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L'arme ultime

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mini joe
zuren
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Message  zuren Ven 6 Aoû 2010 - 16:28

Bonjour à vous!
En regardant un anime cette idée m'est venue en tête.
Bonne lecture à vous.^^



L'arme ultime.



Introduction:

Il y a de cela six milles sept cents ans, une guerre éclata entre deux races. Les terribles Bralvanes fuyant leur galaxie en perdition et les Altérans. Le plus gros des combats eu lieux sur la planète géante Adryla. Finalement un traité de paix fut signé mais un siècle plus tard la galaxie d'origine des Bralvanes, surpeuplée et sur-exploitée, vivait ses derniers instants, ravagées par les conflits barbares la pollution et les famines. La planète fut divisée en deux parties distincts entre les deux ennemis. Nous sommes six milles six cents ans plus tard. Une guerre destructrice embrasa le monde qui prospérait. Des années se sont écoulées... sans le moindre espoir de trêve. Face aux forces trop nombreuses de l'ennemi on mit en place un projet. Créer l'arme ultime.



CHAPITRE I: Une journée comme une autre.


Un soleil de printemps encore frais brillait au-dessus d'une vaste ville au bord d'un immense lac bleu. La ville d'Oshiro. Peuplée d'environs cent milles habitants avec ses grands immeubles argentés au bais vitrées bleutés, elle rayonnait. Ce fut lors d'un jour banal, un jour où le jeune Blaise était partis en pic-nique avec ses parents et sa grande sœur de dix-sept ans. Il l'aimait bien mais il lui arrivait de se montrer taquine, une chose qu'il peinait à supporter. Leur voiture était garée au pied d'une colline et ils mangeaient à l'ombre d'un grand arbre non loin d'un ruisseau à l'eau cristalline chantant sa douce mélodie. De là où ils étaient ils ne percevaient pas la ville mais il la savaient charmante et accueillante. Comme bon nombre d'endroits sur cette vaste planète. Ici tout le monde mesurait entre un mètre soixante-dix et deux mètres tout au plus. Il était très rare de voir des personnes de deux mètres mais il y en avait.

Ils vivaient heureux même si depuis déjà quelque années la situation se dégradait pas mal. Au repas une salade de grosses tomates naturelles bien sucrées accompagnées avec des œufs de réka (un volatile aussi gros qu'une autruche qui pondait des œufs avec plus de jaune que de blanc), une omelette aux mêmes œufs avec de l'ail et des ognons comme ingrédients et enfin du jambon cru. Le père avait pris une petite radio munie de bons hauts parleurs.

« Les tension entre Altérans et Bralvanes sont telles que les frontières des deux nations sont fermées.. »

_Père (Joshua, mange un bout de tomate): Mmmm, c'est un délice! Comment trouvez-vous ces mets?

« L'état major a décidé de renforcer les villes forteresses et de transformer les autres en forteresses avec une partie de notre armée... »

_Blaise: Ouais, j'aime bien, et ça vient du jardin? C'est quoi ces tomates?
_Sa soeur (Amanda, d'un ton comme ce fut une évidence): Des mawori qu'est ce que tu crois? Tu en mange depuis toujours et tu ne le sais même pas?!

« ...pour protéger les frontières en cas de guerre toutefois... »

_Blaise: Ho ça va hein! On a le droit de pas savoir et puis je suis pas devin et on me l'a jamais dis à moi!

« … on a observé depuis déjà des dizaines d'années des mouvements qui ne laissent rien présager de bon de leur part... »

_Mère (Jessy, jette un vif regard à sa fille): Cesse d'asticoter ton frère et mange tranquillement!
_Amanda: Mais tu sais que j'aime bien l'embêter et que c'est pas méchant de ma part.

« … nous pensons qu'ils se préparent à une guerre et ce en dépit du fait qu'ils sont divisés... »

_Joshua (a suivis les infos): Hum, déjà qu'ils se font la guerre entre eux alors pourquoi viendrait-ils nous la déclarer?!

« .. Toutefois leur dirigeant à annoncé que leurs guerres intestines devraient cesser d'ici peu et que tous leur territoires seraient pacifiés et purifiés...

_Amanda: Ils commencent à manquer de tout là-bas, ils sont cinquante fois plus nombreux et ils ne connaissent pas les droits de l'être humain en plus d'être un régime totalitaire.
_Blaise: Pheu! Religions de merde! Ils se battent pour leurs différents religieux! Y sont trop cons!
_Jessy: Blaise surveille ton langage!

« On essai néanmoins de mettre en place une communication pour tenter d'empêcher une guerre d'éclater... »

_Joshua: Il a pas tout à fait tort. Leurs femmes doivent demander l'autorisation pour quoi que ce soit.

« … Ils ont demandés une partie de nos ressources ce qui n'est pas possible à moins de plonger les nôtres dans la famine ou le rationnement au moins pire. »

_Joshua: Franchement, ça rime à rien! Ces monstres ne sont même pas humains! S'ils pouvaient disparaître ce ne serait plus mal ça ferait des parasites en moins sur cette terre!
_Amanda: Tout à fait d'accord avec toi papa! On devrait les exterminer! Ils font même du trafic d'organes chez eux et entre eux! C'est pour dire! Et tout les opposants au pouvoir ou suspect sont mis dans des camp de travail forcés où ils meurent vite et on récupère leurs organes! Abomination!

Le jeune Blaise ne comprenait pas grande chose mis à part qu'ils étaient franchement néfastes ces Bralvanes. Ils avaient une horrible culture où ils rabaissaient les femmes. Au moins ça il le comprenait tout comme il comprenait qu'ils détruisaient leur environnement pour leur soit disant bien être. Pour cette raison naissait en lui une haine grandissante envers ces créatures abominables à la peau lisse et jaune et aux cheveux bleu très foncé avec leurs yeux bridés tout noirs et leurs nez droits. Ils faisaient six prières par jours, quelque chose d'inutile pour lui. Autre chose qu'il avait compris à son âge: ils lisaient un livre religieux lui aussi inutile. Il en aurait trouvé une utilité aux toilettes bien qu'il ne risquait pas d'en trouver un quelque part dans sa nation du fait qu'il était censurés. Pour lui on gâchait du papier pour faire ces trucs infâmes aux quels on donnait tant d'importance. Il savait le nom de ce livre. Ils l'appelaient... le Kamph. C'était le nom de leur livre religieux.

Après avoir mangé il partit en direction de l'arbre alors que ses parents ainsi que sa sœur débattaient sur les terribles Bralvanes. Arrivé en haut, habillé d'un short court et d'un simple T-shirt par cette journée plutôt chaude et ensoleillé pour cette saison, il observa avec joie la belle ville qui s'étendait à l'horizon. Il n'avait pas remarqué la belle jeune fille aux formes naissantes assise à côté de lui à dix mètres. Elle était appuyée contre le grand arbre. Cet arbre se caractérisait par une écorce dure et tourmentée, nouée en de multiples nœuds et partant vers le ciel. Ses branches avaient l'air torturée comme tordue par le temps et l'érosion. Il devait avoirs des siècles même d'avantage. De loin et d'un peu plus près il l'avait vu, ces détails sur l'arbre de couleur foncé. Mais il ne remarqua pas la ravissante jeune fille qui elle l'observait en train de regarder avec émerveillement cette ville au loin. Puis sa douce vois arriva aux oreilles du jeune garçon.

_Elle est belle hein? Cette ville radieuse où il y fait bon vivre.
_(Surpris et un peu timide): Eu... o... oui, c'est... c'est une jolie ville! Je ne t'avais pas remarqué, excuse moi!
_Hihi, ce n'est pas grave. (Regarde fièrement et admiratrice en direction du lac): J'habite ici depuis six ans mais... pour moi c'est pareil, c'est ma ville, c'est là que je vie.
_Je comprends... désolé, je ne sais pas de quoi je peux parler...

_De quoi veux-tu parler? (S'approche de lui) Je m'appelle Rin. Quel est ton nom? Faisons déjà connaissance, c'est un bon sujet de conversation pour deux inconnus, non?
_Eu...oui, moi c'est Blaise, tu as un nom aussi joli que toi, il te va bien, je dis ça comme ça je suis sincère et...
_Ne te justifie pas hihihi. Vous venez d'où comme ça?
_Nous venons de Rimuira... c'est une forteresse de la frontière alors, on sent bien que l'armée est là et ça nous gêne.
_Pourquoi être venus si loin? Vous êtes au centre de ce pays là et d'où tu viens vue que c'est une forteresse ce doit être à la frontière... Ce doit être dur avec tout ce qui se passe! Il paraît que la guerre peut éclater à tous moments!
_Sûrement, à vrais dire, je n'y comprends pas grand chose.

Sa sœur arriva, un sourire malicieux aux lèvres. Elle s'arrêta un instant pour observer le ville et son beau lac plein de vie avant de continuer son chemin vers son frère et lança.

_Amanda: Alors ond rague des filles mon Blaisounet?!
_Blaise: Hein?! No... noon! Je... enfin, j'ai...
_Rin: On fait juste connaissance c'est tout. Il a l'air sympa ton petit frère!
_Amanda: Oui mais il ne parle pas beaucoup et pas souvent alors il faut le secouer un peu. Tu veux que je te montre?!
_Blaise: Hey, ça va pas!
_Rin: Non, sans façon.
_Amanda: Je déconne! Bon allez, on va y aller! Tu viens Blaise?
_Blaise (embarassé): O.. oui... Désolé, je dois partir on va l'hôtel saint Wyrd.
_Rin: Ho mais c'est juste à côté de chez moi ça! Si tu veux je t'attendrai au parc demain à dix heures si tes parents sont d'accords!
_Blaise: Oui, je verrai avec eux!

Il partit en échangeant un dernier regard avec elle. Ses longs cheveux roux lui plaisaient. Il aimait cette couleur de feu avec son éclat d'or. Sa sœur ne manqua pas de mentionner le fait qu'il avait fait connaissance avec une ravissante jeune fille ce qui l'agaça mais il savait que c'était plus amical qu'autre chose même si elle se montrait un peu indiscrète. C'était sa sœur après tout et elle l'aimait bien. Le lendemain matin il rencontra la jeune Rin à leur lieu de rendez-vous et discutèrent en sillonnant la ville, passant par des coins charmants.

_Nous sommes venus en vacances ici, car on voulait se dépayser un peu alors on a pensés qu'une ville très éloignée ça irait.
_Je vois (passe devant une vitrine d'un magasin avec en exposition plein de met et du pain et s'y attarde): Je vois...
_Tu veux quelque chose, j'ai de quoi payer.

Elle lui sourit gentiment, indiquant en silence un bon sandwich au jambon et au saucisson avec des aubergine cuite le tout bien chaud et moelleux. Il en prit un aussi. Ils le mangèrent avec entrain en continuant leur route sans se soucier du temps. Le portable du jeune Blaise sonna et il le porta à son oreille.

_Allo? Papa?... Oui eu... ben... Je sais pas (à Rin) on est où là?
_Rin Sur la plage du grand lac.
_On est sur la plage du grand lac, on vous attend au bord de la route et... non il est quelle heure? Hein?! Plus de neuf heures?! Ok, je vous attends, merci.

La jeune Rin était assise à côté de lui, tenant son bras avec le siens. Ses yeux violets pétillaient de joie, elle se sentait bien avec Blaise, ils avaient beaucoup de choses en commun, il parlait peu mais quand ils discutaient elle le savait à l'écoute et intentionné. Quand au jeune garçon Rin lui plaisait et ils avaient pas mal de choses en commun.

_Dis Blaise, tu parts quand?
_Je part dans deux semaines pourquoi?
_Tu es sympa, je trouve, et ce serait dommage de se quitter... on peut se faire une promesse?
_Oui, pourquoi pas, ça peut être sympa.

Ce soir là, le temps s'était tue, l'espace d'un instant, il y eut comme un grand silence, il n'y avait plus qu'elle et plus que lui, tous les deux sur cette grand plage artificielle au bord du lac. Ils se promirent de rester en contact quoi qu'il advienne et d'un jour se revoir après qu'il soit partis de chez lui. Quand ses parents arrivèrent et qu'il dût la laisser seule, il ne put s'empêcher de penser à cette fille durant la nuit. Quelque chose se réveillait en eux, une petite flamme chaleureuse. Le temps s'écoula, sa sœur lança quelques remarques sur son frère avec cette fille pour le taquiner, puis ils durent se quitter. Mais ils avaient échangés leurs coordonnées. Après quoi ils ne se revirent jamais depuis des années. Toutefois elle de son côté se démena pour sauter une classe et étant tous les deux attirés par la technologie décidèrent de travailler dans ce domaine. Ils avaient dix-sept ans. Tous deux purent aller à la même grande école aux places limitées et purent vivre pleinement leur grand amour.

Plus le temps passait et plus ils s'aimaient. Il commençaient à mettre en place des projets comme travailler dans le même domaines ou alors trouver un métier, acheter une maison et fonder une famille. Ils s'aimaient d'autant plus qu'ils se voyaient sans arrêt et ils ne s'en lassaient pas. La guerre éclata, ils avaient vingt ans. La première ville touchée fut celle où vivait la sœur de Blaise. La plus grosse forteresse de la frontière. Elle tomba au bout d'un long moi d'une intense prise d'assaut. Tous les habitant furent massacrés ou torturés à mort par les envahisseurs et ils montrèrent les images au grand publique. Il put voir sa sœur se faire violer sauvagement par ces monstres qui ne dépassaient pas un mètre cinquante. Les images frappèrent les esprit et attisèrent haine et colère au peuple Altéran. Comment était-ce possible?! Après quoi d'autres villes tombèrent et Rin aussi perdit de la famille éloignée mais n'eut pas le désagrément de voir les siens mourir d'une horrible façon.

Il fallut du temps pour qu'ile pansent leur plais ensemble. Au début de la guerre on se montrait plutôt optimiste du fait que les « Armes » protégeaient les frontières et certaines attaquaient les territoires ennemis. Il s'agissait d'engins monstrueux et les armes n'avaient pas de grands effets sur leur multiples couches de blindage. Ils possédaient une puissance de feu monstrueuse et de puissants boucliers d'énergie. Mais l'on reçut un coup d'estoc quand la première tomba au combat non sans infliger des grandes pertes aux ennemis. Mais cela ne s'arrêta pas ici. Après les premiers assauts on ne pensait pas qu'ils arriveraient à abattre les autres surtout si on les envoyaient par deux ou trois. Puis ils commencèrent à envoyer des flottes de plus en plus imposantes et les forteresses tombèrent les unes après les autres. Les nouvelles allaient de plus en plus mal. La situation s'aggravait et on cherchait une solution. Les années s'écoulèrent tandis que l'on était de plus en plus désespérée. La guerre faisait rage et les Altérans se battaient avec l'énergie du désespoir contre un ennemi bien plus nombreux qui arrivaient par vagues entières... sans cesse.





Ils avaient respectueusement vingt-deux et vingt-trois ans et venaient de passer une nuit torride.

_Blaise, je suis là, mon chéri, lèves toi (l'embrasse tendrement) tu ne veux pas me faire une gâterie mon homme?

Un œil rouge sang s'ouvrit sur le monde extérieur. Tout près des cheveux roux à l'éclat de l'or. Ils s'éloignent, un visage apparaît, net. Ses yeux sont violets en amande et son nez fin. Un doux visage radieux sous une lumière du même ton. C'était le matin, comme tous les jours. Parfois on annonçait les nouvelles aux médias. Mais jamais des bonnes. Au moins on ne leur mentait pas. Son regard se déroba et s'arrêta sur ce qu'il y avait dehors, par-delà la grande fenêtre. Un ciel bleu turquoise et des nuages aux formes multiples et variées. Une fine main caressa son visage. Elle était assise sur lui. Elle avait un pelage très fin et doux de couleur blanc. Tous les deux, comme les autres, avaient des oreilles longue et pointues. Sa femme resplendissait devant lui, nue et belle, Fine et élancée, frêle et forte.

Après avoir fait l'amour ils quittèrent leur lit conjugal. Ils avaient des projets. Avoir des enfants, vivre dans cette ville sans que la guerre ne les atteigne, ce qui ne risquait pas d'arriver du fait qu'il s'agissait d'un lieux sans intérêt même s'il y avait quelques villes forteresses à quelques centaines de kilomètres de là. Ils prirent leur petit déjeuné à dix heure du matin. Ils profitaient du week-end pour se reposer mais combien de temps encore en auraient-ils la possibilité? Ils s'aimaient de toutes leurs forces, ils étaient liés l'un à l'autre. Des fois ils se rendaient au bord du lac du coin, rêvant d'un monde où il n'y aurait ni haine ni guerre, seulement de l'amour et la paix.

Mais ils savaient ces rêves improbables en ce monde de plus en plus dévasté par ce conflit brutal. Leur déjeuné se composait de céréales au chocolat. Bizarrement ils aimaient nombre de choses en commun. Elle lui tint la main, la serrant très fort. Il lu dans son regard une certaine détresse et lui répondit d'un sourire bienveillant. Il se voulait rassurant. Depuis des milliers d'années les Bralvanes peuplaient les terres et les exploitaient au maximum. Ils n'avaient pas compris les erreurs de leur sinistre passé. Comment pouvait-on changer l'état d'esprit d'individus conditionnés dans un même moule depuis des générations sans les heurter? On avait calculé qu'il devaient être soixante fois plus nombreux que ceux de leur peuple. A ce rythme abominable ils sur-peuplaient leurs villes et de nouvelles poussaient comme des champignon un peu partout et même dans les mers et océans à la surface.

C'était comme s'ils n'arrivaient pas à réfréner leurs instincts primaires. En fin de compte il ne s'agissait que d'une bande de primates sous-développés ayant accès à la technologie. Ils étudiaient depuis maintenant plus de six milles ans les vaisseaux que l'on avait laissés derrières en oubliant de les détruire. De ce fait ils développaient des armes toujours plus dévastatrices et dangereuses et ce en nombre toujours plus important. Au-dessus des villes géantes un ciel gris et marrons aux nuages jaunes régnaient. De leur côté les forêts manquaient de plus en plus. La nourriture, les matières premières et la place. Jamais ils n'accepteraient leurs erreurs passées. Mais c'est eux qui déclarèrent la guerre. Les lignes de fronts tinrent bon plusieurs mois puis tombèrent les unes après les autres. Dans l'espace aussi, ça chauffait pas mal. Là on tenait mieux le coup mais ce n'était toujours pas ça.

Ils rêvaient. Ils montaient des projets. Ils vivaient heureux. Mais pour combien de temps encore? Que deviendrait cette ville après la guerre? Quand s'arrêterait-elle? Aujourd'hui ils devaient faire les courses. Même par ces temps-ci on produisait bien assez de ressources pour satisfaire les besoins de tous. Les forces ennemis lançaient des attaques sur nombre de villes toujours plus profond dans les territoires Altérans. Ils étaient déterminés à faire de cette planète la leur pour de nouveau coloniser une galaxie et la détruire par leurs méfaits.





QG de l'armée: Salle de réunion.


Un homme dans l'ombre parlait de sa voix âgée mais encore en bon état. Il restait dans les ténèbres. La salle circulaire possédait en son centre une table ronde avec les généraux et devant chacun un écran transparents. Sa voix résonna, sentencieuse et résignée.

_Bien, qu'il en soit ainsi. Puissions nous trouver notre salut dans cette ultime tentative. A défaut de gagner nous pourrions espérer survivre.

Les autres fixaient leur dirigeant, conscient de la situation et de sa gravité. Mais aucun n'était prêt à abandonner et tous iraient jusqu'à combattre sur le front pour protéger leur nation. Un schéma apparut au centre de la table et ils en consultèrent les informations. Le dirigeant parla à nouveau.

_Nous allons nous doter du pouvoir d'un dieu. Est-ce bien sage de notre part?



Il la fixait de loin, entre les rayons du supermarché, au milieu de tout le monde. Il n'y avait qu'elle, sa bien aimée, sa dulcinée, sa fiancée, sa femme, son grand amour. Elle choisissait un article qu'elle déposa délicatement dans son sac. Son regard se détourna de ses affaires pour croiser celui de son homme. Elle sourit et il fit de même. Cela paraissait ridicule en ces lieux mais ils s'en fichaient éperdument. Il s'aimaient, c'est tout ce qui comptait pour eux. Il fallait rentrer à la maison maintenant. Après avoirs achetés ce dont ils avaient besoin ils se rendirent sur le vaste parking où les véhicules stationnaient en attendant leurs propriétaires. C'est alors qu'ils virent mais surtout entendirent quelque chose venant du ciel. Ils levèrent les yeux au même moment pour apercevoir des centaines de trainées à de très hautes altitudes. Ils prirent une paire de jumelles et identifièrent une armée de Claymores. Les appareil les plus puissants jamais conçus. Pour être aussi nombreux, soit ce devait être du renfort soit une bataille faisait rage non loin de là. C'est ce qui leur fit froid dans le dos. Ainsi ILS étaient parvenus jusqu'ici si vite?

Les attaquants devaient venir de l'espace, probablement. Ce qui leur fit d'autant plus froid dans le dos. Ils espéraient que la situation n'était pas si désespérée. Ce soir ils devaient se rendre à une fête où ils y trouveraient des anciens camarades de classe. Cela faisait deux ans qu'ils travaillaient dans l'ingénierie militaires plus précisément sur des armes technologiquement avancées. C'était une bonne occasion de prendre des contacts, de nouer des liens rompus et de savoir comment ils allaient etcétéra. Leur demeure s'encastrait dans une charmante colline verdoyante et donnait sur la ville au bord d'un grand lac bleu. Ils s'étaient rencontrés au pied du grand arbre surplombant leur habitation. Leur rencontre eu lieu lors d'un pic-nique. Elle en avait douze, lui treize, le coup de foudre. Depuis ils ne se lâchaient plus d'une semelle.

Puis un beau jour la guerre éclata. Elle perdit de la famille éloignée, lui aussi, ils pensèrent leurs plais ensemble et continuèrent leurs vie à deux sans se soucier du mal qui rongeait cette énorme planète. On parlait d'armes gigantesques au début... capables de détruire des dizaines de flottes géantes sans problèmes. Puis les une après les autres tombèrent. Ils purent anéantir un pour cent des villes ennemis comme ça mais cela na suffit pas. Les assaillants redoublaient de forces, attaquant en nombre toujours plus important. A vrais dire... ils ne savaient plus quoi faire. Toutes les supers-armes tombaient au combat. Mais ça, peu de monde le savait sauf que l'on perdait. Quand ils rangèrent la voiture dans le garage, entrant chez eux, il refirent l'amour, pris d'une soudaine pulsion amoureuse et ce torride.

Après quoi ils mangèrent à une heure. Elle désirait un enfant de lui, il avait accepté. Il serait heureux avec ses parents qui l'aimeraient. Mais serait-il heureux dans ce monde tourmenté plongeant dans la folie? Ils en profitèrent pour passer encore quelques agréables moments en amoureux avant de se préparer puis de partir. Trois heures, le véhicule démarra silencieusement et commença son voyage vers une ville à cent kilomètres de là. Sur les routes pas de convois militaire, rien. Idem dans le ciel. Ils allumèrent la radio, écoutant les informations.

« Une grande attaque ennemis non loin d'Oshiro, ils viennent de l'espace. Les rapports indiquent qu'ils on réussis une percé qui certes a été repoussée mais les forces aériennes sur la planète sont inconnues et les claymores envoyés pour défendre les ville semblent en difficultés... »

_Tu veux toujours y aller?

« ...les militaires parlent du début d'une invasion ennemi imminente et on déclarés que ceux-ci progressent de plus en plus... »

_Nous verrons bien sur place et puis, ça peut toujours changer et nos amis sont là-bas après tout. Ce serait dommage de ne pas les revoir pour ça après quelques années sans contact.
_Très bien, on y va, mais s'il se passe quoique ce soit on file ok?

« … L'armée a récemment parlée d'un projet de dernière chance... »

_Oui chef.

« … qui nous permettrait au moins de survivre un temps pour tenter de trouver une solution au problème. »

Ils rirent un peu, souriant et inconscients du danger. Ils arrivèrent une heure plus tard dans la ville et mirent dix minutes à trouver les lieux puis cinq à trouver une place pour se garer. Deux minutes après avoir quittés leur véhicule il arrivèrent dans un grand bâtiment au milieu des buildings. Des lumière chaudes et vives, un soleil déclinant légèrement à l'horizon. Il annonçait déjà la fin d'une journée d'automne. Une journée de vingt sept heures. Un gros bâtiment trônait au milieu des colosses de béton. Ils dirigèrent vers l'entrée où d'autres allaient et venaient. Quant ils passèrent la porte coulissante ils tombèrent sur des groupes de personnes discutant de tout et de rien et sourirent. Ils tombèrent sur des ancien amis ou camarades de classe, discutèrent, prirent l'apéro, mangèrent, rirent et plaisantèrent ensemble. C'est au moment où la fête se terminait que le bombardement commença. Personne ne s'en était douté, pensant que les forces de l'air avaient repoussées l'attaque des Bralvanes. Nous étions en fin de journée, un jour comme un autre quand ça eut lieu.

Explosions et ondes de choc, jets de gravas et nuages de fumées enflammée dans de nombreuses rue. La populace courait en tous sen. Blaise et sa femme Rin se perdirent de vue mais ils se dirigèrent tous les deux en direction de la voiture. Partout la panique, les morts, les flammes, les missiles qui pleuvaient sur la ville dont les tours s'effondraient dans des fracas proportionnels à leur masse de titan. Les baies vitrés se brisaient au contacte du sol et les masse de béton et d'acier renforcé se déformaient sous leur poids. La guerre venait d'atteindre cette ville en paix. Des tourelles protégées par des boucliers crachaient leurs feus destructeurs en direction du ciel. Les balles et les laser fusaient, touchant parfois une cible. Elle aperçut son homme au loin, perdu.

Puis il la vit. Leurs regards se soutinrent un instant, bruit d'un missile fusant droit sur un bâtiment non loin de là, une déflagration et l'homme qu'elle aimait fut soufflé. Il percuta violemment un véhicule dont les verre volèrent en éclats et la carrosserie fut froissée. Elle courut dans sa direction, dans un nuage de fumé âcre et sec. Il gisait, au bord de l'inconscience, un gros morceau de verre planté sur le côté droit. Rin s'accroupit et le prit dans ses bras, en larmes.

_Ne meurts pas! BLAISE!!! JE T'AIME!!! ALORS NE MEURTS PAS!!! JE T'EN PRIE!!!

Une main ensanglanté caressa son visage. Il souriait, des larmes aux yeux. Des larmes de joie mêlée à de la tristesse.

_On... on y passe tous, un jour ou l'autre... J'ai été heureux de vivre avec toi, ne m'en veux pas, pardonnes moi.... je... je ne tiendrait pas...

Il devint une masse molle dans ses bras et elle hurla de haine, de tristesse et de désespoir. Que ferait-elle sans lui son bien aimé?! Et tous leurs projets?! Comment pourrait-elle vivre sans lui?! Cela lui paraissait impossible. Son cœur se déchirait et saignait à flots. Elle l'aimait plus que sa propre vie et c'était réciproque! Et maintenant il allait mourir! La jeune femme attendit. Elle attendit longtemps... qu'un missile la fauche, que la mort vienne l'emporter. Combien de temps seulement? Rin n'en savait rien. A vrai dire elle s'en fichait totalement. La jeune femme passa la nuit au chevet de son homme plongé dans un profond coma. Des raillons de lumière pointèrent à l'horizon. Ils léchaient les restes d'une ville dévastée, à feux et à sang. Ses défenses n'avaient pas tenues face à un ennemis bien trop nombreux. La lumière la réveilla et une ombre apparut, de forte carrure et imposante.

Elle n'avait pas entendu l'hélicoptère qui s'était posé non loin de là. Sans qu'on lui demande son avis on lui arracha son homme, son grand amour. A partir de ce moment-là, ce fut la dernière fois qu'elle le vit. La porte coulissante se referma. L'engin décolla et disparut très vite dans les cieux imbibés de fumée noire. La voiture avait survécue, couverte de poussière. La jeune femme se résigna à rentrer chez elle. Sur la route des paysages ravagés par les combats et les attaques ennemis défilèrent. Puis succédèrent ceux encore intacts. En arrivant elle prit une douche chaude puis partit se coucher dans son lit. Les larmes naquirent et coulèrent sur le côté de ses joue. Son visage devint une terrible grimace de douleur. Ses cris de souffrances et ses pleurs emplissaient la demeure comme s'il elle fut hantée. Les jours s'écoulèrent, elle ne se lavait plus, ne sortait plus, ne faisait plus rien. Quand il n'y eut plus de quoi manger chez elle Rin se doucha et partit se prendre de quoi tenir trois semaines à la maison.

Comment pouvait-elle exprimer ce qui brulait dans son cœur déchiré? Qu'est ce qui pouvait faire revenir son homme? Elle déprimait, se laisser aller à la mort sans une once de vie en elle. Son homme avait disparu. On le lui avait arraché et il devait probablement être mort ou dans un état critique mais pour elle cela revenait au même et on ne lui donnait aucune nouvelles de lui. Pour Rin, son grand amour n'était plus, il ne restait qu'une dépouille. Elle se rappelait son pelage angora soyeux, son corps venant réchauffer les siens la nuit. Lui tenir chaud tout le matin. Il lui manquait tellement, elle ne serait décrire la mal qui la détruisait jours après jours, heures après heures. La vie quittait son corps, elle se mourrait. Tout c'était passé lors d'une journée bien banale, une simple journée comme tant d'autres. Et il n'était plus là! Elle ne pourrait plus aimé qui que se soit. Il n'y avait que lui pour elle, à ses yeux et dans son âme et son cœur blessé à mort.

Cet homme qui faisait tant et tant de chose réciproques. Cet homme qui l'aidait quand elle ne se sentait pas bien, quand un proche périssait naturellement ou à cause de la guerre. Cet homme qui prenait soin d'elle et de son bien être. Cet homme qui l'aimait tendrement, passionnément, énormément. Et cet homme n'existait plus aujourd'hui. La guerre aurait pu emporter père et mère elle se serait relevée avec lui à ses côtés pour l'aider mais là c'était LUI qu'on lui avait arraché! Le seul et unique grand amour qui ornait son existence heureuse avant ce drame. Si seulement elle ne mourrait pas, Rin serait que la situation était plus tragique encore, plus horrible qu'elle n'aurait pu l'imaginer. Mais jamais la jeune femme perdue ne le saurait. Elle finit par cesser de s'alimenter, de boire, de toute chose. Elle dormait sans cesse toujours en pleures.

Ce fut lors d'un matin comme un autre ou elle n'était plus que l'ombre d'elle même. On sonna plusieurs fois à le porte puis on entra. C'était Blaise. Il sentit tout de suite que ça n'allait pas. Que quelque chose clochait. Il sut aussi au vu de l'état des lieux, que sa femme avait beaucoup souffert de son absence. Et il sentit cette odeur horrible. Une sinistre odeur de mort. Une mort récente. Il marcha dans le salon, les larmes montant à ses yeux rouge sang. Une main ouvrit une porte donnant sur la chambre conjugale. Elle était là, dans le lit, gisant sans vie, morte de chagrin, le cœur ravagé par la douleur. Sa gorge se noua, les chaudes larmes quittaient les yeux. Il s'approcha, reniflant et pleurant, saisissant sa femme défunte. Tout tremble, ses contours devenaient troubles et levant la tête poussa une plainte déchirante qui s'entendit à plus de cent mètres. Tout autour de lui des flammes rouges brûlaient. Ce qui lui était le plus cher sur cette terre lui avait été arraché. Tout était trouble autour du jeune homme, lui y compris. Trouble parce que la terre tremblait sous sa rage, sa colère, sa haine, sa souffrance, son désespoir.

Ils s'étaient rencontrés durant un jour banal comme un autre. Il avait été blessé à mort et elle était morte durant on jour comme un autre. Plus rien ne le rattachait à ce monde mis à part une nouvelle raison d'être qui allait le ronger voir le détruire. La vengeance.

zuren

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Message  Invité Ven 6 Aoû 2010 - 23:19

Oh la la ! Ce texte est et a été pour moi un véritable challenge ; la science-fiction n'étant vraiment pas ma tasse de thé. Je dois dire que l'introduction, peu engageante, m'a rebuté d'emblée. Le titre aussi annonçait la couleur... Et je n'ai pas été déçu, hélas...
Un texte pas vraiment littéraire à mon sens, perclus de fautes d'orthographes et desservi par une réflexion pas subtile pour un sou (la critique trop facile des méchants Bralvanes, la critique trop facile de la religion, la critique trop facile tout court quoi).
Sinon, les dialogues ne sont vraiment pas naturels, sans parler du déroulement ultra-prévisible de l'histoire (et le pathos à l'extrême que tu nous sers ; sortez les violons !) ; bref, je ne retiens malheureusement rien de ce texte où rien n'est à sauver. Je ne peux cependant qu'encourager l'auteur à continuer à s'exercer, à écrire, écrire, écrire, lire beaucoup aussi, pour espérer atteindre un meilleur niveau.


Quelques pistes de réflexions à travers ces remarques (mon attention a dû faiblir entre le début et la fin du texte ; c'est un travail vraiment colossal !) :
- "Introduction:" : il est d'usage de marquer une espace avant les deux points.
- "Il y a de cela six milles sept cents ans" : "mille" est invariable.
- "une guerre éclata entre deux races. Les terribles Bralvanes fuyant..." : typographie : "une guerre éclata entre deux races : les terribles Bralvanes...".
- "Le plus gros des combats eu lieux" : eut lieu.
- "ravagées par les conflits" : ravagée (la galaxie !).
- "en deux parties distincts" : deux parties distinctes.
- "six milles six cents ans plus tard." : voir ci-dessus.
- "CHAPITRE I:" : il est d'usage de marquer une espace avant les deux points.
- "La ville d'Oshiro. Peuplée d'environs cent milles habitants avec ses grands immeubles argentés au bais vitrées bleutés, elle rayonnait." : typographie : "La ville d'O., peuplée... rayonnait."
- "le jeune Blaise était partis" : parti.
- "en pic-nique" : en pique-nique, ou selon la graphie recommandée par la réforme de l'orthographe 1990, "piquenique" tout attaché.
- "depuis déjà quelque années" : quelques.
- "et des ognons" : oignons.
- "de bons hauts parleurs." : haut-parleurs.
- "Les tension" : tensions.
- "nations sont fermées.." : manque l'un des trois points de suspension.
- "_Père" : il faut choisir ici. Ou bien tu notes chaque fois le nom des intervenants au début de chaque réplique, suivi de deux points et de ce qu'ils ont à dire. Ou tu ne l'indiques jamais et tu uses du tiret cadratin (—) pour introduire chacun des membres du dialogue. Dans le premier cas, le "mange un bout de tomate" doit être mis en italique, ayant valeur de didascalie.
Il faudra appliquer ces remarques dans tous les autres exemples du texte, évidemment.
- Règle typographique d'ordre général : il faut marquer une espace avant et après les deux points, avant et après les points d'interrogation, d'exclamation, le point-virgule.
- "Sa soeur" : sa sœur (emploi du "E dans l'O", accessible sur le clavier avec la combinaison Alt + 0156).
- "d'un ton comme ce fut une évidence" : pas très français, à reformuler.
- "qu'est ce que tu crois" : qu'est-ce que.
- "Tu en mange" : tu en manges.
- "a suivis les infos" : ayant suivi les infos.
- "pourquoi viendrait-ils" : viendraient-ils.
- "leur dirigeant à annoncé" : a annoncé.
- "tous leur territoires" : tous leurs territoires.
- "pour leurs différents religieux!" : leurs différends.
- "On essai néanmoins" : on essaie.
- "Ils ont demandés" : demandé.
- "ou le rationnement au moins pire" : incorrect. "Dans le meilleur des cas" plutôt et par exemple.
- "ce ne serait plus mal" : ce ne serait pas plus mal.
- "sur cette terre" : majuscule à "Terre" en tant que planète.
- " tout les opposants" : tous.
- "ou suspect" : suspects.
- "dans des camp de travail" : des camps.
- "ne comprenait pas grande chose" : pas grand chose.
- "Ils avaient une horrible culture où ils rabaissaient les femmes." Vraiment à reformuler, ça.
- "soit disant bien être" : soi-disant bien-être. D'ailleurs, "soi-disant" s'emploie préférentiellement avec un sujet humain.
- "aux cheveux bleu" : bleus.
- "six prières par jours" : par jour.
- "d'en trouver un quelque part" : d'en trouver quelque part. DES toilettes.
- "du fait qu'il était censurés" : du fait qu'ils étaient censurés. La censure des toilettes ! Génialement inventif, ça.
- "ces trucs infâmes aux quels on donnait tant d'importance" : auxquels.
- "Ils l'appelaient... le Kamph." Un peu fort de café, non ?
- "cette journée plutôt chaude et ensoleillé" : ensoleillée.
- "nouée en de multiples nœuds" : nouée en nœuds... moui.
- "Ses branches avaient l'air torturée" : 'avaient l'air torturé' (c'est l'air qui est torturé !), ou éventuellement "avaient l'air torturées" (les branches sont torturées...).
- "comme tordue" : tordues (les branches !).
- "Il devait avoirs" : avoir.
- "même d'avantage" : davantage.
- "De loin et d'un peu plus près" : très maladroit.
- "Il n'avait pas remarqué la belle jeune fille aux formes naissantes assise à côté de lui à dix mètres." puis, quelques lignes après "Mais il ne remarqua pas la ravissante jeune fille qui elle l'observait en train de regarder avec émerveillement cette ville au loin." Vous avez dit répétition ?
- "la ravissante jeune fille qui elle l'observait en train de regarder..." : typographie : "la ravissante jeune fille qui elle, l'observait". Par ailleurs, la formulation est maladroite. "L'observait en train de regarder" !
- "sa douce vois" : sa douce voix.
- "Eu... o..." : euh.
- "excuse moi" : excuse-moi.
- "Regarde fièrement et admiratrice en direction du lac" : admirative plus qu'admiratrice à mon avis. Encore qu'elle n'a aucune raison d'être admirative ici. A moins que ce ne soit du lac, qu'elle soit admirative ?
- "c'est là que je vie" : vis.
- "Vous êtes au centre de ce pays là et d'où tu viens vue que c'est une forteresse ce doit être à la frontière" : phrase très bancale. Sinon, "vu que c'est...". Je ne comprends pas trop l'alternance des tu et des vous non plus, en outre.
- "à vrais dire" : à vrai dire.
- "pour observer le ville" : la ville !
- "et lança." : deux points.
- "Alors ond rague" : alors on drague... ?
- "embarassé" : embarrassé.
- "je dois partir on va l'hôtel saint Wyrd." : je dois partir, on va à l'hôtel Saint Wyrd.
- "tes parents sont d'accords" : d'accord.
- "elle l'aimait bien." Blaise serait-il devenu une femme entretemps ? Il faut absolument songer à se relire !
- "et discutèrent en sillonnant" : et ils discutèrent...
- "Nous sommes venus en vacances ici, car on voulait se dépayser un peu alors on a pensés" : "nous sommes.. car NOUS voulions (on conserve la même personne !). "On a pensé", de surcroît.
- "plein de met" : de mets. La tournure est disgracieuse, par ailleurs.
- "avec des aubergine cuite" : des aubergines cuites.
- "son bras avec le siens". A reformuler. "Avec le sien".
- "Quand au jeune garçon Rin lui plaisait" : "Quant au jeune..., Rin...".
- "tu parts" : tu pars.
- "Je part" : je pars.
- "le temps s'était tue" : s'était tu.
- "après qu'il soit partis de chez lui." : après que + indicatif et non subjonctif.
- "et qu'il dût" : "dût" est la forme du verbe "devoir" à la troisième personne du singulier du subjonctif imparfait. Il aurait fallu écrire "dut" (passé simple).
- "Mais ils avaient échangés" : échangé.
- "Après quoi ils ne se revirent jamais depuis des années." : pas français. "Ils ne se revirent pas pendant des années", "ils ne se revirent pas avant des années", mais pas ça.
- "Toutefois elle de son côté se démena pour sauter une classe et étant tous les deux attirés par la technologie décidèrent de travailler dans ce domaine. Ils avaient dix-sept ans. Tous deux purent aller à la même grande école aux places limitées et purent vivre pleinement leur grand amour." : un vrai conte de fées ! Beaucoup trop convenu et cuculapral tout ça quand même...
- "dans le même domaines" : le même domaine.
- "au bout d'un long moi" : mois.
- "Tous les habitant" : habitants.
- "au grand publique" : public.
- "frappèrent les esprit" : les esprits.
- "pour qu'ile pansent leur plais" : pour qu'ils pansent leurs plaies.
- "sur leur multiples couches" : sur leurs multiples.
- "si on les envoyaient" : si on les envoyait.
- "de plus en plus désespérée" : désespéré(s).
- "un ennemi bien plus nombreux qui arrivaient" : qui arrivait.
- "mon chéri, lèves toi" : lève-toi.
- "de couleur blanc" : blanche.
- "avaient des oreilles longue et pointues" : longues.
- "resplendissait devant lui, nue et belle, Fine et élancée, frêle et forte." : pas de majuscule à "fine". "Frêle et forte", c'est un peu contradictoire.
- "d'un lieux sans intérêt" : lieu.
- "leur petit déjeuné" : petit-déjeuner.
- "à dix heure du matin." : à dix heures.
- "Leur déjeuné" : déjeuner.
- "Il lu dans son regard" : lut.
- "On avait calculé qu'il devaient être soixante fois plus nombreux que ceux de leur peuple." De leur peuple ? Qui ? Pas clair, mal dit.
- "ils sur-peuplaient" : ils surpeuplaient.
- "comme des champignon" : champignons.
- "six milles ans" : six mille.
- "que l'on avait laissés derrières" : derrière.
- "un ciel gris et marrons aux nuages jaunes régnaient" : un ciel gris et marron... régnait.
- "Les lignes de fronts" : front.
- " Les forces ennemis" : ennemies.
- "un écran transparents" : transparent.
- " Puissions nous" : puissions-nous.
- "Après avoirs achetés" : avoir acheté.
- "Les appareil les plus puissants" : les appareils.
- "où ils y trouveraient" : où ils trouveraient.
- "dans l'ingénierie militaires" : militaire.
- "etcétéra" : !! etc.
- "Leur rencontre eu lieu lors d'un pic-nique." : eut lieu / pique-nique. Pourquoi tout ce récapitulatif foireux, sinon ?
- "ils pensèrent leurs plais" : pansèrent leurs plaies.
- "continuèrent leurs vie" : leur vie.
- "sans problèmes." : problème.
- "les une après les autres" : les unes après les autres.
- "des villes ennemis" : ennemies.
- "cela na suffit pas" : cela n'a pas suffi.
- "A vrais dire..." : à vrai dire.
- "et ce torride." : et ce, torride.
- "pas de convois militaire" : pas de convoi.
- "attaque ennemis" : ... ennemie.
- "qu'ils on réussis une percé" : qu'ils ont réussi une percée.
- "les claymores" : majuscule aux noms propres.
- "les ville" : les villes.
- "en difficultés" : en difficulté.
- "invasion ennemi" : ennemie.
- "et on déclarés" : et ont déclaré.
- "quoique ce soit" : quoi que ce soit.
- "L'armée a récemment parlée" : parlé.
- "Ils rirent un peu, souriant et inconscients du danger." : souriants. S'ils sont inconscients à ce stade, permets-moi de te dire que tes personnages sont complètement débils.
- "après avoir quittés" : après avoir quitté.
- "Des lumière chaudes" : lumières.
- "Une journée de vingt sept heures." : vingt-sept.
- "Ils dirigèrent vers l'entrée" : ils se dirigèrent...
- "sur des ancien amis" : des anciens.
- "avait repoussées" : avait repoussé.
- "jets de gravas" : gravats.
- "nuages de fumées enflammée" : enflammés. Bizarre ça.
- "dans de nombreuses rue" : rues.
- "en tout sen" : sens !
- "les baies vitrés" : vitrées.
- "au contracte du sol" : au contact.
- "les masse de béton" : masses.
- "leurs feus destructeurs" : feux.
- "et les laser" : lasers.
- "dont les verre volèrent" : verres.
- "un nuage de fumé" : fumée.
- "ne meurts pas!" : ne meurs pas !
- "une main ensanglanté" : ensanglantée.
- "pardonnes moi" : pardonne-moi.
- "je ne tiendrait pas" : tiendrais.
- "des raillons de lumière pointèrent à l'horizon." : rayons. "Pointer à l'horizon ?" Je dirais plutôt "poindre".
- "ses défenses n'avaient pas tenues" : tenu.
- "face à un ennemis" : ennemi.
- "la voiture avait survécue" : survécu.
- "les attaques ennemis" : ennemies. Faudrait penser à trouver un synonyme à l'occasion, ça paie pas de mine.
- "de ses joue" : joues.
- "cris de souffrances" : souffrance.
- "comme s'il elle fut hantée" : comme si elle était hantée.
- "ce qui brulait" : brûlait.
- "qu'est ce qui" : qu'est-ce qui.
- "se laisser aller" : se laissait aller. La phrase est très bancale sinon. "Se laisser aller à la mort sans une once de vie en soi !". A reformuler.
- "aucune nouvelles" : nouvelle.
- "son pelage angora soyeux" : !! On parle de "son homme" ou d'un chat ?
- "son corps venant réchauffer les siens la nuit" : le sien.
- "elle ne serait décrire" : saurait.
- "jours après jours" : jour après jour, heure après heure.
- "elle se mourrait" : mourait.
- "tout c'était passé" : s'était passé.
- "elle ne pourrait plus aimé qui que se soit." : aimer qui que ce soit.
- "tant de chose réciproques" : choses.
- "son bien être" : bien-être.
- "elle ne mourrait pas" : mourait.
- "Rin serait que la situation" : saurait. La phrase ne veut rien dire, à l'avenant.
- "en pleures" : pleurs.
- "à le porte" : la porte.
- "durant on jour comme un autre." : un jour.
- "voir le détruire" : voire.


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Message  mini joe Sam 7 Aoû 2010 - 1:51

Je suis... impressioné... par...
la correction d'Alex !!

Sinon, bah, l´histoire sur les terribles Bralvanes et le gentil Blaise, comme Béa m'a dit de pas être méchant, je vais dire qu'on sent la motivation de l'amateur de Manga...

Mais sinon, c'est nul, franchement.
Aye, Béa ! J'ai rien dit !!

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Message  silene82 Dim 8 Aoû 2010 - 7:53

Je suis ébahi de l'abnégation d'Alex, cette niaiserie est résolument illisible, tout fait fuir à toutes jambes, la platitude du thème, le traitement...
C'est de la provoc, j'espère ? Parce qu'autrement, toutes mes condoléances.
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Message  bertrand-môgendre Dim 8 Aoû 2010 - 8:10

La ligne éditoriale précise
... Par goût, par vocation, nous publions majoritairement en prose de la littérature de fiction ou d’auto-fiction. Nous ne publions pas a priori certains genres : heroic fantasy, érotisme, littérature sentimentale, essais, littérature de jeunesse… et proposons aux auteurs de se tourner vers des forums mieux adaptés...
Il me semble important, pour toi Zuren de trouver un forum correspondant à ton style d'écrit. Reconnaissant le travail couché sur le papier virtuel, il te reste beaucoup de chemin avant de finaliser ce récit d'aventure. Bon courage.
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Message  mentor Dim 8 Aoû 2010 - 20:24

bertrand-môgendre a écrit:Il me semble important, pour toi Zuren de trouver un forum correspondant à ton style d'écrit. Reconnaissant le travail couché sur le papier virtuel, il te reste beaucoup de chemin avant de finaliser ce récit d'aventure. Bon courage.
décidément ça devient "tendance" de montrer la sortie aux auteurs ! :-)))

bon, m'en vais lire ça

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Message  mentor Dim 8 Aoû 2010 - 20:30

bon, ce fut vite fait !
Les fautes d'ortho m'écorchent trop la vue, impossible de poursuivre après la 5ème ligne, désolé !
Prière donc de relire attentivement notre page d'accueil, on y demande de veiller à écrire correctement.
Un prochain texte de ce niveau et on supprime carrément jusqu'à ce que tu sois décidé à corriger, faire lire et faire corriger, enfin : nous épargner ça, quoi !
A +

alex, tu as un sacré mérite, mais là, fran,chement, je crois que tu as gaspillé ton temps !
c'est pas très pédagogique comme méthode :-)))

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Message  zuren Lun 9 Aoû 2010 - 15:30

On est pas tous des crac en écriture, on a pas tous le même niveau. Et les choses ne sont pas aussi faciles pour tout le monde surtout que je ne fais qu'écrire depuis deux ans.

Je fais pas mal de fautes je sais mais je ne suis pas un dictionnaires et je n'ai pas un bon correcteur.

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Message  bertrand-môgendre Lun 9 Aoû 2010 - 15:34

Zuren tu as bon patron en ligne gratuitement, qui souligne pas mal d'erreurs. C'est un bon début.

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Message  mentor Lun 9 Aoû 2010 - 18:28

zuren a écrit:Je fais pas mal de fautes je sais mais je ne suis pas un dictionnaires et je n'ai pas un bon correcteur.
"je ne suis pas un dictionnaires", c'est une faute d'attention,, ni plus ni moins, comme si tu t'en fichais
voilà l'impression que ça me donne à moi, non ?
alors correcteur ou relecture par un tiers, je ne pense pas que ça t'intéresse plus que ça
dommage pour le prochain texte

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Message  zuren Mer 11 Aoû 2010 - 7:04

Je relis régulièrement mes textes pour les corrige mais avec open office c'est pas le top et je n'ai pas encore 200€ à débourser pour microsoft office. A ce prix là c'est du vol qu'ils ne s'étonnent pas si on prend pas. Moi en tout cas c'est pas demain la veille que je leur prendrai.

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Message  Modération Mer 11 Aoû 2010 - 8:01

bertrand-môgendre a écrit:Zuren tu as bon patron en ligne gratuitement, qui souligne pas mal d'erreurs. C'est un bon début.

http://bonpatron.com/
< Voir ici, c'est gratuit, ainsi que les amis ou la famille pour relecture.
NB : évitez de revenir faire remonter votre texte en haut de page si ce n'est pas très important, merci.
La Modération >

.

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