Ghetto
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Jer75
Le Greico
elea
Jano
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Ghetto
Je ne sais pas si c'est dans les habitudes, mais suite aux remarques qui m'ont été faites lors de l'exercice du 26 octobre, j'ai eu envie de reprendre mon texte (sans plus tenir compte des contraintes). Ecrit à la va-vite, circonstance oblige, il m'avait laissé un fort goût d'inachevé.
6h30 du matin, je traverse la plaine des sports, laissant derrière moi la barre d'immeubles qui bouche l'horizon de ma putain de vie. Cité des Tarterêts, toute mon existence. J'ai pourtant grandi avec bonheur dans cet univers de béton. C'est pas ce qu'on fait de mieux en matière d'urbanisme mais je m'y sentais bien. Quand on a passé son enfance ici, on ne fait plus attention aux façades décrépies et aux cages d'escaliers qui puent la pisse. Les terrains vagues c'étaient notre far-west, les esplanades nos pistes de skates, les bâtiments désaffectés nos parcours d'aventuriers. Autant d'insouciances qui se sont effondrées avec l'âge. Quand on s'est mis à sortir en ville, mal assurés dans nos baskets trop grandes, les capuches nous couvrant la tête, on a commencé à souffrir. Partout des regards où on sentait la peur, le mépris; une sensation d'un monde hostile, plus le nôtre. Le pire, c'était les filles qui baissaient les yeux quand on les croisait ou qui changeait carrément de trottoir. Aucune chance de les aborder sinon en les provoquant, bien obligé. On a vite compris qu'on ne voulait pas de nous, que notre place c'était le ghetto, rien que le ghetto. Alors la haine est montée en nous, sûrement, inexorablement. Une haine mêlée de révolte et de désespoir.
Aujourd'hui je veux m'en sortir. J'en ai marre des agences d'interim, marre de dealer du mauvais shit, marre de mes potes défoncés du matin au soir, marre que les français me renvoient ma couleur de peau. Et puis il y a Leïla ...
Tout ça va changer. J'ai rendez-vous aujourd'hui avec le patron d'une boîte de coursier. Un job sympa, qui correspond à mon envie de bouger et assez bien payé m'a dit la femme de Pôle Emploi avec un grand sourire hypocrite.
On va voir, moi j'y crois.
Je m'approche de l'arrêt de bus quand arrive le camion-benne.
« Oh Seyni, qu'est-ce tu fous à c't'heure ? T'es tombé du lit ou quoi !! » me lance Kader, hilare.
« Arrête tes conneries, j'vais pour un taf ! »
« Sérieux !? Bonne chance mon frère ! »
Accroché d'une main à l'arrière du camion, il repart dans une odeur de poubelles et de gazoil, hochant la tête d'un air admiratif.
Alors j'attends.
J'attends.
Descendus des tours, les habitants commencent à arriver, de plus en plus. C'est bientôt tout le Maghreb qui s'agglutine autour de l'abri. Au départ amorphes, les conversations prennent de la vigueur. Quelque chose ne va pas, le bus devrait être là depuis longtemps. Des bras se lèvent au ciel avec force invectives, des indignations fusent. Inquiètes, les fatimas ont déjà pris le chemin de l'école à pieds, tirant brutalement leurs enfants hagards. Puis, résignés, les gens retournent vers la cité, sans plus un mot.
On a compris, pas la peine de chercher bien loin : les bus sont en grève. Salauds, ils se paient le luxe d'arrêter de travailler et nous laissent en carafe, une fois de plus. Mon rendez-vous est bel et bien foutu, je ne serais jamais à l'heure. Peut-être qu'en courant jusqu'au métro … Bah, à quoi bon, j'ai plus envie. Inch' Allah, le destin l'a voulu ainsi.
Par-dessus la Cité Nouvelle en construction, les grues entament un ballet mécanique, emportant dans leurs câbles les promesses d'une vie meilleure. Les bips stridents des engins de chantier se mêlent au lointain bourdonnement du périphérique. Cernés par des colonnes à la peinture écaillée, les rires clairs de jeunes enfants s'élèvent de l'aire de jeu.
Toujours assis sur le trottoir, je sors une boulette de ma poche pour rouler un joint. Bientôt emporté par les volutes d'une fumée verdâtre, j'imagine le Maroc.
GHETTO
6h30 du matin, je traverse la plaine des sports, laissant derrière moi la barre d'immeubles qui bouche l'horizon de ma putain de vie. Cité des Tarterêts, toute mon existence. J'ai pourtant grandi avec bonheur dans cet univers de béton. C'est pas ce qu'on fait de mieux en matière d'urbanisme mais je m'y sentais bien. Quand on a passé son enfance ici, on ne fait plus attention aux façades décrépies et aux cages d'escaliers qui puent la pisse. Les terrains vagues c'étaient notre far-west, les esplanades nos pistes de skates, les bâtiments désaffectés nos parcours d'aventuriers. Autant d'insouciances qui se sont effondrées avec l'âge. Quand on s'est mis à sortir en ville, mal assurés dans nos baskets trop grandes, les capuches nous couvrant la tête, on a commencé à souffrir. Partout des regards où on sentait la peur, le mépris; une sensation d'un monde hostile, plus le nôtre. Le pire, c'était les filles qui baissaient les yeux quand on les croisait ou qui changeait carrément de trottoir. Aucune chance de les aborder sinon en les provoquant, bien obligé. On a vite compris qu'on ne voulait pas de nous, que notre place c'était le ghetto, rien que le ghetto. Alors la haine est montée en nous, sûrement, inexorablement. Une haine mêlée de révolte et de désespoir.
Aujourd'hui je veux m'en sortir. J'en ai marre des agences d'interim, marre de dealer du mauvais shit, marre de mes potes défoncés du matin au soir, marre que les français me renvoient ma couleur de peau. Et puis il y a Leïla ...
Tout ça va changer. J'ai rendez-vous aujourd'hui avec le patron d'une boîte de coursier. Un job sympa, qui correspond à mon envie de bouger et assez bien payé m'a dit la femme de Pôle Emploi avec un grand sourire hypocrite.
On va voir, moi j'y crois.
Je m'approche de l'arrêt de bus quand arrive le camion-benne.
« Oh Seyni, qu'est-ce tu fous à c't'heure ? T'es tombé du lit ou quoi !! » me lance Kader, hilare.
« Arrête tes conneries, j'vais pour un taf ! »
« Sérieux !? Bonne chance mon frère ! »
Accroché d'une main à l'arrière du camion, il repart dans une odeur de poubelles et de gazoil, hochant la tête d'un air admiratif.
Alors j'attends.
J'attends.
Descendus des tours, les habitants commencent à arriver, de plus en plus. C'est bientôt tout le Maghreb qui s'agglutine autour de l'abri. Au départ amorphes, les conversations prennent de la vigueur. Quelque chose ne va pas, le bus devrait être là depuis longtemps. Des bras se lèvent au ciel avec force invectives, des indignations fusent. Inquiètes, les fatimas ont déjà pris le chemin de l'école à pieds, tirant brutalement leurs enfants hagards. Puis, résignés, les gens retournent vers la cité, sans plus un mot.
On a compris, pas la peine de chercher bien loin : les bus sont en grève. Salauds, ils se paient le luxe d'arrêter de travailler et nous laissent en carafe, une fois de plus. Mon rendez-vous est bel et bien foutu, je ne serais jamais à l'heure. Peut-être qu'en courant jusqu'au métro … Bah, à quoi bon, j'ai plus envie. Inch' Allah, le destin l'a voulu ainsi.
Par-dessus la Cité Nouvelle en construction, les grues entament un ballet mécanique, emportant dans leurs câbles les promesses d'une vie meilleure. Les bips stridents des engins de chantier se mêlent au lointain bourdonnement du périphérique. Cernés par des colonnes à la peinture écaillée, les rires clairs de jeunes enfants s'élèvent de l'aire de jeu.
Toujours assis sur le trottoir, je sors une boulette de ma poche pour rouler un joint. Bientôt emporté par les volutes d'une fumée verdâtre, j'imagine le Maroc.
Jano- Nombre de messages : 1000
Age : 54
Date d'inscription : 06/01/2009
Re: Ghetto
Tu as eu raison de le reprendre ! On sent beaucoup mieux les mouvements qui habitent ce jeune homme, flux et reflux d'espoir... oui, on devient pour partie ce que l'environnement nous pousse à devenir, c'est ce qui est si désespérant dans la xénophobie...
Invité- Invité
Re: Ghetto
En étoffant l'histoire et le personnage tu as gardé cette résignation et ce destin malheureux qui enferme plus encore en claquant au nez la porte de sortie entrouverte, c'était ce que j'aimais bien déjà dans la première version.
Et là plus rien ne manque pour moi, l'histoire se tient bien et emporte avec elle, au point que cette tranche de vie j'aimerais bien qu'elle ait une suite, comme si moi je ne me résignais pas à ce qu'il finisse sur ce bout de trottoir.
Et là plus rien ne manque pour moi, l'histoire se tient bien et emporte avec elle, au point que cette tranche de vie j'aimerais bien qu'elle ait une suite, comme si moi je ne me résignais pas à ce qu'il finisse sur ce bout de trottoir.
elea- Nombre de messages : 4894
Age : 51
Localisation : Au bout de mes doigts
Date d'inscription : 09/04/2010
Re: Ghetto
Je n'ai pas lu le premier texte mais je trouve cet instantané pas mal du tout, peut-être un chouïa bavard. Serait possiblement plus percutant avec une petite économie de mots.
Invité- Invité
Re: Ghetto
Il est toujours maladroit de commenter à mon âge surtout l'œuvre d'un plus mature que moi mais ce texte est à mon sens affreusement stéréotypé. Je trouve aussi que le vocabulaire confus partagé entre un soucis d'écriture agréable pour le lecteur et une vulgarisation du narrateur laisse entendre que ce texte ne se suit pas correctement. Bien sûr c'est mon point de vue et ce n'est pas pour autant que je n'apprécie pas le texte. Je commente pas souvent, faut bien le prendre =) . Au plaisir de vous relire.
Le Greico- Nombre de messages : 206
Age : 30
Localisation : Là où le soleil brille encore.
Date d'inscription : 08/11/2009
Re: Ghetto
Et aussi on n'écrit pas six heures trente en chiffre, on n'est pas en maths =) .
< On peut, et même on doit écrire : "en chiffreS", merci.
La Modération >
.
< On peut, et même on doit écrire : "en chiffreS", merci.
La Modération >
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Le Greico- Nombre de messages : 206
Age : 30
Localisation : Là où le soleil brille encore.
Date d'inscription : 08/11/2009
Re: Ghetto
Je suis d'accord avec Le Greico nous ne sommes pas en maths. Je vous demande s'il vous plait un peut de respect pour la langue française !
Jer 75, vous êtes nouveau sur le site et ne savez peut-être pas qu'il n'est pas d'usage de commenter les commentaires, mais bien plutôt le texte sur le fil duquel on se trouve. De plus on essaie de fournir des commentaires plus étoffés qu'une simple appréciation. Merci de bien vouloir en tenir compte pour la suite. Et bienvenue ici.
La Modération
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Jer 75, vous êtes nouveau sur le site et ne savez peut-être pas qu'il n'est pas d'usage de commenter les commentaires, mais bien plutôt le texte sur le fil duquel on se trouve. De plus on essaie de fournir des commentaires plus étoffés qu'une simple appréciation. Merci de bien vouloir en tenir compte pour la suite. Et bienvenue ici.
La Modération
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Jer75- Nombre de messages : 6
Age : 28
Date d'inscription : 10/11/2010
Re: Ghetto
Le Greico a écrit:Et aussi on n'écrit pas six heures trente en chiffre, on n'est pas en maths =) .
À l'incipit, on peut, et même, on doit (les règles de typo françaises sont étranges et mieux vaut les connaître histoire d'éviter le ridicule d'une remarque) cependant on écrira 6 h 30 : et surtout — je sors là du domaine typographique pour entrer dans celui du littéraire - on n'écrit pas 6 h 30 du matin, parce que il y a redondance, nous sommes forcément le matin, sinon il est 18 h 30.Jer75 a écrit:Je suis d'accord avec Le Greico nous ne sommes pas en maths. Je vous demande s'il vous plait un peut de respect pour la langue française !
À part ça relu avec plaisir et je n'ai rien à ajouter au commentaire de elea.
Yali- Nombre de messages : 8624
Age : 59
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Ghetto
J'ai un ressenti très similaire à celui du Greico.
Les "c'était", les "on" et autres mots du registre familier me paraissent souvent incongrus au milieu du reste qui est d'un niveau de langue et de style plutôt soutenus.
Est-ce le style et/ou un certain manque d'approfondissement du personnage, mais je n'entre pas en empathie avec le narrateur. J'ai l'impression d'une connaissance théorique, à distance, des jeunes de cités mais qu'il manque la dimension "réalité".
(A ce propos, je ne qualifierais pas de "verdâtre" la fumée du shit. Ceci dit, si ça me paraît bizarre, je ne suis pas non plus sûre de mon fait à 100%.
Je suis aussi un peu étonnée de voir - pardon d'entendre - des enfants jouer si tôt sur l'aire de jeux.)
Pour les aspects positifs de ce texte :
Il est évident pour moi, Jano, que tu manies la plume avec une aisance certaine.
Je trouve bonne la structure du déroulement et la proportion des parties : tout s'enchaîne de façon claire, sans longueurs et sans ressenti de "trop court".
Les "c'était", les "on" et autres mots du registre familier me paraissent souvent incongrus au milieu du reste qui est d'un niveau de langue et de style plutôt soutenus.
Est-ce le style et/ou un certain manque d'approfondissement du personnage, mais je n'entre pas en empathie avec le narrateur. J'ai l'impression d'une connaissance théorique, à distance, des jeunes de cités mais qu'il manque la dimension "réalité".
(A ce propos, je ne qualifierais pas de "verdâtre" la fumée du shit. Ceci dit, si ça me paraît bizarre, je ne suis pas non plus sûre de mon fait à 100%.
Je suis aussi un peu étonnée de voir - pardon d'entendre - des enfants jouer si tôt sur l'aire de jeux.)
Pour les aspects positifs de ce texte :
Il est évident pour moi, Jano, que tu manies la plume avec une aisance certaine.
Je trouve bonne la structure du déroulement et la proportion des parties : tout s'enchaîne de façon claire, sans longueurs et sans ressenti de "trop court".
Re: Ghetto
Je sais de quoi je parle même si je ne côtoie plus cet univers depuis longtemps. Vous n'êtes évidemment pas obligé de me croire.Marie-Catherine a écrit:J'ai l'impression d'une connaissance théorique, à distance, des jeunes de cités mais qu'il manque la dimension "réalité"
Jano- Nombre de messages : 1000
Age : 54
Date d'inscription : 06/01/2009
Re: Ghetto
Je crois que vous n'avez pas compris mon commentaire. J'en suis désolée.Jano a écrit:Je sais de quoi je parle même si je ne côtoie plus cet univers depuis longtemps. Vous n'êtes évidemment pas obligé de me croire.Marie-Catherine a écrit:J'ai l'impression d'une connaissance théorique, à distance, des jeunes de cités mais qu'il manque la dimension "réalité"
Il n'est pas question de vous croire ou pas, de savoir ou non si la personne de l'auteur à une expérience personnelle ou non de ce qu'elle écrit. Ceci ne me regarde pas et je n'ai pas à l'analyser.
C'est le texte que j'analyse et mon commentaire se rapporte donc à l'impression qu'il dégage.
C'est ainsi que lisant beaucoup d'imaginaire, je sais pertinemment que l'auteur n'a jamais vécu sur une autre planète, dans le futur ou le passé lointain. Il n'empêche qu'un texte de science-fiction, de fantasy ou de fantastique a ou non une dimension "réalité" qui permet au lecteur de s'y "croire".
Re: Ghetto
Il est bien ce texte !
On pourrait croire aux stéréotypes, mais non, tu ne fais pas dans le pathos, et au contraire il y a un espèce de paradoxe : les gars ne se rendent compte qu'ils sont dans un ghetto que lorsqu'ils en sortent. Ça c'est très bon, le décalage aussi avec cette grève des "travailleurs", ainsi que la chute. Après, il y a peut-être deux ou trois lourdeurs, mais personnellement, je m'en tape.
On pourrait croire aux stéréotypes, mais non, tu ne fais pas dans le pathos, et au contraire il y a un espèce de paradoxe : les gars ne se rendent compte qu'ils sont dans un ghetto que lorsqu'ils en sortent. Ça c'est très bon, le décalage aussi avec cette grève des "travailleurs", ainsi que la chute. Après, il y a peut-être deux ou trois lourdeurs, mais personnellement, je m'en tape.
Invité- Invité
Re: Ghetto
OK pour ma faute d'orthographe et pour mon erreur. Ceci dit, et désolé de "commenter les commentaires" mais il y a deux, trois trucs que je comprends pas: D'abord on me dit que dans un incipit, il est mieux venu d'utiliser les chiffres. Ah bon? L'incipit est le début du texte et il fait parti du texte/roman je ne vois pas pourquoi il serait mieux venu de mettre des chiffres dans une partie d'un texte. Alors comme ça on mettrait des chiffres à l'incipit et puis, au milieu on remettrait des lettres? Une partie d'un texte ne doit pas recevoir de ménagement typographique spéciale, enfin selon moi, même si ca doit être grandiloquent, ca se tolère. Après je peux me tromper et c'est d'ailleurs le cas parce que j'ai fait tort au texte et donc à son auteur. Je m'en excuse, dernière chose, pourquoi un modérateur doit sanctionner mon commentaire en le bardant de phrases bleues, je n'y reconnais pas son rôle ou alors qu'il en fasse la remarque sur son pseudonyme du site.
Et enfin pour excuser mon erreur "typographique", elle ne vient pas de moi mais tout directement de mes cours de français où après une de mes rédactions on m'a sanctionné d'avoir écrit des chiffres en chiffres(vous comprendrez). Après ce malentendu dont je reconnais être le responsable, je me permets de retirer ma remarque sur le 6H30 de l'auteur. Voilà désolé. Et aussi aucune remarque n'est ridicule Yali car celle-ci a sans doute permis d'éclaircir certains esprits comme le mien ou les vôtres ou alors vous êtes trop intelligent pour moi =D (plus grand je pense) . Voilà merci d'avoir lu ce long machin et merci d'excuser mon erreur.
Et enfin pour excuser mon erreur "typographique", elle ne vient pas de moi mais tout directement de mes cours de français où après une de mes rédactions on m'a sanctionné d'avoir écrit des chiffres en chiffres(vous comprendrez). Après ce malentendu dont je reconnais être le responsable, je me permets de retirer ma remarque sur le 6H30 de l'auteur. Voilà désolé. Et aussi aucune remarque n'est ridicule Yali car celle-ci a sans doute permis d'éclaircir certains esprits comme le mien ou les vôtres ou alors vous êtes trop intelligent pour moi =D (plus grand je pense) . Voilà merci d'avoir lu ce long machin et merci d'excuser mon erreur.
Le Greico- Nombre de messages : 206
Age : 30
Localisation : Là où le soleil brille encore.
Date d'inscription : 08/11/2009
Re: Ghetto
Le Greico
Tu devrais faire un tour sur ce fil : https://vosecrits.1fr1.net/conversations-atelier-f4/grammaire-orthographe-et-difficultes-de-la-langue-t7716-160.htm#244507
où tu pourras discuter de ces points précis (tu y trouveras aussi des liens)
et comme cela, on évitera de polluer davantage le fil du texte de Jano. (sourire)
Tu devrais faire un tour sur ce fil : https://vosecrits.1fr1.net/conversations-atelier-f4/grammaire-orthographe-et-difficultes-de-la-langue-t7716-160.htm#244507
où tu pourras discuter de ces points précis (tu y trouveras aussi des liens)
et comme cela, on évitera de polluer davantage le fil du texte de Jano. (sourire)
Reginelle- Nombre de messages : 1753
Age : 73
Localisation : au fil de l'eau
Date d'inscription : 07/03/2008
Re: Ghetto
Tu as effectivement bien fait de reprendre, ça donne un autre corps à l'ensemble mais je trouve l'ensemble un brin trop ramassé; il mériterait d'être développé à certains endroits, plus détaillé, mais aéré à d'autres, bref se voir doté d'un nouveau rythme qui correspondrait davantage à cette respiration.
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
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