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Another destiny
baby_vodka Dim 13 Juin 2010 - 0:00
Chapitre 1: le commencement fait tout.
Tomy est un jeune homme adopté de 15 ans qui, comme vous rêvait de vivre des trucs extraordinaires...et ca pour en vivre il en a vécu!
Tomy n'était pas très populaire dans son lycée... non pas qu'il était laid ou gros...il était même plutôt le contraire. Il n’était pas grand, mais faisait parti de cette population de jeunes qui étaient musclés, sans avoir l’air de faire du bodybuilding. Il était blond et avait les yeux couleur noisette.
Mais il avait une fâcheuse tendance à être taciturne et à rester seul... d'ailleurs il se sentait trop différent des autres pour trouver un quelquonque intérêt à leur parler.
C'est à 8 ans alors qu'il était tombé d'un arbre...qu'il avait découvert ses pouvoirs.
Il était alors en train de grimper à un arbre, en pleine nuit, pour pouvoir admirer la lune sans craindre d’être dérangé.
Alors qu’il était perdu dans ses pensées, un orage éclata.
Mais Tomy trouvait le contact de la pluie agréable, et décida de rester sur son arbre.
Seulement un éclair vint percuter l’arbre sur lequel il se trouvait, puis plus rien.
Il se réveilla plusieurs heures plus tard, dans un étrange boite en terre.
Au début il eut peur, et se mit a frapper inutilement sur la terre.
Puis il se calma afin de pouvoir réfléchir posément…Lorsqu’il se fut calmé, il sentit comme une présence vivante autour de lui. Il comprit très rapidement qu’il s’agissait du sable. Il posa les mains à plat dessus, et souhaita très fort que son cercueil de terre s’ouvre.
Et celui-ci s’ouvrit.
Et c'est depuis ce jour qu'il avait compris que plus jamais sa vie ne serait comme avant.
Il était tellement renfermé à essayé de comprendre l’incroyable don qui lui avait été fait, qu’il perdit tous ses amis et même sa famille ne s’intéressait plus à lui.
un matin, alors qu'il était seul dans la cour en train de réfléchir à toutes les possibilités que lui apportait son pouvoir, un jeune homme vint lui parler:
<< Salut je m'appelle benjamin mais tu peux m’appeler benji. je suis nouveau dans cette ville et je ne connais personne. Est ce que tu voudrais bien me faire visiter?
-D'accord si tu veux...lui répondit a contre-cœur Tomy, qui ne voyait en lui qu’un jeune garçon « normal » et sans intérêt particulier.
-Merci beaucoup!>>
Finalement sans que Tomy comprenne pourquoi le contact s’établit très rapidement entre lui et benjamin, et il devint son meilleur ami. Il apprit que lui aussi était un jeune enfant adopté à la naissance.
Cela faisait 1 mois que benji avait fais la connaissance de Tomy, et s'était aussi la première fois qu’il avait réussi a l’emmener au cinéma.
Apres de nombreux:<< s'il te plait Tomy vient je t'assure que ca va être sympa>>...
Le film s’appelait 300, et racontait l’histoire des trois cent spartiates qui avaient vaillamment combattus l’immense empire Perse, dans la fameuse bataille des Thermopyles.
Au grand étonnement de Tomy le film lui plut et il retourna le voir de nombreuses fois. Seulement un jour vint, ou une groupe de jeunes skinheads vint les accoster, a priori habités de mauvaises intentions.
<< dis voir le ptiot t'en as un beau manteau! Vas y passe le moi j'aimerais bien l'essayer!! mais vas y passes le moi je te dis je vais pas te le piquer!>>
Bien sur Tomy n'en croyait pas un mot. Mais que pouvais ils faire a deux, contre un groupe skinheads habitués a ce genre de racket?
Alors que le chef de la bande, un dénommé Big B, s'approchait avec un air menaçant, le vent commença a se lever étonnamment vite.
Tomy ne voulait pas risquer d'utiliser ses pouvoirs car il ne voulait pas perdre benji a cause d'eux. Car il savait parfaitement que les gens qui ne sont pas « normaux » sont très souvent rejetés par la société.
Et alors que "Big B" n'était qu'à 2 mètres de Tomy, une bourrasque particulièrement puissante vint le percuter directement, il vit parfaitement l’air se condenser devant lui et le percuter de telle façon que l’on aurait dire un coup de poing, mais d’air. Tellement puissant qu'il vint percuter le poteau 5 mètres derrière lui!
Le reste de la bande fut totalement terrorisé par ce qu’ils appelait « un signe divin » que tous partirent sans leur chef et sans demander leur reste.
Tomy compris vite qu'il y avait quelqu'un d'autre possédant des pouvoirs extraordinaires près de lui...il regarda autour de lui et ne vit que benjamin...Mais ou était ce fameux sauveur?
<< Mais qui cela peut il être? Il n'y a personne d'autre ici que benj et moi...NON!! ca ne peut pas être LUI! se dit mentalement tomy>>
Ce a quoi repondit sans le savoir son fidèle ami:
<< Je suppose que je dois t'expliquer certaines choses...
-...
-comme tu as du le remarquer j'ai certaines...affinités avec le vent. je le maitrise à volonté...je peux faire souffler le vent là où il n'y etait pas il y a une seconde, ou bien provoquer des tempêtes
là ou il faisait beau….
Tu dois penser que je suis un monstre n'est ce pas?
-N-N-na-nan je te rassurrrre...je suis juste....stupéfait!
-Tu ne m'en veux pas alors?
-Bien sur que nan je suis comme toi!
-QUOOOI?
-Ben oui en fait...moi aussi je peux donner forme et puissance au sable.>>
Et c'est avec une grande joie que benjamin lui sauta au cou!
Il devinrent ainsi confidents et commencèrent à s'entraîner ensembles.
D’abord dans des endroits cachés tels que la foret, ou de vieux hangars miteux.
Ils reussir aussi a controler toutes leur capacités: courir a une vitesse surhumaine, avoir une force incroyable, et ils decouvrirent aussi qu'il pouvaient changer leur pupilles.
benjamin avait des pupilles qui devenaient rouges avec trois virgule entrelacées qui lui permettait de retenir toutes les techniques vues par cette pupille... tomy lui pouvait les faire devenir totalement blancs...et pouvait aussi les faire devenir rouges avec l'interieur de la pupille verticale.
La pupille blanche lui permettait de voir a 360° et le rendait très très rapide. Elles lui permettaient aussi de voir des veines transportant une sorte de courant bleu qui s’echappait lorsque ils usaient de leurs pouvoirs. Quant au rouges…il n’arrivait à les faire apparaitre qu’un certain temps et n’en voyait pas encore l’utilité.
A 16 ans ils partirent à la recherche d’autres personnes comme eux…
Il leur fallait faire des recherches sans risquer d’éveiller des soupçons.
Et leur première étape fut de chercher tout ceux qui était toujours seul, et ils cherchèrent avant tout dans leur tranche d’age.
Ils rencontrèrent la première tandis que desespérés de ne trouver personne ils se baladaient dans la forêt.
Ils la virent alors en train de soigner un pauvre renard blessé en posant simplement ses mains sur la blessure.
C’était une orpheline, qui n’avait jamais vu ses parents et qui vivait dans un orphelinat. Elle possédait une force surhumaine, et pouvait aussi soigner avec cet etrange courant bleu que voyait tomy.
Mais surtout elle était très belle.
Elle s’appellait Mino, était brune, les cheuveux jusqu’aux épaules et des yeux en amandes associés à un corps à faire palir de jalousie la plus belle des mannequins…
Grâce à Mino ils purent chercher parmis la gente féminine, et trouvèrent très rapidement une autre d’entre elles. Elle était invisible, mais Tomy grace à ses yeux la vit sortant discrètement de sa classe grâce au courant bleu qui s’échappait de son corps.
Elle avait une facheuse tendance à se rendre invisible lorsqu’elle le souhaitait, et à créer des illusions dans la tête des personnes qu’elle désirait.
Elle était très mince , Brune elle aussi mais plus petite, magnifique elle aussi mais a sa façon. Elle avait un caractère bien trempé et n’hesitait pas à le faire comprendre avec un bon coup de pied bien placé.
Elle s’appellait Elsa et avait fait craquer tomy….
La troisième personne était un jeune homme lui aussi d’un bon mètre quatre-vingt, et avait un physique de rugbyman.
Il maitrisait les flammes et battait tous les autres à la course…à part elsa.
Il était un peu dingue et s’émportait rapidement.Mais il était un compagnon agréable et toute l’équipe l’appreciait enormement.
Il s’appellait yoga et intimidait tout ceux qui ne le conaissaient pas ….
Celui ci fut le seul à les trouver lui même. Cela faisait plusieurs jours déjà que Benjamin et son groupe faisaient bande à part. Et Yoga malgré son physique imposant les suivit de temps en temps pour voir ce qu'ils faisaient entre eux. Un jour vint où il les vit en train d'utiliser leurs pouvoirs dans la forêt, et vint se présenter à eux afin d'être accepté dans leur "clan".
Tomy est un jeune homme adopté de 15 ans qui, comme vous rêvait de vivre des trucs extraordinaires...et ca pour en vivre il en a vécu!
Tomy n'était pas très populaire dans son lycée... non pas qu'il était laid ou gros...il était même plutôt le contraire. Il n’était pas grand, mais faisait parti de cette population de jeunes qui étaient musclés, sans avoir l’air de faire du bodybuilding. Il était blond et avait les yeux couleur noisette.
Mais il avait une fâcheuse tendance à être taciturne et à rester seul... d'ailleurs il se sentait trop différent des autres pour trouver un quelquonque intérêt à leur parler.
C'est à 8 ans alors qu'il était tombé d'un arbre...qu'il avait découvert ses pouvoirs.
Il était alors en train de grimper à un arbre, en pleine nuit, pour pouvoir admirer la lune sans craindre d’être dérangé.
Alors qu’il était perdu dans ses pensées, un orage éclata.
Mais Tomy trouvait le contact de la pluie agréable, et décida de rester sur son arbre.
Seulement un éclair vint percuter l’arbre sur lequel il se trouvait, puis plus rien.
Il se réveilla plusieurs heures plus tard, dans un étrange boite en terre.
Au début il eut peur, et se mit a frapper inutilement sur la terre.
Puis il se calma afin de pouvoir réfléchir posément…Lorsqu’il se fut calmé, il sentit comme une présence vivante autour de lui. Il comprit très rapidement qu’il s’agissait du sable. Il posa les mains à plat dessus, et souhaita très fort que son cercueil de terre s’ouvre.
Et celui-ci s’ouvrit.
Et c'est depuis ce jour qu'il avait compris que plus jamais sa vie ne serait comme avant.
Il était tellement renfermé à essayé de comprendre l’incroyable don qui lui avait été fait, qu’il perdit tous ses amis et même sa famille ne s’intéressait plus à lui.
un matin, alors qu'il était seul dans la cour en train de réfléchir à toutes les possibilités que lui apportait son pouvoir, un jeune homme vint lui parler:
<< Salut je m'appelle benjamin mais tu peux m’appeler benji. je suis nouveau dans cette ville et je ne connais personne. Est ce que tu voudrais bien me faire visiter?
-D'accord si tu veux...lui répondit a contre-cœur Tomy, qui ne voyait en lui qu’un jeune garçon « normal » et sans intérêt particulier.
-Merci beaucoup!>>
Finalement sans que Tomy comprenne pourquoi le contact s’établit très rapidement entre lui et benjamin, et il devint son meilleur ami. Il apprit que lui aussi était un jeune enfant adopté à la naissance.
Cela faisait 1 mois que benji avait fais la connaissance de Tomy, et s'était aussi la première fois qu’il avait réussi a l’emmener au cinéma.
Apres de nombreux:<< s'il te plait Tomy vient je t'assure que ca va être sympa>>...
Le film s’appelait 300, et racontait l’histoire des trois cent spartiates qui avaient vaillamment combattus l’immense empire Perse, dans la fameuse bataille des Thermopyles.
Au grand étonnement de Tomy le film lui plut et il retourna le voir de nombreuses fois. Seulement un jour vint, ou une groupe de jeunes skinheads vint les accoster, a priori habités de mauvaises intentions.
<< dis voir le ptiot t'en as un beau manteau! Vas y passe le moi j'aimerais bien l'essayer!! mais vas y passes le moi je te dis je vais pas te le piquer!>>
Bien sur Tomy n'en croyait pas un mot. Mais que pouvais ils faire a deux, contre un groupe skinheads habitués a ce genre de racket?
Alors que le chef de la bande, un dénommé Big B, s'approchait avec un air menaçant, le vent commença a se lever étonnamment vite.
Tomy ne voulait pas risquer d'utiliser ses pouvoirs car il ne voulait pas perdre benji a cause d'eux. Car il savait parfaitement que les gens qui ne sont pas « normaux » sont très souvent rejetés par la société.
Et alors que "Big B" n'était qu'à 2 mètres de Tomy, une bourrasque particulièrement puissante vint le percuter directement, il vit parfaitement l’air se condenser devant lui et le percuter de telle façon que l’on aurait dire un coup de poing, mais d’air. Tellement puissant qu'il vint percuter le poteau 5 mètres derrière lui!
Le reste de la bande fut totalement terrorisé par ce qu’ils appelait « un signe divin » que tous partirent sans leur chef et sans demander leur reste.
Tomy compris vite qu'il y avait quelqu'un d'autre possédant des pouvoirs extraordinaires près de lui...il regarda autour de lui et ne vit que benjamin...Mais ou était ce fameux sauveur?
<< Mais qui cela peut il être? Il n'y a personne d'autre ici que benj et moi...NON!! ca ne peut pas être LUI! se dit mentalement tomy>>
Ce a quoi repondit sans le savoir son fidèle ami:
<< Je suppose que je dois t'expliquer certaines choses...
-...
-comme tu as du le remarquer j'ai certaines...affinités avec le vent. je le maitrise à volonté...je peux faire souffler le vent là où il n'y etait pas il y a une seconde, ou bien provoquer des tempêtes
là ou il faisait beau….
Tu dois penser que je suis un monstre n'est ce pas?
-N-N-na-nan je te rassurrrre...je suis juste....stupéfait!
-Tu ne m'en veux pas alors?
-Bien sur que nan je suis comme toi!
-QUOOOI?
-Ben oui en fait...moi aussi je peux donner forme et puissance au sable.>>
Et c'est avec une grande joie que benjamin lui sauta au cou!
Il devinrent ainsi confidents et commencèrent à s'entraîner ensembles.
D’abord dans des endroits cachés tels que la foret, ou de vieux hangars miteux.
Ils reussir aussi a controler toutes leur capacités: courir a une vitesse surhumaine, avoir une force incroyable, et ils decouvrirent aussi qu'il pouvaient changer leur pupilles.
benjamin avait des pupilles qui devenaient rouges avec trois virgule entrelacées qui lui permettait de retenir toutes les techniques vues par cette pupille... tomy lui pouvait les faire devenir totalement blancs...et pouvait aussi les faire devenir rouges avec l'interieur de la pupille verticale.
La pupille blanche lui permettait de voir a 360° et le rendait très très rapide. Elles lui permettaient aussi de voir des veines transportant une sorte de courant bleu qui s’echappait lorsque ils usaient de leurs pouvoirs. Quant au rouges…il n’arrivait à les faire apparaitre qu’un certain temps et n’en voyait pas encore l’utilité.
A 16 ans ils partirent à la recherche d’autres personnes comme eux…
Il leur fallait faire des recherches sans risquer d’éveiller des soupçons.
Et leur première étape fut de chercher tout ceux qui était toujours seul, et ils cherchèrent avant tout dans leur tranche d’age.
Ils rencontrèrent la première tandis que desespérés de ne trouver personne ils se baladaient dans la forêt.
Ils la virent alors en train de soigner un pauvre renard blessé en posant simplement ses mains sur la blessure.
C’était une orpheline, qui n’avait jamais vu ses parents et qui vivait dans un orphelinat. Elle possédait une force surhumaine, et pouvait aussi soigner avec cet etrange courant bleu que voyait tomy.
Mais surtout elle était très belle.
Elle s’appellait Mino, était brune, les cheuveux jusqu’aux épaules et des yeux en amandes associés à un corps à faire palir de jalousie la plus belle des mannequins…
Grâce à Mino ils purent chercher parmis la gente féminine, et trouvèrent très rapidement une autre d’entre elles. Elle était invisible, mais Tomy grace à ses yeux la vit sortant discrètement de sa classe grâce au courant bleu qui s’échappait de son corps.
Elle avait une facheuse tendance à se rendre invisible lorsqu’elle le souhaitait, et à créer des illusions dans la tête des personnes qu’elle désirait.
Elle était très mince , Brune elle aussi mais plus petite, magnifique elle aussi mais a sa façon. Elle avait un caractère bien trempé et n’hesitait pas à le faire comprendre avec un bon coup de pied bien placé.
Elle s’appellait Elsa et avait fait craquer tomy….
La troisième personne était un jeune homme lui aussi d’un bon mètre quatre-vingt, et avait un physique de rugbyman.
Il maitrisait les flammes et battait tous les autres à la course…à part elsa.
Il était un peu dingue et s’émportait rapidement.Mais il était un compagnon agréable et toute l’équipe l’appreciait enormement.
Il s’appellait yoga et intimidait tout ceux qui ne le conaissaient pas ….
Celui ci fut le seul à les trouver lui même. Cela faisait plusieurs jours déjà que Benjamin et son groupe faisaient bande à part. Et Yoga malgré son physique imposant les suivit de temps en temps pour voir ce qu'ils faisaient entre eux. Un jour vint où il les vit en train d'utiliser leurs pouvoirs dans la forêt, et vint se présenter à eux afin d'être accepté dans leur "clan".
baby_vodka- Nombre de messages : 10
Age : 29
Date d'inscription : 12/06/2010
Re: Another destiny
baby_vodka Dim 13 Juin 2010 - 0:02
Chapitre 2: un incident pas banal.
Tomy et ses compagnons fondèrent donc, la team 5.
Ils continuèrent à s’entraîner dans un vieux hangar, jusqu’à ce que leurs pouvoirs devenants trop puissants ils durent le quitter afin de s’entrainer dans des carrières plus éloignées.
Leur principal objectif était d’essayer de remettre dans le droit chemin tous les jeunes voyous qui terrorisait les plus jeunes dans leur petit village proche de lyon, qui se nommait Neyron.
Chacun y avait un poste bien précis, Benji était le chef d‘opération car le plus puissant,
Tomy était son majordome, il était chargé de lui transférer toutes les informations concernant l’equipe, les groupes de racket qui apparaissaient ,et s’était surtout son meilleur ami.
Mino était l’arrière garde, elle était chargée des soins. Et a cause de son poste beaucoup on eu la mauvaise idée de croire qu’elle était faible…grossière erreur, tous finirent encastrés dans un mur 15 mètres plus loin.
Elsa était chargée de l’infiltration et de la torture mentale, mais ce dernier n’arrivait que lorsque il n’y avait pas le temps de faire autrement et lorsque il s‘agissait de complots à grande envergure.
Quand a Yoga il était la force de frappe , moins puissant que Benjamin , il était quand même le deuxième plus puissant et était ainsi devenu célèbre dans l ‘art de la destruction massive de batîments ou de vehicules..
Alors qu’ils enquetaient sur une etrange série de disparitions un peu partout dans la ville, ils reçurent un message sur la télé , il s’agissait d’un piratage incroyable. Une voix modifiée leur dit :
<< bonjour a vous, membres de la team 5.
Vous ne me connaissez pas encore mais moi je vous connais très bien.
Si vous voulez des informations concernants ces disparition, retrouvez moi dans votre ancien terrain d’entrainement.
Clic .>>
Le message terminé aucun des membres ne su que dire.
Ils prenaient un grand soin a faire en sorte que personne ne découvre la realité. Et la voilà que quelqu’un surgit de nulle part et leur annonce qu’il les connait. Chacun était stupéfait.
Yoga fut le premier a parler :
<< Qu’est ce qu’on fait , maintenant que quelqu’un a decouvert notre identité ?
-Nous n’avons pas le choix, coupa benjamin, il va nous falloir le rencontrer et le rendre plus silencieux si besoin est.
-Quoi ?! mais c’est beaucoup trop dangereux qui sait ce que.
- Il a raison Mino…. Nous n’avons pas d’autres posiblités….
-Quoi ? mais... bon d’accord si c’est ton choix tomy…
-Merci. Et toi Elsa qu’en penses tu ?
-Et bien je suis totalement d’accord avec toi. Même si cela ne me fait pas particulièrement plaisir nous n’avons guère de possiblités…
-Puisque tous le monde est d’accord allons y, Nous n’allons tout de même pas faire attendre cet inconnu..>>conclua Yoga, impatient d’en découdre.
S’en suit quelques rires puis la preparation de l’opération.
Après avoir enfilé leur tenue de camouflage noire « empruntée » dans un destockage de l’armée , tous partirent en direction de leur ancienne salle d’entrainement : le hangar desaffecté de la vieille usine…
<< Comment as-tu pensé à preparer le coup Tomy? – demanda benjamin, qui avait laissé à Tomy la direction de l’opération, car il le faisait une fois sur deux.-
-ET bien vois tu je pensais changer un peu de notre façon de faire habituelle.Toi et Mino allez partir contourner le hangar et passer par les egouts… Quand a Yoga et moi nous allons passer par l’usine.
-Et moi ? –questionna Elsa-
-Toi je te laisse passer devant et nous dire si il y a des gardes ou un système de securité
-D’accord tomy… Mais surtout ne partez pas sans moi, je ne veux pas vous laisser vous amuser tous seuls…
-Ne t’inquiète pas ma belle, je ne te laisserai pas !!
Bam !
-bon ca va excuse moi « ELSA»…si on peut meme plus rigoler…
- Grrr… bon allez j’y vais, a plus tard !>>
ET elle partit en distançant tous ses camarades, car elle était de loin la plus rapide.
Tomy disparut instantanément dans un nuage de sable.
<< Mais ou est il partit enfin ? et comment a-t-il fait pour disaparaitre comme ca ?s’exclama Yoga
-Aucune idée mec ! lui repondit benjamin
-bon ben on a plus qu’à l’attendre maintenant…pfff il est lourd lui quand il veut..>>
Mino, elle, ne repondait rien car elle avait un grand sourire au lèvres.
Quand a tomy il était maintenant en compagnie d’Elsa…
<< Pourquoi ne veux tu toujours pas leur dire…que toi et moi… ?
-Je sais que c’est dur pour toi car ça l’est aussi pour moi…Mais pour le moment je suis respectée car je garde une part de mystère… SI je me mettais a devenir la jeune fille amoureuse, je ne serais plus rien…
- Je ne suis pas d’accord mais puisque c’est ce que tu penses…j’accepte ta décision…
Si il y a des gardes je te les laisse, prends garde a toi…je t’aime…
-Moi aussi je t’aime…>>
Après une brève embrassade chacun repartit dans une direction opposée, emplissant les pensées de l’autre.
Un nuage de fumée puis..
<< Ohh tiens qui va la ? notre grand Tomy,…
MAIS OU ETAIT TU DONC PASSE ?!?? hurla Yoga
-euh… tu vois … j’étais allé…
-Bon je sens que tu vas encore me donner une excuse bidon alors tu sais quoi…laisse tomber !
-Je suis desolé…mais je prefère garder ca pour moi pour le moment..
-Tu es tout pardonné gros ! le coupa benjamin
-Merci tu es vraiment super comme mec..
- bon allez a notre tour de partir.
-GOOO !!! hurlèrent-ils-tous>>
Benjamin et Mino partirent donc vers les égouts et le reste du groupe vers l’entrée principale de l’usine.
Mais alors qu’ils étaient a proximité du batiment, ils entendirent la voix d’ Elsa dans leur casques, piqués eux aussi avec les combinaisons.
<< Ca s’annonce beaucoup plus compliqué que prévu, il ya beaucoup de gardes masqués armés de sabre, il doivent être entre 30 et 50, je ne sais pas de quoi il s‘agit mais ça a l‘air plus sérieux que tout ce que nous avons fait jusqu‘à aujourd‘hui!! En ce moment je progresse dans un long couloir obscur, j’ai déjà détruit 3 caméra, attendez quelqu’un approche…Mais …que….noon lachez moi ! lachez MOOIII !!!!!
Cric
-Elsa ? elsa ? reponds moi Elsa …
-Allo tomy ? lui repondit la voix de la télé
-Qu’as-tu fais d’Elsa ?!
-Si tu la veux…viens la chercher, mon très cher tomy !!MOUHAHAHAHA
-Espèce d’ordure tu vas voir…quand je t’attraperai…
Allons y tous, que l’on retrouve Elsa et vite !>>
Tomy et ses compagnons fondèrent donc, la team 5.
Ils continuèrent à s’entraîner dans un vieux hangar, jusqu’à ce que leurs pouvoirs devenants trop puissants ils durent le quitter afin de s’entrainer dans des carrières plus éloignées.
Leur principal objectif était d’essayer de remettre dans le droit chemin tous les jeunes voyous qui terrorisait les plus jeunes dans leur petit village proche de lyon, qui se nommait Neyron.
Chacun y avait un poste bien précis, Benji était le chef d‘opération car le plus puissant,
Tomy était son majordome, il était chargé de lui transférer toutes les informations concernant l’equipe, les groupes de racket qui apparaissaient ,et s’était surtout son meilleur ami.
Mino était l’arrière garde, elle était chargée des soins. Et a cause de son poste beaucoup on eu la mauvaise idée de croire qu’elle était faible…grossière erreur, tous finirent encastrés dans un mur 15 mètres plus loin.
Elsa était chargée de l’infiltration et de la torture mentale, mais ce dernier n’arrivait que lorsque il n’y avait pas le temps de faire autrement et lorsque il s‘agissait de complots à grande envergure.
Quand a Yoga il était la force de frappe , moins puissant que Benjamin , il était quand même le deuxième plus puissant et était ainsi devenu célèbre dans l ‘art de la destruction massive de batîments ou de vehicules..
Alors qu’ils enquetaient sur une etrange série de disparitions un peu partout dans la ville, ils reçurent un message sur la télé , il s’agissait d’un piratage incroyable. Une voix modifiée leur dit :
<< bonjour a vous, membres de la team 5.
Vous ne me connaissez pas encore mais moi je vous connais très bien.
Si vous voulez des informations concernants ces disparition, retrouvez moi dans votre ancien terrain d’entrainement.
Clic .>>
Le message terminé aucun des membres ne su que dire.
Ils prenaient un grand soin a faire en sorte que personne ne découvre la realité. Et la voilà que quelqu’un surgit de nulle part et leur annonce qu’il les connait. Chacun était stupéfait.
Yoga fut le premier a parler :
<< Qu’est ce qu’on fait , maintenant que quelqu’un a decouvert notre identité ?
-Nous n’avons pas le choix, coupa benjamin, il va nous falloir le rencontrer et le rendre plus silencieux si besoin est.
-Quoi ?! mais c’est beaucoup trop dangereux qui sait ce que.
- Il a raison Mino…. Nous n’avons pas d’autres posiblités….
-Quoi ? mais... bon d’accord si c’est ton choix tomy…
-Merci. Et toi Elsa qu’en penses tu ?
-Et bien je suis totalement d’accord avec toi. Même si cela ne me fait pas particulièrement plaisir nous n’avons guère de possiblités…
-Puisque tous le monde est d’accord allons y, Nous n’allons tout de même pas faire attendre cet inconnu..>>conclua Yoga, impatient d’en découdre.
S’en suit quelques rires puis la preparation de l’opération.
Après avoir enfilé leur tenue de camouflage noire « empruntée » dans un destockage de l’armée , tous partirent en direction de leur ancienne salle d’entrainement : le hangar desaffecté de la vieille usine…
<< Comment as-tu pensé à preparer le coup Tomy? – demanda benjamin, qui avait laissé à Tomy la direction de l’opération, car il le faisait une fois sur deux.-
-ET bien vois tu je pensais changer un peu de notre façon de faire habituelle.Toi et Mino allez partir contourner le hangar et passer par les egouts… Quand a Yoga et moi nous allons passer par l’usine.
-Et moi ? –questionna Elsa-
-Toi je te laisse passer devant et nous dire si il y a des gardes ou un système de securité
-D’accord tomy… Mais surtout ne partez pas sans moi, je ne veux pas vous laisser vous amuser tous seuls…
-Ne t’inquiète pas ma belle, je ne te laisserai pas !!
Bam !
-bon ca va excuse moi « ELSA»…si on peut meme plus rigoler…
- Grrr… bon allez j’y vais, a plus tard !>>
ET elle partit en distançant tous ses camarades, car elle était de loin la plus rapide.
Tomy disparut instantanément dans un nuage de sable.
<< Mais ou est il partit enfin ? et comment a-t-il fait pour disaparaitre comme ca ?s’exclama Yoga
-Aucune idée mec ! lui repondit benjamin
-bon ben on a plus qu’à l’attendre maintenant…pfff il est lourd lui quand il veut..>>
Mino, elle, ne repondait rien car elle avait un grand sourire au lèvres.
Quand a tomy il était maintenant en compagnie d’Elsa…
<< Pourquoi ne veux tu toujours pas leur dire…que toi et moi… ?
-Je sais que c’est dur pour toi car ça l’est aussi pour moi…Mais pour le moment je suis respectée car je garde une part de mystère… SI je me mettais a devenir la jeune fille amoureuse, je ne serais plus rien…
- Je ne suis pas d’accord mais puisque c’est ce que tu penses…j’accepte ta décision…
Si il y a des gardes je te les laisse, prends garde a toi…je t’aime…
-Moi aussi je t’aime…>>
Après une brève embrassade chacun repartit dans une direction opposée, emplissant les pensées de l’autre.
Un nuage de fumée puis..
<< Ohh tiens qui va la ? notre grand Tomy,…
MAIS OU ETAIT TU DONC PASSE ?!?? hurla Yoga
-euh… tu vois … j’étais allé…
-Bon je sens que tu vas encore me donner une excuse bidon alors tu sais quoi…laisse tomber !
-Je suis desolé…mais je prefère garder ca pour moi pour le moment..
-Tu es tout pardonné gros ! le coupa benjamin
-Merci tu es vraiment super comme mec..
- bon allez a notre tour de partir.
-GOOO !!! hurlèrent-ils-tous>>
Benjamin et Mino partirent donc vers les égouts et le reste du groupe vers l’entrée principale de l’usine.
Mais alors qu’ils étaient a proximité du batiment, ils entendirent la voix d’ Elsa dans leur casques, piqués eux aussi avec les combinaisons.
<< Ca s’annonce beaucoup plus compliqué que prévu, il ya beaucoup de gardes masqués armés de sabre, il doivent être entre 30 et 50, je ne sais pas de quoi il s‘agit mais ça a l‘air plus sérieux que tout ce que nous avons fait jusqu‘à aujourd‘hui!! En ce moment je progresse dans un long couloir obscur, j’ai déjà détruit 3 caméra, attendez quelqu’un approche…Mais …que….noon lachez moi ! lachez MOOIII !!!!!
Cric
-Elsa ? elsa ? reponds moi Elsa …
-Allo tomy ? lui repondit la voix de la télé
-Qu’as-tu fais d’Elsa ?!
-Si tu la veux…viens la chercher, mon très cher tomy !!MOUHAHAHAHA
-Espèce d’ordure tu vas voir…quand je t’attraperai…
Allons y tous, que l’on retrouve Elsa et vite !>>
baby_vodka- Nombre de messages : 10
Age : 29
Date d'inscription : 12/06/2010
Re: Another destiny
baby_vodka Dim 13 Juin 2010 - 0:04
Chapitre 3: nous ne sommes plus seuls.
Ils partirent donc rechercher leur amie faite prisonnnière, menés par leur chef Benjamin.
Tous savaient que Tomy et Elsa n'étaient pas indifférents l'un envers l'autre, mais personnes n'aurait cru que Tomy aurait pu devenir fou furieux a l'idée qu'elle soit en danger.
Car de tous c'était lui le plus prudent et le plus reflechit.... enfin jusqu'à ce jour où elsa fut capturée.
Tous savaient que foncer dans le tas sans plan était très risqué, meme avec leurs pouvoirs. Mais savoir qu'un de leur compagnon était en danger, leur faisait perdre toute notion de prudence.
Ils arrivèrent enfin en vue du fameux batîment, après 15 minutes passées en silence, pour laisser leur chef se calmer.
Le hangar était un vieux batiment desaffecté qui servaient autrefois de lieu de stockage pour les usines.
Il était immense, mais le toit risquait à tout moment de s'écrouler, les gonds des portes avaient disparus, et les murs auraient très bien pu etre faits de carton.
Depuis quelques années cette zone était declarée hantée car certains avaient entendu des bruits étranges provenants de la clairière ou était situé ce hangar.
Ce qu'ils ne savaient pas c'est que ce n'était que la team 5 qui s'y entraînait.
Ils arrivèrent donc jusqu'à ce lieu étrange, et tentèrent de percer l'obscurité qui planait sur la clairière.
En vain... Certains crurent voir des formes bouger, mais elles étaient trop indistinctes pour qu'ils en soient surs.
Benjamin finit finalement par briser le silence qui commencait à peser sur tous les membres du groupe:
<<- Nous allons appliquer le plan prévu, même si nous sommes actuellement privé des renseignements qui nous auraient bien aidés....
Mais nous n'avons pas le choix si nous voullons savoir qui est cette mysterieuse voix.
J'ai legèrement changés mes plans finalement, Tomy et moi allons finalement passer par les résaux souterrains tandis que Mino et Yoga allez les rendre fous par devant.
Je compte sur vous pour faire le plus de degats possibles, mais si ca devient trop chaud partez! Je ne veux pas avoir à aller vous recuperer parce que vous n'êtes pas capables de vous arrettez!
-Ne t'inquiete donc pas Benji, laisse les donc se debrouiller, tu les connais. lui dit Tomy
-Justement c'est bien ca qui m'inquiete...Ils sont capables d'être assez tétus quand ils le veulent.
-C'est pas faux.
-Ne t'en fais pas Benji, nous serons aussi prudents que nous le pourrons....enfin peut etre pas mais nous ferons attention.
-Bah de toute facon je n'ai guère le choix.
-Effectivement tu ne l'as pas.>>
Et ils partirent finalement chacun là où ils le devaient.
Jusqu'à ce que Tomy rajoute:
<<- Au fait...je suppose que vous l'aviez compris mais entre Elsa et moi il y a un peu plus que de l'amitié...donc voilà je voulais juste vous dire que vous avez une raison de plus pour ne pas échouer, je compte sur vous!>>
Tandis que Marion et Yoga préparaient un plan d'attaque tout ce qu'il y a de plus dévastateur (bourrin pour les gens qui manquent de vocabulaire), Benjamin et Tomy esayaient de trouver leur chemins dans les couloirs sinueux qui devaient menés au hangar. Seulement, Ils n'étaient pas les seuls a connaître cette entrée, car elle était gardée par pas moi de 10 gardes habillés de noir, avec une cagoule dont seuls une petite ouverture laissait entrevoir les yeux.
9 d'entres eux finirent encastrés profodément dans lr mur, sans sommation, tandis que le dernier, qui paraissait être le chef,avait été fait prisonnier et était interrogé:
<<- Où est elle? où est Elsa?!!
-Mais je ne sais pas moi on ne me mets pas au courant de ce genre de choses, je ne suis que le chef d'une escouade de gardes....rien de plus...
-Donc j'en conclus que tu ne nous sers a rien finalement. lacha benjamin, qui avait une facheuse tendance a s'emporter lorsqu'il commencait a se battre.
-Quoi ? mais??
Bam!
et voilà que le dixième avait lui aussi trouvé refuge dans le mur.
-Et bien un de moins qui ne nous embetera plus, conclut Benjamin.
-C'est pas faux.ajouta Tomy un sourie aux lèvres.
-Bon et bien....continuons alors>>
Et sur ce, ils repartirent à travers des longs couloirs sombres, etroits, qui apparaissaient sans issue.
Pendant ce temps, mino et yoga se préparaient à attaquer:
<<- Bon alors je propose que nous commencions par nous occuper du gros des troupes, parce que à la limite ils sont plus interessants que les sentinelles, qui de toute façon nous verrons. proposa Mino
- Comme tu veux... Moi tu sais tant que je peux me battre...
-Espèce de brute! lui dit mino en riant
-Bah dans le genre tu n'es pas mauvaise non plus.
-c'est pas faux
-c'est même vrai je dirais.
-On y va?
-Quand tu veux!>>
Et ils partirent en fonçant, sans se préoccuper des sentinelles, tels des chars d'assaut.
Ils arrivèrent enfin en vue de la porte principale lorsque, un grand homme étrange vint leur barrer la route.
Il était seul, sans aucun garde, et paraissait très confiant. Il était grand, squelettique, avec une touffe de cheveux qui masquait son visage, et un chapeau haut de forme qui lui donnait un air de magicien.
Ce fut mino qui prit la parole la première:
-Qui êtes vous?
-Je m'apelle Alex, mais on me surnomme le tricoteur...
-Le tricoteur? mais c'est stupide comme nom! lui dit yoga, avec son tact légendaire.
-Question de point de vue...
- Et que nous voulez vous? renchérit Mino
-Je suis la pour vous empecher d'entrer, jusqu'à l'arrivée de votre chef a l'intérieur du batîment.
-Quoi?
-Et oui, je sais parfaitement que vous n'êtes la que pour faire diversion. Mais c'est raté, avec moi vous ne passerez jamais.
-C'est ce qu'on verra! lui dirent mino et yoga d'une même voix>>
Et ce dernier, sans prévenir, lui lanca une boule de feu censée le carbonisé jusqu'à la moelle.
Seulement, l'homme l'ésquiva, comme si il s'agissait d'une promenade de santé.
Yoga et Mino étaient totalement abasourdis.
<<- Alors, c'est tout ce que vous pouvez faire? lanca Alex. puisque c'est comme ça, je vais vous montrez pourquoi on me nomme "le tricoteur">>
Et d'un mouvement aussi fluide que rapide, il leur lanca une aiguille d'une quinzaine de centimètre, en direction du visage.
Yoga se jeta devant Mino pour la protéger, ce qui lui couta une aiguille dans l'omoplate droite, et une autre dans le bras gauche.
<<-Alors? mon surnom vous fais toujours autant rire?
- Espèce d'ordure! lui répondit Mino, qui essayait de gagner du temps pour pouvoir continuer a soigner Yoga
-Je sais, je sais... On me le dit souvent...enfin mes ennemis, mes amis me disent très gentil, quand je le veux.
-J'ai du mal a y croire.
-Tant pis pour vous.>>
et là une pluie d'aiguilles fonça sur les deux amis.
Elle furent instantanément carbonisée par un jet de flamme sortit tout droit de la bouche de Yoga.
Ce dernier ecarquilla les yeux devant ce qu'il venait de faire.
<<-Comment avez vous fais? mes aiguilles étaient empoisonnées, vous n'auriez pas du vous relevez avant ...2 bons mois.
-C'est ca de nous sous-estimer!
-Et bien tant pis alors...je voulais faire durer le plaisir mais vous ne m'en laissez pas le choix...>>
Un millier d'aiguilles vinrent frapper Yoga et Mino, sans qu'ils aient eu le temps de se protéger.
Enfin...c'est ce que cru Alex. En verité les deux compagnons avaient anticipés l'attaque, et avaient bondit assez vite au dessus de la puie d'aiguilles, sans que "le tricoteur" ne les voit.
Ce dernier reçut d'ailleur un coup de point phénomenale, qui l'envoya s'enfoncer dans le sol.
<<-Voyez vous Alex, je n'aime pas dire ça...Mais je dois bien avouez que vous avez bien faillit nous battre. Si vous ne nous aviez pas sous-estimés.
-Bah, la prochaine fois nous verrons bien.
-Je n'attends que ça. lui répondit Yoga
Alex s'était evanoui, tellement le coup de Mino avait été puissant.
-Et bien voilà qui est fait.Mais j'espère que la suite sera moins ardue...
-J'en doute fortement. dit Mino.
-De toute façon nous n'avons pas le choix, nous devons continuer.>>
Et ils repartirent, sans se douter qu'une personne les avait espionné durant tout le combat.
Quand a tomy et benji, ils en étaient à leur quatrième poste de garde, et commençait serieusement à en avoir marre de se labyrinthe qui n'en finissait pas.
Cela faisait presque une heure qu'ils parcouraient les souterrains, lorsqu'ils arrivèrent en face d'une porte immense, gardée par une bonne centaine de gardes, armés jusqu'aux dents, et l'air determinés à les éliminer.
<<-Pffff j'en ai marre de me battre contre eux, ils n'auraient pas quelqu'un de plus...comment dire...interessant?
-J'ai l'impression que non, quel dommage... répondit tomy a benjamin
-et bien allons y alors.
-Ouaip>>
Ils firent un fifty-fifty. une moitié fut enfermée dans une prison de sable, et l'autre fut accrochée au plafond et baillonée, par une toile d'air.
<<- Serieusement ca devient ennuyant...ils ne pourraient pas nous présenter autre chose que des soldats surentrainés armés de sabres? dit ironiquement benjamin
-Je crois que si... lui répondit Tomy, les yeux fixés sur la porte, qui commençait à s'ouvrir de l'autre coté.
-Enfin!Il était temps.
- Ne te réjouis pas trop vite...
-Ne t'inquiète pas mec, je gère.
-...>>
Une femme sortit des ténebres de la porte.Elle était plutot grande, mais n'était pas imposante. Elle était magnifique dans une robe pourpre, avec le cou orné d'un collier de pierres resplendissantes.
Les deux amis étaient comme hypnotisés par cette jeune femme, qui devait avoir leur age, mais qui semblait d'un calme incroyable.
Ils ne reussirent à se détacher de son corps que lorsqu'elle sortit à une vitesse incroyable, deux lames courtes recourbées, qui la rendait encore plus belle.
Elle fit se toucher les lames, et instantanément des eclairs en surgirent.
Tomy et Benjamin n'en croyaient pas leurs yeux...mais qui était-elle?
<<- Je me présente je me nomme marie, on me surnomme "l'ange de la lune", et je suis là pour vous empecher de passer.
Tomy et benjamin avait de nombreux principes, tels que ne jamais frapper une femme. Ils ne savaient plus quoi faire.
Ce fut elle qui décida pour eux, lorsqu'elle lança un eclair sur Benjamin, ce qui eut pour effet de le faire tomber dans les pommes, a l'autre bout du couloir.
Tomy était fou de rage, et lança instantanément une lance de sable durci, en direction de la jeune femme.
Celle ci fut stoppée par un eclair, quasiment instatanément.
Un autre surgit, mais en direction de Tomy cette fois-ci. Mais il était preparé, et parat grace a une muraille de sable.
Leurs defenses etaient inpenétrables, et aucun ne savait comment s'en sortirent.
S'en suivit une serie d'attaques et de contre-attaques inutiles.
Tandis que la salle était peu à peu detruite, Benjamin revenait à lui.il se dit mentalement:
<< heureusement qu'au dernier moment j'ai eu le reflexe de protéger partiellement mon corps avec une couche d'air. Sinon, qui sait ce qui me serait arrivé.>>
Et là il vit le duel devastateur entre tomy et Marie. Il ne savait pas comment l'aider sans le gener. Il eut une idée.
Et elle reussit parfaitement.il créat une bulle d'air reflechissante tout autour de marie. ce qui lui aurait été impossible en temps normal car trop longue a réaliser.
Mais comme elle le croyait evanouit, elle ne fit pas attentiona lui.Grossière erreur.
Elle ne s'en rendit compte que lorsque l'un de ses eclairs lui revint dessus, la paralysant pour une courte durée.
Tomy comprit vite ce qu'il s'etait passé, et se depecha de recouvrir Marie d'une couche de sable, l'empechant de bouger a son reveil. Seule la tête depassait, car il fallait qu'elle respire, et les deux voulaient profiter encore un peu de ce magnifique visage.
Elle était brune, des yeux bleu perçants, le teint mat mais tout en restant clair et un corps aux formes parfaites.
Tomy et benjamin reprirent donc leur chemin, en se rapprochant rapidement du centre du hangar.
Mino et Yoga en firent de même, et ce fut a leur tour de se retrouver face à face avec quelque gardes...pas très longtemps.
Ils se retrouvèrent en même temps dans le hall principal, avec en son centre un trone, soutenant un jeune homme au cheveux blancs argent, musclé comme il faut, une longue veste de cuir pourpre, un pantalon treilli, et de grosses bottes qui devaient peser pas moins de 800 grammes l'une.
A coté de lui se tenait Elsa, indemne, et souriante.
Le jeune homme pris la parole:
<<- Je suis très fier de vous, vous avez reussi a passer mes deux conseillers. et peu de gens peuvent se targuer d'avoir fait de meme.
je me presente, je m'apelle Dante, et je suis l'imperator de jilanor.
-jila-quoi? dit tomy
- Jilanor. lui repondit yoga. c'est un monde parallèle au notre, qui est en guerre civile depuis bientot 20 ans.
-Mais comment peux-tu savoir ca Yoga? lui dit benjamin
-En verité je ne m'apelle pas yoga...mon vrai nom est matthieu, et je suis un des chefs de la section speciale sous les ordres de monsieur Dante.
-...Mais comment est-ce possible? tu m'as pourtant aidé à lutter contre Alex....lui dit Mino
- C'etait mon role, et Alex le savais... En vérité j'étais là pour vous entrainer, et verifier vos capacités. D'ailleurs je dois admettre que je suis très impressionné par vos compétences.
-Tu en a d'autres des comme ça? lacha Tomy, au bord de la crise de nerfs.
-Non je ne crois pas...Ah si, la femme que vous avez rencontrés tout à l'heure... nous sommes fiancés...
-Oups... dit Tomy
-Quoi?
-Euh ben... je crois qu'elle est actuellement emprisonné dans un cercueil de sable...
-Ah merde! Aurais tu l'extreme obligeance de la liberer?
(un court silence)
-C'est fait.
-Merci.
-Bon alors je vais vous expliquer pourquoi mes hommes et moi avons fait tout cela. leur dit l'imperator.
Mon pays est guerre contre un autre pays, et nous sommes proches de la guerre civile.
Et nous avons besoin d'hommes pour mener nos batailles, et redresser notre pays. Seulement peu de gens ont des pouvoirs assez developpés pour pouvoir nous permettre de mener a bien cette mission...
-Donc si j'ai bien compris vous voulez nous enmener dans votre monde afin de vous aider. c'est ca?
-Tout à fait.J'ai d'ailleurs l'intention de faire de vous mes géneraux, car jusqu'à aujourd'hui j'étais le seul a avoir reussi a vaincre mes conseillers...
-Je crois que nous allons y reflechir... Elsa, benji et mino venez avec moi...
-Bon alors comment vous voyez les choses? vous avez l'intention de les aider ou pas? leur murmura tomy
-Pour moi je marche avec eux, lui repondit Elsa
-Pour moi aussi
-Pour moi ca marche aussi.
-Bon et bien pour moi aussi alors.
Nous nous sommes decidés et avons conclus que nous allions vous aider, moyennant une garantie de...
-Protection? demanda Dante
-De combattre dès que nous le souhaitons!
-Celle la je ne l'attendais pas...Et bien puisque c'est ce que vous souhaitez...c'est d'accord.
-Et bien nous sommes partants alors.
-Merci à vous, vraiment.>>
Et ce fut a cet instant que revinrent alex et marie, un grand sourire aux lèvres.
Yoga se rua en direction de marie, et alex vint se poster devant les compagnons:
<<-Je me présente un peu mieux cette fois-ci, je me nomme donc alex, et je suis le conseiller garde du corps de Mr Dante
-enchanté! Moi je me nomme mino, lui c'est notre chef Benjamin, Elle c'est Elsa, et le dernier se nomme Tomy , essentiellement chargé de conseiller benjamin.
-Je crois que nous allons bien nous entendre tous les 5.
-Si vous le dites.
-Vous pouvez me tutoyez vous savez, a présent nous sommes à armes egales.
-D'accord Alex. lui repondit Tomy
-Et voici mon associée Marie, mais comme vous le voyez elle est un peu occupée en ce moment...
-Je vois ca. lui dit Mino, un sourire illuminant son visage.>>
Finalement, Chacun fit la connaissance de Marie, et Dante invoqua une sorte de porte étrange surgit de nulle part.
Il y entra tres rapidement suivit de ses conseillers et de Matt.
Chacun des compagnons croisa le regard des autres...Et tous franchirent la porte en hurlant leur marque de fabrique:
<< Wazaaaahh!!>>
Ils partirent donc rechercher leur amie faite prisonnnière, menés par leur chef Benjamin.
Tous savaient que Tomy et Elsa n'étaient pas indifférents l'un envers l'autre, mais personnes n'aurait cru que Tomy aurait pu devenir fou furieux a l'idée qu'elle soit en danger.
Car de tous c'était lui le plus prudent et le plus reflechit.... enfin jusqu'à ce jour où elsa fut capturée.
Tous savaient que foncer dans le tas sans plan était très risqué, meme avec leurs pouvoirs. Mais savoir qu'un de leur compagnon était en danger, leur faisait perdre toute notion de prudence.
Ils arrivèrent enfin en vue du fameux batîment, après 15 minutes passées en silence, pour laisser leur chef se calmer.
Le hangar était un vieux batiment desaffecté qui servaient autrefois de lieu de stockage pour les usines.
Il était immense, mais le toit risquait à tout moment de s'écrouler, les gonds des portes avaient disparus, et les murs auraient très bien pu etre faits de carton.
Depuis quelques années cette zone était declarée hantée car certains avaient entendu des bruits étranges provenants de la clairière ou était situé ce hangar.
Ce qu'ils ne savaient pas c'est que ce n'était que la team 5 qui s'y entraînait.
Ils arrivèrent donc jusqu'à ce lieu étrange, et tentèrent de percer l'obscurité qui planait sur la clairière.
En vain... Certains crurent voir des formes bouger, mais elles étaient trop indistinctes pour qu'ils en soient surs.
Benjamin finit finalement par briser le silence qui commencait à peser sur tous les membres du groupe:
<<- Nous allons appliquer le plan prévu, même si nous sommes actuellement privé des renseignements qui nous auraient bien aidés....
Mais nous n'avons pas le choix si nous voullons savoir qui est cette mysterieuse voix.
J'ai legèrement changés mes plans finalement, Tomy et moi allons finalement passer par les résaux souterrains tandis que Mino et Yoga allez les rendre fous par devant.
Je compte sur vous pour faire le plus de degats possibles, mais si ca devient trop chaud partez! Je ne veux pas avoir à aller vous recuperer parce que vous n'êtes pas capables de vous arrettez!
-Ne t'inquiete donc pas Benji, laisse les donc se debrouiller, tu les connais. lui dit Tomy
-Justement c'est bien ca qui m'inquiete...Ils sont capables d'être assez tétus quand ils le veulent.
-C'est pas faux.
-Ne t'en fais pas Benji, nous serons aussi prudents que nous le pourrons....enfin peut etre pas mais nous ferons attention.
-Bah de toute facon je n'ai guère le choix.
-Effectivement tu ne l'as pas.>>
Et ils partirent finalement chacun là où ils le devaient.
Jusqu'à ce que Tomy rajoute:
<<- Au fait...je suppose que vous l'aviez compris mais entre Elsa et moi il y a un peu plus que de l'amitié...donc voilà je voulais juste vous dire que vous avez une raison de plus pour ne pas échouer, je compte sur vous!>>
Tandis que Marion et Yoga préparaient un plan d'attaque tout ce qu'il y a de plus dévastateur (bourrin pour les gens qui manquent de vocabulaire), Benjamin et Tomy esayaient de trouver leur chemins dans les couloirs sinueux qui devaient menés au hangar. Seulement, Ils n'étaient pas les seuls a connaître cette entrée, car elle était gardée par pas moi de 10 gardes habillés de noir, avec une cagoule dont seuls une petite ouverture laissait entrevoir les yeux.
9 d'entres eux finirent encastrés profodément dans lr mur, sans sommation, tandis que le dernier, qui paraissait être le chef,avait été fait prisonnier et était interrogé:
<<- Où est elle? où est Elsa?!!
-Mais je ne sais pas moi on ne me mets pas au courant de ce genre de choses, je ne suis que le chef d'une escouade de gardes....rien de plus...
-Donc j'en conclus que tu ne nous sers a rien finalement. lacha benjamin, qui avait une facheuse tendance a s'emporter lorsqu'il commencait a se battre.
-Quoi ? mais??
Bam!
et voilà que le dixième avait lui aussi trouvé refuge dans le mur.
-Et bien un de moins qui ne nous embetera plus, conclut Benjamin.
-C'est pas faux.ajouta Tomy un sourie aux lèvres.
-Bon et bien....continuons alors>>
Et sur ce, ils repartirent à travers des longs couloirs sombres, etroits, qui apparaissaient sans issue.
Pendant ce temps, mino et yoga se préparaient à attaquer:
<<- Bon alors je propose que nous commencions par nous occuper du gros des troupes, parce que à la limite ils sont plus interessants que les sentinelles, qui de toute façon nous verrons. proposa Mino
- Comme tu veux... Moi tu sais tant que je peux me battre...
-Espèce de brute! lui dit mino en riant
-Bah dans le genre tu n'es pas mauvaise non plus.
-c'est pas faux
-c'est même vrai je dirais.
-On y va?
-Quand tu veux!>>
Et ils partirent en fonçant, sans se préoccuper des sentinelles, tels des chars d'assaut.
Ils arrivèrent enfin en vue de la porte principale lorsque, un grand homme étrange vint leur barrer la route.
Il était seul, sans aucun garde, et paraissait très confiant. Il était grand, squelettique, avec une touffe de cheveux qui masquait son visage, et un chapeau haut de forme qui lui donnait un air de magicien.
Ce fut mino qui prit la parole la première:
-Qui êtes vous?
-Je m'apelle Alex, mais on me surnomme le tricoteur...
-Le tricoteur? mais c'est stupide comme nom! lui dit yoga, avec son tact légendaire.
-Question de point de vue...
- Et que nous voulez vous? renchérit Mino
-Je suis la pour vous empecher d'entrer, jusqu'à l'arrivée de votre chef a l'intérieur du batîment.
-Quoi?
-Et oui, je sais parfaitement que vous n'êtes la que pour faire diversion. Mais c'est raté, avec moi vous ne passerez jamais.
-C'est ce qu'on verra! lui dirent mino et yoga d'une même voix>>
Et ce dernier, sans prévenir, lui lanca une boule de feu censée le carbonisé jusqu'à la moelle.
Seulement, l'homme l'ésquiva, comme si il s'agissait d'une promenade de santé.
Yoga et Mino étaient totalement abasourdis.
<<- Alors, c'est tout ce que vous pouvez faire? lanca Alex. puisque c'est comme ça, je vais vous montrez pourquoi on me nomme "le tricoteur">>
Et d'un mouvement aussi fluide que rapide, il leur lanca une aiguille d'une quinzaine de centimètre, en direction du visage.
Yoga se jeta devant Mino pour la protéger, ce qui lui couta une aiguille dans l'omoplate droite, et une autre dans le bras gauche.
<<-Alors? mon surnom vous fais toujours autant rire?
- Espèce d'ordure! lui répondit Mino, qui essayait de gagner du temps pour pouvoir continuer a soigner Yoga
-Je sais, je sais... On me le dit souvent...enfin mes ennemis, mes amis me disent très gentil, quand je le veux.
-J'ai du mal a y croire.
-Tant pis pour vous.>>
et là une pluie d'aiguilles fonça sur les deux amis.
Elle furent instantanément carbonisée par un jet de flamme sortit tout droit de la bouche de Yoga.
Ce dernier ecarquilla les yeux devant ce qu'il venait de faire.
<<-Comment avez vous fais? mes aiguilles étaient empoisonnées, vous n'auriez pas du vous relevez avant ...2 bons mois.
-C'est ca de nous sous-estimer!
-Et bien tant pis alors...je voulais faire durer le plaisir mais vous ne m'en laissez pas le choix...>>
Un millier d'aiguilles vinrent frapper Yoga et Mino, sans qu'ils aient eu le temps de se protéger.
Enfin...c'est ce que cru Alex. En verité les deux compagnons avaient anticipés l'attaque, et avaient bondit assez vite au dessus de la puie d'aiguilles, sans que "le tricoteur" ne les voit.
Ce dernier reçut d'ailleur un coup de point phénomenale, qui l'envoya s'enfoncer dans le sol.
<<-Voyez vous Alex, je n'aime pas dire ça...Mais je dois bien avouez que vous avez bien faillit nous battre. Si vous ne nous aviez pas sous-estimés.
-Bah, la prochaine fois nous verrons bien.
-Je n'attends que ça. lui répondit Yoga
Alex s'était evanoui, tellement le coup de Mino avait été puissant.
-Et bien voilà qui est fait.Mais j'espère que la suite sera moins ardue...
-J'en doute fortement. dit Mino.
-De toute façon nous n'avons pas le choix, nous devons continuer.>>
Et ils repartirent, sans se douter qu'une personne les avait espionné durant tout le combat.
Quand a tomy et benji, ils en étaient à leur quatrième poste de garde, et commençait serieusement à en avoir marre de se labyrinthe qui n'en finissait pas.
Cela faisait presque une heure qu'ils parcouraient les souterrains, lorsqu'ils arrivèrent en face d'une porte immense, gardée par une bonne centaine de gardes, armés jusqu'aux dents, et l'air determinés à les éliminer.
<<-Pffff j'en ai marre de me battre contre eux, ils n'auraient pas quelqu'un de plus...comment dire...interessant?
-J'ai l'impression que non, quel dommage... répondit tomy a benjamin
-et bien allons y alors.
-Ouaip>>
Ils firent un fifty-fifty. une moitié fut enfermée dans une prison de sable, et l'autre fut accrochée au plafond et baillonée, par une toile d'air.
<<- Serieusement ca devient ennuyant...ils ne pourraient pas nous présenter autre chose que des soldats surentrainés armés de sabres? dit ironiquement benjamin
-Je crois que si... lui répondit Tomy, les yeux fixés sur la porte, qui commençait à s'ouvrir de l'autre coté.
-Enfin!Il était temps.
- Ne te réjouis pas trop vite...
-Ne t'inquiète pas mec, je gère.
-...>>
Une femme sortit des ténebres de la porte.Elle était plutot grande, mais n'était pas imposante. Elle était magnifique dans une robe pourpre, avec le cou orné d'un collier de pierres resplendissantes.
Les deux amis étaient comme hypnotisés par cette jeune femme, qui devait avoir leur age, mais qui semblait d'un calme incroyable.
Ils ne reussirent à se détacher de son corps que lorsqu'elle sortit à une vitesse incroyable, deux lames courtes recourbées, qui la rendait encore plus belle.
Elle fit se toucher les lames, et instantanément des eclairs en surgirent.
Tomy et Benjamin n'en croyaient pas leurs yeux...mais qui était-elle?
<<- Je me présente je me nomme marie, on me surnomme "l'ange de la lune", et je suis là pour vous empecher de passer.
Tomy et benjamin avait de nombreux principes, tels que ne jamais frapper une femme. Ils ne savaient plus quoi faire.
Ce fut elle qui décida pour eux, lorsqu'elle lança un eclair sur Benjamin, ce qui eut pour effet de le faire tomber dans les pommes, a l'autre bout du couloir.
Tomy était fou de rage, et lança instantanément une lance de sable durci, en direction de la jeune femme.
Celle ci fut stoppée par un eclair, quasiment instatanément.
Un autre surgit, mais en direction de Tomy cette fois-ci. Mais il était preparé, et parat grace a une muraille de sable.
Leurs defenses etaient inpenétrables, et aucun ne savait comment s'en sortirent.
S'en suivit une serie d'attaques et de contre-attaques inutiles.
Tandis que la salle était peu à peu detruite, Benjamin revenait à lui.il se dit mentalement:
<< heureusement qu'au dernier moment j'ai eu le reflexe de protéger partiellement mon corps avec une couche d'air. Sinon, qui sait ce qui me serait arrivé.>>
Et là il vit le duel devastateur entre tomy et Marie. Il ne savait pas comment l'aider sans le gener. Il eut une idée.
Et elle reussit parfaitement.il créat une bulle d'air reflechissante tout autour de marie. ce qui lui aurait été impossible en temps normal car trop longue a réaliser.
Mais comme elle le croyait evanouit, elle ne fit pas attentiona lui.Grossière erreur.
Elle ne s'en rendit compte que lorsque l'un de ses eclairs lui revint dessus, la paralysant pour une courte durée.
Tomy comprit vite ce qu'il s'etait passé, et se depecha de recouvrir Marie d'une couche de sable, l'empechant de bouger a son reveil. Seule la tête depassait, car il fallait qu'elle respire, et les deux voulaient profiter encore un peu de ce magnifique visage.
Elle était brune, des yeux bleu perçants, le teint mat mais tout en restant clair et un corps aux formes parfaites.
Tomy et benjamin reprirent donc leur chemin, en se rapprochant rapidement du centre du hangar.
Mino et Yoga en firent de même, et ce fut a leur tour de se retrouver face à face avec quelque gardes...pas très longtemps.
Ils se retrouvèrent en même temps dans le hall principal, avec en son centre un trone, soutenant un jeune homme au cheveux blancs argent, musclé comme il faut, une longue veste de cuir pourpre, un pantalon treilli, et de grosses bottes qui devaient peser pas moins de 800 grammes l'une.
A coté de lui se tenait Elsa, indemne, et souriante.
Le jeune homme pris la parole:
<<- Je suis très fier de vous, vous avez reussi a passer mes deux conseillers. et peu de gens peuvent se targuer d'avoir fait de meme.
je me presente, je m'apelle Dante, et je suis l'imperator de jilanor.
-jila-quoi? dit tomy
- Jilanor. lui repondit yoga. c'est un monde parallèle au notre, qui est en guerre civile depuis bientot 20 ans.
-Mais comment peux-tu savoir ca Yoga? lui dit benjamin
-En verité je ne m'apelle pas yoga...mon vrai nom est matthieu, et je suis un des chefs de la section speciale sous les ordres de monsieur Dante.
-...Mais comment est-ce possible? tu m'as pourtant aidé à lutter contre Alex....lui dit Mino
- C'etait mon role, et Alex le savais... En vérité j'étais là pour vous entrainer, et verifier vos capacités. D'ailleurs je dois admettre que je suis très impressionné par vos compétences.
-Tu en a d'autres des comme ça? lacha Tomy, au bord de la crise de nerfs.
-Non je ne crois pas...Ah si, la femme que vous avez rencontrés tout à l'heure... nous sommes fiancés...
-Oups... dit Tomy
-Quoi?
-Euh ben... je crois qu'elle est actuellement emprisonné dans un cercueil de sable...
-Ah merde! Aurais tu l'extreme obligeance de la liberer?
(un court silence)
-C'est fait.
-Merci.
-Bon alors je vais vous expliquer pourquoi mes hommes et moi avons fait tout cela. leur dit l'imperator.
Mon pays est guerre contre un autre pays, et nous sommes proches de la guerre civile.
Et nous avons besoin d'hommes pour mener nos batailles, et redresser notre pays. Seulement peu de gens ont des pouvoirs assez developpés pour pouvoir nous permettre de mener a bien cette mission...
-Donc si j'ai bien compris vous voulez nous enmener dans votre monde afin de vous aider. c'est ca?
-Tout à fait.J'ai d'ailleurs l'intention de faire de vous mes géneraux, car jusqu'à aujourd'hui j'étais le seul a avoir reussi a vaincre mes conseillers...
-Je crois que nous allons y reflechir... Elsa, benji et mino venez avec moi...
-Bon alors comment vous voyez les choses? vous avez l'intention de les aider ou pas? leur murmura tomy
-Pour moi je marche avec eux, lui repondit Elsa
-Pour moi aussi
-Pour moi ca marche aussi.
-Bon et bien pour moi aussi alors.
Nous nous sommes decidés et avons conclus que nous allions vous aider, moyennant une garantie de...
-Protection? demanda Dante
-De combattre dès que nous le souhaitons!
-Celle la je ne l'attendais pas...Et bien puisque c'est ce que vous souhaitez...c'est d'accord.
-Et bien nous sommes partants alors.
-Merci à vous, vraiment.>>
Et ce fut a cet instant que revinrent alex et marie, un grand sourire aux lèvres.
Yoga se rua en direction de marie, et alex vint se poster devant les compagnons:
<<-Je me présente un peu mieux cette fois-ci, je me nomme donc alex, et je suis le conseiller garde du corps de Mr Dante
-enchanté! Moi je me nomme mino, lui c'est notre chef Benjamin, Elle c'est Elsa, et le dernier se nomme Tomy , essentiellement chargé de conseiller benjamin.
-Je crois que nous allons bien nous entendre tous les 5.
-Si vous le dites.
-Vous pouvez me tutoyez vous savez, a présent nous sommes à armes egales.
-D'accord Alex. lui repondit Tomy
-Et voici mon associée Marie, mais comme vous le voyez elle est un peu occupée en ce moment...
-Je vois ca. lui dit Mino, un sourire illuminant son visage.>>
Finalement, Chacun fit la connaissance de Marie, et Dante invoqua une sorte de porte étrange surgit de nulle part.
Il y entra tres rapidement suivit de ses conseillers et de Matt.
Chacun des compagnons croisa le regard des autres...Et tous franchirent la porte en hurlant leur marque de fabrique:
<< Wazaaaahh!!>>
Ils partirent donc rechercher leur amie faite prisonnnière, menés par leur chef Benjamin.
Tous savaient que Tomy et Elsa n'étaient pas indifférents l'un envers l'autre, mais personnes n'aurait cru que Tomy aurait pu devenir fou furieux a l'idée qu'elle soit en danger.
Car de tous c'était lui le plus prudent et le plus reflechit.... enfin jusqu'à ce jour où elsa fut capturée.
Tous savaient que foncer dans le tas sans plan était très risqué, meme avec leurs pouvoirs. Mais savoir qu'un de leur compagnon était en danger, leur faisait perdre toute notion de prudence.
Ils arrivèrent enfin en vue du fameux batîment, après 15 minutes passées en silence, pour laisser leur chef se calmer.
Le hangar était un vieux batiment desaffecté qui servaient autrefois de lieu de stockage pour les usines.
Il était immense, mais le toit risquait à tout moment de s'écrouler, les gonds des portes avaient disparus, et les murs auraient très bien pu etre faits de carton.
Depuis quelques années cette zone était declarée hantée car certains avaient entendu des bruits étranges provenants de la clairière ou était situé ce hangar.
Ce qu'ils ne savaient pas c'est que ce n'était que la team 5 qui s'y entraînait.
Ils arrivèrent donc jusqu'à ce lieu étrange, et tentèrent de percer l'obscurité qui planait sur la clairière.
En vain... Certains crurent voir des formes bouger, mais elles étaient trop indistinctes pour qu'ils en soient surs.
Benjamin finit finalement par briser le silence qui commencait à peser sur tous les membres du groupe:
<<- Nous allons appliquer le plan prévu, même si nous sommes actuellement privé des renseignements qui nous auraient bien aidés....
Mais nous n'avons pas le choix si nous voullons savoir qui est cette mysterieuse voix.
J'ai legèrement changés mes plans finalement, Tomy et moi allons finalement passer par les résaux souterrains tandis que Mino et Yoga allez les rendre fous par devant.
Je compte sur vous pour faire le plus de degats possibles, mais si ca devient trop chaud partez! Je ne veux pas avoir à aller vous recuperer parce que vous n'êtes pas capables de vous arrettez!
-Ne t'inquiete donc pas Benji, laisse les donc se debrouiller, tu les connais. lui dit Tomy
-Justement c'est bien ca qui m'inquiete...Ils sont capables d'être assez tétus quand ils le veulent.
-C'est pas faux.
-Ne t'en fais pas Benji, nous serons aussi prudents que nous le pourrons....enfin peut etre pas mais nous ferons attention.
-Bah de toute facon je n'ai guère le choix.
-Effectivement tu ne l'as pas.>>
Et ils partirent finalement chacun là où ils le devaient.
Jusqu'à ce que Tomy rajoute:
<<- Au fait...je suppose que vous l'aviez compris mais entre Elsa et moi il y a un peu plus que de l'amitié...donc voilà je voulais juste vous dire que vous avez une raison de plus pour ne pas échouer, je compte sur vous!>>
Tandis que Marion et Yoga préparaient un plan d'attaque tout ce qu'il y a de plus dévastateur (bourrin pour les gens qui manquent de vocabulaire), Benjamin et Tomy esayaient de trouver leur chemins dans les couloirs sinueux qui devaient menés au hangar. Seulement, Ils n'étaient pas les seuls a connaître cette entrée, car elle était gardée par pas moi de 10 gardes habillés de noir, avec une cagoule dont seuls une petite ouverture laissait entrevoir les yeux.
9 d'entres eux finirent encastrés profodément dans lr mur, sans sommation, tandis que le dernier, qui paraissait être le chef,avait été fait prisonnier et était interrogé:
<<- Où est elle? où est Elsa?!!
-Mais je ne sais pas moi on ne me mets pas au courant de ce genre de choses, je ne suis que le chef d'une escouade de gardes....rien de plus...
-Donc j'en conclus que tu ne nous sers a rien finalement. lacha benjamin, qui avait une facheuse tendance a s'emporter lorsqu'il commencait a se battre.
-Quoi ? mais??
Bam!
et voilà que le dixième avait lui aussi trouvé refuge dans le mur.
-Et bien un de moins qui ne nous embetera plus, conclut Benjamin.
-C'est pas faux.ajouta Tomy un sourie aux lèvres.
-Bon et bien....continuons alors>>
Et sur ce, ils repartirent à travers des longs couloirs sombres, etroits, qui apparaissaient sans issue.
Pendant ce temps, mino et yoga se préparaient à attaquer:
<<- Bon alors je propose que nous commencions par nous occuper du gros des troupes, parce que à la limite ils sont plus interessants que les sentinelles, qui de toute façon nous verrons. proposa Mino
- Comme tu veux... Moi tu sais tant que je peux me battre...
-Espèce de brute! lui dit mino en riant
-Bah dans le genre tu n'es pas mauvaise non plus.
-c'est pas faux
-c'est même vrai je dirais.
-On y va?
-Quand tu veux!>>
Et ils partirent en fonçant, sans se préoccuper des sentinelles, tels des chars d'assaut.
Ils arrivèrent enfin en vue de la porte principale lorsque, un grand homme étrange vint leur barrer la route.
Il était seul, sans aucun garde, et paraissait très confiant. Il était grand, squelettique, avec une touffe de cheveux qui masquait son visage, et un chapeau haut de forme qui lui donnait un air de magicien.
Ce fut mino qui prit la parole la première:
-Qui êtes vous?
-Je m'apelle Alex, mais on me surnomme le tricoteur...
-Le tricoteur? mais c'est stupide comme nom! lui dit yoga, avec son tact légendaire.
-Question de point de vue...
- Et que nous voulez vous? renchérit Mino
-Je suis la pour vous empecher d'entrer, jusqu'à l'arrivée de votre chef a l'intérieur du batîment.
-Quoi?
-Et oui, je sais parfaitement que vous n'êtes la que pour faire diversion. Mais c'est raté, avec moi vous ne passerez jamais.
-C'est ce qu'on verra! lui dirent mino et yoga d'une même voix>>
Et ce dernier, sans prévenir, lui lanca une boule de feu censée le carbonisé jusqu'à la moelle.
Seulement, l'homme l'ésquiva, comme si il s'agissait d'une promenade de santé.
Yoga et Mino étaient totalement abasourdis.
<<- Alors, c'est tout ce que vous pouvez faire? lanca Alex. puisque c'est comme ça, je vais vous montrez pourquoi on me nomme "le tricoteur">>
Et d'un mouvement aussi fluide que rapide, il leur lanca une aiguille d'une quinzaine de centimètre, en direction du visage.
Yoga se jeta devant Mino pour la protéger, ce qui lui couta une aiguille dans l'omoplate droite, et une autre dans le bras gauche.
<<-Alors? mon surnom vous fais toujours autant rire?
- Espèce d'ordure! lui répondit Mino, qui essayait de gagner du temps pour pouvoir continuer a soigner Yoga
-Je sais, je sais... On me le dit souvent...enfin mes ennemis, mes amis me disent très gentil, quand je le veux.
-J'ai du mal a y croire.
-Tant pis pour vous.>>
et là une pluie d'aiguilles fonça sur les deux amis.
Elle furent instantanément carbonisée par un jet de flamme sortit tout droit de la bouche de Yoga.
Ce dernier ecarquilla les yeux devant ce qu'il venait de faire.
<<-Comment avez vous fais? mes aiguilles étaient empoisonnées, vous n'auriez pas du vous relevez avant ...2 bons mois.
-C'est ca de nous sous-estimer!
-Et bien tant pis alors...je voulais faire durer le plaisir mais vous ne m'en laissez pas le choix...>>
Un millier d'aiguilles vinrent frapper Yoga et Mino, sans qu'ils aient eu le temps de se protéger.
Enfin...c'est ce que cru Alex. En verité les deux compagnons avaient anticipés l'attaque, et avaient bondit assez vite au dessus de la puie d'aiguilles, sans que "le tricoteur" ne les voit.
Ce dernier reçut d'ailleur un coup de point phénomenale, qui l'envoya s'enfoncer dans le sol.
<<-Voyez vous Alex, je n'aime pas dire ça...Mais je dois bien avouez que vous avez bien faillit nous battre. Si vous ne nous aviez pas sous-estimés.
-Bah, la prochaine fois nous verrons bien.
-Je n'attends que ça. lui répondit Yoga
Alex s'était evanoui, tellement le coup de Mino avait été puissant.
-Et bien voilà qui est fait.Mais j'espère que la suite sera moins ardue...
-J'en doute fortement. dit Mino.
-De toute façon nous n'avons pas le choix, nous devons continuer.>>
Et ils repartirent, sans se douter qu'une personne les avait espionné durant tout le combat.
Quand a tomy et benji, ils en étaient à leur quatrième poste de garde, et commençait serieusement à en avoir marre de se labyrinthe qui n'en finissait pas.
Cela faisait presque une heure qu'ils parcouraient les souterrains, lorsqu'ils arrivèrent en face d'une porte immense, gardée par une bonne centaine de gardes, armés jusqu'aux dents, et l'air determinés à les éliminer.
<<-Pffff j'en ai marre de me battre contre eux, ils n'auraient pas quelqu'un de plus...comment dire...interessant?
-J'ai l'impression que non, quel dommage... répondit tomy a benjamin
-et bien allons y alors.
-Ouaip>>
Ils firent un fifty-fifty. une moitié fut enfermée dans une prison de sable, et l'autre fut accrochée au plafond et baillonée, par une toile d'air.
<<- Serieusement ca devient ennuyant...ils ne pourraient pas nous présenter autre chose que des soldats surentrainés armés de sabres? dit ironiquement benjamin
-Je crois que si... lui répondit Tomy, les yeux fixés sur la porte, qui commençait à s'ouvrir de l'autre coté.
-Enfin!Il était temps.
- Ne te réjouis pas trop vite...
-Ne t'inquiète pas mec, je gère.
-...>>
Une femme sortit des ténebres de la porte.Elle était plutot grande, mais n'était pas imposante. Elle était magnifique dans une robe pourpre, avec le cou orné d'un collier de pierres resplendissantes.
Les deux amis étaient comme hypnotisés par cette jeune femme, qui devait avoir leur age, mais qui semblait d'un calme incroyable.
Ils ne reussirent à se détacher de son corps que lorsqu'elle sortit à une vitesse incroyable, deux lames courtes recourbées, qui la rendait encore plus belle.
Elle fit se toucher les lames, et instantanément des eclairs en surgirent.
Tomy et Benjamin n'en croyaient pas leurs yeux...mais qui était-elle?
<<- Je me présente je me nomme marie, on me surnomme "l'ange de la lune", et je suis là pour vous empecher de passer.
Tomy et benjamin avait de nombreux principes, tels que ne jamais frapper une femme. Ils ne savaient plus quoi faire.
Ce fut elle qui décida pour eux, lorsqu'elle lança un eclair sur Benjamin, ce qui eut pour effet de le faire tomber dans les pommes, a l'autre bout du couloir.
Tomy était fou de rage, et lança instantanément une lance de sable durci, en direction de la jeune femme.
Celle ci fut stoppée par un eclair, quasiment instatanément.
Un autre surgit, mais en direction de Tomy cette fois-ci. Mais il était preparé, et parat grace a une muraille de sable.
Leurs defenses etaient inpenétrables, et aucun ne savait comment s'en sortirent.
S'en suivit une serie d'attaques et de contre-attaques inutiles.
Tandis que la salle était peu à peu detruite, Benjamin revenait à lui.il se dit mentalement:
<< heureusement qu'au dernier moment j'ai eu le reflexe de protéger partiellement mon corps avec une couche d'air. Sinon, qui sait ce qui me serait arrivé.>>
Et là il vit le duel devastateur entre tomy et Marie. Il ne savait pas comment l'aider sans le gener. Il eut une idée.
Et elle reussit parfaitement.il créat une bulle d'air reflechissante tout autour de marie. ce qui lui aurait été impossible en temps normal car trop longue a réaliser.
Mais comme elle le croyait evanouit, elle ne fit pas attentiona lui.Grossière erreur.
Elle ne s'en rendit compte que lorsque l'un de ses eclairs lui revint dessus, la paralysant pour une courte durée.
Tomy comprit vite ce qu'il s'etait passé, et se depecha de recouvrir Marie d'une couche de sable, l'empechant de bouger a son reveil. Seule la tête depassait, car il fallait qu'elle respire, et les deux voulaient profiter encore un peu de ce magnifique visage.
Elle était brune, des yeux bleu perçants, le teint mat mais tout en restant clair et un corps aux formes parfaites.
Tomy et benjamin reprirent donc leur chemin, en se rapprochant rapidement du centre du hangar.
Mino et Yoga en firent de même, et ce fut a leur tour de se retrouver face à face avec quelque gardes...pas très longtemps.
Ils se retrouvèrent en même temps dans le hall principal, avec en son centre un trone, soutenant un jeune homme au cheveux blancs argent, musclé comme il faut, une longue veste de cuir pourpre, un pantalon treilli, et de grosses bottes qui devaient peser pas moins de 800 grammes l'une.
A coté de lui se tenait Elsa, indemne, et souriante.
Le jeune homme pris la parole:
<<- Je suis très fier de vous, vous avez reussi a passer mes deux conseillers. et peu de gens peuvent se targuer d'avoir fait de meme.
je me presente, je m'apelle Dante, et je suis l'imperator de jilanor.
-jila-quoi? dit tomy
- Jilanor. lui repondit yoga. c'est un monde parallèle au notre, qui est en guerre civile depuis bientot 20 ans.
-Mais comment peux-tu savoir ca Yoga? lui dit benjamin
-En verité je ne m'apelle pas yoga...mon vrai nom est matthieu, et je suis un des chefs de la section speciale sous les ordres de monsieur Dante.
-...Mais comment est-ce possible? tu m'as pourtant aidé à lutter contre Alex....lui dit Mino
- C'etait mon role, et Alex le savais... En vérité j'étais là pour vous entrainer, et verifier vos capacités. D'ailleurs je dois admettre que je suis très impressionné par vos compétences.
-Tu en a d'autres des comme ça? lacha Tomy, au bord de la crise de nerfs.
-Non je ne crois pas...Ah si, la femme que vous avez rencontrés tout à l'heure... nous sommes fiancés...
-Oups... dit Tomy
-Quoi?
-Euh ben... je crois qu'elle est actuellement emprisonné dans un cercueil de sable...
-Ah merde! Aurais tu l'extreme obligeance de la liberer?
(un court silence)
-C'est fait.
-Merci.
-Bon alors je vais vous expliquer pourquoi mes hommes et moi avons fait tout cela. leur dit l'imperator.
Mon pays est guerre contre un autre pays, et nous sommes proches de la guerre civile.
Et nous avons besoin d'hommes pour mener nos batailles, et redresser notre pays. Seulement peu de gens ont des pouvoirs assez developpés pour pouvoir nous permettre de mener a bien cette mission...
-Donc si j'ai bien compris vous voulez nous enmener dans votre monde afin de vous aider. c'est ca?
-Tout à fait.J'ai d'ailleurs l'intention de faire de vous mes géneraux, car jusqu'à aujourd'hui j'étais le seul a avoir reussi a vaincre mes conseillers...
-Je crois que nous allons y reflechir... Elsa, benji et mino venez avec moi...
-Bon alors comment vous voyez les choses? vous avez l'intention de les aider ou pas? leur murmura tomy
-Pour moi je marche avec eux, lui repondit Elsa
-Pour moi aussi
-Pour moi ca marche aussi.
-Bon et bien pour moi aussi alors.
Nous nous sommes decidés et avons conclus que nous allions vous aider, moyennant une garantie de...
-Protection? demanda Dante
-De combattre dès que nous le souhaitons!
-Celle la je ne l'attendais pas...Et bien puisque c'est ce que vous souhaitez...c'est d'accord.
-Et bien nous sommes partants alors.
-Merci à vous, vraiment.>>
Et ce fut a cet instant que revinrent alex et marie, un grand sourire aux lèvres.
Yoga se rua en direction de marie, et alex vint se poster devant les compagnons:
<<-Je me présente un peu mieux cette fois-ci, je me nomme donc alex, et je suis le conseiller garde du corps de Mr Dante
-enchanté! Moi je me nomme mino, lui c'est notre chef Benjamin, Elle c'est Elsa, et le dernier se nomme Tomy , essentiellement chargé de conseiller benjamin.
-Je crois que nous allons bien nous entendre tous les 5.
-Si vous le dites.
-Vous pouvez me tutoyez vous savez, a présent nous sommes à armes egales.
-D'accord Alex. lui repondit Tomy
-Et voici mon associée Marie, mais comme vous le voyez elle est un peu occupée en ce moment...
-Je vois ca. lui dit Mino, un sourire illuminant son visage.>>
Finalement, Chacun fit la connaissance de Marie, et Dante invoqua une sorte de porte étrange surgit de nulle part.
Il y entra tres rapidement suivit de ses conseillers et de Matt.
Chacun des compagnons croisa le regard des autres...Et tous franchirent la porte en hurlant leur marque de fabrique:
<< Wazaaaahh!!>>
Ils partirent donc rechercher leur amie faite prisonnnière, menés par leur chef Benjamin.
Tous savaient que Tomy et Elsa n'étaient pas indifférents l'un envers l'autre, mais personnes n'aurait cru que Tomy aurait pu devenir fou furieux a l'idée qu'elle soit en danger.
Car de tous c'était lui le plus prudent et le plus reflechit.... enfin jusqu'à ce jour où elsa fut capturée.
Tous savaient que foncer dans le tas sans plan était très risqué, meme avec leurs pouvoirs. Mais savoir qu'un de leur compagnon était en danger, leur faisait perdre toute notion de prudence.
Ils arrivèrent enfin en vue du fameux batîment, après 15 minutes passées en silence, pour laisser leur chef se calmer.
Le hangar était un vieux batiment desaffecté qui servaient autrefois de lieu de stockage pour les usines.
Il était immense, mais le toit risquait à tout moment de s'écrouler, les gonds des portes avaient disparus, et les murs auraient très bien pu etre faits de carton.
Depuis quelques années cette zone était declarée hantée car certains avaient entendu des bruits étranges provenants de la clairière ou était situé ce hangar.
Ce qu'ils ne savaient pas c'est que ce n'était que la team 5 qui s'y entraînait.
Ils arrivèrent donc jusqu'à ce lieu étrange, et tentèrent de percer l'obscurité qui planait sur la clairière.
En vain... Certains crurent voir des formes bouger, mais elles étaient trop indistinctes pour qu'ils en soient surs.
Benjamin finit finalement par briser le silence qui commencait à peser sur tous les membres du groupe:
<<- Nous allons appliquer le plan prévu, même si nous sommes actuellement privé des renseignements qui nous auraient bien aidés....
Mais nous n'avons pas le choix si nous voullons savoir qui est cette mysterieuse voix.
J'ai legèrement changés mes plans finalement, Tomy et moi allons finalement passer par les résaux souterrains tandis que Mino et Yoga allez les rendre fous par devant.
Je compte sur vous pour faire le plus de degats possibles, mais si ca devient trop chaud partez! Je ne veux pas avoir à aller vous recuperer parce que vous n'êtes pas capables de vous arrettez!
-Ne t'inquiete donc pas Benji, laisse les donc se debrouiller, tu les connais. lui dit Tomy
-Justement c'est bien ca qui m'inquiete...Ils sont capables d'être assez tétus quand ils le veulent.
-C'est pas faux.
-Ne t'en fais pas Benji, nous serons aussi prudents que nous le pourrons....enfin peut etre pas mais nous ferons attention.
-Bah de toute facon je n'ai guère le choix.
-Effectivement tu ne l'as pas.>>
Et ils partirent finalement chacun là où ils le devaient.
Jusqu'à ce que Tomy rajoute:
<<- Au fait...je suppose que vous l'aviez compris mais entre Elsa et moi il y a un peu plus que de l'amitié...donc voilà je voulais juste vous dire que vous avez une raison de plus pour ne pas échouer, je compte sur vous!>>
Tandis que Marion et Yoga préparaient un plan d'attaque tout ce qu'il y a de plus dévastateur (bourrin pour les gens qui manquent de vocabulaire), Benjamin et Tomy esayaient de trouver leur chemins dans les couloirs sinueux qui devaient menés au hangar. Seulement, Ils n'étaient pas les seuls a connaître cette entrée, car elle était gardée par pas moi de 10 gardes habillés de noir, avec une cagoule dont seuls une petite ouverture laissait entrevoir les yeux.
9 d'entres eux finirent encastrés profodément dans lr mur, sans sommation, tandis que le dernier, qui paraissait être le chef,avait été fait prisonnier et était interrogé:
<<- Où est elle? où est Elsa?!!
-Mais je ne sais pas moi on ne me mets pas au courant de ce genre de choses, je ne suis que le chef d'une escouade de gardes....rien de plus...
-Donc j'en conclus que tu ne nous sers a rien finalement. lacha benjamin, qui avait une facheuse tendance a s'emporter lorsqu'il commencait a se battre.
-Quoi ? mais??
Bam!
et voilà que le dixième avait lui aussi trouvé refuge dans le mur.
-Et bien un de moins qui ne nous embetera plus, conclut Benjamin.
-C'est pas faux.ajouta Tomy un sourie aux lèvres.
-Bon et bien....continuons alors>>
Et sur ce, ils repartirent à travers des longs couloirs sombres, etroits, qui apparaissaient sans issue.
Pendant ce temps, mino et yoga se préparaient à attaquer:
<<- Bon alors je propose que nous commencions par nous occuper du gros des troupes, parce que à la limite ils sont plus interessants que les sentinelles, qui de toute façon nous verrons. proposa Mino
- Comme tu veux... Moi tu sais tant que je peux me battre...
-Espèce de brute! lui dit mino en riant
-Bah dans le genre tu n'es pas mauvaise non plus.
-c'est pas faux
-c'est même vrai je dirais.
-On y va?
-Quand tu veux!>>
Et ils partirent en fonçant, sans se préoccuper des sentinelles, tels des chars d'assaut.
Ils arrivèrent enfin en vue de la porte principale lorsque, un grand homme étrange vint leur barrer la route.
Il était seul, sans aucun garde, et paraissait très confiant. Il était grand, squelettique, avec une touffe de cheveux qui masquait son visage, et un chapeau haut de forme qui lui donnait un air de magicien.
Ce fut mino qui prit la parole la première:
-Qui êtes vous?
-Je m'apelle Alex, mais on me surnomme le tricoteur...
-Le tricoteur? mais c'est stupide comme nom! lui dit yoga, avec son tact légendaire.
-Question de point de vue...
- Et que nous voulez vous? renchérit Mino
-Je suis la pour vous empecher d'entrer, jusqu'à l'arrivée de votre chef a l'intérieur du batîment.
-Quoi?
-Et oui, je sais parfaitement que vous n'êtes la que pour faire diversion. Mais c'est raté, avec moi vous ne passerez jamais.
-C'est ce qu'on verra! lui dirent mino et yoga d'une même voix>>
Et ce dernier, sans prévenir, lui lanca une boule de feu censée le carbonisé jusqu'à la moelle.
Seulement, l'homme l'ésquiva, comme si il s'agissait d'une promenade de santé.
Yoga et Mino étaient totalement abasourdis.
<<- Alors, c'est tout ce que vous pouvez faire? lanca Alex. puisque c'est comme ça, je vais vous montrez pourquoi on me nomme "le tricoteur">>
Et d'un mouvement aussi fluide que rapide, il leur lanca une aiguille d'une quinzaine de centimètre, en direction du visage.
Yoga se jeta devant Mino pour la protéger, ce qui lui couta une aiguille dans l'omoplate droite, et une autre dans le bras gauche.
<<-Alors? mon surnom vous fais toujours autant rire?
- Espèce d'ordure! lui répondit Mino, qui essayait de gagner du temps pour pouvoir continuer a soigner Yoga
-Je sais, je sais... On me le dit souvent...enfin mes ennemis, mes amis me disent très gentil, quand je le veux.
-J'ai du mal a y croire.
-Tant pis pour vous.>>
et là une pluie d'aiguilles fonça sur les deux amis.
Elle furent instantanément carbonisée par un jet de flamme sortit tout droit de la bouche de Yoga.
Ce dernier ecarquilla les yeux devant ce qu'il venait de faire.
<<-Comment avez vous fais? mes aiguilles étaient empoisonnées, vous n'auriez pas du vous relevez avant ...2 bons mois.
-C'est ca de nous sous-estimer!
-Et bien tant pis alors...je voulais faire durer le plaisir mais vous ne m'en laissez pas le choix...>>
Un millier d'aiguilles vinrent frapper Yoga et Mino, sans qu'ils aient eu le temps de se protéger.
Enfin...c'est ce que cru Alex. En verité les deux compagnons avaient anticipés l'attaque, et avaient bondit assez vite au dessus de la puie d'aiguilles, sans que "le tricoteur" ne les voit.
Ce dernier reçut d'ailleur un coup de point phénomenale, qui l'envoya s'enfoncer dans le sol.
<<-Voyez vous Alex, je n'aime pas dire ça...Mais je dois bien avouez que vous avez bien faillit nous battre. Si vous ne nous aviez pas sous-estimés.
-Bah, la prochaine fois nous verrons bien.
-Je n'attends que ça. lui répondit Yoga
Alex s'était evanoui, tellement le coup de Mino avait été puissant.
-Et bien voilà qui est fait.Mais j'espère que la suite sera moins ardue...
-J'en doute fortement. dit Mino.
-De toute façon nous n'avons pas le choix, nous devons continuer.>>
Et ils repartirent, sans se douter qu'une personne les avait espionné durant tout le combat.
Quand a tomy et benji, ils en étaient à leur quatrième poste de garde, et commençait serieusement à en avoir marre de se labyrinthe qui n'en finissait pas.
Cela faisait presque une heure qu'ils parcouraient les souterrains, lorsqu'ils arrivèrent en face d'une porte immense, gardée par une bonne centaine de gardes, armés jusqu'aux dents, et l'air determinés à les éliminer.
<<-Pffff j'en ai marre de me battre contre eux, ils n'auraient pas quelqu'un de plus...comment dire...interessant?
-J'ai l'impression que non, quel dommage... répondit tomy a benjamin
-et bien allons y alors.
-Ouaip>>
Ils firent un fifty-fifty. une moitié fut enfermée dans une prison de sable, et l'autre fut accrochée au plafond et baillonée, par une toile d'air.
<<- Serieusement ca devient ennuyant...ils ne pourraient pas nous présenter autre chose que des soldats surentrainés armés de sabres? dit ironiquement benjamin
-Je crois que si... lui répondit Tomy, les yeux fixés sur la porte, qui commençait à s'ouvrir de l'autre coté.
-Enfin!Il était temps.
- Ne te réjouis pas trop vite...
-Ne t'inquiète pas mec, je gère.
-...>>
Une femme sortit des ténebres de la porte.Elle était plutot grande, mais n'était pas imposante. Elle était magnifique dans une robe pourpre, avec le cou orné d'un collier de pierres resplendissantes.
Les deux amis étaient comme hypnotisés par cette jeune femme, qui devait avoir leur age, mais qui semblait d'un calme incroyable.
Ils ne reussirent à se détacher de son corps que lorsqu'elle sortit à une vitesse incroyable, deux lames courtes recourbées, qui la rendait encore plus belle.
Elle fit se toucher les lames, et instantanément des eclairs en surgirent.
Tomy et Benjamin n'en croyaient pas leurs yeux...mais qui était-elle?
<<- Je me présente je me nomme marie, on me surnomme "l'ange de la lune", et je suis là pour vous empecher de passer.
Tomy et benjamin avait de nombreux principes, tels que ne jamais frapper une femme. Ils ne savaient plus quoi faire.
Ce fut elle qui décida pour eux, lorsqu'elle lança un eclair sur Benjamin, ce qui eut pour effet de le faire tomber dans les pommes, a l'autre bout du couloir.
Tomy était fou de rage, et lança instantanément une lance de sable durci, en direction de la jeune femme.
Celle ci fut stoppée par un eclair, quasiment instatanément.
Un autre surgit, mais en direction de Tomy cette fois-ci. Mais il était preparé, et parat grace a une muraille de sable.
Leurs defenses etaient inpenétrables, et aucun ne savait comment s'en sortirent.
S'en suivit une serie d'attaques et de contre-attaques inutiles.
Tandis que la salle était peu à peu detruite, Benjamin revenait à lui.il se dit mentalement:
<< heureusement qu'au dernier moment j'ai eu le reflexe de protéger partiellement mon corps avec une couche d'air. Sinon, qui sait ce qui me serait arrivé.>>
Et là il vit le duel devastateur entre tomy et Marie. Il ne savait pas comment l'aider sans le gener. Il eut une idée.
Et elle reussit parfaitement.il créat une bulle d'air reflechissante tout autour de marie. ce qui lui aurait été impossible en temps normal car trop longue a réaliser.
Mais comme elle le croyait evanouit, elle ne fit pas attentiona lui.Grossière erreur.
Elle ne s'en rendit compte que lorsque l'un de ses eclairs lui revint dessus, la paralysant pour une courte durée.
Tomy comprit vite ce qu'il s'etait passé, et se depecha de recouvrir Marie d'une couche de sable, l'empechant de bouger a son reveil. Seule la tête depassait, car il fallait qu'elle respire, et les deux voulaient profiter encore un peu de ce magnifique visage.
Elle était brune, des yeux bleu perçants, le teint mat mais tout en restant clair et un corps aux formes parfaites.
Tomy et benjamin reprirent donc leur chemin, en se rapprochant rapidement du centre du hangar.
Mino et Yoga en firent de même, et ce fut a leur tour de se retrouver face à face avec quelque gardes...pas très longtemps.
Ils se retrouvèrent en même temps dans le hall principal, avec en son centre un trone, soutenant un jeune homme au cheveux blancs argent, musclé comme il faut, une longue veste de cuir pourpre, un pantalon treilli, et de grosses bottes qui devaient peser pas moins de 800 grammes l'une.
A coté de lui se tenait Elsa, indemne, et souriante.
Le jeune homme pris la parole:
<<- Je suis très fier de vous, vous avez reussi a passer mes deux conseillers. et peu de gens peuvent se targuer d'avoir fait de meme.
je me presente, je m'apelle Dante, et je suis l'imperator de jilanor.
-jila-quoi? dit tomy
- Jilanor. lui repondit yoga. c'est un monde parallèle au notre, qui est en guerre civile depuis bientot 20 ans.
-Mais comment peux-tu savoir ca Yoga? lui dit benjamin
-En verité je ne m'apelle pas yoga...mon vrai nom est matthieu, et je suis un des chefs de la section speciale sous les ordres de monsieur Dante.
-...Mais comment est-ce possible? tu m'as pourtant aidé à lutter contre Alex....lui dit Mino
- C'etait mon role, et Alex le savais... En vérité j'étais là pour vous entrainer, et verifier vos capacités. D'ailleurs je dois admettre que je suis très impressionné par vos compétences.
-Tu en a d'autres des comme ça? lacha Tomy, au bord de la crise de nerfs.
-Non je ne crois pas...Ah si, la femme que vous avez rencontrés tout à l'heure... nous sommes fiancés...
-Oups... dit Tomy
-Quoi?
-Euh ben... je crois qu'elle est actuellement emprisonné dans un cercueil de sable...
-Ah merde! Aurais tu l'extreme obligeance de la liberer?
(un court silence)
-C'est fait.
-Merci.
-Bon alors je vais vous expliquer pourquoi mes hommes et moi avons fait tout cela. leur dit l'imperator.
Mon pays est guerre contre un autre pays, et nous sommes proches de la guerre civile.
Et nous avons besoin d'hommes pour mener nos batailles, et redresser notre pays. Seulement peu de gens ont des pouvoirs assez developpés pour pouvoir nous permettre de mener a bien cette mission...
-Donc si j'ai bien compris vous voulez nous enmener dans votre monde afin de vous aider. c'est ca?
-Tout à fait.J'ai d'ailleurs l'intention de faire de vous mes géneraux, car jusqu'à aujourd'hui j'étais le seul a avoir reussi a vaincre mes conseillers...
-Je crois que nous allons y reflechir... Elsa, benji et mino venez avec moi...
-Bon alors comment vous voyez les choses? vous avez l'intention de les aider ou pas? leur murmura tomy
-Pour moi je marche avec eux, lui repondit Elsa
-Pour moi aussi
-Pour moi ca marche aussi.
-Bon et bien pour moi aussi alors.
Nous nous sommes decidés et avons conclus que nous allions vous aider, moyennant une garantie de...
-Protection? demanda Dante
-De combattre dès que nous le souhaitons!
-Celle la je ne l'attendais pas...Et bien puisque c'est ce que vous souhaitez...c'est d'accord.
-Et bien nous sommes partants alors.
-Merci à vous, vraiment.>>
Et ce fut a cet instant que revinrent alex et marie, un grand sourire aux lèvres.
Yoga se rua en direction de marie, et alex vint se poster devant les compagnons:
<<-Je me présente un peu mieux cette fois-ci, je me nomme donc alex, et je suis le conseiller garde du corps de Mr Dante
-enchanté! Moi je me nomme mino, lui c'est notre chef Benjamin, Elle c'est Elsa, et le dernier se nomme Tomy , essentiellement chargé de conseiller benjamin.
-Je crois que nous allons bien nous entendre tous les 5.
-Si vous le dites.
-Vous pouvez me tutoyez vous savez, a présent nous sommes à armes egales.
-D'accord Alex. lui repondit Tomy
-Et voici mon associée Marie, mais comme vous le voyez elle est un peu occupée en ce moment...
-Je vois ca. lui dit Mino, un sourire illuminant son visage.>>
Finalement, Chacun fit la connaissance de Marie, et Dante invoqua une sorte de porte étrange surgit de nulle part.
Il y entra tres rapidement suivit de ses conseillers et de Matt.
Chacun des compagnons croisa le regard des autres...Et tous franchirent la porte en hurlant leur marque de fabrique:
<< Wazaaaahh!!>>
baby_vodka- Nombre de messages : 10
Age : 29
Date d'inscription : 12/06/2010
Re: Another destiny
baby_vodka Dim 13 Juin 2010 - 0:05
Chapitre 4: les liens du sang…toute une histoire.
Tomy et ses compagnons suivirent donc Dante et ses conseillers a travers la porte les enmenant vers un autre monde.
De l'autre coté il y avait un long couloir obscur, et aucune lumière au bout.
Le couloir sembait mesurer plus de 2 kilomètres de long, et 5 ou 6 de large.
Tous étaient très stressés....Mino se rongeait les ongles et ne parlait plus (chose incroyable et très rare), Benjamin faisait blague pourrie sur blague pourrie:
<< eh eh je vous ai deja raconté la blague des crayons dans la prison?
-Non....repondirent tous les autres, blasés.
-En fait ya deux crayons dans une prison et y en a un qui dit a l'autre: hey on s'taille?
Ah Ah Ah elle est pas enorme?!!
-Si benji....trop bien benji....
-Roooh vous avez aucun humour !!
-....>>
Elsa sautillait comme une puce et paraissait la moins stressée, alor qu'en fait elle était vraiment sur les nerfs mais ne voulait pas le montrer.
et Tomy quant a lui, s'amusait a essayer de comprendre comment marchait ses pupilles, en vain....
Cela faisait plusieures heures qu'ils marchaient dans ce couloir, et chacun et avait plus ou moins marre.
Lorsque benjamin, grace a ses pupilles extra-developpées, put voir de la lumière:
<< Ca y est enfin on arrive au bout de cette saleté de tunnel!!
-Tu es sur? ce n'est pas une de tes blagues j'éspère?
-C'est vrai comme verrue de rat Tomy ne t'inquiete pas.
-Enfin...je commençais à en avoir vraiment plein les bottes de se couloir moi...
-Je crois que tu n'es pas le seul ....
-Excusez moi Monsieur Dante mais...
-Apelle moi Dante je te prie, et tutoie moi.
-Okay mons....Dante.
-Voilà très bien.Bon alors que voulais tu me dire?
-J'aurais aimé savoir,pourquoi vous faites vous la guerre dans votre...monde? ou pays je ne sais plus trop comment m'exprimer...
-Oulah...je crois que cette guerre remonte a des siècles en arrière... Elle a commencé du temps de mon arrière arrière arrière grand père.
En ce temps là il y avait alors trois tribus dominatrice:les mayas, les Aztecs, et les bushin.
-Excuse moi de te couper mais... sur notre planète il y a de siècles vivaient aussi les mayas et les Aztecs, comment est-ce possible?
-Tu comprendras plus tard.
Donc ces trois tribus gouvernaient notre monde, sans réelles anicroches. Jusqu'à ce que, dans une province eloignée des aztecs, naisse un enfant...Mais ce nouveau né n'était pas comme les autres, il possédait en lui un démon très puissant, mais maléfique. Les azteques tentèrent de l'éduquer afin qu'il leur permettent de devenir les plus forts, seulement ce n'était pas prévu dans les plans du démon.
Il mit le pays à feu et a sang. beaucoup périrent, d'autres partirent vers votre monde, tandis que les plus forts restèrent afin d'essayer de l'emprisonner. les azteques étaient les plus forts combattans n'ayant jamais existés dans notre monde. Ils ne l'étaient pourtant pas assez, car le démon partit finalement attaquer les mayas. qui partirent aussi vers votre planète.
Afin de sauver leur pays, Tous les combattants les plus forts, partirent soutenirent leur camarades.Presques tous y perdirent la vie.
Lorsque tout semblait perdu, une nouvelle recrue de notre de mon pays, le bushino, fit preuve d'un patriotisme incroyable.
puisque le démon semblait invincible de l'exterieur, il fallait l'attaquer de l'interieur. Et c'est ce que fit le jeune soldat. Il se jeta dans la gueule du démon, et utilisa un sort enfermant son âme à jamais dans les profondeurs de la terre.
alors que mes ancêtres croyaient qu'ils en avaient finis avec le démon, une révolte survint au nord de territoire azteque. Il s'agissait des adorateurs du démon, dirigé par Zamal l'Ancien.
Petit à petit cette secte de fous devint de plus en plus puissante, et reussit meme a prendre le controle du territoire maya, et presque la totalité de celui Azteque.
Maintentant seul nous, les bushins, et quelques survivants mayas, avons la possibilité de nous mesurer a eux.
Certains petits pays sont avec nous, mais trop peu nombreux pour représenter une veritable force.
-Mais, vous avez d'autres soldats que vos conseillers ayant des pouvoirs...spéciaux?
-Bien sur! Mais aucun n'a leur force, ni la votre...Je me dois de vous dire quelque chose...voulez vous connaître vos origines?
-Nos....nos origines?
-Oui... Vous n'êtes pas de votre monde, en verité vous venez du mien.Vous êtes les descendants des plus grandes familles Asteques, et donc les plus puissantes...
-Mais comment se fait-il que nos ancêtres soient venus sur la Terre si ils étaient très puissants? ils auraient trahis leur famille?
-Non bien sur que non! comme vous ils possédaient un honneur et un sens de la famille très important...Ils ont envoyés leurs enfants afin de protéger la lignée...
-ce que vous m'annoncez me trouble, dit Elsa qui n'avait jusque là pas ouvert la bouche,Quel interet aurait eu nos ancêtres a nous envoyés dans notre monde?
-Ils voulaient être sur que si jamais ils devaient echouer face au démon, leurs descendants pourraient prendre le relai.
-Je comprend mieux maintenant.
-Ca y est nous arrivons.>>
Et en effet, ils arrivaient. Ils débouchèrent dans une salle immense, ornée de fresques dorées, d'un sol en nacre brillant, et encadrée de gardes tout vêtus de pourpre,encagoulés, et armés jusqu'aux dents.
Le plus grand vint à leur rencontre, sans pour autant enlever sa cagoule.
En voyant Dante et ses conseillers, il finit par l'enlever, et quelle ne fut pas leur surprise lorsqu'il virent un deuxième Matt!
Il lui ressemblait beaucoup; grand, musclé, mais lui était brun aux yeux bleus, ce qui était assez ettonant.
-je vous présente mon frère jumeau, kash. leur dit le chef de la section spéciale.
-Sans dec' j'aurai pas deviné! lui repondit ironiquement Benjamin.
-Benji mais t'arrete quand?lui dit posément Alex, qui était devenu un bon ami de Benjamin.>>
Seulement Mino n'était pas aussi calme, et donna un très leger coup de poing au bras-droit de Tomy...qui l'envoya quand même valser parmis les gardes, impassibles.
Dante partit fièrement au milieu de ses soldats pourpres, lorsque tous les gardes sortirent leurs armes!
<< Mais que faites vous? seriez vous devenus fous! leur dit Matt
Aucun ne répondit.
-Et toi Kash, explique moi que signifie cette mascarade!
-Je suis desolé frerot....mais les mages de Zalamat le Jeune nous ont ensorcelés. Nous n'avons pas d'autre possibilités que de tuer monsieur Dante.
-Nous n'avons donc pas le choix...dit alex, avec un air très malheureux, nous allons devoir nous défendre...>>
Et là, environ 1 tiers des soldats prit de plein fouet un pluie d'aiguilles meurtrières.Une bonne partie du reste des soldats ne put rien faire contre la foudre lancée par Marie. Et les survivants suivant furent envellopé d'une brume ocre avant de finir trancher comme par des milliers de lames acérées.
Seul restait Kash, en plein combat contre son frère.
Kash manipulait la glace, et lui et son frère était de même puissance. Ce qui donnait un mélange de haute-intensité, et tous regardaient ce combat, ahuris.
Malheureusement Matt s'écroula, pas encore remis de son combat contre Alex.
Kash se rapprocha de lui afin de lui porter le coup de grace.
Marie mourrait d'envie de l'attaquer, et de proteger son fiancé.Mais elle savait que jamais il ne lui pardonnrait et qu'elle ne pourrait plus jamais le regarder dans les yeux.
<>
Mais alors que Kash était a deux pas de Matt, ce dernier rouvrit les yeux immédiatement, et planta un couteau,laché par les gardes,dans le coeur de son frère.
Celui-ci s'écroula par terre, dans les bras de Matt.
<
-Tu auras fais ce que tu as pu...
-On se revoit dans un autre monde frérot...ne t'inquiète pas.............................
-KAAASSSSHHH!!!!!
-Je suis desolée....lui dit sa fiancée
-ce n'est pas ta faute...j'ai juste besoin de temps...
-Je comprend...>>
Et tous repartirent, l'air triste et sans savoir que faire pour leur ami.
Alors qu'ils marchaient dans un long couloir de pierre eclairé par de simples torches murales, une flèche, surgie de nulle-part, vint frapper Dante a la tête...
Enfin c'est ce que tous crurent jusqu'à ce qu'ils voient Dante,la flèche attrapée entre ses dents.
Il la renvoya a une vitesse extraordinaire, et ils entendirent un bruit sourd, comme un corps touchant le sol.
Un bruit surgit du fond du couloir, où les torches etaient eteintes:
<>
C'était un rugissement énorme, provenant surement d'une bête monstrueuse.
Deux enormes yeux rouges apparurent dans l'obscurité du couloir....
Tomy et ses compagnons suivirent donc Dante et ses conseillers a travers la porte les enmenant vers un autre monde.
De l'autre coté il y avait un long couloir obscur, et aucune lumière au bout.
Le couloir sembait mesurer plus de 2 kilomètres de long, et 5 ou 6 de large.
Tous étaient très stressés....Mino se rongeait les ongles et ne parlait plus (chose incroyable et très rare), Benjamin faisait blague pourrie sur blague pourrie:
<< eh eh je vous ai deja raconté la blague des crayons dans la prison?
-Non....repondirent tous les autres, blasés.
-En fait ya deux crayons dans une prison et y en a un qui dit a l'autre: hey on s'taille?
Ah Ah Ah elle est pas enorme?!!
-Si benji....trop bien benji....
-Roooh vous avez aucun humour !!
-....>>
Elsa sautillait comme une puce et paraissait la moins stressée, alor qu'en fait elle était vraiment sur les nerfs mais ne voulait pas le montrer.
et Tomy quant a lui, s'amusait a essayer de comprendre comment marchait ses pupilles, en vain....
Cela faisait plusieures heures qu'ils marchaient dans ce couloir, et chacun et avait plus ou moins marre.
Lorsque benjamin, grace a ses pupilles extra-developpées, put voir de la lumière:
<< Ca y est enfin on arrive au bout de cette saleté de tunnel!!
-Tu es sur? ce n'est pas une de tes blagues j'éspère?
-C'est vrai comme verrue de rat Tomy ne t'inquiete pas.
-Enfin...je commençais à en avoir vraiment plein les bottes de se couloir moi...
-Je crois que tu n'es pas le seul ....
-Excusez moi Monsieur Dante mais...
-Apelle moi Dante je te prie, et tutoie moi.
-Okay mons....Dante.
-Voilà très bien.Bon alors que voulais tu me dire?
-J'aurais aimé savoir,pourquoi vous faites vous la guerre dans votre...monde? ou pays je ne sais plus trop comment m'exprimer...
-Oulah...je crois que cette guerre remonte a des siècles en arrière... Elle a commencé du temps de mon arrière arrière arrière grand père.
En ce temps là il y avait alors trois tribus dominatrice:les mayas, les Aztecs, et les bushin.
-Excuse moi de te couper mais... sur notre planète il y a de siècles vivaient aussi les mayas et les Aztecs, comment est-ce possible?
-Tu comprendras plus tard.
Donc ces trois tribus gouvernaient notre monde, sans réelles anicroches. Jusqu'à ce que, dans une province eloignée des aztecs, naisse un enfant...Mais ce nouveau né n'était pas comme les autres, il possédait en lui un démon très puissant, mais maléfique. Les azteques tentèrent de l'éduquer afin qu'il leur permettent de devenir les plus forts, seulement ce n'était pas prévu dans les plans du démon.
Il mit le pays à feu et a sang. beaucoup périrent, d'autres partirent vers votre monde, tandis que les plus forts restèrent afin d'essayer de l'emprisonner. les azteques étaient les plus forts combattans n'ayant jamais existés dans notre monde. Ils ne l'étaient pourtant pas assez, car le démon partit finalement attaquer les mayas. qui partirent aussi vers votre planète.
Afin de sauver leur pays, Tous les combattants les plus forts, partirent soutenirent leur camarades.Presques tous y perdirent la vie.
Lorsque tout semblait perdu, une nouvelle recrue de notre de mon pays, le bushino, fit preuve d'un patriotisme incroyable.
puisque le démon semblait invincible de l'exterieur, il fallait l'attaquer de l'interieur. Et c'est ce que fit le jeune soldat. Il se jeta dans la gueule du démon, et utilisa un sort enfermant son âme à jamais dans les profondeurs de la terre.
alors que mes ancêtres croyaient qu'ils en avaient finis avec le démon, une révolte survint au nord de territoire azteque. Il s'agissait des adorateurs du démon, dirigé par Zamal l'Ancien.
Petit à petit cette secte de fous devint de plus en plus puissante, et reussit meme a prendre le controle du territoire maya, et presque la totalité de celui Azteque.
Maintentant seul nous, les bushins, et quelques survivants mayas, avons la possibilité de nous mesurer a eux.
Certains petits pays sont avec nous, mais trop peu nombreux pour représenter une veritable force.
-Mais, vous avez d'autres soldats que vos conseillers ayant des pouvoirs...spéciaux?
-Bien sur! Mais aucun n'a leur force, ni la votre...Je me dois de vous dire quelque chose...voulez vous connaître vos origines?
-Nos....nos origines?
-Oui... Vous n'êtes pas de votre monde, en verité vous venez du mien.Vous êtes les descendants des plus grandes familles Asteques, et donc les plus puissantes...
-Mais comment se fait-il que nos ancêtres soient venus sur la Terre si ils étaient très puissants? ils auraient trahis leur famille?
-Non bien sur que non! comme vous ils possédaient un honneur et un sens de la famille très important...Ils ont envoyés leurs enfants afin de protéger la lignée...
-ce que vous m'annoncez me trouble, dit Elsa qui n'avait jusque là pas ouvert la bouche,Quel interet aurait eu nos ancêtres a nous envoyés dans notre monde?
-Ils voulaient être sur que si jamais ils devaient echouer face au démon, leurs descendants pourraient prendre le relai.
-Je comprend mieux maintenant.
-Ca y est nous arrivons.>>
Et en effet, ils arrivaient. Ils débouchèrent dans une salle immense, ornée de fresques dorées, d'un sol en nacre brillant, et encadrée de gardes tout vêtus de pourpre,encagoulés, et armés jusqu'aux dents.
Le plus grand vint à leur rencontre, sans pour autant enlever sa cagoule.
En voyant Dante et ses conseillers, il finit par l'enlever, et quelle ne fut pas leur surprise lorsqu'il virent un deuxième Matt!
Il lui ressemblait beaucoup; grand, musclé, mais lui était brun aux yeux bleus, ce qui était assez ettonant.
-je vous présente mon frère jumeau, kash. leur dit le chef de la section spéciale.
-Sans dec' j'aurai pas deviné! lui repondit ironiquement Benjamin.
-Benji mais t'arrete quand?lui dit posément Alex, qui était devenu un bon ami de Benjamin.>>
Seulement Mino n'était pas aussi calme, et donna un très leger coup de poing au bras-droit de Tomy...qui l'envoya quand même valser parmis les gardes, impassibles.
Dante partit fièrement au milieu de ses soldats pourpres, lorsque tous les gardes sortirent leurs armes!
<< Mais que faites vous? seriez vous devenus fous! leur dit Matt
Aucun ne répondit.
-Et toi Kash, explique moi que signifie cette mascarade!
-Je suis desolé frerot....mais les mages de Zalamat le Jeune nous ont ensorcelés. Nous n'avons pas d'autre possibilités que de tuer monsieur Dante.
-Nous n'avons donc pas le choix...dit alex, avec un air très malheureux, nous allons devoir nous défendre...>>
Et là, environ 1 tiers des soldats prit de plein fouet un pluie d'aiguilles meurtrières.Une bonne partie du reste des soldats ne put rien faire contre la foudre lancée par Marie. Et les survivants suivant furent envellopé d'une brume ocre avant de finir trancher comme par des milliers de lames acérées.
Seul restait Kash, en plein combat contre son frère.
Kash manipulait la glace, et lui et son frère était de même puissance. Ce qui donnait un mélange de haute-intensité, et tous regardaient ce combat, ahuris.
Malheureusement Matt s'écroula, pas encore remis de son combat contre Alex.
Kash se rapprocha de lui afin de lui porter le coup de grace.
Marie mourrait d'envie de l'attaquer, et de proteger son fiancé.Mais elle savait que jamais il ne lui pardonnrait et qu'elle ne pourrait plus jamais le regarder dans les yeux.
<
Mais alors que Kash était a deux pas de Matt, ce dernier rouvrit les yeux immédiatement, et planta un couteau,laché par les gardes,dans le coeur de son frère.
Celui-ci s'écroula par terre, dans les bras de Matt.
<
-Tu auras fais ce que tu as pu...
-On se revoit dans un autre monde frérot...ne t'inquiète pas.............................
-KAAASSSSHHH!!!!!
-Je suis desolée....lui dit sa fiancée
-ce n'est pas ta faute...j'ai juste besoin de temps...
-Je comprend...>>
Et tous repartirent, l'air triste et sans savoir que faire pour leur ami.
Alors qu'ils marchaient dans un long couloir de pierre eclairé par de simples torches murales, une flèche, surgie de nulle-part, vint frapper Dante a la tête...
Enfin c'est ce que tous crurent jusqu'à ce qu'ils voient Dante,la flèche attrapée entre ses dents.
Il la renvoya a une vitesse extraordinaire, et ils entendirent un bruit sourd, comme un corps touchant le sol.
Un bruit surgit du fond du couloir, où les torches etaient eteintes:
<
C'était un rugissement énorme, provenant surement d'une bête monstrueuse.
Deux enormes yeux rouges apparurent dans l'obscurité du couloir....
baby_vodka- Nombre de messages : 10
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Date d'inscription : 12/06/2010
Re: Another destiny
baby_vodka Dim 13 Juin 2010 - 0:06
Chapitre 5:une démonstration de force.
Tous étaient pétrifiés, ils ne savaient pas ce qu’étaient ces yeux rouges, mais ils voyaient qu’ils étaient hauts, très haut.
D’un coup une bourrasque violente traversa le couloir, éteignant d’un seul coup toutes les torches.
Matt réagit immédiatement et invoqua une boule de feu dans ca main. Les yeux pleins de larmes.
Le couloir devait faire environ 5 mètres de large sur 8 de haut.
Et la bête l’obstruait presque totalement! Il s’agissait d’une sorte de chien loup noir, énorme, avec trois têtes. Tomy et ses compagnons n’osaient bouger, de peur de provoquer la colère du chien.
Ceci n’empêcha pas le monstre de bondir à une vitesse fulgurante sur Dante, la gueule ouverte…
Afin de le lécher. Benjamin paraissait devenu idiot, Tomy essayait de comprendre, Elsa était accrochée au bras de ce dernier, et Mino était tombée dans les pommes.
Après avoir réveillée cette dernière et tenté de faire « revivre » Benjamin…en vain…Tomy demanda des explications a l’Imperator:
« Qu’Est-ce que tout cela signifie? Et surtout qu’Est-ce que ce …monstre fait à vos pieds?
-Ce monstre comme tu l’appelles n’est autre que le gardien de la prison du palais.
Et mon animal de compagnie personnel. AH oui et une dernière chose…Tutoie moi!
-Excusez…excuse moi Dante. Je ne cherche pas à me justifier, mais vois tu dans notre monde ce chien n’est autre que le gardien des Enfers, et ce n’est pas vraiment pour nous donner envie d’y aller.
-Oui oui je connais l’histoire de Cerbère, car vois-tu, certains de nos ennemis que l’on avaient emprisonnés on réussit à s’échapper. Pour ensuite fuir vers votre monde, et parler de Cerbère comme d’un monstre, car c’Est-ce qu’il était pour eux.
-Ca change tout maintenant… Bon et bien continuons alors non?
-Et votre ami, Benjamin? Il à l’air complètement perdu, je dirais même plus: complètement idiot.
-Bah ca ne change pas vraiment de d’habitude en fait. Dit Alex avec un grand sourire satisfait aux lèvres. »
Une demi-seconde plus tard après avoir prononcé ces paroles il se prit un poing d’air dans les cotes, et fut projeté au loin, a l’autre bout du couloir.
« Je ne supporte pas que l’on me traite d’idiot….. répliqua Benjamin apparement revenu à lui.
-Bah encore un point commun que nous avons tous les deux. Lui dit Alex.
-Cool. Bon et bien maintenant nous pouvons y aller alors.
-Allons y. Leur répondit Dante. »
Après avoir traversé de longs couloirs tous plus biscornus les un que les autres, des croisements à la pelle, et de nombreuses portes, Mino et Benjamin jurèrent que jamais ils ne seraient capables de se retrouver dans ce labyrinthe. Car ils avaient un sens de l’orientation des plus aléatoires.
Ils arrivèrent finalement à une immense pièce, éclairée par de grands lustres en diamant, au bout de laquelle se trouvait un Trône tout en or, avec seulement le siège recouvert d’un velours pourpre.
La salle était gardée par des gardes en armure immenses, pourpres eux aussi.
Les gardes étaient pour ainsi dire des colosses tout ce qu’il y a de plus effrayants, de par leur physique et par leurs armes, mais ce qui était étonnant, c’est que tous devaient avoir entre 15 et 17 ans. Comme presque tout les monde depuis qu’ils étaient arrivés.
Certains étaient armés de Claymores gigantesques, d’autres de haches tellement imposantes qu’elles semblaient capables de trancher un éléphant en deux, et d’autres encore de hallebardes fines, mais qui semblaient assez aiguisées pour pouvoir trancher n'importe que matériau. Tous avaient aussi des dagues d’argent, et des épées taillées dans un métal étrange. Benjamin que ces armes intéressaient beaucoup posa la question le premier:
« Excuse moi Dante mais…quel est cet étrange métal qui compose leurs épées?
-Il s’agit du métal divin, qui ne se trouve qu’à un seul endroit au monde, dans une mine secrète un peu plus au sud.
-Le métal…divin… Mais qu’a-t-il de spécial ce métal?
-Une arme taillée dans ce métal est incassable, ne rouille pas, et reste toujours aiguisée.
Mon épée est taillée dans ce métal.
-Pourtant elle ne ressemble à aucune d’entre elles…
-C’est normal, chaque arme taillée dans ce métal change en fonction des pouvoirs de son possesseur.
Ces soldats qui forment ma garde personnelle sont tous des maîtres de la Terre, car c’est la meilleure défense.
-Et vous, quel est votre….domaine, si je puis me permettre?
-Tu le peux je suis comme qui dirait, un maître dans l’art de…l’obscurité.
-Combattre le mal par le mal…dit Alex, pour le plaisir de faire l’intéressant.
-Et bien tant qu’il est utilisé pour faire le bien, je n’y vois pas d’inconvénient.
Juste encore une dernière chose, croyez vous qu’il serait possible de… me tailler une arme dans ce métal?
-Je crois que ce n’est pas une bonne idée….car cette arme se taille elle-même dans ce métal, mais pour cela il faut passer une épreuve…
-Quelle genre d’épreuve?
-Justement c’est là qu’est le problème, c’est ton arme qui décide de l’épreuve. Et beaucoup de ceux qui on essayés n’en sont jamais revenus, ou bien fous alors.
-Peu m’importe, je sais que j’y arriverait, et je ferais tout pour réussir.
-Je ne peux pas te retenir contre ton gré, mais je te demande d’être très prudent, car le chemin jusqu’à la mine est souvent victime des patrouilles ennemies.
-Et bien qu’ils essayent de me toucher pour voir!
-Ne les sous-estimes pas, les sbires de Zamar peuvent être très puissants.
-Je verrai bien. Et puis une vie sans risques ne vaut pas la peine d’être vécue.
-Et bien puisque tu est décidé à partir, je vais te faire accompagner par un guide de confiance, qui pourra t’être très utile durant le chemin.
-Mais je peux me débrouiller seu…
-Ecoute moi, sans lui tu serais perdu au bout de 15 minutes. Alors écoute le.
-D’accord…si c’Est-ce que tu veux….
-Merci!
Bon et bien je vous propose d’aller nous coucher, et demain nous préparerons le départ de notre ami. »
Et il repartit, suivit de ses conseillers et de quelques membres de sa garde rapprochée, les autres soldats restèrent a garder la salle.
Un homme tout vêtu de noir vint parler a nos ami:
« Bonjour je me nomme Zeddicus mais vous pouvez m’appeler Zed.
Je suis le majordome du palais, et je vais vous conduire a vos chambres si vous le voulez bien.
-euh…en fait j’aimerais bien manger moi. Dit Benjamin, visiblement destiné a être le centre d’attention.
-Si cela vous fait plaisir, je vous y emmènerait tout de suite après avoir conduit vos compagnons a leur chambres.
-Nickel Michel!
-Quoi?
-Long soupir des amis de Benjamin
-Oups pardon je voulais dire, très bien merci.
-Mais ce n’est rien je suis là pour ca après tout. »
Ils finirent par arriver dans leurs chambres, et, dès que Benji et Zed furent partis, Tomy quitta sa chambre pour se glisser discrètement dans celle d’Elsa…
Environ une heure plus tard, un bon steak d’une viande qu’il ne connaissait pas et environ un demi kilos de pommes terre avalées, Benjamin rentra dans sa chambre bruyamment et s’affala sur le lit encore tout habillé, avant de s’endormir comme une masse.
Le lendemain matin, tous se réveillèrent vers midi, après une bonne nuit de sommeil.
Enfin tous …. Pas vraiment, manquait Benjamin que même des tartes dans la figure n’arrivaient pas a réveiller.
Donc tous les gens réveillés se retrouvaient dans la chambre de Benji, ne sachant plus quoi faire:
« Non mais sérieusement il le fait exprès ou quoi? Râla Tomy
-Et bien Benji la grosse larve est de retour. Dit Matt, qui venait d’arriver accompagné de Marie.
-Mais comment est-il possible de dormir autant?
-Bah ne te plains pas quand il ne dort pas il râle ou il fait chier tout le monde.
-C’est pas faux…
-Euh en fait j’étais venu vous dire que nous étions invités à la table de l’Imperator ce midi.
-Nous avons combien de temps avant de devoir y être? Demandèrent Mino et Elsa en même temps, car pas encore préparées…
-Je dirais…Que nous devrions déjà y être.
-Quoi? Mais c’est quoi cette histoire?
-Disons que Marie et moi n’avons….pas vu le temps passer… dit il faisant, très subtilement, rougir Marie.
-Sérieux les mecs vous êtes lourds…
-Mais Marie y est pour quelque chose aussi!!
-Je suis sur que tu l’a forcée, quelle personne censé irait avec toi? Lui dit Mino; qui savait parfaitement où frapper.
-Si tu n’avais pas été une fille je crois que je t’aurait collé un pain.
-C’est bête d’être un mec hein?
-Bah tu m’énerve! Dit Matt en tournant les talons et en les laissant derrière lui.
-Qu’il est susceptible. Dit Mino en riant. Alors comme ca tu as….?
-Je vous déteste… dit Marie en partant elle aussi, les laissant a nouveau seuls avec « la larve ».
-Nous ferions bien de nous dépêcher, il serait mal vu de faire attendre notre hôte.
-Ah oui c’est vrai j’ai faillit l’oublier lui. Dit Elsa. Et bien dépêchons nous parce que j’ai faim moi, et j’espère qu’il y aura de la viande.
-VIANDE? QUELQU’UN A DIT VIANDE? Dit Benjamin en se réveillant d’un coup
-Exaspérant…..soupira Tomy
-Nous n’allons pas faire attendre Dante alors, puisque je suppose que c’est a sa table que nous sommes invités. Allez allons-y. Et la Benji partit comme une flèche, sans attendre les autres.
-Juste pour savoir…vous croyez qu’il sait où aller? Demanda Elsa
-Non….quel clanpin sérieux… dit mino, blasée.
-Bah tant pis pour lui…bon allez dépêchons nous.
-Ouais. »
Et ils partirent donc, arrivèrent à la table où benjamin n’était pas présent, s’excusèrent de leur retard, et mangèrent.
Dante parla des préparatifs pour la suite des événements :
« Bon et bien je vais maintenant devoir vous expliquer comment vont se dérouler la majeure partie de vos journée.
Tous les matins vous donnerez des cours aux enfant ayant un pouvoir assez puissant qui pourrait nous être utile, et l’après-midi vous vous occuperez de la formation de l’armée.
Chacun de vous aura sous ses ordres 1500 soldats, repartis en 3 sous parties, les firemen, les watermen, et les plus importants: les stonemen.
Ensuite a vous de voir comment vous vous chargerez des officiers, avec la puissance, le respect, ou l’expérience.
Sachez que vous êtes six généraux dans mon armée, vous ainsi que mes conseillers.
La seule personne qui a le droit de vous donner des ordres c’est moi, mais si jamais vous êtes en désaccord avec moi vous avez le droit de m’en parler sans craindre de représailles.
-Quoi?! Mais nous n'avons aucune experience en la matière comment voulez vous que l'on s'occupe d'autant de personne?demanda Elsa.
-Vous verrez vous-mêmes. répondit enigmatiquement Dante.
-Mais juste une question, pourquoi n’y a-t-il personne d’autre dans l’armée ayant des capacités telles que l’air, l’hypnose, ou bien le sable? Demanda Tomy
-Ces capacités sont très rares, et les seuls personnes qui les possèdent ont disparus depuis de nombreuses années de peur d’être la cible de Zamar…
-J’ai juste une dernière question qui me trotte dans la tête , pourquoi tout le monde ici a entre 8 et 17 ans? Je n’ai presque pas vu de personnes âgées ici…
-C’est normal …. Lui répondit Dante, Tous ou presque ont étés tués à cause de cette terrible guerre.
Les rares adultes que vous verrez ici sont des personnes très importantes pour nous, car ils sont au courant de choses que nous n’avons pas vu, et qui pourraient nous aider.
Mais une fois encore certains sont partis se cacher et nous n’avons plus de nouvelles.
-Désolé…. Je ne savais pas que cette guerre était si terrible….dit Mino
-Les guerres sont toujours terribles mon enfant… quel que soit le nombre de morts… lui dit Zed qui arrivait derrière elle.
Tout le monde a part Dante et ses conseillers sursauta, car ils ne l’avaient pas vu arriver.
-Désolé de vous avoir effrayés je ne voulais pas…
-Ce n’est rien ca arrive a tout le monde…Dit Elsa, encore touchée par ce qu’il venait de dire.
-Bon et bien si nous parlions d’autre chose que des malheurs qui s’abattent sur notre pays, que diriez vous de visiter le parc du palais?
-Très bonne idée ca nous permettra en même temps de nous dégourdir les jambes.
-Et bien suivez moi alors…Attendez! Où est passé votre ami un peu bruyant et qui mange comme quatre?
-Et bien justement…
Et la un grand vacarme encombra a pièce, il s’agissait de Benjamin qui pestais parce qu’il avait faim et que personne n’était fichu de lui dire où il fallait aller
-Ah bah tiens le voilà qui arrive…dit Tomy, complètement démoralisé car son meilleur ami et chef se comportait dans un palais comme dans son appartement….
-Nous allons peut-être le laisser manger un peu parce que je crains que sinon il nous parle de ca toute la journée…dit Mino
-Tu as raison laissons le manger tranquillement… »
Et en l’occurrence pour manger il mangea, la table fut entièrement vidée de tout ce qui pouvait être mangé, et il en réclamait encore. Finalement ce fut Alex qui arriva en traître derrière lui et qui planta une aiguille dans son cou qui possédait un produit arrêtant la sensation de faim.
Benjamin râla car il avait mal a la nuque, mais suivit quand même ses compagnons.
Ils marchaient depuis environ une heure dans un parc immense, où les oiseaux chantaient, où les arbres regorgeaient de fruits, et où des étangs croisaient des lacs.
Dante murmura à l’oreille de Benjamin:
« suis moi je vais t’emmener vers le guide qui te conduira vers la grotte demain.
-Mais et les autres?
-Ils sont absorbés par ce qu’ils voient ici, ils ne remarqueront même pas notre absence.
-Ah oui tu as raison. »
Et il le suivit, jusqu’à arriver vers un grand bâtiment, d’où sortaient des cris assez étranges…Et effectivement personne ne remarqua leur soudaine disparition.
« Mais où sommes nous là?
-Nous sommes dans le camp d’entrainement numéro 501, l’élite de nos soldats en proviens, et c’est toi qui en aura la charge à ton retour.
-Merci mais pourquoi moi? Tomy par exemple est beaucoup plus sérieux que moi.
-Oui peut-être, mais tu m’as l’air plus solitaire que lui, et diriger des soldats incompétents risquerait de t’énerver. Et puis tu m’as l’air bien plus doué pour ce qui est de la stratégie militaire que lui.
-Merci de cette confiance Dante.
-Mais ce n’est rien. Bon allez entrons ne perdons pas plus de temps. »
Ils pénètrent dans un grand hall, où des dizaines de soldats en armures s’entrainaient, à la hache, à l’épée, ou encore à la lance.
Tout au bout de la salle il y avait un grand comptoir, ou sirotaient les soldats.
Un soldats d’environ 18 ans vint leur parler:
-Maitre Dante que puis-je pour vous?
-Du calme Caporal T, je te présente ton futur général, Benjamin.
-Bonjour général.
-Bon-Bonjour…..T?
-Ah oui j’ai oublié de te prévenir, un soldat n’a pas le droit de te dévoiler son vrai nom si tu n’es pas son supérieur ou tout du moins de son unité. Lui dit l’imperator.
-Ah d’accord je comprend mieux, bon et bien la prochaine fois que l’on se revoit je connaitrai ton nom alors.
-Bien sur mon futur général. Mais au fait que voulez vous messires?
-Je voudrais parler Au capitaine S.
-Quoi? Vous voulez dire que vous voulez laisser notre futur général avec le capitaine? Et qui plus est les envoyer a la grotte?
-Tout à fait caporal, vous avez tout compris.
-Bon et bien je vais vous le chercher… »
Benjamin n’osait plus dire un mot, tellement il était anxieux a l’idée de savoir qui était ce capitaine qui semblait faire presque peur au caporal.
Lorsque celui-ci arriva Benjamin sentit ses jambes flancher.
Le capitaine était plutôt LA capitaine. Elle était fine, brune, les yeux de la même couleur, et paraissait avoir un caractère plutôt bien trempé. Elle prit la parole la première:
-Bonjour Maitre Dante, que me voulez vous? Et qui c’est lui? Dit elle en montrant Benjamin d’un geste nonchalant de la main.
-Lui n’est autre que votre futur général Capitaine, c’est pourquoi vous lui devez un peu de respect.
-Bah moi vous savez tant qu’il n’est pas général il n’ est rien pour moi. Donc aucune raison d’être gentille avec lui. »
Derrière elle tous les soldats haussèrent les épaules et eurent un regard désolé pour le pauvre Benjamin qui ne savait pas trop comment s’y prendre.
« Capitaine cessez ce petit jeu tout de suite!
-D’accord Monsieur…
-Bon et bien voilà comme tu t’en doute j’aimerais que tu l’emmène à la grotte, car il veut pouvoir faire ses preuves.
-Et bien nous verrons bien si il y arrivera.
-Veillez à ce qu’il ne manque de rien, il doit survivre. Tout du moins pendant le voyage.
-Ne vous inquiétez pas messire, mais je ne pourrais rien pour lui une fois qu’il sera entré dans cette caverne…
-Je sais mais j’ai confiance en lui.
-Si cela vous fait plaisir… Bon et bien moi je ne veux pas dire que je dois y aller mais je dois y aller. Alors a demain et bonne soirée messire.
-Vous aussi capitaine…lui répondit Dante, l’air dépité. »
Benjamin avait assisté à cet échange sans dire un mot, tellement il trouvait cette fille parfaite.
Dante lui dit:
« Bon je te laisse ici histoire que tu fasses connaissance avec tes futurs soldats.
-Quoi? Mais? »
Et là Dante disparut.
Benji avança donc vers les soldats, bien déterminé a leur montrer qui il était.
Il fit très rapidement connaissance avec deux nouveaux soldats très prometteurs, et un officier qui apparemment ne l’aimait pas, le caporal G.
Ce fut le seul à ne pas l’accepter a part entière, et alors que Benjamin allait partir, il dit à ses camarades assis au bar « Je ne pourrais jamais servir sous les ordres d’une lopette pareille moi…j’ai un honneur a défendre moi. »
Le futur général avait fait son possible pour se contrôler, mais là c’était trop, en plus de l’insulter lui il insultait les autres soldats en disant qu’ils n’avaient aucun honneur.
Certains approchèrent de lui, l’air menaçant, mais n’osait pas trop s’approcher quand même.
Benji les arrêta dans leur élan:
« Laissez tomber…Il veut se battre, il se battra, mais pas contre vous. Contre moi, je ne veux pas risquer que trop de soldats soient blessés.
-Mais il est très fort mon seigneur, trop fort même. Lui dit un des soldats.
-Je me doute bien , on arrive pas caporal comme ça….mais vous verrez, être général c’est autre chose.
-Je n’attend que ça, lui dit Le caporal un sourire narquois aux lèvres. »
Et il se leva de sa chaise. Il devait faire environ 1mètre 80 et 80 kilos.
Il était blond aux yeux bleus, avaient les cheveux longs en queue de cheval comme tous les soldat.
Il ne possédait aucune arme sur lui.
Il se rapprocha de Benjamin, et ne s’arrêta que quelques mètres devant lui.
Tous les autres soldats se mirent en cercle autour des deux combattants.
Certains hurlèrent que Le caporal avait une armure et pas Benjamin, que ca n’était pas normal.
Ce dernier dit que ca n’était rien, et dès que l’ambiance se fut stabilisée, le combat commença.
Benjamin voulait voir comment se battrait le caporal, et resta donc en position défensive.
G attaqua avec une pluie de lance de pierres, que Benjamin évita facilement, habitué a éviter les aiguilles beaucoup plus rapides d’Alex.
Plus le caporal s’énervait, plus Benjamin avait du mal a éviter.
Les lances de pierres devinrent des rochers, puis de minuscules pierres capables de transpercer un bloc de béton tellement elles allaient vites.
Benjamin qui commençait à s’épuiser a force de courir partout, décida de mettre fin a ce petit jeu, et envoya un poing d’air au caporal . Ce qui eu pour effet de l’envoyer valdinguer un peu pus loin dans la salle. Le cercle de spectateur se déplaça, Impressionné par son futur chef.
Seulement il se passa un truc que Benjamin n’avait pas prévu, un dragon d’eau sortit de la bouche du caporal et l’encercla totalement, l’empêchant de voir ce qui se passait a l’extérieur. Apparement le caporal était capable de maîtriser deux formes de pouvoir.
Il invoqua une barrière d’air autour de lui afin de pouvoir se protéger des attaques qu’il ne voyait pas.
Elles ne tardèrent pas à arriver, rochers, lances, pierres minuscules…. Tout ceci tournoyait autour de lui, épuisant sa barrière. C’en était trop. Benjamin fit une chose qu’il n’avait jamais faite jusqu’à ce jour, il lâcha totalement son énergie. Ce fut un massacre.la pièce fut dévastée, les environs aussi, mais il avait réussi a empêcher la destruction des soldats. Seul le caporal G avait été touché par la vague d’air, et gisait un peu plus loin, complètement éberlué par la puissance de cette dernière attaque.
Benjamin fut acclamé par ses soldats, et Le caporal revint, honteux.
Il arriva devant son futur chef….et s’agenouilla!
Il lui dit:
« Excusez moi pour ce que j’ai fait mon général, je vous croyais incompétent car vous n’aviez pas le physique d’un bon soldat. Mais j’avais tort, je suis heureux de pouvoirs servir sous vos ordres.
Je m’apelle Gamma. Je sais que je ne devrai pas vous le dire mais vous m’avez vaincu, vous êtes donc mon superieur à mes yeux.
-Merci Gamma pour ce combat, sache que tu es un très bons soldat, et que je serai fier de t’avoir a mes cotés lorsque j’en aurai besoin.
-Merci mon seigneur.
Ah oui au fait, vous plaisez beaucoup au capitaine S.
-Ah bon? Vous êtes sur?
-Je ne l’ai jamais vu aussi dure avec quelqu’un d’autre…Vous lui plaisez beaucoup je crois.
-Et bien merci, j’en tiendrai compte.
-J’espere vous revoir bientôt.
-Pas autant que moi. »
Et il repartit à travers les décombres, heureux d’avoir montrer ce qu’il valait devant ses hommes.
Il ne raconta pas l’histoire a ses amis, mais Dante le regarda l’œil malicieux lorsqu’ils se retrouvèrent a table.
Le diner terminé, tous allèrent se coucher, car le lendemain serait une grande journée.
Des les premières lueurs de l’aube ils furent reveillés, et une heure après Benjamin fut prêt à partir.
Ils se retrouvèrent tous devant la grille du château, Benjamin leur fit ses adieux, et partit avec le capitaine, en commençant déjà a s’engueuler avec elle.
« Vous croyez qu’il y arrivera? Demanda Elsa, inquiète
-Bah vous le connaissez, il est capable de faire des trucs incroyables….Quand il en a envie…
-C’est bien vrai.
-Et si nous retournions nous coucher? Demanda Tomy, parce que maintenant que benji est parti… »
Et à Elsa et Mino lui envoyèrent une grosse claque dans la figure, de peur qu’il ne devienne comme Benjamin.
Un seuls c’est super…deux c’est trop!
Tous étaient pétrifiés, ils ne savaient pas ce qu’étaient ces yeux rouges, mais ils voyaient qu’ils étaient hauts, très haut.
D’un coup une bourrasque violente traversa le couloir, éteignant d’un seul coup toutes les torches.
Matt réagit immédiatement et invoqua une boule de feu dans ca main. Les yeux pleins de larmes.
Le couloir devait faire environ 5 mètres de large sur 8 de haut.
Et la bête l’obstruait presque totalement! Il s’agissait d’une sorte de chien loup noir, énorme, avec trois têtes. Tomy et ses compagnons n’osaient bouger, de peur de provoquer la colère du chien.
Ceci n’empêcha pas le monstre de bondir à une vitesse fulgurante sur Dante, la gueule ouverte…
Afin de le lécher. Benjamin paraissait devenu idiot, Tomy essayait de comprendre, Elsa était accrochée au bras de ce dernier, et Mino était tombée dans les pommes.
Après avoir réveillée cette dernière et tenté de faire « revivre » Benjamin…en vain…Tomy demanda des explications a l’Imperator:
« Qu’Est-ce que tout cela signifie? Et surtout qu’Est-ce que ce …monstre fait à vos pieds?
-Ce monstre comme tu l’appelles n’est autre que le gardien de la prison du palais.
Et mon animal de compagnie personnel. AH oui et une dernière chose…Tutoie moi!
-Excusez…excuse moi Dante. Je ne cherche pas à me justifier, mais vois tu dans notre monde ce chien n’est autre que le gardien des Enfers, et ce n’est pas vraiment pour nous donner envie d’y aller.
-Oui oui je connais l’histoire de Cerbère, car vois-tu, certains de nos ennemis que l’on avaient emprisonnés on réussit à s’échapper. Pour ensuite fuir vers votre monde, et parler de Cerbère comme d’un monstre, car c’Est-ce qu’il était pour eux.
-Ca change tout maintenant… Bon et bien continuons alors non?
-Et votre ami, Benjamin? Il à l’air complètement perdu, je dirais même plus: complètement idiot.
-Bah ca ne change pas vraiment de d’habitude en fait. Dit Alex avec un grand sourire satisfait aux lèvres. »
Une demi-seconde plus tard après avoir prononcé ces paroles il se prit un poing d’air dans les cotes, et fut projeté au loin, a l’autre bout du couloir.
« Je ne supporte pas que l’on me traite d’idiot….. répliqua Benjamin apparement revenu à lui.
-Bah encore un point commun que nous avons tous les deux. Lui dit Alex.
-Cool. Bon et bien maintenant nous pouvons y aller alors.
-Allons y. Leur répondit Dante. »
Après avoir traversé de longs couloirs tous plus biscornus les un que les autres, des croisements à la pelle, et de nombreuses portes, Mino et Benjamin jurèrent que jamais ils ne seraient capables de se retrouver dans ce labyrinthe. Car ils avaient un sens de l’orientation des plus aléatoires.
Ils arrivèrent finalement à une immense pièce, éclairée par de grands lustres en diamant, au bout de laquelle se trouvait un Trône tout en or, avec seulement le siège recouvert d’un velours pourpre.
La salle était gardée par des gardes en armure immenses, pourpres eux aussi.
Les gardes étaient pour ainsi dire des colosses tout ce qu’il y a de plus effrayants, de par leur physique et par leurs armes, mais ce qui était étonnant, c’est que tous devaient avoir entre 15 et 17 ans. Comme presque tout les monde depuis qu’ils étaient arrivés.
Certains étaient armés de Claymores gigantesques, d’autres de haches tellement imposantes qu’elles semblaient capables de trancher un éléphant en deux, et d’autres encore de hallebardes fines, mais qui semblaient assez aiguisées pour pouvoir trancher n'importe que matériau. Tous avaient aussi des dagues d’argent, et des épées taillées dans un métal étrange. Benjamin que ces armes intéressaient beaucoup posa la question le premier:
« Excuse moi Dante mais…quel est cet étrange métal qui compose leurs épées?
-Il s’agit du métal divin, qui ne se trouve qu’à un seul endroit au monde, dans une mine secrète un peu plus au sud.
-Le métal…divin… Mais qu’a-t-il de spécial ce métal?
-Une arme taillée dans ce métal est incassable, ne rouille pas, et reste toujours aiguisée.
Mon épée est taillée dans ce métal.
-Pourtant elle ne ressemble à aucune d’entre elles…
-C’est normal, chaque arme taillée dans ce métal change en fonction des pouvoirs de son possesseur.
Ces soldats qui forment ma garde personnelle sont tous des maîtres de la Terre, car c’est la meilleure défense.
-Et vous, quel est votre….domaine, si je puis me permettre?
-Tu le peux je suis comme qui dirait, un maître dans l’art de…l’obscurité.
-Combattre le mal par le mal…dit Alex, pour le plaisir de faire l’intéressant.
-Et bien tant qu’il est utilisé pour faire le bien, je n’y vois pas d’inconvénient.
Juste encore une dernière chose, croyez vous qu’il serait possible de… me tailler une arme dans ce métal?
-Je crois que ce n’est pas une bonne idée….car cette arme se taille elle-même dans ce métal, mais pour cela il faut passer une épreuve…
-Quelle genre d’épreuve?
-Justement c’est là qu’est le problème, c’est ton arme qui décide de l’épreuve. Et beaucoup de ceux qui on essayés n’en sont jamais revenus, ou bien fous alors.
-Peu m’importe, je sais que j’y arriverait, et je ferais tout pour réussir.
-Je ne peux pas te retenir contre ton gré, mais je te demande d’être très prudent, car le chemin jusqu’à la mine est souvent victime des patrouilles ennemies.
-Et bien qu’ils essayent de me toucher pour voir!
-Ne les sous-estimes pas, les sbires de Zamar peuvent être très puissants.
-Je verrai bien. Et puis une vie sans risques ne vaut pas la peine d’être vécue.
-Et bien puisque tu est décidé à partir, je vais te faire accompagner par un guide de confiance, qui pourra t’être très utile durant le chemin.
-Mais je peux me débrouiller seu…
-Ecoute moi, sans lui tu serais perdu au bout de 15 minutes. Alors écoute le.
-D’accord…si c’Est-ce que tu veux….
-Merci!
Bon et bien je vous propose d’aller nous coucher, et demain nous préparerons le départ de notre ami. »
Et il repartit, suivit de ses conseillers et de quelques membres de sa garde rapprochée, les autres soldats restèrent a garder la salle.
Un homme tout vêtu de noir vint parler a nos ami:
« Bonjour je me nomme Zeddicus mais vous pouvez m’appeler Zed.
Je suis le majordome du palais, et je vais vous conduire a vos chambres si vous le voulez bien.
-euh…en fait j’aimerais bien manger moi. Dit Benjamin, visiblement destiné a être le centre d’attention.
-Si cela vous fait plaisir, je vous y emmènerait tout de suite après avoir conduit vos compagnons a leur chambres.
-Nickel Michel!
-Quoi?
-Long soupir des amis de Benjamin
-Oups pardon je voulais dire, très bien merci.
-Mais ce n’est rien je suis là pour ca après tout. »
Ils finirent par arriver dans leurs chambres, et, dès que Benji et Zed furent partis, Tomy quitta sa chambre pour se glisser discrètement dans celle d’Elsa…
Environ une heure plus tard, un bon steak d’une viande qu’il ne connaissait pas et environ un demi kilos de pommes terre avalées, Benjamin rentra dans sa chambre bruyamment et s’affala sur le lit encore tout habillé, avant de s’endormir comme une masse.
Le lendemain matin, tous se réveillèrent vers midi, après une bonne nuit de sommeil.
Enfin tous …. Pas vraiment, manquait Benjamin que même des tartes dans la figure n’arrivaient pas a réveiller.
Donc tous les gens réveillés se retrouvaient dans la chambre de Benji, ne sachant plus quoi faire:
« Non mais sérieusement il le fait exprès ou quoi? Râla Tomy
-Et bien Benji la grosse larve est de retour. Dit Matt, qui venait d’arriver accompagné de Marie.
-Mais comment est-il possible de dormir autant?
-Bah ne te plains pas quand il ne dort pas il râle ou il fait chier tout le monde.
-C’est pas faux…
-Euh en fait j’étais venu vous dire que nous étions invités à la table de l’Imperator ce midi.
-Nous avons combien de temps avant de devoir y être? Demandèrent Mino et Elsa en même temps, car pas encore préparées…
-Je dirais…Que nous devrions déjà y être.
-Quoi? Mais c’est quoi cette histoire?
-Disons que Marie et moi n’avons….pas vu le temps passer… dit il faisant, très subtilement, rougir Marie.
-Sérieux les mecs vous êtes lourds…
-Mais Marie y est pour quelque chose aussi!!
-Je suis sur que tu l’a forcée, quelle personne censé irait avec toi? Lui dit Mino; qui savait parfaitement où frapper.
-Si tu n’avais pas été une fille je crois que je t’aurait collé un pain.
-C’est bête d’être un mec hein?
-Bah tu m’énerve! Dit Matt en tournant les talons et en les laissant derrière lui.
-Qu’il est susceptible. Dit Mino en riant. Alors comme ca tu as….?
-Je vous déteste… dit Marie en partant elle aussi, les laissant a nouveau seuls avec « la larve ».
-Nous ferions bien de nous dépêcher, il serait mal vu de faire attendre notre hôte.
-Ah oui c’est vrai j’ai faillit l’oublier lui. Dit Elsa. Et bien dépêchons nous parce que j’ai faim moi, et j’espère qu’il y aura de la viande.
-VIANDE? QUELQU’UN A DIT VIANDE? Dit Benjamin en se réveillant d’un coup
-Exaspérant…..soupira Tomy
-Nous n’allons pas faire attendre Dante alors, puisque je suppose que c’est a sa table que nous sommes invités. Allez allons-y. Et la Benji partit comme une flèche, sans attendre les autres.
-Juste pour savoir…vous croyez qu’il sait où aller? Demanda Elsa
-Non….quel clanpin sérieux… dit mino, blasée.
-Bah tant pis pour lui…bon allez dépêchons nous.
-Ouais. »
Et ils partirent donc, arrivèrent à la table où benjamin n’était pas présent, s’excusèrent de leur retard, et mangèrent.
Dante parla des préparatifs pour la suite des événements :
« Bon et bien je vais maintenant devoir vous expliquer comment vont se dérouler la majeure partie de vos journée.
Tous les matins vous donnerez des cours aux enfant ayant un pouvoir assez puissant qui pourrait nous être utile, et l’après-midi vous vous occuperez de la formation de l’armée.
Chacun de vous aura sous ses ordres 1500 soldats, repartis en 3 sous parties, les firemen, les watermen, et les plus importants: les stonemen.
Ensuite a vous de voir comment vous vous chargerez des officiers, avec la puissance, le respect, ou l’expérience.
Sachez que vous êtes six généraux dans mon armée, vous ainsi que mes conseillers.
La seule personne qui a le droit de vous donner des ordres c’est moi, mais si jamais vous êtes en désaccord avec moi vous avez le droit de m’en parler sans craindre de représailles.
-Quoi?! Mais nous n'avons aucune experience en la matière comment voulez vous que l'on s'occupe d'autant de personne?demanda Elsa.
-Vous verrez vous-mêmes. répondit enigmatiquement Dante.
-Mais juste une question, pourquoi n’y a-t-il personne d’autre dans l’armée ayant des capacités telles que l’air, l’hypnose, ou bien le sable? Demanda Tomy
-Ces capacités sont très rares, et les seuls personnes qui les possèdent ont disparus depuis de nombreuses années de peur d’être la cible de Zamar…
-J’ai juste une dernière question qui me trotte dans la tête , pourquoi tout le monde ici a entre 8 et 17 ans? Je n’ai presque pas vu de personnes âgées ici…
-C’est normal …. Lui répondit Dante, Tous ou presque ont étés tués à cause de cette terrible guerre.
Les rares adultes que vous verrez ici sont des personnes très importantes pour nous, car ils sont au courant de choses que nous n’avons pas vu, et qui pourraient nous aider.
Mais une fois encore certains sont partis se cacher et nous n’avons plus de nouvelles.
-Désolé…. Je ne savais pas que cette guerre était si terrible….dit Mino
-Les guerres sont toujours terribles mon enfant… quel que soit le nombre de morts… lui dit Zed qui arrivait derrière elle.
Tout le monde a part Dante et ses conseillers sursauta, car ils ne l’avaient pas vu arriver.
-Désolé de vous avoir effrayés je ne voulais pas…
-Ce n’est rien ca arrive a tout le monde…Dit Elsa, encore touchée par ce qu’il venait de dire.
-Bon et bien si nous parlions d’autre chose que des malheurs qui s’abattent sur notre pays, que diriez vous de visiter le parc du palais?
-Très bonne idée ca nous permettra en même temps de nous dégourdir les jambes.
-Et bien suivez moi alors…Attendez! Où est passé votre ami un peu bruyant et qui mange comme quatre?
-Et bien justement…
Et la un grand vacarme encombra a pièce, il s’agissait de Benjamin qui pestais parce qu’il avait faim et que personne n’était fichu de lui dire où il fallait aller
-Ah bah tiens le voilà qui arrive…dit Tomy, complètement démoralisé car son meilleur ami et chef se comportait dans un palais comme dans son appartement….
-Nous allons peut-être le laisser manger un peu parce que je crains que sinon il nous parle de ca toute la journée…dit Mino
-Tu as raison laissons le manger tranquillement… »
Et en l’occurrence pour manger il mangea, la table fut entièrement vidée de tout ce qui pouvait être mangé, et il en réclamait encore. Finalement ce fut Alex qui arriva en traître derrière lui et qui planta une aiguille dans son cou qui possédait un produit arrêtant la sensation de faim.
Benjamin râla car il avait mal a la nuque, mais suivit quand même ses compagnons.
Ils marchaient depuis environ une heure dans un parc immense, où les oiseaux chantaient, où les arbres regorgeaient de fruits, et où des étangs croisaient des lacs.
Dante murmura à l’oreille de Benjamin:
« suis moi je vais t’emmener vers le guide qui te conduira vers la grotte demain.
-Mais et les autres?
-Ils sont absorbés par ce qu’ils voient ici, ils ne remarqueront même pas notre absence.
-Ah oui tu as raison. »
Et il le suivit, jusqu’à arriver vers un grand bâtiment, d’où sortaient des cris assez étranges…Et effectivement personne ne remarqua leur soudaine disparition.
« Mais où sommes nous là?
-Nous sommes dans le camp d’entrainement numéro 501, l’élite de nos soldats en proviens, et c’est toi qui en aura la charge à ton retour.
-Merci mais pourquoi moi? Tomy par exemple est beaucoup plus sérieux que moi.
-Oui peut-être, mais tu m’as l’air plus solitaire que lui, et diriger des soldats incompétents risquerait de t’énerver. Et puis tu m’as l’air bien plus doué pour ce qui est de la stratégie militaire que lui.
-Merci de cette confiance Dante.
-Mais ce n’est rien. Bon allez entrons ne perdons pas plus de temps. »
Ils pénètrent dans un grand hall, où des dizaines de soldats en armures s’entrainaient, à la hache, à l’épée, ou encore à la lance.
Tout au bout de la salle il y avait un grand comptoir, ou sirotaient les soldats.
Un soldats d’environ 18 ans vint leur parler:
-Maitre Dante que puis-je pour vous?
-Du calme Caporal T, je te présente ton futur général, Benjamin.
-Bonjour général.
-Bon-Bonjour…..T?
-Ah oui j’ai oublié de te prévenir, un soldat n’a pas le droit de te dévoiler son vrai nom si tu n’es pas son supérieur ou tout du moins de son unité. Lui dit l’imperator.
-Ah d’accord je comprend mieux, bon et bien la prochaine fois que l’on se revoit je connaitrai ton nom alors.
-Bien sur mon futur général. Mais au fait que voulez vous messires?
-Je voudrais parler Au capitaine S.
-Quoi? Vous voulez dire que vous voulez laisser notre futur général avec le capitaine? Et qui plus est les envoyer a la grotte?
-Tout à fait caporal, vous avez tout compris.
-Bon et bien je vais vous le chercher… »
Benjamin n’osait plus dire un mot, tellement il était anxieux a l’idée de savoir qui était ce capitaine qui semblait faire presque peur au caporal.
Lorsque celui-ci arriva Benjamin sentit ses jambes flancher.
Le capitaine était plutôt LA capitaine. Elle était fine, brune, les yeux de la même couleur, et paraissait avoir un caractère plutôt bien trempé. Elle prit la parole la première:
-Bonjour Maitre Dante, que me voulez vous? Et qui c’est lui? Dit elle en montrant Benjamin d’un geste nonchalant de la main.
-Lui n’est autre que votre futur général Capitaine, c’est pourquoi vous lui devez un peu de respect.
-Bah moi vous savez tant qu’il n’est pas général il n’ est rien pour moi. Donc aucune raison d’être gentille avec lui. »
Derrière elle tous les soldats haussèrent les épaules et eurent un regard désolé pour le pauvre Benjamin qui ne savait pas trop comment s’y prendre.
« Capitaine cessez ce petit jeu tout de suite!
-D’accord Monsieur…
-Bon et bien voilà comme tu t’en doute j’aimerais que tu l’emmène à la grotte, car il veut pouvoir faire ses preuves.
-Et bien nous verrons bien si il y arrivera.
-Veillez à ce qu’il ne manque de rien, il doit survivre. Tout du moins pendant le voyage.
-Ne vous inquiétez pas messire, mais je ne pourrais rien pour lui une fois qu’il sera entré dans cette caverne…
-Je sais mais j’ai confiance en lui.
-Si cela vous fait plaisir… Bon et bien moi je ne veux pas dire que je dois y aller mais je dois y aller. Alors a demain et bonne soirée messire.
-Vous aussi capitaine…lui répondit Dante, l’air dépité. »
Benjamin avait assisté à cet échange sans dire un mot, tellement il trouvait cette fille parfaite.
Dante lui dit:
« Bon je te laisse ici histoire que tu fasses connaissance avec tes futurs soldats.
-Quoi? Mais? »
Et là Dante disparut.
Benji avança donc vers les soldats, bien déterminé a leur montrer qui il était.
Il fit très rapidement connaissance avec deux nouveaux soldats très prometteurs, et un officier qui apparemment ne l’aimait pas, le caporal G.
Ce fut le seul à ne pas l’accepter a part entière, et alors que Benjamin allait partir, il dit à ses camarades assis au bar « Je ne pourrais jamais servir sous les ordres d’une lopette pareille moi…j’ai un honneur a défendre moi. »
Le futur général avait fait son possible pour se contrôler, mais là c’était trop, en plus de l’insulter lui il insultait les autres soldats en disant qu’ils n’avaient aucun honneur.
Certains approchèrent de lui, l’air menaçant, mais n’osait pas trop s’approcher quand même.
Benji les arrêta dans leur élan:
« Laissez tomber…Il veut se battre, il se battra, mais pas contre vous. Contre moi, je ne veux pas risquer que trop de soldats soient blessés.
-Mais il est très fort mon seigneur, trop fort même. Lui dit un des soldats.
-Je me doute bien , on arrive pas caporal comme ça….mais vous verrez, être général c’est autre chose.
-Je n’attend que ça, lui dit Le caporal un sourire narquois aux lèvres. »
Et il se leva de sa chaise. Il devait faire environ 1mètre 80 et 80 kilos.
Il était blond aux yeux bleus, avaient les cheveux longs en queue de cheval comme tous les soldat.
Il ne possédait aucune arme sur lui.
Il se rapprocha de Benjamin, et ne s’arrêta que quelques mètres devant lui.
Tous les autres soldats se mirent en cercle autour des deux combattants.
Certains hurlèrent que Le caporal avait une armure et pas Benjamin, que ca n’était pas normal.
Ce dernier dit que ca n’était rien, et dès que l’ambiance se fut stabilisée, le combat commença.
Benjamin voulait voir comment se battrait le caporal, et resta donc en position défensive.
G attaqua avec une pluie de lance de pierres, que Benjamin évita facilement, habitué a éviter les aiguilles beaucoup plus rapides d’Alex.
Plus le caporal s’énervait, plus Benjamin avait du mal a éviter.
Les lances de pierres devinrent des rochers, puis de minuscules pierres capables de transpercer un bloc de béton tellement elles allaient vites.
Benjamin qui commençait à s’épuiser a force de courir partout, décida de mettre fin a ce petit jeu, et envoya un poing d’air au caporal . Ce qui eu pour effet de l’envoyer valdinguer un peu pus loin dans la salle. Le cercle de spectateur se déplaça, Impressionné par son futur chef.
Seulement il se passa un truc que Benjamin n’avait pas prévu, un dragon d’eau sortit de la bouche du caporal et l’encercla totalement, l’empêchant de voir ce qui se passait a l’extérieur. Apparement le caporal était capable de maîtriser deux formes de pouvoir.
Il invoqua une barrière d’air autour de lui afin de pouvoir se protéger des attaques qu’il ne voyait pas.
Elles ne tardèrent pas à arriver, rochers, lances, pierres minuscules…. Tout ceci tournoyait autour de lui, épuisant sa barrière. C’en était trop. Benjamin fit une chose qu’il n’avait jamais faite jusqu’à ce jour, il lâcha totalement son énergie. Ce fut un massacre.la pièce fut dévastée, les environs aussi, mais il avait réussi a empêcher la destruction des soldats. Seul le caporal G avait été touché par la vague d’air, et gisait un peu plus loin, complètement éberlué par la puissance de cette dernière attaque.
Benjamin fut acclamé par ses soldats, et Le caporal revint, honteux.
Il arriva devant son futur chef….et s’agenouilla!
Il lui dit:
« Excusez moi pour ce que j’ai fait mon général, je vous croyais incompétent car vous n’aviez pas le physique d’un bon soldat. Mais j’avais tort, je suis heureux de pouvoirs servir sous vos ordres.
Je m’apelle Gamma. Je sais que je ne devrai pas vous le dire mais vous m’avez vaincu, vous êtes donc mon superieur à mes yeux.
-Merci Gamma pour ce combat, sache que tu es un très bons soldat, et que je serai fier de t’avoir a mes cotés lorsque j’en aurai besoin.
-Merci mon seigneur.
Ah oui au fait, vous plaisez beaucoup au capitaine S.
-Ah bon? Vous êtes sur?
-Je ne l’ai jamais vu aussi dure avec quelqu’un d’autre…Vous lui plaisez beaucoup je crois.
-Et bien merci, j’en tiendrai compte.
-J’espere vous revoir bientôt.
-Pas autant que moi. »
Et il repartit à travers les décombres, heureux d’avoir montrer ce qu’il valait devant ses hommes.
Il ne raconta pas l’histoire a ses amis, mais Dante le regarda l’œil malicieux lorsqu’ils se retrouvèrent a table.
Le diner terminé, tous allèrent se coucher, car le lendemain serait une grande journée.
Des les premières lueurs de l’aube ils furent reveillés, et une heure après Benjamin fut prêt à partir.
Ils se retrouvèrent tous devant la grille du château, Benjamin leur fit ses adieux, et partit avec le capitaine, en commençant déjà a s’engueuler avec elle.
« Vous croyez qu’il y arrivera? Demanda Elsa, inquiète
-Bah vous le connaissez, il est capable de faire des trucs incroyables….Quand il en a envie…
-C’est bien vrai.
-Et si nous retournions nous coucher? Demanda Tomy, parce que maintenant que benji est parti… »
Et à Elsa et Mino lui envoyèrent une grosse claque dans la figure, de peur qu’il ne devienne comme Benjamin.
Un seuls c’est super…deux c’est trop!
baby_vodka- Nombre de messages : 10
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Re: Another destiny
baby_vodka Dim 13 Juin 2010 - 0:08
Chapitre 6: caverne piégée.
Benjamin parti, l’ambiance devint vite très pesante, car il était celui qui détendait l’atmosphère autant que possible. Aucun ne savait vraiment commet s’y prendre lorsque les choses n’allait pas, mais Benjamin était toujours la pour résoudre les problèmes le plus simplement possible.
Donc tous étaient perdus. A part Matt, qui semblait différent.
La mort de son frère semblait n’avoir eu aucun effet sur lui.
Il avait toujours un sourire sur le visage, et paraissait heureux comme jamais.
Et lorsque quelqu’un lui en parlait, il répondait toujours:
« Et bien tu vois j’ai beaucoup réfléchit et j’ai compris qu’il n’aurait pas voulu que je m’en veuille toute ma vie! Et puis le fait que d’ici peu je me marrie avec ma superbe fiancée me remplit de bonheur! »
Et personne ne savait que répondre à cela.
Tomy, Elsa et Mino avait pris possession de leurs unités, et tout ce passait pour le mieux.
Cela faisait presque deux semaines que Benjamin était partit, et aucune nouvelle n’était arrivée. Tous étaient très inquiets.
Le mariage de Matt approchait, et des deux époux, seule Marie semblait déçue que Benjamin ne soit peut-être pas là lorsque l’alliance allait être passée a son doigt. l’emploi du temps de tous était très chargés, et ils ne se voyaient qu’à l’heure du repas.
Le jour du mariage, alors que tous se préparaient, benjamin revint plus crade que jamais, mais souriant et le regard pétillant.
Il tenait au creux de sa main celle du capitaine S…
Ils venaient de surgirent des bois qui entouraient le mur extérieur du palais, et immédiatement tous les gardes qui gardaient la portes surgirent,, lances en main, prêt à leur en faire voir de toutes les couleurs.
Après quelques heures de tractations, ils réussirent à leur faire accepter qui ils étaient.
Ils se séparèrent au niveau des chambres des officiers, et après un baiser, il partit chercher sa chambre pour être présentables lors du mariage.
Sauf que le jeune général qui avait un sens de l’orientation relativement peu développé, se perdit et se retrouva vite dans les sous-sols désaffecté du palais, qui n’étaient habités que par les rats.
Bien sur Benjamin ne savait plus d’où il venait, et était vraiment perdu.
Alors que la seule torche qui marchait encore était celle qui tenait dans sa main gauche, et que chaque bruit semblait être causé par un monstre effrayant; Benjamin entendit un gémissement étouffé, venant d’une pièce fermée par une lourde porte métallique.
Benjamin essaya d’entamer une discussion pour savoir qui ou quoi était dans la pièce:
« Qui est là? Et que faites vous là?
-Mmmmhh!!
-Ca ne répond pas à ma question..
-Mmmmmmh… après quelques bruits bizarres, la voix de Matt parvint a travers la porte, C’est moi Matt! Viens m’aider à sortir de là j’ai un gros problème!
-Mais c’est pas possible tu es la haut avec Marie prêt a l’épouser!
-Ce n’est pas moi! C’est un des mages de Zamar qui m’a enfermé alors que j’étais venu ici pour rester seul, et qui m’a lancé un sort pour que je ne puisse plus utiliser mes pouvoir das cette pièce.
-Attend j’arrive. »
Quelques essais de coups d’épaules inutiles et pour finir un poing d’air qui fracassa la porte, Benjamin surgit dans la pièce.
Les murs étaient remplis de symboles runiques noirs, et a centre de la pièce était attaché Matt, qui était dans l’incapacité de faire le moindre geste.
Les chaines semblaient faites dans de l’acier, et Benjamin ne pouvait les briser avec un poing d’air sans risquer de blesser son ami.
Il finit par dire:
« Bon je vais te montrer quelque chose que seule une personne a vue pour le moment. »
Et la il sortit un épée courte tellement fine et belle qu’on la croirait sortit de l’imagination d’un perfectionniste. D’un coup la lame de l’épée se recouvrit d’une couche d’air condensé qui la rendait bleue, et elle pénétra dans la chaîne comme dans du beurre.
« Mais quelle est cette épée? Ne me dis pas que tu l’as eu dans la grotte?
-Et bien si justement, dit il très fier de lui, mais nous n’avons pas le temps nous en reparlerons plus tard.
-C’est vrai. Allez dépêchons! »
Précédé par Benjamin, le chef des services secrets bondit dans les couloirs à une vitesse surhumaine.
La cérémonie avait déjà commencée lorsqu’ils arrivèrent dans la grande salle.
Tous furent estomaqués de voir Benjamin habillés comme à son départ, et encore plus de voir un deuxième Matt!
« Que signifie tout ceci? Demanda Dante, visiblement passablement mécontent de ce qui se déroulait.
-Cet homme est un imposteur! Rugit Matt en pointant du doigt le mage qui avait prit sa forme.
-Quoi? Mais c’est faux! C’est lui l’imposteur, je n’ai rien fait moi! Je l'ai moi-même enfermé dans l'aile desaffectée alors qu'il tentait de me tuer.
-Tous les deux, avez-vous une preuve pour étayer ce que vous dites?
-Je n’estime pas avoir a justifier qui je suis! Dit celui qui se faisait passer pour Matt
-Je veux bien, mais comment? »
Tous étaient stupéfaits, et personne n’avait de solution.
Ce fut finalement la future mariée qui trouva la solution:
« Je sais ce que je vais faire…Je vais vous poser une seule question, et celui qui ne trouve pas la bonne réponse n’est pas mon fiancé.
Quelle est…ma fleur préférée? »
Le Matt qui venait d’être sauvé par Benjamin ne sut quoi répondre, rendant ainsi Benjamin inquiet d’avoir libéré un ennemi.
Quand à l’autre après quelques secondes d’hésitation il répondit:
« Je sais, c’est le lys! Répondit il un sourire aux lèvres.
-Voilà je suis fixée…dit elle posément. Emmenez le aux geôles, dit elle en montrant celui qui avait donné la bonne réponse.
-Mais il vient de donner la bonne réponse pourtant, dirent les compagnons qui ne comprenaient plus rien.
-Justement! Matt n’a jamais été fichu de se rappeler de mes fleurs préférées, donc il n’aurait jamais pu me le dire aussi rapidement.
Le faux Matt sortit de la salle sans même se plaindre.
-Incroyable…rappelle moi pourquoi tu es avec lui? Dirent Mino et Elsa d’une même voix
-Je me demande parfois. »
Tous éclatèrent de rire, sauf Matt qui était rouge à n’en plus pouvoir.
Marie ne trouva pas d’autre moyen pour le détendre que de se jeter dans ses bras, et de lui murmurer à l’oreille:
« Bon et bien si nous retournions nous marier? J’ai une folle envie de me savoir mariée à un idiot aussi gentil que toi »
Et ils repartirent en direction de l’homme qui devait les marier, main dans la main.
Benjamin finit par poser à Dante la question qui lui brulait les lèvres:
« Excuse moi mais… est-il naturel de se marier alors que l’on a à peine 16 ans ici?
-Je comprend parfaitement ta question. Mais sache que nous nous sommes rendus compte que chaque personne de ce monde avait sa moitié, et que lorsqu’ils se rencontraient leur amour était indéfectible. Et que à partir du moment où ils s’aimaient, quel que soit l’âge si ils le désiraient ils pouvaient se marier.
Regarde eux deux par exemple, ils se connaissent depuis 8 ans déjà!
-Ah oui quand même!
-Et puis regarde il en est de même pour Tomy et Elsa.
-C’est vrai que je crois que dès qu’ils se sont connus ils sont tombés immédiatement amoureux l’un de l’autre.
-Et puis comme autre exemple je peux citer le capitaine S…et toi.
-Quoi? Mais comment le savez-vous?
-Sachez que dès que vous avez passez la porte les gardes se sont empressés de me faire parvenir le message.
-Je comprend mieux maintenant…Bon et bien en tout cas je compte sur vous pour ne rien dire a personne…
-D’accord mais à une seule condition…Ne me vouvoie plus.
-Ah oui désolé. Je n’oublierais plus.
-Tant mieux. Bon va retrouvez tes amis je pensent qu’ils meurent d’envie de savoir ce qu’il s’est passé durant ces deux longues semaines.
-J’y vais de ce pas…merci Dante! »
Il partit donc retrouvez ses compagnons, afin de leur raconter toute l’histoire.
Seulement à peine sorti de la salle, Benjamin eu droit à une marre de sang pour tapis, et un papier peint vermeil plutot douteux.Et au loin, une forme humaine dotée d'ailes s'eloignant dans les cieux.
Après être allé chercher Dante il revint et d'un simple souffle d'air il fit disparaître le sang, et envoya les corps vers un endroit où ils pourraient recevoir les honneurs qui leur seraient dûs.
Heureusement il fut le premier sorti et personne à part lui et l'Imperator n'avait vu le carnage.
L'affaire ne fut pas ebruitée et tout se passa comme si de rien n'était.
Une fois dans la chambre des deux époux, Benjamin leur raconta ce qu'il venait de se passer, et leur dit de ne pas en parler. Suite à cette déclaration il se jeta sur le lit des deux nouveaux mariés, sans aucune gêne.
Aucun ne parla, trop heureux de retrouver leur ami. Malgré ses defaults.
Benjamin qui ne savait par où commencer, attendit qu’un de ses amis lance la discution.
Ce fut finalement Tomy qui coupa le silence:
-Bon alors vas-y, raconte nous ce qui s’est passé en détail, et sans en omettre aucun.
-Bon et bien voilà.
Siliana et moi étions partit depuis environ une heure lorsque.
-Siliana? Questionna Tomy qui semblait intéressé par le nom.
-Ah oui Siliana est le prénom du capitaine S.
-Très joli nom en tout cas.
-Je trouve aussi.
Donc je disais, cela faisait environ une heure que l’on marchait en direction de la grotte lorsque, soudain, un groupe d’hommes armés surgit des fourrés et se jeta sur nous.
Ils étaient plutôt petits, mais trapus et très vifs.
Ils avaient une tenue de camouflage noir qui ne laissait apparaitre que les yeux.
Il ne me fallut pas longtemps pour les mettre K.O, tandis que Saliana attendait patiemment Que j’en ai terminé.
Seul le chef des soldats était encore en état de parler lorsque j’en eu finit avec les autres.
Alors que je l’interrogeais sur ses motivations, cet idiot serra très fort les dents, faisant sortir un poison de ses gencives. Il mourut instantanément.
Après notre rencontre avec le groupe de soldats, nous décidâmes de trouver un endroit sûr ou camper.
Nous finîmes par trouver une grotte sous un cascade.
Ce que nous ne savions pas c’est que au fond de la grotte, un passage secret dissimulait l’entrée d’un des postes de garde des soldats ennemis.
Aux alentours de minuit surgirent donc une multitude de soldats en armure prêts à nous écorcher vifs.
Nous étions assez mals puisque certains soldats adverses contrôlaient l’eau, et la cascade était l’endroit parfait.
La bataille fut rude mais après de nombreux assauts infructueux je finis par percer leur garde et tous les mages ennemis périrent d’une mort assez rapide, propulser sur les parois par un vent digne d’un cyclone.
Alors que je me demandais où était Siliana, je vis tous les soldats se faire découper par une multitudes de feuilles de papier qui tranchaient tout sur leur passage.
Une fois tout les soldats décimé, les feuilles se réunirent pour ne former qu’une seule personne, Siliana.
Je compris vite qu’elle n’avait pas pu utiliser son pouvoir car l’eau et les feuilles ne faisaient pas bon ménage.
Et le fait d’être enfermés l’empêchait d’éviter les vagues d’eau qui auraient déferlées sur elle.
Après avoir récupéré, Elle et moi partîmes chercher l’entrée secrète.
Comme j’étais assez frustrés de ne pas la trouver, j’envoyai des poings d’air un peu partout au fond de la grotte, jusqu’à ce qu’un pan de la paroi n’explose, libérant un passage s’enfonçant dans les profondeurs de la cascade.
Après avoir marcher de longues heures dans ce couloir, quelle ne fut pas notre surprise lorsque nous débouchâmes sur une salle gigantesques, au centre de laquelle se dressait un cage renfermant d’horribles monstres.
Même Siliana ne put réprimer un frisson d’horreur, s’accrocha à moi et me dit:
« Il faut que l’on parte vite ils sont trop forts pour nous.
-Mais que sont-ils?
-Ce sont des Gigantas. Ces monstres ont faillis posséder le monde il ya des millénaire si le chef des Aztèques ne les avaient pas écrasés, grâce a ses pouvoirs hors du commun.
-Donc tu crois que nous n’y arriverons pas si j’ai bien compris.
-Tout à fait c’est exactement ce que je crois. Vite partons.
-Vois tu j’aimerais bien tester mes pouvoirs sur des soldats vraiment intéressants, sans devoir me retenir pour ne pas les tuer.
-Mais tu vas y perdre la vie.
-Nous verrons bien. Quoi qu’il en soit je ne veux pas que tu prennes de risques pour moi.
Donc va m’attendre dans la grotte et si dans 24 heures je en suis pas revenu tu partira prévenir mes amis.
-Bon d’accord… Par contre je veux te donner quelque chose avant de partir… »
Dès que sa phrase fut terminée elle m’embrassa passionnément. Sur le coup j’étais surpris car je croyais être le seul à avoir des sentiments pour l’autre…mais j’avais eu tort.
Notre baiser dura Longtemps, et lorsqu’elle repartit je vis des larmes perler à ses yeux.
Ce n’est qu’une fois devant leur cage que je compris pourquoi on les avaient appelés Gigantas. Ils devaient faire environ 4 mètres, et peser une demi tonne au minimum.
Les cages étaient recouverts de symboles semblables à ceux trouvés sur les murs de la prison de Matt.
Et comme vous me connaissez, vous vous doutez bien que j’ai détruit les cages.
Je crois que je n’ai jamais vu un tel bordel de toute ma vie.
Les monstres sont sortis à une vitesse incroyable, et on commencés a détruire toute la pièce. Ils étaient dévastateurs. Donc j’ai ensuite essayé de me battre contre le plus faible.
Il m’a fallu une bonne quinzaine de poings d’air pour tuer cette créature.
C’est alors que tous se sont jetés sur moi. Grace à mes pouvoirs je réussi a créer une plaque d’air sous moi et à m’envoler.
Mais je ne pouvais pas sortir j’étais coincé!
Leurs assault durèrent environ une heure.
Avant que Finalement, alors que je croyais que tout était perdu, je me suis rappellé mon combat contre le caporal G.
J’ai décidé de lâcher tout contrôle sur mon pouvoir…sauf qu’il ne c’est rien passé! J'ai eu beau attendre plusieures minutes rien ne survint.
J’ai cru que tout était finit pour moi lorsque survint une petit bourrasque, puis une deuxième, puis une plus grosse. Et d’un coup je sentis mon énergie se vider d’un coup, et une tornade traversa la salle, avec moi en son centre, me rendant intouchable.
Ils moururent tous dans d’atroces souffrances.
Certains furent tailladés par les lames de vent allant a une vitesse inimaginable, d’autre furent tous simplement broyés par la pression.
Quoi qu’il en soit c’est extenué que je sortis de la pièce, en me trainant contre les parois du couloir.
Mon dernier souvenir de ma sortie du passage fut l’expression de joie qui apparut sur le visage de Siliana lorsqu’elle me vit, puis plus rien.
C’est 48 heures plus tard que je me réveilla, avec à mes cotés ma Siliana qui dormais paisiblement, surement après avoir veillé de longues heures à mes côtés.
Je ne sais pas si c’est pareil avec vous, dit il à Tomy et Matt, mais je crois que je ne me lasserai jamais de la voir dormir…
Bon je vais continuer mon histoire.dit il après acquièscement de la part de ses amis.
Donc dès que nous fûmes prêts à reprendre la route, nous partîmes en direction de la fameuse grotte.
Nous atteignîmes la grotte en environ cinq jours, sans aucune anicroche.
La grotte n’était gardées que par des plantes, et paraissait semblable à toutes les autres.
Je ne pouvais être accompagné par Siliana, car une seule personne ne peut y entrer à la fois.
J’étais donc plein d’appréhension lorsque je pénétrai dans la grotte.
Elle était d’apparence commune, mais tout au bout, se nichait une porte immense, qui semblait en garder les secrets.
A peine la touchais-je que elle s’ouvrit lentement, pour laisser place à une petite pièce, gardés par un simple soldat qui ne semblait pas ravi de ma présence ici.
Je dus donc l’éliminer. Alors que je le crus K.O , il se releva, puis se transforma pour laisser place à l’un des gardes d’élites de l’Imperator.
Son armure fut plus difficile à percer, et les murailles de pierres commençaient sérieusement a m’agacer, lorsque je réussis à passer sa défense, et à lui coller un poing d’air phénoménale.
Il finit aussi par se relever, et laissa place à un Gigantas.
Après de nombreuses attaques je finis par le mettre hors d’état de nuir, lorsque cette saleté de monstre fut remplacé par Cerbère.
Je n’ai jamais mené de combat en un contre un aussi difficile.
Mais il fut aussi massacré.
Et la je vis la chose la plus horrible qui soit…
Siliana avait pris la place du monstre, et possédait une épée étrange dans la main.
Je ne pouvais me résoudre à lui faire du mal, je me mis donc à genoux, et attendis le coup…qui ne vint jamais.
Siliana changea de forme, et ce fut un homme étrange, qui possédait une armure qui le recouvrait totalement, qui semblait faite d’obsidienne.
Il me tint à peu près ces mots là:
« Alors comme ça tu veux posséder une arme qui causera du mal a d’autres personnes?
-Parfaitement, je sais que cela peut paraitre égoiste, mais je crois que je ne serais pleinement satisfait que lorsque je serai capable de défendre Siliana face à tous ceux qui voudraient l’attaquer.
Et ce ne sera possible que lorsque je posséderai une arme capable de me rendre surpuissant.
-ne crois tu pas que posséder une telle arme te rende imbus de toi-même, et te donne envie de pouvoir.
-Sachez que ce pouvoir ne sera utilisé que pour protéger Siliana, mes amis, ou ma patrie.
Mais jamais je ne l’utiliserai à des fins purement personnelles.
-Si ce que tu dis est vrai, vient donc à moi et laisse moi pénetrer le plus profond de ton âme. »
C’est sans hésiter que je partis le voir, et ce fut une experience assez troublante je dois dire.
Je le sentais dans mon esprit, mais pas comme une lame qui pénetre un corps, plutôt comme une lumière qui irradie ton âme de bienveillance.
Je ne sais combien de temps dura cette experience, car je perdis totalement la notion du temps, de la fatigue, ou de la faim.
Il avait l’air satisfait lorsqu’il me transmis l’épée que possédait le clone de Siliana, et me dit ceci:
« Tu n’es peut-être pas le plus serieux de tes amis, mais tu es celui qui as le plus grand cœur, et cela te rend superieur à eux.
Je te donne aussi cet arc, que tu pourra donner à celle qui hante tes jours comme tes nuits, afin qu’elle puisse proteger tes arrieres comme tu le fais avec elle. »
Je n’eu même pas le temps de le remercier qu’il disparut, me laissant seul dans la caverne.
Je reussit finalement à sortir malgré l’obcurité, et lorsque Siliana me vit sortir l’épée à la main, elle me bondit dans les bras.
J’eu beaucoup de mal à lui faire comprendre que l’arc était pour elle et qu’elle était obligée de l’accepter.
Mais c’est main dans la main que nous finîmes par rentrer, sans rencontrer aucune resistance.
Et maintenant me voilà de retour parmis vous. »
Les filles pleuraient, et les garçons paraissaient heureux.
A part Alex qui se disait que Benjamin ne viendrait plus s’entraîner avec lui.
Ce dernier lut dans ses pensées, et lui fit une proposition:
« Tu sais je vais passer mes journées à entraîner mes soldats, tu pourrais peut-être venir aussi, qu’on leur montre ce que peuvent faire deux vrais soldats!
-Ca c’est une idée! Répondit Alex en souriant »
Après une petite bourrade et quelques câlins, les compagnons demandèrent à benjamin de leur présenter sa copine.
Il n’eut même pas besoin de leur répondre, car cette dernière entra en coup de vent dans la pièce, et sauta sur benjamin qui était retourné sur le lit.
Après quelques embrassades il reussit à faire comprendre à Siliana qu’il faudrait peut être la présenter.
« Bon et bien voilà je pense que vous l’avez compris mais voici Siliana, l’amour de ma vie.
- Wouuaaouuh! Furent les seuls mots que réussirent à prononcer Les trois jeunes hommes, avant d’être foudroyé du regard par leur copine, sauf Alex mais lui de toute façon il était reputé pour sa discrétion.
-Bon et bien nous allons vous laisser alors hein…dit Benjamin, légèrement angoissé a l’idée que ses amis ne la trouvent pas bien.
-Ah ouais alors comme ca je te fais honte?! Dit Siliana
-Quoi..mais non je t’assu…
-Tais toi! Puisque c’est comme ça, je vais t’attendre dans ta chambre.
-Mais tu n’as pas la clé je te rappelle.
-Tu n’as même pas idée de tout ce qu’il est possible de faire avec du papier, dit elle en souriant malicieusement.
-Ah oui j’avais oublié…
-Tu as 3 minutes. Et elle partit aussi rapidement qu’elle était rentrée.
-Roooh ca va. Grogna Benjamin en voyant ses amis sur le point d’éclater de rire. »
Et il partit en courant à la suite de Siliana.
Cela faisait environ un mois que les compagnons s’occupait de leurs troupes, et ils apparut finalement qu'il se debrouillait comme des soldats d'experience en la matière, Dante leur avoua que leur experience venait de leur ancêtre qui avaent la facultés de pouvoir la transmetre à leur heritiers, lorsqu’une dépeche importante venant des espions arriva au palais.
« Les troupes ennemies bougent, ils faut contre-attaquer avant qu’il ne soit trop tard!
Elles avancent vite, et semblent décidées à nous attaquer rapidement.
Environ 35000 hommes, 20 griffons, 5 Gigantas, nombre de mages inconnus.
Arrivent par le nord, à 4 jours du palais. »
Tous furent immédiatement sur le pied de guerre, à part Benjamin qui était chargé avec ses troupes de la protection du palais si les ennemis contournaient les troupes.
C'est au moment de partir que tous prirent conscience de ce qu'il se passait...Que c'était peut-être la dernière fois qu'ils se voyaient...Que plus jamais ils ne pourraient rire et se disputer ensembles...
Malgré celà, Benjamin endossa une fois de plus son rôle de chef, et il se chargea de remonter au maximum le moral de ses amis dans leur tente.
Il leur dit à peu près ceci:
"Mes amis...Je sais ce que vous ressentez...Vous et moi on est dans la même galère. A vous voir on dirait que la bataille est deja perdue et que plus jamais on ne se verra.
Mais vous avez tort.
-Mais nous ne sommes après tout que des adolescents que veux tu que nous fassions contre des soldats plus agés et plus experimentés. Et surtout sans aucune pitié. lui repondit Elsa au bord des larmes
-Arrêtez tout de suite! Je vous interdis de deprimer comme celà.
Tomy rapelle toi...Tu sais lorsque nous étions en face de ces skinheads et que nous nous croyons perdus.
Nous n'avons pas perdu espoir. Et regarde grâce à cela nous sommes devenus les meilleurs amis du monde et on a pu former la team 5.
Alors s'il vous plait...gardez espoir et n'oubliez pas que tant que nous resterons unis par le coeur, nous serons invincibles.
Nous pourrons réduire ce sale Zamal et ses fanatiques à néant!
Alors ca ira? Vous y croyez toujours j'espère?!
-Oui oui merci benj. Lui repondit Tomy
-Alors à très bientot tous ensembles mes amis!"
Et après de nombreuses embrassades il sortit.
Ce à quoi il ne s'attendait pas c'est que tous les soldats l'entendent. Et ils l'accueuillirent comme un héros, les larmes aux yeux, se tapant le poing sur le coeur à son passage.
Dès qu'il sortit du camp et qu'il entra dans la forêt du palais, il fondit en larmes et s'écroula par terre.
Il finit par être rejoint par Siliana, qui le réconforta en le gardant serré dans ses bras durant de longs instants.
Cela faisait 6 jours que les combats duraient, sans aucune nouvelle du front.
Tout le monde était tendu, et commençait à desesperer.
Lorsqu’un beau jour, un messager apparut au loin…
Benjamin parti, l’ambiance devint vite très pesante, car il était celui qui détendait l’atmosphère autant que possible. Aucun ne savait vraiment commet s’y prendre lorsque les choses n’allait pas, mais Benjamin était toujours la pour résoudre les problèmes le plus simplement possible.
Donc tous étaient perdus. A part Matt, qui semblait différent.
La mort de son frère semblait n’avoir eu aucun effet sur lui.
Il avait toujours un sourire sur le visage, et paraissait heureux comme jamais.
Et lorsque quelqu’un lui en parlait, il répondait toujours:
« Et bien tu vois j’ai beaucoup réfléchit et j’ai compris qu’il n’aurait pas voulu que je m’en veuille toute ma vie! Et puis le fait que d’ici peu je me marrie avec ma superbe fiancée me remplit de bonheur! »
Et personne ne savait que répondre à cela.
Tomy, Elsa et Mino avait pris possession de leurs unités, et tout ce passait pour le mieux.
Cela faisait presque deux semaines que Benjamin était partit, et aucune nouvelle n’était arrivée. Tous étaient très inquiets.
Le mariage de Matt approchait, et des deux époux, seule Marie semblait déçue que Benjamin ne soit peut-être pas là lorsque l’alliance allait être passée a son doigt. l’emploi du temps de tous était très chargés, et ils ne se voyaient qu’à l’heure du repas.
Le jour du mariage, alors que tous se préparaient, benjamin revint plus crade que jamais, mais souriant et le regard pétillant.
Il tenait au creux de sa main celle du capitaine S…
Ils venaient de surgirent des bois qui entouraient le mur extérieur du palais, et immédiatement tous les gardes qui gardaient la portes surgirent,, lances en main, prêt à leur en faire voir de toutes les couleurs.
Après quelques heures de tractations, ils réussirent à leur faire accepter qui ils étaient.
Ils se séparèrent au niveau des chambres des officiers, et après un baiser, il partit chercher sa chambre pour être présentables lors du mariage.
Sauf que le jeune général qui avait un sens de l’orientation relativement peu développé, se perdit et se retrouva vite dans les sous-sols désaffecté du palais, qui n’étaient habités que par les rats.
Bien sur Benjamin ne savait plus d’où il venait, et était vraiment perdu.
Alors que la seule torche qui marchait encore était celle qui tenait dans sa main gauche, et que chaque bruit semblait être causé par un monstre effrayant; Benjamin entendit un gémissement étouffé, venant d’une pièce fermée par une lourde porte métallique.
Benjamin essaya d’entamer une discussion pour savoir qui ou quoi était dans la pièce:
« Qui est là? Et que faites vous là?
-Mmmmhh!!
-Ca ne répond pas à ma question..
-Mmmmmmh… après quelques bruits bizarres, la voix de Matt parvint a travers la porte, C’est moi Matt! Viens m’aider à sortir de là j’ai un gros problème!
-Mais c’est pas possible tu es la haut avec Marie prêt a l’épouser!
-Ce n’est pas moi! C’est un des mages de Zamar qui m’a enfermé alors que j’étais venu ici pour rester seul, et qui m’a lancé un sort pour que je ne puisse plus utiliser mes pouvoir das cette pièce.
-Attend j’arrive. »
Quelques essais de coups d’épaules inutiles et pour finir un poing d’air qui fracassa la porte, Benjamin surgit dans la pièce.
Les murs étaient remplis de symboles runiques noirs, et a centre de la pièce était attaché Matt, qui était dans l’incapacité de faire le moindre geste.
Les chaines semblaient faites dans de l’acier, et Benjamin ne pouvait les briser avec un poing d’air sans risquer de blesser son ami.
Il finit par dire:
« Bon je vais te montrer quelque chose que seule une personne a vue pour le moment. »
Et la il sortit un épée courte tellement fine et belle qu’on la croirait sortit de l’imagination d’un perfectionniste. D’un coup la lame de l’épée se recouvrit d’une couche d’air condensé qui la rendait bleue, et elle pénétra dans la chaîne comme dans du beurre.
« Mais quelle est cette épée? Ne me dis pas que tu l’as eu dans la grotte?
-Et bien si justement, dit il très fier de lui, mais nous n’avons pas le temps nous en reparlerons plus tard.
-C’est vrai. Allez dépêchons! »
Précédé par Benjamin, le chef des services secrets bondit dans les couloirs à une vitesse surhumaine.
La cérémonie avait déjà commencée lorsqu’ils arrivèrent dans la grande salle.
Tous furent estomaqués de voir Benjamin habillés comme à son départ, et encore plus de voir un deuxième Matt!
« Que signifie tout ceci? Demanda Dante, visiblement passablement mécontent de ce qui se déroulait.
-Cet homme est un imposteur! Rugit Matt en pointant du doigt le mage qui avait prit sa forme.
-Quoi? Mais c’est faux! C’est lui l’imposteur, je n’ai rien fait moi! Je l'ai moi-même enfermé dans l'aile desaffectée alors qu'il tentait de me tuer.
-Tous les deux, avez-vous une preuve pour étayer ce que vous dites?
-Je n’estime pas avoir a justifier qui je suis! Dit celui qui se faisait passer pour Matt
-Je veux bien, mais comment? »
Tous étaient stupéfaits, et personne n’avait de solution.
Ce fut finalement la future mariée qui trouva la solution:
« Je sais ce que je vais faire…Je vais vous poser une seule question, et celui qui ne trouve pas la bonne réponse n’est pas mon fiancé.
Quelle est…ma fleur préférée? »
Le Matt qui venait d’être sauvé par Benjamin ne sut quoi répondre, rendant ainsi Benjamin inquiet d’avoir libéré un ennemi.
Quand à l’autre après quelques secondes d’hésitation il répondit:
« Je sais, c’est le lys! Répondit il un sourire aux lèvres.
-Voilà je suis fixée…dit elle posément. Emmenez le aux geôles, dit elle en montrant celui qui avait donné la bonne réponse.
-Mais il vient de donner la bonne réponse pourtant, dirent les compagnons qui ne comprenaient plus rien.
-Justement! Matt n’a jamais été fichu de se rappeler de mes fleurs préférées, donc il n’aurait jamais pu me le dire aussi rapidement.
Le faux Matt sortit de la salle sans même se plaindre.
-Incroyable…rappelle moi pourquoi tu es avec lui? Dirent Mino et Elsa d’une même voix
-Je me demande parfois. »
Tous éclatèrent de rire, sauf Matt qui était rouge à n’en plus pouvoir.
Marie ne trouva pas d’autre moyen pour le détendre que de se jeter dans ses bras, et de lui murmurer à l’oreille:
« Bon et bien si nous retournions nous marier? J’ai une folle envie de me savoir mariée à un idiot aussi gentil que toi »
Et ils repartirent en direction de l’homme qui devait les marier, main dans la main.
Benjamin finit par poser à Dante la question qui lui brulait les lèvres:
« Excuse moi mais… est-il naturel de se marier alors que l’on a à peine 16 ans ici?
-Je comprend parfaitement ta question. Mais sache que nous nous sommes rendus compte que chaque personne de ce monde avait sa moitié, et que lorsqu’ils se rencontraient leur amour était indéfectible. Et que à partir du moment où ils s’aimaient, quel que soit l’âge si ils le désiraient ils pouvaient se marier.
Regarde eux deux par exemple, ils se connaissent depuis 8 ans déjà!
-Ah oui quand même!
-Et puis regarde il en est de même pour Tomy et Elsa.
-C’est vrai que je crois que dès qu’ils se sont connus ils sont tombés immédiatement amoureux l’un de l’autre.
-Et puis comme autre exemple je peux citer le capitaine S…et toi.
-Quoi? Mais comment le savez-vous?
-Sachez que dès que vous avez passez la porte les gardes se sont empressés de me faire parvenir le message.
-Je comprend mieux maintenant…Bon et bien en tout cas je compte sur vous pour ne rien dire a personne…
-D’accord mais à une seule condition…Ne me vouvoie plus.
-Ah oui désolé. Je n’oublierais plus.
-Tant mieux. Bon va retrouvez tes amis je pensent qu’ils meurent d’envie de savoir ce qu’il s’est passé durant ces deux longues semaines.
-J’y vais de ce pas…merci Dante! »
Il partit donc retrouvez ses compagnons, afin de leur raconter toute l’histoire.
Seulement à peine sorti de la salle, Benjamin eu droit à une marre de sang pour tapis, et un papier peint vermeil plutot douteux.Et au loin, une forme humaine dotée d'ailes s'eloignant dans les cieux.
Après être allé chercher Dante il revint et d'un simple souffle d'air il fit disparaître le sang, et envoya les corps vers un endroit où ils pourraient recevoir les honneurs qui leur seraient dûs.
Heureusement il fut le premier sorti et personne à part lui et l'Imperator n'avait vu le carnage.
L'affaire ne fut pas ebruitée et tout se passa comme si de rien n'était.
Une fois dans la chambre des deux époux, Benjamin leur raconta ce qu'il venait de se passer, et leur dit de ne pas en parler. Suite à cette déclaration il se jeta sur le lit des deux nouveaux mariés, sans aucune gêne.
Aucun ne parla, trop heureux de retrouver leur ami. Malgré ses defaults.
Benjamin qui ne savait par où commencer, attendit qu’un de ses amis lance la discution.
Ce fut finalement Tomy qui coupa le silence:
-Bon alors vas-y, raconte nous ce qui s’est passé en détail, et sans en omettre aucun.
-Bon et bien voilà.
Siliana et moi étions partit depuis environ une heure lorsque.
-Siliana? Questionna Tomy qui semblait intéressé par le nom.
-Ah oui Siliana est le prénom du capitaine S.
-Très joli nom en tout cas.
-Je trouve aussi.
Donc je disais, cela faisait environ une heure que l’on marchait en direction de la grotte lorsque, soudain, un groupe d’hommes armés surgit des fourrés et se jeta sur nous.
Ils étaient plutôt petits, mais trapus et très vifs.
Ils avaient une tenue de camouflage noir qui ne laissait apparaitre que les yeux.
Il ne me fallut pas longtemps pour les mettre K.O, tandis que Saliana attendait patiemment Que j’en ai terminé.
Seul le chef des soldats était encore en état de parler lorsque j’en eu finit avec les autres.
Alors que je l’interrogeais sur ses motivations, cet idiot serra très fort les dents, faisant sortir un poison de ses gencives. Il mourut instantanément.
Après notre rencontre avec le groupe de soldats, nous décidâmes de trouver un endroit sûr ou camper.
Nous finîmes par trouver une grotte sous un cascade.
Ce que nous ne savions pas c’est que au fond de la grotte, un passage secret dissimulait l’entrée d’un des postes de garde des soldats ennemis.
Aux alentours de minuit surgirent donc une multitude de soldats en armure prêts à nous écorcher vifs.
Nous étions assez mals puisque certains soldats adverses contrôlaient l’eau, et la cascade était l’endroit parfait.
La bataille fut rude mais après de nombreux assauts infructueux je finis par percer leur garde et tous les mages ennemis périrent d’une mort assez rapide, propulser sur les parois par un vent digne d’un cyclone.
Alors que je me demandais où était Siliana, je vis tous les soldats se faire découper par une multitudes de feuilles de papier qui tranchaient tout sur leur passage.
Une fois tout les soldats décimé, les feuilles se réunirent pour ne former qu’une seule personne, Siliana.
Je compris vite qu’elle n’avait pas pu utiliser son pouvoir car l’eau et les feuilles ne faisaient pas bon ménage.
Et le fait d’être enfermés l’empêchait d’éviter les vagues d’eau qui auraient déferlées sur elle.
Après avoir récupéré, Elle et moi partîmes chercher l’entrée secrète.
Comme j’étais assez frustrés de ne pas la trouver, j’envoyai des poings d’air un peu partout au fond de la grotte, jusqu’à ce qu’un pan de la paroi n’explose, libérant un passage s’enfonçant dans les profondeurs de la cascade.
Après avoir marcher de longues heures dans ce couloir, quelle ne fut pas notre surprise lorsque nous débouchâmes sur une salle gigantesques, au centre de laquelle se dressait un cage renfermant d’horribles monstres.
Même Siliana ne put réprimer un frisson d’horreur, s’accrocha à moi et me dit:
« Il faut que l’on parte vite ils sont trop forts pour nous.
-Mais que sont-ils?
-Ce sont des Gigantas. Ces monstres ont faillis posséder le monde il ya des millénaire si le chef des Aztèques ne les avaient pas écrasés, grâce a ses pouvoirs hors du commun.
-Donc tu crois que nous n’y arriverons pas si j’ai bien compris.
-Tout à fait c’est exactement ce que je crois. Vite partons.
-Vois tu j’aimerais bien tester mes pouvoirs sur des soldats vraiment intéressants, sans devoir me retenir pour ne pas les tuer.
-Mais tu vas y perdre la vie.
-Nous verrons bien. Quoi qu’il en soit je ne veux pas que tu prennes de risques pour moi.
Donc va m’attendre dans la grotte et si dans 24 heures je en suis pas revenu tu partira prévenir mes amis.
-Bon d’accord… Par contre je veux te donner quelque chose avant de partir… »
Dès que sa phrase fut terminée elle m’embrassa passionnément. Sur le coup j’étais surpris car je croyais être le seul à avoir des sentiments pour l’autre…mais j’avais eu tort.
Notre baiser dura Longtemps, et lorsqu’elle repartit je vis des larmes perler à ses yeux.
Ce n’est qu’une fois devant leur cage que je compris pourquoi on les avaient appelés Gigantas. Ils devaient faire environ 4 mètres, et peser une demi tonne au minimum.
Les cages étaient recouverts de symboles semblables à ceux trouvés sur les murs de la prison de Matt.
Et comme vous me connaissez, vous vous doutez bien que j’ai détruit les cages.
Je crois que je n’ai jamais vu un tel bordel de toute ma vie.
Les monstres sont sortis à une vitesse incroyable, et on commencés a détruire toute la pièce. Ils étaient dévastateurs. Donc j’ai ensuite essayé de me battre contre le plus faible.
Il m’a fallu une bonne quinzaine de poings d’air pour tuer cette créature.
C’est alors que tous se sont jetés sur moi. Grace à mes pouvoirs je réussi a créer une plaque d’air sous moi et à m’envoler.
Mais je ne pouvais pas sortir j’étais coincé!
Leurs assault durèrent environ une heure.
Avant que Finalement, alors que je croyais que tout était perdu, je me suis rappellé mon combat contre le caporal G.
J’ai décidé de lâcher tout contrôle sur mon pouvoir…sauf qu’il ne c’est rien passé! J'ai eu beau attendre plusieures minutes rien ne survint.
J’ai cru que tout était finit pour moi lorsque survint une petit bourrasque, puis une deuxième, puis une plus grosse. Et d’un coup je sentis mon énergie se vider d’un coup, et une tornade traversa la salle, avec moi en son centre, me rendant intouchable.
Ils moururent tous dans d’atroces souffrances.
Certains furent tailladés par les lames de vent allant a une vitesse inimaginable, d’autre furent tous simplement broyés par la pression.
Quoi qu’il en soit c’est extenué que je sortis de la pièce, en me trainant contre les parois du couloir.
Mon dernier souvenir de ma sortie du passage fut l’expression de joie qui apparut sur le visage de Siliana lorsqu’elle me vit, puis plus rien.
C’est 48 heures plus tard que je me réveilla, avec à mes cotés ma Siliana qui dormais paisiblement, surement après avoir veillé de longues heures à mes côtés.
Je ne sais pas si c’est pareil avec vous, dit il à Tomy et Matt, mais je crois que je ne me lasserai jamais de la voir dormir…
Bon je vais continuer mon histoire.dit il après acquièscement de la part de ses amis.
Donc dès que nous fûmes prêts à reprendre la route, nous partîmes en direction de la fameuse grotte.
Nous atteignîmes la grotte en environ cinq jours, sans aucune anicroche.
La grotte n’était gardées que par des plantes, et paraissait semblable à toutes les autres.
Je ne pouvais être accompagné par Siliana, car une seule personne ne peut y entrer à la fois.
J’étais donc plein d’appréhension lorsque je pénétrai dans la grotte.
Elle était d’apparence commune, mais tout au bout, se nichait une porte immense, qui semblait en garder les secrets.
A peine la touchais-je que elle s’ouvrit lentement, pour laisser place à une petite pièce, gardés par un simple soldat qui ne semblait pas ravi de ma présence ici.
Je dus donc l’éliminer. Alors que je le crus K.O , il se releva, puis se transforma pour laisser place à l’un des gardes d’élites de l’Imperator.
Son armure fut plus difficile à percer, et les murailles de pierres commençaient sérieusement a m’agacer, lorsque je réussis à passer sa défense, et à lui coller un poing d’air phénoménale.
Il finit aussi par se relever, et laissa place à un Gigantas.
Après de nombreuses attaques je finis par le mettre hors d’état de nuir, lorsque cette saleté de monstre fut remplacé par Cerbère.
Je n’ai jamais mené de combat en un contre un aussi difficile.
Mais il fut aussi massacré.
Et la je vis la chose la plus horrible qui soit…
Siliana avait pris la place du monstre, et possédait une épée étrange dans la main.
Je ne pouvais me résoudre à lui faire du mal, je me mis donc à genoux, et attendis le coup…qui ne vint jamais.
Siliana changea de forme, et ce fut un homme étrange, qui possédait une armure qui le recouvrait totalement, qui semblait faite d’obsidienne.
Il me tint à peu près ces mots là:
« Alors comme ça tu veux posséder une arme qui causera du mal a d’autres personnes?
-Parfaitement, je sais que cela peut paraitre égoiste, mais je crois que je ne serais pleinement satisfait que lorsque je serai capable de défendre Siliana face à tous ceux qui voudraient l’attaquer.
Et ce ne sera possible que lorsque je posséderai une arme capable de me rendre surpuissant.
-ne crois tu pas que posséder une telle arme te rende imbus de toi-même, et te donne envie de pouvoir.
-Sachez que ce pouvoir ne sera utilisé que pour protéger Siliana, mes amis, ou ma patrie.
Mais jamais je ne l’utiliserai à des fins purement personnelles.
-Si ce que tu dis est vrai, vient donc à moi et laisse moi pénetrer le plus profond de ton âme. »
C’est sans hésiter que je partis le voir, et ce fut une experience assez troublante je dois dire.
Je le sentais dans mon esprit, mais pas comme une lame qui pénetre un corps, plutôt comme une lumière qui irradie ton âme de bienveillance.
Je ne sais combien de temps dura cette experience, car je perdis totalement la notion du temps, de la fatigue, ou de la faim.
Il avait l’air satisfait lorsqu’il me transmis l’épée que possédait le clone de Siliana, et me dit ceci:
« Tu n’es peut-être pas le plus serieux de tes amis, mais tu es celui qui as le plus grand cœur, et cela te rend superieur à eux.
Je te donne aussi cet arc, que tu pourra donner à celle qui hante tes jours comme tes nuits, afin qu’elle puisse proteger tes arrieres comme tu le fais avec elle. »
Je n’eu même pas le temps de le remercier qu’il disparut, me laissant seul dans la caverne.
Je reussit finalement à sortir malgré l’obcurité, et lorsque Siliana me vit sortir l’épée à la main, elle me bondit dans les bras.
J’eu beaucoup de mal à lui faire comprendre que l’arc était pour elle et qu’elle était obligée de l’accepter.
Mais c’est main dans la main que nous finîmes par rentrer, sans rencontrer aucune resistance.
Et maintenant me voilà de retour parmis vous. »
Les filles pleuraient, et les garçons paraissaient heureux.
A part Alex qui se disait que Benjamin ne viendrait plus s’entraîner avec lui.
Ce dernier lut dans ses pensées, et lui fit une proposition:
« Tu sais je vais passer mes journées à entraîner mes soldats, tu pourrais peut-être venir aussi, qu’on leur montre ce que peuvent faire deux vrais soldats!
-Ca c’est une idée! Répondit Alex en souriant »
Après une petite bourrade et quelques câlins, les compagnons demandèrent à benjamin de leur présenter sa copine.
Il n’eut même pas besoin de leur répondre, car cette dernière entra en coup de vent dans la pièce, et sauta sur benjamin qui était retourné sur le lit.
Après quelques embrassades il reussit à faire comprendre à Siliana qu’il faudrait peut être la présenter.
« Bon et bien voilà je pense que vous l’avez compris mais voici Siliana, l’amour de ma vie.
- Wouuaaouuh! Furent les seuls mots que réussirent à prononcer Les trois jeunes hommes, avant d’être foudroyé du regard par leur copine, sauf Alex mais lui de toute façon il était reputé pour sa discrétion.
-Bon et bien nous allons vous laisser alors hein…dit Benjamin, légèrement angoissé a l’idée que ses amis ne la trouvent pas bien.
-Ah ouais alors comme ca je te fais honte?! Dit Siliana
-Quoi..mais non je t’assu…
-Tais toi! Puisque c’est comme ça, je vais t’attendre dans ta chambre.
-Mais tu n’as pas la clé je te rappelle.
-Tu n’as même pas idée de tout ce qu’il est possible de faire avec du papier, dit elle en souriant malicieusement.
-Ah oui j’avais oublié…
-Tu as 3 minutes. Et elle partit aussi rapidement qu’elle était rentrée.
-Roooh ca va. Grogna Benjamin en voyant ses amis sur le point d’éclater de rire. »
Et il partit en courant à la suite de Siliana.
Cela faisait environ un mois que les compagnons s’occupait de leurs troupes, et ils apparut finalement qu'il se debrouillait comme des soldats d'experience en la matière, Dante leur avoua que leur experience venait de leur ancêtre qui avaent la facultés de pouvoir la transmetre à leur heritiers, lorsqu’une dépeche importante venant des espions arriva au palais.
« Les troupes ennemies bougent, ils faut contre-attaquer avant qu’il ne soit trop tard!
Elles avancent vite, et semblent décidées à nous attaquer rapidement.
Environ 35000 hommes, 20 griffons, 5 Gigantas, nombre de mages inconnus.
Arrivent par le nord, à 4 jours du palais. »
Tous furent immédiatement sur le pied de guerre, à part Benjamin qui était chargé avec ses troupes de la protection du palais si les ennemis contournaient les troupes.
C'est au moment de partir que tous prirent conscience de ce qu'il se passait...Que c'était peut-être la dernière fois qu'ils se voyaient...Que plus jamais ils ne pourraient rire et se disputer ensembles...
Malgré celà, Benjamin endossa une fois de plus son rôle de chef, et il se chargea de remonter au maximum le moral de ses amis dans leur tente.
Il leur dit à peu près ceci:
"Mes amis...Je sais ce que vous ressentez...Vous et moi on est dans la même galère. A vous voir on dirait que la bataille est deja perdue et que plus jamais on ne se verra.
Mais vous avez tort.
-Mais nous ne sommes après tout que des adolescents que veux tu que nous fassions contre des soldats plus agés et plus experimentés. Et surtout sans aucune pitié. lui repondit Elsa au bord des larmes
-Arrêtez tout de suite! Je vous interdis de deprimer comme celà.
Tomy rapelle toi...Tu sais lorsque nous étions en face de ces skinheads et que nous nous croyons perdus.
Nous n'avons pas perdu espoir. Et regarde grâce à cela nous sommes devenus les meilleurs amis du monde et on a pu former la team 5.
Alors s'il vous plait...gardez espoir et n'oubliez pas que tant que nous resterons unis par le coeur, nous serons invincibles.
Nous pourrons réduire ce sale Zamal et ses fanatiques à néant!
Alors ca ira? Vous y croyez toujours j'espère?!
-Oui oui merci benj. Lui repondit Tomy
-Alors à très bientot tous ensembles mes amis!"
Et après de nombreuses embrassades il sortit.
Ce à quoi il ne s'attendait pas c'est que tous les soldats l'entendent. Et ils l'accueuillirent comme un héros, les larmes aux yeux, se tapant le poing sur le coeur à son passage.
Dès qu'il sortit du camp et qu'il entra dans la forêt du palais, il fondit en larmes et s'écroula par terre.
Il finit par être rejoint par Siliana, qui le réconforta en le gardant serré dans ses bras durant de longs instants.
Cela faisait 6 jours que les combats duraient, sans aucune nouvelle du front.
Tout le monde était tendu, et commençait à desesperer.
Lorsqu’un beau jour, un messager apparut au loin…
baby_vodka- Nombre de messages : 10
Age : 29
Date d'inscription : 12/06/2010
Re: Another destiny
baby_vodka Dim 13 Juin 2010 - 0:08
Chapitre 7: le soleil de sang.
A peine le cavalier eut il été aperçu par les vigiles, que tout le monde dans le palais accourut devant la Grande porte.
La tension était à son comble, et lorsque la porte s’ouvrit, tout le monde retint son souffle.
Un grand soldat dans une armure immense, portant l’écusson des bushin, apparut avec son cheval tout aussi imposant que lui à ses cotés.
Le soldat parvint jusqu’à la foule, et cette dernière s’empressa de s’écarter afin de laisser place au colosse en armure.
Seulement après quelques mètres à peine il s’écroula et tomba violement sur le sol.
Tous s’empressèrent de le porter et l’emmenèrent à l’infirmerie du palais.
Pendant que le soldat était en soins, Benjamin parlait avec l’Imperator et ce de façon assez violente:
« Mais arrêtez enfin!! Vous voyez bien dans quel état sont nos soldats!
Ils désespèrent de ne pas voir leurs camarades rentrer. Sans même une nouvelle.
-Benjamin calme toi s’il te plait…
-Que je me calme?! Alors que mes amis sont peut-être capturés par l’ennemi ou pire encore?
-Benjamin arrête un peu. Tu sais parfaitement que tes amis ne peuvent pas se faire capturer comme cela. Et puis que veux tu y faire?
-Je propose d’y aller avec mes hommes et de constater par moi-même ce qu’il s’y passe…
-Impossible!
-Comment ca impossible?
-Nous ne pouvons pas nous permettre de laisser le palais sans surveillance. Et pour peu que l’ennemi ait contourner nos troupes nous ne pourront rien faire sans vous.
-mais si l’ennemi avait vraiment contourner l’armée les éclaireurs nous auraient prévenus non?
-si l’ennemi ne possédait pas de mages oui…Mais le fait est que Zamal est maître dans la maîtrise de l’Obscurité et Dieu seul sait ce qu’il a pu créer comme monstre.
-Donc en gros si j’ai bien compris on pourrait à tout moment se faire attaquer par ces troupes de fanatiques?
-Oui et non…En fait durant son règne mon père avait crée une barrière autour de la forêt afin de savoir si quelqu’un la traversait.
-Euh et quelle est l’utilité des éclaireurs alors?
-Ils servent à faire diversion pour que l’ennemi ne se doute pas de l’existence de cette barrière.
Mais le problème est que cette barrière est trop proche du palais pour nous permettre de bien être prêt.
-C’est-à-dire? Que voulez vous dire par « trop proche » ?
-Je veux dire que si l’ennemi venait à passer la barrière nous n’aurions que 30 minutes pour nous préparer a l’affrontement.
-Ah…Bon bah vous avez raison alors…lui dit Benjamin l’air convaincu, ou tout du moins vaincu.
-Enfin une décision raisonnable Benjamin. Je retrouve bien là le meilleur général que je n’ai jamais vu.
-A plus tard sire… dit Benjamin en tournant les talons
-Apelle moi Dante je t’ai déjà dis. Lui répondit Dante alors que son interlocuteur passait la porte de la salle du trône. »
A peine Benjamin eut-il quitté les quartiers impériaux qu’il demanda une réunion d’urgence avec ses officiers.
Tous se retrouvèrent dans la chambre de leur général, qui avait toujours refusé de faire ses réunions ailleurs.
« -Qu’Est-ce qui vous arrive général? Lui demandèrent ses 5 caporals, 3 capitaines, et 6 lieutenants.
-Voilà….je vais avoir besoin de vous pour m’échapper…
-Comment ca « m’échapper ». lui demanda Siliana
-Je n’en peux plus de ne pas savoir ce qu’il se passe là bas alors j’aimerais y aller pour le voir de mes propres yeux…
-Mais général c’est très dangereux imaginez si vous deviez être intercepté par l’armée ennemie?
Aussi fort que vous soyez vous ne pourrez rien faire contre une armée entière…
-Je le sais lieutenant Tibald…C’est pourquoi je ne vous demande pas de m’accompagner mais juste de m’aider à m’échapper.
-Ah parce que tu crois qu’on va te laisser partir seul?! Lui lança Siliana
-Je ne veux pas que vous couriez un danger à cause de moi…
-Rien à faire. Comment crois tu que nous nous sentirions si tu devais mourir parce que nous avions trop peu pour te suivre?….
-Les troupes ont besoin d’officiers pour les commander vous ne pouvez pas les laisser tomber.
-JE sais ce que l’on va faire Benjamin. Dit le caporal Gamma qui était devenu un de ses très bons amis.
-Que propose tu Gamma?
-Je sais parfaitement ce que ressens Siliana. Car je ressens exactement la même chose.
C’est pourquoi je vais te demander d’accepter qu’elle et moi partions avec toi.
-Ca c’est une super idée! Renchérirent tous les officiers.
-NON! Vous serez accusés d’être des déserteurs et vous ne pourrez jamais devenir les soldats que vous vouiez être. Moi Il ne m’arrivera rien car je suis général et que l’armée a absolument besoin de moi. Mais vous vous n’êtes que des petits officiers après tout…
-Nous préfèrerions mourir pour vous que de rester là tandis que vous vous ferez tuer. Alors être traités de déserteurs ce n’est rien à coté.
-Tu es sur de toi Gamma? Et toi Siliana?
-Oui général! Lui répondirent-ils en cœur un grand sourire aux lèvres.
-Bien…Bon maintenant nous allons devoir préparer notre évasion. … »
Le lendemain quelques heures avant le lever du soleil.
Une ombre se glisse le long du rempart Est, bientôt suivie d’une deuxième.
A proximité de la tourelle des vigiles, elles étouffèrent encore leurs pas et pénétrèrent sans bruit à l’intérieur. Elles grimpèrent lentement les escaliers, entrèrent dans la salle de guet dans le dos des vigiles, s’approchèrent discrètement, lorsque soudain…
« Général? Et Caporal Gamma? Mais que faites vous la? Leur demanda le chef du poste de garde venu faire sa tournée d’inspection et qui venait d’arriver.
-Nous étions juste venus faire la même chose que toi Tindus. Vérifiez si tout se passait bien.
-Bon et bien comme vous êtes là je pense que je n’ai plus rien à faire là alors bonne journée Général, et vous aussi Caporal.
-Bonne journée à toi aussi Tindus.
Et celui-ci sortit de la tour.
-Bon alors mes chers vigiles rassurez moi vous n’avez pas vu d’avancée ennemie?
-Non général rien du tout. Le calme plat. »
A ce moment précis de nombreux arbres s’écroulèrent comme coupés par une armée d’ombres blanches circulant à travers les bois.
« Mais qu’Est-ce que c’est que ca?! Rugit le Caporal
-Au…Aucune idée caporal…bégaya l’un des guetteurs.
-Espèces d’incapables! Renchérit Gamma
-Calme toi Gamma. Lui dit calmement Benjamin venant au secours des pauvres guetteurs. Ils n’ont rien fait ils ne peuvent pas tout savoir non plus.
Nous allons voir par nous-mêmes de quoi il s’agit ne vous inquiétez pas. Leur dit il en quittant la pièce accompagné par le caporal.
Des qu’ils furent sortis prétextant aller voir ce qu’étaient ces ombres blanches Le caporal éclata d’un rire sonore et dit:
-Nous avons réussi! Il faudra refaire çà un de ses jours comme ca j’adore terroriser ces pauvres guetteurs.
-Ca te retombera dessus un de ses quatre gamma.
-Je sais c’est bien pour çà que j’en profite.
-Tu me désespère…soupira Benjamin. »
Arrivés dans le centre de la forêt ils se trouvèrent en face d’un nuage de feuilles blanches, qui ne tardèrent pas à se regrouper afin de former ni plus ni moins que l’amour de Benjamin.
-Tu as été géniale ma belle rien à redire. Lui dit ce dernier avant de l’embrasser fougueusement.
-Je sais je sais. Fut sa réponse un grand sourire aux lèvres.
-Bon et bien caporal, capitaine, allons y!
-Oui général. Lui répondirent-ils avant de s’enfoncer à plaine vitesse dans les bois.
5 jours et 17 heures plus tôt, au milieu de la nuit, les troupes de Tomy, Elsa et Mino approchaient de la fin de la forêt.
Dans le camp régnait un silence de cathédrale, car tous redoutaient la grande bataille qui allait arriver.
Cependant ce silence fut troublé par un soldat courant à travers les rangs en demandant à voir Tomy chargé de diriger l’expédition.
Ce dernier le fit entrer sas attendre dans sa tente ou se trouvait aussi Elsa.
« Que se passe-t-il soldat? Pourquoi toute cette agitation?
-C’est…C’est le général Mino monsieur…
-Quel est le problème avec Mino soldat? répondez moi vite! Rugit Tomy
-Le problème est qu’il y a environ 3 heures le général a cru voir du mouvement dans les fourrés et s’y est précipitée ainsi que sa garde rapprochée.
Seulement elle n’est toujours pas revenue et nous sommes inquiets.
-Et merde! Pourvu qu’il ne lui soit rien arrivé…Bon Elsa va chercher le caporal Kidan s’il te plait.
-J’y vais de ce pas Tomy. Mais qu’a tu l’intention de faire?
-Va chercher le caporal tu comprendra ensuite. »
Quelques instants plus tard apparurent Elsa et un géant blond armé de deux haches énormes.
Il avait une allure de viking, tant par sa façon de se coiffer que par les tatouages qui semblaient recouvrir une bonne partie de son corps.
« Vous vouliez me voir général? Demanda-t-il à Tomy après s’être incliné très bas.
-Oui Kidan. Je vais te demander de t’occuper du camp durant notre absence à Elsa et moi.
Nous allons devoir partir chercher le général Mino. Et comme tu es celui ici présent en qui j’ai le plus confiance je te charge de ce poste très important.
-C’est un honneur que vous me faites général.
-Je sais Kidan alors montre moi que tu en es digne.
-Je ne vous décevrai pas général.
-Je sais. »
Et immédiatement après ces mots Tomy et Elsa disparurent tout de suite précédés de leur garde rapprochée.
Ils foncèrent à travers les bois à la recherche d’une trace de leur amie.
Après plus de 20 minutes de vaines recherches Tomy et Elsa commencèrent à désespérer.
Jusqu’à ce qu’un cri strident retentisse.
Et le couple partit en vitesse là d’où provenait le cri.
Ce qu’ils y virent les terrifièrent.
Il y avait un cercle parfait d‘environ 20 mètres de diamètre, sans un seul arbre, à l’intérieur à la place il y avait une colline de cadavres de soldats, de femmes, et d’enfants.
Tous avaient le visage pétrifié de terreur et leurs membres semblaient avoir étés lacérés par un monstre sanguinaire.
Au sommet de la colline se trouvait un jeune garçon d’environ 11 ans, le corps recouvert de sang.
Il était à genoux et gardait la tête baissée.
Tomy s’approcha de lui, et s’arrêta n bas de la « colline » avant de lui demander qui il était, et ce qu’il s’était passé.
Le petit garçon releva la tête, et révéla…un sourire.
Il souriait de toutes ses dents au milieu de ce massacre.
Ce sourire fit trembler Elsa de terreur tant il était malsain.
Le garçon se releva lentement, et Tomy, Elsa et leurs hommes se mirent en garde.
En un instant le garçon disparut et se retrouva dans le dos de l’un des gardes, une seconde plus tard celui-ci se retrouva le corps coupé en morceaux par des griffes énormes sorties tout droit des doigts du garçon.
« Mais qu’est donc ce monstre? Hurla Tomy totalement prit de court et entrain de s’enfuir avec ses hommes.
-C’est le démon Shuda il a été crée par Zamal afin de tuer tous ceux qui tenteraient de traverser cette forêt. Il a utilisé un enfant pour y intégrer l’âme du démon car qui se méfierait d’un enfant? Lui répondit le chef de sa garde personnelle.
-Une raison de plus de faire payer cette enfoiré de fanatique. Y-a-t-il un moyen de vaincre ce démon?
-Il faut le réduire en bouillie afin de l’empêcher de se régénérer.
-Le trancher en morceaux ne suffirait pas?
-Hélas non le seul moyen serait de le broyer en morceaux mais personne n’a jamais réussi…
-Nous allons donc devoir nous battre. »
ET là Tomy stoppa net sa course et se retourna vers le monstre.
Elsa s’installa à ses cotés tandis que les gardes du corps les encerclèrent afin de les protéger.
Alors que le démon se ruait sur ses gardes, Tomy fit apparaître une paroi de sable autour de chacun de ses soldats afin qu’ils ne se fassent pas tuer comme çà.
Quand à Elsa elle se concentrait pour pouvoir lancer une illusion assez puissante pour tromper le monstre.
Tomy quand à lui se livrait à un duel avec le Mi-démon Mi-enfant, et il était en sérieux désavantage. Le démon était très rapide, et Tomy avait du mal à se défendre et à protéger ses compagnons en même temps.
Lorsque tout à coup Le monstre traversa la défense de Tomy et lui planta les griffes dans l’estomac.
Le général s’envola et alla s’écraser sur un arbre, afin de s’effondrer en sang…
Lorsqu’Elsa vit l’amour de sa vie s’écrouler, elle devint folle et lança une illusion surpuissante dans la tête du démon. Le problème avec la technique d’Elsa est qu’elle lui prend beaucoup d’énergie et qu’elle rend son corps sans défense pendant qu’elle est dans l’esprit de son adversaire. Et si ce dernier devait lancer des attaques un peu partout en essayant de la tuer dans ses illusions elle ne pourrait pas l’éviter.
Dans l’illusion d’Elsa le démon était attaqué par tous ceux qu’il avait tué, et ils revenaient sans cesse afin de le faire payer.
Seulement le démon lâcha tout son pouvoir et l’illusion d’Elsa disparut instantanément tandis qu’elle fut projetée au sol.
Le démon s’approcha lentement d’elle se léchant déjà les babines de la partie de plaisir qu’il prendrait en la tuant.
Il n’était qu’à quelques mètres d’Elsa lorsque une ombre surgit soudain des fourrés et frappa de plein fouet le monstre l’envoyant se fracasser contre des arbres.
« Mi…Mi…Mino?…demanda Elsa au bord de l’évanouissement
-Ne t’inquiète pas Elsa je m’occupe de tout. »
Puis Elsa s’évanouit.
Elle ne vit donc pas tous les gardes du corps de Mino, Tomy et elle coincer le monstre dans un couloir de pierre, et Mino rentrer dedans à pleine vitesse et le broyer de toutes ses forces contre les parois du couloir.
C’est ainsi que le démon Shuda mourut.
Tous finirent par rentrer, tout en pleurant leurs camarades perdus.
Et Mino avait réussi à soigner Tomy avant qu’il ne se vide totalement de son sang.
Ensuite Mino leu raconta toute l’histoire.
Qu’elle avait vu le petit garçon s’enfuir dans les bois et qu’elle avait tenté de le rattraper pour l’arrêter car la forêt était dangereuse.
Et qu’au fur et à mesure du temps elle voyait de plus en plus de ses gardes disparaître dans une explosion de sang.
Et que finalement accompagnée de ses 5 meilleurs gardes elle avait réussi à s’enfuir.
Pour finir par tomber sur Elsa et Tomy en combat contre le démon.
La nuit et la journée du lendemain se passèrent bien, sans aucune anicroches, et les soldats plus que jamais surs de leur victoire après avoir appris que leur généraux avaient vaincus l’horrible Shuda.
Les soldats arrivèrent rapidement à la sortie de la forêt.
Après la seconde nuit, quelques instants seulement après l’apparition du soleil sur l’horizon, les troupes ennemies apparurent de l’autre coté de la plaine qui suivait les bois qui venaient d’être quittés.
La tension était à son comble. Tomy demanda une réunion d’urgence.
« Comme vous avez du l’apprendre les troupes ennemies sont en vue…
Vous savez ce que cela veut dire..
-Ca veut dire que nous allons enfin nous battre! S’enthousiasma Kidan
Les troupes n’en pouvaient plus de cette attente qui n’en finissait pas.
-Je ne sais pas si il est vraiment bon de se réjouir alors que nous allons devoir nous battre contre des monstres, qui peuvent nous vaincre quel que soit notre courage.
-Vous savez général moi aussi c’Est-ce que je croyais lors de mes premiers affrontements. Mais maintenant j’ai appris que le plus important lors d’un combat ce n’était finalement pas la force, pas la puissance, ni le courage d’ailleurs. Le plus important c’est la détermination. Car quel que soit votre force si vous n’êtes pas déterminé a gagner vous ne pourrez rien faire.
-Tu as raison Kidan et une fois de plus je vais te faire confiance car je n’ai aucune expérience en la matière.
-Merci mon général. Lui dit le caporal en s’inclinant.
-Bon alors vous êtes prêts à vous battre?
-OUI mon général! Hurlèrent tous les officiers
-Très bien nous allons donc nous préparer.
Moi pendant ce temps je vais allez prévenir les soldats et leur redonner confiance.
ET c’Est-ce qu’il fit. Après son passage et ses encouragements tous les soldats se tapèrent le poing sur le cœur en remerciant leur général d’être aussi bon avec eux.
Ce spectacle fit beaucoup plaisir à Tomy et celui-ci ne sachant pas comment le montrer le cacha.
Alors que les deux armées se faisaient face à quelques centaines de mètres de distance, cinq cavaliers surgirent des troupes de Zamal et se dirigèrent vers l’armée de l’Imperator.
Il furent rejoints au centre de la plaine par Tomy, Elsa et deux de leurs gardes personnels.
Les hommes de Zamal semblaient normaux dans leurs armures de cuir, si ce n’étaient leurs yeux totalement noir qui brillaient sous leur heaume.
Quatre des cavaliers étaient de ces soldats, le dernier quant à lui était vêtus d’une longue cape à capuche noire qui dissimulait tout son visage sauf sa bouche garnie de dents énormes.
Celui-ci leur dit:
« Je suis un messager du grand Zamal le Jeune, et je vous conseille de nous laisser passer si vous ne voulez pas tous mourir.
-Vous croyez que nous allons nous rendre face à une armée de fanatiques qui voudraient rendre le monde plus obscur qu’il ne l’a jamais été? Lui dit Tomy
-Je peux lire dans vos yeux que vous n’êtes pas idiot. Alors réfléchissez bien, pensez à la vie de vos soldats que vous risquez de gâcher parce que vous voulez vous entêter..;
-C’est vrai vous avez raison…Je ne peux pas me permettre de gâcher leur vie.
-Ah je suis heureux de vous voir revenir à la raison mon cher!
-C’est pourquoi je vais leur permettre d’en profiter un maximum…
-Au moins il n’y aura pas d’effusion de sang. Et vous garderez tous a vie sauve. »
Et là un grand nuage de sable se referma sur les soldats et le messager.
« Quoi? Mais que faîtes vous?
-Moi je me contente de débarrasser le monde d’une pourriture.
-Vous n’avez pas le droit! On ne tue pas un messager.
-Je ne vous considère pas comme un messager mais plutôt comme un monstre. Et puis j’ai envie de vous dire…Vous n’aviez qu’à pas tuer tous ceux de mon peuple!
La vengeance des Aztèques à sonnée! »
Et à peine ces mots prononcés Tomy fit se resserrer le sable et réduisit en bouillie le corps des fanatiques.
Tout de suite après cette déclaration de guerre les deux armées se ruèrent l’une contre l’autre, Sous le soleil encore haut dans le ciel, le soleil devenu rougeâtre, et teintant les cieux d’une couleur vermeil.
A peine le cavalier eut il été aperçu par les vigiles, que tout le monde dans le palais accourut devant la Grande porte.
La tension était à son comble, et lorsque la porte s’ouvrit, tout le monde retint son souffle.
Un grand soldat dans une armure immense, portant l’écusson des bushin, apparut avec son cheval tout aussi imposant que lui à ses cotés.
Le soldat parvint jusqu’à la foule, et cette dernière s’empressa de s’écarter afin de laisser place au colosse en armure.
Seulement après quelques mètres à peine il s’écroula et tomba violement sur le sol.
Tous s’empressèrent de le porter et l’emmenèrent à l’infirmerie du palais.
Pendant que le soldat était en soins, Benjamin parlait avec l’Imperator et ce de façon assez violente:
« Mais arrêtez enfin!! Vous voyez bien dans quel état sont nos soldats!
Ils désespèrent de ne pas voir leurs camarades rentrer. Sans même une nouvelle.
-Benjamin calme toi s’il te plait…
-Que je me calme?! Alors que mes amis sont peut-être capturés par l’ennemi ou pire encore?
-Benjamin arrête un peu. Tu sais parfaitement que tes amis ne peuvent pas se faire capturer comme cela. Et puis que veux tu y faire?
-Je propose d’y aller avec mes hommes et de constater par moi-même ce qu’il s’y passe…
-Impossible!
-Comment ca impossible?
-Nous ne pouvons pas nous permettre de laisser le palais sans surveillance. Et pour peu que l’ennemi ait contourner nos troupes nous ne pourront rien faire sans vous.
-mais si l’ennemi avait vraiment contourner l’armée les éclaireurs nous auraient prévenus non?
-si l’ennemi ne possédait pas de mages oui…Mais le fait est que Zamal est maître dans la maîtrise de l’Obscurité et Dieu seul sait ce qu’il a pu créer comme monstre.
-Donc en gros si j’ai bien compris on pourrait à tout moment se faire attaquer par ces troupes de fanatiques?
-Oui et non…En fait durant son règne mon père avait crée une barrière autour de la forêt afin de savoir si quelqu’un la traversait.
-Euh et quelle est l’utilité des éclaireurs alors?
-Ils servent à faire diversion pour que l’ennemi ne se doute pas de l’existence de cette barrière.
Mais le problème est que cette barrière est trop proche du palais pour nous permettre de bien être prêt.
-C’est-à-dire? Que voulez vous dire par « trop proche » ?
-Je veux dire que si l’ennemi venait à passer la barrière nous n’aurions que 30 minutes pour nous préparer a l’affrontement.
-Ah…Bon bah vous avez raison alors…lui dit Benjamin l’air convaincu, ou tout du moins vaincu.
-Enfin une décision raisonnable Benjamin. Je retrouve bien là le meilleur général que je n’ai jamais vu.
-A plus tard sire… dit Benjamin en tournant les talons
-Apelle moi Dante je t’ai déjà dis. Lui répondit Dante alors que son interlocuteur passait la porte de la salle du trône. »
A peine Benjamin eut-il quitté les quartiers impériaux qu’il demanda une réunion d’urgence avec ses officiers.
Tous se retrouvèrent dans la chambre de leur général, qui avait toujours refusé de faire ses réunions ailleurs.
« -Qu’Est-ce qui vous arrive général? Lui demandèrent ses 5 caporals, 3 capitaines, et 6 lieutenants.
-Voilà….je vais avoir besoin de vous pour m’échapper…
-Comment ca « m’échapper ». lui demanda Siliana
-Je n’en peux plus de ne pas savoir ce qu’il se passe là bas alors j’aimerais y aller pour le voir de mes propres yeux…
-Mais général c’est très dangereux imaginez si vous deviez être intercepté par l’armée ennemie?
Aussi fort que vous soyez vous ne pourrez rien faire contre une armée entière…
-Je le sais lieutenant Tibald…C’est pourquoi je ne vous demande pas de m’accompagner mais juste de m’aider à m’échapper.
-Ah parce que tu crois qu’on va te laisser partir seul?! Lui lança Siliana
-Je ne veux pas que vous couriez un danger à cause de moi…
-Rien à faire. Comment crois tu que nous nous sentirions si tu devais mourir parce que nous avions trop peu pour te suivre?….
-Les troupes ont besoin d’officiers pour les commander vous ne pouvez pas les laisser tomber.
-JE sais ce que l’on va faire Benjamin. Dit le caporal Gamma qui était devenu un de ses très bons amis.
-Que propose tu Gamma?
-Je sais parfaitement ce que ressens Siliana. Car je ressens exactement la même chose.
C’est pourquoi je vais te demander d’accepter qu’elle et moi partions avec toi.
-Ca c’est une super idée! Renchérirent tous les officiers.
-NON! Vous serez accusés d’être des déserteurs et vous ne pourrez jamais devenir les soldats que vous vouiez être. Moi Il ne m’arrivera rien car je suis général et que l’armée a absolument besoin de moi. Mais vous vous n’êtes que des petits officiers après tout…
-Nous préfèrerions mourir pour vous que de rester là tandis que vous vous ferez tuer. Alors être traités de déserteurs ce n’est rien à coté.
-Tu es sur de toi Gamma? Et toi Siliana?
-Oui général! Lui répondirent-ils en cœur un grand sourire aux lèvres.
-Bien…Bon maintenant nous allons devoir préparer notre évasion. … »
Le lendemain quelques heures avant le lever du soleil.
Une ombre se glisse le long du rempart Est, bientôt suivie d’une deuxième.
A proximité de la tourelle des vigiles, elles étouffèrent encore leurs pas et pénétrèrent sans bruit à l’intérieur. Elles grimpèrent lentement les escaliers, entrèrent dans la salle de guet dans le dos des vigiles, s’approchèrent discrètement, lorsque soudain…
« Général? Et Caporal Gamma? Mais que faites vous la? Leur demanda le chef du poste de garde venu faire sa tournée d’inspection et qui venait d’arriver.
-Nous étions juste venus faire la même chose que toi Tindus. Vérifiez si tout se passait bien.
-Bon et bien comme vous êtes là je pense que je n’ai plus rien à faire là alors bonne journée Général, et vous aussi Caporal.
-Bonne journée à toi aussi Tindus.
Et celui-ci sortit de la tour.
-Bon alors mes chers vigiles rassurez moi vous n’avez pas vu d’avancée ennemie?
-Non général rien du tout. Le calme plat. »
A ce moment précis de nombreux arbres s’écroulèrent comme coupés par une armée d’ombres blanches circulant à travers les bois.
« Mais qu’Est-ce que c’est que ca?! Rugit le Caporal
-Au…Aucune idée caporal…bégaya l’un des guetteurs.
-Espèces d’incapables! Renchérit Gamma
-Calme toi Gamma. Lui dit calmement Benjamin venant au secours des pauvres guetteurs. Ils n’ont rien fait ils ne peuvent pas tout savoir non plus.
Nous allons voir par nous-mêmes de quoi il s’agit ne vous inquiétez pas. Leur dit il en quittant la pièce accompagné par le caporal.
Des qu’ils furent sortis prétextant aller voir ce qu’étaient ces ombres blanches Le caporal éclata d’un rire sonore et dit:
-Nous avons réussi! Il faudra refaire çà un de ses jours comme ca j’adore terroriser ces pauvres guetteurs.
-Ca te retombera dessus un de ses quatre gamma.
-Je sais c’est bien pour çà que j’en profite.
-Tu me désespère…soupira Benjamin. »
Arrivés dans le centre de la forêt ils se trouvèrent en face d’un nuage de feuilles blanches, qui ne tardèrent pas à se regrouper afin de former ni plus ni moins que l’amour de Benjamin.
-Tu as été géniale ma belle rien à redire. Lui dit ce dernier avant de l’embrasser fougueusement.
-Je sais je sais. Fut sa réponse un grand sourire aux lèvres.
-Bon et bien caporal, capitaine, allons y!
-Oui général. Lui répondirent-ils avant de s’enfoncer à plaine vitesse dans les bois.
5 jours et 17 heures plus tôt, au milieu de la nuit, les troupes de Tomy, Elsa et Mino approchaient de la fin de la forêt.
Dans le camp régnait un silence de cathédrale, car tous redoutaient la grande bataille qui allait arriver.
Cependant ce silence fut troublé par un soldat courant à travers les rangs en demandant à voir Tomy chargé de diriger l’expédition.
Ce dernier le fit entrer sas attendre dans sa tente ou se trouvait aussi Elsa.
« Que se passe-t-il soldat? Pourquoi toute cette agitation?
-C’est…C’est le général Mino monsieur…
-Quel est le problème avec Mino soldat? répondez moi vite! Rugit Tomy
-Le problème est qu’il y a environ 3 heures le général a cru voir du mouvement dans les fourrés et s’y est précipitée ainsi que sa garde rapprochée.
Seulement elle n’est toujours pas revenue et nous sommes inquiets.
-Et merde! Pourvu qu’il ne lui soit rien arrivé…Bon Elsa va chercher le caporal Kidan s’il te plait.
-J’y vais de ce pas Tomy. Mais qu’a tu l’intention de faire?
-Va chercher le caporal tu comprendra ensuite. »
Quelques instants plus tard apparurent Elsa et un géant blond armé de deux haches énormes.
Il avait une allure de viking, tant par sa façon de se coiffer que par les tatouages qui semblaient recouvrir une bonne partie de son corps.
« Vous vouliez me voir général? Demanda-t-il à Tomy après s’être incliné très bas.
-Oui Kidan. Je vais te demander de t’occuper du camp durant notre absence à Elsa et moi.
Nous allons devoir partir chercher le général Mino. Et comme tu es celui ici présent en qui j’ai le plus confiance je te charge de ce poste très important.
-C’est un honneur que vous me faites général.
-Je sais Kidan alors montre moi que tu en es digne.
-Je ne vous décevrai pas général.
-Je sais. »
Et immédiatement après ces mots Tomy et Elsa disparurent tout de suite précédés de leur garde rapprochée.
Ils foncèrent à travers les bois à la recherche d’une trace de leur amie.
Après plus de 20 minutes de vaines recherches Tomy et Elsa commencèrent à désespérer.
Jusqu’à ce qu’un cri strident retentisse.
Et le couple partit en vitesse là d’où provenait le cri.
Ce qu’ils y virent les terrifièrent.
Il y avait un cercle parfait d‘environ 20 mètres de diamètre, sans un seul arbre, à l’intérieur à la place il y avait une colline de cadavres de soldats, de femmes, et d’enfants.
Tous avaient le visage pétrifié de terreur et leurs membres semblaient avoir étés lacérés par un monstre sanguinaire.
Au sommet de la colline se trouvait un jeune garçon d’environ 11 ans, le corps recouvert de sang.
Il était à genoux et gardait la tête baissée.
Tomy s’approcha de lui, et s’arrêta n bas de la « colline » avant de lui demander qui il était, et ce qu’il s’était passé.
Le petit garçon releva la tête, et révéla…un sourire.
Il souriait de toutes ses dents au milieu de ce massacre.
Ce sourire fit trembler Elsa de terreur tant il était malsain.
Le garçon se releva lentement, et Tomy, Elsa et leurs hommes se mirent en garde.
En un instant le garçon disparut et se retrouva dans le dos de l’un des gardes, une seconde plus tard celui-ci se retrouva le corps coupé en morceaux par des griffes énormes sorties tout droit des doigts du garçon.
« Mais qu’est donc ce monstre? Hurla Tomy totalement prit de court et entrain de s’enfuir avec ses hommes.
-C’est le démon Shuda il a été crée par Zamal afin de tuer tous ceux qui tenteraient de traverser cette forêt. Il a utilisé un enfant pour y intégrer l’âme du démon car qui se méfierait d’un enfant? Lui répondit le chef de sa garde personnelle.
-Une raison de plus de faire payer cette enfoiré de fanatique. Y-a-t-il un moyen de vaincre ce démon?
-Il faut le réduire en bouillie afin de l’empêcher de se régénérer.
-Le trancher en morceaux ne suffirait pas?
-Hélas non le seul moyen serait de le broyer en morceaux mais personne n’a jamais réussi…
-Nous allons donc devoir nous battre. »
ET là Tomy stoppa net sa course et se retourna vers le monstre.
Elsa s’installa à ses cotés tandis que les gardes du corps les encerclèrent afin de les protéger.
Alors que le démon se ruait sur ses gardes, Tomy fit apparaître une paroi de sable autour de chacun de ses soldats afin qu’ils ne se fassent pas tuer comme çà.
Quand à Elsa elle se concentrait pour pouvoir lancer une illusion assez puissante pour tromper le monstre.
Tomy quand à lui se livrait à un duel avec le Mi-démon Mi-enfant, et il était en sérieux désavantage. Le démon était très rapide, et Tomy avait du mal à se défendre et à protéger ses compagnons en même temps.
Lorsque tout à coup Le monstre traversa la défense de Tomy et lui planta les griffes dans l’estomac.
Le général s’envola et alla s’écraser sur un arbre, afin de s’effondrer en sang…
Lorsqu’Elsa vit l’amour de sa vie s’écrouler, elle devint folle et lança une illusion surpuissante dans la tête du démon. Le problème avec la technique d’Elsa est qu’elle lui prend beaucoup d’énergie et qu’elle rend son corps sans défense pendant qu’elle est dans l’esprit de son adversaire. Et si ce dernier devait lancer des attaques un peu partout en essayant de la tuer dans ses illusions elle ne pourrait pas l’éviter.
Dans l’illusion d’Elsa le démon était attaqué par tous ceux qu’il avait tué, et ils revenaient sans cesse afin de le faire payer.
Seulement le démon lâcha tout son pouvoir et l’illusion d’Elsa disparut instantanément tandis qu’elle fut projetée au sol.
Le démon s’approcha lentement d’elle se léchant déjà les babines de la partie de plaisir qu’il prendrait en la tuant.
Il n’était qu’à quelques mètres d’Elsa lorsque une ombre surgit soudain des fourrés et frappa de plein fouet le monstre l’envoyant se fracasser contre des arbres.
« Mi…Mi…Mino?…demanda Elsa au bord de l’évanouissement
-Ne t’inquiète pas Elsa je m’occupe de tout. »
Puis Elsa s’évanouit.
Elle ne vit donc pas tous les gardes du corps de Mino, Tomy et elle coincer le monstre dans un couloir de pierre, et Mino rentrer dedans à pleine vitesse et le broyer de toutes ses forces contre les parois du couloir.
C’est ainsi que le démon Shuda mourut.
Tous finirent par rentrer, tout en pleurant leurs camarades perdus.
Et Mino avait réussi à soigner Tomy avant qu’il ne se vide totalement de son sang.
Ensuite Mino leu raconta toute l’histoire.
Qu’elle avait vu le petit garçon s’enfuir dans les bois et qu’elle avait tenté de le rattraper pour l’arrêter car la forêt était dangereuse.
Et qu’au fur et à mesure du temps elle voyait de plus en plus de ses gardes disparaître dans une explosion de sang.
Et que finalement accompagnée de ses 5 meilleurs gardes elle avait réussi à s’enfuir.
Pour finir par tomber sur Elsa et Tomy en combat contre le démon.
La nuit et la journée du lendemain se passèrent bien, sans aucune anicroches, et les soldats plus que jamais surs de leur victoire après avoir appris que leur généraux avaient vaincus l’horrible Shuda.
Les soldats arrivèrent rapidement à la sortie de la forêt.
Après la seconde nuit, quelques instants seulement après l’apparition du soleil sur l’horizon, les troupes ennemies apparurent de l’autre coté de la plaine qui suivait les bois qui venaient d’être quittés.
La tension était à son comble. Tomy demanda une réunion d’urgence.
« Comme vous avez du l’apprendre les troupes ennemies sont en vue…
Vous savez ce que cela veut dire..
-Ca veut dire que nous allons enfin nous battre! S’enthousiasma Kidan
Les troupes n’en pouvaient plus de cette attente qui n’en finissait pas.
-Je ne sais pas si il est vraiment bon de se réjouir alors que nous allons devoir nous battre contre des monstres, qui peuvent nous vaincre quel que soit notre courage.
-Vous savez général moi aussi c’Est-ce que je croyais lors de mes premiers affrontements. Mais maintenant j’ai appris que le plus important lors d’un combat ce n’était finalement pas la force, pas la puissance, ni le courage d’ailleurs. Le plus important c’est la détermination. Car quel que soit votre force si vous n’êtes pas déterminé a gagner vous ne pourrez rien faire.
-Tu as raison Kidan et une fois de plus je vais te faire confiance car je n’ai aucune expérience en la matière.
-Merci mon général. Lui dit le caporal en s’inclinant.
-Bon alors vous êtes prêts à vous battre?
-OUI mon général! Hurlèrent tous les officiers
-Très bien nous allons donc nous préparer.
Moi pendant ce temps je vais allez prévenir les soldats et leur redonner confiance.
ET c’Est-ce qu’il fit. Après son passage et ses encouragements tous les soldats se tapèrent le poing sur le cœur en remerciant leur général d’être aussi bon avec eux.
Ce spectacle fit beaucoup plaisir à Tomy et celui-ci ne sachant pas comment le montrer le cacha.
Alors que les deux armées se faisaient face à quelques centaines de mètres de distance, cinq cavaliers surgirent des troupes de Zamal et se dirigèrent vers l’armée de l’Imperator.
Il furent rejoints au centre de la plaine par Tomy, Elsa et deux de leurs gardes personnels.
Les hommes de Zamal semblaient normaux dans leurs armures de cuir, si ce n’étaient leurs yeux totalement noir qui brillaient sous leur heaume.
Quatre des cavaliers étaient de ces soldats, le dernier quant à lui était vêtus d’une longue cape à capuche noire qui dissimulait tout son visage sauf sa bouche garnie de dents énormes.
Celui-ci leur dit:
« Je suis un messager du grand Zamal le Jeune, et je vous conseille de nous laisser passer si vous ne voulez pas tous mourir.
-Vous croyez que nous allons nous rendre face à une armée de fanatiques qui voudraient rendre le monde plus obscur qu’il ne l’a jamais été? Lui dit Tomy
-Je peux lire dans vos yeux que vous n’êtes pas idiot. Alors réfléchissez bien, pensez à la vie de vos soldats que vous risquez de gâcher parce que vous voulez vous entêter..;
-C’est vrai vous avez raison…Je ne peux pas me permettre de gâcher leur vie.
-Ah je suis heureux de vous voir revenir à la raison mon cher!
-C’est pourquoi je vais leur permettre d’en profiter un maximum…
-Au moins il n’y aura pas d’effusion de sang. Et vous garderez tous a vie sauve. »
Et là un grand nuage de sable se referma sur les soldats et le messager.
« Quoi? Mais que faîtes vous?
-Moi je me contente de débarrasser le monde d’une pourriture.
-Vous n’avez pas le droit! On ne tue pas un messager.
-Je ne vous considère pas comme un messager mais plutôt comme un monstre. Et puis j’ai envie de vous dire…Vous n’aviez qu’à pas tuer tous ceux de mon peuple!
La vengeance des Aztèques à sonnée! »
Et à peine ces mots prononcés Tomy fit se resserrer le sable et réduisit en bouillie le corps des fanatiques.
Tout de suite après cette déclaration de guerre les deux armées se ruèrent l’une contre l’autre, Sous le soleil encore haut dans le ciel, le soleil devenu rougeâtre, et teintant les cieux d’une couleur vermeil.
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Re: Another destiny
Invité Dim 13 Juin 2010 - 7:07
Baby vodka, si tu veux des commentaires, ça serait bien de poster des extraits plus courts. Et puis, ce serait bien aussi de te présenter ici : https://vosecrits.1fr1.net/conversations-atelier-f4/presentez-vous-ici-t6735.htm.
Si tu lis la page d'accueil, tu verras textuellement que "Ce forum n’est pas une vitrine, mais un atelier d’écriture, il s’agit donc de ne pas seulement poster ses textes, mais de participer un minimum".
Si tu lis la page d'accueil, tu verras textuellement que "Ce forum n’est pas une vitrine, mais un atelier d’écriture, il s’agit donc de ne pas seulement poster ses textes, mais de participer un minimum".
Invité- Invité
Re: Another destiny
baby_vodka Dim 13 Juin 2010 - 11:30
Pourquoi posterais-je des extraits pus courts alors qu'ils se suivent dans le deroulement de l'histoire? Les descriptions se font au fur et a mesure il ne serait donc aps possible d'en enlever une partie.
Deuxiemement j'ai bien l'intention de participer seulement hier soir j'ai juste eu le temps de poster avant de partir.
merci bien
Deuxiemement j'ai bien l'intention de participer seulement hier soir j'ai juste eu le temps de poster avant de partir.
merci bien
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Re: Another destiny
Invité Dim 13 Juin 2010 - 11:41
C'est pour toi, pour mieux être lu. Parce que des textes longs comme le tien ont tendance à susciter moins de lectures. Tu n'es pas le premier à poster une nouvelle, il y a même sur ce forum des gens qui écrivent des romans... Et postent morceau par morceau, chapitre par chapitre. Personne ne parle d'ôter quoi que ce soit. Maintenant, ce que je j'en dis hein...
Invité- Invité
Re: Another destiny
baby_vodka Dim 13 Juin 2010 - 11:43
Au depart je postais chapitre par chapitre.
seulement c'etait sur un autre forum.
mais si i faut je reccommence en attendant un peu entre chaque post de chapitre =)
ps j'ai bien l'intentio de faire durer cette histoire afin qu'elle se rapproche pus du roman que de a nouvele =)
seulement c'etait sur un autre forum.
mais si i faut je reccommence en attendant un peu entre chaque post de chapitre =)
ps j'ai bien l'intentio de faire durer cette histoire afin qu'elle se rapproche pus du roman que de a nouvele =)
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Re: Another destiny
Rebecca Dim 13 Juin 2010 - 11:57
Va falloir apprendre la patience baby. Et travailler.
J'ai lu le début, je me rappelle qu'à plusieurs reprises le même mot apparaissait à plusieurs reprises dans une même phrase ou dans des phrases proches. Ce qui tend à laisser penser que tu ne te relis pas ...ou alors que les répétitions ne te dérangent pas...
Donc mets des textes bien plus courts et retravaille les... Surtout si tu veux qu'on t'aide à relever les imperfections. Dans l'immédiat, je ne me lance pas dans une correction qui me prendrait trop de temps.
Ensuite relis tes réponses aussi avant de les envoyer. Tes mots tronqués témoignent d'un certain manque de respect pour ce site et ses membres.
Sans compter que ce que tu fais sur un autre forum, on s'en balance . Nous on est ici, on te parle de ce qu'on attend ici.
Bienvenue sur Vos Ecrits, baby_vodka (et n'en bois que si cela te permet de voir tes erreurs en double et tes répétitions en quadruple, ça saoulera moins le lectorat éventuel)
J'ai lu le début, je me rappelle qu'à plusieurs reprises le même mot apparaissait à plusieurs reprises dans une même phrase ou dans des phrases proches. Ce qui tend à laisser penser que tu ne te relis pas ...ou alors que les répétitions ne te dérangent pas...
Donc mets des textes bien plus courts et retravaille les... Surtout si tu veux qu'on t'aide à relever les imperfections. Dans l'immédiat, je ne me lance pas dans une correction qui me prendrait trop de temps.
Ensuite relis tes réponses aussi avant de les envoyer. Tes mots tronqués témoignent d'un certain manque de respect pour ce site et ses membres.
Sans compter que ce que tu fais sur un autre forum, on s'en balance . Nous on est ici, on te parle de ce qu'on attend ici.
Bienvenue sur Vos Ecrits, baby_vodka (et n'en bois que si cela te permet de voir tes erreurs en double et tes répétitions en quadruple, ça saoulera moins le lectorat éventuel)
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Re: Another destiny
Nechez Dim 13 Juin 2010 - 12:06
Je viens de lire le premier chapitre et je souhaite bonne chance à tes super héros :-)
Quelques fautes :
pour trouver un quelconque intérêt à leur parler.
se mit à frapper inutilement
dans une étrange boite en terre.
Il était tellement renfermé à essayer de comprendre
<< Salut je m'appelle Benjamin mais tu peux m’appeler benji. (écrire les prénoms des personnages avec une majuscule)
lui répondit à contre-cœur Tomy
cet étrange courant
mais Tomy grâce à ses yeux
Il s'appelait yoga et intimidait tout ceux qui ne le connaissaient pas ….
Souvent des problèmes de à et a, où et ou.
Quelques fautes :
pour trouver un quelconque intérêt à leur parler.
se mit à frapper inutilement
dans une étrange boite en terre.
Il était tellement renfermé à essayer de comprendre
<< Salut je m'appelle Benjamin mais tu peux m’appeler benji. (écrire les prénoms des personnages avec une majuscule)
lui répondit à contre-cœur Tomy
cet étrange courant
mais Tomy grâce à ses yeux
Il s'appelait yoga et intimidait tout ceux qui ne le connaissaient pas ….
Souvent des problèmes de à et a, où et ou.
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Re: Another destiny
Rebecca Dim 13 Juin 2010 - 12:12
Voici déjà deux extraits particulièrement indigeste à réécrire :
C'est à 8 ans alors qu'il était tombé d'un arbre...qu'il avait découvert ses pouvoirs.
Il était alors en train de grimper à un arbre, en pleine nuit, pour pouvoir admirer la lune sans craindre d’être dérangé.
Alors qu’il était perdu dans ses pensées, un orage éclata.
Mais Tomy trouvait le contact de la pluie agréable, et décida de rester sur son arbre.
Seulement un éclair vint percuter l’arbre sur lequel il se trouvait, puis plus rien..........
Et alors que "Big B" n'était qu'à 2 mètres de Tomy, une bourrasque particulièrement puissante vint le percuter directement, il vit parfaitement l’air se condenser devant lui et le percuter de telle façon que l’on aurait dire un coup de poing, mais d’air. Tellement puissant qu'il vint percuter le poteau 5 mètres derrière lui!
C'est à 8 ans alors qu'il était tombé d'un arbre...qu'il avait découvert ses pouvoirs.
Il était alors en train de grimper à un arbre, en pleine nuit, pour pouvoir admirer la lune sans craindre d’être dérangé.
Alors qu’il était perdu dans ses pensées, un orage éclata.
Mais Tomy trouvait le contact de la pluie agréable, et décida de rester sur son arbre.
Seulement un éclair vint percuter l’arbre sur lequel il se trouvait, puis plus rien..........
Et alors que "Big B" n'était qu'à 2 mètres de Tomy, une bourrasque particulièrement puissante vint le percuter directement, il vit parfaitement l’air se condenser devant lui et le percuter de telle façon que l’on aurait dire un coup de poing, mais d’air. Tellement puissant qu'il vint percuter le poteau 5 mètres derrière lui!
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Re: Another destiny
Invité Dim 13 Juin 2010 - 15:49
Bonjour, baby_vodka. Je voudrais vous dire que j'ai pris votre texte comme un défi : serais-je capable de relever toutes les impropriétés dont il est truffé ? La réponse est non. L'orthographe souvent fautive et la typographie anarchique en rendent à elles seules la lecture pénible. J'ajoute que l'histoire est très naïve (le Club des Cinq venus de la planète Krypton ou assimilée et qui combattent un démon aztèque, franchement, faut oser), la narration linéaire, maladroite.
Donc l'ensemble, pour moi, est tel quel très mauvais. Cela dit, je vois sur votre profil que vous annoncez quinze ans, et pouvoir à votre âge vous engager dans une écriture de cette ampleur, c'est déjà pas si mal ! Donc, si vous avez cela en vous, d'écrire, je me dis que vous aurez le courage de reprendre votre histoire en tenant compte des indications que je vous donne ci-dessous (sur les quatre premiers chapitres). Un gros boulot, je ne vous le cache pas. Bon courage !
Bienvenue sur Vos Écrits en tout cas, à vous lire bientôt.
Mes remarques, donc (le début, je dépasse la limite techniquement autorisée de longueur) :
« Chapitre 1: (typographie : une espace avant les deux points) le commencement »
« qui, comme vous (je pense qu’une virgule ici serait intéressante pour compléter l’incise) rêvait de vivre des trucs extraordinaires...et ca pour en vivre il en a vécu! » : typographie, une espace après les points de suspension, une espace avant le point d’exclamation
« Tomy n'était pas très populaire dans son lycée... non pas qu'il était laid ou gros... (typographie : une espace après les points de suspension) il était même plutôt le contraire. Il n’était pas grand, mais faisait partie de cette population de jeunes qui étaient musclés, sans avoir l’air de faire du bodybuilding. Il était blond et avait les yeux couleur noisette. » : cette sursaturation en verbe être rend tout de suite la narration très maladroite, d’autre part pourquoi passez-vous brutalement du présent au passé ?
« pour trouver un quelconque intérêt »
« alors qu'il était tombé d'un arbre...qu'il avait découvert ses pouvoirs » : typographie, une espace après les points de suspension
« Il était alors en train de grimper à un arbre, en pleine nuit, pour pouvoir admirer la lune sans craindre d’être dérangé.
Alors qu’il était (et il y a un troisième « était » juste avant) perdu dans ses pensées »
« dans une étrange boite en terre »
« afin de pouvoir réfléchir posément…Lorsqu’il se fut calmé » : typographie, une espace après les points de suspension
« tellement renfermé à essayer de comprendre »
« un jeune homme vint lui parler:
<< Salut je m'appelle Benjamin mais tu peux m’appeler Benji. Je suis nouveau » : typographie, une espace avant les deux points, et en aucun cas les chevrons « < < » ne peuvent tenir lieu de guillemets français
« Est-ce (trait d’union) que tu voudrais bien me faire visiter? (typographie : une espace avant le point d’interrogation)
-D'accord si tu veux... (typographie : une espace après les points de suspension) lui répondit à contre-cœur Tomy, qui ne voyait en lui qu’un jeune garçon « normal » et sans intérêt particulier.
-Merci beaucoup!>> » : typographie, une espace avant le point d’exclamation, les chevrons « > > » ne peuvent tenir lieu de guillemets français, et les répliques de dialogue ne s’introduisent pas par un trait d’union « - », mais par un quart ou semi-cadratin « – » ou « — »
« entre lui et Benjamin »
« Cela faisait 1 mois que Benji avait fait (et puis « faisait », « fait »… la répétition se voit, je trouve) la connaissance de Tomy, et c'était aussi la première »
« Après de nombreux:<< s'il te plait Tomy vient je t'assure que ça va être sympa>> » : typographie, une espace avant et après les deux points, et les chevrons « < » ou « > », même doublés, ne remplacent pas les guillemets français pour les dialogues
« l’histoire des trois cents Spartiates qui avaient vaillamment combattu (et non « combattus », le participe passé d’un verbe conjugué avec avoir s’accorde avec le complément d’objet direct du verbe quand celui-ci est placé avant le verbe, ce qui n’est pas le cas ici, le Spartiates ont combattu quoi ? l’empire perse) l’immense empire perse »
« un jour vint, (pourquoi une virgule ici ?) où un (et non « une ») groupe de jeunes skinheads »
« << Dis voir le ptiot t'en as un beau manteau! Vas-y (trait d’union) passe-le (trait d’union) moi j'aimerais bien l'essayer!! mais vas-y -trait d’union) passe-le (et non « passes le », d’ailleurs vous avez bien conjugué juste avant) moi je te dis je vais pas te le piquer!>> » : typographie, une espace avant les points d’exclamation, et les chevrons « < » ou « > » ne peuvent tenir lieu de guillemets français
« Bien sûr Tomy n'en croyait pas un mot. Mais que pouvaient-ils faire à deux, contre un groupe de skinheads habitués à ce genre de racket? » : typographie, une espace avant le point d’interrogation
« le vent commença à se lever »
« il ne voulait pas perdre Benji à cause d'eux »
« de telle façon que l’on aurait dit un coup de poing »
« il vint percuter le poteau 5 mètres derrière lui! » : typographie, une espace avant le point d’exclamation
« fut totalement terrorisé par ce qu’ils appelaient « un signe divin » que tous partirent sans leur chef »
« Tomy comprit vite qu'il y avait quelqu'un d'autre possédant des pouvoirs extraordinaires près de lui... (typographie : une espace après les points de suspension) il regarda autour de lui et ne vit que Benjamin... (typographie : une espace après les points de suspension)Mais où était ce fameux sauveur? (typographie, une espace avant le point d’interrogation)
<< Mais qui cela peut-il (trait d’union) être? (typographie : une espace avant le point d’interrogation) Il n'y a personne d'autre ici que Benj et moi...NON!! (typographie : une espace après les points de suspension et avant les points d’exclamation) ça ne peut pas être LUI! (typographie : une espace avant le point d’exclamation) se dit mentalement Tomy>> (typographie : les chevrons « < » ou « > » ne peuvent tenir lieu de guillemets français)
Ce à quoi repondit sans le savoir son fidèle ami:
<< (typographie : une espace avant les deux points, les chevrons « < » ne peuvent tenir lieu de guillemets français) Je suppose que je dois t'expliquer certaines choses...
-... (typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut le quart ou semi-cadratin « – » ou « — »)
-(typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut le quart ou semi-cadratin « – » ou « — ») Comme tu as dû le remarquer j'ai certaines... (typographie, une espace après les points de suspension)affinités avec le vent. Je le maitrise à volonté... (typographie, une espace après les points de suspension) je peux faire souffler le vent là où il n’était (et non « n'y était », le « y » fait double emploi avec « là où ») pas il y a une seconde, ou bien provoquer des tempêtes
là où il faisait beau….
(typographie, manque ici l’indication qu’on va à la ligne à l’intérieur d’une réplique, par exemple un guillemet français fermant ‘»’) Tu dois penser que je suis un monstre n'est-ce (trait d’union) pas? (typographie, une espace avant le point d’interrogation)
-N-N-na-nan je te rassurrrre...je suis juste....stupéfait! (typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », une espace après les points de suspension, une espace avant le point d’exclamation)
-Tu ne m'en veux pas alors? (typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », une espace avant le point d’interrogation)
-Bien sûr que nan je suis comme toi! (typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », une espace avant le point d’exclamation)
-QUOOOI? (typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », une espace avant le point d’interrogation)
-Ben oui en fait...moi aussi je peux donner forme et puissance au sable.>> (typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », une espace après les points de suspension, le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets françai)
Et c'est avec une grande joie que Benjamin lui sauta au cou! (typographie, une espace avant le point d’exclamation) »
« commencèrent à s'entraîner ensemble (et non « ensembles », ici « ensemble » est un adverbe) »
« des endroits cachés tels que la forêt »
« Ils réussirent aussi à controler toutes leur capacités: (typographie, une espace avant les deux points) courir à une vitesse surhumaine »
« Benjamin avait des pupilles qui devenaient rouges avec trois virgules entrelacées qui lui permettaient (les pupilles, ou les virgules, en tout cas un truc au pluriel) de retenir toutes les techniques vues par cette pupille (« ces pupilles », plutôt)... Tomy lui pouvait les faire devenir totalement blanches (c’est une pupille)... (typographie, une espace après les points de suspension)et pouvait aussi les faire devenir rouges avec l'intérieur de la pupille vertical (et non « verticale », c’est l’intérieur qui est vertical) »
« La pupille blanche lui permettait de voir à 360° et le rendait très très rapide. Elles lui permettaient (vous venez de dire « La pupille blanche », ce serait bien d’accorder : « Elle lui permettait ») aussi »
« courant bleu qui s’échappait lorsqu’ils usaient »
« Quant aux rouges…il n’arrivait » : typographie, une espace après les points de suspension
« chercher tous ceux qui étaient toujours seuls, et ils cherchèrent avant tout dans leur tranche d’âge »
« désespérés de ne trouver personne »
« cet étrange courant bleu que voyait Tomy »
« les cheveux (et non « cheuveux ») jusqu’aux épaules et des yeux en amande (et non « amandes », c’est bizarre mais c’est comme ça) associés à un corps à faire pâlir de jalousie »
« ils purent chercher parmi (et non « parmis ») la gent (et non « gente ») féminine »
« Tomy grâce à ses yeux la vit sortant discrètement de sa classe grâce au courant bleu » : maladroit, les deux « grâce à » à la file, et puis vous auriez quand même pu orthographier « grâce » de le même manière dans la même phrase !
« Elle avait une fâcheuse tendance »
« créer des illusions dans la tête des personnes qu’elle désirait » : vous voulez dire, je pense, qu’elle pouvait créer à volonté des illusions dans la tête des gens, mais ce que vous dites c’est que, quand elle avait envie de s’envoyer quelqu’un (une personne qu’elle désirait), elle pouvait créer des illusions dans la tête de ce quelqu’un
« Elle était très mince , (typographie : pas d’espace avant la virgule) brune elle aussi mais plus petite, magnifique elle aussi mais à sa façon »
« Elle s’appellait Elsa et avait fait craquer Tomy »
« battait tous les autres à la course…à part Elsa » : typographie, une espace après les points de suspension
« s’emportait rapidement. (typographie : une espace après le point)Mais il était un compagnon agréable et toute l’équipe l’appréciait énormement » : maladroit, je trouve, les deux phrases successives se terminant par un adverbe en « ment »
« Il s’appellait Yoga et intimidait tout ceux qui ne le connaissaient pas … » : typographie, pas d’espace avant les points de suspension
« Celui-ci (trait d’union) fut le seul à les trouver lui-même (trait d’union) »
« Chapitre 2: (typographie : une espace avant les deux points) un incident »
« Tomy et ses compagnons fondèrent donc, (pourquoi une virgule ici ?) la team 5 »
« jusqu’à ce que (ici, j’introduirais une incise par une virgule…) leurs pouvoirs devenant (et non « devenants ») trop puissants (… et la refermerait ici par une autre virgule) ils d[]oiv[/b]ent (« jusqu’à ce que » appelle le subjonctif) le quitter »
« tous les jeunes voyous qui terrorisaient les plus jeunes dans leur petit village proche de Lyon »
« Benji était le chef d‘opération car le plus puissant, (pourquoi un passage à la ligne ici ?)
Tomy était son majordome, il était chargé de lui transférer toutes les informations concernant l’équipe, les groupes de racket qui apparaissaient , (typographie : pas d’espace avant la virgule, une espace après)et c’était surtout son meilleur ami.
Mino était l’arrière-garde (trait d’union), elle était chargée des soins. Et à cause de son poste beaucoup ont eu la mauvaise idée de croire qu’elle était faible… (typographie : une espace après les points de suspension) grossière erreur » : attention à votre emploi immodéré du verbe être, cela rend tout de suite la narration très maladroite
« l’infiltration et de la torture mentale, mais ces derniers (ou « cette dernière », si vous ne faites référence qu’à la torture mentale) n’arrivait (« n’arrivaient », si vous choisissez « ces derniers ») que lorsqu’il n’y avait pas le temps de faire autrement et lorsqu’il s‘agissait de complots de grande envergure »
« Quant à Yoga il était la force de frappe , (typographie : pas d’espace avant la virgule) moins puissant que Benjamin , (typographie : pas d’espace avant la virgule) il était quand même le deuxième plus puissant et était (trop de « était » !) ainsi devenu célèbre dans l ‘art de la destruction massive de batîments ou de véhicules.. (typographie : un point ou trois, ou plus, mais pas deux, cela ne correspond à rien)
Alors qu’ils enquêtaient sur une eétrange série de disparitions un peu partout dans la ville, ils reçurent un message sur la télé , (typographie, pas d’espace avant la virgule) il s’agissait »
« << bonjour à vous » : typographie, le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français
« des informations concernant (et non « concernants) ces disparitions, retrouvez-moi (trait d’union) »
« Clic .>> » : typographie, le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français
« aucun des membres ne sut que dire »
« un grand soin à faire en sorte que personne ne découvre la réalité. Et là voilà que quelqu’un »
« <(typographie, le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français) Qu’est-ce (trait d’union) qu’on fait , (typographie : pas d’espace avant la virgule) maintenant que quelqu’un a decouvert notre identité ?
-Nous n’avons pas le choix, coupa Benjamin, il va nous falloir le rencontrer et le rendre plus silencieux si besoin est.
-Quoi ?! mais c’est beaucoup trop dangereux (manque ici un signe de ponctuation, par exemple une virgule ou des points de suspension) qui sait ce que. (la phrase ici n’est pas achevé, il est conseillé de le signaler typographiquement par des points de suspension)
- Il a raison Mino…. Nous n’avons pas d’autres possiblités….
-Quoi ? mais... bon d’accord si c’est ton choix Tomy…
-Merci. Et toi Elsa qu’en penses-tu (trait d’union) ?
-Eh bien je suis totalement d’accord avec toi. Même si cela ne me fait pas particulièrement plaisir nous n’avons guère de possiblités…
-Puisque tout le monde est d’accord allons-y (trait d’union), nous (pas de majuscule après une virgule) n’allons tout de même pas faire attendre cet inconnu..>> (typographie : un point ou trois, pas deux, et le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français) conclut Yoga, impatient d’en découdre.
S’ensuivirent quelques rires puis la préparation de l’opération »
(typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut prévoir le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », suivi d’ailleurs d’une espace)
« un destockage (j’écrirais « déstockage », mais ça se discute, je pense) de l’armée , (typographie : pas d’espace avant la virgule) tous partirent en direction de leur ancienne salle d’entrainement : le hangar désaffecté »
« << (typographie : le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français) Comment as-tu pensé à préparer le coup Tomy? – (typographie : une espace avant le point d’interrogation, par ailleurs je ne pense pas qu’on introduise une incise après un point d’interrogation) demanda Benjamin, qui avait laissé à Tomy la direction de l’opération, car il le faisait une fois sur deux.- (typographie : on ne referme jamais une incise avant ou après un point, et on ne la referme pas par un trait d’union « - », mais par le caractère qui l’a ouverte, quart ou semi-cadratin « – » ou « — »)
-Eh bien vois-tu (trait d’union) je pensais changer un peu notre (et non « de notre ») façon de faire habituelle. (typographie : une espace après le point)Toi et Mino allez partir contourner le hangar et passer par les égouts… Quant à Yoga et moi nous allons passer par l’usine.
-Et moi ? – (typographie : je ne pense pas qu’on introduise une incise après un point d’interrogation, en tout cas on fait suivre le caractère introduisant l’incise par une espace) questionna Elsa- (typographie : on ne referme pas une incise par un trait d’union « - », mais par le caractère qui l’a ouverte, quart ou semi-cadratin « – » ou « — » ; par ailleurs, si on se trouve en fin de phrase, comme c’est le cas ici, on ne referme pas l’incise mais on termine la phrase, la structure prioritaire, par un point, opint d’interrogation, point d’exclamation ou des points de suspension)
-Toi je te laisse passer devant et nous dire s’il y a des gardes ou un système de securité
-D’accord Tomy… Mais surtout ne partez pas sans moi, je ne veux pas vous laisser vous amuser tout seuls…
-Ne t’inquiète pas ma belle, je ne te laisserai pas !!
Bam !
-Bon ça va excuse-moi (trait d’union) « ELSA»… (typographie : une espace après les points de suspension) si on peut même plus rigoler…
- Grrr… bon allez j’y vais, à plus tard !>> (typographie : une espace après le point d’exclamation, et le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français) »
(typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut prévoir le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », suivi d’ailleurs d’une espace)
« Et elle partit »
« << (typographie : le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français) Mais où est-il (trait d’union) parti (et non « partit ») enfin ? et comment a-t-il fait pour disparaitre (et non « disaparaitre ») comme ca ? (typographie : une espace après le point d’interrogation) s’exclama Yoga (manque le point de fin de phrase)
-Aucune idée mec ! lui répondit Benjamin (manque le point de fin de phrase)
-[b}B[/b]on ben on a plus qu’à l’attendre maintenant… (typographie : un point après les points de suspension) pfff il est lourd lui quand il veut..>> (typographie : un point ou trios, mais pas deux, et le chevron « « ne peut tenir lieu de guillemets français)
Mino, elle, ne répondait rien car elle avait un grand sourire aux lèvres.
Quant à Tomy il était maintenant en compagnie d’Elsa…
<< (typographie : le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français) Pourquoi ne veux-tu (trait d’union) toujours pas leur dire… (typographie : une espace après les points de suspension) que toi et moi… ?
-Je sais que c’est dur pour toi car ça l’est aussi pour moi… (typographie : une espace après les points de suspension) Mais pour le moment je suis respectée car je garde une part de mystère… Si je me mettais à devenir la jeune fille amoureuse, je ne serais plus rien…
- Je ne suis pas d’accord mais puisque c’est ce que tu penses… (typographie : une espace après les points de suspension) j’accepte ta décision…
(typographie, manque ici l’indication qu’on va à la ligne à l’intérieur d’une réplique, par exemple un guillemet français fermant ‘»’) S’il y a des gardes je te les laisse, prends garde à toi… (typographie : une espace après les points de suspension) je t’aime…
-Moi aussi je t’aime…>> (typographie : le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français) »
(typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut prévoir le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », suivi d’ailleurs d’une espace)
« << (typographie : le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français) Ohh tiens qui va là ? notre grand Tomy,… (typographie : on ne fait pas suivre une virgule de points de suspension)
(typographie, manque ici l’indication qu’on va à la ligne à l’intérieur d’une réplique, par exemple un guillemet français fermant ‘»’) MAIS OÙ ÉTAIS-TU (trait d’union) DONC PASSÉ ?!?? hurla Yoga (typographie : manque ici le point de fin de phrase)
-Euh… tu vois … (typographie : pas d’espace avant les points de suspension) j’étais allé…
-Bon je sens que tu vas encore me donner une excuse bidon alors tu sais quoi… (typographie : une espace après les points de suspension) laisse tomber !
-Je suis désolé… (typographie : une espace après les points de suspension) mais je prefère garder ca pour moi pour le moment..
-Tu es tout pardonné gros ! le coupa Benjamin (manque ici le point de fin de phrase)
-Merci tu es vraiment super comme mec.. (typographie : un point ou trois, mais pas deux)
- bon allez à notre tour de partir.
-GOOO !!! hurlèrent-ils tous (et non « hurlèrent-ils-tous ») >> (typographie, le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français) »
(typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut prévoir le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », suivi d’ailleurs d’une espace)
« alors qu’ils étaient à proximité du bâtiment »
« << (typographie : le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français) Ça s’annonce beaucoup plus compliqué »
« tout ce que nous avons fait jusqu‘à aujourd‘hui!! (typographie : une espace avant les points d’exclamation) En ce moment je progresse dans un long couloir obscur, j’ai déjà détruit 3 caméras (par ailleurs, pour les petits nombres on écrit d’habitude en toutes lettres : trois), attendez quelqu’un approche… (typographie, une espace après les points de suspension) Mais … (typographie : pas d’espace avant les points de suspension, une espace après) que…. (typographie, une espace après les points de suspension) noon lâchez-moi (trait d’union) ! Lâchez-MOOIII (trait d’union) »
« Cric (manque le point de fin de phrase)
-Elsa ? elsa ? réponds-moi (trait d’union) Elsa … (typographie : pas d’espace avant les points de suspension)
-Allo Tomy ? lui répondit la voix de la télé (manque le point de fin de phrase)
-Qu’as-tu fait d’Elsa ?!
-Si tu la veux… (typographie : une espace après les points de suspension) viens la chercher, mon très cher Tomy !! (typographie : une espace après les points d’exclamation) MOUHAHAHAHA (manque un signe de ponctuation pour terminer la phrase)
-Espèce d’ordure tu vas voir… (typographie : une espace après les points de suspension) quand je t’attraperai…
(typographie, manque ici l’indication qu’on va à la ligne à l’intérieur d’une réplique, par exemple un guillemet français fermant ‘»’) Allons-y (trait d’union) tous, que l’on retrouve Elsa et vite !>> (typographie : le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français) »
(typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut prévoir le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », suivi d’ailleurs d’une espace)
Donc l'ensemble, pour moi, est tel quel très mauvais. Cela dit, je vois sur votre profil que vous annoncez quinze ans, et pouvoir à votre âge vous engager dans une écriture de cette ampleur, c'est déjà pas si mal ! Donc, si vous avez cela en vous, d'écrire, je me dis que vous aurez le courage de reprendre votre histoire en tenant compte des indications que je vous donne ci-dessous (sur les quatre premiers chapitres). Un gros boulot, je ne vous le cache pas. Bon courage !
Bienvenue sur Vos Écrits en tout cas, à vous lire bientôt.
Mes remarques, donc (le début, je dépasse la limite techniquement autorisée de longueur) :
« Chapitre 1: (typographie : une espace avant les deux points) le commencement »
« qui, comme vous (je pense qu’une virgule ici serait intéressante pour compléter l’incise) rêvait de vivre des trucs extraordinaires...et ca pour en vivre il en a vécu! » : typographie, une espace après les points de suspension, une espace avant le point d’exclamation
« Tomy n'était pas très populaire dans son lycée... non pas qu'il était laid ou gros... (typographie : une espace après les points de suspension) il était même plutôt le contraire. Il n’était pas grand, mais faisait partie de cette population de jeunes qui étaient musclés, sans avoir l’air de faire du bodybuilding. Il était blond et avait les yeux couleur noisette. » : cette sursaturation en verbe être rend tout de suite la narration très maladroite, d’autre part pourquoi passez-vous brutalement du présent au passé ?
« pour trouver un quelconque intérêt »
« alors qu'il était tombé d'un arbre...qu'il avait découvert ses pouvoirs » : typographie, une espace après les points de suspension
« Il était alors en train de grimper à un arbre, en pleine nuit, pour pouvoir admirer la lune sans craindre d’être dérangé.
Alors qu’il était (et il y a un troisième « était » juste avant) perdu dans ses pensées »
« dans une étrange boite en terre »
« afin de pouvoir réfléchir posément…Lorsqu’il se fut calmé » : typographie, une espace après les points de suspension
« tellement renfermé à essayer de comprendre »
« un jeune homme vint lui parler:
<< Salut je m'appelle Benjamin mais tu peux m’appeler Benji. Je suis nouveau » : typographie, une espace avant les deux points, et en aucun cas les chevrons « < < » ne peuvent tenir lieu de guillemets français
« Est-ce (trait d’union) que tu voudrais bien me faire visiter? (typographie : une espace avant le point d’interrogation)
-D'accord si tu veux... (typographie : une espace après les points de suspension) lui répondit à contre-cœur Tomy, qui ne voyait en lui qu’un jeune garçon « normal » et sans intérêt particulier.
-Merci beaucoup!>> » : typographie, une espace avant le point d’exclamation, les chevrons « > > » ne peuvent tenir lieu de guillemets français, et les répliques de dialogue ne s’introduisent pas par un trait d’union « - », mais par un quart ou semi-cadratin « – » ou « — »
« entre lui et Benjamin »
« Cela faisait 1 mois que Benji avait fait (et puis « faisait », « fait »… la répétition se voit, je trouve) la connaissance de Tomy, et c'était aussi la première »
« Après de nombreux:<< s'il te plait Tomy vient je t'assure que ça va être sympa>> » : typographie, une espace avant et après les deux points, et les chevrons « < » ou « > », même doublés, ne remplacent pas les guillemets français pour les dialogues
« l’histoire des trois cents Spartiates qui avaient vaillamment combattu (et non « combattus », le participe passé d’un verbe conjugué avec avoir s’accorde avec le complément d’objet direct du verbe quand celui-ci est placé avant le verbe, ce qui n’est pas le cas ici, le Spartiates ont combattu quoi ? l’empire perse) l’immense empire perse »
« un jour vint, (pourquoi une virgule ici ?) où un (et non « une ») groupe de jeunes skinheads »
« << Dis voir le ptiot t'en as un beau manteau! Vas-y (trait d’union) passe-le (trait d’union) moi j'aimerais bien l'essayer!! mais vas-y -trait d’union) passe-le (et non « passes le », d’ailleurs vous avez bien conjugué juste avant) moi je te dis je vais pas te le piquer!>> » : typographie, une espace avant les points d’exclamation, et les chevrons « < » ou « > » ne peuvent tenir lieu de guillemets français
« Bien sûr Tomy n'en croyait pas un mot. Mais que pouvaient-ils faire à deux, contre un groupe de skinheads habitués à ce genre de racket? » : typographie, une espace avant le point d’interrogation
« le vent commença à se lever »
« il ne voulait pas perdre Benji à cause d'eux »
« de telle façon que l’on aurait dit un coup de poing »
« il vint percuter le poteau 5 mètres derrière lui! » : typographie, une espace avant le point d’exclamation
« fut totalement terrorisé par ce qu’ils appelaient « un signe divin » que tous partirent sans leur chef »
« Tomy comprit vite qu'il y avait quelqu'un d'autre possédant des pouvoirs extraordinaires près de lui... (typographie : une espace après les points de suspension) il regarda autour de lui et ne vit que Benjamin... (typographie : une espace après les points de suspension)Mais où était ce fameux sauveur? (typographie, une espace avant le point d’interrogation)
<< Mais qui cela peut-il (trait d’union) être? (typographie : une espace avant le point d’interrogation) Il n'y a personne d'autre ici que Benj et moi...NON!! (typographie : une espace après les points de suspension et avant les points d’exclamation) ça ne peut pas être LUI! (typographie : une espace avant le point d’exclamation) se dit mentalement Tomy>> (typographie : les chevrons « < » ou « > » ne peuvent tenir lieu de guillemets français)
Ce à quoi repondit sans le savoir son fidèle ami:
<< (typographie : une espace avant les deux points, les chevrons « < » ne peuvent tenir lieu de guillemets français) Je suppose que je dois t'expliquer certaines choses...
-... (typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut le quart ou semi-cadratin « – » ou « — »)
-(typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut le quart ou semi-cadratin « – » ou « — ») Comme tu as dû le remarquer j'ai certaines... (typographie, une espace après les points de suspension)affinités avec le vent. Je le maitrise à volonté... (typographie, une espace après les points de suspension) je peux faire souffler le vent là où il n’était (et non « n'y était », le « y » fait double emploi avec « là où ») pas il y a une seconde, ou bien provoquer des tempêtes
là où il faisait beau….
(typographie, manque ici l’indication qu’on va à la ligne à l’intérieur d’une réplique, par exemple un guillemet français fermant ‘»’) Tu dois penser que je suis un monstre n'est-ce (trait d’union) pas? (typographie, une espace avant le point d’interrogation)
-N-N-na-nan je te rassurrrre...je suis juste....stupéfait! (typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », une espace après les points de suspension, une espace avant le point d’exclamation)
-Tu ne m'en veux pas alors? (typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », une espace avant le point d’interrogation)
-Bien sûr que nan je suis comme toi! (typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », une espace avant le point d’exclamation)
-QUOOOI? (typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », une espace avant le point d’interrogation)
-Ben oui en fait...moi aussi je peux donner forme et puissance au sable.>> (typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », une espace après les points de suspension, le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets françai)
Et c'est avec une grande joie que Benjamin lui sauta au cou! (typographie, une espace avant le point d’exclamation) »
« commencèrent à s'entraîner ensemble (et non « ensembles », ici « ensemble » est un adverbe) »
« des endroits cachés tels que la forêt »
« Ils réussirent aussi à controler toutes leur capacités: (typographie, une espace avant les deux points) courir à une vitesse surhumaine »
« Benjamin avait des pupilles qui devenaient rouges avec trois virgules entrelacées qui lui permettaient (les pupilles, ou les virgules, en tout cas un truc au pluriel) de retenir toutes les techniques vues par cette pupille (« ces pupilles », plutôt)... Tomy lui pouvait les faire devenir totalement blanches (c’est une pupille)... (typographie, une espace après les points de suspension)et pouvait aussi les faire devenir rouges avec l'intérieur de la pupille vertical (et non « verticale », c’est l’intérieur qui est vertical) »
« La pupille blanche lui permettait de voir à 360° et le rendait très très rapide. Elles lui permettaient (vous venez de dire « La pupille blanche », ce serait bien d’accorder : « Elle lui permettait ») aussi »
« courant bleu qui s’échappait lorsqu’ils usaient »
« Quant aux rouges…il n’arrivait » : typographie, une espace après les points de suspension
« chercher tous ceux qui étaient toujours seuls, et ils cherchèrent avant tout dans leur tranche d’âge »
« désespérés de ne trouver personne »
« cet étrange courant bleu que voyait Tomy »
« les cheveux (et non « cheuveux ») jusqu’aux épaules et des yeux en amande (et non « amandes », c’est bizarre mais c’est comme ça) associés à un corps à faire pâlir de jalousie »
« ils purent chercher parmi (et non « parmis ») la gent (et non « gente ») féminine »
« Tomy grâce à ses yeux la vit sortant discrètement de sa classe grâce au courant bleu » : maladroit, les deux « grâce à » à la file, et puis vous auriez quand même pu orthographier « grâce » de le même manière dans la même phrase !
« Elle avait une fâcheuse tendance »
« créer des illusions dans la tête des personnes qu’elle désirait » : vous voulez dire, je pense, qu’elle pouvait créer à volonté des illusions dans la tête des gens, mais ce que vous dites c’est que, quand elle avait envie de s’envoyer quelqu’un (une personne qu’elle désirait), elle pouvait créer des illusions dans la tête de ce quelqu’un
« Elle était très mince , (typographie : pas d’espace avant la virgule) brune elle aussi mais plus petite, magnifique elle aussi mais à sa façon »
« Elle s’appellait Elsa et avait fait craquer Tomy »
« battait tous les autres à la course…à part Elsa » : typographie, une espace après les points de suspension
« s’emportait rapidement. (typographie : une espace après le point)Mais il était un compagnon agréable et toute l’équipe l’appréciait énormement » : maladroit, je trouve, les deux phrases successives se terminant par un adverbe en « ment »
« Il s’appellait Yoga et intimidait tout ceux qui ne le connaissaient pas … » : typographie, pas d’espace avant les points de suspension
« Celui-ci (trait d’union) fut le seul à les trouver lui-même (trait d’union) »
« Chapitre 2: (typographie : une espace avant les deux points) un incident »
« Tomy et ses compagnons fondèrent donc, (pourquoi une virgule ici ?) la team 5 »
« jusqu’à ce que (ici, j’introduirais une incise par une virgule…) leurs pouvoirs devenant (et non « devenants ») trop puissants (… et la refermerait ici par une autre virgule) ils d[]oiv[/b]ent (« jusqu’à ce que » appelle le subjonctif) le quitter »
« tous les jeunes voyous qui terrorisaient les plus jeunes dans leur petit village proche de Lyon »
« Benji était le chef d‘opération car le plus puissant, (pourquoi un passage à la ligne ici ?)
Tomy était son majordome, il était chargé de lui transférer toutes les informations concernant l’équipe, les groupes de racket qui apparaissaient , (typographie : pas d’espace avant la virgule, une espace après)et c’était surtout son meilleur ami.
Mino était l’arrière-garde (trait d’union), elle était chargée des soins. Et à cause de son poste beaucoup ont eu la mauvaise idée de croire qu’elle était faible… (typographie : une espace après les points de suspension) grossière erreur » : attention à votre emploi immodéré du verbe être, cela rend tout de suite la narration très maladroite
« l’infiltration et de la torture mentale, mais ces derniers (ou « cette dernière », si vous ne faites référence qu’à la torture mentale) n’arrivait (« n’arrivaient », si vous choisissez « ces derniers ») que lorsqu’il n’y avait pas le temps de faire autrement et lorsqu’il s‘agissait de complots de grande envergure »
« Quant à Yoga il était la force de frappe , (typographie : pas d’espace avant la virgule) moins puissant que Benjamin , (typographie : pas d’espace avant la virgule) il était quand même le deuxième plus puissant et était (trop de « était » !) ainsi devenu célèbre dans l ‘art de la destruction massive de batîments ou de véhicules.. (typographie : un point ou trois, ou plus, mais pas deux, cela ne correspond à rien)
Alors qu’ils enquêtaient sur une eétrange série de disparitions un peu partout dans la ville, ils reçurent un message sur la télé , (typographie, pas d’espace avant la virgule) il s’agissait »
« << bonjour à vous » : typographie, le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français
« des informations concernant (et non « concernants) ces disparitions, retrouvez-moi (trait d’union) »
« Clic .>> » : typographie, le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français
« aucun des membres ne sut que dire »
« un grand soin à faire en sorte que personne ne découvre la réalité. Et là voilà que quelqu’un »
« <
-Nous n’avons pas le choix, coupa Benjamin, il va nous falloir le rencontrer et le rendre plus silencieux si besoin est.
-Quoi ?! mais c’est beaucoup trop dangereux (manque ici un signe de ponctuation, par exemple une virgule ou des points de suspension) qui sait ce que. (la phrase ici n’est pas achevé, il est conseillé de le signaler typographiquement par des points de suspension)
- Il a raison Mino…. Nous n’avons pas d’autres possiblités….
-Quoi ? mais... bon d’accord si c’est ton choix Tomy…
-Merci. Et toi Elsa qu’en penses-tu (trait d’union) ?
-Eh bien je suis totalement d’accord avec toi. Même si cela ne me fait pas particulièrement plaisir nous n’avons guère de possiblités…
-Puisque tout le monde est d’accord allons-y (trait d’union), nous (pas de majuscule après une virgule) n’allons tout de même pas faire attendre cet inconnu..>> (typographie : un point ou trois, pas deux, et le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français) conclut Yoga, impatient d’en découdre.
S’ensuivirent quelques rires puis la préparation de l’opération »
(typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut prévoir le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », suivi d’ailleurs d’une espace)
« un destockage (j’écrirais « déstockage », mais ça se discute, je pense) de l’armée , (typographie : pas d’espace avant la virgule) tous partirent en direction de leur ancienne salle d’entrainement : le hangar désaffecté »
« << (typographie : le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français) Comment as-tu pensé à préparer le coup Tomy? – (typographie : une espace avant le point d’interrogation, par ailleurs je ne pense pas qu’on introduise une incise après un point d’interrogation) demanda Benjamin, qui avait laissé à Tomy la direction de l’opération, car il le faisait une fois sur deux.- (typographie : on ne referme jamais une incise avant ou après un point, et on ne la referme pas par un trait d’union « - », mais par le caractère qui l’a ouverte, quart ou semi-cadratin « – » ou « — »)
-Eh bien vois-tu (trait d’union) je pensais changer un peu notre (et non « de notre ») façon de faire habituelle. (typographie : une espace après le point)Toi et Mino allez partir contourner le hangar et passer par les égouts… Quant à Yoga et moi nous allons passer par l’usine.
-Et moi ? – (typographie : je ne pense pas qu’on introduise une incise après un point d’interrogation, en tout cas on fait suivre le caractère introduisant l’incise par une espace) questionna Elsa- (typographie : on ne referme pas une incise par un trait d’union « - », mais par le caractère qui l’a ouverte, quart ou semi-cadratin « – » ou « — » ; par ailleurs, si on se trouve en fin de phrase, comme c’est le cas ici, on ne referme pas l’incise mais on termine la phrase, la structure prioritaire, par un point, opint d’interrogation, point d’exclamation ou des points de suspension)
-Toi je te laisse passer devant et nous dire s’il y a des gardes ou un système de securité
-D’accord Tomy… Mais surtout ne partez pas sans moi, je ne veux pas vous laisser vous amuser tout seuls…
-Ne t’inquiète pas ma belle, je ne te laisserai pas !!
Bam !
-Bon ça va excuse-moi (trait d’union) « ELSA»… (typographie : une espace après les points de suspension) si on peut même plus rigoler…
- Grrr… bon allez j’y vais, à plus tard !>> (typographie : une espace après le point d’exclamation, et le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français) »
(typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut prévoir le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », suivi d’ailleurs d’une espace)
« Et elle partit »
« << (typographie : le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français) Mais où est-il (trait d’union) parti (et non « partit ») enfin ? et comment a-t-il fait pour disparaitre (et non « disaparaitre ») comme ca ? (typographie : une espace après le point d’interrogation) s’exclama Yoga (manque le point de fin de phrase)
-Aucune idée mec ! lui répondit Benjamin (manque le point de fin de phrase)
-[b}B[/b]on ben on a plus qu’à l’attendre maintenant… (typographie : un point après les points de suspension) pfff il est lourd lui quand il veut..>> (typographie : un point ou trios, mais pas deux, et le chevron « « ne peut tenir lieu de guillemets français)
Mino, elle, ne répondait rien car elle avait un grand sourire aux lèvres.
Quant à Tomy il était maintenant en compagnie d’Elsa…
<< (typographie : le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français) Pourquoi ne veux-tu (trait d’union) toujours pas leur dire… (typographie : une espace après les points de suspension) que toi et moi… ?
-Je sais que c’est dur pour toi car ça l’est aussi pour moi… (typographie : une espace après les points de suspension) Mais pour le moment je suis respectée car je garde une part de mystère… Si je me mettais à devenir la jeune fille amoureuse, je ne serais plus rien…
- Je ne suis pas d’accord mais puisque c’est ce que tu penses… (typographie : une espace après les points de suspension) j’accepte ta décision…
(typographie, manque ici l’indication qu’on va à la ligne à l’intérieur d’une réplique, par exemple un guillemet français fermant ‘»’) S’il y a des gardes je te les laisse, prends garde à toi… (typographie : une espace après les points de suspension) je t’aime…
-Moi aussi je t’aime…>> (typographie : le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français) »
(typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut prévoir le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », suivi d’ailleurs d’une espace)
« << (typographie : le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français) Ohh tiens qui va là ? notre grand Tomy,… (typographie : on ne fait pas suivre une virgule de points de suspension)
(typographie, manque ici l’indication qu’on va à la ligne à l’intérieur d’une réplique, par exemple un guillemet français fermant ‘»’) MAIS OÙ ÉTAIS-TU (trait d’union) DONC PASSÉ ?!?? hurla Yoga (typographie : manque ici le point de fin de phrase)
-Euh… tu vois … (typographie : pas d’espace avant les points de suspension) j’étais allé…
-Bon je sens que tu vas encore me donner une excuse bidon alors tu sais quoi… (typographie : une espace après les points de suspension) laisse tomber !
-Je suis désolé… (typographie : une espace après les points de suspension) mais je prefère garder ca pour moi pour le moment..
-Tu es tout pardonné gros ! le coupa Benjamin (manque ici le point de fin de phrase)
-Merci tu es vraiment super comme mec.. (typographie : un point ou trois, mais pas deux)
- bon allez à notre tour de partir.
-GOOO !!! hurlèrent-ils tous (et non « hurlèrent-ils-tous ») >> (typographie, le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français) »
(typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut prévoir le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », suivi d’ailleurs d’une espace)
« alors qu’ils étaient à proximité du bâtiment »
« << (typographie : le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français) Ça s’annonce beaucoup plus compliqué »
« tout ce que nous avons fait jusqu‘à aujourd‘hui!! (typographie : une espace avant les points d’exclamation) En ce moment je progresse dans un long couloir obscur, j’ai déjà détruit 3 caméras (par ailleurs, pour les petits nombres on écrit d’habitude en toutes lettres : trois), attendez quelqu’un approche… (typographie, une espace après les points de suspension) Mais … (typographie : pas d’espace avant les points de suspension, une espace après) que…. (typographie, une espace après les points de suspension) noon lâchez-moi (trait d’union) ! Lâchez-MOOIII (trait d’union) »
« Cric (manque le point de fin de phrase)
-Elsa ? elsa ? réponds-moi (trait d’union) Elsa … (typographie : pas d’espace avant les points de suspension)
-Allo Tomy ? lui répondit la voix de la télé (manque le point de fin de phrase)
-Qu’as-tu fait d’Elsa ?!
-Si tu la veux… (typographie : une espace après les points de suspension) viens la chercher, mon très cher Tomy !! (typographie : une espace après les points d’exclamation) MOUHAHAHAHA (manque un signe de ponctuation pour terminer la phrase)
-Espèce d’ordure tu vas voir… (typographie : une espace après les points de suspension) quand je t’attraperai…
(typographie, manque ici l’indication qu’on va à la ligne à l’intérieur d’une réplique, par exemple un guillemet français fermant ‘»’) Allons-y (trait d’union) tous, que l’on retrouve Elsa et vite !>> (typographie : le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français) »
(typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut prévoir le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », suivi d’ailleurs d’une espace)
Invité- Invité
Re: Another destiny
Invité Dim 13 Juin 2010 - 15:50
OK, la suite :
« Chapitre 3: (typographie : une espace avant les deux points) nous ne sommes »
« personne (et non « personnes ») n'aurait cru que Tomy aurait pu devenir fou furieux à l'idée »
« le plus prudent et le plus réfléchi (et non « reflechit »).... enfin jusqu'à ce jour où Elsa »
« même avec leurs pouvoirs. Mais savoir qu'un de leurs compagnons était en danger, (pourquoi une virgule ici ?) leur faisait perdre »
« en vue du fameux bâtiment »
« Le hangar était un vieux bâtiment (vous avez employé le mot juste au-dessus, je trouve que la répétition se voit) désaffecté qui servait (et non « servaient », c’est le bâtiment qui servait) autrefois »
« les gonds des portes avaient disparu (et non « disparus », le participe passé du verbe conjugué avec avoir s’accorde avec le complément d’objet direct du verbe si celui-ci est placé avant le verbe, ici il n’y a pas de complément d’objet direct : pas d’accord), et les murs auraient très bien pu être faits »
« des bruits étranges provenant (et non « provenants ») de la clairière où était situé »
« trop indistinctes pour qu'ils en soient sûrs »
« tous les membres du groupe: (typographie : une espace avant les deux points)
<< - (typographie : le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français, par ailleurs on ne fait pas suivre une ouverture de dialogue indiquée avec des guillemets par un tiret, ça fait double emploi) Nous allons appliquer le plan prévu, même si nous sommes actuellement privés des renseignements qui nous auraient bien aidés....
(typographie, manque ici l’indication qu’on va à la ligne à l’intérieur d’une réplique, par exemple un guillemet français fermant ‘»’) Mais nous n'avons pas le choix si nous voullons savoir qui est cette mystérieuse voix.
(typographie, manque ici l’indication qu’on va à la ligne à l’intérieur d’une réplique, par exemple un guillemet français fermant ‘»’) J'ai légèrement changé (et non « changés », le perticipe passé du verbe conjugué avec avoir s’accorde avec le complément d’objet direct du verbe si celui-ci est placé avant le verbe ; le gars a changé quoi ? ses plans, le mot est après le verbe, donc pas d’accord) mes plans finalement, Tomy et moi allons finalement (deux fois finalement dans la phrase) passer par les résaux souterrains tandis que Mino et Yoga allez les rendre fous par devant.
(typographie, manque ici l’indication qu’on va à la ligne à l’intérieur d’une réplique, par exemple un guillemet français fermant ‘»’) Je compte sur vous pour faire le plus de dégâts possibles (ici, j’écrirai « possible », mais ça peut se discuter), mais si ca devient trop chaud partez! (typographie : une espace avant le point d’exclamation) Je ne veux pas avoir à aller vous récupérer parce que vous n'êtes pas capables de vous arrêter! (typographie : une espace avant le point d’exclamation)
-Ne t'inquiète donc pas Benji, laisse-les (trait d’union) donc se débrouiller, tu les connais. lui (typographie : si vous voulez indiquer une didascalie après une réplique dans le dialogue, celle-ci ne doit pas se terminer par un point) dit Tomy (manque ici le point de fin de phrase)
-Justement c'est bien ça qui m'inquiète... (typographie : une espace après les points de suspension) Ils sont capables d'être assez têtus quand ils le veulent.
-C'est pas faux.
-Ne t'en fais pas Benji, nous serons aussi prudents que nous le pourrons.... (typographie : une espace après les points de suspension) enfin peut-être (trait d’union) pas mais nous ferons attention.
-Bah de toute facon je n'ai guère le choix.
-Effectivement tu ne l'as pas.>> (typographie : le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français) »
(typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut prévoir le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », suivi d’ailleurs d’une espace)
« Et ils partirent finalement chacun là où ils le devaient. » : la formulation est très maladroite, à la limite de l’incorrection, avec son hésitation entre le singulier et le pluriel
« Jusqu'à ce que Tomy rajoute: (typographie : une espace avant les deux points)
<<- (typographie : le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français, par ailleurs on ne fait pas suivre une ouverture de dialogue indiquée avec des guillemets par un tiret, ça fait double emploi) Au fait... (typographie : une espace après les points de suspension) je suppose que vous l'aviez compris mais entre Elsa et moi il y a un peu plus que de l'amitié... (typographie : une espace après les points de suspension) donc voilà je voulais juste vous dire que vous avez une raison de plus pour ne pas échouer, je compte sur vous!>> (typographie : une espace avant le point d’exclamation, et le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français) »
(typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut prévoir le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », suivi d’ailleurs d’une espace)
« Benjamin et Tomy essayaient de trouver leur chemin (et non « chemins) »
« les couloirs sinueux qui devaient mener au hangar »
« elle était gardée par pas moins de 10 (on préfère en général exprimer les petits nombres en toutes lettres : dix) gardes »
« une cagoule dont seule (et je pense que « où » serait préférable ici à « dont ») une petite ouverture laissait entrevoir les yeux »
« 9 (on préfère en général exprimer les petits nombres en toutes lettres : Neuf) d'entre (et non « d’entres ») eux finirent encastrés profondément dans le mur »
« qui paraissait être le chef, (typographie : une espace après la virgule) avait été fait prisonnier et était interrogé: (typographie : une espace avant les deux points)
<<- (typographie : le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français, par ailleurs on ne fait pas suivre une ouverture de dialogue indiquée avec des guillemets par un tiret, ça fait double emploi) Où est-elle (trait d’union)? (typographie : une espace avant le point d’interrogation) où est Elsa?!! (typographie : une espace avant les points d’interrogation et d’exclamation)
-Mais je ne sais pas moi on ne me met (et non « mets ») pas au courant de ce genre de choses, je ne suis que le chef d'une escouade de gardes.... (typographie : une espace après les points de suspension) rien de plus...
-Donc j'en conclus que tu ne nous sers à rien finalement. lâcha (typographie : si vous voulez indiquer une didascalie après une réplique dans le dialogue, celle-ci ne doit pas se terminer par un point) Benjamin, qui avait une fâcheuse tendance a s'emporter lorsqu'il commencait à se battre.
-Quoi ? mais?? (typographie : une espace avant les points d’interrogation)
Bam! (typographie : une espace avant le point d’exclamation)
Et voilà que le dixième avait lui aussi trouvé refuge dans le mur.
-Eh bien un de moins qui ne nous embêtera plus, conclut Benjamin.
-C'est pas faux.ajouta (typographie : si vous voulez indiquer une didascalie après une réplique dans le dialogue, celle-ci ne doit pas se terminer par un point, par ailleurs il faut une espace après le signe de ponctuation) Tomy un sourire aux lèvres.
-Bon eh bien.... (typographie : une espace après les points de suspension)continuons alors>>(typographie : le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français) »
(typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut prévoir le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », suivi d’ailleurs d’une espace)
« ils repartirent à travers de (et non « des », ici) longs couloirs sombres, étroits »
« Mino et Yoga se préparaient à attaquer: (typographie, une espace avant les deux points)
<<- (typographie : le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français, par ailleurs on ne fait pas suivre une ouverture de dialogue indiquée avec des guillemets par un tiret, ça fait double emploi) Bon alors je propose que nous commencions par nous occuper du gros des troupes, parce que à la limite ils sont plus intéressants que les sentinelles, qui de toute façon nous verront. proposa (typographie : si vous voulez indiquer une didascalie après une réplique dans le dialogue, celle-ci ne doit pas se terminer par un point) Mino
- Comme tu veux... Moi tu sais tant que je peux me battre...
-Espèce de brute! (typographie : une espace avant le point d’exclamation) lui dit Mino en riant (manque ici le point de fin de phrase)
-Bah dans le genre tu n'es pas mauvaise non plus.
-C'est pas faux (manque ici le point de fin de phrase)
-C'est même vrai je dirais.
-On y va? (typographie : une espace avant le point d’interrogation)
-Quand tu veux!>> (typographie : une espace avant le point d’exclamation, et le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français) »
(typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut prévoir le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », suivi d’ailleurs d’une espace)
« en vue de la porte principale lorsque, (pourquoi une virgule ici ?) un grand homme étrange »
« Ce fut Mino qui prit la parole la première: (typographie : une espace avant les deux points)
-Qui êtes-vous (trait d’union) ? (typographie : une espace avant le point d’interrogation)
-Je m'appelle Alex, mais on me surnomme le tricoteur...
-Le tricoteur? (typographie : une espace avant le point d’interrogation) mais c'est stupide comme nom! (typographie : une espace avant le point d’exclamation) lui dit Yoga, avec son tact légendaire.
-Question de point de vue...
- Et que nous voulez-vous (trait d’union) ? (typographie : une espace avant le point d’interrogation) renchérit Mino (manque ici le point de fin de phrase)
-Je suis la pour vous empêcher d'entrer, jusqu'à l'arrivée de votre chef à l'intérieur du bâtiment.
-Quoi? (typographie : une espace avant le point d’interrogation)
-Eh oui, je sais parfaitement que vous n'êtes là que pour faire diversion. Mais c'est raté, avec moi vous ne passerez jamais.
-C'est ce qu'on verra! (typographie : une espace avant le point d’exclamation) lui dirent Mino et Yoga d'une même voix>> (typographie : le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français) »
(typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut prévoir le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », suivi d’ailleurs d’une espace)
« une boule de feu censée le carboniser »
« l'homme l'esquiva, comme s’il s'agissait »
« <<- (typographie : le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français, par ailleurs on ne fait pas suivre une ouverture de dialogue indiquée avec des guillemets par un tiret, ça fait double emploi) Alors, c'est tout ce que vous pouvez faire? (typographie : une espace avant le point d’interrogation) lanca Alex. Puisque c'est comme ça, je vais vous montrer pourquoi on me nomme "le tricoteur">> (typographie : le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français) »
« une aiguille d'une quinzaine de centimètres, (la virgule ici ne me paraît pas nécessare) en direction du visage »
« <<- (typographie : le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français, par ailleurs on ne fait pas suivre une ouverture de dialogue indiquée avec des guillemets par un tiret, ça fait double emploi) Alors? (typographie : une espace avant le point d’interrogation) mon surnom vous fait toujours autant rire? (typographie : une espace avant le point d’interrogation)
- Espèce d'ordure! (typographie : une espace avant le point d’exclamation) lui répondit Mino, qui essayait de gagner du temps pour pouvoir continuer à soigner Yoga (manque ici le point de fin de phrase)
-Je sais, je sais... On me le dit souvent... (typographie : une espace après les points de suspension) enfin mes ennemis, mes amis me disent très gentil, quand je le veux.
-J'ai du mal à y croire.
-Tant pis pour vous.>>(typographie : le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français) »
(typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut prévoir le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », suivi d’ailleurs d’une espace)
« Et là une pluie d'aiguilles »
« Elles furent instantanément carbonisées par un jet de flammes sorti (et non « sortis ») tout droit »
« Ce dernier écarquilla les yeux devant ce qu'il venait de faire.
<<- (typographie : le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français, par ailleurs on ne fait pas suivre une ouverture de dialogue indiquée avec des guillemets par un tiret, ça fait double emploi) Comment avez-vous (trait d’union) fait? (typographie : une espace avant le point d’interrogation) mes aiguilles étaient empoisonnées, vous n'auriez pas dû vous relever avant ... (typographie : pas d’espace avant les points de suspension, une espace après) 2 (on exprime d’habitude les petits nombres en toutes lettres : deux) bons mois.
-C'est ça de nous sous-estimer! (typographie, une espace avant le point d’exclamation)
-Eh bien tant pis alors... (typographie : une espace après les points de suspension) je voulais faire durer le plaisir mais vous ne m'en (« me », plutôt) laissez pas le choix...>> (typographie : le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français) »
(typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut prévoir le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », suivi d’ailleurs d’une espace)
« Enfin... (typographie : une espace après les points de suspension) c'est ce que crut Alex. En vérité les deux compagnons avaient anticipé (et non « anticipés » ; le participe passé du verbe conjugué avec avoir s’accorde avec le complément d’objet direct quand celui-ci est placé avant le verbe, ce qui n’est pas le cas ici : les compagnons avaient anticipé quoi ? l’attaque) l'attaque, et avaient bondi (et non « bondit ») assez vite au-dessus (trait d’union) de la pluie d'aiguilles, sans que "le tricoteur" ne (je pense que le « ne » explétif n’est pas utile ici, voire embrouillant pour le sens) les voit.
Ce dernier reçut d'ailleurs un coup de poing phénomenal (et non « phénoménale ») »
« <<- (typographie : le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français, par ailleurs on ne fait pas suivre une ouverture de dialogue indiquée avec des guillemets par un tiret, ça fait double emploi) Voyez-vous (trait d’union) Alex, je n'aime pas dire ça... (typographie : une espace après les points de suspension)Mais je dois bien avouer que vous avez bien failli (et non « faillit ») nous battre. Si vous ne nous aviez pas sous-estimés.
-Bah, la prochaine fois nous verrons bien.
-Je n'attends que ça. lui (typographie : si vous voulez indiquer une didascalie après une réplique dans le dialogue, celle-ci ne doit pas se terminer par un point) répondit Yoga (manque ici le point de fin de phrase)
Alex s'était évanoui, tellement le coup de Mino avait été puissant.
-Eh bien voilà qui est fait. (typographie : une espace après le point) Mais j'espère que la suite sera moins ardue...
-J'en doute fortement. dit (typographie : si vous voulez indiquer une didascalie après une réplique dans le dialogue, celle-ci ne doit pas se terminer par un point) Mino.
-De toute façon nous n'avons pas le choix, nous devons continuer.>> (typographie : le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français) »
(typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut prévoir le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », suivi d’ailleurs d’une espace)
« sans se douter qu'une personne les avait espionnés (une personne avait espionné qui ? « les », mis pour Mino et Yoga ; le participe passé du verbe conjugué avec avoir s’accorde avec le complément d’objet direct quand celui-ci est placé avant le verbe, ce qui est le cas ici) »
« Quant à Tomy et Benji, ils en étaient à leur quatrième poste de garde, et commençaient sérieusement à en avoir marre de ce labyrinthe »
« l'air déterminés à les éliminer.
<<- (typographie : le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français, par ailleurs on ne fait pas suivre une ouverture de dialogue indiquée avec des guillemets par un tiret, ça fait double emploi) Pffff j'en ai marre de me battre contre eux, ils n'auraient pas quelqu'un de plus... (typographie : une espace après les points de suspension) comment dire... (typographie : une espace après les points de suspension) intéressant? (typographie : une espace avant le point d’interrogation)
-J'ai l'impression que non, quel dommage... répondit Tomy à Benjamin (manque ici le point de fin de phrase)
-Eh bien allons-y (trait d’union) alors.
-Ouaip>> (typographie : le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français) »
(typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut prévoir le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », suivi d’ailleurs d’une espace)
« un fifty-fifty. Une moitié fut enfermée »
« accrochée au plafond et bâillonée »
« <<- (typographie : le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français, par ailleurs on ne fait pas suivre une ouverture de dialogue indiquée avec des guillemets par un tiret, ça fait double emploi) Sérieusement ça devient ennuyant... (typographie : une espace après les points de suspension) ils ne pourraient pas nous présenter autre chose que des soldats surentrainés armés de sabres? (typographie : une espace avant le point d’interrogation) dit ironiquement Benjamin (manque ici le point de fin de phrase)
-Je crois que si... lui répondit Tomy, les yeux fixés sur la porte, (la virgule ici ne me paraît pas utilie) qui commençait à s'ouvrir de l'autre côté.
-Enfin! (typographie : une espace avant le point d’exclamation, une espace après) Il était temps.
- Ne te réjouis pas trop vite...
-Ne t'inquiète pas mec, je gère.
-...>> (typographie : le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français) »
(typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut prévoir le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », suivi d’ailleurs d’une espace)
« Une femme sortit des ténèbres de la porte. (typographie : une espace après le point) Elle était plutôt grande, mais n'était pas imposante. Elle était magnifique » : trop de « était » dans ces quelques mots
« qui devait avoir leur âge »
« lorsqu'elle sortit à une vitesse incroyable, (pourquoi une virgule ici ?) deux lames courtes recourbées, qui la rendaient (les lames, non ?) encore plus belle »
« instantanément des éclairs en surgirent.
Tomy et Benjamin n'en croyaient pas leurs yeux... (typographie : une espace après les points de suspension) mais qui était-elle? (typographie : une espace avant le point d’interrogation)
<<- (typographie : le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français, par ailleurs on ne fait pas suivre une ouverture de dialogue indiquée avec des guillemets par un tiret, ça fait double emploi) Je me présente (manque une ponctuation ici) je me nomme Marie, on me surnomme "l'ange de la lune", et je suis là pour vous empêcher de passer. » : manque la fermeture de la réplique ici
« Tomy et Benjamin avaient de nombreux principes »
« lorsqu'elle lança un éclair »
« à l'autre bout du couloir »
« lança instantanément une lance de sable durci, (pourquoi une virgule ici ?) en direction de la jeune femme »
« Celle-ci (trait d’union) fut stoppée par un éclair »
« Mais il était préparé, et para (et non « parat ») grâce à une muraille »
« Leurs défenses etaient impenétrables, et aucun ne savait comment s'en sortir (et non « sortirent »).
S'ensuivit (et non « S’en suivit ») une serie »
« était peu à peu détruite, Benjamin revenait à lui. (typographie : une espace après le point) Il se dit mentalement:
<< (typographie : le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français) Heureusement qu'au dernier moment j'ai eu le reéflexe de protéger partiellement mon corps avec une couche d'air. Sinon, qui sait ce qui me serait arrivé.>> (typographie : le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français) »
« entre Tomy et Marie. Il ne savait pas comment l'aider sans le gêner »
« elle reussit parfaitement. (typographie : une espace après le point) Il créa (et non « créat ») une bulle d'air réfléchissante tout autour de Marie. Ce qui lui aurait été impossible en temps normal car trop longue à réaliser »
« comme elle le croyait évanoui (et non « evanouit »), elle ne fit pas attention à lui. (typographie : une espace après le point) Grossière »
« lorsque l'un de ses éclairs »
« ce qu'il s'était passé, et se dépêcha de recouvrir Marie d'une couche de sable, l'empêchant de bouger à son réveil. Seule la tête dépassait »
« des yeux bleus perçants »
« Tomy et Benjamin reprirent donc leur chemin »
« ce fut à leur tour de se retrouver face à face avec quelque gardes... (typographie : une espace après les points de suspension) pas très longtemps »
« en son centre un trône, soutenant un jeune homme aux cheveux blanc (et non « blancs », car les cheveux sont d’un blanc d’argent) argent, musclé comme il faut, une longue veste de cuir pourpre, un pantalon treillis »
« A côté de lui »
« Le jeune homme prit la parole: (typographie : une espace avant les deux points)
<<- (typographie : le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français, par ailleurs on ne fait pas suivre une ouverture de dialogue indiquée avec des guillemets par un tiret, ça fait double emploi) Je suis très fier de vous, vous avez réussi à passer mes deux conseillers. Et peu de gens peuvent se targuer d'avoir fait de même.
(typographie, manque ici l’indication qu’on va à la ligne à l’intérieur d’une réplique, par exemple un guillemet français fermant ‘»’) Je me presente, je m'appelle Dante, et je suis l'imperator de jJilanor.
-Jila-quoi? (typographie : une espace avant le point d’interrogation) dit Tomy (manque ici le point de fin de phrase)
- Jilanor. lui (typographie : si vous voulez indiquer une didascalie après une réplique dans le dialogue, celle-ci ne doit pas se terminer par un point) répondit Yoga. C'est un monde parallèle au nôtre, qui est en guerre civile depuis bientôt 20 ans.
-Mais comment peux-tu savoir ça Yoga? (typographie : une espace avant le point d’interrogation) lui dit Benjamin (manque ici le point de fin de phrase)
-En vérité je ne m'appelle pas Yoga... (typographie : une espace après les points de suspension) mon vrai nom est Matthieu, et je suis un des chefs de la section spéciale sous les ordres de monsieur Dante.
-... (typographie : une espace après les points de suspension) Mais comment est-ce possible? (typographie : une espace avant le point d’interrogation) Tu m'as pourtant aidé à lutter contre Alex.... (typographie : une espace après les points de suspension) lui dit Mino (manque ici le point de fin de phrase)
- C'était mon rôle, et Alex le savait... En vérité j'étais là pour vous entrainer, et verifier vos capacités. D'ailleurs je dois admettre que je suis très impressionné par vos compétences.
-Tu en as d'autres des comme ça? (typographie : une espace avant le point d’interrogation) lâcha Tomy, au bord de la crise de nerfs.
-Non je ne crois pas... (typographie : une espace après les points de suspension) Ah si, la femme que vous avez rencontrée (ils ont rencontré qui ? « que », mis pour la femme ; le participe passé du verbe conjugué avec avoir s’accorde avec le complément d’objet direct quand celui-ci est placé avant le verbe, ce qui est le cas ici) tout à l'heure... nous sommes fiancés...
-Oups... dit Tomy (manque ici le point de fin de phrase)
-Quoi? (typographie : une espace avant le point d’interrogation)
-Euh ben... je crois qu'elle est actuellement emprisonnée (la femme) dans un cercueil de sable...
-Ah merde! (typographie : une espace avant le point d’exclamation) Aurais-tu (trait d’union) l'extrême obligeance de la libérer? (typographie : une espace avant le point d’interrogation)
(Un court silence (manque ici le point de fin de phrase))
-C'est fait.
-Merci.
-Bon alors je vais vous expliquer pourquoi mes hommes et moi avons fait tout cela. leur (typographie : si vous voulez indiquer une didascalie après une réplique dans le dialogue, celle-ci ne doit pas se terminer par un point) dit l'imperator.
(typographie, manque ici l’indication qu’on va à la ligne à l’intérieur d’une réplique, par exemple un guillemet français fermant ‘»’) Mon pays est (en ?) guerre contre un autre pays, et nous sommes proches de la guerre civile.
(typographie, manque ici l’indication qu’on va à la ligne à l’intérieur d’une réplique, par exemple un guillemet français fermant ‘»’) Et nous avons besoin d'hommes pour mener nos batailles, et redresser notre pays. Seulement peu de gens ont des pouvoirs assez développés pour pouvoir nous permettre de mener à bien cette mission...
-Donc si j'ai bien compris vous voulez nous emmener dans votre monde afin de vous aider. C'est ca? (typographie : une espace avant le point d’interrogation)
-Tout à fait. (typographie : une espace après le point) J'ai d'ailleurs l'intention de faire de vous mes généraux, car jusqu'à aujourd'hui j'étais le seul à avoir réussi à vaincre mes conseillers...
-Je crois que nous allons y réfléchir... Elsa, Benji et Mino venez avec moi...
-Bon alors comment vous voyez les choses? (typographie : une espace avant le point d’interrogation) vous avez l'intention de les aider ou pas? (typographie : une espace avant le point d’interrogation) leur murmura Tomy (manque ici le point de fin de phrase)
-Pour moi je marche avec eux, lui répondit Elsa (manque ici le point de fin de phrase)
-Pour moi aussi (manque ici le point de fin de phrase)
-Pour moi ça marche aussi.
-Bon eh bien pour moi aussi alors.
(typographie, manque ici l’indication qu’on va à la ligne à l’intérieur d’une réplique, par exemple un guillemet français fermant ‘»’) Nous nous sommes décidés et avons conclu (et non « conclus » ; le participe passé du verbe conjugué avec « avoir » s’accorde avec le complément d’objet direct quand celui-ci est placé avant le verbe ; ici, pas de complément d’objet direct, pas d’accord) que nous allions vous aider, moyennant une garantie de...
-Protection? (typographie : une espace avant le point d’interrogation) demanda Dante (manque ici le point de fin de phrase)
-De combattre dès que nous le souhaitons! (typographie : une espace avant le point d’exclamation)
-Celle-la (trait d’union) je ne l'attendais pas... (typographie : une espace après les points de suspension) Eh bien puisque c'est ce que vous souhaitez... (typographie : une espace après les points de suspension) c'est d'accord.
-Eh bien nous sommes partants alors.
-Merci à vous, vraiment.>> (typographie : le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français) »
(typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut prévoir le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », suivi d’ailleurs d’une espace)
« ce fut à cet instant que revinrent Alex et Marie »
« en direction de Marie, et Alex vint se poster devant les compagnons: (typographie : une espace avant les deux points)
<<- (typographie : le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français, par ailleurs on ne fait pas suivre une ouverture de dialogue indiquée avec des guillemets par un tiret, ça fait double emploi) Je me présente un peu mieux cette fois-ci, je me nomme donc Alex, et je suis le conseiller garde du corps de Mr (tout à l’heure vous avez écrit « monsieur », ce qui est préférable parce que « Mr » c’est de l’anglais, l’abréviation de « Mister » ; en français : « M. ») Dante (manque ici le point de fin de phrase)
-Enchanté! (typographie : une espace avant le point d’exclamation) Moi je me nomme Mino, lui c'est notre chef Benjamin, elle c'est Elsa, et le dernier se nomme Tomy , essentiellement chargé de conseiller Benjamin.
-Je crois que nous allons bien nous entendre tous les 5 on préfère exprimer les petits nombres en toutes lettres : cinq).
-Si vous le dites.
-Vous pouvez me tutoyer vous savez, à présent nous sommes à armes égales.
-D'accord Alex. lui (typographie : si vous voulez indiquer une didascalie après une réplique dans le dialogue, celle-ci ne doit pas se terminer par un point) répondit Tomy (manque ici le point de fin de phrase)
-Et voici mon associée Marie, mais comme vous le voyez elle est un peu occupée en ce moment...
-Je vois ca. lui (typographie : si vous voulez indiquer une didascalie après une réplique dans le dialogue, celle-ci ne doit pas se terminer par un point) dit Mino, un sourire illuminant son visage.>> (typographie : le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français) »
(typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut prévoir le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », suivi d’ailleurs d’une espace)
« Finalement, chacun fit la connaissance de Marie, et Dante invoqua une sorte de porte étrange surgie (la porte) de nulle part »
« très rapidement suivi (et non « suivit ») de ses conseillers »
« le regard des autres... (typographie : une espace après les points de suspension) Et tous franchirent la porte en hurlant leur marque de fabrique: (typographie : une espace avant les deux points)
<< (typographie : le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français) Wazaaaahh!!>> (typographie : le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français, et une espace avant les points d’exclamation) »
(à ce niveau, vous répétez le chapitre 3)
« Chapitre 4: (typographie : une espace avant les deux points) les liens du sang… (typographie : une espace après les points de suspension) toute une histoire »
« ses conseillers à travers la porte »
« De l'autre côté il y avait un long couloir obscur »
« plus de 2 kilomètres de long, et 5 ou 6 de large » : pour les petits nombres on préfère une indication en toute lettres, ici, respectivement, deux, cinq et six
« très stressés.... (typographie : une espace après les points de suspension) Mino se rongeait les ongles et ne parlait plus (chose incroyable et très rare), Benjamin faisait blague pourrie sur blague pourrie: (typographie : une espace avant les deux points)
<< (typographie : le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français) Eh eh je vous ai déjà raconté la blague des crayons dans la prison? (typographie : une espace avant le point d’interrogation)
-Non.... (typographie : une espace après les points de suspension) répondirent tous les autres, blasés.
-En fait y a (et non « ya ») deux crayons dans une prison et y en a un qui dit à l'autre: (typographie : une espace avant les deux points) hey on s'taille? (typographie : une espace avant le point d’interrogation)
(typographie, manque ici l’indication qu’on va à la ligne à l’intérieur d’une réplique, par exemple un guillemet français fermant ‘»’) Ah Ah Ah elle est pas énorme?!! (typographie : une espace avant les points d’interrogation et d’exclamation)
-Si Benji.... (typographie : une espace après les points de suspension) trop bien Benji....
-Roooh vous avez aucun humour !!
-....>> (typographie : le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français, et une espace après les points de suspension) »
(typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut prévoir le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », suivi d’ailleurs d’une espace)
« Et Tomy quant à lui, (pourquoi une virgule ici ?) s'amusait à essayer de comprendre comment marchaient ses pupilles »
« plusieurs (et non « plusieures ») heures qu'ils marchaient dans ce couloir, et chacun en avait plus ou moins marre.
Lorsque Benjamin, grâce à ses pupilles extra-développées, put voir de la lumière: (typographie : une espace avant les deux points)
<< (typographie : le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français) Ça y est enfin on arrive au bout de cette saleté de tunnel!! (typographie : une espace avant les points d’exclamation)
-Tu es sûr? (typographie : une espace avant le point d’interrogation) Ce n'est pas une de tes blagues j'espère? (typographie : une espace avant le point d’interrogation)
-C'est vrai comme verrue de rat Tomy ne t'inquiète pas.
-Enfin... (typographie : une espace après les points de suspension) je commençais à en avoir vraiment plein les bottes de ce couloir moi...
-Je crois que tu n'es pas le seul .... (typographie : pas d’espace avant les points de suspension)
-Excusez-moi (trait d’union) Monsieur (ah tiens, une troisième manière de dire « monsieur » ; jevous suggère d’homogénéiser) Dante mais...
-Appelle-moi (trait d’union) Dante je te prie, et tutoie-moi (trait d’union).
-Okay mons.... (typographie : une espace après les points de suspension) Dante.
-Voilà très bien. (typographie : une espace après le point) Bon alors que voulais-tu (trait d’union) me dire? (typographie : une espace avant le point d’interrogation)
-J'aurais aimé savoir, (pourquoi une virgule ici ? Par ailleurs, typographie : une espace après la virgule) pourquoi vous faites-vous (trait d’union) la guerre dans votre... (typographie : une espace apeès les points de suspension) monde? (typographie : une espace avant le point d’interrogation) Ou pays (manque un signe de ponctuation ici) je ne sais plus trop comment m'exprimer...
-Oulah (on écrit plutôt « Houlà »)... (typographie : une espace après les points de suspension) je crois que cette guerre remonte à des siècles en arrière... Elle a commencé du temps de mon arrière-arrière-arrière-grand-père (traits d’union).
(typographie, manque ici l’indication qu’on va à la ligne à l’intérieur d’une réplique, par exemple un guillemet français fermant ‘»’) En ce temps-là (trait d’union) il y avait alors trois tribus dominatrices: (typographie : une espace avant les deux points, une espace après) les Mayas, les Aztèques, et les Bushin.
-Excuse-moi (trait d’union) de te couper mais... sur notre planète il y a des siècles vivaient aussi les Mayas et les Aztèques, comment est-ce possible? (typographie, une espace avant le point d’interrogation)
-Tu comprendras plus tard.
(typographie, manque ici l’indication qu’on va à la ligne à l’intérieur d’une réplique, par exemple un guillemet français fermant ‘»’) Donc ces trois tribus gouvernaient notre monde, sans réelles anicroches. Jusqu'à ce que, dans une province éloignée des Aztèques, naisse un enfant... (typographie : une espace après les deux points) Mais ce nouveau-né (trait d’union) n'était pas comme les autres, il possédait en lui un démon très puissant, mais maléfique. Les Aztèques tentèrent de l'éduquer afin qu'il leur permette (et non « permettent ») de devenir les plus forts, seulement ce n'était pas prévu dans les plans du démon.
(typographie, manque ici l’indication qu’on va à la ligne à l’intérieur d’une réplique, par exemple un guillemet français fermant ‘»’) Il mit le pays à feu et à sang. Beaucoup périrent, d'autres partirent vers votre monde, tandis que les plus forts restèrent afin d'essayer de l'emprisonner. Les Aztèques étaient les plus forts combattants ayant (et non « n’ayant », le « n’ » fait ici double emploi avec le « jamais ») jamais existé (et non « existés », pas de complément d’objet direct au verbe dont le participe passé n’a donc rien avec quoi s’accorder) dans notre monde. Ils ne l'étaient pourtant pas assez, car le démon partit finalement attaquer les Mayas. (une virgule ici, non, plutôt qu’un point ?) qui partirent aussi vers votre planète.
(typographie, manque ici l’indication qu’on va à la ligne à l’intérieur d’une réplique, par exemple un guillemet français fermant ‘»’) Afin de sauver leur pays, (et ici un point plutôt qu’une virgule) Tous les combattants les plus forts, (pourquoi une virgule ici ?) partirent soutenir (et non « soutenirent ») leurs camarades. (typographie : une espace après le point) Presque (et non « Presques ») tous y perdirent la vie.
(typographie, manque ici l’indication qu’on va à la ligne à l’intérieur d’une réplique, par exemple un guillemet français fermant ‘»’) Lorsque tout semblait perdu, une nouvelle recrue de notre de mon pays, le Bushino, fit preuve d'un patriotisme incroyable.
(typographie, manque ici l’indication qu’on va à la ligne à l’intérieur d’une réplique, par exemple un guillemet français fermant ‘»’) Puisque le démon semblait invincible de l'extérieur, il fallait l'attaquer de l'intérieur. Et c'est ce que fit le jeune soldat. Il se jeta dans la gueule du démon, et utilisa un sort enfermant son âme à jamais dans les profondeurs de la terre.
(typographie, manque ici l’indication qu’on va à la ligne à l’intérieur d’une réplique, par exemple un guillemet français fermant ‘»’) Alors que mes ancêtres croyaient qu'ils en avaient fini (et non « finis », le participe passé du verbe conjugué avec avoir s’accorde avec le complément d’objet direct si celui-ci est placé avant le verbe ; ici, pas de complément d’objet, pas d’accord) avec le démon, une révolte survint au nord du territoire aztèque. Il s'agissait des adorateurs du démon, dirigés par Zamal l'Ancien.
(typographie, manque ici l’indication qu’on va à la ligne à l’intérieur d’une réplique, par exemple un guillemet français fermant ‘»’) Petit à petit cette secte de fous devint de plus en plus puissante, et réussit même à prendre le contrôle du territoire maya, et presque la totalité de celui Azteque (celui des Aztèques ?).
(typographie, manque ici l’indication qu’on va à la ligne à l’intérieur d’une réplique, par exemple un guillemet français fermant ‘»’) Maintentant seuls nous, les Bushins (un peu plus haut, vous ne mettez pas de « s » à « Bushin » au pluriel ; je vous suggère d’homogénéiser), et quelques survivants mayas, avons la possibilité de nous mesurer à eux.
(typographie, manque ici l’indication qu’on va à la ligne à l’intérieur d’une réplique, par exemple un guillemet français fermant ‘»’) Certains petits pays sont avec nous, mais trop peu nombreux pour représenter une veritable force.
-Mais, (pourquoi une virgule ici ?) vous avez d'autres soldats que vos conseillers ayant des pouvoirs... (typographie : une espace après les points de suspension) spéciaux? (typographie : une espace avant le point d’interrogation)
-Bien sûr! (typographie : une espace avant le point d’exclamation) Mais aucun n'a leur force, ni la vôtre... (typographie : une espace après les points de suspension) Je me dois de vous dire quelque chose... (typographie : une espace après les points de suspension) voulez-vous (trait d’union) connaître vos origines? (typographie : une espace avant le point d’interrogation)
-Nos.... (typographie : une espace après les points de suspension) nos origines? (typographie : une espace avant le point d’interrogation)
-Oui... Vous n'êtes pas de votre monde, en vérité vous venez du mien. (typographie : une espace après le point) Vous êtes les descendants des plus grandes familles Aztèques, et donc les plus puissantes...
-Mais comment se fait-il que nos ancêtres soient venus sur la Terre s’ils étaient très puissants? (typographie : une espace avant le point d’interrogation) Ils auraient trahi (et non « trahis » ; le participe passé du verbe conjugué avec avoir s’accorde avec le complément d’objet direct quand celui-ci est placé avant le verbe ; ici, les mecs ont trahi qui ? leur famille, indiquée après le verbe ; pas d’accord) leur famille? (typographie : une espace avant le point d’interrogation)
-Non (manque une ponctuation ici) bien sûr que non! (typographie : une espace avant le point d’exclamation) Comme vous ils possédaient un honneur et un sens de la famille très important... (typographie : une espace après les points de suspension) Ils ont envoyé (et non « envoyés » ; ils ont envoyé qui ? leurs enfants ; comme le complément d’objet direct est placé après le verbe, le participe passé conjugué avec avoir ne s’accorde pas) leurs enfants afin de protéger la lignée...
-Ce que vous m'annoncez me trouble, dit Elsa qui n'avait jusque-là (trait d’union) pas ouvert la bouche, (un point ici, je pense, non une virgule, et suivi d’une espace) Quel intérêt auraient eu nos ancêtres à nous envoyer dans notre monde? (typographie : une espace avant le point d’interrogation)
-Ils voulaient être sûrs que si jamais ils devaient échouer face au démon, leurs descendants pourraient prendre le relai.
-Je comprends mieux maintenant.
-Ça y est nous arrivons.>> (typographie : le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français, et une espace après le point) »
(typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut prévoir le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », suivi d’ailleurs d’une espace)
« vêtus de pourpre, (typographie : une espace après le virgule)encagoulés »
« lorsqu'il virent un deuxième Matt! » : typographie, une espace avant le point d’exclamation
« Il lui ressemblait beaucoup; (typographie : une espace avant le point-virgule) grand, musclé, mais lui était brun aux yeux bleus, ce qui était assez étonnant » : deux « était » trop rapprochés à mon goût
« -je vous présente mon frère jumeau, Kash. leur (typographie : si vous voulez indiquer une didascalie après une réplique dans le dialogue, celle-ci ne doit pas se terminer par un point) dit le chef de la section spéciale.
-Sans dec' j'aurais pas deviné! (typographie : une espace avant le point d’exclamation) lui répondit ironiquement Benjamin.
-Benji mais t'arrêtes quand? (typographie : une espace avant le point d’interrogation, une espace après) lui dit posément Alex, qui était devenu un bon ami de Benjamin.>> (typographie : le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français, et une espace après le point) »
(typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut prévoir le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », suivi d’ailleurs d’une espace)
« un très léger coup de poing au bras droit (et non « bras-droit ») de Tomy... (typographie : une espace après les points de suspension) qui l'envoya quand même valser parmi (et non « parmis ») les gardes, (pourquoi une virgule ici ?) impassibles »
« tous les gardes sortirent leurs armes! (typographie : une espace avant le point d’exclamation)
<< (typographie : le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français) Mais que faites-vous (trait d’union)? (typographie : une espace avant le point d’interrogation) Seriez-vous (trait d’union) devenus fous! (typographie : une espace avant le point d’exclamation) leur dit Matt (manque ici le point de fin de phrase)
Aucun ne répondit.
-Et toi Kash, explique-moi (trait d’union) ce que signifie cette mascarade! (typographie : une espace avant le point d’exclamation)
-Je suis désolé frérot.... (typographie : une espace après les points de suspension) mais les mages de Zalamat le Jeune nous ont ensorcelés. Nous n'avons pas d'autre possibilité (et non « possibilités ») que de tuer monsieur Dante.
-Nous n'avons donc pas le choix... (typographie : une espace après les points de suspension) dit Alex, avec un air très malheureux, nous allons devoir nous défendre...>> (typographie : le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français, et une espace après les points de suspension) »
(typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut prévoir le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », suivi d’ailleurs d’une espace)
« environ 1 (un) tiers des soldats prit de plein fouet une pluie d'aiguilles meurtrières. (typographie : une espace apès le point) Une bonne partie »
« les survivants suivants furent enveloppés d'une brume ocre avant de finir tranchés »
« lui et son frère étai[b ]en[/b]t de même puissance. Ce qui donnait un mélange de haute intensité (et non « haute-intensité ») »
« afin de lui porter le coup de grâce.
Marie mourait (et non « mourrait » qui est la forme du conditionnel) d'envie de l'attaquer, et de protéger son fiancé. (typographie : une espace après le point) Mais elle savait que jamais il ne lui pardonnerait »
« alors que Kash était à deux pas de Matt, ce dernier rouvrit les yeux immédiatement, et planta un couteau, (typographie : une espace après la virgule) lâché par les gardes, (typographie : une espace après la virgule) dans le cœur »
« <- (typographie : le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français, par ailleurs on ne fait pas suivre une ouverture de dialogue indiquée avec des guillemets par un tiret, ça fait double emploi) C'est à moi de m'excuser Matt... Et de te remercier. Je suis heureux de finir ma vie au service de Maitre Dante, Et (il faut choisir : soit un point et une majuscule derrière, soit une virgule et pas de majuscule)[b] par toi surtout...
-Tu auras fai[b]t ce que tu as pu...
-On se revoit dans un autre monde frérot... (typographie : une espace après les points de suspension) ne t'inquiète pas.............................
-KAAASSSSHHH!!!!! (typographie : une espace avant les points d’exclamation)
-Je suis désolée.... (typographie : une espace après les points de suspension) lui dit sa fiancée (manque ici le point de fin de phrase)
-C/b]e n'est pas ta faute... [b](typographie : une espace après les points de suspension) j'ai juste besoin de temps...
-Je comprends...>> (typographie : le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français, et une espace après les points de suspension) »
(typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut prévoir le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », suivi d’ailleurs d’une espace)
« un long couloir de pierre éclairé par de simples torches murales, une flèche, surgie de nulle part (et non « nulle-part ») »
« jusqu'à ce qu'ils voient Dante, (typographie : une espace après la virgule) la flèche attrapée entre ses dents.
Il la renvoya à une vitesse extraordinaire »
« où les torches étaient éteintes: » : typographie, une espace avant les deux points
« provenant sûrement d'une bête monstrueuse.
Deux énormes yeux rouges »
« Chapitre 3: (typographie : une espace avant les deux points) nous ne sommes »
« personne (et non « personnes ») n'aurait cru que Tomy aurait pu devenir fou furieux à l'idée »
« le plus prudent et le plus réfléchi (et non « reflechit »).... enfin jusqu'à ce jour où Elsa »
« même avec leurs pouvoirs. Mais savoir qu'un de leurs compagnons était en danger, (pourquoi une virgule ici ?) leur faisait perdre »
« en vue du fameux bâtiment »
« Le hangar était un vieux bâtiment (vous avez employé le mot juste au-dessus, je trouve que la répétition se voit) désaffecté qui servait (et non « servaient », c’est le bâtiment qui servait) autrefois »
« les gonds des portes avaient disparu (et non « disparus », le participe passé du verbe conjugué avec avoir s’accorde avec le complément d’objet direct du verbe si celui-ci est placé avant le verbe, ici il n’y a pas de complément d’objet direct : pas d’accord), et les murs auraient très bien pu être faits »
« des bruits étranges provenant (et non « provenants ») de la clairière où était situé »
« trop indistinctes pour qu'ils en soient sûrs »
« tous les membres du groupe: (typographie : une espace avant les deux points)
<< - (typographie : le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français, par ailleurs on ne fait pas suivre une ouverture de dialogue indiquée avec des guillemets par un tiret, ça fait double emploi) Nous allons appliquer le plan prévu, même si nous sommes actuellement privés des renseignements qui nous auraient bien aidés....
(typographie, manque ici l’indication qu’on va à la ligne à l’intérieur d’une réplique, par exemple un guillemet français fermant ‘»’) Mais nous n'avons pas le choix si nous voullons savoir qui est cette mystérieuse voix.
(typographie, manque ici l’indication qu’on va à la ligne à l’intérieur d’une réplique, par exemple un guillemet français fermant ‘»’) J'ai légèrement changé (et non « changés », le perticipe passé du verbe conjugué avec avoir s’accorde avec le complément d’objet direct du verbe si celui-ci est placé avant le verbe ; le gars a changé quoi ? ses plans, le mot est après le verbe, donc pas d’accord) mes plans finalement, Tomy et moi allons finalement (deux fois finalement dans la phrase) passer par les résaux souterrains tandis que Mino et Yoga allez les rendre fous par devant.
(typographie, manque ici l’indication qu’on va à la ligne à l’intérieur d’une réplique, par exemple un guillemet français fermant ‘»’) Je compte sur vous pour faire le plus de dégâts possibles (ici, j’écrirai « possible », mais ça peut se discuter), mais si ca devient trop chaud partez! (typographie : une espace avant le point d’exclamation) Je ne veux pas avoir à aller vous récupérer parce que vous n'êtes pas capables de vous arrêter! (typographie : une espace avant le point d’exclamation)
-Ne t'inquiète donc pas Benji, laisse-les (trait d’union) donc se débrouiller, tu les connais. lui (typographie : si vous voulez indiquer une didascalie après une réplique dans le dialogue, celle-ci ne doit pas se terminer par un point) dit Tomy (manque ici le point de fin de phrase)
-Justement c'est bien ça qui m'inquiète... (typographie : une espace après les points de suspension) Ils sont capables d'être assez têtus quand ils le veulent.
-C'est pas faux.
-Ne t'en fais pas Benji, nous serons aussi prudents que nous le pourrons.... (typographie : une espace après les points de suspension) enfin peut-être (trait d’union) pas mais nous ferons attention.
-Bah de toute facon je n'ai guère le choix.
-Effectivement tu ne l'as pas.>> (typographie : le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français) »
(typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut prévoir le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », suivi d’ailleurs d’une espace)
« Et ils partirent finalement chacun là où ils le devaient. » : la formulation est très maladroite, à la limite de l’incorrection, avec son hésitation entre le singulier et le pluriel
« Jusqu'à ce que Tomy rajoute: (typographie : une espace avant les deux points)
<<- (typographie : le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français, par ailleurs on ne fait pas suivre une ouverture de dialogue indiquée avec des guillemets par un tiret, ça fait double emploi) Au fait... (typographie : une espace après les points de suspension) je suppose que vous l'aviez compris mais entre Elsa et moi il y a un peu plus que de l'amitié... (typographie : une espace après les points de suspension) donc voilà je voulais juste vous dire que vous avez une raison de plus pour ne pas échouer, je compte sur vous!>> (typographie : une espace avant le point d’exclamation, et le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français) »
(typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut prévoir le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », suivi d’ailleurs d’une espace)
« Benjamin et Tomy essayaient de trouver leur chemin (et non « chemins) »
« les couloirs sinueux qui devaient mener au hangar »
« elle était gardée par pas moins de 10 (on préfère en général exprimer les petits nombres en toutes lettres : dix) gardes »
« une cagoule dont seule (et je pense que « où » serait préférable ici à « dont ») une petite ouverture laissait entrevoir les yeux »
« 9 (on préfère en général exprimer les petits nombres en toutes lettres : Neuf) d'entre (et non « d’entres ») eux finirent encastrés profondément dans le mur »
« qui paraissait être le chef, (typographie : une espace après la virgule) avait été fait prisonnier et était interrogé: (typographie : une espace avant les deux points)
<<- (typographie : le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français, par ailleurs on ne fait pas suivre une ouverture de dialogue indiquée avec des guillemets par un tiret, ça fait double emploi) Où est-elle (trait d’union)? (typographie : une espace avant le point d’interrogation) où est Elsa?!! (typographie : une espace avant les points d’interrogation et d’exclamation)
-Mais je ne sais pas moi on ne me met (et non « mets ») pas au courant de ce genre de choses, je ne suis que le chef d'une escouade de gardes.... (typographie : une espace après les points de suspension) rien de plus...
-Donc j'en conclus que tu ne nous sers à rien finalement. lâcha (typographie : si vous voulez indiquer une didascalie après une réplique dans le dialogue, celle-ci ne doit pas se terminer par un point) Benjamin, qui avait une fâcheuse tendance a s'emporter lorsqu'il commencait à se battre.
-Quoi ? mais?? (typographie : une espace avant les points d’interrogation)
Bam! (typographie : une espace avant le point d’exclamation)
Et voilà que le dixième avait lui aussi trouvé refuge dans le mur.
-Eh bien un de moins qui ne nous embêtera plus, conclut Benjamin.
-C'est pas faux.ajouta (typographie : si vous voulez indiquer une didascalie après une réplique dans le dialogue, celle-ci ne doit pas se terminer par un point, par ailleurs il faut une espace après le signe de ponctuation) Tomy un sourire aux lèvres.
-Bon eh bien.... (typographie : une espace après les points de suspension)continuons alors>>(typographie : le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français) »
(typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut prévoir le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », suivi d’ailleurs d’une espace)
« ils repartirent à travers de (et non « des », ici) longs couloirs sombres, étroits »
« Mino et Yoga se préparaient à attaquer: (typographie, une espace avant les deux points)
<<- (typographie : le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français, par ailleurs on ne fait pas suivre une ouverture de dialogue indiquée avec des guillemets par un tiret, ça fait double emploi) Bon alors je propose que nous commencions par nous occuper du gros des troupes, parce que à la limite ils sont plus intéressants que les sentinelles, qui de toute façon nous verront. proposa (typographie : si vous voulez indiquer une didascalie après une réplique dans le dialogue, celle-ci ne doit pas se terminer par un point) Mino
- Comme tu veux... Moi tu sais tant que je peux me battre...
-Espèce de brute! (typographie : une espace avant le point d’exclamation) lui dit Mino en riant (manque ici le point de fin de phrase)
-Bah dans le genre tu n'es pas mauvaise non plus.
-C'est pas faux (manque ici le point de fin de phrase)
-C'est même vrai je dirais.
-On y va? (typographie : une espace avant le point d’interrogation)
-Quand tu veux!>> (typographie : une espace avant le point d’exclamation, et le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français) »
(typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut prévoir le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », suivi d’ailleurs d’une espace)
« en vue de la porte principale lorsque, (pourquoi une virgule ici ?) un grand homme étrange »
« Ce fut Mino qui prit la parole la première: (typographie : une espace avant les deux points)
-Qui êtes-vous (trait d’union) ? (typographie : une espace avant le point d’interrogation)
-Je m'appelle Alex, mais on me surnomme le tricoteur...
-Le tricoteur? (typographie : une espace avant le point d’interrogation) mais c'est stupide comme nom! (typographie : une espace avant le point d’exclamation) lui dit Yoga, avec son tact légendaire.
-Question de point de vue...
- Et que nous voulez-vous (trait d’union) ? (typographie : une espace avant le point d’interrogation) renchérit Mino (manque ici le point de fin de phrase)
-Je suis la pour vous empêcher d'entrer, jusqu'à l'arrivée de votre chef à l'intérieur du bâtiment.
-Quoi? (typographie : une espace avant le point d’interrogation)
-Eh oui, je sais parfaitement que vous n'êtes là que pour faire diversion. Mais c'est raté, avec moi vous ne passerez jamais.
-C'est ce qu'on verra! (typographie : une espace avant le point d’exclamation) lui dirent Mino et Yoga d'une même voix>> (typographie : le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français) »
(typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut prévoir le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », suivi d’ailleurs d’une espace)
« une boule de feu censée le carboniser »
« l'homme l'esquiva, comme s’il s'agissait »
« <<- (typographie : le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français, par ailleurs on ne fait pas suivre une ouverture de dialogue indiquée avec des guillemets par un tiret, ça fait double emploi) Alors, c'est tout ce que vous pouvez faire? (typographie : une espace avant le point d’interrogation) lanca Alex. Puisque c'est comme ça, je vais vous montrer pourquoi on me nomme "le tricoteur">> (typographie : le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français) »
« une aiguille d'une quinzaine de centimètres, (la virgule ici ne me paraît pas nécessare) en direction du visage »
« <<- (typographie : le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français, par ailleurs on ne fait pas suivre une ouverture de dialogue indiquée avec des guillemets par un tiret, ça fait double emploi) Alors? (typographie : une espace avant le point d’interrogation) mon surnom vous fait toujours autant rire? (typographie : une espace avant le point d’interrogation)
- Espèce d'ordure! (typographie : une espace avant le point d’exclamation) lui répondit Mino, qui essayait de gagner du temps pour pouvoir continuer à soigner Yoga (manque ici le point de fin de phrase)
-Je sais, je sais... On me le dit souvent... (typographie : une espace après les points de suspension) enfin mes ennemis, mes amis me disent très gentil, quand je le veux.
-J'ai du mal à y croire.
-Tant pis pour vous.>>(typographie : le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français) »
(typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut prévoir le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », suivi d’ailleurs d’une espace)
« Et là une pluie d'aiguilles »
« Elles furent instantanément carbonisées par un jet de flammes sorti (et non « sortis ») tout droit »
« Ce dernier écarquilla les yeux devant ce qu'il venait de faire.
<<- (typographie : le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français, par ailleurs on ne fait pas suivre une ouverture de dialogue indiquée avec des guillemets par un tiret, ça fait double emploi) Comment avez-vous (trait d’union) fait? (typographie : une espace avant le point d’interrogation) mes aiguilles étaient empoisonnées, vous n'auriez pas dû vous relever avant ... (typographie : pas d’espace avant les points de suspension, une espace après) 2 (on exprime d’habitude les petits nombres en toutes lettres : deux) bons mois.
-C'est ça de nous sous-estimer! (typographie, une espace avant le point d’exclamation)
-Eh bien tant pis alors... (typographie : une espace après les points de suspension) je voulais faire durer le plaisir mais vous ne m'en (« me », plutôt) laissez pas le choix...>> (typographie : le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français) »
(typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut prévoir le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », suivi d’ailleurs d’une espace)
« Enfin... (typographie : une espace après les points de suspension) c'est ce que crut Alex. En vérité les deux compagnons avaient anticipé (et non « anticipés » ; le participe passé du verbe conjugué avec avoir s’accorde avec le complément d’objet direct quand celui-ci est placé avant le verbe, ce qui n’est pas le cas ici : les compagnons avaient anticipé quoi ? l’attaque) l'attaque, et avaient bondi (et non « bondit ») assez vite au-dessus (trait d’union) de la pluie d'aiguilles, sans que "le tricoteur" ne (je pense que le « ne » explétif n’est pas utile ici, voire embrouillant pour le sens) les voit.
Ce dernier reçut d'ailleurs un coup de poing phénomenal (et non « phénoménale ») »
« <<- (typographie : le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français, par ailleurs on ne fait pas suivre une ouverture de dialogue indiquée avec des guillemets par un tiret, ça fait double emploi) Voyez-vous (trait d’union) Alex, je n'aime pas dire ça... (typographie : une espace après les points de suspension)Mais je dois bien avouer que vous avez bien failli (et non « faillit ») nous battre. Si vous ne nous aviez pas sous-estimés.
-Bah, la prochaine fois nous verrons bien.
-Je n'attends que ça. lui (typographie : si vous voulez indiquer une didascalie après une réplique dans le dialogue, celle-ci ne doit pas se terminer par un point) répondit Yoga (manque ici le point de fin de phrase)
Alex s'était évanoui, tellement le coup de Mino avait été puissant.
-Eh bien voilà qui est fait. (typographie : une espace après le point) Mais j'espère que la suite sera moins ardue...
-J'en doute fortement. dit (typographie : si vous voulez indiquer une didascalie après une réplique dans le dialogue, celle-ci ne doit pas se terminer par un point) Mino.
-De toute façon nous n'avons pas le choix, nous devons continuer.>> (typographie : le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français) »
(typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut prévoir le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », suivi d’ailleurs d’une espace)
« sans se douter qu'une personne les avait espionnés (une personne avait espionné qui ? « les », mis pour Mino et Yoga ; le participe passé du verbe conjugué avec avoir s’accorde avec le complément d’objet direct quand celui-ci est placé avant le verbe, ce qui est le cas ici) »
« Quant à Tomy et Benji, ils en étaient à leur quatrième poste de garde, et commençaient sérieusement à en avoir marre de ce labyrinthe »
« l'air déterminés à les éliminer.
<<- (typographie : le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français, par ailleurs on ne fait pas suivre une ouverture de dialogue indiquée avec des guillemets par un tiret, ça fait double emploi) Pffff j'en ai marre de me battre contre eux, ils n'auraient pas quelqu'un de plus... (typographie : une espace après les points de suspension) comment dire... (typographie : une espace après les points de suspension) intéressant? (typographie : une espace avant le point d’interrogation)
-J'ai l'impression que non, quel dommage... répondit Tomy à Benjamin (manque ici le point de fin de phrase)
-Eh bien allons-y (trait d’union) alors.
-Ouaip>> (typographie : le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français) »
(typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut prévoir le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », suivi d’ailleurs d’une espace)
« un fifty-fifty. Une moitié fut enfermée »
« accrochée au plafond et bâillonée »
« <<- (typographie : le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français, par ailleurs on ne fait pas suivre une ouverture de dialogue indiquée avec des guillemets par un tiret, ça fait double emploi) Sérieusement ça devient ennuyant... (typographie : une espace après les points de suspension) ils ne pourraient pas nous présenter autre chose que des soldats surentrainés armés de sabres? (typographie : une espace avant le point d’interrogation) dit ironiquement Benjamin (manque ici le point de fin de phrase)
-Je crois que si... lui répondit Tomy, les yeux fixés sur la porte, (la virgule ici ne me paraît pas utilie) qui commençait à s'ouvrir de l'autre côté.
-Enfin! (typographie : une espace avant le point d’exclamation, une espace après) Il était temps.
- Ne te réjouis pas trop vite...
-Ne t'inquiète pas mec, je gère.
-...>> (typographie : le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français) »
(typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut prévoir le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », suivi d’ailleurs d’une espace)
« Une femme sortit des ténèbres de la porte. (typographie : une espace après le point) Elle était plutôt grande, mais n'était pas imposante. Elle était magnifique » : trop de « était » dans ces quelques mots
« qui devait avoir leur âge »
« lorsqu'elle sortit à une vitesse incroyable, (pourquoi une virgule ici ?) deux lames courtes recourbées, qui la rendaient (les lames, non ?) encore plus belle »
« instantanément des éclairs en surgirent.
Tomy et Benjamin n'en croyaient pas leurs yeux... (typographie : une espace après les points de suspension) mais qui était-elle? (typographie : une espace avant le point d’interrogation)
<<- (typographie : le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français, par ailleurs on ne fait pas suivre une ouverture de dialogue indiquée avec des guillemets par un tiret, ça fait double emploi) Je me présente (manque une ponctuation ici) je me nomme Marie, on me surnomme "l'ange de la lune", et je suis là pour vous empêcher de passer. » : manque la fermeture de la réplique ici
« Tomy et Benjamin avaient de nombreux principes »
« lorsqu'elle lança un éclair »
« à l'autre bout du couloir »
« lança instantanément une lance de sable durci, (pourquoi une virgule ici ?) en direction de la jeune femme »
« Celle-ci (trait d’union) fut stoppée par un éclair »
« Mais il était préparé, et para (et non « parat ») grâce à une muraille »
« Leurs défenses etaient impenétrables, et aucun ne savait comment s'en sortir (et non « sortirent »).
S'ensuivit (et non « S’en suivit ») une serie »
« était peu à peu détruite, Benjamin revenait à lui. (typographie : une espace après le point) Il se dit mentalement:
<< (typographie : le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français) Heureusement qu'au dernier moment j'ai eu le reéflexe de protéger partiellement mon corps avec une couche d'air. Sinon, qui sait ce qui me serait arrivé.>> (typographie : le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français) »
« entre Tomy et Marie. Il ne savait pas comment l'aider sans le gêner »
« elle reussit parfaitement. (typographie : une espace après le point) Il créa (et non « créat ») une bulle d'air réfléchissante tout autour de Marie. Ce qui lui aurait été impossible en temps normal car trop longue à réaliser »
« comme elle le croyait évanoui (et non « evanouit »), elle ne fit pas attention à lui. (typographie : une espace après le point) Grossière »
« lorsque l'un de ses éclairs »
« ce qu'il s'était passé, et se dépêcha de recouvrir Marie d'une couche de sable, l'empêchant de bouger à son réveil. Seule la tête dépassait »
« des yeux bleus perçants »
« Tomy et Benjamin reprirent donc leur chemin »
« ce fut à leur tour de se retrouver face à face avec quelque gardes... (typographie : une espace après les points de suspension) pas très longtemps »
« en son centre un trône, soutenant un jeune homme aux cheveux blanc (et non « blancs », car les cheveux sont d’un blanc d’argent) argent, musclé comme il faut, une longue veste de cuir pourpre, un pantalon treillis »
« A côté de lui »
« Le jeune homme prit la parole: (typographie : une espace avant les deux points)
<<- (typographie : le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français, par ailleurs on ne fait pas suivre une ouverture de dialogue indiquée avec des guillemets par un tiret, ça fait double emploi) Je suis très fier de vous, vous avez réussi à passer mes deux conseillers. Et peu de gens peuvent se targuer d'avoir fait de même.
(typographie, manque ici l’indication qu’on va à la ligne à l’intérieur d’une réplique, par exemple un guillemet français fermant ‘»’) Je me presente, je m'appelle Dante, et je suis l'imperator de jJilanor.
-Jila-quoi? (typographie : une espace avant le point d’interrogation) dit Tomy (manque ici le point de fin de phrase)
- Jilanor. lui (typographie : si vous voulez indiquer une didascalie après une réplique dans le dialogue, celle-ci ne doit pas se terminer par un point) répondit Yoga. C'est un monde parallèle au nôtre, qui est en guerre civile depuis bientôt 20 ans.
-Mais comment peux-tu savoir ça Yoga? (typographie : une espace avant le point d’interrogation) lui dit Benjamin (manque ici le point de fin de phrase)
-En vérité je ne m'appelle pas Yoga... (typographie : une espace après les points de suspension) mon vrai nom est Matthieu, et je suis un des chefs de la section spéciale sous les ordres de monsieur Dante.
-... (typographie : une espace après les points de suspension) Mais comment est-ce possible? (typographie : une espace avant le point d’interrogation) Tu m'as pourtant aidé à lutter contre Alex.... (typographie : une espace après les points de suspension) lui dit Mino (manque ici le point de fin de phrase)
- C'était mon rôle, et Alex le savait... En vérité j'étais là pour vous entrainer, et verifier vos capacités. D'ailleurs je dois admettre que je suis très impressionné par vos compétences.
-Tu en as d'autres des comme ça? (typographie : une espace avant le point d’interrogation) lâcha Tomy, au bord de la crise de nerfs.
-Non je ne crois pas... (typographie : une espace après les points de suspension) Ah si, la femme que vous avez rencontrée (ils ont rencontré qui ? « que », mis pour la femme ; le participe passé du verbe conjugué avec avoir s’accorde avec le complément d’objet direct quand celui-ci est placé avant le verbe, ce qui est le cas ici) tout à l'heure... nous sommes fiancés...
-Oups... dit Tomy (manque ici le point de fin de phrase)
-Quoi? (typographie : une espace avant le point d’interrogation)
-Euh ben... je crois qu'elle est actuellement emprisonnée (la femme) dans un cercueil de sable...
-Ah merde! (typographie : une espace avant le point d’exclamation) Aurais-tu (trait d’union) l'extrême obligeance de la libérer? (typographie : une espace avant le point d’interrogation)
(Un court silence (manque ici le point de fin de phrase))
-C'est fait.
-Merci.
-Bon alors je vais vous expliquer pourquoi mes hommes et moi avons fait tout cela. leur (typographie : si vous voulez indiquer une didascalie après une réplique dans le dialogue, celle-ci ne doit pas se terminer par un point) dit l'imperator.
(typographie, manque ici l’indication qu’on va à la ligne à l’intérieur d’une réplique, par exemple un guillemet français fermant ‘»’) Mon pays est (en ?) guerre contre un autre pays, et nous sommes proches de la guerre civile.
(typographie, manque ici l’indication qu’on va à la ligne à l’intérieur d’une réplique, par exemple un guillemet français fermant ‘»’) Et nous avons besoin d'hommes pour mener nos batailles, et redresser notre pays. Seulement peu de gens ont des pouvoirs assez développés pour pouvoir nous permettre de mener à bien cette mission...
-Donc si j'ai bien compris vous voulez nous emmener dans votre monde afin de vous aider. C'est ca? (typographie : une espace avant le point d’interrogation)
-Tout à fait. (typographie : une espace après le point) J'ai d'ailleurs l'intention de faire de vous mes généraux, car jusqu'à aujourd'hui j'étais le seul à avoir réussi à vaincre mes conseillers...
-Je crois que nous allons y réfléchir... Elsa, Benji et Mino venez avec moi...
-Bon alors comment vous voyez les choses? (typographie : une espace avant le point d’interrogation) vous avez l'intention de les aider ou pas? (typographie : une espace avant le point d’interrogation) leur murmura Tomy (manque ici le point de fin de phrase)
-Pour moi je marche avec eux, lui répondit Elsa (manque ici le point de fin de phrase)
-Pour moi aussi (manque ici le point de fin de phrase)
-Pour moi ça marche aussi.
-Bon eh bien pour moi aussi alors.
(typographie, manque ici l’indication qu’on va à la ligne à l’intérieur d’une réplique, par exemple un guillemet français fermant ‘»’) Nous nous sommes décidés et avons conclu (et non « conclus » ; le participe passé du verbe conjugué avec « avoir » s’accorde avec le complément d’objet direct quand celui-ci est placé avant le verbe ; ici, pas de complément d’objet direct, pas d’accord) que nous allions vous aider, moyennant une garantie de...
-Protection? (typographie : une espace avant le point d’interrogation) demanda Dante (manque ici le point de fin de phrase)
-De combattre dès que nous le souhaitons! (typographie : une espace avant le point d’exclamation)
-Celle-la (trait d’union) je ne l'attendais pas... (typographie : une espace après les points de suspension) Eh bien puisque c'est ce que vous souhaitez... (typographie : une espace après les points de suspension) c'est d'accord.
-Eh bien nous sommes partants alors.
-Merci à vous, vraiment.>> (typographie : le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français) »
(typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut prévoir le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », suivi d’ailleurs d’une espace)
« ce fut à cet instant que revinrent Alex et Marie »
« en direction de Marie, et Alex vint se poster devant les compagnons: (typographie : une espace avant les deux points)
<<- (typographie : le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français, par ailleurs on ne fait pas suivre une ouverture de dialogue indiquée avec des guillemets par un tiret, ça fait double emploi) Je me présente un peu mieux cette fois-ci, je me nomme donc Alex, et je suis le conseiller garde du corps de Mr (tout à l’heure vous avez écrit « monsieur », ce qui est préférable parce que « Mr » c’est de l’anglais, l’abréviation de « Mister » ; en français : « M. ») Dante (manque ici le point de fin de phrase)
-Enchanté! (typographie : une espace avant le point d’exclamation) Moi je me nomme Mino, lui c'est notre chef Benjamin, elle c'est Elsa, et le dernier se nomme Tomy , essentiellement chargé de conseiller Benjamin.
-Je crois que nous allons bien nous entendre tous les 5 on préfère exprimer les petits nombres en toutes lettres : cinq).
-Si vous le dites.
-Vous pouvez me tutoyer vous savez, à présent nous sommes à armes égales.
-D'accord Alex. lui (typographie : si vous voulez indiquer une didascalie après une réplique dans le dialogue, celle-ci ne doit pas se terminer par un point) répondit Tomy (manque ici le point de fin de phrase)
-Et voici mon associée Marie, mais comme vous le voyez elle est un peu occupée en ce moment...
-Je vois ca. lui (typographie : si vous voulez indiquer une didascalie après une réplique dans le dialogue, celle-ci ne doit pas se terminer par un point) dit Mino, un sourire illuminant son visage.>> (typographie : le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français) »
(typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut prévoir le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », suivi d’ailleurs d’une espace)
« Finalement, chacun fit la connaissance de Marie, et Dante invoqua une sorte de porte étrange surgie (la porte) de nulle part »
« très rapidement suivi (et non « suivit ») de ses conseillers »
« le regard des autres... (typographie : une espace après les points de suspension) Et tous franchirent la porte en hurlant leur marque de fabrique: (typographie : une espace avant les deux points)
<< (typographie : le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français) Wazaaaahh!!>> (typographie : le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français, et une espace avant les points d’exclamation) »
(à ce niveau, vous répétez le chapitre 3)
« Chapitre 4: (typographie : une espace avant les deux points) les liens du sang… (typographie : une espace après les points de suspension) toute une histoire »
« ses conseillers à travers la porte »
« De l'autre côté il y avait un long couloir obscur »
« plus de 2 kilomètres de long, et 5 ou 6 de large » : pour les petits nombres on préfère une indication en toute lettres, ici, respectivement, deux, cinq et six
« très stressés.... (typographie : une espace après les points de suspension) Mino se rongeait les ongles et ne parlait plus (chose incroyable et très rare), Benjamin faisait blague pourrie sur blague pourrie: (typographie : une espace avant les deux points)
<< (typographie : le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français) Eh eh je vous ai déjà raconté la blague des crayons dans la prison? (typographie : une espace avant le point d’interrogation)
-Non.... (typographie : une espace après les points de suspension) répondirent tous les autres, blasés.
-En fait y a (et non « ya ») deux crayons dans une prison et y en a un qui dit à l'autre: (typographie : une espace avant les deux points) hey on s'taille? (typographie : une espace avant le point d’interrogation)
(typographie, manque ici l’indication qu’on va à la ligne à l’intérieur d’une réplique, par exemple un guillemet français fermant ‘»’) Ah Ah Ah elle est pas énorme?!! (typographie : une espace avant les points d’interrogation et d’exclamation)
-Si Benji.... (typographie : une espace après les points de suspension) trop bien Benji....
-Roooh vous avez aucun humour !!
-....>> (typographie : le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français, et une espace après les points de suspension) »
(typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut prévoir le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », suivi d’ailleurs d’une espace)
« Et Tomy quant à lui, (pourquoi une virgule ici ?) s'amusait à essayer de comprendre comment marchaient ses pupilles »
« plusieurs (et non « plusieures ») heures qu'ils marchaient dans ce couloir, et chacun en avait plus ou moins marre.
Lorsque Benjamin, grâce à ses pupilles extra-développées, put voir de la lumière: (typographie : une espace avant les deux points)
<< (typographie : le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français) Ça y est enfin on arrive au bout de cette saleté de tunnel!! (typographie : une espace avant les points d’exclamation)
-Tu es sûr? (typographie : une espace avant le point d’interrogation) Ce n'est pas une de tes blagues j'espère? (typographie : une espace avant le point d’interrogation)
-C'est vrai comme verrue de rat Tomy ne t'inquiète pas.
-Enfin... (typographie : une espace après les points de suspension) je commençais à en avoir vraiment plein les bottes de ce couloir moi...
-Je crois que tu n'es pas le seul .... (typographie : pas d’espace avant les points de suspension)
-Excusez-moi (trait d’union) Monsieur (ah tiens, une troisième manière de dire « monsieur » ; jevous suggère d’homogénéiser) Dante mais...
-Appelle-moi (trait d’union) Dante je te prie, et tutoie-moi (trait d’union).
-Okay mons.... (typographie : une espace après les points de suspension) Dante.
-Voilà très bien. (typographie : une espace après le point) Bon alors que voulais-tu (trait d’union) me dire? (typographie : une espace avant le point d’interrogation)
-J'aurais aimé savoir, (pourquoi une virgule ici ? Par ailleurs, typographie : une espace après la virgule) pourquoi vous faites-vous (trait d’union) la guerre dans votre... (typographie : une espace apeès les points de suspension) monde? (typographie : une espace avant le point d’interrogation) Ou pays (manque un signe de ponctuation ici) je ne sais plus trop comment m'exprimer...
-Oulah (on écrit plutôt « Houlà »)... (typographie : une espace après les points de suspension) je crois que cette guerre remonte à des siècles en arrière... Elle a commencé du temps de mon arrière-arrière-arrière-grand-père (traits d’union).
(typographie, manque ici l’indication qu’on va à la ligne à l’intérieur d’une réplique, par exemple un guillemet français fermant ‘»’) En ce temps-là (trait d’union) il y avait alors trois tribus dominatrices: (typographie : une espace avant les deux points, une espace après) les Mayas, les Aztèques, et les Bushin.
-Excuse-moi (trait d’union) de te couper mais... sur notre planète il y a des siècles vivaient aussi les Mayas et les Aztèques, comment est-ce possible? (typographie, une espace avant le point d’interrogation)
-Tu comprendras plus tard.
(typographie, manque ici l’indication qu’on va à la ligne à l’intérieur d’une réplique, par exemple un guillemet français fermant ‘»’) Donc ces trois tribus gouvernaient notre monde, sans réelles anicroches. Jusqu'à ce que, dans une province éloignée des Aztèques, naisse un enfant... (typographie : une espace après les deux points) Mais ce nouveau-né (trait d’union) n'était pas comme les autres, il possédait en lui un démon très puissant, mais maléfique. Les Aztèques tentèrent de l'éduquer afin qu'il leur permette (et non « permettent ») de devenir les plus forts, seulement ce n'était pas prévu dans les plans du démon.
(typographie, manque ici l’indication qu’on va à la ligne à l’intérieur d’une réplique, par exemple un guillemet français fermant ‘»’) Il mit le pays à feu et à sang. Beaucoup périrent, d'autres partirent vers votre monde, tandis que les plus forts restèrent afin d'essayer de l'emprisonner. Les Aztèques étaient les plus forts combattants ayant (et non « n’ayant », le « n’ » fait ici double emploi avec le « jamais ») jamais existé (et non « existés », pas de complément d’objet direct au verbe dont le participe passé n’a donc rien avec quoi s’accorder) dans notre monde. Ils ne l'étaient pourtant pas assez, car le démon partit finalement attaquer les Mayas. (une virgule ici, non, plutôt qu’un point ?) qui partirent aussi vers votre planète.
(typographie, manque ici l’indication qu’on va à la ligne à l’intérieur d’une réplique, par exemple un guillemet français fermant ‘»’) Afin de sauver leur pays, (et ici un point plutôt qu’une virgule) Tous les combattants les plus forts, (pourquoi une virgule ici ?) partirent soutenir (et non « soutenirent ») leurs camarades. (typographie : une espace après le point) Presque (et non « Presques ») tous y perdirent la vie.
(typographie, manque ici l’indication qu’on va à la ligne à l’intérieur d’une réplique, par exemple un guillemet français fermant ‘»’) Lorsque tout semblait perdu, une nouvelle recrue de notre de mon pays, le Bushino, fit preuve d'un patriotisme incroyable.
(typographie, manque ici l’indication qu’on va à la ligne à l’intérieur d’une réplique, par exemple un guillemet français fermant ‘»’) Puisque le démon semblait invincible de l'extérieur, il fallait l'attaquer de l'intérieur. Et c'est ce que fit le jeune soldat. Il se jeta dans la gueule du démon, et utilisa un sort enfermant son âme à jamais dans les profondeurs de la terre.
(typographie, manque ici l’indication qu’on va à la ligne à l’intérieur d’une réplique, par exemple un guillemet français fermant ‘»’) Alors que mes ancêtres croyaient qu'ils en avaient fini (et non « finis », le participe passé du verbe conjugué avec avoir s’accorde avec le complément d’objet direct si celui-ci est placé avant le verbe ; ici, pas de complément d’objet, pas d’accord) avec le démon, une révolte survint au nord du territoire aztèque. Il s'agissait des adorateurs du démon, dirigés par Zamal l'Ancien.
(typographie, manque ici l’indication qu’on va à la ligne à l’intérieur d’une réplique, par exemple un guillemet français fermant ‘»’) Petit à petit cette secte de fous devint de plus en plus puissante, et réussit même à prendre le contrôle du territoire maya, et presque la totalité de celui Azteque (celui des Aztèques ?).
(typographie, manque ici l’indication qu’on va à la ligne à l’intérieur d’une réplique, par exemple un guillemet français fermant ‘»’) Maintentant seuls nous, les Bushins (un peu plus haut, vous ne mettez pas de « s » à « Bushin » au pluriel ; je vous suggère d’homogénéiser), et quelques survivants mayas, avons la possibilité de nous mesurer à eux.
(typographie, manque ici l’indication qu’on va à la ligne à l’intérieur d’une réplique, par exemple un guillemet français fermant ‘»’) Certains petits pays sont avec nous, mais trop peu nombreux pour représenter une veritable force.
-Mais, (pourquoi une virgule ici ?) vous avez d'autres soldats que vos conseillers ayant des pouvoirs... (typographie : une espace après les points de suspension) spéciaux? (typographie : une espace avant le point d’interrogation)
-Bien sûr! (typographie : une espace avant le point d’exclamation) Mais aucun n'a leur force, ni la vôtre... (typographie : une espace après les points de suspension) Je me dois de vous dire quelque chose... (typographie : une espace après les points de suspension) voulez-vous (trait d’union) connaître vos origines? (typographie : une espace avant le point d’interrogation)
-Nos.... (typographie : une espace après les points de suspension) nos origines? (typographie : une espace avant le point d’interrogation)
-Oui... Vous n'êtes pas de votre monde, en vérité vous venez du mien. (typographie : une espace après le point) Vous êtes les descendants des plus grandes familles Aztèques, et donc les plus puissantes...
-Mais comment se fait-il que nos ancêtres soient venus sur la Terre s’ils étaient très puissants? (typographie : une espace avant le point d’interrogation) Ils auraient trahi (et non « trahis » ; le participe passé du verbe conjugué avec avoir s’accorde avec le complément d’objet direct quand celui-ci est placé avant le verbe ; ici, les mecs ont trahi qui ? leur famille, indiquée après le verbe ; pas d’accord) leur famille? (typographie : une espace avant le point d’interrogation)
-Non (manque une ponctuation ici) bien sûr que non! (typographie : une espace avant le point d’exclamation) Comme vous ils possédaient un honneur et un sens de la famille très important... (typographie : une espace après les points de suspension) Ils ont envoyé (et non « envoyés » ; ils ont envoyé qui ? leurs enfants ; comme le complément d’objet direct est placé après le verbe, le participe passé conjugué avec avoir ne s’accorde pas) leurs enfants afin de protéger la lignée...
-Ce que vous m'annoncez me trouble, dit Elsa qui n'avait jusque-là (trait d’union) pas ouvert la bouche, (un point ici, je pense, non une virgule, et suivi d’une espace) Quel intérêt auraient eu nos ancêtres à nous envoyer dans notre monde? (typographie : une espace avant le point d’interrogation)
-Ils voulaient être sûrs que si jamais ils devaient échouer face au démon, leurs descendants pourraient prendre le relai.
-Je comprends mieux maintenant.
-Ça y est nous arrivons.>> (typographie : le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français, et une espace après le point) »
(typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut prévoir le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », suivi d’ailleurs d’une espace)
« vêtus de pourpre, (typographie : une espace après le virgule)encagoulés »
« lorsqu'il virent un deuxième Matt! » : typographie, une espace avant le point d’exclamation
« Il lui ressemblait beaucoup; (typographie : une espace avant le point-virgule) grand, musclé, mais lui était brun aux yeux bleus, ce qui était assez étonnant » : deux « était » trop rapprochés à mon goût
« -je vous présente mon frère jumeau, Kash. leur (typographie : si vous voulez indiquer une didascalie après une réplique dans le dialogue, celle-ci ne doit pas se terminer par un point) dit le chef de la section spéciale.
-Sans dec' j'aurais pas deviné! (typographie : une espace avant le point d’exclamation) lui répondit ironiquement Benjamin.
-Benji mais t'arrêtes quand? (typographie : une espace avant le point d’interrogation, une espace après) lui dit posément Alex, qui était devenu un bon ami de Benjamin.>> (typographie : le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français, et une espace après le point) »
(typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut prévoir le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », suivi d’ailleurs d’une espace)
« un très léger coup de poing au bras droit (et non « bras-droit ») de Tomy... (typographie : une espace après les points de suspension) qui l'envoya quand même valser parmi (et non « parmis ») les gardes, (pourquoi une virgule ici ?) impassibles »
« tous les gardes sortirent leurs armes! (typographie : une espace avant le point d’exclamation)
<< (typographie : le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français) Mais que faites-vous (trait d’union)? (typographie : une espace avant le point d’interrogation) Seriez-vous (trait d’union) devenus fous! (typographie : une espace avant le point d’exclamation) leur dit Matt (manque ici le point de fin de phrase)
Aucun ne répondit.
-Et toi Kash, explique-moi (trait d’union) ce que signifie cette mascarade! (typographie : une espace avant le point d’exclamation)
-Je suis désolé frérot.... (typographie : une espace après les points de suspension) mais les mages de Zalamat le Jeune nous ont ensorcelés. Nous n'avons pas d'autre possibilité (et non « possibilités ») que de tuer monsieur Dante.
-Nous n'avons donc pas le choix... (typographie : une espace après les points de suspension) dit Alex, avec un air très malheureux, nous allons devoir nous défendre...>> (typographie : le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français, et une espace après les points de suspension) »
(typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut prévoir le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », suivi d’ailleurs d’une espace)
« environ 1 (un) tiers des soldats prit de plein fouet une pluie d'aiguilles meurtrières. (typographie : une espace apès le point) Une bonne partie »
« les survivants suivants furent enveloppés d'une brume ocre avant de finir tranchés »
« lui et son frère étai[b ]en[/b]t de même puissance. Ce qui donnait un mélange de haute intensité (et non « haute-intensité ») »
« afin de lui porter le coup de grâce.
Marie mourait (et non « mourrait » qui est la forme du conditionnel) d'envie de l'attaquer, et de protéger son fiancé. (typographie : une espace après le point) Mais elle savait que jamais il ne lui pardonnerait »
« alors que Kash était à deux pas de Matt, ce dernier rouvrit les yeux immédiatement, et planta un couteau, (typographie : une espace après la virgule) lâché par les gardes, (typographie : une espace après la virgule) dans le cœur »
« <- (typographie : le chevron « < » ne peut tenir lieu de guillemets français, par ailleurs on ne fait pas suivre une ouverture de dialogue indiquée avec des guillemets par un tiret, ça fait double emploi) C'est à moi de m'excuser Matt... Et de te remercier. Je suis heureux de finir ma vie au service de Maitre Dante, Et (il faut choisir : soit un point et une majuscule derrière, soit une virgule et pas de majuscule)[b] par toi surtout...
-Tu auras fai[b]t ce que tu as pu...
-On se revoit dans un autre monde frérot... (typographie : une espace après les points de suspension) ne t'inquiète pas.............................
-KAAASSSSHHH!!!!! (typographie : une espace avant les points d’exclamation)
-Je suis désolée.... (typographie : une espace après les points de suspension) lui dit sa fiancée (manque ici le point de fin de phrase)
-C/b]e n'est pas ta faute... [b](typographie : une espace après les points de suspension) j'ai juste besoin de temps...
-Je comprends...>> (typographie : le chevron « > » ne peut tenir lieu de guillemets français, et une espace après les points de suspension) »
(typographie : le trait d’union « - » ne suffit pas à introduire des répliques de dialogue, il faut prévoir le quart ou semi-cadratin « – » ou « — », suivi d’ailleurs d’une espace)
« un long couloir de pierre éclairé par de simples torches murales, une flèche, surgie de nulle part (et non « nulle-part ») »
« jusqu'à ce qu'ils voient Dante, (typographie : une espace après la virgule) la flèche attrapée entre ses dents.
Il la renvoya à une vitesse extraordinaire »
« où les torches étaient éteintes: » : typographie, une espace avant les deux points
« provenant sûrement d'une bête monstrueuse.
Deux énormes yeux rouges »
Invité- Invité
Re: Another destiny
Nechez Dim 13 Juin 2010 - 16:45
C'est qu'on aurait dit un texte rempli de Nechez :-)
Nechez- Nombre de messages : 318
Age : 35
Date d'inscription : 19/12/2007
Re: Another destiny
Nechez Dim 13 Juin 2010 - 16:54
Si je peux donner un conseil à l'auteur du texte, ce serait de jouer à monsieur le docteur Socque en relevant des fautes de français par-ci par-là dans les autres textes, c'est ce que je fait, je pense que ça ne peut que aider.
Nechez- Nombre de messages : 318
Age : 35
Date d'inscription : 19/12/2007
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