 2010 - 17:00

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Prologue : (30 mars 919)

La nuit était tombée depuis des lustres. Les derniers rayons du jour s’étaient volatilisés au moment où la pluie avait déferlé sur une région campagnarde de la France, il y avait de cela plus de quatre heures. La chambre était très vaste, vide, plongée dans une épaisse obscurité. Seul un lit à baldaquin drapé de blanc et couvert d'un léger tissu satiné d'où quatre barreaux de bois modelés à la perfection semblaient se dresser vers la lune, décorait la pièce. Les murs étaient tapissés de terre séchée, rêche. Une commode teintée d’un brun foncé était près de la porte qui menait au couloir. Pour seul réconfort, une petite chandelle blanche fournissait l’éclairage nécessaire à la pièce. Une forme se mouva dans le lit. L’orage faisait rage à l’extérieur. De temps en temps, l’obscurité était remplacée par une vive lumière jaunâtre qui éclairait la grande chambre. Une plainte s’éleva dans les airs. Elle venait de la chambre, sans aucun doute. Les draps furent repoussés, et une ombre plana quelques secondes sur le lit.
Une fillette se frotta les yeux de ses poings, tout endormie. Elle repoussa complètement les nombreux draps qui l’étouffaient et ses pieds trouvèrent réconfort sur le sol. Il faisait si chaud dans ce château… Un château! Elle n’avait pas l’habitude de dormir dans un vrai château. À vrai dire, c’était la toute première fois. Elle était si énervée lorsqu’elle avait su que toute sa famille y avait été invité! Son père, qui travaillait dans la cavalerie, avait reçu une invitation du roi lui-même qui l’avait proclamé le meilleur chevalier de tous! Il était si fier. Ils avaient tous mis leurs plus beaux vêtements. Comme ses amis allaient être jaloux! Cette pensée lui donna le sourire. Mais l'excitation qui l’habitait se changea rapidement en crainte. Une silhouette se dessina dans l'entrebaillement de la porte. Légère, silencieuse, tel une ombre errant sans but dans les couloirs vides. Effrayée, la fillette tendit le bras vers le lit, frôlant le mince tissu qui le recouvrait presque totalement. Elle frémit et passa la main entre les deux filets pour saisir Mirina. Celle-ci était sa poupée fétiche. Elle la transportait partout où elle allait. Pas à pas, peu à peu, l’enfant traîna les pieds et traversa sans bruit. Un long, très long couloir lui faisait face. Il faisait sombre, et seules quelques petites lanternes or pur, suspendues au large plafond, offraient assez de lumière. Au moins, l’éclairage était assez bon pour permettre de ne pas se retrouver le nez collé au mur. L’éclat doré des flammes dansantes sur les parois des murs de pierres massifs pouvait apaiser même le plus sinistre des esprits rodeurs.
La petite fille marchait maladroitement, les membres encore engourdis par le sommeil.
Au fond du couloir, elle passa par une pièce totalement éclairée, la grande salle à dîner du roi, puisqu’une large et longue table de bois de chêne était plantée en plein milieu, entourée par une bonne vingtaine de chaises. Un feu de cheminée brûlait toujours dans l’âtre. La pièce menait à un autre couloir, aussi peu éclairé que le précédent. Du bout des doigts, elle caressa le mur épais. La jeune fille déglutit et chantonna la comptine que sa mère lui chantait, lorsqu’elle la bordait. Ses yeux lui piquaient, et elle ne put retenir un bâillement. Alors que ses lèvres remuaient toujours, un bruit sourd la fit rebondir de deux pas par derrière. L’enfant pivota sur elle-même, saisie d’une profonde panique. La peur se lisait sur ses traits couverts de taches de rousseurs. Une mèche rousse lui éffleura la joue lorsqu’elle se pencha pour ramasser Mirina qui lui avait glissé des doigts. La petite rouquine se pressa au mur froid et ferma les yeux quelques instants. Elle était sur le point de craquer, de se recroqueviller en boule dans un coin et d'hurler jusqu’à ce que quelqu’un vienne la chercher et la console. Mais elle savait que les monstres risquaient de la manger avant qu’on ne la trouvent. Chaque fois où elle s’était risquée à parler de monstres avec sa mère ou son père, ou bien même avec son grand frère, ils lui disaient tous qu’elle avait une trop grande imagination, mais que ça passerait avec l’âge. Mais s’ils avaient tous tort? Si un monstre horrible était à ses trousses? Après tout, la fillette ne connaissait pas ce château, ni rien de tout ce qui pouvait se tapir dans les recoins les plus sombres. Alors, de ses petites mains tremblantes, elle serra fortement sa vieille poupée contre son cœur.
«N’ai pas peur Mirina, je suis avec toi. Je ne te laisserai pas, je te le promets.» Murmura la voix angélique de la fillette. «Je sais que tu as peur, moi aussi j’ai peur, tu vois… Mais ensemble, rien ne peut nous...»
Elle manqua de s’étrangler. Une profonde panique s’attaqua à tous ses membres. Même ses os lui semblaient ne plus être valide. La peur se consumait en elle, lui coupant le souffle. Comme elle avait peur… Un cri se fit entendre. Et pas un simple cri. Non. Un véritable cri d’effroi. La rouquine se mis à courir, haletante. Ses talons claquaient sur le sol marbré, qui résonnait, donnant la lugubre impression que quelqu’un, ou plutôt quelque chose courrait derrière elle. Ses longs cheveux roux virevoltaient derrière elle. Quelque fois, une mèche venait s'empreigner sur sa joue. Les cris se poursuivaient en amplifiant d’intensité. La fillette s’arrêta brusquement devant une large porte dont les poignées étaient presque aussi haute qu’elle. Elle stoppa sa respiration, ses poumons aspirant tout l’air qu’ils pouvaient. Bientôt, sa tête réclama de l’oxygène. Son cœur battait à tout rompre dans sa cage thoracique. C’en était presque assourdissant. Par chance que personne d’autre qu’elle ne pouvait les sentir, ou pire encore, les entendre.
Les cris provenaient de cette chambre. La chambre de ses parents. Une angoisse sourde lui nouait la gorge. Avalant sa salive, retenant une seconde fois son souffle, elle poussa légèrement sur une des poignées. La grande porte de bois s'ouvrit de moitié, dans un silence absolu. Aucun grincement qui aurait pu la trahir.
Ce qu’elle vu lui glaça le sang. La chair de poule lui retroussa les poils. La scène se trouvait juste là, sous son nez. Elle n’avait eu aucunement besoin de passer la tête dans l’entrebâillement pour voir les trois hommes penchés sur sa mère. Celle-ci, bien que l’enfant ne la voyait guère, semblait épuisée et laissait échapper de temps en temps de faibles gémissements. Ses cris s’étaient évanouis. Ils la maintenaient sur un fauteuil fait de peaux d’ours, des lanières de cuir lui attachant les pieds et les mains ensembles. Ses bras avaient été placés derrière le fauteuil. Elle ne pouvait donc aucunement se défendre. Ses longs cheveux blonds autrefois bouclés et rayonnants de beauté étaient maintenant en piteux état. Plusieurs mèches imbibées de son propre sang étaient plaquées contre son visage terreux. Par moment, ses yeux roulaient dans le vide, mais aussitôt, un de ceux-ci lui claquait le visage de sa grosse main, la ramenant à la cruelle réalité. Pourtant, le plus étonnant, c’est qu’elle n'affichait aucune blessure apparente. Seulement tout ce sang qui lui tachait les cheveux, la peau et sa longue robe de chambre blanche, qui ne l’était plus désormais. De grands cercles rouges vifs étaient encrés sur ses vêtements. Mais alors, d’où venait tout ce sang? Et pourquoi était-elle si faible, désormais?
La fillette battit des paupières avec horreur, droite comme une statue. Il lui semblait que si elle bougeait, ne serait-ce que le petit doigt, ils s’en rendraient compte, et la tuerait. De grosses larmes roulèrent sur ses joues. Ses yeux étaient embués par la peur et la profonde souffrance de voir sa mère ainsi. Elle ne savait même pas qu’on pouvait faire preuve d’autant de méchanceté en ce monde. Bien sûr, elle avait déjà vu des gens se battre, et même mourir sous ses yeux. Mais elle avait toujours su que cela faisait partie de la triste réalité. Mais de voir ce spectacle, c’était au-delà de ce qu’elle aurait pu un jour imaginer.
Les trois hommes étaient très costauds, la stature d’homme intouchable. L'enfant ne les voyait que de côté, dont un de dos, mais c’était tout juste assez pour voir à quel genre d’homme sa mère avait affaire. Ils portaient tous une cape grise qui leur arrêtaient aux hanches. Leurs pantalons étaient bruns, sans doute du cuir. Un d’entre eux était beaucoup plus grand, dépassant les autres de pratiquement une tête. Il était blond. Un blond cendreux. Les deux autres, avaient les cheveux bruns. Tous trois les gardaient mi-long, qui leur arrivait au lobe d’oreille. Ils devaient être sans doute dans le début de la trentaine.
«Vaneng, crois-tu que l’on devrait attendre un peu avant de l’achever? Son sang n’aura pas aussi meilleur goût que si elle est complètement éveillée. Il sera plus… pétillant!» s’enchanta-t-il joyeusement.
C’est le moins costaud qui avait prit parole.
Vaneng, le plus grand, sans doute le chef, le fit taire d’un geste de la main tandis que le premier rouvrait la bouche pour parler.
«Non, le temps presse… jeune fidèle.»
Vaneng, lentement, se pencha au dessus de la pauvre femme et lui murmura à l’oreille, avant de la lui lécher du bout de la langue :
«Très chère demoiselle, je vous promets que ce ne sera plus long… Cette fois-ci, ne nous nous limiterons pas seulement à vous goûter…»
Puis, sans même que celle-ci ne fasse quoi ce soit pour l’en empêcher, il écarta l’épaisse chevelure blonde de ses frêles épaules et planta ses crocs dans la courbe de son cou.
Les yeux agrandis par la peur, la gamine recula d’un pas.
Comme animée d’une force surnaturelle, elle vit sa mère se tordre de douleur sous les trois hommes.
Celui qui avait prononcé le premier mot, se détourna de sa mère, et pénétra de son regard noir la fillette. Il l’avait vu! Il l’avait vu!
Il lui sourit, un large filet de sang frais sous le menton, pas du tout étonné de la présence de cette jeune enfant. À vrai dire, il l’avait entendue arriver.
Poussant un cri d’impuissance, la jeune rouquine se mis à courir, consciente de ses très maigres chances de réussite. Mais elle devait essayer de fuir. Tout pour que quelqu’un vienne la sauver, elle cria à l’aide à s’en époumoner.
Ce n’est que plus tard que la gamine comprit avec un soulagement énorme qu’elle n’était plus pourchassée.
Épuisée au-delà du possible, l'enfant de huit ans se laissa tomber sur le sol, le dos appuyé au mur.
Elle essayait de trouver une explication plausible de ce qu’elle avait vu. Mais rien ne lui venait en tête. Sa dernière pensée fut qu’il s’agissait de monstres. Sans doute s’étaient-ils vengés puisque eux, ses parents, n’y croyaient pas.
Mais alors… Ça voulait dire que... Son grand frère! Et son père! Ils étaient sans doute en danger…
«Papa, grand frère, croyez aux monstres sous vos lits, je vous en prie! Croyez-y qu’ils existent bel et bien…»
L’enfant chercha réconfort auprès de Mirina, mais comprit qu’elle l’avait abandonnée aux monstres.
La jeune rouquine referma solidement ses bras autour de ses genoux remontés à son menton et y plongea la tête, se laissant envahir par l’obscurité la plus noire qu’il ne lui était jamais arrivé de connaître jusqu’à ce jour.
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Message  Invité Mer 17 Mar 2010 - 17:51

Je ne comprends pas bien pourquoi vous avez situé le texte au Moyen-Âge, puisque la mentalité de la gamine me paraît fort moderne. Pour moi, l'ensemble de l'histoire n'a pas besoin de se dérouler à une époque historique lointaine. Sinon, je trouve le texte un peu longuet pour ce qu'il a à dire, parfois maladroit. Je détaille ci-dessous mes remarques. Mais je n'aime guère les récits de vampires, au départ.

Mes remarques, de langue ou autres :
« Les murs étaient tapissés de terre séchée, rêche. Une commode teintée d’un brun foncé était près de la porte » : il y a eu deux fois des « était » plus haut, avec ces deux-ci, rapprochés, qui suivent, je trouve que cela fait un peu trop
« Une forme se mut dans le lit »
« toute sa famille y avait été invitée »
« l'entrebâillement de la porte »
« Légère, silencieuse, telle (on accorde avec le terme de comparaison) une ombre »
« Elle frémit et passa la main entre les deux filets pour saisir Mirina » : pas compris cette présence de « filets » dans le lit
« seules quelques petites lanternes (d’ ?)or pur »
« le plus sinistre des esprits rôdeurs »
« un bruit sourd la fit rebondir de deux pas par derrière » : formulation maladroite, je trouve
« Une mèche rousse lui effleura la joue »
« de se recroqueviller en boule dans un coin et de (le « h » de « hurler » est aspiré)hurler »
« avant qu’on ne la trouve (et non « trouvent ») »
« N’aie pas peur Mirina »
« Même ses os lui semblaient ne plus être valides » (un peu bizarre, des os valides, soit dit en passant)
« Un cri se fit entendre. Et pas un simple cri. Non. Un véritable cri d’effroi » : manque une progression dans les termes, je trouve ; trop de « cri »
« La rouquine se mit à courir »
« donnant la lugubre impression que quelqu’un, ou plutôt quelque chose (une virgule ici serait peut-être intéressante) courait (et non « courrait » qui est la forme du conditionnel) derrière elle. Ses longs cheveux roux virevoltaient derrière elle. » : dommage, les deux phrases consécutives qui se terminent de la même manière
« Quelquefois et non « Quelque fois »), une mèche venait s'empreigner (le erbe n’existe pas ; avez-vous voulu dire « s’empreindre » ? Dans ce cas, l’emploi de ce verbe me paraît mal approprié dans la mesure où « s’empreindre » veut dire « Marquer par pression une forme (sur quelque chose), et franchement j’imagine mal une mèche de cheveux marquer une empreinte sur une joue, ou alors la gamine devrait changer de shampooing ; les vitamines pour les cheveux, ça va un moment) sur sa joue »
« Les cris se poursuivaient en amplifiant d’intensité » : amplifier, ça veut déjà dire « augmenter d’intensité »
« dont les poignées étaient presque aussi hautes qu’elle »
« Ce qu’elle vit lui glaça le sang »
« Celle-ci, bien que l’enfant ne la voie (ou la vît, en tout cas il faut un subjonctif après « bien que ») guère »
« les pieds et les mains ensemble (et non « ensembles » ; le mot est ici un adverbe) »
« Par moment, ses yeux roulaient dans le vide, mais aussitôt, un de ceux-ci (« ceux-ci » ne convient pas, car ce pronom fait référence à l’élément juste précédent dans le texte, ici les yeux de la mère ; ce ne sont évidemment pas ses yeux qui lui filent des claques) lui claquait le visage »
« c’était tout juste assez pour voir à quel genre d’hommes sa mère avait affaire »
« Ils portaient tous une cape grise qui leur arrêtaient (« arrivait », non ?) aux hanches »
« Les deux autres, (pourquoi une virgule ici ?) avaient les cheveux bruns »
« Tous trois les gardaient mi-longs, qui leur arrivaient au lobe d’oreille »
« qui avait pris (la ?) parole »
« Comme animée d’une force surnaturelle, elle vit sa mère se tordre de douleur » : maladroit, parce qu’on a l’impression que c’est la fille qu’une force surnaturelle anime pur voir sa mère se débattre, alors que, je pense, vous avez voulu dire que la mère a fait preuve d’une force surnaturelle
« Celui qui avait prononcé le premier mot, (pourquoi une virgule ici ?) se détourna de sa mère, et pénétra de son regard noir la fillette. Il l’avait vue! Il l’avait vue! »
« il l’avait entendu (et non « entendue » ; je sais, c’est paradoxal, mais ici le complément d’objet direct de verbe, avec lequel s’accorde le participe passé conjugué avec « avoir », n’est pas « l’ », mis pour la gamine, mais l’infinitif neutre qui suit, « arriver ») arriver »
« la jeune rouquine se mit à courir »

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Une nuit au château (30 mars 919) Empty Re: Une nuit au château (30 mars 919)

Message  kymme_14 Mer 17 Mar 2010 - 22:58

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Avant tout, je voulais te remercier pour avoir corrigé les quelques fautes ^^ Mais je ne suis pas encore une experte en langue comme certains d'entres vous.. C'est tout à fait normal de ma part d'avoir quelques maladresses par moment... Enfin, comparativement à la grande majorité des autres (dans mes classes, par exemple). Certes, bien que je corriges, je ne vois pas toutes les fautes ^^ Mais merci à toi quand même

Pour ce qui est de mon texte, je vais à l'encontre de ton avis (enfin, les avis divergent de toute façon ^^), je ne trouve aucunement mon texte trop long. Au contraire, on y cerne mieux les ''angoisses'' de la fillette et l'atmosphère qui reigne dans ce château. Si j'aurais coupé court mon texte, on aurait toute suite passé du ''la petite fille se réveille'' à ''la petite fille voit sa mère se faire tuer par des vampires et réussi à se sauver'', tandis qu'en rallongeant tout cela, on peut mieux ''entrer'' dans l'histoire, et donc, laisser aller le déroulement petit à petit ^^.

« Une forme se mut dans le lit »
Euh, je suis désolée, mais c'est bien ''mouva'' ^^ J'ai fait mes recherches lol.. Et il n'y a aucun ''mut''. Pour celà, il aurait fallu que je veuille dire ''muer'', je crois. Mais je voulais plutôt dire ''bouger''.

« Elle frémit et passa la main entre les deux filets pour saisir Mirina » : pas compris cette présence de « filets » dans le lit »
Je voulais dire par là la ''toile'' qui entourait son lit.

« seules quelques petites lanternes (d’ ?)or pur »
Ah bon? Je croyais qu'on pouvait dire ''lanternes or pur''. M'enfin bon, c'est pas grave, prochaine fois je devrais savoir

« un bruit sourd la fit rebondir de deux pas par derrière » : formulation maladroite, je trouve
Pour cette phrase, j'ai déçidé de la laisser ainsi... Non pas pour aller à l'encontre de ce que tu dis, mais puisque j'ai de la difficulté à comprendre pourquoi tu dis que cette formulation est maladroite?


< Merci de bien vouloir répondre aux commentaires sur vos textes ici
La Modération >

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Une nuit au château (30 mars 919) Empty Re: Une nuit au château (30 mars 919)

Message  Invité Mer 17 Mar 2010 - 23:17

Tu sauras que les corrections orthographiques de Socque tiennent lieu de vérités indiscutables, elle se trompe très rarement !
Alors désolé coco, mais mouvoir par exemple, au passé simple ça fait bien "mut" : http://www.linternaute.com/dictionnaire/fr/definition/mouvoir/
Mouva, quelle aberration ! C'est le verbe "mouver" qui a trait au jardinage, ou alors qui fait office de synonyme de mouvoir, certes, mais dans un langage provincial/populaire. De même que "si j'aurais" donc, c'est peu ragoûtant.
Par ailleurs,
Avant tout, je voulais te remercier pour avoir corrigé les quelques fautes ^^ Mais je ne suis pas encore une experte en langue comme certains d'entres vous.. C'est tout à fait normal de ma part d'avoir quelques maladresses par moment... Enfin, comparativement à la grande majorité des autres (dans mes classes, par exemple). Certes, bien que je corriges, je ne vois pas toutes les fautes ^^ Mais merci à toi quand même
Ce n'est pas une excuse ! Tu prends un correcteur orthographique comme tout le monde, par respect pour le lecteur.
Ce petit ton que tu adoptes ne m'a pas donné envie de lire ton texte ce soir. Tu sauras par ailleurs qu'on ne doit pas répondre aux commentaires sur ce fil. N'oublie pas de lire les consignes affichées sur la page d'accueil, c'est pas pour faire joli.

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Une nuit au château (30 mars 919) Empty Re: Une nuit au château (30 mars 919)

Message  Invité Jeu 18 Mar 2010 - 7:07

Bonjour kymme_14, je vous assure que le verbe mouvoir dans le sens bouger se conjugue "elle se mut" au passé simple, voici le lien :
http://www.la-conjugaison.fr/du/verbe/mouvoir.php

Vous traitez bien évidemment votre texte comme vous l'entendez, mes remarques (hors celles sur la grammaire et l'orthographe) ne correspondent qu'à mon ressenti de lectrice, et libre à vous d'en tenir compte ou non, vous n'avez pas à vous justifier.
Pour les erreurs de langue que j'ai relevées, j'ai essayé de vous donner quelques précisions pour que, dans vos textes suivants, vous puissiez les éviter. Elles ont un but pédagogique, c'est en écrivant qu'on apprend à écrire, comme pour tout.

"rebondir de deux pas par derrière" : déjà, imaginez une balle qui rebondit par terre, vous comprendrez que l'image d'une gamine qui "rebondit" est vraiment curieuse ; je ne pense pas que ce soit cela que vous ayez voulu dire. Ensuite, quand on fait un pas derrière soi, on dit en général : "j'ai fait un pas en arrière", et non "par derrière". On "passe par-derrière" quelqu'un pour le surprendre, par exemple.
Voilà les deux raisons qui m'ont fait tiquer sur la phrase.

Enfin, vous aurez remarqué que je vous vouvoie, je vous prie de faire de même.

À vous lire bientôt sur Vos Écrits !

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Une nuit au château (30 mars 919) Empty Re: Une nuit au château (30 mars 919)

Message  Reginelle Jeu 18 Mar 2010 - 14:03

Beaucoup beaucoup de maladresses.De détails indiquant une chose et son contraire en même temps. Comme la chambre vaste, VIDE... mais dans laquelle il y a quand même un lit. SEUL un lit... mais voilà que vient s'y ajouter une commode. Toujours la chambre, plongée dans une EPAISSE OBSCURITE, mais où brûle cependant une chandelle.
Des lustres... un lustre dure 5 ans (si je ne me trompe pas). D'accord, je comprends bien que c'est pour onner une notion de "longtemps". Mais alors, pourquoi préciser "4 heures" quelques mots plus loin ?

Voilà, juste quelques exemples.

J'ai tout lu par honnêteté, mais je n'accroche pas du tout. Beaucoup de travail encore dessus, à mon humble avis.

Amicalement
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Une nuit au château (30 mars 919) Empty Re: Une nuit au château (30 mars 919)

Message  Reginelle Jeu 18 Mar 2010 - 14:04

pour "donner"**... pardon
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