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Un dernier extrait: la fin de mon ultime roman. Merci à vous

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Message  passionbourgogne Lun 15 Jan 2007 - 15:49

Nous voilà arrivés au terme de ce voyage mes amis. Le train marque l’arrêt mais vous n’êtes pas obligés de descendre tout de suite. Prenez le temps de boire un café ou un cocktail à la gare de Dijon, de fumer une cigarette avant que cela ne soit définitivement interdit par nos autorités bien pensantes.
N’oubliez jamais vos racines, d’ou vous venez, qui vous êtes et n’accordez pas d’importance au paraître. Les normes actuelles de notre société sont tronquées et ravageuses. Ecoutez votre petite voix intérieure car elle connaît votre vérité. Soyez fiers de vos origines comme je le suis des miennes. Le monde des grands se bâtit sur les réminiscences de quand nous étions petits. Comme disait je ne sais plus quel philosophe, ce n’est pas le temps qui passe mais nous qui passons alors ne passons pas en coup de vent sur les plaines de la vie. Il faut s’arrêter pour respirer l’air avant qu’il ne soit trop pollué et ne nous asphyxie. Il faut voir et ne pas seulement regarder et vous verrez ainsi la vie sous d’autres formes, d’autres schémas. Ecoutez, ne vous contentez pas d’entendre car les voix et les sons ne seront pas pareils. Les messages du divin auront un autre écho. Aimez la vie, fêtez-la sans vous soucier du regard des autres. Vivre, c’est réagir. Vivre, c’est assiéger les citadelles en haut de la montagne des songes et des désirs. La vie, c’est prendre d’assaut le quotidien et terrasser l’ennemi qui se terre dans l’ombre. Et puis, si vous êtes comme moi, apprenez à côtoyer vos démons. Ils vous feront souvent souffrir mais vous rendront plus vaillant aussi. Fêtez l’existence dans les excès car la vie est morne sinon, et elle vous semblera plus longue mais pas forcément plus jolie. Sacralisez l’amitié dans un pacte invisible et éternel dans des rires autour de verres encore tachés et mousseux. Rendez hommage aux hommes et aux femmes qui agrémentent le passage sur cette terre. La cerise sur le gâteau, c’est le sourire pour une inconnue qu’elle vous rendra tôt ou tard, c’est l’accolade et la poignée de main solide de votre meilleur ami. La vie, c’est une accumulation de petits détails mais qui feront votre grandeur d’âme. Pour un homme, vivre, c’est pleurer. Pour une femme, vivre, c’est se sentir aimée. Les pleurs et le cœur qui bat la chamade pour une silhouette qui disparaît au détour d’une rue, c’est ca se sentir vivant et rien d’autre. Tout le reste n’est qu’apparat.
Je ne suis pas un philosophe de l’existence. J’ai simplement mis au point une conception et une analyse de la vie au travers de mes propres expériences personnelles, dans tous les domaines. Nous avons tous des parcours différents mais nous vivons toutes et tous, à un moment donné, des instants similaires et peut-être qu’on se reconnaît dans les écrits des autres. C’est mon cas.
La vie est un immense échiquier ou chacun avance ses pions, quand ce n’est pas nous qui sommes un pion. On chute, on se fait aspirer, on trébuche mais je pense qu’on se relève toujours. Il suffit de le vouloir, d’en avoir l’envie et le courage car même si rien n’est jamais gagné d’avance, tout n’est pas perdu non plus.
Peut-être qu’après la lecture de ce roman, vous penserez que je retrace une espèce d’apologie de l’ivresse et que je vante les mérites de l’alcool et les joies substantielles de l’ivrognerie et dans un certain sens, vous n’aurez pas tout à fait tort. Je ne souhaite pousser personne à la consommation. Je ne souhaite pervertir aucun ni aucune d’entre vous en les jetant dans les bras de la soulographie, mais j’ai simplement voulu vous faire découvrir une facette de ma personnalité, une de mes nombreuses manière d’apprécier la vie que je trinque au comptoir de mes illusions avec mes potes souvent décalés et parfois marginaux, toujours rebelles, fiers et debout, quoi qu’il advienne.
Je voudrais solliciter votre indulgence si certains mots crus ou propos peuvent vous surprendre, voire vous choquer, mais je suis loin d’être parfait et fier de ne jamais l’être, car si un jour, je devais atteindre la perfection, je pense qu’il sera temps pour moi d’aller voir ailleurs. J’aime les autres avec leurs qualités mais je sais aussi savourer leurs défauts et la force d’une amitié est justement de dépasser ces limites et de regarder par-dessus l’épaule. Donc, si on m’aime, on m’accepte avec mon bon coté mais aussi avec mes vices et mes perversions alcoolisées, morales mais jamais méchantes.
Si j’attache autant de valeur au rapprochement des hommes et des femmes dans l’amitié c’est parce ce sentiment noble est pour moi, un fil conducteur, une sorte d’assurance qui me couvre dans l’éventualité d’une chute. Un ami, un vrai, celui qui ne pose pas de question, celui ou celle qui ne jugera, est comme un frère, une sœur, un clone, l’ombre de soi-même.
L’écriture est mon amie la plus fidèle. Elle est une sœur, une maitresse, un guide, un besoin de plus en plus présent et qui devient viscérale, thérapeutique. Ecrire est un exorcisme contre les Satan qui m’attirent à eux en vue de me pervertir encore plus, dans le but unique de me détruire complètement. Les mots qui alignent au final ces phrases résonnent comme un partage avec des lecteurs inconnus. C’est un moment de joie pour moi, presque d’euphorie que de me dévoiler en partie à vous. Je me dénude presque entièrement, avec ou sans pudeur selon mon humeur de l’instant, avec des mots crus et d’autres plus volatiles, modérés. Dans l’écriture, je m’offre à vous chers lecteurs et lectrices, comme je m’offre si souvent aux entraves de l’ivrognerie, aux jouissances du cabotinage, quand je me perds dans les coulisses d’une ribote éternelle aux effluves de paradis.
Mes tribulations et confrontations répétées avec les breuvages m’ont permis de vivre une deuxième vie dans l’actuelle. Tous ces instants de subsistance avec mes amis, mes camarades d’errances, les créateurs de crépuscules que nous formions au sein de notre assemblée resteront à jamais en ma mémoire, bien par-delà mon trépas.
Merci mes amis de vie, d’ivresses, de souleries et de combats contre la sobriété. Merci de m’avoir tenu compagnie pendant toutes ces secondes de présence et ces heures d’absences. Nous avons marché un bout de chemin ensemble, bras sur épaules, chopes entrecroisées, larmes contres rires, utopies contre réalités, vérité contré vérité. Aucun mensonge ne sera jamais venu perturber la sagesse et l’authenticité de nos relations fraternelles. Nous nous sommes abreuvés ensemble, nous avons noyé nos âmes à en crever presque, mais vous serez toujours là, quelque part dans un coin reculé de ma mémoire. Je solliciterai vos sourires silencieux quand la déprime viendra me mordre le bout des souvenirs. Nous avions en commun les mêmes démons que nous ne sommes pas vraiment parvenus à terrasser mais qu’importe, l’enfer est déjà sur terre je crois, donc les portes du paradis nous attendent entrouvertes. Nous partagions la même terre dans les mêmes verres. Nous chantions les mêmes refrains sur des requiem de naguère. Nous mettions en bière nos carcasses alourdies de trop de remords, de quelques regrets à chaque retentissement du glas macabre annonçant la fin de la nuit sans l’approbation du jour pour nous accueillir, nous cueillir mais sans la rosée. Arrosés, nous l’étions. Gouttes d’or d’une pluie bachique aux desseins avalisés par les dieux. Avant-goût de mort quand souffle dans le souffre des allumettes, le vent d’une mort désirée. Quand la capsule d’une 1664 devient une amulette. Quand la nicotine supplante l’adrénaline. Quand la frénésie évince la douce folie d’une bande d’amis, un cercle de noceurs. Quand la lascivité rime avec éternité et que notre coït, nous l’obtenions dans la paupérisation des futs de mousse. Je me souviendrais de vous, comme des indiens dansant et fêtant la vie autour d’un feu de joie. Quand l’Edradour ou le Bushmills friperont les images que je garde de vous, je les ferai renaitre de leurs cendres à grands coups de tournées détournées afin de mieux me retourner sur les années déversées dans les oubliettes de ma matière grise.
Aujourd’hui, l’heure est aux comptes. Aucune facture oubliée sur un coin du comptoir. C’est l’instant tant redouté quand ma mémoire se confronte à la mélancolie ravageuse. Je crois que c’est cela la nostalgie, la vraie, celle qui fait mal et non pas celle qui ouvre sur un rictus. C’est con un homme ivre, mais c’est aussi tellement juste et plein de vérité, de sensibilité, enfin, chez vous, mes amis, mes frères. Je décore les parois de mon cerveau avec des images de vos rires et de vos larmes. Je tapisse les murs de ma solitude avec le reflet de vos regards brillants d’authenticité et de générosité. Nous étions un peu plus jeunes. Je ne sais pas si nous serons jamais plus fous.
Nous donnions un sens à nos vies, dans les méandres de l’enivrement. Nous offrions une raison à la mort dans la voluptueuse griserie de nos êtres, perversion passagère s’il en est mais salvatrice aussi. J’étais vous, vous étiez moi et on emmerdait le monde, vous vous rappelez ? Nous retrouvions l’innocence de notre enfance quand chaque année qui soufflait nos bougies, était comme un pavé lancée dans un carreau.
J’ai mal, oui, aujourd’hui, j’ai l’âme qui hurle de douleur. Un chagrin subliminal. Une souffrance interminable parce que mon devenir se fera sans vous, mes amis. La vie est ainsi faite. Chacun sa route, chacun ses destins. Aucune fatalité. Aucune mort si ce n’est celle-ci, celle d’un passé tellement remplis qu’il en déborde sur le présent. Ma souvenance est en crue, une crue salée de la violence de mes pleurs. Mes glandes lacrymales sont un alambic qui distille inlassablement les parfums et les saveurs de chacun et chacune d’entre vous. Des lèvres se sont effleurées, des doigts se sont croisés, des jambes décroisées.
Aujourd’hui, mes joues se creusent, une sorte de tombe faciale. Les funérailles sont longues.
Reposez en paix réminiscences extatiques, délices de l’esprit, sucreries de l’âme.
L’amitié est une force qui embellie ma fragilité. Quand je repense à vous, j’ai l’impression de voir ma vie qui défile, une vie qui s’échappe. Vos traits s’enchainent et s’éloignent, là-bas, je ne sais ou. Je passe en revue les secondes oubliées les lèvres sur le bord des verres. Toute cette nicotine qui brulait mes poumons. Mes poumons, que j’utilisais comme un encensoir. Notre amitié, c’est presque une histoire d’amour mais trop belle et trop honnête pour que nous puissions parler d’amour traditionnel. L’amitié est une tradition ; l’amour, une perdition.
Mais je n’ai pas terminé mon histoire avec l’alcool. Les libations qui m’attendent sont comme des barbelés qui déchireront ma chair et bruleront mes entrailles sur mon chemin de vie. J’entends d’ici le chant des sirènes sur les embruns pourpres et dorés de mes récifs bourguignons. Bacchus me demande. Je ne puis le faire attendre. Je dois y aller.
La vie est une mort sans fin, donc autant en dissoudre les vicissitudes dans les élixirs uvaux.
Je vous remercie de m’avoir accompagné au fil de ces pages en espérant que le dépaysement fut salvateur, apaisant, amant et aimant et pas excessivement enivrant.
A très bientôt. Merci de votre fidélité. Je ne suis pas sans vous.
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Message  Krystelle Mar 16 Jan 2007 - 10:17

Sur bon nombre de points, cette conclusion s’apparente à l’introduction que tu as posté sur un autre fil. Il y a toujours cette morale bien-pensante qui se construit ligne après ligne sur des aphorismes faciles, convenus et parfois ineptes :

- Le monde des grands se bâtit sur les réminiscences de quand nous étions petits,
- La vie, c’est prendre d’assaut le quotidien et terrasser l’ennemi,
- Pour un homme, vivre, c’est pleurer. Pour une femme, vivre, c’est sesentir aimée.
- La vie est un immense échiquier ou chacun avance ses pions,
- La vie est une mort sans fin
Etc…

Au-delà d’un certain déterminisme qui n’est pas sans me déranger, le point de vue moralisateur et paternaliste m’agace profondément ainsi que la dimension narcissique de l’auteur qui a ce besoin viscéral de se justifier, d’être aimé.

Mais si l’analyse, les topics sur la société, l’amitié et la vie m’ennuient , j’ai néanmoins été davantage touchée par le passage sur l’ivresse et les liens qui se tissent autour d'elle. Tu laisses tomber un instant le masque de l’auteur moralisateur et commences à toucher à l’essentiel. L’espace de quelques lignes, on sort des grands principes, on quitte le régionalisme, le déterminisme, et toute la dimension thérapeutique de l'écriture, pour découvrir un petit bout d’âme, de vrai, de vie. Ce morceau de texte respire et ça fait du bien parce qu'il est englué dans quelque chose de figé, de creux.

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Message  Sahkti Mar 16 Jan 2007 - 16:50

Un message de passionde bourgogne en réponse à Krystelle, que je recopie ici, parce que l'auteur a ouvert un nouveau fil pour ce faire, au lieu d'utiliser le bouton "répondre" destiné à cette fonction. Une petite erreur à corriger pour les autres fois, d'autant plus que tu sais comment ça marche puisque tu as déjà répondu à Krystelle pour l'autre texte en utilisant la fonction "répondre".

Sujet: Réponse à Krystelle Aujourd’hui à 16:20

Merci de ce commentaire. Je ne suis pas narcissique, je ne cherche pas à jouer les moralisateurs non plus. Peut-être est-il mal venu et mal vu de donner ma conception de la vie dans l'amitié et l'alcool, je ne sais pas. Je ne cherche pas à prouver quoi que ce soit chère Krystelle car je ne suis pas un exemple à suivre, personne ne l'est d'ailleurs. Si tu penses que je suis centré sur moi-même alors tu as du mal lire et surtout interpréter mes écrits, mais comme je l'ai déjà écrit, une même texte sera interprété de diverses manières et percu différemment par chacun des lecteurs. Ce qui compte pour moi, dans ce roman, est de rendre hommage à mes amitiés et valoriser l'esprit de fraternité qui règne entre les différents personnages. Je le répète, mon écriture n'est pas parfaite et tant mieux mais au moins j'écris. Merci de tes réponses Krystelle et au plaisir de te lire.
PS: Oscar Wilde disait quelque chose comme ceci: " Aujourd'hui, dans la société, tout le monde se dit intelligent. On ne peut plus se rendre nulle part! L'intelligence tel qu'elle est pensée aujourd'hui, est devenue un véritable fléau social ".
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Message  Krystelle Mar 16 Jan 2007 - 18:26

Je n’ai pas dit que tu étais narcissique "cher" Denis, juste que tes lignes laissaient entrevoir cette aspect-là de l’auteur. Dans les deux textes que tu as postés sur ce site, tu parles en « je », t’étends sur ta propre démarche d’écriture et, d’une manière plus générale, évoque la manière dont tu perçois la vie à travers un certain nombre de phrases du genre : « la vie c’est comme ceci », « la vie c’est faire cela » etc…Alors oui, ça donne un ton non seulement moralisateur mais aussi condescendant qui peut décourager le lecteur.
Ce n’est évidemment pas de l’homme dont je parle, mais de l’auteur, de celui qui écrit et se regarde écrire. Vrai que je trouve l’approche assez autocentrée, et ça me dérange moins de tirer des leçons de la vie d’un auteur dont je connais et j’apprécie l’œuvre...
Après, il est évident que rien ne t’interdit de livrer « ta conception de la vie dans l’amitié et l’alcool », c’est juste que la manière dont elle est racontée ne me passionne pas. Question de goût encore une fois.
Quant à la citation d’Oscar Wilde, je ne vois pas bien ce qu’elle vient faire dans tout ça.

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Message  passionbourgogne Mar 16 Jan 2007 - 19:02

C'est logique que je parle en " Je " chère Krystelle, puisque c'est moi qui raconte. Je ne fais que suivre les conseils sagement donnés par mon éditrice. Je ne vois pas comment je pourrais raconter l'histoire de mes amis donc de la mienne en utilisant autre chose que " Je "? Au contraire mes écrits sont loins d'être centrés sur moi-même et encore moins moralisateurs car dans ce cas-là, tous les écrivains sont centrés sur eux-mêmes et puis pourquoi pas? J'ai du mal à comprendre ou il y a matière à philosopher sur mes écrits qui ne méritent pas autant de reflexions profondes. Je raconte l'histoire de ma vie. Je suis un homme simple, commun qui aime les gens simples et communs aux yeux des autres mais de valeur à mes yeux. Je me fie uniquement aux conseils avisés de mon éditrice. C'est une professionnelle, elle connait mieux que moi ce qui plait aux lecteurs. De toute façon, je continuerai d'écrire ainsi. Je ne changerai pas car je suis ainsi. Merci.
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Message  Krystelle Mar 16 Jan 2007 - 19:15

Dans ces cas là ce n'est pas tant un roman qu'une autobiographie, mais encore une fois, tu écris ce que tu veux, absolument tout ce que tu veux ! Et tu as sans doute raison de suivre les conseils de ton éditrice, elle sait ce qui se vend, moi, je ne sais que ce qui me touche.

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Message  Sahkti Mar 16 Jan 2007 - 20:47

passionbourgogne a écrit:Je me fie uniquement aux conseils avisés de mon éditrice. C'est une professionnelle, elle connait mieux que moi ce qui plait aux lecteurs. De toute façon, je continuerai d'écrire ainsi. Je ne changerai pas car je suis ainsi. Merci.
Là, tu me permettras de franchement rigoler! Pour assurer régulièrement la commu pour compte d'éditeurs, je peux te dire qu'il leur arrive souvent de se planter et ne pas savoir du tout ce qui plaît aux lecteurs. Et ça arrive, même aux plus grands éditeurs!
Je préfère nettement quand tu dis que tu ne changeras rien parce que tu es ainsi que quand je lis tes propos qui veulent que tu suis aveuglément une bonne femme dont le métier est de vendre et non pas de toucher.
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Message  pierre-henri Ven 22 Fév 2008 - 16:12

Je n’accroche pas. Trop de conseils, à mon goût. Et une écriture trop plate, trop peu dérangeante.
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Message  bertrand-môgendre Ven 22 Fév 2008 - 19:53

lorsque je commente un livre, j'évite de dévoiler l'intrigue, encore moins de raconter l'histoire. Mais si les auteurs s'appliquent à nous servir la fin du roman, je ne crois pas que je le lirai. A moins que tu puisses titiller ma curiosité en vantant tes qualités de romancier.
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