L'appel de la mer

[Bastengal]

Les cordes des voiliers s’apparentaient à mes libertés retrouvées,

Fuir ma cruelle destinée,

Regarde mon enfant :

La rose des vents est la symphonie de mon âme apaisée,

La quille fut plongée,

Les amarres lâchées,

Pardonne moi ô terre austère et inhospitalière,

Mais rien ne vaut pour un Homme l’appel de la mer.





(Je ne suis pas poète, désolé si vous trouvez ça nulle :))

[Invité]

Court, mais plutôt expressif. Vous n'échappez pas, bien sûr, aux écueils que rencontrent tous les débutants, c'est-à-dire l'utilisation d'images usées à la corde, si bien qu'elles n'ont plus aucun intérêt (la cruelle destinée à fuir, les amarres, la liberté, les "Ô !" pour faire genre...).
Mais je vous encourage à persévérer et à continuer d'écrire : tout le monde peut s'améliorer.
Bienvenue sur VE, à vous relire.

[Ba]

Le " problème " de la mer et de l'homme qu'elle appelle, ou qu'elle entraine ou qu'elle attire, c'est que Baudelaire a posé son empreinte et qu'il est difficile dès lors d'en parler sans qu'il nous vienne l'impérissable " homme libre toujours..."

J'ai donc lu pour la jeunesse du texte et ce qu'elle porte de rêve.

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