1475 Km

[Lunatiic]

" Deux êtres qui s'aiment sont plus unis par les larmes que par la joie... "
Jean Filiatrault

Pleures sur mon épaule, pleures sur mon âme que ça fasse pousser des roses. Que les roses poussent et les pétales tombent sur le sol, que le sol me montre le chemin vers toi, que ce chemin soi infini, qu'il ne se termine jamais pour j'puisse te chercher de jour en jour, pour que le jour ne se lève plus que je puisse rêver de toi, que mes rêves se réalisent, que Venise soit à tes pieds, comme j'aimerais l'être pour voir juste toute ta grandeur, ta grandeur qui fait de moi un homme, homme sans femme n'est rien, femme, comme j'aimerais que tu sois mienne. Coeur en miette, le mien est le tien, tu le tiens, comme le ciel tient les étoiles pour qu'elles ne tombent pas, me laisse pas tomber, tiens moi fort, laisse-moi te tenir fort que tu n'partes pas, restes sur mon épaule, dort, reposes toi, prends soin de toi, de moi, de toi, de moi, de toi, de moi, de nous. Dieu est grand et bon, il sait ce qu'il fait, ce qu'il peut faire, il sait nous éloigner de l'enfer, ma soeur, ma belle, ma femme je l'espère. Ne pleures pas, laisse-moi pleurer à ta place, ma tête sur ton ventre, comme un regard vers l'avenir. Reposes toi sur mes problèmes, qu'ils servent a quelque chose au moins, main dans la main. Sois forte, juste pour nous, nous que 1475 Kilomètres séparent et plus t'es loin, plus t'es là. Fais ce qui est bon pour toi.

[Invité]

Un texte intense, bien équilibré, mais faut-il que vous n'en ayez rien à foutre de lui ou de ses lecteurs pour ne pas avoir accordé davantage d'attention à sa forme ! Il est perclus d'erreurs de langue, vous avez oublié un "que", etc. Je peux vous assurer que cela empêche de l'apprécier pleinement.

Mes remarques :
« Pleure (et non « Pleures », pas de « s » à l’impératif de la deuxième personne du singulier pour les verbes du premier groupe) sur mon épaule, pleure (et non « pleures », pas de « s » à l’impératif de la deuxième personne du singulier pour les verbes du premier groupe) sur mon âme »
« que ce chemin soit infini, qu'il ne se termine jamais pour (que) j'puisse te chercher de jour en jour »
« Cœur en miettes (y en a plusieurs), le mien est le tien »
« tiens-moi (trait d’union) fort, laisse-moi te tenir fort »
« reste (et non « restes », pas de « s » à l’impératif de la deuxième personne du singulier pour les verbes du premier groupe) sur mon épaule, dors, repose- toi (trait d’union, et puis gnagnagna verbes du premier groupe), prends soin de toi »
« ma sœur, ma belle, ma femme je l'espère. Ne pleure (et non « pleures », pas de « s » tagada tsoin tsoin du premier groupe) pas »
« Repose-toi (trait d’union, et puis gnagnagna verbes du premier groupe) sur mes problèmes, qu'ils servent à quelque chose au moins »

[solfa]

Je reconnais le travail sur le rythme, sur l'urgence à dire, mais il y a un peu trop de pathos, d'élégie romantico-théologique à mon goût. Le cliché malgré la recherche d'une expression nouvelle. Après, les goûts et les couleurs...

[mentor]

Après, les goûts et les couleurs...

les goûts et les douleurs ;-)

beaucoup trop brouillon, jeté comme ça, en pâture, sans précaution
merci de lire ou relire la page d'accueil
Ok, VE est une sorte d'atelier d'écriture, mais bon, un minimum de relecture, de mise en page, donc de respect, seraient bienvenus
merci pour la prochaine fois

[solfa]

ouch

[Invité]

Bof.. pas emballée. Ni par le contenu qui ne dit trop rien à mon avis, ni par la présentation... défaillante côté orthographe.

[mentor]

ouch

??

[solfa]

Je disais ouch! pour l'accueil fait à son texte. Le rappel à l'ordre me paraissait sévère.

[Hegar]

Je suis un peu du même avis que toi Solfa. Dommage pour les fautes d'orthographe! Il y a une sorte de naïveté séduisante marquée par l'insistance sur les sentiments. Bon après "Dieu est grand et bon, il sait ce qu'il fait, ce qu'il peut faire, il sait nous éloigner de l'enfer" chacun ses illusions! ou alors j'ai vraiment rien compris

[mentor]

Je disais ouch! pour l'accueil fait à son texte. Le rappel à l'ordre me paraissait sévère.

d'accord avec toi ;-)
sauf que si on ne fait pas une petite piqûre comme ça ici et là, on nous traite de site de bisounours qui s'auto-congratulent, si si
c'est tombé sur lui, j'assume
et, au fait : on s'interdit de commenter les commentaires... aussi... :-)))

[Rebecca]

"Pleure" "pleure pas" : un peu mince je trouve comme propos ! Pas assez salées ces larmes, ce pathos manque de piquant ou de piment à mon avis !

[Rebecca]

"Repose toi sur mes problèmes qu'ils servent à quelque chose au moins "?!

Je ne comprends pas du tout ce que peut signifier cette phrase dans l'esprit du narrateur. Dans la mienne, l'effet gag est assuré: "dis moi quels sont tes problèmes, je te dirai si tu es un bon myorelaxant"

[RICHARD2]

C'est quand on est sincère que l'on fait souvent le plus de fautes.
Le texte repris d'une façon "rap romantique", cela pourrait donner qq chose de sympa. Des phrases plus courtes.
On prend tous les claques sur nos écrits, alors il ne faut pas trop s'assombrir face aux critiques.

[isa]

c'est vrai que le texte fait brouillon mais c'est dommage: avec un peu plus d'attention portée à la forme (c'est pas l'orthographe qui m'a le plus dérangé c'est plus la longueur des phrases et l'absence de pause) ça aurait pu rendre quelque chose de bien...

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