Appel
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Appel
J'espère que vous ne trouverez pas ce poème trop mièvre ^^ c'est qu'il est très difficile de parler d'amour.
Je ne puis sans trembler m'approcher de toi.
Je ne puis empêcher mon visage de pâlir,
Et mes genoux de se dérober sous moi.
Pourtant mon amour ne cesse de grandir !
Mes yeux sont des flammes, brûlant
Avec ardeur. Mon cœur est un temple,
Au fond duquel mon désir enchaîné hurle !
Chaque jour, ébahi, je contemple
Tes cheveux dorés, qui du soleil
Font pâlir l'éclat. Tes yeux m'éblouissent,
Et tes lèvres vermeilles
Frappent mes sens qu'elles étourdissent.
Tu vois, je ne puis te comparer ni au vent,
Qui souffle au printemps, ni à l'eau
Qui caresse doucement
Les berges qui murent le ruisseau.
Ta démarche est plus belle que la neige qui tombe,
Plus pure que les diamants d'une reine ;
Tes paroles sont vivantes et scellent la tombe,
Comme une déesse qui lentement entraine
L'âme des hommes brisés vers un lieu pur,
Sans tâches, étoilé. Et dans mon cœur,
Gonflé de larmes et couvert de blessures,
Tu réponds ton baume, oh ! douceur !
Je ne puis sans trembler m'approcher de toi.
Je ne puis empêcher mon visage de pâlir,
Et mes genoux de se dérober sous moi.
Pourtant mon amour ne cesse de grandir !
Mes yeux sont des flammes, brûlant
Avec ardeur. Mon cœur est un temple,
Au fond duquel mon désir enchaîné hurle !
Chaque jour, ébahi, je contemple
Tes cheveux dorés, qui du soleil
Font pâlir l'éclat. Tes yeux m'éblouissent,
Et tes lèvres vermeilles
Frappent mes sens qu'elles étourdissent.
Tu vois, je ne puis te comparer ni au vent,
Qui souffle au printemps, ni à l'eau
Qui caresse doucement
Les berges qui murent le ruisseau.
Ta démarche est plus belle que la neige qui tombe,
Plus pure que les diamants d'une reine ;
Tes paroles sont vivantes et scellent la tombe,
Comme une déesse qui lentement entraine
L'âme des hommes brisés vers un lieu pur,
Sans tâches, étoilé. Et dans mon cœur,
Gonflé de larmes et couvert de blessures,
Tu réponds ton baume, oh ! douceur !
hugofan- Nombre de messages : 86
Age : 33
Date d'inscription : 19/04/2009
Re: Appel
Dernier vers : "Tu répands ton baume", non ?
E peut-être : "ô, douceur !"
Du respect pour ce que tu éprouves et exprimes. Je laisse les spécialistes disséquer l'aspect poétique.
E peut-être : "ô, douceur !"
Du respect pour ce que tu éprouves et exprimes. Je laisse les spécialistes disséquer l'aspect poétique.
Invité- Invité
Re: Appel
En lisant la répétition de je ne puis en début des deux premiers vers, j'ai pensé qu'il s'agissait d'un procédé qu'on allait retrouver au fil du texte, mais non. Ce serait donc peut-être utile de voir à modifier cet effet répétitif dès le départ du texte.
Le sujet n'est pas ma tasse de thé et j'ai parfois du mal à m'en imprégner. Lyrisme et découpage choisi ne m'ont pas paru être totalement en adéquation.
Je suis consciente de ne pas être un très bon public pour ce texte, hugofan, désolée.
Le sujet n'est pas ma tasse de thé et j'ai parfois du mal à m'en imprégner. Lyrisme et découpage choisi ne m'ont pas paru être totalement en adéquation.
Je suis consciente de ne pas être un très bon public pour ce texte, hugofan, désolée.
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
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